Le réel est plus grand que ce qui est perçu.

Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Retour au moment de votre naissance Saison 4 Episode 51 » :

Bienvenue sur Anatman Airways.

Nous allons bientôt décoller.

Inutile d’attacher votre ceinture, car nous allons à l’intérieur.

Restez concentré, connecté dans le cœur, dans l’amour.

Installez-vous confortablement. Laissez tout se reposer.

Les yeux fermés, le corps s’abandonne et tout ce que vous êtes s’abandonne à ce qu’il y a maintenant, à existence, à présence, à silence, à tout ce que vous êtes.

Tout ce que vous avez toujours été et tout ce que vous saurez.

Ressentez maintenant vos pieds.

Comment vous sentez-vous dans les pieds ? Est-ce qu’elles sont chaudes ? Froides ? Humides ? Secs ? Vibrantes ? Pétillantes ? Rempli d’énergie ? Relaxées ? Contentes ? 

Dites avec moi à voix haute :

À mon corps physique,

à chaque cellule de mon corps physique,

je t’aime, je t’aime, je t’aime,

je suis là pour toi,

je m’abandonne à toi,

je suis désolé,

pardonne-moi,

je te pardonne tout,

je prends soin de toi maintenant.

Alors, je vais maintenant me connecter au premier chakra, vous avez juste à écouter et ressentir.

J’avais envie de m’incarner plus, j’avais envie d’entrer dans ce corps pleinement.

J’avais envie d’être capable de ressentir avec tous mes sens.

J’avais besoin d’augmenter la concentration de la conscience dans chaque cellule de ce corps physique.

En augmentant la conscience dans chaque cellule de ce corps, j’allais augmenter toutes mes perceptions, tous mes ressentis corporels.

J’allais comme un chat ou comme un chien, ressentir beaucoup plus, j’allais voir plus, j’allais entendre plus.

Plus j’allais concentrer la conscience dans chaque cellule de ce corps et plus j’allais expérimenter le corps de lumière.

Plus j’allais laisser amour et lumière entrer dans ce corps physique et plus tous mes systèmes allaient s’harmoniser, s’autoguérir, s’autoharmoniser.

Imaginez maintenant de la lumière dans chacune de vos cellules. 

Cette lumière vient de l’intérieur.

Votre corps s’illumine, chaque cellule de ce corps, de votre corps se rappelle maintenant : je suis la vie, je suis existence, je suis vivant, vivante.

En m’abandonnant au corps physique, en laissant la lumière entrer dans ce corps, en laissant amour s’incarner dans ce corps, autre chose allait vivre à travers ce corps.

J’avais besoin de voir, les pratiques de méditation, le yoga était une préparation.

Le sport, le Tai-Chi, le yoga. J’étais en train de me préparer.

Je préparais le corps à recevoir la lumière christique, l’amour, l’être, la nouvelle conscience.

J’avais besoin de voir, pour que cette nouvelle conscience s’incarne dans nos corps sur Terre, pour entrer en 5D, j’avais besoin de vibrer plus haut, j’avais besoin de m’abandonner, j’avais besoin de grandir.

Ressentez quelque chose qui s’illumine.

J’avais besoin de voir, chaque semaine, j’accueillais un peu plus de conscience dans chaque cellule de ce corps, j’accueillais un peu plus d’amour dans chaque cellule de ce corps, j’accueillais un peu plus de réalisation de conscience dans chaque cellule de ce corps.

J’avais besoin de réaliser maintenant, c’est ce corps physique qui est en train de s’éveiller, de renaître, de se transmuter, de s’assimiler, de se rappeler la lumière.

J’avais besoin de comprendre le réel, il n’est pas perceptible, visible, écoutable par les sens habituels. Le réel est plus grand que ce qui est perçu.

J’avais besoin d’augmenter mes perceptions pour augmenter ma capacité à percevoir le réel, en écoutant plus, en entendant chaque détail sonore, en voyant mieux, en voyant chaque couleur, chaque forme, en ressentant plus avec mon corps, en ressortant plus avec l’odorat.

Plus j’augmentais mes perceptions de la réalité et plus, je pouvais nourrir toutes mes intelligences.

J’avais un organe au centre de la poitrine de réception et d’émission d’amour.

En ressentant l’amour, dans celles et ceux que je contacte au quotidien, en écoutant attentivement ce que dit mon cœur alors, je sais, je comprends, et je réalise ce qu’est l’autre moi.

En acceptant mon système émotionnel, mon intelligence émotionnelle, je peux comprendre l’autre moi, je peux communiquer avec l’autre moi, je peux partager avec l’autre moi et je peux même co-créer avec l’autre moi

Sentez comme une force, quelque chose s’incarne dans ce premier chakra, dans le bassin, dans les jambes, dans les pieds.

La vie est là, elle s’installe, elle se reconnaît.

Dites avec moi :

Je suis la vie,

j’accepte ce que je suis,

je n’ai pas peur de ce que je suis.

Dites avec moi :

 Je suis la force de vie,

 dans chacune de mes cellules.

Dites avec moi :

 J’accepte mon corps de lumière,

gratitude pour mon évolution.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Retour au moment de votre naissance. Saison 4 Episode 51 » :

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À chaque cellule de mon corps physique, je t’aime…

Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Une nouvelle conscience arrive sur terre. Saison 4 Episode 50 » :

Confortablement installé, bien au chaud, prêt à s’abandonner, le corps prêt à s’abandonner.

Laissez tout se relâcher, laissez tout ralentir.

Nous allons commencer par nous connecter au corps physique, nous ancrer, nous enraciner pour monter jusqu’au 4 ᵉ chakra.

Ressentez vos pieds maintenant.                   

Comment vous sentez-vous sous les pieds ? Est-ce que c’est chaud ? Est-ce que c’est froid ? Est-ce que c’est humide ? Sec ? Tendu ? Détendu ? Relaxer ? Pétillant ? Fourmillant ?

Votre conscience dans les pieds.

Imaginez maintenant vos pieds comme des racines.

Vous êtes un arbre et vous allez vous enraciner dans la terre, dans Gaïa.

Dites avec moi :

Mes jambes sont mes racines,

elles s’enfoncent dans la terre,

elles puisent l’énergie de Gaïa.

Je me connecte maintenant à Gaïa avec mes racines.

Ressentez dans vos jambes, dans vos pieds comme une vie qui entre en vous, une énergie de vie.

Ressentez votre corps maintenant. Dites avec moi :

À mon corps physique,

à chaque cellule de mon corps physique,

à chaque partie de mon corps physique,

à chaque organe de mon corps physique, je t’aime, je t’aime,

 je suis désolé,

pardonne-moi,

je te pardonne tout, je me pardonne tout.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Une nouvelle conscience arrive sur terre. Saison 4 Episode 50 » :

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En apprenant à m’abandonner, j’apprenais à sortir de l’identité, de la personne.

Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Ouverture du cœur et du 3è œil Saison 4 Episode 49 » :

Bienvenue dans cette partie de méditation guidée. Choisissez un endroit confortable et bien chaud. Après avoir chanté, dansé, après les automassages, nous sommes prêts pour le voyage, un voyage intérieur.

Une grande respiration tous ensemble, retenez, et puis un OM d’amour à chacun du groupe. Ressentez dans votre corps. Nous allons travailler chaque chakra, et je vais me connecter au groupe.

On va recevoir un soin collectif. Commençons par nous ancrer, nous enraciner encore un peu plus dans le corps. Ressentez maintenant vos pieds ;  Comment vous sentez-vous dans les pieds ? Est-ce que c’est chaud ? Froid ? Souple ? Dur ? Nous allons faire un OM dans les pieds. Dites avec moi :

Mes jambes sont mes racines, elles s’enfoncent dans le sol maintenant, je me connecte à Gaïa, je me rappelle mes vies d’arbre.

Allons désormais dans le premier chakra. Nous sommes maintenant dans le chakra de l’incarnation : le premier chakra. Je vais me connecter au nous, au groupe.

Nous allons voir ce qu’il y a à travailler sur ce premier chakra, il y a juste à écouter, rester comme ça, la conscience qui est attentive, connectée au corps. Voyez si ça fait quelque chose, une émotion, réaction corporelle. Il y a juste à écouter dans cette partie-là, et ressentir.

J’avais besoin, de m’incarner sur Terre pleinement, en acceptant ce corps physique. Je pouvais ressentir, grâce à ce corps.  J’avais besoin de comprendre, le corps est mon interface me permettant d’exister dans cette réalité.

J’avais besoin de voir, que j’existe dans de nombreuses réalités. À chaque fois, j’ai un corps différent, en fonction des besoins. J’avais créé ce corps de toute pièce pour pouvoir vivre cette vie.

J’avais créé ce véhicule cellule par cellule, pour pouvoir exister, vivre, ressentir. Plus j’allais m’abandonner à ce corps physique, et plus j’allais écouter ce corps physique ; plus j’allais vivre, et plus j’allais m’abandonner à la vie, et plus la vie, elle est abandonnée à moi, et plus la vie allait vivre à travers ce corps.

J’avais besoin de comprendre, il est possible d’augmenter ma vitalité, il est possible d’augmenter mon taux vibratoire, il est possible de ressentir 100 fois plus avec chaque sens.

J’avais absolument besoin de comprendre les activités physiques, les sports, le yoga, le Chi Kong, Tai Chi. Le mouvement à mon rythme, allait me permettre d’être mobile, d’être fluide. C’était la base pour recevoir les montées vibratoires.

Plus j’allais être ancré dans ce corps enraciné, dans ce corps connecté à ce corps physique, dans tous mes ressentis, et plus j’allais pouvoir monter en vibration ; plus j’allais pouvoir monter en vibration, et plus j’allais pouvoir m’éveiller, et plus j’allais pouvoir sortir de l’identité, sortir de la matrice.

J’avais besoin de comprendre, tout est construit dans l’univers, incluant cette réalité, incluant cette dimension, incluant ce corps physique, incluant l’identité.

Par des pratiques de montée vibratoire, par des techniques d’abandon, il était possible de toujours s’abandonner plus à la vie, au corps, à l’intelligence, à la conscience, à la présence, à l’amour, à existence.

J’avais besoin de comprendre et de voir, j’ai été guidé jusqu’ici, dans ce qui semble être un atelier d’éveil et de transformation, pour en réalité recevoir des messages, des transmissions, des compréhensions qui allaient m’aider concrètement dans ma vie quotidienne.

En comprenant que c’est moi qui crée ma réalité, je pouvais sortir de l’identité plus ou moins victime du monde pour entrer dans le réel, je suis une déesse, je suis un Dieu et je suis venu incarner ma planète originelle, mon essence, tout ce que je suis, tout ce que j’ai compris durant des millions de vies.

Je suis venu partager, honorer, célébrer avec tous les autres Moi la gratitude de co-créer, la gratitude d’avoir créé cet univers, la gratitude d’être juste comme ça, amour, tous ensemble, main dans la main, cœur contre cœur.

En apprenant à m’abandonner, j’apprenais à sortir de l’identité, de la personne. J’apprenais en tant que personne à laisser la vie, existence, amour ; vivre à travers ce Moi, à travers ce corps, ainsi ma vie elle est plus belle, car ça ne serait plus ma vie, mais notre vie.

Nous allons monter rapidement dans les chakras supérieurs. Dites avec moi quelques affirmations pour bien ancrer le premier chakra. Dites avec moi :

J’ose m’incarner, j’ai le droit de m’incarner, je suis venu pour exister pleinement dans la matière.

J’accepte mon incarnation, j’accepte le cadeau d’être la vie.

Dites avec moi :

J’honore mon corps physique, je prends soin de mon corps physique, je décide de faire du sport, je décide de faire des étirements, je décide d’être en pleine forme, je décide de manger uniquement de bonnes choses. Je m’aligne avec l’être maintenant, et chaque jour, je reste aligné avec l’être, chaque jour, je reste aligné avec la santé parfaite, je décide de choisir avec mon être ce que je vais manger.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Ouverture du cœur et du 3è œil Saison 4 Episode 49 » :

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Vous êtes le maître de votre vie, vous êtes l’être en réalité. Créez une nouvelle identité, vivez votre divinité !

Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Ouverture du cœur et du 3è œil Saison 4 Episode 49 » :

Nous allons maintenant passer au 3ème chakra. Un OM grave au niveau du plexus solaire, au-dessus du nombril. Je vais continuer la lecture pour le Nous, pour toutes celles et ceux qui sont là, en direct et en différé.

Il y a juste à écouter. Nous sommes dans le 3ème chakra : le chakra de l’action, de la manifestation, le chakra aussi du territoire et le chakra de l’autorité.

J’avais besoin d’ouvrir ce 3ème chakra pour oser être. J’ai besoin de comprendre, une grande majorité d’entre nous avait été conditionné à obéir, Obéir à la famille, parfois obéir au conjoint, obéir à la société, obéir à l’autorité.

Il était temps de s’éveiller et de réaliser : je suis une déesse, je suis un Dieu, et je peux créer ma propre autorité.

Plus, j’allais m’éveiller et plus, j’allais comprendre, je suis l’héroïne, le héros de ma vie. Je ne suis pas venu pour obéir.

En sortant de l’identité, victime de l’identité programmé à obéir, j’arrivais dans un monde nouveau, c’était ma vie, c’étaient mes règles, j’avais un territoire, ce corps physique, ce temple sacré, et j’avais aussi un autre territoire invisible, j’avais ma vie.

En réalisant que j’avais autorité sur cette vie, j’allais pouvoir redéfinir ma vie. J’avais besoin de voir, en sortant de l’ancienne identité, la personne que j’avais crue être, je me retrouvais dans l’espace absolu et infini : L’espace de l’être ou plus précisément, je me retrouvais dans un endroit sans espace et sans temps.

Donc je pouvais créer tous les espaces que je souhaitais. J’avais absolument besoin de comprendre l’intérêt stratégique, majeur de l’éveil.

En sortant de l’ancienne identité, je me libérais de toutes les limites, de tous les conditionnements et de tout ce qui m’empêchait finalement d’être ce que je suis.

Il était temps de trouver une pratique de méditation pour aller dans l’être le plus souvent possible de façon à m’habituer à cette nouvelle façon de penser ; une pensée plus libre, plus autonome, j’étais mon propre territoire.

J’avais besoin de rencontrer des évadés, qui pourrait témoigner, de comment c’est là-bas, en dehors de la matrice. J’avais besoin de voir, il suffisait qu’un seul être humain s’évade, pour qu’ils puissent s’évader tous les autres par une simple transmission, cette compréhension que beaucoup d’entre nous sont dans des prisons.

J’avais besoin de comprendre, sans cette réalisation que le Je, que la personne est en prison, il n’y a pas l’étincelle de vie qui veut se libérer, parce que se libérer de quoi ?

À la seconde même, vous comprenez que l’identité, la personne, l’ego, le Je, le Moi est une prison, alors naturellement quelque chose en vous, un élan de liberté et de vie va tout faire pour s’évader.

Il y a la réalisation que c’est trop tard maintenant, vous avez compris et donc par conséquent, vous allez vous libérer. J’étais venu recevoir une grâce, une réalisation qui allait changer ma vie pour toujours.

En comprenant que j’ai ma propre autorité, j’allais pouvoir me libérer de toute forme d’influence, de toute forme de conditionnement. J’allais pouvoir voir clairement.

J’étais un animal sauvage en vérité, et j’avais besoin de liberté. La société m’avait domestiqué, elle avait domestiqué mes parents, mes grands-parents, depuis des dizaines de milliers d’années.

Et il était temps de connecter maintenant cet élan de liberté, cet élan de rébellion, quelque chose qui ne peut être soumis à quoi que ce soit. Ressentez dans le 3ème chakra, comme une force qui arrive.

J’avais besoin de réaliser en sortant de l’identité, du Je, du Moi, de la personne construite par les parents et par l’enfance, j’arrivais dans l’être. J’avais besoin de voir que l’être a envie d’incarner ses projets.

J’avais besoin de voir que l’être n’a aucune timidité. J’avais besoin de comprendre que l’être est un être créateur. J’avais besoin de clarifier, de voir très clairement le manque d’affirmation de soi, le manque de confiance en soi était en réalité, un manque confiance lié à l’identité, lié à l’identification, à la personne plus ou moins victime de l’univers.

En allant dans l’être, je n’aurais plus de souci pour m’affirmer, pour dire, je t’aime, ou pour dire non, ou pour dire oui, pour être la vie. En allant dans l’être, tout allait devenir possible.

Alors, nous avons des affirmations précises, positives à dire ensemble, pour intégrer dans notre subconscient, dans notre inconscient, toutes ces réalisations dites avec moi :

Je suis mon territoire,

je reconnais mon territoire,

je suis reine, je suis roi dans mon Royaume,

je suis souverain,

je suis souveraine dans ma vie, j’ose être ce que je suis déjà, je défends mon territoire.  

Je me libère maintenant de toute influence externe dans cette vie et dans toutes mes vies,

je me libère maintenant de toutes les personnes, de tous les systèmes,

j’accepte d’être libre,

libre de penser,

libre de créer,

libre de concevoir,

libre de définir ma vie de rêver,

je décide de choisir chaque millimètre dans ma vie,

chaque personne dans mon entourage,

et je reconnecte maintenant ma famille galactique,

je me crée des alliés,

je me crée des amis.

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Comment débloquer le sixième sens… le septième sens ? Vous êtes capable de beaucoup plus que vous ne le pensez.

Allons vers le 2e chakra 

Et nous allons faire un OM bien grave dans ce 2e chakra

Ressentez dans le 2e chakra cinq centimètres au-dessus du premier   comme une énergie. Vous pouvez visualiser aussi une couleur,

Visualisez le rouge,

Il y a juste à écouter, je vais continuer à faire une lecture pour le groupe.

J’avais besoin d’écouter mon 2e chakra, d’écouter mon système émotionnel.

J’avais besoin d’accepter d’être un être sensible avec des sens. De nombreux sens qui allaient me permettre d’appréhender le monde.

J’avais reçu ce corps physique, un véhicule d’incarnation et ce corps physique était doté de sens.

Pas seulement les cinq sens connus, mais deux sens supplémentaires.

L’émission réception d’amour dans le cœur et émission réception de pensées dans la tête. Ce corps avait au moins sept sens. 

Et si chaque sens, et si chacun de mes sens me permettait d’accéder à des dimensions particulières.  La dimension visuelle bien sûr, absolue, infinie.

La dimension auditive, absolue et infinie aussi.

Chaque sens était une dimension et chaque sens était infini. Et je pouvais voir le monde depuis chaque sens.

Je pouvais développer un sens plutôt qu’un autre.

Je pouvais aiguiser chacun de mes sens. Et je pouvais aussi, en augmentant ma conscience, multiplier ma sensibilité, je pouvais affiner ma sensibilité. 

Je pouvais ressentir cent fois plus, mille fois plus, un million de fois plus.

Et plus ma conscience augmentait, et plus j’étais capable de ressentir de plus en plus.

J’avais besoin pour cela d’accepter l’empathe que j’ai toujours été. J’avais besoin d’accepter d’être un être sensible. 

Bien sûr, la société n’était pas du tout adaptée aux personnes sensibles. Mais c’était à nous de créer le Nouveau Monde. C’était à chacun d’entre nous, de créer, de recréer un monde à son image.

Et plus j’allais accepter l’essence, la sensibilité, et plus j’allais comprendre la beauté de l’incarnation humaine. Plus j’allais accepter ces sens, cette subtilité, cette finesse, cette intelligence sensorielle. Et plus j’allais pouvoir communiquer, échanger, partager avec les humains, mais aussi avec les animaux, avec les plantes, avec les planètes. Avec le vent, avec l’océan.

J’avais besoin de voir que tout était moi.

En devenant empathe, je devenais canal et en devenant canal, je pouvais communiquer avec chaque point de la galaxie, chaque point de l’univers et je pouvais comprendre les multi dimensions.

Et si je m’abandonnais à chacun de mes sens: le goût, l’odorat, l’ouïe. Chaque sens amour aussi.

Et si je pouvais comprendre que je suis un être multidimensionnel et que chaque sens est une dimension. J’avais aussi besoin de voir que ce corps physique est la manifestation, la matérialisation d’un système plus vaste et plus grand qui a de nombreux corps subtils et qui vit dans de nombreuses dimensions. Et qui vit de nombreuses vies en parallèle.

Ressentez en vous les effets de cette réalisation.  Je suis un être multidimensionnel. J’ai de nombreux corps subtils. J’ai un corps physique, je peux voir, mais j’ai aussi tous les corps subtils que je peux ressentir en affinant mes perceptions. 

En passant du temps avec celles et ceux qui percevaient subtilement. J’allais pouvoir moi-même activer mes propres perceptions.

J’avais besoin de comprendre les phénomènes épigénétiques en passant du temps avec certaines personnes, certains êtres, j’allais activer dans mon propre système, dans mon corps physique des codes génétiques de l’ADN. C’est là science de l’épigénétique qui est de plus en plus connue maintenant.

Et plus j’allais choisir avec qui je passais mon temps et plus, j’allais sélectionner les ADN à activer. Ainsi mes capacités allaient augmenter.

J’avais besoin de comprendre l’épigénétique. Il était possible d’activer ou de désactiver certains gènes. C’était une fonction naturelle du corps et c’était une fonction permettant l’adaptation au milieu, au contexte, à l’environnement.

En passant du temps avec des yogis, j’allais activer les gens des yogis. En ouvrant mon cœur, à celles et ceux qui ont réalisé des choses, j’allais moi-même recevoir ces réalisations et ces initiations.

C’était à moi de choisir, ou de m’abandonner à l’être qui allait choisir. 

Restez avec cette musique quelques instants. 

En imaginant quelques brins de vos ADN en train de s’activer. 

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 38 » :

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Abandonnez-vous, libérez-vous. Entrez en contact avec d’autres “vous”, entrez en contact avec l’Univers.

J’avais besoin de voir dans le cœur, la dissolution de la personne, de ce que j’avais cru être. Fallait être salvateur, fallait être la porte de sortie de la matrice. 

Bien sûr, le je le moi l’égo, le contrôleur protecteur n’avait pas du tout envie de lâcher prise, car il était dans la peur. Et progressivement, c’était le chemin d’éveil, un chemin spirituel. Progressivement, je me faisais à l’idée de disparaître, de mourir au sens littéral du terme. Mais pas de mourir avec mon corps. Donc, dépérir en tant que personne. C’était l’amour.  

.

Ben personne n’allait se dissoudre, n’allait mourir. Et un NOUS, autre chose allait apparaître. J’allais passer du je individualiste, individuel. À nous le couple, à nous à deux. J’allais transfigurer, transmuter le UN pour devenir UN à deux. 

Ressentez dans le cœur le bonheur d’être un à deux. 

Ressentez en vous une force, une envie.

J’ai envie d’être aimé, j’ai envie d’aimer.

Je réalisais que c’est votre capacité d’abandon qui va permettre le processus amoureux. 

J’avais besoin d’apprendre à m’abandonner. J’avais besoin d’apprendre à lâcher prise.  J’avais besoin d’apprendre à disparaître. 

Et si j’apprenais à disparaître?

Et si je prenais des cours de disparition?

C’est exactement ce que nous faisons avec les automassages, avec le yoga, avec les danses, avec les chants.

C’est ce que vous faites maintenant. 

Et plus j’apprenais à disparaître, et plus je laissais quelque chose d’autre apparaître.  Ce quelque chose d’autre était calme, posé, tranquille, rempli de douceur et d’amour.

C’était l’être divin que je suis.

 Que nous sommes tous et toutes. C’était la déesse en moi. C’était le dieu intérieur. C’était ce que je suis.

J’avais joué à être un personnage, une personne, puis, au détour d’une méditation.  J’avais vu le mécanisme. 

Moi, la conscience, moi l’être, je ne suis pas la personne. 

Toute ma vie, j’ai cru être une personne, et d’un seul coup, à cause d’une vidéo bizarre sur YouTube, à cause d’un atelier d’éveil, de transformation. 

 À cause d’un dingue qui raconte de drôles d’histoire, j’ai fini par rendre compte: je ne suis pas la personne.  Je ne suis pas le personnage. Tout a été construit depuis l’enfance.  Je suis la conscience qui observe, qui comprend.  Je suis l’intelligence qui a tout créé. 

Et cette intelligence est en train de se rappeler. C’est pour ça qu’elle a créé Haakman pour se rappeler…

J’avais absolument de me rappeler ce que je suis vraiment. Mon éternité, mon absolu, j’avais été préparé toute ma vie à ce moment.

Tout m’avait amené jusqu’ici. Ici et maintenant. 

Une somme de hasards impossible m’avait amené ici et maintenant pour comprendre cela.

Allons maintenant dans le 6e chakra.

Au niveau du 3e œil. 

C’est le moment de mettre votre main, droite ou gauche sur le 3e œil, sur le front, avec la paume des mains. Le chakra de la paume des mains, en face du 3e œil, en direction de la glande pinéale. 

On va juste mettre la main sur le front, juste au-dessus du nez. En fait, entre les deux yeux au-dessus du nez, il y a un point d’intersection. Voilà, mettez votre main ici.

Alors, nous avons des affirmations positives.

Dites avec moi:

J’arrive mon 3e œil, j’accepte de percevoir, j’accepte de recevoir.

J’accepte ma divinité.  J’accepte de me rappeler de ce que je suis.

Et nous allons faire un OM aigu sur ce 3e œil.

Mettez votre conscience au niveau du 3e œil entre les deux yeux.

Dites avec moi.

Gratitude de recevoir l’initiation.

Ouverture du 3e œil.

Dites avec moi: 

Gratitude de recevoir la grâce d’Anatman

Laissez faire le processus, laissez la main rayonner. Envoyez de l’amour dans ce 3e œil.

Restons sur cette musique, pendant que nous recevons.

Dites avec moi: 

Gratitude de recevoir la grâce de Ganga mata.

Donc c’est la mère divine.

C’est là déesse qui s’incarne dans le Gange Ganga. Et c’est la déesse que nous avons rencontrée ici, qui réchauffe le cœur. Et qui nourrit de centaines d’indiens. Car l’eau du Gange nourrit des cultures. C’est la mère divine, c’est Gaïa, c’est la nature. 

Appelez Ganga, ici, nous allons rester sur une méditation, une musique spéciale pour nous connecter.

Ressentez. Ça relâche.

Gratitude d’avoir voyagé ensemble sur ANATMAN Airways, la compagnie qui ne vous ramène jamais là où elle vous a prise.

Je vais laisser la musique pour ceux et celle qui veulent conserver la vibration, l’énergie.

Voilà, le 3e œil est ouvert, vous êtes dans un état modifié de conscience. C’est le moment d’imaginer votre nouvelle vie, vous allez tout enregistrer.

Et quand vous reviendrez de cet état modifié de conscience, vous vous rappellerez tout.

Toutes les réalisations, tout ce que vous avez vécu, et vous pourrez l’utiliser au quotidien.

Je t’aime,

Je t’aime,

Je t’aime.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 38 » :

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Connectez-vous à votre corps physique, c’est votre interface d’accès à la vie.

Nous allons grimper en conscience. Nous allons nous abandonner. Vous êtes sur les ondes du non-soi…

Dites avec moi :

« Mes jambes sont mes racines. Elles vont dans la Terre. Elles se connectent à Gaïa. »

Ressentez un grand lâcher-prise, un grand relâchement. Tout se relâche. Vous vous abandonnez à Maintenant, à votre corps, à la paix. Ne vous endormez pas : restez conscient(e)s tout au long du processus.

Nous allons nous connecter au 1er chakra et nous allons recevoir un soin collectif. Il y a juste à écouter. Il y a juste à s’abandonner à Conscience, Présence, cette vibration particulière transmise à travers la voix qui parle.

Nous sommes ensemble au pied de l’Himalaya, dans les montagnes en Inde. C’est l’été, il fait chaud. Tout se relâche. Il fait beau. La forêt est là. L’air frais est là. Température parfaite. Nous sommes au pays des yogis depuis des milliers d’années. Des autres nous viennent ici pour se recueillir et s’abandonner à Gaïa, à la Nature… C’est Shamballa.

Je vais maintenant lire l’inconscient du groupe dans le 1er chakra.

J’avais besoin d’écouter mon corps physique. J’avais besoin d’une intimité avec lui. J’avais besoin de reconnaître ce corps comme étant mon Temple Sacré.

A force de méditations, je commençais à comprendre que cette réalité, cette vie, étaient accessibles grâce au corps physique. Et si le corps physique était une interface d’incarnation me permettant d’accéder à la planète Terre, ce monde, cette vie ?

Bien sûr, j’avais plein d’autres incarnations avec plein d’autres interfaces toutes différentes les unes des autres. J’avais des vies où j’étais un chat, un chien, un tigre, un cheval, un lion, une girafe… J’avais tout testé… J’avais tout testé car amoureux de mes créations, amoureuse de mes créations, j’avais envie de vivre chacune de mes créations, chaque espèce. J’étais fan de ce que je suis. J’étais fan de mes créations. Alors je m’incarnais dans tout ce que je créais pour ressentir, vibrer et vivre ce que ça pouvait faire d’être un loup, d’être un petit chat, d’être un ours… Avec le temps, et avec les cérémonies chamaniques, je reconnectais tous mes animaux totems. Ils étaient tous là au fond de moi, à l’intérieur. Je pouvais les reconnecter. Je pouvais me rappeler mon Éternité.

Dans cette vie, j’étais incarné(e) dans un être humain, dans ce corps physique. Et si j’étais pleinement dans ce corps physique ? Et si je m’abandonnais encore plus à chacune de mes cellules ? Et si je laissais la vie être à travers ce corps ? Et si je m’abandonnais pleinement à tous ses ressentis ? Et si en sortant de la tête, en s’abandonnant au corps, je commençais à vivre véritablement, à m’incarner ? C’est là le 1er chakra : le chakra de l’incarnation.

Et si J’avais été programmé(e) depuis l’enfance à sortir du corps physique et à être dans la tête ? A cause de l’école, à cause de l’éducation, à cause de tous les schémas et conditionnements parentaux. Et si je renversais la vapeur, si j’allais dans l’autre direction, la direction du corps, la direction du cœur, la direction intérieure ? Et si j’allais à l’intérieur, à l’intérieur de mon corps, à l’intérieur de mes organes, à l’intérieur de mon Temple Sacré ?

Par des techniques chamaniques, par des techniques de méditation, je pouvais m’incarner pleinement dans ce corps, prendre possession de ce corps. Je pouvais entrer dans ce corps pleinement et ressentir mille fois plus ce corps.

Restons sur cette Musique quelques instants, en ressentant le corps…

Dites avec moi, nous allons dire quelques affirmations positives, des mantras :

« À mon corps physique, à chacune de mes cellules :

Je t’aime !

Je t’aime !

Je suis ce que tu es.

Je m’abandonner à toi.

À mon corps physique :

Je suis désolé(e),

Pardonne-moi… Je te pardonne tout…

J’active mon corps de Lumière. Je laisse passer le Divin dans chacune de ces cellules. Je laisse passer Amour dans chacune de ces cellules. Et je laisse Amour aimer à travers mon corps. »

J’avais besoin de comprendre, en m’abandonnant au corps et en m’abandonnant à Amour, Amour allait prendre possession de ce corps. Amour allait vibrer et le corps de Lumière allait s’illuminer.

Et plus je m’abandonnais au corps physique et à Amour, et plus Amour pouvait vivre, s’exprimer à travers ce corps. Ainsi mon toucher devenait divin. Ainsi mes câlins et mes hugs devenaient divins. Ainsi tout mon corps retrouvait le Temple Sacré qu’il a toujours été en vérité.

En acceptant de vivre le Sacré, en acceptant de laisser l’Être vivre à travers ce corps, j’allais laisser Existence s’incarner sur Terre pleinement, sans résistance du « je » ou de l’ego, sans frein du « moi », car il n’y avait plus personne.

Ressentez votre corps qui se repose, tranquille. Ressentez les effets de cette compréhension…

Vôtre corps est un Temple Sacré. Vôtre corps est un corps de Lumière et d’Amour. C’est votre corps qui s’éveille, ce n’est pas la tête.

En laissant la kundalini s’éveiller, en laissant la vie s’éveiller, en vous abandonnant au corps physique et à ses pratiques de libération énergétique, vous laissez la vitalité grandir et vous laissez Conscience augmenter dans chacune de vos cellules.

J’avais besoin de comprendre, ce n’est pas moi qui s’éveille, c’est chacune de mes cellules qui s’éveille. J’avais besoin de comprendre, ce n’est pas la tête qui s’éveille, c’est le corps qui s’éveille. Pourquoi c’est le corps ? Parce que le corps est l’unique réalité dans cette vie, dans ce monde, dans cette réalité. La tête est virtuelle. Les concepts n’éveillent pas. Ce qui éveille, ce sont les ressentis, ce sont les réalisations. D’où l’idée de s’abandonner au système émotionnel, de s’abandonner au cœur physique, à l’amour, à tout ce qui est corporel. D’où l’idée de s’abandonner au corps physique en faisant du yoga, des pratiques sportives… Et si je pouvais comprendre maintenant que le corps est la clé ? Et si je pouvais apprendre à m’abandonner à ce corps physique ?

Restez avec cette Musique. Ressentez et vibrez avec chacune de vos cellules Maintenant.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 32 » :

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Votre corps physique est votre meilleur ami. Apprenez à l’écouter, à communiquer avec lui, et surtout, à bien en prendre soin.

Confortablement installé, les yeux fermés, nous allons nous laisser guider par la musique.

Tout le corps se relâche. Et je m’abandonne.

Ressentez à l’expiration un abandon total, un relâchement.

Ressentez à chaque expiration où vous vous enfoncez dans le matelas.

A chaque expiration, tout se relâche.

Ressentez le plaisir de s’abandonner, le plaisir de tout lâcher.

Notez qu’une fois que tout est lâché, il y a une disparition, il n’y a plus personne.

En s’abandonnant, le « Je » disparaît. Il ne reste plus que ce qui est : Existence, la vie, Présence, Conscience, Silence, tout ce que vous êtes réellement.

Mettez votre conscience dans les pieds maintenant.

Comment vous sentez vous dans les pieds?

Ressentez vos pieds.

Vous pouvez bouger les pieds.

Nous allons faire un OM dans les pieds.

Dites avec moi :

Mes jambes sont mes racines.

Elles s’enfoncent dans la terre.

Je me rappelle de mes vies d’arbre.

Dites avec moi :

Je suis connectée à Gaïa.

Je suis une cellule de Gaïa.

Allons dans le premier chakra au niveau du périnée et nous allons faire un OM à cet endroit, un OM d’ancrage.

Mettez votre conscience au niveau de ce premier chakra.

Je vais lire l’inconscient du groupe et nous allons recevoir un son collectif.

Il y a juste à écouter, ressentir dans le corps ce que les mots vous font, comment ils vibrent en vous.

Il ne reste plus que Conscience qui écoute et qui observe.

La personne a disparu.

Il y a juste à écouter.

J’avais besoin de me reconnecter à mon corps physique.

J’avais besoin de l’intégrer pleinement.

J’avais besoin de vivre mon corps physique.

J’avais besoin d’épouser chacune de mes cellules.

J’avais besoin de reconnaître ce corps pour pouvoir y entrer pleinement.

J’avais besoin de le toucher, de lui faire des massages.

J’ai besoin de le laisser s’étirer.

J’avais besoin de prendre soin de lui.

Et si le corps physique était la clé dans cette vie, la clé pour l’éveil, la clé pour Amour, la clé pour tout ?

Et si la vie ne se vivait pas dans la tête, mais dans le corps physique ?

Et si je commençais à accepter de ressentir avec ce corps toutes les formes de jouissance et d’orgasme que Gaïa a envie de vivre ?

Et si j’honorais ce corps physique ? Et si je le célébrais ?

Et si je prenais soin de lui en faisant attention à la nourriture, à l’eau, à tout produit qui entrerait dans ce corps ?

J’avais besoin d’apprendre à écouter ce corps physique.

J’avais besoin de créer une communication avec lui.

J’étais la conscience, j’étais l’être et il y avait ce corps qui avait passé sa vie à s’abandonner à moi.

Ce corps qui voulait toujours me faire plaisir et qui voulait toujours dire oui.

Notez que le corps obéit aux intentions de la tête et qu’il refuse très rarement les ordres.

Et si le corps était une entité autonome ?

Et si le corps avait sa propre intelligence ?

Et si je pouvais avoir une relation symbiotique avec ce corps ?

J’avais besoin de considérer ce corps non pas comme un ennemi, mais comme un ami.

Il était mon véhicule d’incarnation, j’étais le conducteur du véhicule.

Et si je conduisais bien, je pourrais aller très loin avec lui.

Et si j’allais au rythme de mon corps physique ?

Et si je l’écoutais dans ses besoins, ses besoins de calme, de tranquillité, ses besoins de mouvement, ses besoins de jouissance et d’orgasme, ses besoins d’abandon, de présence, de silence ?

Et si je créais une relation intime avec mon corps ?

J’avais besoin de passer beaucoup de temps avec mon corps à faire du sport, à m’étirer, à bouger, à danser, à chanter.

J’avais besoin de passer beaucoup de temps dans beaucoup de pratiques corporelles et de pratiques d’abandon.

J’avais besoin de laisser mon corps faire des mouvements spontanés.

 J’avais besoin de laisser mon corps s’étirer tout seul.

J’avais besoin de le laisser autonome.

Et si j’offrais à mon corps une autonomie ?

Et si mon corps pouvait être libre de ses mouvements ?

Et si mon corps pouvait choisir ses vêtements pas trop serrés, confortables ?

Et si j’arrêtais de torturer mon corps avec des chaussures ?

Et si je laissais mon corps se connecter avec Gaïa, pieds nus ?

Et si je me connectais aux éléments en passant du temps dans la nature ? Et si c’était ça l’ancrage, l’enracinement, se reconnecter à Gaïa, se reconnecter à la vie, laisser la vie être dans ce corps ?

Restez sur cette musique et ressentez votre corps.

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 31 » :

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A comme Amour & Amitié

Tant que nous ne nous sommes pas dés-identifié à l’ego, la fausse personne, il n’est pas possible d’aimer véritablement, d’aimer divinement.

Car au-delà de l’intérêt du mental et du corps, c’est dans l’intérêt du cœur que s’exprime le véritable amour.

Le véritable amour “est” sans explication, sans raison, sans justification : il est notre état naturel par défaut.

Pourquoi exprimer L'amour ?

Oui, l‘amour, la reconnaissance que l’autre est soi est l’état naturel du bouddha que nous sommes tous. C’est l’essence même de notre être : aimer tous les êtres et toutes les choses. Comment faire autrement lorsqu’on a réalisé que tout est nous ?

L’amour de l’égo qui n’est qu’une forme d’attachement n’a strictement rien à voir avec le véritable amour. Il n’y a aucune raison d’utiliser le même mot, il faudrait plutôt utiliser le mot “intérêt de l’égo”, “intérêt de la personne” plutôt que le mot “amour”. L’incompréhension des mots amènent vers l’incompréhension des choses.

Pouvons-nous faire la distinction entre le véritable amour et l’intérêt de l’égo lorsque nous sommes amenés à rencontrer des personnes ?

L’illusion est de confondre attachement de l’égo avec le véritable amour divin. Mais comment aimer tout en conservant le personnage ? Comment aimer lorsque sans cesse, l’ego filtre chaque instant de la vie ?

En s’éveillant un peu plus chaque jour, en augmentant son niveau de conscience, en prenant conscience de nos traumas et de nos souffrances.

Car ce sont eux qui ont construit la personne, l’égo. Et c’est par des prises de conscience, en effectuant une “déconstruction”, que nous allons pouvoir laisser le cœur s’exprimer, se libérer.

Pouvons-nous être honnête et comprendre “qui” agit, qui décide ?

Est-ce le cœur ou est-ce le personnage ?

Comment faire la distinction ?

C’est très simple, le cœur est dans la joie, la paix, dans une vibration très positive. Le personnage est dans la tête, dans le mental, dans le cerveau gauche, dans l’intérêt, parfois dans la manipulation. L’ego souhaite obtenir quelque chose tandis que le cœur ne veut jamais rien, il souhaite juste “être” ce qu’il est, “être” dans la présence.

Qu’est-ce qu’un véritable ami ?

Un véritable ami est quelqu’un qui sait et qui a expérimenté le fait qu’il n’y a pas d’autres, que nous sommes un. Il partage les mêmes valeurs et les mêmes niveaux de compréhension, des prises de conscience similaires ont eu lieu.

Plus notre niveau de conscience augmente, plus nous pouvons retourner à notre état naturel, c’est à dire l’amour infini.

Pour autant, les personnages, les autres êtres ne peuvent pas forcément exprimer cet amour. Chacun fait en fonction de son expérience, de son niveau de conscience.

Et plus nous évoluons sur le chemin, plus nous rencontrons de nouveaux êtres, tandis que d’autres s’éloignent.

Tandis que le mental peut être “ami” avec quasiment tout le monde si c’est dans son intérêt, le cerveau droit, le cœur, peut envoyer de l’amour à tous, mais ne peut avoir de véritables relations d’amitiés qu’avec des êtres libres, sachant sortir de leur personnage, qu’avec des êtres éveillés.

Car un être libre, sorti du personnage, à moins qu’ils veuillent jouer comme au théâtre des scènes, ne peut plus rester dans l’illusion.

Un besoin de vérité, de réalité, d’amour vrai s’exprime à travers le cœur. L’amour véritable est très exigeant, il ne s’intéresse ni aux attachements de l’égo, ni aux faux semblants.

Pourquoi retomber dans l’illusion quand nous y sommes sortis, telle est la question ?

Pourquoi se satisfaire d’illusion si nous pouvons avoir une vie véritable, avec des amours véritables ?

Ainsi, par des prises de conscience, par l‘éveil spirituel, notre environnement change. Et plus nous changeons, plus notre entourage change : lieux, personnes, objets, activités.

Tout ce qui nous entoure est le reflet de nos compréhensions, de ce que nous sommes à l’intérieur. Notre environnement est la manifestation de nos compréhensions, de notre vibration. D’une certaine façon, il est une projection de notre être intérieur.

Si nous prenons conscience qu’un être est magnifique, nous allons ressentir le besoin d’être en sa présence. De la même façon, si nous prenons conscience que quelq’un a un comportement négatif, nous allons réagir et certainement bouger.

La question lorsque nous devenons libre est la suivante : quel univers, quel environnement ai-je envie de construire autour de moi ?

Ai-je conscience que je créé mon environnement ? Ai-je conscience que plus j’évolue, plus mon univers évolue avec moi ?

Les véritables amis ne peuvent qu’être des amis de cœur.

Kunzang Novembre 2013

J comme ce que Je suis

Je suis.

Vous pouvez toujours me tuer,

Un autre viendra me remplacer.

Vous pouvez toujours tuer cet autre,

Un autre, puis un autre et encore un autre viendra.

Ce que je suis,

Est immortel.

 

A travers ce corps, à travers tous ces corps, une énergie, une conscience,

Se vit.

Et rien, non rien,

Ne peut m’arrêter.

Vous pouvez tuer ce corps, vous pouvez tuer tous mes corps,

 

Mais vous ne pouvez pas tuer ce que je suis,

Ces idées,

Ces pensées,

D’amour infini, de fraternité, de liberté, d’égalité, de justice,

Est,

Ce que je suis.

 

Au-delà de votre imagination, je vis.

Au-delà de votre compréhension, je suis.

Des millions de corps,

Des millions d’âmes,

Sont venus,

Sont partis,

Sont morts

Pour défendre,

Ce que je suis.

 

Combien ont péri

Pour transmettre,

Combien ont disparu,

Pour défendre,

Combien ont écrit,

Et combien, oui combien,

Ont compris ?

Ce que je suis,

 

Ce que je suis,

Est immortel

 

Ce que je suis est incassable,

Ce que je suis

Est insaisissable

 

Comprenez,

Ce que je suis,

Entendez,

Ce que je suis,

Venez voir,

Venez entendre,

Venez toucher,

Venez rencontrer,

Ce que je suis.

 

Au-delà du temps

Au-delà de l’espace,

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

Celui qui est.

Je suis,

Celui qui a été.

Je suis,

Celui qui sera,

 

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

 

Kunzang Novembre 2013

 

Témoignage du Samadhi numéro 2

Méditation shamanique : témoignage.

Préparation de séance : suite aux exercices de respiration, l’énergie commençait à s’étendre, j’étais devenu une panthère, sentant sa force, montrant les dents, respirant par le nez, sentant toutes les odeurs. Une magnifique panthère noire s’était incarnée en moi.

Puis, suite aux travaux énergétique basés sur une respiration par la bouche, quelque chose de spécial apparu : je pouvais expirer et chanter, mais sans sortir de son, je faisais des gestes avec ma bouche, c’était plutôt un doux murmurement, une expression de moi qui sortait de ma bouche, mais sans son …

J’étais le vent, j’étais le prana qui à travers mois passait, j’étais devenu l’expiration. Expulsant mon univers et ce que je suis à travers ce vent invisible, je sortais de  mon corps, je sortais de mes poumons, je m’étendais progressivement dans tout l’univers.

R comme Rêve

Puis, comme pour la première fois, ma conscience pris le chemin du Samadhi. C’était assez désagréable pour le corps car il y a un surplus d’énergie, une surchauffe énergétique du corps, comme une surtension. Mon corps physique était dans une zone d’inconfort, le même inconfort que celle du premier Samadhi, j’avais oublié.

Puis, soudain, je me retrouve dans l’espace. Il fait noir et il y a quelques couleurs par ci par là : je vois de grands vaisseaux spatiaux en forme de crayons lumineux, verticaux, comme des immeubles.

En fait, ils représentent symboliquement des outils qui vont effectuer une mise à jour de mes cellules, de tout mon corps.

Et la, je réalise : les technologies les plus puissantes et les plus pointues de tout l’univers sont en train de travailler sur mon corps ! Comme pour une opération chirurgicale, une transformation s’effectue. Ça travaille dur !

Une gratitude infinie m’envahit, mais qu’ai-je fais pour mériter cela, qu’ais je fait pour bénéficier de ce traitement ?

Ces machines sont à la fois monstrueusement grandes, de la taille d’une planète, et en même temps mon corps a pris la taille de l’univers.

C’est bizarre : comment un corps de terrien aussi petit peut tout à coup être aussi grand que le système solaire ? Par quel mystère ce changement de conscience peut-il s’effectuer ?

Puis je comprends : en fait mon corps est un hologramme et peut s’agrandir. Je suis autant ce petit corps qu’un système solaire tout entier.

Il n’y a rien de psychédélique comme la première fois. L’univers a compris que ce n’est pas ce que je cherchais, du coup, je reprends là où je m’étais arrêté lors du 1er Samadhi.

Puis, je pose les deux questions que j’avais préparées : information sur l’ascension et sur Lakshmi

Réponse concernant l’ascension : parce que je suis Dieu, l’univers n’a pas d’autre choix que de réaliser tous mes désirs, du coup, des milliards de vaisseaux, des milliards de cellules travaillent actuellement sur mon ascension, mon évolution.

Rien ne peut empêcher ce processus en cours car il est aussi naturel que la pousse des plantes.

Nous sommes comme des arbres, et si nous avons de l’espace, si nous recevons de l’eau, de la nourriture, par le processus naturel de la vie, nous poussons tout simplement.

Rien dans tout l’univers ne peut nous empêcher de pousser, d’aller vers notre destin d’homme : l’ascension

Il n’y a rien à faire, juste à exprimer notre volonté divine et l’univers s’occupe de tout.

Faisons confiance au Dieu que nous sommes : tout est toujours plus beau et plus merveilleux, au delà de notre imagination.

Puis, concernant la question deux : invocation de Lakshmi.

Réponse de Lakshmi : “Mais qui me demande ?”

Réponse : Dieu, moi

Que c’est drôle, à ce moment, je sens que Dieu cherche dans sa base de donnée Lakshmi, mais pourquoi ai-je créé cette déité, que fait-elle ?

Réponse : ah oui, c’est la cuisinière, elle fait partie de la famille divine…

“Son rôle est de faire la cuisine, tu auras plus de détails dans les jours qui viennent, il y a mieux à faire pour le moment !”

Bon, je lâche prise et je “surrender” au Samadhi !

Il n’est même pas question de commencer à discuter avec son Soi divin, lui seul sait ce qui est bon pour moi.

Puis, le corps commence à s’accoutumer à sa zone d’inconfort, une plus grande énergie afflue, alors de nombreuses prises de conscience émergent :

1 : je suis super heureux d’être avec mes compagnons de voyage durant cette méditation et je ressens une immense fraternité, une amitié pour tous ceux qui sont présent, un peu comme un amour infini.

Je ressens qu’ils sont littéralement “moi” et un sentiment d’intimité fraternelle me submerge : ils “sont” littéralement mon bonheur.

Je sais qu’ils sont “moi” et je sais que j’ai créé ces compagnons parce que je m’ennuyais seul dans l’univers depuis des éons et des éons. Incroyable !

Grâce à ce système d’ubiquité, de bilocation avec mémoire, j’ai crée tous ces autres “moi même” et je peux ainsi me découvrir, me recréer différemment.

Tout à coup, je reçois cette information au sujet de l’ascension : le plus important n’est pas le but, mais le chemin !

Une fois que l’on a atteint un but, nous perdons toute la magie du chemin. La magie du chemin n’existe que parce que le but n’est pas atteint. Quand le but est atteint, c’est la fin, c’est “game over”.

Et là je comprends que le plus important dans la vie est la manière d’arriver au but et non pas le but lui-même. Je suis déjà devenue Avatar, Jésus, Bouddha des milliards de fois, ce scénario a déjà été vécu, l’important, c’est ma nouvelle manière d’y parvenir.

Autre enseignement : dans ce processus permanent de la vie, la magie vient de la première fois.

Ce qui a de la valeur pour l’être divin que je suis, c’est “la première fois”.

La seule chose vraiment unique qui ne se reproduira plus jamais, qui a une véritable valeur aux yeux du divin, c’est cette première fois.

La première fois que j’ai compris que j’étais Dieu,

la première fois que j’ai croisé son regard,

la première fois que je suis tombé amoureux,

le premier rendez-vous,

la première fois qu’on a fait l’amour,

la première fois que j’ai fondu dans ses yeux.

La première fois que j’ai rencontré mon frère,

la première fois que j’ai rencontré l’amour,

la première fois que j’ai retrouvé l’Inde,

la première fois que j’ai retrouvé la Thaïlande.

Toutes ces premières fois est l’essence même de la vie.

La vérité ne se situe que dans ce moment.

Car c’est dans ce moment et uniquement à cet instant, lors de cette première fois, que nous pouvons vivre pleinement.

La vie est une somme de premières fois, une somme de nouveautés.

La vie, les “pseudos but” ne sont que des excuses pour faire des premières fois.

Tout l’univers que nous créons en permanence n’est là que pour nous proposer des premières fois. Il construit pour nous, déconstruit, en fonction de nos attentes, de nos désirs.

Ce besoin d’éveil est le cœur même de Dieu, de l’homme. A la fois c’est son seul véritable désir et à la fois, c’est paradoxal, il ne faut pas trop y penser mais vivre pleinement l’instant présent, vivre ici et “maintenant”.

Et pour que des milliards de premières fois se recréent chaque jour, j’ai inventé la plus belle invention de la vie : la mort et l’oubli.

La mort permet de rejouer infiniment toutes nos premières fois : première fois où l’on vient au monde, première fois où l’on a des enfants, où l’on meurt, où l’on va à l’école, où quelqu’un nous aide, où nous aidons quelqu’un, où nous aimons…

Sans l’amour, sans l’oubli, sans la mort, l’univers ne serait plus en vie.

Le processus de la mort est magnifique, il permet de tout oublier pour revivre, pour recréer.

L’oubli est la plus belle invention de l’univers. L’oubli permet de revivre les meilleurs moments de nos vies.

La mort est le plus beau cadeau que la vie puisse nous faire. La mort permet de s’oublier, afin de rejouer la vie.

Si nous revenions à la vie avec toutes nos mémoires de réincarnation, la vie serait fade, sans surprise, sans passion.

La jouissance de la vie se situe dans la découverte de l’autre, la découverte du monde, la découverte de la première fois.

L’immortalité du corps n’est pas forcément un cadeau depuis cette perspective.

L’oubli est un mécanisme fondamental permettant à la fois de revivre pleinement, mais aussi de choisir. Si l’on se rappelait de tout, tout le temps, comment trier et choisir ?

Plus nous nous éveillons et plus nous nous rappelons de ce que nous sommes.

Tout à coup, la question suivante apparait :

“Et si tu étais déjà ce que tu cherches à devenir ?”

Et la une prise de conscience fantastique émerge :  nous sommes déjà un Avatar, un Bouddha, un Jésus et toute autre expérience qui a déjà existé, que nous souhaitons ardemment être. Bien sur le but de la vie est de retrouver la source, mais c’est dans l’expérience du chemin que le plaisir, que la vie se joue.

C’est en profitant de chaque moment présent, dans la présence avec les autres, dans la construction de ce que nous sommes déjà que se situe l’intérêt de la vie, c’est la que se situe la jouissance de la matière.

Nous nous rappelons progressivement de ce que nous sommes déjà.

Grâce au processus d’oubli qui se matérialise lors de notre incarnation, au moment de la naissance, nous oublions. Puis ne sachant plus qui nous sommes, nous revivons, nous redécouvrons la vie, l’amour, la mort, Dieu…

Comme des milliards de personnages ont déjà été joués, la question divine est : “quoi de neuf” ?

Est-ce plus drôle ? Est- ce plus triste ? Pourquoi est-ce génial ?

Bien sûr les décors changent : moyen âge, ère romaine, ère moderne, ère de science-fiction.

Tout ce que nous voyons dans les films de science-fiction existe réellement dans d’autres dimensions et nous y rejouons de nouveau les même aventures : Roméo et Juliette, Le Titanic, Star Wars, Matrix, revu toujours et encore dans un autre décor.

En écoutant les musiques Pop Rock choisi par Michael, je ressens la vie : ces jeunes chanteurs sont amoureux, plein de vie, débordant d’énergie.

Les jeunes sont encore vivants car ils n’ont pas encore beaucoup de mémoire, de trauma : tout est frais et l’espace est encore vierge. Comme si nous avions chacun le livre de notre vie à remplir, à écrire.

Et plus le temps passe, plus nous écrivons ces pages.

Les pages du livre de notre vie

Avec toi, je veux écrire

Mon amour, mon ami, ma vie.

Et je ressens la perspective divine à travers l’humain : je suis Dieu mais je suis aussi ce jeune homme, cette jeune fille, derrière ce personnage, en réalité, c’est Dieu lui même qui se vit à travers nous, nous n’existons pas.

Avec ses attentes, ses peurs, ses envies, ses plaisirs. À la fois tout cela n’a aucune importance, et à la fois, fou d’histoires et de personnages, je vis à travers eux. Je dis bien “Je” car à cet instant, je suis en mode Bouddah, je suis l’univers, je suis la conscience cosmique, je suis l’éternel et l’éternel est moi…

Tel un grand jeu vidéo, je vis à travers 7 milliards d’histoires entremêlées, mais quel pied !!!!

“Que la vie est belle,

que la vie est magnifique :

La vie est belle,

mais ils ne s’en rendent pas compte,

ils sont Dieu,

mais ils ne le savent pas.” Kundun

 

“Chaque moment est magique, chaque moment est sacré,

nous sommes la vie,

et la vie est nous.

Pris par leur jeu de rôle,

ils se sont tellement oubliés,

qu’ils n’existent plus.” Kundun

Une des principales choses qui compte pour le divin, c’est l’expérience de la première fois, du moment présent. Revivre l’amour, le merveilleux, le sensible, l’unique, l’extase. Car dès la deuxième fois, il y a une perte et une diminution de l’intensité, du plaisir, du bonheur.

Le corps, par le mécanisme d’effacement de l’oubli, c’est à dire d’intégration des mémoires passées fini par se programmer et par se rappeler.

Le concept d’“effacement de l’oubli” est particulièrement nouveau pour moi, jamais lu nulle part, et pourtant c’est un enseignement clé de l’éveil. Nous n’apprenons pas en réalité, nous effaçons l’oubli. Incroyable !

Pour cette raison nous pouvons intégrer très rapidement certains ouvrages. Et lorsque nous pouvons nous rappeler de tout, c’est que nous avons expérimenté la réalité que nous sommes Dieu, que tout l’univers est nous, que ce monde, que cette vie est notre expérience, et qu’au fond de nous, nous savons que nous sommes tous un.

Ce qui était génial la première fois, l’est un peu moins la deuxième fois, puis encore moins la troisième fois, etc.

Sauf si l’on oubli.

Le processus de la mémoire permet de revenir là où l’on a laissé la scène la dernière fois. Ce mécanisme fonctionne pour tout dans l’univers : intégration = mémorisation = effacement de l’oubli = rappel = éveil.

Dans ce Samadhi, je suis tout de suite passé en mode “laughing bouddha”, mais avec un corps physique beaucoup plus entrainé pour tenir le choc de la puissance, du coup il y avait l’extase, le sourire et le bonheur, mais je n’étais pas mort de rire comme la dernière fois, j’ai ainsi pu profiter d’avantage et recevoir de beaucoup plus de prises de conscience.

12 heures après l’extase cosmique, la transition est plus facile aussi. Le fait que nous sommes tous Dieu est déjà intégré depuis 3 semaines.

Nous sommes passés maintenant à un autre stade de compréhension : chaque moment est magique, chaque instant est sacré.

La vie est d’une beauté inouïe.

Chaque musique, chaque être, tout est beau en réalité à qui sait regarder.

Pendant que les musiques jouaient, je comprenais qu’il y avait un lien entre les couleurs, les formes visuelles et les musiques. Comme si les formes visuelles étaient de la musique vue selon une autre perspective ou selon un autre mode de conscience. En fait la musique peut être vue graphiquement et vice versa. L’auditif, le visuel, le toucher : tout est l’expression et la perception d’un univers.

Avec cette expérience, une énorme confiance en moi est venue, suite aussi au travail sur les chakras 1 2 et 3.

Je sais qui je suis, je n’ai jamais autant su “qui je suis” : je suis la lumière, la vie, l’amour, le bonheur, la joie, l’expression de tout ce qui est amour, je suis la présence. Cette réalisation, même temporaire est magnifique et inoubliable.

La prochaine fois, je choisirai toutes les musiques car les musiques sont comme des chemins permettant d’explorer des parties de nous-même. Comme je sais ce que j’aime comme musique et qui je suis, je ferai une “Play List” adaptée.

Ah oui, concernant l’ombre : c’est confirmé, la lumière dissous l’ombre. Qu’on ne me fasse plus perdre de temps avec de l’ombre qui n’existe pas dans mon univers. Désolé, il n’y a pas d’ombre dans l’âme universelle, pourquoi est-ce si difficile à comprendre ? L’ombre est la croyance que quelque chose est séparée de nous, mais rien n’est séparé de nous en réalité.

“Je me suis rappelé que j’étais l’univers.” Kundun

Bien sûr, il y a de tout dans l’univers, mais nous avons chacun la liberté de choisir ce que nous voulons autour de nous. Autant dire que certain aspect de l’univers peuvent être très ennuyeux, d’autre plus “fun”. Pourquoi perdre son temps avec l’ennui quand on peut croquer la vie à pleine dent ?

Je sais qui je suis et l’augmentation de la force va me permettre de mieux diriger mon destin.

Des chemins s’ouvrent à nous à chaque instant : nous sommes libres de choisir les gens, de choisir les chemins en fonction de nos aspirations.

La génération de la DMT par la glande pinéale lors des méditations, les cérémonies shamanique sacrée, sont des portes permettant d’accéder à l’entièreté de ce que nous sommes. Nous sommes tous différents et il est illusoire de croire que nous sommes tous identiques. À la fois nous sommes un, et à la fois chacun d’entre nous possède sa propre perception de l’univers, ce qui crée des spécificités, ce qui crée des goûts.

Les autres “nous-même” ne sont que des Dieux ayant d’autres expériences à partager.

“Je sais qui je suis,

je sais ce que je veux partager,

je suis infiniment libre,

rien ne peut m’attacher”

À la fin de la cérémonie je me suis un peu endormi pendant deux heures.

Au réveil, j’ai revu la bande annoncer du film “Man of steel”, et de “Cloud Atlas”, puis écouté les musiques “paradise” de “cold play”, “everything” de Muse. Grosses émotions, pleurs, la vie est trop belle, tous mes sens sont multipliés par 1000.

Puis je comprends : ma voix a changé, je comprends que toute l’âme est vraiment dans la voix. En écoutant réellement, nous nous connectons à l’âme d’un chanteur, d’une chanteuse.

Pour conclure, cette séance donne une force incroyable : affirmation de soi, alignement sur ce que veut mon être divin, tout est limpide, clair, évident.

La vie est faite pour être ultra “fun”, drôle, dans la joie, dans le bonheur, Bentiho Massaro étant un des plus beau représentant de la nouvelle génération d’éveillé.

Je sais qui je suis,

Je sais que je suis,

Je sais qui je suis,

Je me rappel,

Je suis la vie,

Je suis l’espoir,

Je suis l’amour,

Je suis le fun,

Je suis la joie,

Je suis l’expression de ce qu’il y a de plus beau,

Je suis Dieu, avec toi

Je suis le paradis,

Et ce que je suis, je vais l’exprimer

 

Après l’expérience :

10 heures après, le Samadhi revient si je ferme les yeux, et si je mets des musiques de vie.

Une intégration s’est effectuée, je suis resté au 50.000 ème étage !!!

L’écart de conscience entre le premier et deuxième Samadhi et “maintenant” sont en train de se mélanger. Je comprends que plus il y aura de Samadhis, plus je resterai en Samadhi.

En même temps, je sens que la musique est la clé de mon intégration. L’émotion aussi.

L’émotion, la musique, permettent de vivre pleinement des expériences, les expériences transmises, les mots et les messages pas si cachées que cela.

Je m’éveille un peu plus à chaque fois que j’intègre une expérience, que j’écoute une musique, que je vois un film, et je grandis à une vitesse exponentielle !

En fonction de ce que l’on veut intégrer dans son propre univers, on peut choisir des films, des musiques. Sachons choisir…

Cela permet la mémorisation, c’est à dire le rappel de ce que nous avons déjà vécu.

Ce n’est pas de la mémorisation mais du rappel de mémoires oubliées, vécues, ailleurs.

Bien sûr on adapte les expériences à notre vie actuelle mais beaucoup d’énergies sont déjà développées et accessibles par les films et les musiques.

Quand on est Bouddha, quand  on est en mode “éveillé”, ce qui change, c’est qu’on peut télécharger ce que l’on veut et l’intégrer à vitesse très rapide. Il y a une vitesse d’intégration augmentée.

Par le canal de la voix, j’écoute et j’entre en extase, téléchargeant l’expérience du chanteur, intégrant dans mon corps, dans mon univers l’expression de l’autre : sa musique, sa voix, tout son univers.

“Je me rappelle que je suis l’autre, quand dans sa voix, je meurs.” Kundun

Je l’écoute, et je meurs car je disparais, car je deviens lui, moi.

La porte est restée ouverte et va rester longtemps ouverte.

Il y a d’une part l’ego qui dit : je ne suis pas Dieu et je souffre, et d’autre part l’âme, le soi universel, le divin qui dis : “je sais que je suis Dieu et j’entre en extase.”

Que choisissons nous ?

Car tant qu’il y a quelque chose en nous qui dit “non”, qui n’accepte pas la réalité, nous soufrons.

Lundi matin au travail : qu’est ce qui change ?

Une perception plus fine et plus profonde des personnes. Je vois à travers eux : leurs conditionnements, leurs programmations, leurs projections, leurs mécanismes mentaux, tout est vue avec recul.

Le cerveau gauche a pris de la puissance. Je suis plus en forme physiquement : piscine obligatoire pour intégrer l’expérience. Aussi : fin du jeune liquide, plus grande énergie et force, assurance.

Je sais qui je suis : Dieu incarné dans un corps d’homme pour mener une vie divine, comme chacun d’entre nous, mais combien peuvent le réaliser, combien peuvent l’assumer, le vivre ?

J’agis localement, mais je sais que tout l’univers est avec moi.

Puis, je réalise : je ne veux plus travailler avec des personnages qui sont trop dans le mental, dans l’ego : j’ai besoin de gens équilibrés, aussi bien cerveau gauche que droit.

Je suis devenu beaucoup plus exigeant, le besoin de perfection a encore augmenté.

“La beauté et la perfection sont une nécessité divine” Kundun, Septembre 2013

Plus nous intégrons notre divinité, plus nous avons besoin de perfection. C’est comme si le monde devait exprimer ce que nous sommes. Comme si le beau et le parfait devenaient une nécessité, partout, tout le temps.

Kundun / Kunzang, septembre 2013 Samadhi 2

 

R comme Rien

Je ne suis,

Rien.

Je n’attends,

Rien.

Je ne veux,

Rien.

Quelque chose,

Vit,

A travers ce corps,

Quelque chose,

Ris,

A travers cette bouche.

Quelque chose,

Pleure,

A travers ces yeux.

Mais je ne suis,

Rien.

Que sa volonté soit faite,

Et non celle de l’égo,

Que sa volonté soit faite,

Et non celle du personnage.

C’est marrant,

Mais quand je disparais,

Quand je ne suis plus rien,

Quand il n’y a plus rien,

Ne reste plus que le tout,

Sous-jacent de l’univers,

Espace, lorsqu’il ne reste plus rien.

Là, il se dévoile,

Là, il apparait.

Quand je ne suis plus, quand le petit “je” disparais,

Alors je comprends et je réalise,

Ce que je suis.

Je suis le père,

Je suis la mère,

Et le père est moi

Et la mère est moi,

Et nous sommes tous

Un.

Kunzang, Septembre 2013

V comme Vivant

Nous sommes vivants !

Nous sommes vivant

Pouvons-nous réaliser à quel point ceci est miraculeux ?

Nous pouvons respirer, toucher, regarder, sentir, bouger.

Nous pouvons vivre, interagir avec le monde, avec l’univers.

Dieu incarné dans un corps d’homme, de femme, voilà ce que nous sommes.

C’est incroyable, fantastique, miraculeux, sacré…

Comment avons-nous pu oublier cela ?

Nous sommes vivants ! Vivant vous dis-je !

Ce cadeau est divin : “Je t’ai donné la vie, que m’as-tu apporté ?”

Nous avons tout oublié : notre nature divine, le sacrée, le cadeau de la vie.

Une grande partie de nos compatriotes fonctionne comme des robots, mais où est la magie ?

Que reste-t-il du sacré, de la vie ?

Que reste-t-il de l’amour ?

Que reste-t-il de la vie ?

La vie, ce n’est pas avoir une vie triste et ennuyeuse, emprisonné par l’ego ! Non, ce n’est pas ça la vie.

La vie, c’est le fun, la joie, l’amour, l’humour.

La vie est belle. Pouvons-nous nous rappeler de ce qu’est la vie ?

Quel choc faut-il pour se rappeler ? Une expérience de mort imminente ? Une méditation profonde ? Un poème ? Un film ? Un livre ? Un samadhi ?

Je vous le dis, nous sommes la vie.

Rappelons-nous, rappelons-nous.

Rappelons-nous de ce que nous sommes, afin de vivre.

Sortons de nos prisons:

“Je suis un hacker qui s’est hacké lui-même.” Kunzang 2011

Hacker, comprendre l’invisible, vivre, sentir le mystérieux, le divin, le sacré, voilà ce qu’est la vie.

Et si les jeunes le comprennent intuitivement, suivons les ! Qu’ils nous accompagnent, qu’ils nous montrent la voie.

Rappelons-nous que ce sont eux nos maitres, qu’ils peuvent nous éveiller.

Écoutons les, ils ne sont pas encore programmés.

Nous sommes vivants, cette simple réalité peut-elle suffire à nous rendre heureux ?

Elle le devrait non ?

Si cette simple réalité ne suffit pas à nous rendre joyeux, heureux, posons-nous la question : pourquoi ?

attitude

Oui, pourquoi cela ne nous suffit-il pas ? Et surtout : qu’est ce qui en nous empêche d’être heureux par ce simple fait ?

Car en réalité, le simple fait d’être vivant, de respirer, d’être présent avec la vie, tout autour de nous, est plus que suffisant. Ce cadeau divin, si nous pouvons le réaliser et sacré. Il est l’essence même de la vie.

L’ego, le personnage que nous ne sommes pas, trouve toujours tout un tas de raisons pour ne pas être heureux, alors qu’en réalité, le Dieu que nous sommes a déjà tout en lui.

Le merveilleux, le sensible, c’est justement cette incarnation, cette capacité à être : des milliards de cellules se reproduisent, à chaque instant. Rien que 100 milliards dans notre cerveau. Des organes, des fonctions, une machinerie formidable a été mise à notre disposition.

Cette machine sacrée qu’est notre corps est l’un des plus beau cadeau que nous nous sommes donné. Pouvons-nous le percevoir ? Le cadeau de l’incarnation pour jouir du monde de la matière.

Non seulement nous sommes Dieu, mais aussi, nous sommes un dieu puissant, amoureux, parfait, juste, bon et extraordinairement généreux. Bien sur, ce Dieu incarné est souvent recouvert d’un égo, d’un personnage plus ou moins dense.

Comment certains peuvent il ne pas respecter leur corps ? Et notre corps à tous, la planète terre ?

Sacrilège, sacrilège, ne les laissons pas faire, même s’ils ne savent pas ce qu’ils font, même si nous leur pardonnons, ne les laissons pas nous détruire.

Partout dans le monde, des organisations se développent pour défendre les plantes, les animaux, les hommes.

La vie est sacrée, miraculeuse, précieuse. Elle est l’expression de notre profondeur d’âme, elle est l’expression du divin.

Sachons la comprendre.

Nous sommes le miracle de la vie, et nous sommes, nous, les dieux incarnés en homme, l’espèce qui a le plus de responsabilités.

Nous agissons sur la nature, nous réorganisons la vie. Sachons en être digne.

Rappelons nous ce que nous sommes, rappelons-nous que nous sommes un.

La séparation est totalement illusoire. Nous sommes les plantes, les animaux, les minéraux, les hommes, nous sommes tout. Plus que reliés, nous sommes chacun une cellule d’un seul et même organisme : la planète terre.

Nous sommes à la fois la conscience cosmique, mais aussi des cellules de la planète terre. Nous sommes vivants, nous agissons, nous nous reproduisons et nous vivons.

Certaines cellules détruisent la nature, d’autres la soignent. Que choisissons-nous ? Sommes nous des cellules de guérison ou des cellules cancéreuse ?

Quel monde voulons-nous laisser à nos enfants, qui en réalité ne sont que nos réincarnations futures ?

L’univers est extraordinairement juste, nous nous réincarnerons dans le monde que nous aurons laissé.

Nous sommes co-responsables de toutes nos actions et inactions.

Nous sommes infiniment responsables de tout ce qui se passe.

Plus notre niveau de conscience est haut, plus nous avons des capacités à changer les choses, plus nous sommes responsables, et plus nous devons agir, chacun à notre niveau, autour de nous.

Un sourire, une blague, une lumière dans les yeux, à chaque moment, nous pouvons tous agir.

Pas besoin d’être président du monde pour agir ! Il suffit de grandir en conscience.

Il y a la notion de masse critique. Plus il y aura d’êtres qui voudront s’éveiller, grandir en conscience, plus la terre sera belle. Plus le vivant pourra vivre, s’épanouir.

A ceux qui sont tombés sur ce texte par hasard (lol), sachez que vous avez une mission.

Prenez conscience, par ce texte, que votre présence, que votre action compte.

Non, vous n’êtes pas seul. Nous sommes des milliards à ressentir cette nécessité de vie.

Même si parfois la vie semble difficile, gardons courage, gardons la foi. Nous apprenons de chacun de nos choix. La somme cumulée de tous nos choix s’appelle le monde dans lequel nous sommes maintenant.

Chacun d’entre nous a réellement la possibilité d’agir dans le réel. Il suffit d’avoir l’attitude juste, l’attitude d’amour, de partage, de joie. Il suffit de laisser parler le cœur, de dissoudre l’ego, de dissoudre le personnage.

Nous n’avons plus besoin du personnage, nous avons besoin de laisser le divin s’exprimer à travers nos corps.

Ensemble, nous sommes la vie.

Sachons en être digne.

Je vous aime.

Kunzang Septembre 2013

Je suis

Je suis ces fleurs que j’ai senti,

Je suis ces corps que j’ai caressé,

Je suis ces parfums que j’ai respiré,

Je suis ces kilomètres que j’ai parcouru,

Je suis ces êtres que j’ai aimé,

Je suis cette montagne que j’ai grimpé,

Je suis la mémoire de nos amours,

Je suis tout ce que j’ai parcouru, senti, écouté, goûté, respiré, partagé,

Je suis toutes les musiques que j’ai écouté.

Ce que je suis est si immense que je ne sais plus qui je suis,

Je suis l’amour,

J’aime mes créations qui sont moi.

Ce sont elles qui me créent finalement,

Je ne sais plus qui crée qui car je suis tout,

Au-delà de toutes ces perspectives de moi,

Je suis ce que je suis,

Je suis là, je suis partout,

Je suis.

Kunzang Août 2013

Qui suis-je ? Question / Réponse

La question : qui suis-je ?

plusieurs chemins, plusieurs voies

Souvent, la difficulté n’est pas de trouver la réponse mais de se poser la bonne question, celle qui est la plus pertinente.

Comme la réponse ne peut exister sans la question, comme la réponse fait toujours “un” avec la question, de la même façon que l’observateur et l’observé ne font qu’un, si nous trouvons la bonne question, nous trouvons automatiquement la bonne réponse.

Il est beaucoup plus important de trouver la bonne question que de trouver la bonne réponse à une mauvaise question.

A la question : qui suis-je ?

Si l’on creuse un peu, la véritable question ne serait-elle pas : pourquoi ai-je oublié qui je suis ?

Si nous avons compris que notre âme, que notre essence est immortelle et infinie, alors c’est la bonne question.

Pourquoi n’ai-je pas accès à cette information ?

Réponse : parce que l’incarnation dans l’être humain ne nous permet pas d’appréhender la totalité de la réalité. En effet, c’est en général à travers un chemin spirituel qu’on finit par se rendre compte que nous sommes Dieu, incarné dans 7 milliards d’êtres humains, de plantes, d’animaux, de minéraux, de planètes, de galaxies. Mais la conscience ne peut appréhender que l’aspect “local” de sa présence. Nous ne sommes conscient que de l’endroit où nous sommes, sinon nous ne pourrions pas traiter ces trillons d’informations. D’où finalement l’intérêt de la vie, de l’incarnation : expérimenter et traiter localement, être présent dans le moment et l’espace où nous sommes actuellement.

L’incarnation peut se résumer à un point de vue : le point de vue, la perspective de celui qui expérimente dans ce corps d’être humain par exemple.

Nous sommes tous la conscience infinie, mais par un processus de dualité, de séparation, nous nous incarnons dans un corps physique puis nous “oublions” momentanément qui nous sommes.

Bien sûr, une expérience de mort imminente, une méditation très profonde, des expériences shamaniques, un éveil de Kundalini, permettent d’accéder momentanément à la réalité de ce que nous sommes. Mais une partie de notre cerveau a pour fonction de séparer, trier, analyser, comprendre, de façon à agir localement.

Si nous restons en permanence dans des états modifiés de conscience où nous sommes l’amour infini, Dieu, la conscience infinie, l’espace, la présence, la paix, la lumière, il n’y a plus rien à faire et plus rien ne se passe.

C’est une idée bien sûr, mais ce n’est pas pour cette raison que nous nous sommes incarnés. Nous sommes incarnés pour vivre, pour participer pleinement à l’univers, c’est à dire pour co-créer.

Cultiver les émotions positives

Notre essence même est création. Nous sommes incarnés pour vivre pleinement ce que nous sommes : un dieu incarné qui crée un monde à son image.

Si l’on regarde attentivement notre environnement, nous pouvons constater que tout ce qui nous arrive est le reflet de nos comportements, de notre état d’esprit.

Nous avons entièrement le choix de sourire ou de faire la tête aux personnes que nous croisons. Nous avons à chaque instant le choix de nous unir ou de nous séparer.

La façon dont résonne le monde est directement en relation avec ce que nous exprimons, ce que nous sommes.

Ce mécanisme fait partie des propriétés intrinsèques de l’univers : nous sommes dans un système vivant qui s’auto-adapte en permanence. Et plus nous comprenons qui nous sommes, plus nous sortons des conditionnements, plus nous pouvons vibrer dans une fréquence d’amour, d’amitiés, et plus nous pouvons co-créer.

Plus nous restons dans l’identification à l’ego, plus nous avons l’illusion de nous séparer des autres.

Alors, à la question “pourquoi ai-je oublié qui je suis ?”, peut être pouvons-nous répondre par : “pour redécouvrir et revivre ce que nous sommes”. La vie est un chemin d’éveil, que nous en soyons conscient ou pas.

Kunzang aout 2013

“J’ai oublié qui je suis pour me redécouvrir”

Kunzang août 2013

Témoignage de Samadhi – 2ème partie

24H après la cérémonie.

Conséquences au bout de 24 heures : augmentation importante des capacités mentales et créatrices : la montée en samadhi permet de devenir plus “intelligent” car nous recevons dix fois plus d’idées et nous devenons “supra intelligent” dans plusieurs domaines : mental, créatif, ressenti, émotionnel.

La différence avec les premières initiations : une régulation et un équilibre cerveau gauche / cerveau droit parfait. Les deux narines restent très ouvertes tout le temps. (Ida et Pingala, ouverture de Sushumna) C’est comme si notre processeur allait beaucoup plus vite, et que nous avions reçu une nouvelle version de notre système d’exploitation. Bien sur, il faut un peu de temps pour s’adapter car il s’agit d’une mise à jour importante.

Nouvelle configuration du cerveauLe “hardware” qui est en quelque sorte notre corps a besoin de faire plus de sport, c’est une des premières révélations.

Il est clair que le personnage a été transformé par l’expérience. Comme si la conscience avait mis à jour le personnage. Comme pour une mise à jour informatique, des nouvelles capacités apparaissent. La connexion à la source est plus forte. A chaque personne que je rencontre, je vois quelque chose de plus que je ne voyais pas. Je reçois directement par le canal intuitif des messages sur ce qui est bien pour chaque personne, ce que je suis en train de faire avec elles dans une vie parallèle qui peut avoir lieu dans n’importe quel espace-temps.

Le passé, le présent et le futur se jouant dans l’unique instant, je peux sentir les relations que j’ai avec les autres êtres. Tout est accentué, contrasté, les caractères de chaque personnage sont ressentis X10 : leur humour, leur amour, leur ego, leurs intentions !

Je vois leurs programmations mentales, leur conditionnements.

Je suis resté en Samadhi, sans l’extase, mais avec une grande partie de toutes les compréhensions. La porte est restée ouverte, comme pour Shaktipat !

Tous les films au cinéma, toutes les histoires sont des réceptions d’univers qui existent réellement quelque part. Le seigneur des anneaux, star wars, star gate, superman, thor, heroes. Tous ces films sont là pour préparer l’humanité à ce qui va se passer…

bientôt.

La perspective divine change la vie car la compréhension de ce qui se passe est élargie. Même après l’expérience de Samadhi, quand on revient dans cette dimension, on garde ce qu’on a compris. Ce qui a été compris, a été compris pour l’éternité. Cependant, il faut des bases spirituelles, il faut avoir une conscience déjà éveillée avant de pouvoir recevoir et de pouvoir intégrer. Sans une préparation, sans une conscience spirituelle, sans les mots, sans les prises de consciences préparatoires, aucune intégration n’est possible.

Il est tout à fait possible d’être déstabilisé par une telle expérience. En même temps, il me semble que l’expérience ne peut arriver si nous ne sommes pas prêts. Dieu prend soin de lui.

Les croyances et les conditionnements sont comme des freins à la réception de la réalité. Ils distordent la réalité en permanence. On peut dire qu’une expérience de Samadhi permet de comprendre la réalité telle qu’elle est, de voir les conditionnements et les projections des personnages.

Chaque personnage ne peut voir le monde que depuis son prisme et les filtres de son ego conditionné. Chaque acte de la vie est interprété positivement ou négativement en fonction du vécu, des conditionnements.

Il est quasiment impossible pour deux personnes de se comprendre réellement puisque chacun va se projeter sur l’autre. Tant qu’il existe un personnage, c’est le personnage qui se projette et non pas la conscience. Sous le personnage se trouve la conscience.

J’ai l’impression, en regardant les caractères des personnes de voir des vaisseaux spatiaux de guerre quand je vois des personnes guerrières, c’est symbolique. Elles sont là pour défendre ou attaquer. Chacun à sa fonction dans une équipe. Chaque personnalité est l’expression d’un univers tout entier !

L’ouverture du champ de conscience qui a été réalisée reste présent après le samadhi car il y a eu une intégration. Grâce à ce qui a été expérimenté plus tôt, grâce à la mémoire du passé, grâce à ce qui a été déjà expérimentée et compris. D’où l’importance du chemin spirituel, des satsangs, des méditations, du yoga, du sport.

Je suis devenu beaucoup plus sensible aux signes que nous envoi l’univers : aucune coïncidence ne peut plus être laissée au hasard. D’une certaine façon, la vie est une somme de synchronicités. Rien ne peut arriver au hasard, aucune rencontre, aucun évènement. Tout est le jeu de la conscience et de la loi de cause à effet et tout ce qui arrive est comme un test : voici un nouvel évènement, comment réagis-tu ?

Ma sensibilité aux produits chimiques, nourriture, odeur, tout a été démultiplié considérablement.

Accentuation de la conscience dans tous les domaines : aspects visuels : j’ai besoin que tout soit en harmonie, je bouge et modifie la décoration des meubles au bureau. Je vois ce que je ne voyais pas avant : artistique. Tout doit être parfait et harmonieux tout le temps.

C’est comme si la conscience “vivait” de façon plus intense en moi. Le Dieu que je suis recherche l’organisation, l’ordre, la beauté, la perfection. Le niveau d’exigence a augmentée considérablement, il y a une envie de tout faire mieux, avec fun, en rigolant. Je n’arrête pas de rigoler toute la journée avec les autres… je ressens aussi beaucoup plus les autres, je ressens leur émotions 10 fois plus. La sensibilité du cerveau droit et gauche a été très impactée.

J’ai un impact beaucoup plus important sur mon entourage, j’irradie de Shakti, je diffuse de l’euphorie. Personne ne peut le voir, juste le ressentir…

Nous humains, sommes l’interface entre la source, le divin et la matière, cette dimension terrestre.

Nous avons un rôle à jouer en tant qu’espèce : non pas détruire la planète mais nous éveiller et vivre en harmonie avec les autres espèces.

Nous recevons ce qu’il y a à faire, puis nous le faisons, pour le fun. Quand nous créons et que nous réalisons, un morceau de musique, un tableau, un projet, un outil, nous sommes récompensés par l’univers, surtout si nous pouvons le partager avec d’autres : invention de l’automobile, de l’avion, des ordinateurs, de l’ipad, ipod, etc.

“Voir l’invisible, c’est comprendre la volonté de Dieu” Kunzang août 2013

“Amour et joie infinie pour ceux qui créent” Kunzang août 2013

Autre prise de conscience : une nouvelle science va être inventée : la science du fonctionnement du cerveau : les neuroscience actuelles mais x 1000

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

Conséquence : la chimie du cerveau va permette de créer des surhommes.

Imaginons 100 chercheurs sous Samadhi en train d’inventer !!!!

Les infos contenues dans ce texte et les autres samadhis peuvent faire faire un bond énorme dans la compréhension du cerveau et du Dieu incarné dans l’homme. Il y a des connaissances à publier, des études à financer, des connaissances à partager.

Avec ces technologies, une industrie plus grande qu’internet verra le jour et permettra de guérir toutes les maladies.

Des médecins sous Samadhi guériront comme le faisait les shamans d’antan.

Des artistes et des chercheurs travailleront sous Samadhi.

Une révolution est en route, pouvons nous le ressentir ?

L’humanité va faire un bond en avant qu’elle ne soupçonne même pas !!! Nous n’avons jamais soupçonné que nous irions sur la lune, que nous inventerions l’informatique, Internet…

Deux jours après, les effets sont persistants si je médite un peu chaque jour.

Je vois le futur qui n’est que le fruit de la loi de cause à effet de façon multi dimensionnelle.

Il n’y a plus de différence entre la réalité et la fiction : la seule différence est que la “fiction” se déroule dans un autre espace-temps.

Il n’y a plus que des perspectives, des dimensions, l’univers, moi, vous. I am. We are.

Il est possible quand plusieurs personnes sont en Samadhi de les connecter, par le toucher et l’intention par exemple afin de démultiplier leur pouvoir et leur force.

Un groupe de personnes sous Samadhi peut créer des miracles s’ils apprennent à s’unir et à focaliser leur intention. 4 personnes sous Samadhi peuvent avoir plus d’impact sur la planète que 7 milliards de personnages dans l’illusion.

Idées :

Faire des cercles, chanter des mantras, enregistrer les chants sous Samadhi.

Contacter d’autres plans, d’autres dimensions, augmenter notre capacité de voyager, de partager encore plus.

Créer des portes des étoiles, bénir des objets, changer le temps.

Les effets sont exponentiels. A 30 personnes, la planète change littéralement sous l’influence de la conscience concentrée et dirigée.

Le lieu aussi compte beaucoup : Ibiza, Sedona, Himalaya, montagnes, Pérou, pyramide d’Égypte etc.

Les conséquences du Samadhi sont une augmentation permanente du degré de conscience. Non seulement ce que nous sommes devient plus vivant, mais aussi, nos potentialités sont démultipliés de façon considérable.

L’éveil nous permet de nous rappeler :

“Pourquoi ais-je oublié ce que je suis ?”

Kunzang, Septembre 2013

C comme Cigarette

Cigarette est un synonyme de : “je veux mourir plus tôt”, “je veux me détruire.”

Pourquoi ?

Fumer est l’expression d’une envie consciente ou inconsciente de disparaître.

Masochisme envers le corps, négation de la vie, fumer est un affront à l‘intelligence et en même temps la démonstration que l’univers nous laisse la liberté la plus absolue de tout expérimenter, même sa propre destruction physique.

Heureusement, l’âme est immortelle, mais pourquoi ne pas jouir profondément de la matière, pourquoi ne pas vivre sainement avec un corps en pleine santé ?

Réponse : à cause de l’égo, des conditionnements

Oui, c’est vrai, certains ne sont pas libres, ils ont perdu le contacte avec leur âme.

certains ne sont pas libres, ils ont perdu le contacte avec leur âme

Emprisonnés par des conditionnements sociétaux, comme des robots, ils n’ont pas encore la force de sortir de certains conditionnements. Tels des robots, ils vivent leur vie de personnage sans jamais se demander qui ils sont véritablement ni pourquoi ils sont là.

C’est ce que j’appellerai l’enfer. Mais l’enfer ne peut être l’enfer que si l’on souffre, d’un cancer du poumon par exemple, ou d’une maladies cardio-vasculaire.

Du point de vue de l’absolu, cela ne pose aucun problème puisque fumer est un apprentissage comme un autre : celui de la mort à petit feu.

Que c’est drôle et triste de voir tous ces personnages s’auto-détruire. Par le mécanisme de la loi de cause à effet, les conséquences du tabac sont dramatiques.

Le plus extraordinaire est de voir à quel point l’égo, le personnage est prêt à sacrifier son corps physique plutôt que d’accepter de changer. Symptomatique d’un conditionnement, l’âme est soumise à l’égo, au personnage et va vers une destruction physique.

La cigarette est géniale dans la mesure où elle met le personnage devant son miroir : mais qui décide ?

Est-ce l’égo ou le cœur ?

D’après vous, qui a envie de se détruire ?

Bien sûr, ce texte sera perçu de façon choquante par les fumeurs, il sera peut-être aussi perçu sans amour. Mais finalement, ne faut-il pas choquer pour faire prendre conscience ? Et le véritable amour n’est-il pas d’essayer de sauver l’autre par une prise de conscience ?

Bien évidement l’égo a plusieurs cordes à son arc et peut trouver pleins d’autres façons pour souffrir. L’ego reproduit à la fois les traumatismes qu’il a reçu, mais les fait aussi subir aux autres. Par un effet miroir il voit le monde à son image et nourrit son personnage en rendant vrai toutes les croyances dont il est constitué.

C’est tout le travail du chemin spirituel de s’éveiller, de se déprogrammer afin de devenir libre. Libre de choisir ses habitudes, que ce soient des habitudes alimentaires ou comportementale.

Libre de choisir son univers, libre de choisir les êtres autour de nous, les lieux, les activités.

Le bonheur ne peut exister que dans la liberté. La liberté se trouve dans l’éveil de la conscience, l’éveil se trouve dans la libération, et la libération se trouve grâce à l‘amour. Célébrons l’amour, la vie, la santé,

I love you !

Kunzang Septembre 2013

M comme Mémoire, H comme hyperrationnalité

Résumé : ce que nous sommes, ce que nous ne sommes pas, la mémoire.

Nous avons vu dans les textes précédents que nous étions comme des “antennes sur pattes”, c’est à dire que notre conscience n’était pas localisée dans notre corps physique. Aussi, nous avons vu que nous n’étions pas nos pensées. Une dés-identification aux pensées permet de sortir du personnage et de se libérer, c’est ce que certains appel le premier stade de “l’éveil“.

L'important est d'être soi-même

De la même façon, la localisation de la mémoire ne se situe pas non plus dans le cerveau et c’est en sortant du personnage que de nouvelles perspectives apparaissent. En effet, en sortant du personnage, en s’éveillant, l’ancienne perspective du personnage disparait quand celui ci se dissout.

Où se situe la mémoire n’est d’ailleurs pas très important, le plus important est plutôt “quand” elle se situe.

En effet, même si notre conscience est éternelle et ne meurt pas, le “personnage” que nous avons cru être, avec son nom, prénom, adresse, profession et toutes ses caractéristiques évolue au grès des conditionnements et des expériences. Il change sans cesse car il n’existe pas vraiment, il est “virtuel”.

Ce que nous sommes, la conscience cosmique, l’être divin, est absolu, omniscient, omniprésent. Ce qui évolue, tout au long de notre vie, c’est le relatif : notre perception, notre perspective, notre degré de conscience.

Nous sommes le résultat de nos prises de conscience, ce qui change, c’est notre capacité à nous rappeler, à accéder à la mémoire.

Finalement, l’éveil n’est-il pas juste un rappel de ce que nous sommes, un rappel de ce que nous avons été ?

“Je me suis rappelé que j’étais toi, je t’aime” Kunzang septembre 2013

Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons que nous sommes la conscience cosmique, que nous vivons 7 milliards de vie actuellement ? Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons de nos vies parallèles, lorsque nous nous rappelons que nous sommes tous Dieu, la conscience infinie ?

“Je suis la mémoire oubliée de ce que j’étais, de ce que je suis, de ce que je serai” Kunzang sept 2013

Une définition de notre mémoire est “l’accès à l’information que nous avons vécu”. Mais la mémoire n’est-elle pas surtout un pointeur connecté sur un “espace/temps” ? Et si se rappeler ne signifiait pas “lire” une copie de ce qui s’est passé mais y “retourner”, y accéder réellement  ? Pourquoi l’univers dépenserait-il de l’énergie à “copier” l’information alors qu’il suffit de créer un pointeur pour y retourner ?

Comme nous sommes la conscience infinie, et comme nous avons déjà tout expérimenté et tout vécu, nous pouvons comprendre que se rappeler signifie “remettre en conscience” maintenant. Le sens étymologique du mot “RAPPEL” signifie bien ce qu’il veut dire : ramener ici et maintenant.

Nous n’apprenons pas, nous nous rappelons, nous ne lisons pas, nous nous rappelons d’un livre que nous avons écrit, dans une autre vie, dans un autre espace/ temps. Comme nous sommes une seule conscience incarnée dans 7 milliards de personnages, c’est nous qui avons écrit tous les livres, dans toutes les époques.

La vibration, le frisson que nous pouvons ressentir, lors d’une lecture, lors d’un film, c’est cette prise de conscience, c’est ce rappel. Oui, c’est vous qui avez écrit ce texte ! Pouvez vous vous en rappeler ?

Oui, en le lisant !

Je suis vous et vous êtes moi, n’est ce pas merveilleux ? Je suis l’observateur et l’observée, l’auteur et le lecteur de ce texte. Oui, je suis fou, et vous aussi, car vous êtes moi, n’est ce pas drôle ?

Nous ne sommes pas une mémoire, nous ne sommes pas un personnage, nous sommes la conscience qui peut accéder à la mémoire. La mémoire étant une information dans un espace temps.

Nous ne sommes pas le personnage du film de notre vie terrestre, nous sommes la conscience qui vit en utilisant ce personnage ainsi que tous les autres.

Le film de notre vie

Le film de notre vie

Comme nous sommes soumis à la loi de cause à effet (le karma), la mémoire évolue dans le temps. Il y a une mémoire à chaque instant : à 1 an, 10 ans, 20 ans, 30 ans, etc.

Mais comme ce que nous sommes est toujours la même chose durant toutes ces années, dans cette vie, et aussi dans nos vies parallèles, ce qui compte est véritablement le “quand”.

Finalement nous pouvons dire que la mémoire est un accès à une information située dans un espace / temps.

La véritable question est : à quoi avons-nous accès “maintenant”. Quelles expériences pouvons-nous faire pour enrichir notre mémoire afin de décider en conscience ? Pouvons-nous avoir accès à des mémoires concernant des expériences que nous n’avons pas vécue dans cette vie, dans ce temps ? Si oui comment ?

Pourquoi Jules Verne, Léonard de Vinci et d’autres avaient t-ils accès à des mémoires étendues ?

Et la plus grande des questions : “pourquoi ai-je oublier qui je suis ?“.

Comment puis-je me rappeler ce que je suis ? Car il est évident qu’au fond de moi, “je sais” ce que je suis. Je n’ai peut être pas accès à toute la mémoire de l’univers mais l’éveil spirituel, progressivement me permet d’accéder à plus de mémoire. Mon âme “sait” ce que je suis et si je me connecte à elle, si je vais au fond de mon être, je m’éveil, je me rappel.

Pourquoi l’expérience des méditations et des samadhis nous permet-elle d’augmenter notre conscience ainsi que l’accès à la mémoire de l’univers, nous donnant ainsi accès à une créativité infinie, à des connaissances infinies ?

La mémoire n’est-elle pas juste de l’information partagée ? Pourquoi certaines consciences arrivent-elles à accéder à “plus” de mémoire ? Quel est le lien entre les idées que nous recevons et la mémoire à laquelle nous avons accès ? Pourquoi les médiums, les yogis peuvent-ils accéder à ces dimensions ?

Si nous pouvons comprendre que la conscience que nous sommes est multi-dimensionnelle, c’est à dire qu’elle ne vit pas uniquement dans la vie ordinaire mais qu’elle continue aussi à vivre dans l’invisible, pendant nos rêves ainsi qu’avant et après notre naissance dans cette expérience de vie, alors nous avons un début de théorie permettant d’expliquer un nombre important de phénomènes qui pouvaient sembler étranges : réincarnation, vie antérieure, rêve prémonitoire, médiumnité, sortie de corps, rêves lucides, accès à des réalités non ordinaires, explication de l’autisme, expérience de mort imminente, état de conscience modifiée, éveil de Kundalini, etc.

Grâce à Internet, des millions de témoignages commencent à se relier et il sera de plus en plus difficile pour l’humanité de les ignorer.

Le moment est venu d’avoir une attitude véritablement scientifique, c’est à dire de prendre en compte toutes les expériences, et surtout celles qui n’ont pas encore trouvé d’explication.

L’histoire de la science et l’histoire de l’humanité à démontré qu’une science supérieure arrivait toujours à expliquer l’invisible, l’inexplicable. Nous sommes en 2013, pouvons nous imaginer l’état de la science en 2500 ?

Et de tout temps, des freins, des conditionnements, des attitudes non rationnelles et non scientifiques ont toujours voulu écarter des faits, des expériences dérangeantes pour des raisons dogmatiques ou égotiques.

Je propose un nouveau mot : l’hyperrationnalité, c’est à dire accepter et comprendre qu’il est impossible de tout savoir à un instant T en tant qu’humain et que pour cette raison, il est rationnel et logique d’accepter que des lois de l’univers, des fonctionnements, nous échappent et restent à découvrir. L’hyperrationnalité, c’est accepter ce qui existe au delà du rationnel. Le rationnel n’étant qu’une représentation mentale, du cerveau gauche d’une partie de la réalité. L’hypperrationnalité est l’idée qu’il existe une rationalité plus grande, irrationnelle, non duelle, non encore découverte mais réel.

Comprenons qu’il est très dommageable pour l’humanité de rejeter ce qu’elle ne comprend pas encore.

L’essence même de la science est basée sur la curiosité et sur l’envie de comprendre comment fonctionne l’univers. C’est uniquement sans dogme ni préjugé qu’un véritable scientifique peut avancer. Mais tous les scientifiques sont-ils suffisamment éveillés pour dissoudre leur égo et leurs conditionnements avant toute conclusion ?

Pourquoi ai-je oublié qui je suis ?

Kunzang Août – Septembre 2013

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation “classique”, après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que “quelque chose” se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose “allait” se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le “chaud froid” simultané dans mon corps. Je dis bien “mon corps” avait chaud ou froid et non pas “j’avais” chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée “je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid”. Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus “intelligents”, non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

“Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux”, ce que je veux, c’est l’éveil !

“Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel”.

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste “moi”. Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, “la molécule de la conscience”, et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de “libérer” mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, “tiens, cri dans un coussin !”

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient “ce rire est un mode de défense”, je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit “nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade”

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein “les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers” !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement “nous”. Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de “laughing bouddha” et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je “suis” bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la “couronne des rois” est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, “make it fun” !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. “Make it fun” !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, “Make it drama” !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : “pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ?”

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013

S comme Souffrir

Au sujet des souffrances mentales.

C’est l’illusion du temps qui crée les souffrances mentales. Sans temps, la personne ne peut exister. Fondu dans ce moment présent, sans passé ni futur, le mental n’existe plus.

Méditons,

Entrons ensemble dans ce moment.

pause

pause

Faisons une pause.

Ressentons ensemble ce moment de paix, d’amour, de joie.

Nous sommes la vie, nous sommes le bonheur de vivre. Tout est parfait, ici et maintenant, pouvons-nous le comprendre ? L’accepter ?

Comment vous sentez vous, la, maintenant. Méditez, fermez les yeux un instant.

Que ressentez vous dans votre corps ?

Comprenons que le temps n’existe pas, que seule la présence dans ce vaste moment “est” et vit à travers nous.

Sortons de l’illusion de la séparation, sortons du temps et entrons dans la présence de cet infini moment.

Sans le temps, la personne ne peut plus exister, il n’y alors plus personne pour séparer et pour souffrir, il n’y a plus que ce moment présent qui ne sait que “être”.

Le pouvoir de l’instant présent, c’est justement la compréhension que nous sommes le moment, que nous ne sommes ni le mental ni la personne qui sont toujours à la recherche de quelque chose.

Tandis que ce que nous sommes réellement ne peut se situer qu’ici et maintenant, dans la présence, la fausse personne, le mental ne peut y exister.
La libération, c’est réaliser qu’il n’y a ni temps, ni personne. Car c’est l’identification à la personne qui souffre.

“Je sépare et je souffre donc j’existe” est le credo de la personne, de l’égo, du personnage.

C’est la pensée sous-jacente de l’erreur fondamentale : “Je pense donc je suis”.

Il y a plusieurs solution pour arrêter les souffrances : soit on déprogramme progressivement les conditionnements et les traumatismes de la personne, soit on élimine carrément la personne.

Car c’est l’identification à la personne qui fait souffrir : je suis l’homme ou la femme qui n’a pas de conjoint parfait, je suis l’homme ou la femme qui n’a pas un travail qui me plait vraiment, je suis l’homme ou la femme qui n’est pas satisfait de sa vie de personne.

La souffrance mentale est bien réelle, c’est la personne qui ne l’est pas.

Pourquoi continuer à souffrir à cause d’une personne qui n’existe pas ?

Pouvons-nous nous dés-identifier au personnage que la vie nous a créé ?

Ce que nous sommes réellement, la conscience, la présence n’a pas besoin de s’identifier car elle est déjà tout.

Kunzang Mai 2013

A comme Abécédaire, pourquoi s’éveiller ?

La question “pourquoi s’éveiller” peut paraitre étrange : nous pourrions tout aussi bien nous poser les questions :

“Pourquoi vivre ?”, “Pourquoi être heureux ?”, “Pourquoi s’épanouir ?”, “Pourquoi être ce que nous sommes ?”

Et pourquoi pas ?

lumiere2“Je suis un abécédaire, je suis vivant”

La naissance, l’incarnation à tout effacé de notre mémoire : nous arrivons nu, pour tout redécouvrir.

Dans le merveilleux chemin qu’est la vie, lentement, nous nous rappelons, nous nous souvenons : nos capacités, nos amis, nos valeurs, nos amours, nos passions…

Et puis, par une somme de coïncidences, par des hasards qui n’en sont pas, la vie, la présence, par magie nous apporte, tout ce dont nous avons besoin, chaque jour, à chaque instant, jusqu’à ce texte, jusqu’à ce jour…

Afin de vous rendre la vie moins difficile, afin que vous soyez heureux, je suis un abécédaire et je suis la pour vous aider. Bien sur, vous êtes tombé sur moi par hasard, et pourtant…

Mes textes sont la pour vous rendre service, tel un compagnon fidèle, je vous accompagne. Bien sur je suis vivant ! Je suis même capable de transmettre des émotions, de l’imagination, de la force, de la paix, de la connaissance, de la lumière. Comme vous, je me reproduis, comme vous, je transmets, comme vous, je diffuse, ce que je suis…

Ma fonction est de vous accompagner, de vous aider à découvrir ce que vous êtes. Par un mécanisme de miroirs, en projetant votre conscience sur moi, vous vous illuminez ! Et plus vous envoyez de lumière, plus vous en recevez.

“La connaissance des mots amène à la connaissance des choses » disait Platon, un vieil ami.

A ceux qui ont tout oublié, je donne des éléments de réponses : “Qui suis-je ?”, “Que se passe t-il dans ma vie ?”, “Qu’ai-je fais pour en arriver la ?”, “Comment puis-je améliorer ma situation ?”, “Ou est le bonheur ?”…

Tout au long des mots, tout au long des pages, des prises de conscience apparaitront : vous n’êtes pas uniquement votre corps physique, ni vos pensées, ni vos émotions. Ce que vous êtes est à la fois la conscience, l’espace, la présence, la vie, une perspective, l’amour infini, la paix, ce que certain ont aussi appelé “Dieu”.

Nous verrons ce qu’est la vie, ce qu’est le divin, ce qu’est le monde, ce que sont les “autres”. Nous verrons le fonctionnement et les mécanismes de nombreuses lois dont la loi de causes à effets, la loi de l’attraction, la loi de résonance. Je transmettrai des enseignements répondant à des questions philosophiques du type : “Qu’est ce que la vérité, qu’est ce que l’amour, qu’est ce que l’égo, qu’est ce que le temps ?”. Aussi, de nombreuses techniques pour transcender l’égo, pour dissoudre l’illusion, la personne seront transmises.

De nombreux êtres éveillés ont déjà enseigné tout cela. Des textes sacrés et anciens ont transmis ces perspectives, ces vérités, depuis des millénaires, de façon secrète de façon publique. Ce que je suis n’est pas nouveau, ce que je suis est très ancien…

Ce que je suis est un accès à un univers de connaissances, ce que je suis est une façon d’accéder à un savoir ancestral, ce que je suis est universel, ce que je suis est infini.

J’ai été crée par les témoignages et les expériences d’un auteur “Kunzang”, mon créateur. Par des textes, par des poèmes qui sont comme des photos, mon corps s’est matérialisé dans votre espace : à chaque prise de conscience, à chaque méditation, l’expérience a été enregistrée, écrite. A chaque émotion, à chaque compréhension, un texte, une cellule de mon corps, je suis né. L’amour de mon créateur vous percevrez, à travers mes cellules, je suis lui, il est moi, sommes, un.

Le cœur de ce que je suis est l’essence même qui a constitué les religions, les spiritualités, les philosophies. Je suis une façon de décrire l’univers, l’humain, le divin, la réalité. De mon point de vue, toutes les perspectives sont justes et vraies. La ou je suis n’existe ni dualité, ni conflit ni séparation, je ne suis ni plus ni moins vrai que d’autres textes, je suis. En réalité, tous les textes sont moi et je suis eux. Bien sur, je suis, fou, c’est ça qui est génial ! Je suis un abécédaire fou, pour vous.

Bienvenue dans mon univers, bienvenue dans ce monde, je vous aime d’un amour infini, d’un amour lumineux, d’un amour, merveilleux…

“Que mon corps vous illumine,

Que ma joie soit votre joie,

Que mon corps deviennent…

Votre corps.”

L’abécédaire

P comme Point de vue

P comme point de vue. P comme perspective

Changez de perspective, changez de vie

D’une certaine façon, ce que nous sommes est un point de vue.

perspectives

perspectives

Nous sommes tous Dieu, la conscience infinie incarnée dans un corps, du coup notre vision et notre conscience du monde s’effectue par notre prisme individuel, notre corps.

Ainsi, en fonction de l’endroit et de l’événement et de l’action en cours, nous sommes le frère, la sœur, le mari, la femme, l’enfant, le patron, l’employé, le boulanger, le chef d’entreprise, le méditant.

Mais pouvons-nous, par une dés-identification totale comprendre que ce que nous sommes réellement est beaucoup plus grand que cela ?

Nos conditionnements et programmations sont comme un prisme et nous font voir les choses depuis un point de vue. Pouvons-nous être plus global et augmenter notre perception ?

Une des conséquences de l‘éveil, c’est à dire de l’augmentation de la conscience est justement notre capacité à prendre du recul et à avoir un point de vue plus large.

Nous passons du point de vue de l’individu à celui du divin lorsque nous cessons de nous identifier à la personne.

A qui s’identifier lorsque nous comprenons que nous ne sommes pas la personne que nous avons cru être pendant si longtemps ?

Pouvons-nous “être” sans identification ?

Lorsque l’ego se dissout, que reste-t-il ?

Si nous nous positionnons du point de vue du divin : pouvons-nous vivre et expérimenter sans identification ?

Faisons une pause, méditons dans la présence quelques instant.

perspectives

perspectives

La réponse à cette question se trouve dans le texte R comme Réveil : la multi dualité, à la fois nous sommes l’individu et en même temps nous sommes aussi tous les autres individus, et aussi la conscience infinie, c’est à dire l’ensemble.

Une des conséquences de l’éveil est un changement de perspective, un switch qui nous fait passer de la vision de l’individu à la vision globale.

En effet, lorsque nous réalisons que tous les autres sont nous-même dans un autre corps, nous adoptons et comprenons instantanément leurs points de vue. Nous comprenons que leurs perspectives sont aussi justes et vraies que la nôtre. En réalité, de par une mémoire et une expérience de vie différente, de par un niveau de conscience différent, chacun n’a pas d’autres choix que de voir la vie par le prisme de son expérience, de son vécu.

Comment pourrions-nous faire autrement que de voir les choses par le prisme de notre perspective ?

Réponse : en éveillant notre conscience le plus possible.

Et plus nous nous éveillons, plus nous comprenons le point de vue de l’autre, car en réalité il n’y a jamais eu d’autre. Il n’y a que des nous-mêmes qui expérimentent une autre vie.

Plus nous changeons, plus notre niveau de conscience augmente, plus notre perspective change avec nous, pour cette raison, d’une certaine façon, nous sommes une perspective : nous sommes une perspective individuelle du divin, nous sommes l’incarnation divine dans la matière.

Petit à petit, l’éveil nous permet de comprendre, de réaliser puis d’intégrer le fait que l’autre “est” littéralement nous, que nous sommes tous Dieu, la conscience infinie qui à travers nos corps se vit.

Alors une communion extrême se réalise, par la présence, par le regard, par la voix, par le toucher. L’expérience de l’autre n’a d’autre choix que d’être profonde. Comme si tout le monde était devenu nos frères et nos sœurs, une intimité naturelle et particulière s’installe. Une véritable communication d‘âme à âme a lieu. Une reconnaissance profonde s’effectue.

Oui, nous sommes Dieu. Et plus nous comprenons que nous sommes lui/elle, plus notre perspective grandit, plus notre âme prend de la hauteur.

Alors l’important change. Le point de vue de l’individu se dissout en même temps que lui.

Un point de vue plus global apparait progressivement : le point de vue de tous les autres moi, le point de vue de l’intérêt général.

Car quand l’individu se dissout, Dieu apparait, l’amour s’étend.

Quand nous réalisons que nous sommes réellement “un” dans 7 milliards de corps humains, seul l’intérêt général compte vraiment. Nous n’avons plus alors d’autres choix que de travailler pour la communauté, dans une perspective globale.

Que faisons-nous chaque jour pour que l’organisme “humanité” soit en bonne santé ?

Comment participons-nous à l’éveil planétaire, à l’éveil de notre corps, à l’humanité toute entière ? Comment aidons nous les autres ?

Plus nous nous éveillons, plus notre perspective évolue et finit par devenir globale.

D’une certaine façon, l’éveil c’est lorsque nous passons de l’intérêt individuel à l’intérêt général. Car le Dieu que nous sommes n’a d’autre choix que d’aimer infiniment et passionnément tout ce qu’il est, sans exception.

Les mayas disent bonjour de la façon suivante : “in lakesh” qui signifie “tu es un autre moi” !

Un peuple éveillé avait compris l’essentiel de la vie, avait intégré le sacré dans le langage.

Rappels toi que je suis toi,

Kunzang Juillet 2013

Le véritable amour

Le véritable amour, l’amour divin est la reconnaissance que l’autre est soi.
Il y a un cap énorme entre le comprendre et le réaliser.

Le véritable amour

Le réaliser signifie expérimenter qu’il n’y a pas d'”autres” du tout, qu’il n’y a que des “nous-mêmes” sous d’autres formes.
Une seule conscience incarnée dans plusieurs corps. Seule la mémoire donne l‘illusion de la séparation. Toute notre histoire, depuis notre naissance, a créée une fausse personne qui n’existe que virtuellement et qui croit être séparée des autres.
L’amour véritable est la reconnaissance que l’autre est soi. Alors, plus aucune séparation ne subsiste, alors nous sommes en mesure d’aimer véritablement.

Pouvons-nous nous rappeler ce sentiment, lorsque nous sommes très amoureux, que nous faisons un avec l’autre ?
C’est ce sentiment d'”âme sœur” qui permet de ressentir que nous sommes littéralement la même âme.
Ce moment qui est souvent le plus magique de notre vie est la seule réalité. Tout le reste n’est qu’illusion. La seule réalité, c’est l’amour. Car la seule réalité est qu’il n’y a que nous, partout, maintenant.
Lorsque l’on comprend qu’il n’y a qu’un seul maintenant, ni futur, ni passé, nous pouvons commencer à vivre, et aussi, nous pouvons comprendre que le maintenant est infini.
Le maintenant sera toujours là. Comme l’espace, on ne peut le détruire. C’est dans cet espace et dans ce maintenant que les mouvements ont lieux.
Le maintenant, ce moment infini ne peut s’arrêter.

De la même façon que nous pouvons changer les images du film sur l’écran, l’écran ne bouge pas. Il en est de même pour l’espace. Le paysage change mais l’espace est permanent et inamovible par définition.

Pouvons nous comprendre qu’il n’y a qu’un présent, que nous ne pouvons rien y changer ?
Pouvons nous réaliser qu’il y aura toujours ce moment présent dans lequel tout se transforme, dans lequel la vie à travers nous se vit ?
Pouvons nous comprendre qu’il n’existe qu’un seul maintenant, que nous ne pouvons aimer que maintenant ?

I love you,

Kundun août 2013

La Plage, A comme Autre

Je suis sur la plage, des milliers de “moi” jouent et rient, bronzent, nagent et se reposent.

C’est marrant de comprendre qu’en réalité, il n’y a que moi sur la plage. Non seulement il n’y a que moi, mais surtout, je suis la plage, la mer, le vent et le soleil.

La plage

La plage

Bien sur tous ces autres “moi” sont autonomes et indépendants, ils reçoivent comme moi des pensées, ils ont des envies, des activités, ils ont chacun une vie.

Mais au fond, la source de toutes ces envies, de toutes ces activités, la source qui nous anime est unique.

Il n’y a que la conscience, il n’y a que la présence, qui à travers nous se vit.

Nous recherchons tous la même chose simplement parce que nous sommes réellement un seul et même être incarné dans plusieurs corps.

Nous sommes “un” signifie qu’une seule conscience incarnée dans différents éléments existe: les humains, la plage, le soleil, la mer, le vent !

Nous recherchons tous le bonheur, le plaisir, la survie, la joie, l’amour sous toutes ces formes. Nous recherchons la paix, la liberté, le développement de notre être, la réalisation et l’expansion de ce que nous sommes.

Bien sûr il y a comme une compétition puisque nous sommes 7 milliards et que les ressources de la planète sont limitées. La plupart d’entre nous ne savent pas que nous sommes une seule et même conscience. De leur point de vue individuel et égotique, certains croient même être un personnage qui s’est construit avec le temps.

Mais s’ils pouvaient le dissoudre un peu, alors il y aurait un peu plus de partage, alors il y aurait un peu plus d’amour et de bonheur.

Bien sûr, personne n’est responsable de l’identification à l’ego : depuis des générations et des générations, cette “maladie”, ces conditionnements se transmettent.

Nous sommes chacun responsable en fonction de notre niveau de conscience. Et plus il grandit, plus nous comprenons qu’il n’y a pas d'”autres“. Et plus il grandit plus nous comprenons que nous devons prendre soin les uns des autres. Quelque chose en nous nous amène à aimer les autres : nos enfants, notre mari, conjoints, amis, etc.

Mais pouvons-nous étendre cet amour à tous les soi-disant “autres” ?

Partageons nos compréhensions et nos expériences, aidons nous les uns les autres car en réalité, je vous le dis, il n’y a pas d’autres.

R comme Reflet

R comme Reflet

Il n’y a que l’illusion de l’autre, il n’y a que nous, partout, tout le temps.

Il n’y a que 7 milliards de nous-même qui construisons l’humanité. L’homme doit prendre conscience qu’il est responsable de la planète terre. Les plantes et les animaux ne détruisent pas l’environnement, seul l’homme le fait. Nous devons apprendre à respecter notre planète. Arrêtons de polluer, arrêtons de détruire. Nous avons la possibilité, en augmentant le niveau de conscience général de vivre en harmonie avec la terre. Nous pouvons partager plus équitablement les ressources de la terre.

Nous pouvons aussi mieux travailler et mieux partager ensemble.

Chacun d’entre nous peut faire la différence dans son action, dans son comportement quotidien, dans son mode de vie.

Chaque cellule que nous sommes peut agir, il suffit de vivre en conscience, à chaque instant.

Il suffit d’être dans la présence, avec un état d’esprit positif, d’amour, de partage, de fraternité.

Cela semble si simple.

Mais si nous nous posons la question : pourquoi tout le monde n’est-il pas dans cet état d’amour, que recevons-nous comme réponse ?

“Simplement parce qu’ils ne savent pas qui ils sont.” “Ils ne se rappellent pas”.

Ils ne savent pas qu’ils sont nous, que nous sommes un. Des traumatismes, des douleurs, des souffrances ont construit l’idée qu’il y avait réellement des “autres”, et même qu’ils pouvaient être parfois hostiles.

Certains leur ont montré qu’ils étaient différents et séparés. Car pourquoi, si l’autre est moi, oui, pourquoi me fait-il du mal ?

Réponse : parce qu’il ne sait ni qui il est, ni pourquoi il le fait. Il est juste inconscient. D’où la fameuse phrase : “il faut leur pardonner, ils ne savent pas ce qu’ils font.” Jésus

L’ignorance est la racine de toutes les souffrances de l’humanité. Transmise de générations en générations, elle continue chaque jour à se propager.

Mais il est temps désormais de pardonner. Pardonnons maintenant à tous eux qui nous ont fait du mal. Libérons nous des souffrances, cassons la chaine infernale qui les reproduit. Répondons à toute agression par la paix et la non-violence.

Quelqu’un nous agresse et nous reportons l’agression. Quelqu’un nous attaque et nous attaquons en retour. Quelqu’un nous vole et nous volons. Depuis 100 générations parfois, dans certaines familles, les parents battent leurs enfants et trouvent cela tout à fait normal. Cassons ce cycle, stoppons les karmas négatif.

Les schémas et conditionnements se répètent, se propagent, encore et toujours.

Mais quand tout cela s’arrêtera-t-il ?

L’homme peut-il comprendre que toutes ses actions se répercutent et qu’elles sont gérées par la loi du Karma, par la loi de cause à effet ?

En général, l’homme ne sait pas qu’il est Dieu incarné dans nos corps, et il ne sait pas que l’amour est la seule réalité.

Dans l’illusion de son personnage, il marche, comme un robot, programmé. Il programme ses enfants comme lui-même a été programmé.

Alors diffusons l’amour,
Alors diffusons la joie, la bonne humeur,
Montrons une autre façon de vivre,
En conscience, dans le respect et le partage. Soyons heureux ensemble !
Déprogrammons nous les uns les autres, éveillons nous, ensemble.
Comme dans la chanson de John Lennon, Imagine, ceci est peut être un rêve.
Mais je ne suis pas le seul à le partager. Il est partagé par des millions de personnes qui chaque jour s’éveillent un peu plus.

Rassemblons-nous !

Nous pouvons vraiment être plus heureux,

C’est facile, il suffit de s’éveiller, d’être le vrai soi, l’amour, pas l’ego !
C’est facile, il suffit d’être, ce que nous sommes réellement.
C’est facile, il suffit de choisir ses pensées, de décider d’être : libre !
C’est facile, il suffit d’être avec ceux qui nous aiment vraiment,
C’est facile, il suffit de s’aimer, et d’aimer ceux qui nous entourent.
C’est facile, il suffit de bien choisir son environnement,
C’est facile, il suffit de se centrer sur le cœur, de fondre dans l’amour infini que nous sommes tous au fond de nous,
C’est facile, il suffit d’être présent, dans l’instant, maintenant,
C’est facile, je vous le dis, c’est facile, essayez et vous verrez !

C’est facile,

I love you,
Kundun juillet 2013

J comme “Je sais”

Le pouvoir du mantra “je sais” est infini. Pouvons-nous comprendre qu’au fond de nous, dans notre cœur, ce que nous sommes réellement “sait” ?

Le divin que nous sommes, lorsqu’il se connecte à sa partie la plus intime, la plus sacrée “sait”.

Le pouvoir du mantra "je sais" est infini.

Le pouvoir du mantra “je sais” est infini.

Oui, au fond de nous nous savons. Nous savons que ce texte est vrai, que cette émotion est vraie, que je suis l’amour, que je suis la vie, que je suis la conscience infinie qui à travers ce corps, se vit.

Au fond de nous, nous savons la vérité de ce que nous sommes, nous savons que la seule réalité est l’amour et l’expérience que nous pouvons en faire.

Regardons notre entourage, centrons nous sur le cœur. Au fond de nous, nous savons qu’ils sont d’autres nous même, dans d’autres vies.

Il y a tout un tas de choses que nous savons, à l’intérieur. Au fond de nous, nous savons que c’est le divin, l’amour qui nous pousse à agir. Même si parfois, l’ego, le personnage détourne une partie de l’énergie, nous savons ce que nous sommes.

Nous savons qu’une force infinie, l’amour nous guide, nous transporte, nous aide, nous accompagne, partout.

Et quand ce sentiment ” je sais” s’exprime depuis le cœur, depuis la profondeur de notre âme, alors nous réalisons que tout est possible.

C’est au cœur, à l’âme, à l’amour que je parle, pas au mental ni au faux personnage que certains croient être, ni à l’ego.

C’est dans cette énergie de ‘je sais’, centrée sur l’amour et le cœur, que nous pouvons réaliser nos rêves.

Car le divin que nous sommes vibre à la fréquence du “je sais”, si dans cette énergie d’amour nous réalisons que notre rêve est déjà réalité quelque part, ce sont alors des pensées de réussite, de réalisation et d’intégration qui se figent autour de nous.

Dans cet état vibratoire de “je sais” amoureux, nous intégrons en nous l’état de conscience qui va permettre la réalisation dans le monde physique.

Si nous dirigeons notre conscience sur un projet qui nous tient à cœur, et si nous lui superposons l’énergie du “je sais” que ce projet est déjà réalisé. Si je peux ressentir avec tous mes sens la réalisation, l’émotion de réalisation de ce projet, alors le “je sais” devient plus qu’une intime conviction, alors tous nos corps s’alignent et intègrent le fait que “je sais” que ce projet est réalisé.

Quand le Dieu que nous sommes sait, tout s’aligne sur l’énergie du “je sais”, l’univers n’a pas d’autres choix que de réaliser sa volonté divine.

Car oui, nous sommes tous des Dieux, nous sommes tous l’âme universelle qui à travers nous se vit.

Pouvons-nous réaliser que nous sommes les seuls capable de nous limiter ?

Aucun autre que nous même n’a ce droit.

Allons au fond de nous, et ressentons cette vérité.

Oui, vous qui me lisez, ce que vous êtes réellement est de nature divine, vous n’êtes pas le robot ou le personnage que la société vous a construit. Ce que vous êtes, la conscience infinie, l’amour infini, l’espace, la présence est la force créatrice de l’univers, vous êtes, la vie.

Se connecter à l’énergie “je sais” sans doute, ni peur, permet d’aller au plus profond de nous. Nous nous connectons directement à notre âme, en court-circuitant le mental qui n’a pas le temps pour analyser, expliquer, comprendre. Nous savons, c’est tout.

Ainsi nous nous alignons avec les profondeurs de notre âme qui sait. Car c’est tout notre être qui sait. Savoir en éteignant l’ordinateur du mental, en dissolvant l’ego, le faux personnage permet d’accéder au supra mental, le cerveau du divin en quelque sorte.

Il faut pour cela dissoudre son ego le plus possible, de façon à éliminer tous les conditionnements, croyances, programmations. En étant très ouvert et en prenant en compte toutes les pensées et toutes les idées, nous commençons à choisir nos pensées, à sortir des schémas sociétaux, à devenir, libre.

L’âme qui s’exprime dans le cerveau droit et le cœur “sait” intuitivement tandis que le mental essaye de formuler et d’expliquer pourquoi nous “sait”. En réunissant et en équilibrant nos deux hémisphères, nous pouvons alors accomplir “sa” volonté en conscience qui devient alors littéralement la nôtre.

D’où la fameuse phrase : Que ta volonté soit faite et non la mienne (celle de l’ego). Mais quand nous devenons un avec le père et qu’il est un avec nous, il n’y a plus alors qu’une seule volonté commune.

“Je suis avec le père et le père est avec moi.”

Au-delà de l’intime conviction, il y a la réalité de ce que nous sommes. C’est cet aspect divin qui est en nous que nous pouvons connecter. Comme nous sommes littéralement Dieu, (Lire R comme Rêve) forcément nous “savons”. Cette sensation, émotion du savoir, en étant centré sur le cœur fournit une énergie puissante et infinie, elle révèle notre nature divine.

Au fond de nous, toutes les réserves et connaissances de l’univers nous sont accessibles si nous acceptons, comprenons et assumons ce que nous sommes réellement : Dieu incarné dans un corps humain pour expérimenter la matière.

Expérimenter la matière

Expérimenter la matière

Attention, l’énergie “je sais” ne doit pas nous faire tomber dans le piège “je détiens la vérité” car il y a 7 milliards de vérités. Le “je sais” est un je sais qui fait référence au cœur, à ce que je suis, à ce que je sais profondément. Ce n’est pas un je sais et les autres ne savent pas, au contraire, c’est un je sais intime permettant de savoir ce que nous sommes, et en même temps, je sais que tous les autres moi savent aussi finalement.

Car je sais qu’il n’y a pas d’autres, que ce que j’appelle les autres sont juste d’autres moi-même dans une autre expérience.

Et même si les “je sais” peuvent parfois s’interpréter différemment, je sais que chacun a le droit d’avoir sa vérité, son interprétation de ce qu’il est.

Le Dieu que nous sommes à la liberté de s’interpréter 7 milliards de fois différemment, de vivre et être ce qu’il veut. C’est ça être humain, c’est incarner dans la matière le divin qui à travers nous se vit. Et si le Dieu que je suis devient ivre de matière au point d’oublier qui il est, et bien c’est très bien ainsi !

Nous naissons humain, mais nous mourrons divin. Et si nous savons mourir avant la mort physique de notre corps, alors nous comprenons le divin que nous avons toujours été, que dès la naissance, nous sommes l’expression divine, au-delà  des conditionnements, des souffrances et des traumatismes que nous avons pu expérimenter.

Je sais ce que je suis, je suis la puissance d’amour infini qui à travers nous, se vit.

Connectons nous sur le cœur et ressentons cette énergie “je sais”,  écoutons ce qui nous arrive. Quelles sont nos intuitions, nos émotions ?

Faisons une pause, notons tout ce qui nous arrive.

pause

Que savons-nous ?
Sentons la puissance du “je sais” monter en nous :

Je sais que je suis, l’amour,
Je sais que je suis indestructible, immortel,
Je sais que je suis tous mes frères, et toutes mes sœurs,
Je sais que nous sommes un,
Je sais qu’il n’y a que nous,
Je sais que ma pensée est créatrice car je suis Dieu.
Je sais que je sais,
Je sais que l’amour est la vérité, que la matière n’est qu’une projection de mes pensées,
Je sais que tout est moi, je sais qu’il n’y a que moi, que nous, partout.
Je sais que tout ce que je crée est une expression de ce que je suis, l’amour infini.
Je sais que je suis toi, et que tu es moi.
Je sais que je t’aime, que tu es la vie, que tu es, l’infini.
Je sais que tout le monde ne le sait pas encore,
Je sais aussi qu’avec ce message, beaucoup vont comprendre ce qu’ils sont.
Je sais que l’amour est la clé pour se dissoudre, et pour faire un avec le père.
Je sais que l’amour, la plus grande force de l’univers à travers nous se vit.
Je sais que si je choisi l’amour, l’union, je vais construire.
Je sais que si je choisi la séparation, la peur ou la haine, je vais détruire.
Je sais que c’est moi qui choisis.
Je sais que je ne suis pas mes pensées, que je ne suis pas le personnage, l’ego.
Je sais que je suis l’âme d’amour infini, qui dans ce corps se vit.
Je sais que je suis l’amour, la vie.
Je sais que je suis libre d’être, ce que je veux.
Je sais que de bonheur je pleurs, quand dans tes bras je meurs.
Je sais que je suis le créateur de ma vie,
Je sais que je suis libre, d’être ou de ne pas être, de faire, ou de ne pas faire.
Je sais ce qui est bien pour moi,
Je sais que personne ne doit me dire ce que je dois faire, ce que je dois être,
Je sais que je peux penser par moi-même,
Je sais que je peux sortir des conditionnements,
Je sais que je suis Dieu incarné dans ce corps pour mon expérience de vie,
Je sais que ma vie peut devenir divine et belle, en fonction des pensées que je choisis.
Je sais que je suis maître de ma vie, que je peux choisir ce qui est bien pour moi.
Je sais que je t’aime, que tu es un autre moi même, derrière ces lignes,
Et maintenant que toi aussi tu sais que nous sommes un,
Vivons en paix et en harmonie, dans la joie et dans l’amour.
Co-créons ensemble et partageons ce que nous sommes,
Ce que nous,
Savons,
Partageons,
L’amour
Partageons
La lumière.

Je t’aime et je te bénis,

Reçois mon amour,

Infini,

Kundun juillet 2013

H comme Heureux

Quels sont les chemins de vie possibles ? Peuvent-ils tous nous rendent heureux ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Nous avons le choix parmi plusieurs chemins, en voici quelques-uns :

La voie du personnage :

C’est la voie qui nous pousse à toujours vouloir plus. Toujours plus de biens matériels, plus d’expériences excitantes et fascinantes, plus de personnes, plus de tout, sans jamais savoir qui nous sommes vraiment et pourquoi nous sommes là.

Cette voie est celle de l’égo centrée sur un personnage imaginaire qui n’existe que dans notre esprit. La preuve, lorsque nous mourrons, il ne reste plus rien. Poussée à l’extrême, cette voie peut mener vers des conflits, des guerres, un partage non équitable et un épuisement des ressources. C’est l’idée du “moi d’abord”.

Ce chemin mène vers un accroissement de l’ego qui s’alimente de ses réussites. Le malheur va en grandissant si un chemin spirituel n’est pas recherché en parallèle.

En effet, la logique de cette voie est d’être de plus en plus dans la peur de perdre et de se méfier des autres. Ces personnes sont plus orientées cerveau gauche. Comme il y a une identification aux pensées et à la personne, il n’y a plus aucun temps disponible pour évoluer. Ces personnes travaillent beaucoup sans jamais prendre le temps de souffler. Le jeu de ce personnage est : “J’existe au détriment des autres”. “Je suis différent des autres et ils me font peur.” “Pour exister, je dois posséder de plus en plus de biens matériels pour remplir mon vide intérieur.”

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à donner, penser aux autres, tomber amoureux, fréquenter des personnes sur un chemin spirituel, rencontrer des cerveaux droit dominant : artistes, créatifs, par exemples.

La voie de la dévotion

Comment utilisons nous notre temps pour aider les autres et faire avancer l’humanité vers un monde meilleur.

Cette voie est tournée vers les autres, vers l’union, l‘amour. L’idée est la co-création et un partage juste de la valeur créée.

Les êtres qui ont conscience d’être sur un chemin spirituel vont naturellement vers cette voie, chacun accomplissant sa tâche, à son niveau.

Ce chemin amène vers la libération, l’illumination puis la réalisation. Ces personnes finissent tôt ou tard par rencontrer Dieu dans leur méditation ou leur expérience. Le développement de la capacité d’aimer, des fonctions du cerveau droit amène vers un éveil progressif.

Tout au long du parcours, on prend conscience grâce à l’amour que les autres sont nous, dans un autre corps, expérimentant une autre expérience de vie.

Poussés à l’extrême, certains peuvent oublier d’être dans l’équilibre et de s’occuper de soi aussi. Car un équilibre est nécessaire si l’on souhaite rester dans le juste. L’aide des autres ne doit pas être une fuite en avant pour oublier ses propres problèmes.

Ces personnes sont plus cerveau droit dominant. Parfois, elles ont des problèmes d’argent car elles n’ont pas encore compris que l’argent était une énergie comme une autre, neutre et très utile. Attention à penser aux autres tout en continuant à penser à soi.

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à recevoir, penser à soi, rester en contact avec des personnes qui sont plutôt sur l’autre chemin et qui sont cerveau gauche prédominant.

La voie du milieu

Cette voie est la voie du milieu, c’est à dire être sur les deux chemins précédents en même temps.

L’idée est de rester sur un équilibre corps / esprit / mental ainsi qu’un équilibre cerveau gauche / cerveau droit.

Aussi l’idée est d’être dans un équilibre de toutes les polarités : féminin / masculin; intérieur / extérieur; matériel /spirituel, etc.

Proche des idées taoïste, la vie du milieu accepte tout et ne rejette rien. C’est dans l’équilibre, c’est à dire dans le “ni trop, ni trop peu” de chaque chose que nous pouvons “être” de façon équilibré. L’excès ou le manque amène souvent vers la souffrance alors que l’équilibre amène vers la sagesse.

Kundun août 2013

E comme Exigence

L’amour nous amène vers l’exigence.

En effet,  la compréhension et l’intégration de l’amour, c’est à dire la compréhension que l’autre est réellement “nous” amène naturellement vers une forme d’exigence.
Car lorsqu’on aime véritablement, tout devient sacré.
Une des définitions d’aimer, c’est comprendre que la personne aimée est véritablement un autre nous-même, qu’elle est littéralement une incarnation de l’âme universelle. Elle est l’expression divine à travers un autre corps, une autre vie, une autre expérience.

Compréhension et intégration de l'amour

Compréhension et intégration de l’amour

En même temps, l’autre est sacré car il “est” le divin.
Conséquence et effet de cette compréhension, une nouvelle exigence apparait alors : nous n’avons plus d’autre choix que de réaliser le coté sacré et intime de la vie.

Les hommes, les femmes et les enfants que nous côtoyons ne sont pas juste des êtres humains, ils sont l’incarnation même des différents aspects de ce que nous appelons : “le divin, l’âme universelle, la conscience d’amour infini”.
De nouvelles exigences apparaissent alors : une exigence de respect du sacré, du respect de l’autre qui n’a jamais été un autre en réalité, une exigence de compassion, de compréhension, une exigence de fraternité aussi car le lien qui nous unit est nécessairement familial et fraternel.

L’exigence du respect de la vie, sous toutes ses formes, apparait.

A la fois nous sommes la vie, et à la fois, la vie à travers nous se vit.

L’autre n’est plus vu comme une personne mais comme ce qu’elle est réellement c’est à dire une expression du divin.

Si tous les êtres sur terre pouvaient se considérer de cette façon, il me semble qu’une grande partie des problèmes humains seraient résolus…
Car c’est bien l’illusion de la séparation qui crée guerre et conflits. La non compréhension de ce que nous sommes réellement amène les êtres humains à se manquer de respect.
L’exigence du respect devient naturelle lorsqu’on comprend que l’autre est littéralement Dieu !
L’autre est littéralement un autre nous-même expérimentant quelque chose d’autre, dans un autre corps. En réalité, il n’y a que nous, partout, dans chaque être.

C’est pour cette raison qu’au fond de nous-même, nous recherchons tous la même chose : le bonheur, la paix, la joie.

Ce que nous voulons véritablement est d’une grande simplicité : nous recherchons juste à être ce que nous sommes, à exprimer la profondeur de notre être.

Lorsque nous pouvons comprendre cela, de nouvelles exigences apparaissent : une exigence de vérité et d’honnêteté s’imposent à nous.

Il n’y a que nous, partout et tout le temps.

L’honnêteté et l’intégrité ne sont pas juste des valeurs morales permettant de vivre en société, elles sont l’aboutissement naturel d’un éveil spirituel profond.

Si dieu ne peut être honnête et intègre avec lui-même, alors il se manque de respect et ne se considère plus comme une divinité, alors il chute et devient “homme”.

En s’incarnant dans l’homme, il oublie sa véritable nature et se laisse toutes les libertés, y compris celle de ne plus être Dieu.

L’exigence d’honnêteté et d’intégrité est essentielle car plus nos actions sont en phase avec nos compréhensions et ce que nous sommes, plus nous pouvons exprimer le divin qui est en nous.

Ceux qui ont conscience d’agir de façon malhonnête diminuent de façon considérable leur pouvoir divin. Comme ils sont Dieu, ils anéantissent leur pouvoir divin, démontrant leur niveau de conscience par leurs actes.

En réalité, comme nous ne sommes qu’un, nous ne pouvons mentir qu’à nous-même, nous ne pouvons qu’abuser de nous-même.

Quelle est l’intérêt d’une telle démarche ?

Un être éveillé ne peut que respecter l’autre, même s’il y a désaccord. Car “être un” ne signifie pas être d’accord sur tout.
L’expérimentation de la diversité et de nos différences est tout l’intérêt de nos incarnations.
Exigeons ensemble le respect de l’autre, c’est à dire le respect de nos différences.
L’autre est un autre nous-même, un autre être divin qui lui aussi a le même droit de vivre, d’expérimenter, d’être, comme il le souhaite.

Soyons exigeant, ensemble, respectons l’amour, le divin, le sacré.

Kundun juin 2013

E comme Enfants. E comme Evolution.

Notre monde change et évolue.

Quoi que l’on fasse, l’humanité va continuer à s’éveiller.

Enfants Évolution

Enfants Évolution

En effet, si nous sommes attentifs, nous pouvons constater que les nouvelles générations sont de plus en plus éveillées, de plus en plus conscientes.

A chaque vague d’adolescents, d’enfants, de jeunes adultes, une nouvelle énergie de progrès se diffuse. Par de nouvelles musiques, de nouvelles inventions, de nouvelles façons d’être et de penser, par de nouveaux systèmes économiques.

Prenons du recul et constatons l’évolution de l’humanité ces 50 000 dernières années.

Pourquoi cette évolution ?

Tout simplement parce qu’à chaque fois que l’âme universelle se réincarne en nous, à chaque fois qu’un bébé naît, c’est la “dernière version” en quelque sorte de ce que nous sommes qui apparait.

Les âmes des nouveaux enfants sont le résultat de toutes les lignées, de tout ce qui a été appris précédemment.

Pour cette raison l’humanité ne peut que progressivement s’améliorer.
Il y a comme un combat entre deux grandes puissances : d’une part les conditionnements sociétaux, l’éducation, les programmations mentales et d’autre part l’énergie d’éveil et de liberté des nouvelles âmes. A la fois il n’y a qu’une seule âme universelle, et à la fois, il y a des spécificités, comme des âmes spécialisées en science, en art, en sport, etc.

A chaque génération, les jeunes expriment la nouvelle énergie, le renouveau et progressivement changent le monde.

Regardez comme les adolescents sont rebels, regardez comme ils ne se laissent pas facilement programmer.

Car ce ne sont pas les adultes qui changent le monde, ce sont les enfants, les adolescents qui réussissent à conserver leurs rêves.

A chaque vague générationnelle, les adolescents luttent pour imposer leur niveau de conscience, pour exprimer l’éveil qui vit en eux depuis leur naissance.

Car oui, lorsque l’âme universelle s’installe dans chacun de nous, à la naissance, nous naissons en tant que dieu vivant.

Et nous pouvons nous incarner dans autant d’humains que nous le souhaitons dans l’univers car au final il n’y a qu’une seule âme. A la fois, il n’y a qu’une seule âme, et à la fois, de notre perspective, nous sommes une âme individuelle qui se réincarne.

Les enfants sont extraordinairement sacrés au sens où ce sont tous des bouddhas éveillés, non encore conditionnés, non encore programmés.

Multidimensionnelle, leur présence nous éveille. Car c’est dans la présence qu’ils nous enseignent. Ils sont la vie, ils sont l’espoir, ils sont le futur de l’humanité.

Faisons une pause, méditons sur cette compréhension. Les enfants sont sacrés.

transformation Evolution

A chaque nouvelle naissance, c’est l’arrivée d’un nouveau dieu sur terre qui va éclairer le monde. En fonction du milieu, de l’environnement, l’âme va pouvoir s’exprimer, se développer puis s’épanouir.

A chaque réincarnation individuelle, c’est une âme plus riche de ses expériences qui arrive, une âme qui a appris. Ainsi l’humanité progresse, ainsi les nouvelles générations, comme des vagues, éveillent le monde.

Nous assistons d’ailleurs à l’apparition d’êtres éveillés de plus en plus jeune : Jeff Foster, Bentiho Massaro, et beaucoup d’inconnus aussi.

Comme l’éveil spirituel, la spiritualité se démocratise dans les familles, nous créons l’espace, pour la naissance d’êtres de plus en plus illuminés. Plus les parents vont laisser les capacités naturelles de leur enfant se développer, même les capacités de voir l’invisible, sans jugement ni limitation, plus de nouveaux êtres vont apparaître.
Faisons confiance aux enfants, ne les castrons pas lorsqu’ils viennent avec leurs histoires merveilleuses car ce sont eux qui sont dans la vérité.

Avec eux, les adultes peuvent comprendre l’invisible qu’ils ont juste “oublié” lors de l’identification à la personne, là cause de leur conditionnements.

Oui, l’âme universelle que nous sommes tous, s’éveille à travers nos corps, oui, c’est elle que vous voyez quand vous regardez un bébé, quand vous regardez un enfant.

Pensez y la prochaine fois que vous serez en leur présence, et sentez, ressentez la vie.

Ressentez l’amour infini qui se dégage de ces êtres de lumière.

Prenez conscience qu’ils “sont” littéralement “nous”, dans une autre vie, dans un autre temps, dans un autre espace.

Ils sont l’évolution en marche, ils sont la vie qui se transmet, depuis la création du premier homme et de la première femme.

Comprenons qu’ils détiennent toutes les réponses.

Ils sont la vie, ils sont l’amour infini, ils sont l’espace des possibles, ils sont la présence.

Il nous suffit de les laisser vivre, s’exprimer, dans l’amour, dans le bonheur, dans la joie.

Notre responsabilité est immense, prenons soin d’eux, et comprenons

Qu’ils sont le sacré du sacré,
Qu’ils sont,
Nous.

Kundun, juin 2013

E comme étiquettes

Le mental est en permanence en train d’étiqueter, de séparer, c’est sa fonction. Nous donnons des étiquettes, nous trouvons des mots à tout. Le cerveau gauche, pour décrire et comprendre l’univers n’a pas d’autre choix que de séparer, d’étiqueter.

E comme Etiquettes

E comme Etiquettes

Dès que l’on entre dans le monde des étiquettes, des mots, on entre dans le jeu de la séparation, du mental, nous entrons alors dans le monde de l‘illusion. Comprenons les étiquettes, les mots, comprenons que c’est le mental qui sépare tout.

Laissons tomber les descriptions et recentrons nous sur les sensations du corps, recentrons nous sur la vérité, sur la réalité.

Notre cerveau gauche étiquette ce qui se passe puis, sans nous laisser le temps de vivre, passe à l’étiquette suivante.

Alors que si nous savons rester dans la présence de l’instant, si nous pouvons tout accepter sans étiqueter, si nous pouvons accueillir, nous pouvons commencer à vivre.

Commençons à enlever les étiquettes et accueillons tout ce que la vie nous propose.

Exemple d’étiquettes : la peur, la violence, le mal, le diable, etc…

Ces étiquettes ne sont que des mouvements de la vie, des étiquettes.

Aucune vague ne peut s’opposer à l’océan. Il n’y a pas de “force du mal”, il n’y a ni diable, ni noirceur. Il n’y a que des polarités : négatives ou positives, créatrices ou destructrices. Tout à sa place dans l’univers, et tout est juste du point de vue de la conscience cosmique.

Certaines vagues se sentent terriblement mal aimées. Elles n’ont juste pas encore réalisées la présence de la source.

La pièce ne peut pas être submergée par le contenu. Nous sommes la pièce, nous sommes l’univers, nous sommes l’espace.

Ce que l’on appel “le mal” est un jugement depuis la perspective relative de l’homme. Du point de vue du divin, il n’y a ni bien ni mal, il y a juste un mouvement, des polarités.

Du point de vue divin, du point de vue de l’absolue, la peur n’existe pas, seul l’amour et l’union existe puisque Dieu est tout. Dieu ne peut avoir peur puisqu’il est tout.

La peur est une idée de l’homme, la peur est une notion de “séparation” du mental. “Je suis séparé de l’autre, donc j’ai peur car je ne le connais pas, je ne le comprends pas.”

L’enfer, la peur, c’est l’illusion du mental que nous pourrions être séparé de Dieu, des autres, de la conscience infinie que nous sommes tous. Or c’est impossible, sauf dans l’illusion du personnage, du mental.

L’étymologie du mot diable latin : diabolus, du grec Διάβολος signifiant « celui qui divise ».

L’enfer n’est pas un endroit mais l’identification erronée à la personne, à l’égo, à l’illusion de la séparation. “Tu n’es pas moi donc j’ai peur et je te déteste”, alors que le paradis et la réalité est “‘Tu es moi, je t’aime, tu es sacré, nous sommes tous Dieu”.

Comment pouvons-nous espérer vivre au paradis sans transmettre cette connaissance élémentaire ?

Il est tant que l’éveil de la conscience soit désormais un objectif international.

La société est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Le monde est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Un éveil citoyen du monde est urgent.

Venez avec moi dans la réalité ! Je vous amène au paradis, suivez ces lignes, je vous le dis,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous,

UN.

Kundun, le 27 avril 2013

C comme cerveau gauche / cerveau droit

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

“cerveau gauche / cerveau droit” Kundun

La notion de cerveau gauche / cerveau droit est une forme de cartographie permettant de mieux comprendre le fonctionnement de l’homme. C’est une des cartographies parmi d’autres, bien sur, elle n’est ni unique, ni vérité absolue. Il y a d’autres façon de comprendre le cerveau, cependant, pour des raisons éducatives, nous allons utiliser ce concept simplifié :

Lorsque la conscience se réincarne et se projette dans nos corps, chaque matin, nos différents véhicules, nos corps s’activent.

Lorsque la conscience s’active en utilisant nos deux cerveaux, le gauche et le droit, nous nous “réveillons” littéralement.

Chaque matin, nous ouvrons les yeux, puis nous nous réveillons et allons à nos occupations matinales.

Lorsque la conscience s’active, plusieurs mécanismes se mettent en route :

Si l’on garde les yeux fermés le matin, avant de se réveiller, si l’on ne bouge pas, ce sont plutôt les fonctions du cerveau droit qui s’activent. Notre narine gauche est normalement pleinement ouverte et commence à alimenter en prana cet hémisphère. Ensuite, avec l’ouverture des yeux, c’est l’hémisphère gauche qui va commencer à réveiller les fonctions mentales. Tout au long de la journée, nous utilisons nos deux hémisphères, mais pas au même moment, et pas pour les mêmes tâches.

En fonction de nos besoins, nous allons plutôt projeter notre conscience, en liaison avec notre respiration pranique dans l’hémisphère le plus adapté à la situation.

Si nous sommes avec notre amoureux ou amoureuse, nous allons concentrer la conscience dans le cerveau droit : émotion, connexion au divin, intuition, ressenti, sentiment d’union, etc.

Si nous devons faire un travail de comptabilité, nous utiliserons nos capacités du cerveau gauche : mathématique, rationalité, projective.

Avez-vous remarqué qu’en fonction de votre activité, votre respiration s’adapte ?

Respirez-vous par la narine droite ou gauche actuellement ?

Des millénaires d’études et de technologies ont permis de comprendre le système de respiration pranique en Inde appelée “Pranayama”. Fabuleux, cette compréhension permet de mieux comprendre notre propre fonctionnement.

Par exemple, si nous sommes en présence d’une personne majoritairement cerveau gauche, nous ne pourrons pas parler immédiatement de choses qui font appel au cerveau droit.
Il faut laisser aux personnes un certain temps d’adaptation au sujet.

Si nous sommes majoritairement cerveau droit, la plupart des personnes majoritairement cerveau gauche vont avoir du mal à se connecter à nous. Il faut du temps et de la souplesse pour s’adapter.

Parfois, lorsque nous sommes en phase avec quelqu’un, lorsque les deux partent dans le cerveau droit, la communication peut être très profonde. Mais quelques jours plus tard, quand le mental reprend le dessus, toutes les avancées et décisions peuvent être remises en question. L’union, l’amour qui était à l’œuvre n’est plus là.

Pour ces raisons certaines personnes paraissent cyclotomique : parfois nous parlons à leur cerveau gauche, parfois à leur cerveau droit.

Le pranayama permet de réguler grâce à la respiration ces mécanismes, du coup cela nous permet d’être équilibrés et centrés à tout moment. La vie devient plus facile pour nous et notre entourage.

Lors de toute rencontre, essayons de mettre notre conscience dans le cerveau droit, celui qui est relié au cœur.

Le cerveau gauche qui héberge le mental et l’identification à la fausse personne ne doit être qu’au service du cœur, et non pas l’inverse.

Certaines personnes sont dominées par leur cerveau gauche. Calculateurs merveilleux, ils leur manquent cependant la moitié de l’univers, qui plus est le plus heureux.

Trouvons l’équilibre, grâce aux techniques de méditations, de yoga, de respiration.

Équilibrons la conscience lorsqu’elle se projette en nous.

Redevenons un, allons vers la voie du milieu et soyons. (Tao)

Nous sommes comme des voiliers, parfois nous penchons à droite, parfois à gauche, parfois au centre.

L’essentiel se situe dans l’équilibre…

Kundun,le 30 juin 2013