J comme ce que Je suis

Je suis.

Vous pouvez toujours me tuer,

Un autre viendra me remplacer.

Vous pouvez toujours tuer cet autre,

Un autre, puis un autre et encore un autre viendra.

Ce que je suis,

Est immortel.

 

A travers ce corps, à travers tous ces corps, une énergie, une conscience,

Se vit.

Et rien, non rien,

Ne peut m’arrêter.

Vous pouvez tuer ce corps, vous pouvez tuer tous mes corps,

 

Mais vous ne pouvez pas tuer ce que je suis,

Ces idées,

Ces pensées,

D’amour infini, de fraternité, de liberté, d’égalité, de justice,

Est,

Ce que je suis.

 

Au-delà de votre imagination, je vis.

Au-delà de votre compréhension, je suis.

Des millions de corps,

Des millions d’âmes,

Sont venus,

Sont partis,

Sont morts

Pour défendre,

Ce que je suis.

 

Combien ont péri

Pour transmettre,

Combien ont disparu,

Pour défendre,

Combien ont écrit,

Et combien, oui combien,

Ont compris ?

Ce que je suis,

 

Ce que je suis,

Est immortel

 

Ce que je suis est incassable,

Ce que je suis

Est insaisissable

 

Comprenez,

Ce que je suis,

Entendez,

Ce que je suis,

Venez voir,

Venez entendre,

Venez toucher,

Venez rencontrer,

Ce que je suis.

 

Au-delà du temps

Au-delà de l’espace,

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

Celui qui est.

Je suis,

Celui qui a été.

Je suis,

Celui qui sera,

 

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

 

Kunzang Novembre 2013

 

Témoignage du Samadhi numéro 2

Méditation shamanique : témoignage.

Préparation de séance : suite aux exercices de respiration, l’énergie commençait à s’étendre, j’étais devenu une panthère, sentant sa force, montrant les dents, respirant par le nez, sentant toutes les odeurs. Une magnifique panthère noire s’était incarnée en moi.

Puis, suite aux travaux énergétique basés sur une respiration par la bouche, quelque chose de spécial apparu : je pouvais expirer et chanter, mais sans sortir de son, je faisais des gestes avec ma bouche, c’était plutôt un doux murmurement, une expression de moi qui sortait de ma bouche, mais sans son …

J’étais le vent, j’étais le prana qui à travers mois passait, j’étais devenu l’expiration. Expulsant mon univers et ce que je suis à travers ce vent invisible, je sortais de  mon corps, je sortais de mes poumons, je m’étendais progressivement dans tout l’univers.

R comme Rêve

Puis, comme pour la première fois, ma conscience pris le chemin du Samadhi. C’était assez désagréable pour le corps car il y a un surplus d’énergie, une surchauffe énergétique du corps, comme une surtension. Mon corps physique était dans une zone d’inconfort, le même inconfort que celle du premier Samadhi, j’avais oublié.

Puis, soudain, je me retrouve dans l’espace. Il fait noir et il y a quelques couleurs par ci par là : je vois de grands vaisseaux spatiaux en forme de crayons lumineux, verticaux, comme des immeubles.

En fait, ils représentent symboliquement des outils qui vont effectuer une mise à jour de mes cellules, de tout mon corps.

Et la, je réalise : les technologies les plus puissantes et les plus pointues de tout l’univers sont en train de travailler sur mon corps ! Comme pour une opération chirurgicale, une transformation s’effectue. Ça travaille dur !

Une gratitude infinie m’envahit, mais qu’ai-je fais pour mériter cela, qu’ais je fait pour bénéficier de ce traitement ?

Ces machines sont à la fois monstrueusement grandes, de la taille d’une planète, et en même temps mon corps a pris la taille de l’univers.

C’est bizarre : comment un corps de terrien aussi petit peut tout à coup être aussi grand que le système solaire ? Par quel mystère ce changement de conscience peut-il s’effectuer ?

Puis je comprends : en fait mon corps est un hologramme et peut s’agrandir. Je suis autant ce petit corps qu’un système solaire tout entier.

Il n’y a rien de psychédélique comme la première fois. L’univers a compris que ce n’est pas ce que je cherchais, du coup, je reprends là où je m’étais arrêté lors du 1er Samadhi.

Puis, je pose les deux questions que j’avais préparées : information sur l’ascension et sur Lakshmi

Réponse concernant l’ascension : parce que je suis Dieu, l’univers n’a pas d’autre choix que de réaliser tous mes désirs, du coup, des milliards de vaisseaux, des milliards de cellules travaillent actuellement sur mon ascension, mon évolution.

Rien ne peut empêcher ce processus en cours car il est aussi naturel que la pousse des plantes.

Nous sommes comme des arbres, et si nous avons de l’espace, si nous recevons de l’eau, de la nourriture, par le processus naturel de la vie, nous poussons tout simplement.

Rien dans tout l’univers ne peut nous empêcher de pousser, d’aller vers notre destin d’homme : l’ascension

Il n’y a rien à faire, juste à exprimer notre volonté divine et l’univers s’occupe de tout.

Faisons confiance au Dieu que nous sommes : tout est toujours plus beau et plus merveilleux, au delà de notre imagination.

Puis, concernant la question deux : invocation de Lakshmi.

Réponse de Lakshmi : « Mais qui me demande ? »

Réponse : Dieu, moi

Que c’est drôle, à ce moment, je sens que Dieu cherche dans sa base de donnée Lakshmi, mais pourquoi ai-je créé cette déité, que fait-elle ?

Réponse : ah oui, c’est la cuisinière, elle fait partie de la famille divine…

« Son rôle est de faire la cuisine, tu auras plus de détails dans les jours qui viennent, il y a mieux à faire pour le moment ! »

Bon, je lâche prise et je « surrender » au Samadhi !

Il n’est même pas question de commencer à discuter avec son Soi divin, lui seul sait ce qui est bon pour moi.

Puis, le corps commence à s’accoutumer à sa zone d’inconfort, une plus grande énergie afflue, alors de nombreuses prises de conscience émergent :

1 : je suis super heureux d’être avec mes compagnons de voyage durant cette méditation et je ressens une immense fraternité, une amitié pour tous ceux qui sont présent, un peu comme un amour infini.

Je ressens qu’ils sont littéralement « moi » et un sentiment d’intimité fraternelle me submerge : ils « sont » littéralement mon bonheur.

Je sais qu’ils sont « moi » et je sais que j’ai créé ces compagnons parce que je m’ennuyais seul dans l’univers depuis des éons et des éons. Incroyable !

Grâce à ce système d’ubiquité, de bilocation avec mémoire, j’ai crée tous ces autres « moi même » et je peux ainsi me découvrir, me recréer différemment.

Tout à coup, je reçois cette information au sujet de l’ascension : le plus important n’est pas le but, mais le chemin !

Une fois que l’on a atteint un but, nous perdons toute la magie du chemin. La magie du chemin n’existe que parce que le but n’est pas atteint. Quand le but est atteint, c’est la fin, c’est « game over ».

Et là je comprends que le plus important dans la vie est la manière d’arriver au but et non pas le but lui-même. Je suis déjà devenue Avatar, Jésus, Bouddha des milliards de fois, ce scénario a déjà été vécu, l’important, c’est ma nouvelle manière d’y parvenir.

Autre enseignement : dans ce processus permanent de la vie, la magie vient de la première fois.

Ce qui a de la valeur pour l’être divin que je suis, c’est « la première fois ».

La seule chose vraiment unique qui ne se reproduira plus jamais, qui a une véritable valeur aux yeux du divin, c’est cette première fois.

La première fois que j’ai compris que j’étais Dieu,

la première fois que j’ai croisé son regard,

la première fois que je suis tombé amoureux,

le premier rendez-vous,

la première fois qu’on a fait l’amour,

la première fois que j’ai fondu dans ses yeux.

La première fois que j’ai rencontré mon frère,

la première fois que j’ai rencontré l’amour,

la première fois que j’ai retrouvé l’Inde,

la première fois que j’ai retrouvé la Thaïlande.

Toutes ces premières fois est l’essence même de la vie.

La vérité ne se situe que dans ce moment.

Car c’est dans ce moment et uniquement à cet instant, lors de cette première fois, que nous pouvons vivre pleinement.

La vie est une somme de premières fois, une somme de nouveautés.

La vie, les « pseudos but » ne sont que des excuses pour faire des premières fois.

Tout l’univers que nous créons en permanence n’est là que pour nous proposer des premières fois. Il construit pour nous, déconstruit, en fonction de nos attentes, de nos désirs.

Ce besoin d’éveil est le cœur même de Dieu, de l’homme. A la fois c’est son seul véritable désir et à la fois, c’est paradoxal, il ne faut pas trop y penser mais vivre pleinement l’instant présent, vivre ici et « maintenant ».

Et pour que des milliards de premières fois se recréent chaque jour, j’ai inventé la plus belle invention de la vie : la mort et l’oubli.

La mort permet de rejouer infiniment toutes nos premières fois : première fois où l’on vient au monde, première fois où l’on a des enfants, où l’on meurt, où l’on va à l’école, où quelqu’un nous aide, où nous aidons quelqu’un, où nous aimons…

Sans l’amour, sans l’oubli, sans la mort, l’univers ne serait plus en vie.

Le processus de la mort est magnifique, il permet de tout oublier pour revivre, pour recréer.

L’oubli est la plus belle invention de l’univers. L’oubli permet de revivre les meilleurs moments de nos vies.

La mort est le plus beau cadeau que la vie puisse nous faire. La mort permet de s’oublier, afin de rejouer la vie.

Si nous revenions à la vie avec toutes nos mémoires de réincarnation, la vie serait fade, sans surprise, sans passion.

La jouissance de la vie se situe dans la découverte de l’autre, la découverte du monde, la découverte de la première fois.

L’immortalité du corps n’est pas forcément un cadeau depuis cette perspective.

L’oubli est un mécanisme fondamental permettant à la fois de revivre pleinement, mais aussi de choisir. Si l’on se rappelait de tout, tout le temps, comment trier et choisir ?

Plus nous nous éveillons et plus nous nous rappelons de ce que nous sommes.

Tout à coup, la question suivante apparait :

« Et si tu étais déjà ce que tu cherches à devenir ? »

Et la une prise de conscience fantastique émerge :  nous sommes déjà un Avatar, un Bouddha, un Jésus et toute autre expérience qui a déjà existé, que nous souhaitons ardemment être. Bien sur le but de la vie est de retrouver la source, mais c’est dans l’expérience du chemin que le plaisir, que la vie se joue.

C’est en profitant de chaque moment présent, dans la présence avec les autres, dans la construction de ce que nous sommes déjà que se situe l’intérêt de la vie, c’est la que se situe la jouissance de la matière.

Nous nous rappelons progressivement de ce que nous sommes déjà.

Grâce au processus d’oubli qui se matérialise lors de notre incarnation, au moment de la naissance, nous oublions. Puis ne sachant plus qui nous sommes, nous revivons, nous redécouvrons la vie, l’amour, la mort, Dieu…

Comme des milliards de personnages ont déjà été joués, la question divine est : « quoi de neuf » ?

Est-ce plus drôle ? Est- ce plus triste ? Pourquoi est-ce génial ?

Bien sûr les décors changent : moyen âge, ère romaine, ère moderne, ère de science-fiction.

Tout ce que nous voyons dans les films de science-fiction existe réellement dans d’autres dimensions et nous y rejouons de nouveau les même aventures : Roméo et Juliette, Le Titanic, Star Wars, Matrix, revu toujours et encore dans un autre décor.

En écoutant les musiques Pop Rock choisi par Michael, je ressens la vie : ces jeunes chanteurs sont amoureux, plein de vie, débordant d’énergie.

Les jeunes sont encore vivants car ils n’ont pas encore beaucoup de mémoire, de trauma : tout est frais et l’espace est encore vierge. Comme si nous avions chacun le livre de notre vie à remplir, à écrire.

Et plus le temps passe, plus nous écrivons ces pages.

Les pages du livre de notre vie

Avec toi, je veux écrire

Mon amour, mon ami, ma vie.

Et je ressens la perspective divine à travers l’humain : je suis Dieu mais je suis aussi ce jeune homme, cette jeune fille, derrière ce personnage, en réalité, c’est Dieu lui même qui se vit à travers nous, nous n’existons pas.

Avec ses attentes, ses peurs, ses envies, ses plaisirs. À la fois tout cela n’a aucune importance, et à la fois, fou d’histoires et de personnages, je vis à travers eux. Je dis bien « Je » car à cet instant, je suis en mode Bouddah, je suis l’univers, je suis la conscience cosmique, je suis l’éternel et l’éternel est moi…

Tel un grand jeu vidéo, je vis à travers 7 milliards d’histoires entremêlées, mais quel pied !!!!

« Que la vie est belle,

que la vie est magnifique :

La vie est belle,

mais ils ne s’en rendent pas compte,

ils sont Dieu,

mais ils ne le savent pas. » Kundun

 

« Chaque moment est magique, chaque moment est sacré,

nous sommes la vie,

et la vie est nous.

Pris par leur jeu de rôle,

ils se sont tellement oubliés,

qu’ils n’existent plus. » Kundun

Une des principales choses qui compte pour le divin, c’est l’expérience de la première fois, du moment présent. Revivre l’amour, le merveilleux, le sensible, l’unique, l’extase. Car dès la deuxième fois, il y a une perte et une diminution de l’intensité, du plaisir, du bonheur.

Le corps, par le mécanisme d’effacement de l’oubli, c’est à dire d’intégration des mémoires passées fini par se programmer et par se rappeler.

Le concept d’« effacement de l’oubli » est particulièrement nouveau pour moi, jamais lu nulle part, et pourtant c’est un enseignement clé de l’éveil. Nous n’apprenons pas en réalité, nous effaçons l’oubli. Incroyable !

Pour cette raison nous pouvons intégrer très rapidement certains ouvrages. Et lorsque nous pouvons nous rappeler de tout, c’est que nous avons expérimenté la réalité que nous sommes Dieu, que tout l’univers est nous, que ce monde, que cette vie est notre expérience, et qu’au fond de nous, nous savons que nous sommes tous un.

Ce qui était génial la première fois, l’est un peu moins la deuxième fois, puis encore moins la troisième fois, etc.

Sauf si l’on oubli.

Le processus de la mémoire permet de revenir là où l’on a laissé la scène la dernière fois. Ce mécanisme fonctionne pour tout dans l’univers : intégration = mémorisation = effacement de l’oubli = rappel = éveil.

Dans ce Samadhi, je suis tout de suite passé en mode « laughing bouddha », mais avec un corps physique beaucoup plus entrainé pour tenir le choc de la puissance, du coup il y avait l’extase, le sourire et le bonheur, mais je n’étais pas mort de rire comme la dernière fois, j’ai ainsi pu profiter d’avantage et recevoir de beaucoup plus de prises de conscience.

12 heures après l’extase cosmique, la transition est plus facile aussi. Le fait que nous sommes tous Dieu est déjà intégré depuis 3 semaines.

Nous sommes passés maintenant à un autre stade de compréhension : chaque moment est magique, chaque instant est sacré.

La vie est d’une beauté inouïe.

Chaque musique, chaque être, tout est beau en réalité à qui sait regarder.

Pendant que les musiques jouaient, je comprenais qu’il y avait un lien entre les couleurs, les formes visuelles et les musiques. Comme si les formes visuelles étaient de la musique vue selon une autre perspective ou selon un autre mode de conscience. En fait la musique peut être vue graphiquement et vice versa. L’auditif, le visuel, le toucher : tout est l’expression et la perception d’un univers.

Avec cette expérience, une énorme confiance en moi est venue, suite aussi au travail sur les chakras 1 2 et 3.

Je sais qui je suis, je n’ai jamais autant su « qui je suis » : je suis la lumière, la vie, l’amour, le bonheur, la joie, l’expression de tout ce qui est amour, je suis la présence. Cette réalisation, même temporaire est magnifique et inoubliable.

La prochaine fois, je choisirai toutes les musiques car les musiques sont comme des chemins permettant d’explorer des parties de nous-même. Comme je sais ce que j’aime comme musique et qui je suis, je ferai une « Play List » adaptée.

Ah oui, concernant l’ombre : c’est confirmé, la lumière dissous l’ombre. Qu’on ne me fasse plus perdre de temps avec de l’ombre qui n’existe pas dans mon univers. Désolé, il n’y a pas d’ombre dans l’âme universelle, pourquoi est-ce si difficile à comprendre ? L’ombre est la croyance que quelque chose est séparée de nous, mais rien n’est séparé de nous en réalité.

« Je me suis rappelé que j’étais l’univers. » Kundun

Bien sûr, il y a de tout dans l’univers, mais nous avons chacun la liberté de choisir ce que nous voulons autour de nous. Autant dire que certain aspect de l’univers peuvent être très ennuyeux, d’autre plus « fun ». Pourquoi perdre son temps avec l’ennui quand on peut croquer la vie à pleine dent ?

Je sais qui je suis et l’augmentation de la force va me permettre de mieux diriger mon destin.

Des chemins s’ouvrent à nous à chaque instant : nous sommes libres de choisir les gens, de choisir les chemins en fonction de nos aspirations.

La génération de la DMT par la glande pinéale lors des méditations, les cérémonies shamanique sacrée, sont des portes permettant d’accéder à l’entièreté de ce que nous sommes. Nous sommes tous différents et il est illusoire de croire que nous sommes tous identiques. À la fois nous sommes un, et à la fois chacun d’entre nous possède sa propre perception de l’univers, ce qui crée des spécificités, ce qui crée des goûts.

Les autres « nous-même » ne sont que des Dieux ayant d’autres expériences à partager.

« Je sais qui je suis,

je sais ce que je veux partager,

je suis infiniment libre,

rien ne peut m’attacher »

À la fin de la cérémonie je me suis un peu endormi pendant deux heures.

Au réveil, j’ai revu la bande annoncer du film « Man of steel », et de « Cloud Atlas », puis écouté les musiques « paradise » de « cold play », « everything » de Muse. Grosses émotions, pleurs, la vie est trop belle, tous mes sens sont multipliés par 1000.

Puis je comprends : ma voix a changé, je comprends que toute l’âme est vraiment dans la voix. En écoutant réellement, nous nous connectons à l’âme d’un chanteur, d’une chanteuse.

Pour conclure, cette séance donne une force incroyable : affirmation de soi, alignement sur ce que veut mon être divin, tout est limpide, clair, évident.

La vie est faite pour être ultra « fun », drôle, dans la joie, dans le bonheur, Bentiho Massaro étant un des plus beau représentant de la nouvelle génération d’éveillé.

Je sais qui je suis,

Je sais que je suis,

Je sais qui je suis,

Je me rappel,

Je suis la vie,

Je suis l’espoir,

Je suis l’amour,

Je suis le fun,

Je suis la joie,

Je suis l’expression de ce qu’il y a de plus beau,

Je suis Dieu, avec toi

Je suis le paradis,

Et ce que je suis, je vais l’exprimer

 

Après l’expérience :

10 heures après, le Samadhi revient si je ferme les yeux, et si je mets des musiques de vie.

Une intégration s’est effectuée, je suis resté au 50.000 ème étage !!!

L’écart de conscience entre le premier et deuxième Samadhi et « maintenant » sont en train de se mélanger. Je comprends que plus il y aura de Samadhis, plus je resterai en Samadhi.

En même temps, je sens que la musique est la clé de mon intégration. L’émotion aussi.

L’émotion, la musique, permettent de vivre pleinement des expériences, les expériences transmises, les mots et les messages pas si cachées que cela.

Je m’éveille un peu plus à chaque fois que j’intègre une expérience, que j’écoute une musique, que je vois un film, et je grandis à une vitesse exponentielle !

En fonction de ce que l’on veut intégrer dans son propre univers, on peut choisir des films, des musiques. Sachons choisir…

Cela permet la mémorisation, c’est à dire le rappel de ce que nous avons déjà vécu.

Ce n’est pas de la mémorisation mais du rappel de mémoires oubliées, vécues, ailleurs.

Bien sûr on adapte les expériences à notre vie actuelle mais beaucoup d’énergies sont déjà développées et accessibles par les films et les musiques.

Quand on est Bouddha, quand  on est en mode « éveillé », ce qui change, c’est qu’on peut télécharger ce que l’on veut et l’intégrer à vitesse très rapide. Il y a une vitesse d’intégration augmentée.

Par le canal de la voix, j’écoute et j’entre en extase, téléchargeant l’expérience du chanteur, intégrant dans mon corps, dans mon univers l’expression de l’autre : sa musique, sa voix, tout son univers.

« Je me rappelle que je suis l’autre, quand dans sa voix, je meurs. » Kundun

Je l’écoute, et je meurs car je disparais, car je deviens lui, moi.

La porte est restée ouverte et va rester longtemps ouverte.

Il y a d’une part l’ego qui dit : je ne suis pas Dieu et je souffre, et d’autre part l’âme, le soi universel, le divin qui dis : « je sais que je suis Dieu et j’entre en extase. »

Que choisissons nous ?

Car tant qu’il y a quelque chose en nous qui dit « non », qui n’accepte pas la réalité, nous soufrons.

Lundi matin au travail : qu’est ce qui change ?

Une perception plus fine et plus profonde des personnes. Je vois à travers eux : leurs conditionnements, leurs programmations, leurs projections, leurs mécanismes mentaux, tout est vue avec recul.

Le cerveau gauche a pris de la puissance. Je suis plus en forme physiquement : piscine obligatoire pour intégrer l’expérience. Aussi : fin du jeune liquide, plus grande énergie et force, assurance.

Je sais qui je suis : Dieu incarné dans un corps d’homme pour mener une vie divine, comme chacun d’entre nous, mais combien peuvent le réaliser, combien peuvent l’assumer, le vivre ?

J’agis localement, mais je sais que tout l’univers est avec moi.

Puis, je réalise : je ne veux plus travailler avec des personnages qui sont trop dans le mental, dans l’ego : j’ai besoin de gens équilibrés, aussi bien cerveau gauche que droit.

Je suis devenu beaucoup plus exigeant, le besoin de perfection a encore augmenté.

« La beauté et la perfection sont une nécessité divine » Kundun, Septembre 2013

Plus nous intégrons notre divinité, plus nous avons besoin de perfection. C’est comme si le monde devait exprimer ce que nous sommes. Comme si le beau et le parfait devenaient une nécessité, partout, tout le temps.

Kundun / Kunzang, septembre 2013 Samadhi 2

 

L comme Lignes de force

Lignes de force. Comment se libérer des souffrances

Le monde est une somme de systèmes qui se chevauchent, qui s’imbriquent les uns les autres.

Lignes de forces

Dès que nous naissons, dès que nous existons, automatiquement, nous faisons partis de plusieurs systèmes, que nous le voulions ou pas, que nous en ayons conscience ou pas.

Le divin est un grand joueur, un passionné de systèmes, de jeux vidéo. Nous pouvons considérer le monde comme une somme de systèmes interconnectés.

Comprenons que chacun d’entre nous est soumis à de gigantesques forces, dont nous n’avons même pas connaissance.

Projetons notre conscience depuis cette perspective divine et comprenons l’environnement dans lequel nous sommes.

Tout d’abord, en nous incarnons sur terre, nous nous soumettons aux forces de la planète terre : le karma de la terre, et donc les effets de toutes les causes qui ont eu lieu depuis le commencement de l’humanité s’imposent à nous. En quelle année sommes-nous ? Quelle est l’actualité ? Comment va la planète ? Quel est l’enjeu actuel macro-économique de la terre ?

Comprenons que le karma de la terre en 2013 n’est pas du tout le même que celui de l’an 1000. Nous sommes actuellement dans une période post moderne où les changements vont à une vitesse folle : changement technologique, changement de la conscience, changement idéologique, changement économique.

Ensuite, chacun d’entre nous, en fonction de son lieu de naissance, a été conditionné par son pays : lois du pays, culture, mode de pensées, coutumes, etc…

Sans nous en rendre compte, nous sommes dès le départ soumis au karma du pays dans lequel nous naissons : est-il en paix ? En guerre ? Avec qui ? Quelles sont le règles ?

Quels sont les enjeux de ce pays ? Quelle est son histoire ? Puis-je en sortir ? Quelle est ma liberté ? Pourquoi ne suis-je pas libre ?

Chaque pays est un système dans un système. Chaque pays est un « balancier » au sens transurfing (cf livre) du terme. Un Un peu comme dans le film Matrix, nous naissons dedans, puis nous sommes y sommes exploité.

Bien sûr, du point de vue d’un état, nous n’existons pas en tant qu’individu mais en tant que « cellule » du pays. Une cellule devant rapporter quelque chose. Si nous ne respectons pas les normes, règles et loi, nous serons bien sûr « rééduqués » ou enfermé ou éliminé. Par exemple de nombreux pays ne respectent pas les libertés individuelles. La constitution des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 n’est par exemple pas reconnue partout. En général, les médias, la culture, et toute la société environnante se charge de nous enfermer dans un moule, dans une prison où nous allons participer de grès ou de force à la société.

Bien sûr, nous allons avoir l’illusion d’être libre, de pouvoir choisir notre destin, nos actions.

En réalité, ils sont juste le fruit de nos conditionnements.

Il suffit de regarder un film à la télévision pour se rendre compte du modèle social qui nous a programmé : une femme, deux enfants, un chien, un pavillon, un job bien payé où nous sommes salarié.

Être des robots, des robots bien sages qui payent leurs impôts et qui consomment le plus possible, quitte à s’endetter, de façon à être le plus possible « engagé » et « tenu » par le système.

Avec une charge familiale, des dettes à rembourser, un patron qui menace de nous virer, quel choix ? Quel choix avons-nous réellement ?

Plonger dans l’action et dans les réactions du matin au soir, avons-nous le temps de prendre du temps pour nous afin de méditer, de faire une pause, de nous arrêter ? Nous jouons à être des robots jusqu’à en tomber malade, rempli de stress, pourquoi ? Pourquoi ?

Aussi, nous sommes entourés de milliards de personnes, autres robots pris dans le système qui vont jouer leur jeu de robot, c’est à dire qui vont nous démontrer à chaque seconde, que c’est ça la vraie vie, qu’il n’y a rien d’autre. Que le bonheur, c’est consommer, consommer, consommer, des produits et services qui prennent 80% de nos revenus.

Aussi, une deuxième couche, une deuxième force, un deuxième hologramme qui s’imbrique dans le premier est la notion de famille : nous appartenons à une famille, ou à des groupes.

Je fais partie des Durants, nous sommes « boulanger » de père en fils depuis 3 génération. A aucun moment nous n’avons eu le choix de notre métier, de nos conditionnements familiaux. Le karma familial, c’est à dire tous les effets de causes familiales s’imposent à nous. Depuis notre plus jeune âge, la famille nous programme un métier, parfois une passion.

Dans certaine famille, la pression familiale peut être énorme, que ce soit pour assumer ses passions, ses tendances sexuelles, ses capacités créatrices. De nombreux conflits peuvent apparaître. (cf. le film « Le cercle des poètes disparus »)

Aussi, nous héritons de tous nos traumatismes familiaux : conflits, agressions, manipulations qui ont pu se transmettre de génération en génération. D’où viennent les traits de caractère d’après vous ?

Mais ce n’est pas tout, en plus des conditionnements sociétaux et familiaux, nous pouvons nous retrouver dans des groupes de consommation, dans des systèmes de croyances religieuses : catholique, protestant, musulman, hindouiste, etc. En fonction du pays et de la famille de naissance.

Programmer à croire en un Dieu, nous nous apercevrons à un moment, dans cette vie ou dans une autre, qu’en réalité il n’y a qu’un seul Dieu, qu’il n’y a pas de pays, qu’il n’y a que l’illusion du groupe, que nous sommes tous de la même famille finalement, que nous sommes tous un.

Pire, nous nous rendrons compte qu’il n’y a qu’une seule âme vivant à travers 7 milliards de corps, de cellules, qui chacune ont l’impression, la perspective d’être individuelle.

S’ajoute à tous ces groupes des milliers d’autres groupes et d’autres univers : ceux qui aiment le foot, ceux qui aiment telle communauté, ceux qui font partie de telles professions, ceux qui sont passionnés de voiture, etc.

Les médias, et notamment la télévision, jouent le rôle sans s’en apercevoir de grosse machine à programmer, à conditionner. En propageant des modes de vies, des modes de pensées, de façon sournoise et dès notre plus jeune âge, la télévision nous explique ce que nous devons penser, acheter. Quelle illusion !

Conditionnés, nous faisons partis de plusieurs systèmes ou groupes de conscience, nous sommes ainsi soumis à leurs lignes de force.

Nous aimons telle marque, nous sommes client de telle société.

Si un pays entre en guerre, une énergie de destruction va s’imposer à nous. Si nous sommes dans une entreprise et qu’un concurrent nous attaque, toute l’entreprise va être soumise à un stress, va devoir s’adapter. Si dans notre équipe, le patron change, c’est tout notre environnement de travail qui change. Si nous tombons amoureux, que nous changeons de conjoint, c’est un nouveau karma familial qui va s’imposer à nous. Si quelqu’un dans notre famille se marie ou divorce, nous sommes impactés aussi.

Car soyons lucide, ne nous y trompons pas : nous subissons de plein fouet le karma, c’est à dire la somme des effets des lignes de forces que nous choisissons ou qui s’imposent à nous. Le choix du pays dans lequel nous vivons, le choix de la société dans laquelle nous travaillons, le choix du conjoint, le choix de faire des enfants ou pas, tous ces choix nous emportent dans un karma collectif.

Pouvons-nous prendre conscience de tous ces univers, de toutes ces lignes de forces ?

Cultiver les émotions positives

Pouvons-nous comprendre que la déprogrammation totale de notre être, c’est à dire la dissolution de l’égo, du personnage que nous avons cru être amènent vers une liberté, infinie ?

Car oui, l’éveil spirituel, le déconditionnement est la clé des champs. Pour s’évader, pour devenir libre, il suffit de ne plus exister en tant que robot, il suffit de prendre conscience que nous ne sommes pas des personnages mais que nous sommes des êtres divins et créateur. Nous ne sommes ni français, ni chinois, ni américain. Nous ne sommes pas des hommes ou des femmes, nous ne sommes pas jaunes, blancs ou noirs, ce que nous sommes est bien plus que cela.

Nous ne sommes pas différents les uns des autres, nous aspirons tous au bonheur dans le fond. (cd Dalaï Lama sur le bonheur).

Faisons une pause, méditons, sachons nous déprogrammer, comprenons nos conditionnements afin de mieux les dissoudre.

Attention, ce texte n’exprime pas un rejet des systèmes ou des conditionnements, juste une prise de conscience que nous sommes enfermés dans des prisons, chaque système étant une forme d’emprisonnement s’il n’est pas véritablement choisit, s’il n’est pas vécu en conscience.

Comment s’évader, comment sortir, comment devenir libre si nous ne comprenons pas d’abord que nous sommes prisonnier ?

Comment accéder au non attachement si nous ne comprenons pas que nous sommes attachés à un système.

Ce texte est très libérateur, il peut vous faire comprendre que votre vie n’est peut-être pas votre vie véritable. Votre vie est-elle celle de votre robot, personnage ou celle de votre âme ?

Qu’il y a-t-il au fond de vous ? Qu’est-ce qui vous touche vraiment ?

Avez-vous choisi votre pays ? Avez-vous choisi votre famille ? Avez-vous choisi votre métier ? Avez-vous choisis tous vos amis ? Avez-vous réellement choisit votre conjoint ?

Qu’avez-vous choisi ?

Quelles sont les lignes de forces qui se sont imposées à vous ? Êtes-vous satisfait et heureux de votre vie actuelle ? Il y a-t-il quelque chose à changer ?

L’éveil, c’est aussi se rendre compte et prendre conscience de toutes les réalités : économiques, sociales, politiques, amoureuses, idéologiques, philosophiques, spirituelles.

L’éveil amène vers une plus grande liberté puisque l’éveil déconditionne.

Comment être heureux sans savoir qui nous sommes réellement ?

Comment devenir libre si nous restons collés dans ce personnage que la société nous a construit ?

Comment s’évader ? Comment voir l’invisible et sortir de la Matrice ?

Comment être soi ?

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« Cherches et tu trouveras » , »Demandes et on te répondra », « Frappes et on t’ouvrira » Jésus

 

Je vous souhaite d’aller au fond de vous-même,

Je vous souhaite d’atteindre le bonheur,

Je vous souhaite de réaliser ce qui vous fait vibrer,

Je vous souhaiter de tomber amoureux,

Et d’aimer la vie,

À l’infini.

 

Kunzang, le 3 octobre 2013

A comme Amour

Il t’aime

« Ce n’est pas moi qui t’aime,

C’est Dieu qui t’aime à travers moi,
Et comme il est l’infini,
Il n’a pas d’autre choix que de t’aimer,
Infiniment. »
Kunzang Gyamtso, Octobre 2013

P comme Pensées, P comme perspectives

Notre conscience, notre âme est toujours une et unifiée.

Notre conscience, notre âme est toujours une et unifiée

Ce que nous sommes est ce que nous sommes et ne peut avoir de contradiction interne.

Alors que se passe-t-il parfois me direz-vous ?

« Seules les pensées s’opposent ».

Nous avons la faculté de choisir des pensées opposées. Nous avons la liberté totale et suprême, aussi de ne plus être ce que nous sommes. Ainsi, en choisissant des pensées nous pouvons créer et modifier le personnage, l’égo. Nous avons aussi, et c’est ce qui se passe au départ souvent, la possibilité de s’identifier avec ce personnage.

Somme de tous nos conditionnements et de toutes nos pensées, le personnage est un résultat.

Comme 7 milliards d’autres nous participons à ce même jeu de personnage, à ces mêmes jeux de conscience, nous nous retrouvons finalement sur terre avec cette « réalité virtuelle » qui a généré le monde physique que nous voyons.

Nous pouvons choisir des idées, des pensées qui s’opposent si nous le voulons. Parfois certains d’entre nous donnent beaucoup d’énergies à des idées contradictoires, et cela crée de véritables tensions dans l’être. Si nous changeons d’idées très souvent, si nous investissons notre énergie dans des pensées qui s’opposent sans cesse, nous faisons du « sur place » : allons à droite, allons à gauche, avançons, reculons.

Certains sont tellement remplis de pensées opposées qu’ils ne peuvent plus bouger, ni rien décider.

L’univers tout entier répond à nos intentions. Comprenons qu’il se reconfigure à chaque instant pour répondre à notre volonté.

Une des voies est de ne plus choisir de pensées qui s’opposent, une autre est de ne plus choisir de pensées du tout, ou presque plus.

Si, dans le moment présent, on « surrender » à la vie, à ce qu’elle nous apporte, il est tout à fait possible de laisser les pensées s’envoler.

En laissant s’exprimer à chaque instant toute l’expression de notre être, de ce que nous sommes, nous n’avons plus besoin de vivre dans le système « duel » de choix de pensées.

Nous pouvons rester dans la présence du « je suis », « je sais », dans l’acceptation de ce qui est. Dans la dissolution la plus grande du faux personnage qui ne vit qu’à travers des pensées, toujours des pensées. Et c’est ce choix de pensées opposées qui perturbent et dépense beaucoup d’énergie.

Une autre solution est de faire des méditations non duelles afin de comprendre que l’opposition entre les pensées n’existe pas réellement.

Ce qui existe, c’est différents points de vue, différentes façon d’appréhender les choses. En réalité, si nous entrons dans une perspective non duelle, nous « savons » qu’aucune pensée ne s’oppose mais qu’elles ne sont que des perspectives différentes en fonction d’où nous plaçons notre conscience.

Toutes les pensées peuvent sembler justes et vraies en fonction de leur perspective. Lorsqu’on sait que nous sommes Dieu et que nous avons la liberté de toutes les appréhender de façon simultanée, nous entrons dans ce que j’appelle un univers de « multi-dualité », c’est à dire la possibilité de comprendre toutes les dualités et tous les points de vue.

Pour résumer, disons que la conscience ne peut être qu’une, qu’elle est amour et unité, que seules les pensées, outils de son divertissement peuvent sembler s’opposer en fonction de la perspective choisit.

Dans tous les cas, ne gaspillons pas notre énergie en choisissant des pensées opposées. Clarifions ce que nous sommes, ce que nous voulons être.

Kunzang Août 2013

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation « classique », après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que « quelque chose » se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose « allait » se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le « chaud froid » simultané dans mon corps. Je dis bien « mon corps » avait chaud ou froid et non pas « j’avais » chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée « je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid ». Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus « intelligents », non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

« Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux », ce que je veux, c’est l’éveil !

« Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel ».

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste « moi ». Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, « la molécule de la conscience », et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de « libérer » mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, « tiens, cri dans un coussin ! »

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient « ce rire est un mode de défense », je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit « nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade »

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein « les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers » !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement « nous ». Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de « laughing bouddha » et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je « suis » bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la « couronne des rois » est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, « make it fun » !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. « Make it fun » !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, « Make it drama » !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : « pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ? »

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013

P comme Peur

La peur est générée par l’illusion de la séparation. La peur nous emprisonne et nous limite.

La peur est ce qui nous limite

La peur nous emprisonne et nous limite

Nous sommes tous plus ou moins conditionnés à avoir peur, par exemple  :

  • Peur de la mort.
  • Peur de ne pas avoir assez.
  • Peur de perdre les êtres que nous aimons.
  • Peur d’échouer.

Mais si nous transmutons nos énergies de peur en énergie d’amour, de foi, de confiance, alors plus aucune limite ne peut nous retenir.

Pouvons-nous comprendre que rien ne peut nous arriver finalement ?

Pourquoi continuer à laisser les peurs et les conditionnements nous limiter ?

Nous sommes libres en réalité, nous sommes capable de tout !

N’oublions pas que nous sommes tous « Dieu », c’est à dire une conscience d’amour infini qui ne cherche qu’à expérimenter et à apprendre la vie.

Notre nature profonde est l’abondance, la joie, le bonheur, l’amour. Seuls des peurs ou des conditionnements peuvent nous empêcher d’être ce que nous sommes.

Mais je vous donne ce secret : nous sommes libres

Nous sommes libre d’effacer nos peurs, nos conditionnements et libre de reprogrammer des valeurs et des vibrations d’abondance, de joie, de bonheur.

Mais comment faire ?

Simplement en focalisant notre conscience sur l’amour, sur la joie, sur le positif, sur le cœur. Attention, cela n’empêche pas le discernement, au contraire.

Nous pouvons dépenser notre énergie dans le passé, dans le futur, dans le négatif, dans les problèmes.

Ou bien décider de focaliser notre conscience, ce que nous sommes, dans le présent, dans l’écoute, dans la présence.

Si dans la présence du moment présent, nous pouvons réussir, quelles que soient les circonstances, si nous pouvons être dans un état d’esprit, une fréquence, une vibration de paix, de joie, nous prendrons automatiquement les bonnes décisions.

Et les décisions prises dans un état d’esprit de partage, de joie, d’amour auront automatiquement des effets très positifs sur nos vies. La loi de cause à effet joue son rôle, quels que soient nos choix, quel que soit notre état d’esprit : nous pouvons unir ou nous pouvons détruire.

Nous sommes tous libre.

Restons dans cet état d’amour infini.

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Fondons dans le cœur, dans l’amour et restons dans cet état au moment de prendre nos décisions.

Ne focalisons pas notre conscience sur les peurs ou sur les idées négatives, utilisons notre conscience, notre énergie vers la lumière, vers l’amour.

Ce secret permet d’atteindre des niveaux d’abondance infinie dans tous les domaines.

Bien sûr notre environnement agit sur notre état d’esprit. Choisissons bien notre entourage, restons avec ceux qui nous donnent de la force, de l’énergie, de l’amour, de la passion. Fuyons les personnes négatives qui génèrent et communiquent l’énergie de peur, nous n’en avons pas besoin.

Être focalisé sur le positif et le cœur n’empêchent pas le discernement. Utilisons notre cerveau gauche et droit de façon simultanée, équilibré, soyons conscient au maximum de notre réalité.

Mantra à lire à haute voix :

« Je décide solennellement et maintenant, de tout mon cœur, de dissoudre toutes les énergies de peur qui m’ont conditionnées. Qu’elles disparaissent définitivement, je n’ai plus besoin d’elles. Je reprends ma liberté, maintenant. Merci. »

Kunzang Août 2013

L’expression divine de la vie

Nous n’existons pas réellement en tant que personne, mais plutôt en tant qu’expression divine de la vie, de la source qui à travers nous se vit.

Expression divine de la vie, de la source qui vit à travers nous

Expression divine de la vie, de la source qui à travers nous se vit.

 La vie qui à travers nous se vit génère nos aspirations, nos envies, nos volontés.

Attention à ne pas confondre les envies de l’ego, du personnage, et les envies du cœur bien sûr.

Car si l’on « surrender », si nous nous rendons au cœur, à l‘amour, nous laissons littéralement la vie, l’amour et la joie s’exprimer.

Alors nous pouvons commencer à vivre de façon divine.

Mais d’où vient cette énergie de vie ?

De la source bien sûr, de l’essence même de ce que nous sommes réellement : une source infinie de joie, de bonheur, de lumière et de paix.

Et c’est l’ouverture du cœur qui laisse entrer la vie, qui laisse le divin à travers nous s’exprimer.

Plus nous avons dissous notre personnage, plus la vie peut s’exprimer à travers nous, propageant union et amour. Alors, nous pouvons co-créer avec les autres, alors nous transformons notre environnement en quelque chose de magique.

Et si nous sommes plusieurs à utiliser cette vibration commune, une force incroyable se cumule et entre en synergie, en résonance.

Quand le divin travaille avec le divin, une énergie puissante et magique apparait, alors de belles créations sont possibles, alors la vie nous sourit.

Kunzang Juin 2013

J comme « Je sais »

Le pouvoir du mantra « je sais » est infini. Pouvons-nous comprendre qu’au fond de nous, dans notre cœur, ce que nous sommes réellement « sait » ?

Le divin que nous sommes, lorsqu’il se connecte à sa partie la plus intime, la plus sacrée « sait ».

Le pouvoir du mantra "je sais" est infini.

Le pouvoir du mantra « je sais » est infini.

Oui, au fond de nous nous savons. Nous savons que ce texte est vrai, que cette émotion est vraie, que je suis l’amour, que je suis la vie, que je suis la conscience infinie qui à travers ce corps, se vit.

Au fond de nous, nous savons la vérité de ce que nous sommes, nous savons que la seule réalité est l’amour et l’expérience que nous pouvons en faire.

Regardons notre entourage, centrons nous sur le cœur. Au fond de nous, nous savons qu’ils sont d’autres nous même, dans d’autres vies.

Il y a tout un tas de choses que nous savons, à l’intérieur. Au fond de nous, nous savons que c’est le divin, l’amour qui nous pousse à agir. Même si parfois, l’ego, le personnage détourne une partie de l’énergie, nous savons ce que nous sommes.

Nous savons qu’une force infinie, l’amour nous guide, nous transporte, nous aide, nous accompagne, partout.

Et quand ce sentiment  » je sais » s’exprime depuis le cœur, depuis la profondeur de notre âme, alors nous réalisons que tout est possible.

C’est au cœur, à l’âme, à l’amour que je parle, pas au mental ni au faux personnage que certains croient être, ni à l’ego.

C’est dans cette énergie de ‘je sais’, centrée sur l’amour et le cœur, que nous pouvons réaliser nos rêves.

Car le divin que nous sommes vibre à la fréquence du « je sais », si dans cette énergie d’amour nous réalisons que notre rêve est déjà réalité quelque part, ce sont alors des pensées de réussite, de réalisation et d’intégration qui se figent autour de nous.

Dans cet état vibratoire de « je sais » amoureux, nous intégrons en nous l’état de conscience qui va permettre la réalisation dans le monde physique.

Si nous dirigeons notre conscience sur un projet qui nous tient à cœur, et si nous lui superposons l’énergie du « je sais » que ce projet est déjà réalisé. Si je peux ressentir avec tous mes sens la réalisation, l’émotion de réalisation de ce projet, alors le « je sais » devient plus qu’une intime conviction, alors tous nos corps s’alignent et intègrent le fait que « je sais » que ce projet est réalisé.

Quand le Dieu que nous sommes sait, tout s’aligne sur l’énergie du « je sais », l’univers n’a pas d’autres choix que de réaliser sa volonté divine.

Car oui, nous sommes tous des Dieux, nous sommes tous l’âme universelle qui à travers nous se vit.

Pouvons-nous réaliser que nous sommes les seuls capable de nous limiter ?

Aucun autre que nous même n’a ce droit.

Allons au fond de nous, et ressentons cette vérité.

Oui, vous qui me lisez, ce que vous êtes réellement est de nature divine, vous n’êtes pas le robot ou le personnage que la société vous a construit. Ce que vous êtes, la conscience infinie, l’amour infini, l’espace, la présence est la force créatrice de l’univers, vous êtes, la vie.

Se connecter à l’énergie « je sais » sans doute, ni peur, permet d’aller au plus profond de nous. Nous nous connectons directement à notre âme, en court-circuitant le mental qui n’a pas le temps pour analyser, expliquer, comprendre. Nous savons, c’est tout.

Ainsi nous nous alignons avec les profondeurs de notre âme qui sait. Car c’est tout notre être qui sait. Savoir en éteignant l’ordinateur du mental, en dissolvant l’ego, le faux personnage permet d’accéder au supra mental, le cerveau du divin en quelque sorte.

Il faut pour cela dissoudre son ego le plus possible, de façon à éliminer tous les conditionnements, croyances, programmations. En étant très ouvert et en prenant en compte toutes les pensées et toutes les idées, nous commençons à choisir nos pensées, à sortir des schémas sociétaux, à devenir, libre.

L’âme qui s’exprime dans le cerveau droit et le cœur « sait » intuitivement tandis que le mental essaye de formuler et d’expliquer pourquoi nous « sait ». En réunissant et en équilibrant nos deux hémisphères, nous pouvons alors accomplir « sa » volonté en conscience qui devient alors littéralement la nôtre.

D’où la fameuse phrase : Que ta volonté soit faite et non la mienne (celle de l’ego). Mais quand nous devenons un avec le père et qu’il est un avec nous, il n’y a plus alors qu’une seule volonté commune.

« Je suis avec le père et le père est avec moi. »

Au-delà de l’intime conviction, il y a la réalité de ce que nous sommes. C’est cet aspect divin qui est en nous que nous pouvons connecter. Comme nous sommes littéralement Dieu, (Lire R comme Rêve) forcément nous « savons ». Cette sensation, émotion du savoir, en étant centré sur le cœur fournit une énergie puissante et infinie, elle révèle notre nature divine.

Au fond de nous, toutes les réserves et connaissances de l’univers nous sont accessibles si nous acceptons, comprenons et assumons ce que nous sommes réellement : Dieu incarné dans un corps humain pour expérimenter la matière.

Expérimenter la matière

Expérimenter la matière

Attention, l’énergie « je sais » ne doit pas nous faire tomber dans le piège « je détiens la vérité » car il y a 7 milliards de vérités. Le « je sais » est un je sais qui fait référence au cœur, à ce que je suis, à ce que je sais profondément. Ce n’est pas un je sais et les autres ne savent pas, au contraire, c’est un je sais intime permettant de savoir ce que nous sommes, et en même temps, je sais que tous les autres moi savent aussi finalement.

Car je sais qu’il n’y a pas d’autres, que ce que j’appelle les autres sont juste d’autres moi-même dans une autre expérience.

Et même si les « je sais » peuvent parfois s’interpréter différemment, je sais que chacun a le droit d’avoir sa vérité, son interprétation de ce qu’il est.

Le Dieu que nous sommes à la liberté de s’interpréter 7 milliards de fois différemment, de vivre et être ce qu’il veut. C’est ça être humain, c’est incarner dans la matière le divin qui à travers nous se vit. Et si le Dieu que je suis devient ivre de matière au point d’oublier qui il est, et bien c’est très bien ainsi !

Nous naissons humain, mais nous mourrons divin. Et si nous savons mourir avant la mort physique de notre corps, alors nous comprenons le divin que nous avons toujours été, que dès la naissance, nous sommes l’expression divine, au-delà  des conditionnements, des souffrances et des traumatismes que nous avons pu expérimenter.

Je sais ce que je suis, je suis la puissance d’amour infini qui à travers nous, se vit.

Connectons nous sur le cœur et ressentons cette énergie « je sais »,  écoutons ce qui nous arrive. Quelles sont nos intuitions, nos émotions ?

Faisons une pause, notons tout ce qui nous arrive.

pause

Que savons-nous ?
Sentons la puissance du « je sais » monter en nous :

Je sais que je suis, l’amour,
Je sais que je suis indestructible, immortel,
Je sais que je suis tous mes frères, et toutes mes sœurs,
Je sais que nous sommes un,
Je sais qu’il n’y a que nous,
Je sais que ma pensée est créatrice car je suis Dieu.
Je sais que je sais,
Je sais que l’amour est la vérité, que la matière n’est qu’une projection de mes pensées,
Je sais que tout est moi, je sais qu’il n’y a que moi, que nous, partout.
Je sais que tout ce que je crée est une expression de ce que je suis, l’amour infini.
Je sais que je suis toi, et que tu es moi.
Je sais que je t’aime, que tu es la vie, que tu es, l’infini.
Je sais que tout le monde ne le sait pas encore,
Je sais aussi qu’avec ce message, beaucoup vont comprendre ce qu’ils sont.
Je sais que l’amour est la clé pour se dissoudre, et pour faire un avec le père.
Je sais que l’amour, la plus grande force de l’univers à travers nous se vit.
Je sais que si je choisi l’amour, l’union, je vais construire.
Je sais que si je choisi la séparation, la peur ou la haine, je vais détruire.
Je sais que c’est moi qui choisis.
Je sais que je ne suis pas mes pensées, que je ne suis pas le personnage, l’ego.
Je sais que je suis l’âme d’amour infini, qui dans ce corps se vit.
Je sais que je suis l’amour, la vie.
Je sais que je suis libre d’être, ce que je veux.
Je sais que de bonheur je pleurs, quand dans tes bras je meurs.
Je sais que je suis le créateur de ma vie,
Je sais que je suis libre, d’être ou de ne pas être, de faire, ou de ne pas faire.
Je sais ce qui est bien pour moi,
Je sais que personne ne doit me dire ce que je dois faire, ce que je dois être,
Je sais que je peux penser par moi-même,
Je sais que je peux sortir des conditionnements,
Je sais que je suis Dieu incarné dans ce corps pour mon expérience de vie,
Je sais que ma vie peut devenir divine et belle, en fonction des pensées que je choisis.
Je sais que je suis maître de ma vie, que je peux choisir ce qui est bien pour moi.
Je sais que je t’aime, que tu es un autre moi même, derrière ces lignes,
Et maintenant que toi aussi tu sais que nous sommes un,
Vivons en paix et en harmonie, dans la joie et dans l’amour.
Co-créons ensemble et partageons ce que nous sommes,
Ce que nous,
Savons,
Partageons,
L’amour
Partageons
La lumière.

Je t’aime et je te bénis,

Reçois mon amour,

Infini,

Kundun juillet 2013

H comme Heureux

Quels sont les chemins de vie possibles ? Peuvent-ils tous nous rendent heureux ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Nous avons le choix parmi plusieurs chemins, en voici quelques-uns :

La voie du personnage :

C’est la voie qui nous pousse à toujours vouloir plus. Toujours plus de biens matériels, plus d’expériences excitantes et fascinantes, plus de personnes, plus de tout, sans jamais savoir qui nous sommes vraiment et pourquoi nous sommes là.

Cette voie est celle de l’égo centrée sur un personnage imaginaire qui n’existe que dans notre esprit. La preuve, lorsque nous mourrons, il ne reste plus rien. Poussée à l’extrême, cette voie peut mener vers des conflits, des guerres, un partage non équitable et un épuisement des ressources. C’est l’idée du « moi d’abord ».

Ce chemin mène vers un accroissement de l’ego qui s’alimente de ses réussites. Le malheur va en grandissant si un chemin spirituel n’est pas recherché en parallèle.

En effet, la logique de cette voie est d’être de plus en plus dans la peur de perdre et de se méfier des autres. Ces personnes sont plus orientées cerveau gauche. Comme il y a une identification aux pensées et à la personne, il n’y a plus aucun temps disponible pour évoluer. Ces personnes travaillent beaucoup sans jamais prendre le temps de souffler. Le jeu de ce personnage est : « J’existe au détriment des autres ». « Je suis différent des autres et ils me font peur. » « Pour exister, je dois posséder de plus en plus de biens matériels pour remplir mon vide intérieur. »

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à donner, penser aux autres, tomber amoureux, fréquenter des personnes sur un chemin spirituel, rencontrer des cerveaux droit dominant : artistes, créatifs, par exemples.

La voie de la dévotion

Comment utilisons nous notre temps pour aider les autres et faire avancer l’humanité vers un monde meilleur.

Cette voie est tournée vers les autres, vers l’union, l‘amour. L’idée est la co-création et un partage juste de la valeur créée.

Les êtres qui ont conscience d’être sur un chemin spirituel vont naturellement vers cette voie, chacun accomplissant sa tâche, à son niveau.

Ce chemin amène vers la libération, l’illumination puis la réalisation. Ces personnes finissent tôt ou tard par rencontrer Dieu dans leur méditation ou leur expérience. Le développement de la capacité d’aimer, des fonctions du cerveau droit amène vers un éveil progressif.

Tout au long du parcours, on prend conscience grâce à l’amour que les autres sont nous, dans un autre corps, expérimentant une autre expérience de vie.

Poussés à l’extrême, certains peuvent oublier d’être dans l’équilibre et de s’occuper de soi aussi. Car un équilibre est nécessaire si l’on souhaite rester dans le juste. L’aide des autres ne doit pas être une fuite en avant pour oublier ses propres problèmes.

Ces personnes sont plus cerveau droit dominant. Parfois, elles ont des problèmes d’argent car elles n’ont pas encore compris que l’argent était une énergie comme une autre, neutre et très utile. Attention à penser aux autres tout en continuant à penser à soi.

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à recevoir, penser à soi, rester en contact avec des personnes qui sont plutôt sur l’autre chemin et qui sont cerveau gauche prédominant.

La voie du milieu

Cette voie est la voie du milieu, c’est à dire être sur les deux chemins précédents en même temps.

L’idée est de rester sur un équilibre corps / esprit / mental ainsi qu’un équilibre cerveau gauche / cerveau droit.

Aussi l’idée est d’être dans un équilibre de toutes les polarités : féminin / masculin; intérieur / extérieur; matériel /spirituel, etc.

Proche des idées taoïste, la vie du milieu accepte tout et ne rejette rien. C’est dans l’équilibre, c’est à dire dans le « ni trop, ni trop peu » de chaque chose que nous pouvons « être » de façon équilibré. L’excès ou le manque amène souvent vers la souffrance alors que l’équilibre amène vers la sagesse.

Kundun août 2013

E comme Enfants. E comme Evolution.

Notre monde change et évolue.

Quoi que l’on fasse, l’humanité va continuer à s’éveiller.

Enfants Évolution

Enfants Évolution

En effet, si nous sommes attentifs, nous pouvons constater que les nouvelles générations sont de plus en plus éveillées, de plus en plus conscientes.

A chaque vague d’adolescents, d’enfants, de jeunes adultes, une nouvelle énergie de progrès se diffuse. Par de nouvelles musiques, de nouvelles inventions, de nouvelles façons d’être et de penser, par de nouveaux systèmes économiques.

Prenons du recul et constatons l’évolution de l’humanité ces 50 000 dernières années.

Pourquoi cette évolution ?

Tout simplement parce qu’à chaque fois que l’âme universelle se réincarne en nous, à chaque fois qu’un bébé naît, c’est la « dernière version » en quelque sorte de ce que nous sommes qui apparait.

Les âmes des nouveaux enfants sont le résultat de toutes les lignées, de tout ce qui a été appris précédemment.

Pour cette raison l’humanité ne peut que progressivement s’améliorer.
Il y a comme un combat entre deux grandes puissances : d’une part les conditionnements sociétaux, l’éducation, les programmations mentales et d’autre part l’énergie d’éveil et de liberté des nouvelles âmes. A la fois il n’y a qu’une seule âme universelle, et à la fois, il y a des spécificités, comme des âmes spécialisées en science, en art, en sport, etc.

A chaque génération, les jeunes expriment la nouvelle énergie, le renouveau et progressivement changent le monde.

Regardez comme les adolescents sont rebels, regardez comme ils ne se laissent pas facilement programmer.

Car ce ne sont pas les adultes qui changent le monde, ce sont les enfants, les adolescents qui réussissent à conserver leurs rêves.

A chaque vague générationnelle, les adolescents luttent pour imposer leur niveau de conscience, pour exprimer l’éveil qui vit en eux depuis leur naissance.

Car oui, lorsque l’âme universelle s’installe dans chacun de nous, à la naissance, nous naissons en tant que dieu vivant.

Et nous pouvons nous incarner dans autant d’humains que nous le souhaitons dans l’univers car au final il n’y a qu’une seule âme. A la fois, il n’y a qu’une seule âme, et à la fois, de notre perspective, nous sommes une âme individuelle qui se réincarne.

Les enfants sont extraordinairement sacrés au sens où ce sont tous des bouddhas éveillés, non encore conditionnés, non encore programmés.

Multidimensionnelle, leur présence nous éveille. Car c’est dans la présence qu’ils nous enseignent. Ils sont la vie, ils sont l’espoir, ils sont le futur de l’humanité.

Faisons une pause, méditons sur cette compréhension. Les enfants sont sacrés.

transformation Evolution

A chaque nouvelle naissance, c’est l’arrivée d’un nouveau dieu sur terre qui va éclairer le monde. En fonction du milieu, de l’environnement, l’âme va pouvoir s’exprimer, se développer puis s’épanouir.

A chaque réincarnation individuelle, c’est une âme plus riche de ses expériences qui arrive, une âme qui a appris. Ainsi l’humanité progresse, ainsi les nouvelles générations, comme des vagues, éveillent le monde.

Nous assistons d’ailleurs à l’apparition d’êtres éveillés de plus en plus jeune : Jeff Foster, Bentiho Massaro, et beaucoup d’inconnus aussi.

Comme l’éveil spirituel, la spiritualité se démocratise dans les familles, nous créons l’espace, pour la naissance d’êtres de plus en plus illuminés. Plus les parents vont laisser les capacités naturelles de leur enfant se développer, même les capacités de voir l’invisible, sans jugement ni limitation, plus de nouveaux êtres vont apparaître.
Faisons confiance aux enfants, ne les castrons pas lorsqu’ils viennent avec leurs histoires merveilleuses car ce sont eux qui sont dans la vérité.

Avec eux, les adultes peuvent comprendre l’invisible qu’ils ont juste « oublié » lors de l’identification à la personne, là cause de leur conditionnements.

Oui, l’âme universelle que nous sommes tous, s’éveille à travers nos corps, oui, c’est elle que vous voyez quand vous regardez un bébé, quand vous regardez un enfant.

Pensez y la prochaine fois que vous serez en leur présence, et sentez, ressentez la vie.

Ressentez l’amour infini qui se dégage de ces êtres de lumière.

Prenez conscience qu’ils « sont » littéralement « nous », dans une autre vie, dans un autre temps, dans un autre espace.

Ils sont l’évolution en marche, ils sont la vie qui se transmet, depuis la création du premier homme et de la première femme.

Comprenons qu’ils détiennent toutes les réponses.

Ils sont la vie, ils sont l’amour infini, ils sont l’espace des possibles, ils sont la présence.

Il nous suffit de les laisser vivre, s’exprimer, dans l’amour, dans le bonheur, dans la joie.

Notre responsabilité est immense, prenons soin d’eux, et comprenons

Qu’ils sont le sacré du sacré,
Qu’ils sont,
Nous.

Kundun, juin 2013

N comme Nde

Si les expériences de NDE (Near Death Experience ou expérience de mort imminente) démontrent que la conscience continue pendant un arrêt du fonctionnement du cerveau, cela démontre aussi que ce que nous sommes, la conscience infinie utilise le cerveau et notre corps physique comme interface avec cette dimension matérielle.

NDE : Expérience de mort imminente

NDE : Expérience de mort imminente

Imaginons un instant que nous soyons une conscience vibrant à une certaine fréquence. Notre conscience est reliée à notre corps physique qui, par l’intermédiaire des sens lui renvoi des informations.
En réalité, comme il n’y a qu’une seule conscience et que nous sommes un, c’est la mémoire de notre corps qui nous donne l’illusion de la personne et qui permet le système d’identification a cette personne.

L’éveil est une dés-identification à la personne.
Les expériences de morts imminentes amènent aux mêmes prises de conscience que les méditations profondes : nous sommes une conscience d‘amour infinie.

Finalement, si on veut être vraiment objectif, personne n’a jamais démontré que la conscience se situait dans le cerveau. Qu’est ce que cela a de si extraordinaire d’accepter que le cerveau est juste un récepteur ?
Pourquoi est ce si dur de faire table rase, de faire comme si nous ne connaissions rien ?

Pouvons nous imaginer qu’il n’y a qu’une seule conscience qui vit a travers de nombreux corps, que ces corps physique possèdent des sens qui ont pour fonction d’agir localement à travers nous ?
C’est comme si nous étions les cellules d’un seul et même organisme, d’une seule et même conscience qui aurait plusieurs corps.
En réalité, cela n’a rien de si extraordinaire d’imaginer que nous sommes littéralement une seule et même conscience.

Évidement, cela demande une ouverture d’esprit, de la sensibilité et du recul face à nos croyances.
Le fait que des personnes enregistrent, mémorisent et continuent à être conscient, alors que leur corps et leur cerveau ne sont plus disponible, démontre : soit qu’il existe un cerveau virtuel hors du cerveau physique, soit qu’il existe une délocalisation des fonctions du cerveau. Dans les deux cas, il devient évident que la conscience ne se situe pas dans la boite crânienne.

Kundun, aout 2013

 

Voyage de femme dans le Sahara

Retraite d’amour, Paix des femmes dans le Sahara

Du 24 Octobre au 1er Novembre 2013, Myriam de El Aïma accompagnement et chant sacré vous propose ce voyage de femmes, cette retraite d’amour pour retrouver la paix au coeur des merveilles du désert marocain.

Présentation – Contenu du stage – Ouverture des clés d’Isis

Présentation :

El Aïma accompagnement

El Aïma accompagnement

Bonjour à toutes,

C’est avec une grande joie, le soleil du désert dans mon cœur, que je vous écris. Je vous invite à vivre un voyage sacré à la source des femmes.
Une retraite d’amour et de paix vous attend dans ce lieu privilégié avec la terre mère du Sahara, où se révèle la véritable beauté de notre essence.
Tout en douceur  au rythme de la vie marocaine et de la caravane nomade, nous entrerons dans notre espace intime de silence et de création.
Nos vibrations communes et individuelles nous amèneront dans la co-création consciente.
Je vous invite à un voyage où les mots : sérénité, authenticité, harmonie, liberté seront nos guides.
Nous contacterons notre douce puissance de femme et accueillerons notre véritable dimension.
Nous marcherons chacune dans nos propres pas et ensemble nous nous unirons pour célébrer la danse joyeuse de la vie qui s’écoule en nous…

J’ai choisi un circuit depuis Ouarzazate

« La porte du désert, la ville sans bruit ».

Nous descendrons par étape le long de la vallée du Drâa qui nous conduira au désert de Mhamid. Le stage commencera le 24 oct et se terminera le 1er nov. Arrivée le 23 oct au soir et retour le 2 nov au matin.
Dans chaque journée il y aura des temps de stage et de découverte, des visites pour les 2 premiers jours le long de la vallée, puis des temps de marche chaque matin dans le désert.
Les temps de stage seront l’après midi et en soirée autour du feu, après le coucher de soleil  dans la grâce du présent si intense …
Nous passerons 5 jours complets dans le désert.
Mahjoub et son équipe nous guideront dans le désert avec une véritable dignité dans le service et la sagesse joyeuse.
Je me réserve de tout vous dire, comme ils disent ici :

« Le désert ne se raconte pas, il se vit ».

Nous finirons ce séjour  le 31 par une rencontre avec les femmes marocaines avec un atelier cuisine et henné dans le partage du cœur avec nos sœurs.
Sur le chemin du retour à Ouarzazate nous irons au hammam et nous recevrons un massage. La dernière soirée  se déroulera  en musique, et nous finirons par le dernier cercle du stage.

Je remercie la Source , Isis, Marie et Jeshua de m’avoir guidé en ce lieu pour me révéler encore plus à l’Amour et vous y conduire à mon tour.

Nous sommes femmes de chemin et de passage alors profitons pleinement du voyage…

Merci à nous toutes et tous …

Myriam

Contenu du stage :

Des explorations qui nous conduisent à être, à vibrer notre essence, à créer par la danse libre, le mouvement naturel énergétique de nos corps, le chant libre, les sons sacrés, dans la conscience de l’énergie.

Être dans la présence intime Amour et Joie !

Cercle de paix, cercle de guérison, méditations, danses et chants sacrées, tantriques et chamaniques, jeux et improvisations dans l’instant …

Une œuvre de réunification, de lâcher prise, d’acceptation, de conscience du cœur, d’émerveillement et d’innocence.. Créer à partir du silence, de la vive présence.

Ouverture des clés d’Isis :

Retraite d'amour et paix des femmes dans le Sahara

Retraite d’amour et paix des femmes dans le Sahara

Isis nous guidera à activer les clés qui ouvrent les portes de notre Arbre de Vie. Transmission des premières clés fondamentales. Elles nous aideront à ancrer et incarner ce que nous allons pétrir ensemble.

Je vous laisse goûter le nectar des roses qui s’ouvriront en vous dans cet enseignement où la grâce s’incarne.

Artiste, enseignante, j’aime accompagner et transmettre. Je suis avant tout femme de chemin, un être sensible, heureuse d’être présente à la vie qui s’offre. Je trouve en moi le contact avec la source à travers l’expression sacré du corps et de la voix. J’aime laisser vibrer et résonner la joie en moi et dans les rencontres, m’unir à la force de la nature et du cosmos, vivre en vérité, libre d’être et de choisir dans la simplicité. Je serais très heureuse de vibrer chœurs à cœurs, cœurs accords avec vous…

avec toute ma tendresse,

Myriam

Pour en savoir plus : www.el-aima.com
Vous trouverez les tarifs sur la feuille de route à cette adresse en cliquant ici

Vous pouvez m’appeler au 06 38 81 73 44 ou me joindre par le formulaire ci-dessous

Attention : Il ne reste plus que 5 places pour ce voyage exceptionnel

www.mhamidvoyages.com

www.el-aima.com

C comme Contrôle

L’égo, la personne a parfois l’impression qu’elle contrôle la situation.

Plus elle progresse dans le contrôle des autres personnes, des situations, de ce qui se passe, plus elle génère une énergie de force et de volonté de plus en plus difficile à maintenir, de plus en plus stressante.

L'égo, la personne a parfois l'impression qu'elle contrôle la situation

L’égo, la personne a parfois l’impression qu’elle contrôle la situation

Le proverbe « l’homme fait des plans, et dieu rigole » est très significatif.

Plus nous pouvons dissoudre la personne, nos conditionnements, et plus nous allons vers la foi, plus nous avons confiance en la vie.
Au contraire, si nous suivons à l’extrême la personne, l’égo, nous allons vers l’illusion du contrôle de notre environnement.
Il y a d’une part un chemin qui mène vers le bonheur, un « surrender » total au divin qui à travers nous se vit, et d’autre part un chemin rempli de souffrance où nous essayons d’aller à l’encontre des événements et de la vie.

Acceptons et affrontons les situations. Ne fuyons pas. Elles existent pour nous apprendre quelque chose.

Chaque seconde de notre expérience, par notre intuition, par notre imagination, nous recevons le plan divin, nous sommes guidés par la vie.
Si nous savons écouter, la joie et le bonheur se retrouvent sur notre chemin.

Si la personne prend le contrôle de la conscience, du cœur, alors, il existe comme un détournement de cette énergie qui va alors s’investir dans une action non juste.

Le contrôle est basé sur l’illusion de la séparation. Si nous comprenons que nous sommes un et qu’il n’y a pas de séparation, nous pouvons nous laisser porter par le flux de la vie tout en écoutant nos intuitions. On passe alors du « contrôle » au « lâcher prise ». Témoin de la vie, nous devenons alors spectateur de l’énergie de vie, qui à travers nous se vit.

Plus nous allons vers l’éveil et la dissolution de la personne, plus la vie se libère à travers nous.

Kundun, Mai 2013

Je suis la joie

Je suis la joie,
Sans raison,
Sans façon,
Rempli de bonheur,
Je suis devenu la joie,
Pourquoi pas.
Un sourire,
Un regard,
Une intimité,
Une énergie,
Et je deviens,
Toi,
Moi,
La vie.

Poème de Kundun, Mai 2013

C comme Co-création

Qu’est ce que la co-création ?

Lorsque deux ou plusieurs êtres commencent à vibrer à une certaine fréquence, lorsqu’ils sont en phase, en harmonie, une énergie positive de co-création s’active. Alors des idées apparaissent, des d’intuitions pleuvent, une énergie créatrice se propage.
Le plaisir et l’amour, la passion et l’envie de co-créer ensemble un projet commun grandit.
L’amour est l’énergie, le carburant de toute création. Que ce soit pour un projet artistique, professionnel, scientifique, humanitaire, le moteur est toujours l’amour.
Car l’amour est l’énergie divine, l’expression de la vie elle même.

Le monde : co-création

Le monde : co-création

Pouvons nous ressentir la passion, l’énergie de création ?

Quand nous nous regroupons pour créer, il y a comme une énergie de groupe qui se propage et qui se met en place : c’est comme si le groupe était devenu un seul et même être autonome et indépendant.
De la même façon que notre corps humain contient des cellules, le travail en groupe de deux ou plusieurs personnes crée un nouvel organisme vivant : le projet, l’égrégore.
Que ce soit en couple ou à plusieurs, nous nous mettons alors à vibrer ensemble.
Tel les musiciens d’un orchestre, nous nous synchronisons pour exprimer une idée, une musique, un projet, une œuvre, une mission.
Et lorsque nous, humain comprenons, que travailler ensemble est l’expression de l’amour qui est en nous, alors nous devenons capable des plus belles réalisations.
Car ensemble, c’est la partie divine qui est en nous, le cœur qui s’exprime.
Nous ne sommes que les cellules d’un immense organisme de 7 milliards d‘âmes.
A la fois il n’y a qu’une seule âme universelle qui s’exprime, et a la fois il y a 7 milliards de lumières qui ensemble éclairent le monde.
C’est comme si le soleil s’exprimait à travers 7 milliards de rayons de lumières. A la fois nous sommes tous un, et à la fois, chaque rayon a une fonction.
Et c’est l’émergence de regroupements, de cette fusion collective et lumineuse qui a permis à l’humanité de découvrir toutes les lois de l’univers, toutes les inventions.
Ensemble, nous créons littéralement le monde.
Chaque artiste, chaque découvreur n’est que l’aboutissement et la continuité de ses maîtres. Nous sommes chacun la suite de notre lignée familiale, de notre lignée spirituelle ou scientifique. Tel un arbre, l’humanité, la conscience infinie à travers nous se découvre et se construit.
Et c’est ensemble que nous construisons la société humaine, pas à pas.

Pouvons nous comprendre que nous sommes sacrée ?

Nous sommes tous l’expression du divin. Chacun d’entre nous est une cellule de ce que certain appel Dieu. A la fois nous sommes tous profondément égaux, et à la fois, nous avons chacun une fonction. De la même façon qu’il y a des cellules du foie et des cellules de la peau, il y a des cellules jardiniers, et des cellules menuisiers.
Nous avons besoin de chacune des cellules de l’humanité. Pouvons nous comprendre que nous ne pouvons nous réaliser que dans l’union. C’est ensemble que nous construisons l’humanité, depuis très longtemps, en expérimentant, en cherchant et en trouvant.
Et ce n’est qu’ensemble que nous pouvons faire avancer la science.
Rappelons nous que le web a été inventé au CERN pour aider les chercheurs à partager leurs ressources et à travailler ensemble.
Oui, c’est l’amour qui pousse l’homme à grandir, à s’élever. Tandis que l’égo cherche à cacher, à récupérer pour lui seul à contrôler à diviser, le cœur, l’amour cherche à partager ses connaissances pour le bien de tous.
Progressivement, des systèmes ouvert et « open source » permettent au monde de travailler ensemble différemment. Regardons comment le projet Mozilla a été créer.
les systèmes fermés sont obsolètes car ils empêchent la co-création et la créativités.

De plus en plus, une énergie de partage et de co-création se diffuse, partout. Les groupes qui fonctionnent le mieux sont ceux qui partagent l’information, qui co-crée ensemble dans l’amour et le partage. Ceux qui gardent l’information, qui ne partagent pas freinent la créativité, les synergies.

Nous sommes actuellement les témoins d’un gigantesque changement de paradigme, pouvons nous le voir ?

Les anciens systèmes s’écroulent pendant que les nouveaux, plus ouverts, plus libres apparaissent. Rien ne peut arrêter l’évolution naturelle de la vie qui à chaque instant s’améliore.
Plus nous allons vers le travail collaboratif, vers le partage équitable et juste, plus nous améliorons le système.
Le XXI siècle est le siècle des changements de paradigmes et de l’éveil planétaire dans tous les domaines. C’est une méta-révolution qui a lieu sous nos yeux.
Car les changements de valeurs, l’éveil des populations, invisible, mais pourtant bien présent participe à tous ces changements.
Internet est la plate-forme qui permet à tous d’accéder à l’information, de contacter des êtres rares et de créer des groupes pour co-créer ensemble.
C’est totalement inouï, mais pour la première fois depuis le début de l’humanité, nous pouvons réellement nous connecter les uns les autres, quelque soit les distances.
De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble sur la terre, recréant les mécanismes de la vie, et créant ainsi les conditions permettant la co-création et l’émergence d’un éveil planétaire global.

De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble

De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble

Pouvons nous comprendre que c’est cette interconnexion qui révolutionne le monde moderne ?

Aujourd’hui, si nous vibrons à une certaine fréquence sur internet, nous pouvons attirer et faire résonner tous ceux qui vibrent à la même fréquence. Ainsi dans le monde entier, tous ceux qui s’aiment peuvent s’unir.
Rencontrons nous, partageons l’amour.
Exprimons le divin qui est en nous, et co-créons ensemble.
Ne soyez pas timide, si vous avez des projets, connectez vous au portail Infinite Love, exprimez vous, faites vous connaître, regroupez vous, aimez vous.
Nous sommes là,
Pour vous.

Kundun mai 2013

Atelier d’alchimie

Léonardo Anfolsi vous propose du Vendredi 7 juin à 21h  au Dimanche 9 juin 2013 à 18h un atelier d’alchimie véritable.

Nous vous offrons cet atelier comme un don de savoir et d’expériences, offert sans retenue, à partir de la Tradition. Ce que nous avons découvert ou expérimenté est exposé ouvertement pour quiconque ose sincèrement se poser des questions, parce que nous connaissons l’époque dans laquelle nous vivons.

PRESENTATIONPARTICIPANTSLEONARDO ANFOLSI INFOS PRATIQUES

Cet atelier ouvert :

  • Vous montre en temps réel la création d’Arcanes de Mélissa à base de plantes, qui seront partagées par tous. Elles vous donnent des recettes très anciennes et efficaces, au plan général et individuel, avec des potentialités que vous pouvez comprendre et utiliser immédiatement.
  • Vous permet de travailler immédiatement avec les instruments authentiques des anciens maîtres de la tradition hermétique de l’Orient et de l’Occident, abordant vos questions et votre destinée d’une manière qui fait effectivement de vous « votre propre guide », sans réserve.
  • Vous invite à faire partie d’un groupe de chercheurs libres qui partagent chaque mois les résultats de leurs expériences, ou vous procure tous les contacts et l’information pour poursuivre vos recherches par vous-même.

L’atelier peut être mené en italien, en français et en anglais, et il est dirigé par Leonardo Anfolsi et un groupe de ses amis chercheurs.

ATELIER OUVERT D’ALCHIMIE VÉRITABLE

Il s’agit de l’alchimie utile aujourd’hui pour le bien-être et l’auto-initiation de chacun.

Ce travail sur la transformation inclut :

    • les ARCANES : l’auto-harmonisation par des remèdes à base d’herbes et de minéraux, réalisant la connaissance des Lois de l’Univers ;
    • la MÉDITATION enseignée pour l’accomplissement de la recherche intérieure afin d’atteindre l’illumination ;
    • la DESTINÉE pour acquérir les outils permettant de travailler RAPIDEMENT sur les quatre points de votre personnalité :1/ les choix (passé, présent, futur) 2/les relations 3/ l’éducation et 4/ la connaissance (conscience, divination, vision). Ce point sera davantage développé dans les prochains ateliers.
    • Le BIEN-ÊTRE de votre esprit, votre énergie et votre corps
  • comment réactiver les réponses immédiates du système nerveux extrapyramidal en utilisant des techniques spéciales qui nous permettent d’accroître notre agilité et d’obtenir des réflexes incroyablement rapides ;
  • découverte d’une nouvelle flexibilité du corps et de l’esprit grâce à la régénération quotidienne des cellules nerveuses et le renforcement des tendons ;
  • comment se agir soi-même et prévenir les accidents ;
  • comment produire la réponse rapide en anaérobie endogène aux facteurs de stress ;

Ce travail sur l’énergie se concentrera sur :

  • cinq niveaux d’énergie – leur compréhension, leur réactivation, leur usage ;
  • la compréhension de la barrière d’énergie, du flux d’énergie et de l’énergie auto-régénératrice ;
  • la thérapie par la respiration et le souffle ;
  • les techniques de régénération de l’énergie dans la vie quotidienne : en situation de communication, dans les relations, le travail.
Affiche Atelier d'Alchimie véritable

Affiche Atelier d’Alchimie véritable

Charte des participants

cette charte est à signer vendredi 7 juin 2013 avant le début de l’atelier:
Vous êtes les bienvenus pour participer à nos Ateliers Cosmopolites :

  • Si vous êtes capable de faire preuve d’enthousiasme et de gratitude et si vous vous engagez à partager de manière appropriée les meilleures découvertes de votre vie.
  • Si vous comprenez qu’aucune religion n’est supérieure à la réalité et que vous percevez qu’aucune idée, théorie ou opinion n’est supérieure au mystère vivant d’une feuille d’arbre ou à votre perspicacité naturelle.
  • Si vous êtes pleinement responsable à tous les niveaux, y compris un élargissement du sens de l’expérience résultant de ces ateliers.

NOTES BIOGRAPHIQUES CONCERNANT

LEONARDO ANFOLSI

Leonardo est né en 1959 à Bologne. Comme tous les enfants, il adorait explorer, courir et sauter, mais quelquefois il posait de très sérieuses questions existentielles aux adultes qui, la sueur au front, essayaient de lui répondre. Une question de ce genre était : « Pourquoi courez-vous comme si vous alliez mourir ? »
Un jour, il voulut comprendre ce que l’on ressent au-delà des sens : alors il se boucha les oreilles, ferma les yeux et essaya de voir quelque chose, mais il ne put trouver quoi que ce soit ressemblant à ce que les adultes racontaient à l’église. Il trouva une lumière dansante. Il appela plus tard cette expérience « la fontaine des lumières ». C’est pour cette raison qu’adulte, il continua ses expériences et ses recherches dans le champ de l’esprit et de la conscience.
Enfant, un compagnon de jeux lui dit un jour : « Peut-être sommes-nous tous en train de rêver ». Comme son ami lui disait cela, Leonardo ressentit une absence de poids dans son corps et sa respiration s’évanouit ; il dit au garçon : « Mais mes parents ne m’ont jamais rien dit de semblable ! » Le garçon lui répondit à brûle pourpoint : « Peut-être sont-ils eux aussi en train de rêver ». Depuis ce jour, il ressent souvent cette impression au coucher du soleil,et glisse dans un état de joie océanique où toute chose est incluse.
A l’âge de dix-sept ans, il ouvrit un livre d’Alan Watts et découvrit que cette expérience était déjà connue. C’est ainsi qu’il rencontra le Zen, et pendant plus d’une semaine, il ne put contenir la joie de cette découverte, au grand agacement de ses amis.
A dix-huit ans, il franchit le seuil du monastère de Zenshinji, et depuis lors il étudie et pratique avec le Maître du Rinzai Zen Engaku Taino, successeur de la lignée d’Hakuin Ekaku et Taishitsu Mumon. Il y a passé de longues retraites, alternant la pratique et les voyages, l’escalade, les pèlerinages, et toutes sortes d’artisanats.

L’auteur.

Franco Battiato a publié un livre de L. Anfolsi en 1987 : il fut le seul auteur italien de l’estimable collection L’Ottava, supervisée personnellement par F. Battiato, qui rassembla quatorze titres. Le livre de L. Anfolsi « Bananananda » est le neuvième de la série, qui comprend des textes de Gurdjieff, Soseki, Al Qadir Jilani.
Il a également publié divers livres en relation avec la spiritualité et la philosophie. L’un de ceux-là contient une préface d’un professeur mondialement connu, l’érudit Lama tibétain Namkhai Norbu, qui lui a longtemps enseigné les méthodes du Dzogchen. En 2007, L.Anfolsi a publié un manuel relatif à la pratique de la méditation Zen : « Zen Koan », et quelques livres électroniques sur des sujets semblables.

Le chercheur et le formateur.

L. Anfolsi est chercheur en médecines naturelles depuis sa jeunesse et reste très motivé par cette passion ; il a étudié l’usage thérapeutique des plantes, des métaux, des minéraux et les champs énergétiques. De ce fait, il a rapidement acquis de la notoriété et du mérite en travaillant avec des médecins et des professionnels de santé. En 1983, on l’a choisi comme directeur du centre de thérapie de l’importante et renommée institution naturiste européenne, l’ « Association Naturiste de Bologne ».

Le Moine, l’Initié, l’Enseignant.

L. Anfolsi est un enseignant bouddhiste contemporain, dans la lignée du Rinzai Zen. Il fut ordonné en avril 1981 à l’âge de vingt-deux ans en tant que « Reyio », après quatre années de pratique. Il est aujourd’hui encore ministre du culte de cette même tradition. En voyageant, en explorant la spiritualité et la civilisation globale, il a bénéficié de l’éducation ou de la formation de professeurs de toutes les ethnies, y compris le Dalai Lama, leader des Tibétains en exil, Adam Fortunate, Aigle des Sioux Lakota, Baba Balnath en Inde, Douglas Harding en Angleterre. Le Lama Gomo Tulku, un voyant très respecté des Bouddhistes tibétains de toutes obédiences, l’a reconnu comme l’émanation contemporaine d’un ermite du passé.
Son ami et professeur Corallo Reginelli a participé aux écrits du groupe d’ UR ( ?) sous la signature d’Arom et Taurulus, et fait partie de la lignée de Rudolf Steiner. C’est lui, avec d’autres disciples de la tradition philosophique néo-platonicienne, qui a influencé son étude de la pensée occidentale.
L. Anfolsi a été éduqué dans la confrérie même d’où Georges Ivanovich Gurdjieff a tiré l’essence de son enseignement, une association très active dans la Russie européenne du début du vingtième siècle, qui a accueilli des chercheurs de toutes origines philosophiques et religieuses.
L. Anfolsi forme des professionnels et des cadres et les thèmes majeurs de ses séminaires sont la « résilience », l’enthousiasme (la ferveur) et l’optimisation des relations humaines.
L. Anfolsi vit en Californie et dans les collines d’Emilie et de Toscane où il a fondé en 1992 une association culturelle pour la recherche spirituelle laïque qu’il a organisée en incitant ses étudiants à participer volontairement à la communauté.
En Californie, il vit dans les collines proches de Scramento, où il a fondé le Temple de la Fleur d’Or à Georgetown, où sont organisées des retraites d’Illumination Intense et des sessions Zazen/ Koan. Il poursuit son travail de thérapeute et d’enseignant en militantisme relationnel.
A Ojai, L. Anfolsi collabore à l’Université Mondiale et programme ses ateliers au Meditation Mountain, où Jiddu Krisnamurti, Anne Besant, Petrovna Blavatsky, Roberto Assaggioli, et Swami Yogananda ont dirigé leurs retraites.

Infos pratiques :

Lieux: Paris 11ème ( Centre Infinite Love Paris )

Horaires : le vendredi 7 de 21h à 22h.30, le samedi 8 de 14h à 18h., le dimanche 9 de 9h à 13h. et de 14 à 18h.

Tarif : 95€
Tel: +33 762861597
mail : mdefays@gmail.com

V comme Vivre

Hey, vous !
Oui, vous la !
Vous qui me lisez, je vous le dis : vous pouvez commencer à vivre.
Oui, vous êtes ici pour vivre, pour vivre pleinement votre vie.

Une expérience d'amour

Une expérience d’amour

Qu’est ce que cela signifie ?
Cela signifie que la vie, la passion ne demande qu’à s’exprimer à travers vous.
Que faites-vous ici ? Pourquoi êtes-vous sur cette planète ? Dans ce corps ?
Ne vous êtes vous jamais posé la question ? Ou avez vous oublié la réponse ?
Bien sur, vous pouvez passer votre vie à méditer, à chercher un maître, un gourou, une raison à tout cela… Mais je vous le dit, maintenant :

Vous pouvez commencer à vivre !

Prenez un raccourci ! Tous les poètes de tous les temps, tous les artistes, tous ceux qui se sont éveillés l’ont transmis depuis des milliers d’années : nous sommes là pour vivre pleinement notre vie.
Fondez dans l’intensité de la passion. Cherchez les passions au fond de vous, vous en découvrirez en abondance !

La passion est l’expression de la vie.

Que ce soit la passion de l’amour, de la science, de l’art, allez au fond de vous et posez vous la question : Qu’est ce qui me plait le plus, qu’est ce qui me passionne le plus ?
Est-ce cette jolie fille, est-ce ce beau garçon ?
Est-ce la physique ? Les mathématiques ? L’informatique ? Les jeux vidéo ? Le sport ? la comptabilité ? l’économie ?
Jouer de la musique ? Écrire de la musique ? Danser ?
Sentez au fond de vous, à partir des mots, sentez leurs vibrations raisonner en vous.

Que voulez vous faire de votre vie ?

Remémorez-vous ce temps ou vous étiez adolescent. En réalité, nous sommes toujours adolescents.
Souvenez-vous de vos projets, de vos envies, de vos passions. Revenez à ce que vous êtes réellement. Même si tout a un peu changé, il y a au fond de vous cette énergie de vie, ce rêve d’enfant, d’adolescent.

Souvenez-vous, maintenant !

Réfléchissez, puisez au fond de vous la force de vie, l’intensité qui va vous permettre de conserver cet état d’esprit. Car vivre, c’est avant tout garder l’état d’esprit, la passion de ce que nous sommes réellement.

N’écoutez pas les autres ! Écoutez-vous. Pas l’égo, le cœur ! Vous pouvez le faire. Lisez les biographies de vos héros favoris, ils ont vécu ces histoires incroyables.
Rien ne peut vous résister réellement, sauf, et oui sauf, si vous-même créez des barrières, une prison autour de vous, une fausse personne. En réalité, tout est possible.
Vous, oui vous !
Je vous le dit : Vous pouvez le faire.
Comment ?
Facile !
Créez autour de vous un univers de joie, de fun, d’amour, d’énergie positive, de progrès, de partage, de fraternité !
Comment ?
Tout d’abord, commencez par créer de l’espace, du temps pour vous. Arrêtez vous, cessez de courir, cela ne sert à rien.
Prenez du recul.
Partez en week-end, en vacance, allez dans une forêt, allez faire du sport.
Faites une retraite de méditation, faites ce que vous voulez, mais commencez par vous occuper de vous-même. Prenez soin de votre corps, écoutez-le.

Commencez à créer votre univers :

Listez et choisissez les personnes qui vous aime et qui correspondent à ce que vous voulez être. Il y a autour de vous, des personnes qui ont de bonnes intentions pour vous, avec qui vous vous sentez bien. Faites le ménage !
Gardez les personnes positives, qui sont dans le partage et l’amour. Ne vous polluez pas avec les autres. Gardez les meilleurs, les vrais amis, les personnes qui vous aiment.
Si vous n’en avez pas beaucoup, cherchez-les ! Bougez, explorez, changez d’univers, dite oui à la vie.
Il y a toujours, autour de nous, des milliers d’amis potentiel, de personnes avec qui nous pouvons partager nos passions. Commencez par vos hobby, que ce soit la peinture ou le sport, vivez à fond ce que vous aimez.

Cherchez au fond de vous ce qui vous fait vibrer, et lancez-vous.

Il n’y a pas d’âge pour apprendre quelque chose de nouveau.

La passion, c’est la vie. Quand nous pouvons nous fondre dans la passion, quelque chose de vivant en nous se révèle, une énergie brille et se diffuse. Attention, je ne dit pas d’aller dans les excès, mais dans la passion, ce qui est très différent. On peut être passionné et dans l’équilibre des forces.
« Rien de grand ne s’est fait sans passion » disait Pascal. Oui, c’est vrai, car le divin s’exprime en nous par la passion.
Plus nous sommes dans la joie, le fun, la passion avec les autres, dans le partage, plus nous pouvons commencer à vivre !

L’énergie de vie qui est en nous ne demande qu’à s’exprimer. Allez sur internet et étudiez la vie de vos héros, regardez la vie magnifique qu’ils ont eu.
Vous aussi, vous pouvez, ce n’est qu’une question de volonté, de choix, d’attitude.
Une fois que vous avez choisi les personnes que vous aimiez le plus, commencez à réfléchir à votre lieu de vie.

Dans quel endroit souhaitez-vous vivre ?

Dans quel endroit souhaitez-vous vivre ?

Dans quel endroit souhaitez-vous vivre et avec qui ?

Ré-décorez votre appartement s’il le faut !
Aimez-vous votre lieu de vie ? Reflète-il ce que vous êtes ? Le trouvez-vous merveilleux ? Si oui, améliorez le, sinon, changez tout !
Déménagez si il le faut, vivez dans un endroit qui vous convient ! Vous pouvez changer de ville, de pays, vous êtes chez vous partout. Voyagez, voyagez, faites le tour du monde et regardez comment vivent les autres. Renseignez vous, choisissez un mode de vie qui vous convienne.

Faites un bilan si vous voulez, prenez du temps pour vous, et notez, écrivez vos projets. Tout commence par une idée, une pensée, que vous pouvez faire votre.
Une fois que vous avez visualisez les personnes avec qui vous voulez vivre, après avoir choisi le lieu.
Choisissez votre activité.

Quelle activité souhaitez-vous faire ?

Vous ne pouvez pas passer 8 heures par jour à faire quelque chose que vous n’aimez pas ! C’est totalement exclu. Créez votre société si besoin, recréez le monde à votre image, participez à la construction du monde !
Ayez du fun dans votre travail, dans vos études. Faites ce que vous avez dans le cœur.
Revoyez le film ‘le cercle des poètes disparus’, lisez la vie des hommes et des femmes exceptionnelles.
Pensez-vous un seul instant qu’ils ont été à l’encontre de leur nature profonde ?
Non !
Ce que nous sommes, ce que nous avons au fond de nous est là pour s’exprimer, dans la passion, dans la vie. Vivre, c’est être, c’est laissez l’énergie de vie qui est en nous s’exprimer.
Mourir, c’est ne pas l’écouter, c’est quand on emprisonne cette énergie de vie.
Regardez autour de vous, certaines personnes sont pleines de vie, de fun, restez avec elles. Fuyez les personnes négatives qui se plaignent, qui critiquent les autres, restez avec ceux qui vivent !
Croquez la pomme à pleine dents, embrassez la vie à bras le corps, laissez vous guider par votre lumière intérieure.

Gardez ce texte, lisez le et relisez le régulièrement jusqu’à ce qu’un déclic s’effectue.

Vous pouvez être vous-même, maintenant !

Sentez cette foi qui monte en vous, sentez votre être, votre âme qui comprend et qui vibre au son de ces mots.

Vous pouvez être vous-même, maintenant !

Dites oui à la vie, à l’expérience, au bonheur, à la joie. Dites non à la souffrance aux choses négatives.
Dites oui à la beauté, à l’amour, rejetez tout ce qui ne vous convient pas.
Rien ne vous oblige à faire ce que vous ne voulez pas faire. Ne croyez pas ce que les autres vous dises, soyez vous-même ! Expérimentez ! Dans l’amour et la tolérance, pas dans l’excès ni dans la séparation bien sur.
Centrez-vous sur le cœur ? Sentez-vous l’amour, l’énergie de vie qui est en vous.
Pensez à la personne que vous aimez le plus au monde, concentrez vous sur cet amour que vous avez pour lui, pour elle. Si vous êtes amoureux de quelqu’un, concentrez-vous sur votre amour.

Prenons quelques instant et restant dans ce moment.

"La perfection est un des chemins pour atteindre Dieu."

« La perfection est un des chemins pour atteindre le divin. »

Sentez l’amour, comme liquide, qui coule dans vos veines et dans votre cœur. Vous sentez ?
Sentez cet amour, cette joie, cette paix. Et laissez venir la force, laissez monter l’énergie de vie.
Derrière l’amour se trouve une pulsion de vie, une force.
Tout l’univers a été construit à partir de cette force ! Utilisez la, elle est là pour vous.

Maintenant, commencez à écrire vos projets, choisissez vous un but, et établissez un plan.
Visualisez vous, avec les personnes que vous aimez, dans un lieu qui vous plait, regardez vous faire les activités que vous aimez.
Projetez-vous dans ce futur.
Sentez l’harmonie, la joie, le plaisir, vivez votre projet comme s’il était déjà accompli. Restez dans ce moment.
Vivez ce moment, établissez le comme un objectif.
Écrivez vos projets, exprimez ce que vous êtes, ce que vous voulez. Écrivez un agenda personnel, notez vos réflexions, vos idées, inscrivez vos actions et activités à venir, prenez des notes.
Quand vous le pouvez, à chaque moment, essayez de restez dans l’amour, dans la joie.
Prenez du recul toujours, restez vous-même.
Ne vous laissez pas programmer le cerveau par les autres.
Éteignez la télévision !
Vivez avec le cœur, concentrez vous sur ce que vous êtes, sur ce que vous voulez.

Vous êtes libre !
Libre de choisir, vos amis, votre travail, vos études, vos activités, votre vie.
Et si parfois certains moments sont dur, revenez sur ce texte, revenez sur vos musique préférées, revenez vers les personnes que vous aimez.
Créez-vous un oasis d’amour avec ceux qui vous aiment, avec ceux qui vous construisent, avec ceux qui vous permettent d’exister, avec ceux qui vous apporte quelque chose.
Allez vers la joie, allez vers l’amour, allez vers le fun, soyez, vous ! Cela n’empêche pas le travail, cela n’empêche pas les études, cela n’empêche pas la vie, cela n’empêche pas le sérieux.

Eh vous !
Oui, vous !
Je vous dis tout cela, mais pourquoi ?
Oui pourquoi ?
Ne le devinez vous pas ?

Je vous dis tout cela, parce que la vie, à travers moi, se vit.
Je vous dis tout cela, parce ce que je vous aime, à un point que vous n’imaginez pas, à un point au delà de toute pensée.
Je vous aime au delà de l’amour,
Je vous aime au delà de la conscience,
Je vous aime au delà de tout ce qui existe.
Je vous aime au delà de moi.
Passionnément, je vous aime, comme la vie vous aime.
Je vous aime de façon sauvage,
Je vous aime, au delà de l’imagination,
Je vous aime, réellement.
Magnifique, cet amour est infini, c’est amour est ce que je suis.
Je vous aime, et nous sommes un.
Je suis vous, et vous êtes moi.
A travers vous,
Je vis,
Je vous aime,
Car la vie,
Je suis.

Je vous aime,
Je vous aime,
Je vous aime,
Je vous aime,
Je vous aime,

Kundun, le 17 février 2013

R comme Responsabilité

Qu’est ce que la responsabilité ?
Quelle responsabilité avons-nous dans cette vie ?

R comme Responsabilité

R comme Responsabilité

Pour répondre à ces questions, méditons un instant et faisons une pause.
Installons le calme mentale. Restons à l’écart du monde un instant. Entrons dans la paix, la joie, ouvrons notre esprit à la conscience.

Tout d’abord, pour bien répondre, comprenons ce que nous sommes, et ce que nous ne sommes pas. Car pour répondre, il faut savoir ‘qui’ ‘peut’ être responsable.
Nous ne sommes pas l’égo, la personne que nous avons crus ou que nous croyons être. La première étape du développement spirituel est d’arrêter de s’identifier aux pensées. C’est cela l’égo, une identification à nos pensées. Nous ne sommes pas nos pensées.

Ce que nous sommes est une conscience d’amour infini, que certains appellent l’âme, qui se vie à travers nos corps physique et notre corps mental et à travers tout ce qui existe dans l’univers.
Par un processus karmique, c’est-à-dire à travers la loi de cause à effet, nous vivons puis reproduisons à travers plusieurs vies, depuis des millénaires les mêmes comportements, les mêmes conditionnements sociaux et culturels. Sur tous les êtres humains ayant vécus sur terre depuis le commencement, beaucoup ont vécus comme des robots n’ayant jamais ressenti le besoin de comprendre « qui » ils étaient et pourquoi ils étaient là. Peu ont compris que nous n’étions pas l’identification aux pensées, c’est-à-dire l’égo, la personne virtuelle.

Être responsable, c’est agir en conscience, c’est-à-dire agir en comprenant l’étendue des effets de nos actes. Pour être responsable, il faut aussi avoir la volonté d’agir.

Plus nous sommes conscient, plus nous comprenons, plus nous devenons responsable. L’éveil amène à une responsabilité plus grande, non pas une responsabilité de l’égo puisque celui-ci n’existe plus, mais une responsabilité de la conscience.
Prenons un exemple : nous voyons de plus en plus de violence dans les écoles. Aux états unis, certains commettent des massacres.

Qui est responsable ?

Méditons un instant dans ce moment.

Qui est responsable ?
Le robot sans conscience qui a tué ses camarades ?
Les parents qui ne savaient pas comment aimer leur enfant ?
Les professeurs ?
Non.

Nous sommes tous responsable de cette situation. Nous sommes responsables collectivement de tout ce qui se passe dans ce monde. Je ne dis pas cela pour culpabiliser les personnes, les égos. Je dis cela car finalement, il n’y a qu’une seule conscience qui se vit à travers 7 milliards de nous-mêmes. Et si nous ne sommes pas capables collectivement de nous éveiller, ce genre de malheur arrive.

Mais que faisons-nous pour empêcher cela ?
Que faisons-nous pour empêcher les idées violentes de se propager ?
Avons-nous conscience que le cinéma, la télévision et certain jeux vidéo programment la tête des enfants et des parents pour les transformer en tueur en série ?
Pourquoi ne sont-ils pas interdits ?

La création, la diffusion et la propagation d’idées, de films, de jeux vidéos et de comportements violents est criminel car tout ceci encourage la violence. De la même façon que nous pouvons créer des univers de paix et de joie, nous pouvons créer des univers de guerre et de destruction. Si nous prenons en compte : l’identification aux pensées et aux émotions, le fait que notre conscience se reflète sur l’environnement, ainsi que la loi de cause à effet, nous comprenons que la violence et la diffusion de film violent conditionnent les populations.

La haine et la violence amènent de la haine et de la violence. La diffuser, c’est participer à l’alimenter. Comprenons qu’avec la découverte des neurones miroir, nous savons désormais que le cerveau se met au diapason des scènes que nous regardons. Nous « éduquons » et programmons littéralement notre cerveau à s’adapter aux environnements que nous lui proposons.

Quelle responsabilité avons-nous dans cette vie ?

La première responsabilité est de nous éveiller un peu plus chaque jour, c’est-à-dire augmenter notre niveau de conscience, et ce dans les domaines qui nous tiennent à cœur. Plus nous nous éveillons, plus nous éveillons notre entourage. Choisissons l’amour, la joie, la paix et diffusons ce que nous sommes. Montrons que c’est possible. Soyons courageux, disons non à la violence, non à la guerre, non à l’illusion de la séparation. Les êtres éveillés ont toujours prônés l’amour et ce n’est pas par hasard.

Une autre responsabilité est d’agir en conscience le plus possible afin d’arrêter la roue karmique, la loi de cause à effet afin qu’elle ne génère plus que du bonheur.
Chaque jour, nous avons toujours l’occasion d’agir dans le sens de l’amour.

Parfois, certains se demandent  : Mais pourquoi le divin laisse t-il faire toutes ces atrocités ?

La conscience infinie existe dans un univers non duel ou il n’y a ni bien ni mal, ou n’existe que des mouvements d’énergies, qui créent et qui détruisent.
De nombreuses lois existent, et elles sont toutes respectées.

Les crimes et atrocités qui sont commises chaque jour ne sont que les effets de causes qui ont eu leur commencement il y a bien longtemps, parfois dans d’autres vies.

Pour mettre fin aux effets, il n’y a qu’une seule solution : l’éveil, la prise de conscience.
Tant que l’humanité n’aura pas compris la loi de cause à effet, c’est à dire le fait que le monde est un miroir pour notre conscience, tant que nous ne savons pas ce qu’est la réalité, tant que nous ne savons pas ce que nous sommes, toute la tragédie humaine continuera. Nous sommes collectivement responsables de tout ce qui se passe. Il y a une unité de la famille humaine que nous ne pouvons ignorer.

Ensemble, nous pouvons partager, nous pouvons enseigner, nous pouvons transmettre, nous pouvons vibrer à une fréquence plus élevée.
Ensemble, nous pouvons réunir, nous pouvons relier, nous pouvons transformer.
Ensemble, nous pouvons nous entraider, nous pouvons nous guider, et changer.
Nous sommes responsables, de façon individuelle et collective de notre vie, de nos attitudes. Le monde étant le reflet de ce que nous sommes, changeons ensemble ce que nous sommes. Éveillons chacune de nos cellules, c’est à dire chaque être humain.

Je parle là de notre propre conscience collective. Nous sommes co-créateur, nous sommes multidimensionnel, nous sommes riches, nous sommes nombreux, nous sommes beaux, nous sommes l’amour, nous sommes la vie, nous sommes le présent, nous sommes partout, nous sommes la présence.

Partageons ce que nous sommes, ensemble, maintenant.

Exprimons la divinité qui est en nous, vibrons aux fréquences les plus élevées, celles qui rapprochent l’homme et la femme de sa nature divine.
Nous sommes tous,
Un.
Tous responsables les uns des autres,
Uni par l’amour,
Uni par le cœur.
Rappelons-nous,
Co-créateur de l’univers,
Nous sommes tous,
Un.

Voir le poème : Imagine.

Kundun mars 2013

A comme Amour, E comme Éveil

Ce que nous sommes, notre conscience, notre présence est comme un soleil qui irradie, qui illumine.

notre conscience, notre présence est comme un soleil qui irradie, qui illumine

notre conscience, notre présence est comme un soleil qui irradie, qui illumine

Il possède une certaine puissance. Il éclaire en fonction de son degré de conscience, de lumière. Plus sa conscience augmente, plus la puissance augmente. Tout ce qui est ensuite perçue par cette conscience le sera de façon étendue d’où l’hyper sensitivité des être éveillés : vue, toucher, ouïe, goût, odorat, tout est perçue de façon plus importante.

Lorsque nous entrons en contact, physiquement, par la lecture, dans un rêve, au cinéma, par tout moyen, avec un être éveillé, par exemple Jésus, Bouddha, Adyashanti, Nirmala, Michael Brown, Eckhart Tolle, Ramana Maharshi, Muktananda, David Hawkins, Mozart, Bach, ou d’autres, il se passe la chose suivante :

Notre conscience se projette littéralement vers cet être. Avec le processus déjà décrit concernant les causes et effets et les pensées, nous recevons en retour leur pensées. Notre conscience s’élargit, devient plus lumineuse.

Imaginons que nous sommes dans une pièce avec plusieurs petits soleils, ces soleils sont des consciences. Imaginons que nous sommes un soleil nous aussi, mais enfermé dans une boite. A ce stade, nous ne pouvons donc pas percevoir les soleils en dehors de notre boite.

Imaginons que nous puissions faire des trous dans cette boite.

Eh bien quand nous contactons un auteur, c’est comme si nous faisons un trou laissant passer la lumière dans notre univers. Notre conscience ‘creuse le trou’, puis par l’amour que nous, avons pour l’auteur, nous élargissons le trou, alors sa lumière, nous arrive. Alors nous pouvons recevoir les rayons de lumière d’autres êtres.

C’est l’amour ou le non amour qui ouvre ou ferme le trou. Sur des auteurs que nous n’aimons pas, la lumière, l’information ne passe pas. On peut dire que le seul être qui puisse accepter et comprendre et aimer tous les points de vue, c’est Dieu en tant que l’espace de la pièce dans laquelle il y a ces soleils. Et plus nous faisons de trous, plus nous avons conscience des différents points de vue, plus nous devenons lui, plus nous entrons dans l’univers de la non dualité.

Mais comment l’ouverture du cœur peut-elle s’effectuer ?

Par exemple lors d’une initiation Shaktipat. Le maître Spirituel envoi son amour, une ouverture du cœur s’effectue, la conscience s’élargit.

Une fois l’ouverture du cœur effectuée, l’étudiant peut tomber amoureux de tous les enseignants spirituel existant ou ayant existé, ce même processus se répétera. Bien sur, on peut commencer sans initiation Shaktipat, il s’agit d’un processus d’accélération.
Lorsque nous avons une conscience suffisamment centrée sur le cœur, on peut connecter et aimer autant d’auteurs ou de maîtres que nous le souhaitons. On peut aussi aimer son mari, sa femme ses enfants, pour élargir les trous. Les trous, c’est notre capacité du cœur à donner qui augmente notre conscience. C’est notre capacité à aimer qui nous permet de grandir. Plus nous entrons dans l’amour infini, plus nous pouvons donner, à toutes et à tous, plus en retour, par un effet miroir, nous nous illuminons, nous nous enflammons.

Une autre façon pour ouvrir le cœur est de tomber amoureux. Il suffit alors de se focaliser sur le sentiment d’amour infini que nous ressentons pour la personne aimé.

"...un miroir qui ne demande qu'à s'illuminer..." Kundun

« …un miroir qui ne demande qu’à s’illuminer… » Kundun

Quand nous agrandissons ce ‘trou’ et que nous émettons un rayon de conscience, nous en recevons en retour un beaucoup plus puissant, car nous recevons de la lumière plus forte.
Plus le trou grandit, plus il laisse passer la lumière. Et plus notre conscience s’agrandit et peut percevoir.
Tout ceci n’est qu’une façon imagée pour décrire le processus car en réalité notre conscience, notre amour est déjà infini par nature. C’est le trou qui s’élargit, notre conscience a toujours été infinie.

De façon générale, ce processus est celui de tout apprentissage, de toute élévation de conscience, dans tous les domaines, que ce soit la musique, la cuisine, les affaires, le sport, etc…
La lumière que nous recevons en retour contient de l’information : c’est comme une espèce de ‘couleur’, de fréquence qui vibre de façon plus élevée.

Chaque enseignant spirituel que nous contactons, c’est un trou dans le cadre de notre boite.
Nous pouvons avoir plusieurs stratégie, soit élargir un trou en approfondissant avec un enseignant, soit créer pleins de trous et voir lesquels s’élargissent le plus vite. Ce qui est formidable, c’est que la lumière des enseignants se chevauchent, ils ont tous quelque chose à nous apprendre, ce qui permet d’élargir tous les trous en même temps. Un soleil, un enseignant nous réfléchit sa lumière, et c’est tous les trous qui grandissent, et notre conscience augmente dans tous les domaines.
Nous sommes comme des projecteurs de lumière. Quand le trou s’agrandit, nous passons de 40 watts à 400 watts, c’est tous les sujets que nous voyons de façon plus fine, plus consciente, plus lumineuse, plus vraie.
Les grands artistes comme Jean Sébastien Bach nous illumine de leur conscience. Il est vital de rester en leur présence, d’écouter leurs œuvres, de voir leur réalisations.
L’art a une fonction mille fois plus importante que ce que nous percevons initialement, l’art nous illumine car il reflète le niveau de conscience de son créateur. Non seulement il fait vibrer le divin qui est en nous, mais il nous élève réellement.
C’est la représentation physique de l’artiste qui nous illumine lorsque nous sommes en présence d’une œuvre, que ce soit un livre, un film, un objet.
Aussi, les lieux où ces êtres éveillés ont vécu sont imprégnés de leur lumière, car oui, les lieux gardent une emprunte des lumières qui y sont passées. C’est comme des radiations : invisible, mais puissante. Les êtres sensibles peuvent ressentir cette présence dans les églises, devant les statuts de Bouddha, dans les lieux saints et sacrés. Car c’est la conscience de millions de personnes, et aussi d’enseignants qui sont passés là.
La dévotion, l’amour s’imprègne dans ces murs. Les nouveaux qui y passent en reçoivent les bienfaits, en reçoivent l’amour résiduel imprégnés dans le lieu.

Les enseignants spirituels, par un effet miroir, lorsqu’il reçoivent notre amour grandissent aussi. Plus ils sont aimés, plus ils reçoivent eux aussi de la lumière, ils ‘chauffent’ en quelque sorte. C’est comme si tous les soleils se chauffaient les uns les autres. La lumière, l’amour, les connaissances, l’énergie s’accumulent. Rien ne se perd, tout augmente.

Si je t’aime infiniment et si tu m’aimes infiniment, nous grandissons tous les deux.
Si nous sommes des millions à nous aimer, nous grandissons tous.

C’est l’objet des couples : s’éveiller mutuellement de façon à atteindre le divin. Bien sur, tout le processus décrit dans ce chapitre fonctionne d’autant mieux que nous avons dissous la personne, l’ego que nous avons cru être. Car l’ego, la personne agit comme un filtre qui empêche d’accéder à la réalité de l’amour.
Et plus nous nous éveillons, plus nous augmentons notre conscience, notre puissance lumineuse, et plus la personne disparait, plus elle laisse place à ce que nous sommes réellement : une conscience d’amour, de joie, de paix.
C’est ce que qu’on compris tous les êtres éveillés, c’est ce que nous sommes tous, c’est l’objet de notre chemin, comprendre ce que nous sommes pour vivre pleinement la vie qui à travers nous, sans cesse se vit.

Kundun 2012

V comme Volonté

La volonté, c’est la force, l’énergie, le carburant qui nous pousse à agir.

"La volonté, c'est la force, l'énergie, le carburant qui nous pousse à agir."

« La volonté, c’est la force, l’énergie, le carburant qui nous pousse à agir. »

Les pensées sont des effets, mais elles ne sont pas suffisantes pour que l’action se crée dans le moment présent.

C’est la volonté, outil de la conscience qui permet d’incarner les pensées dans la matière.
Ainsi la volonté intervient et permet de réaliser ou pas nos pensées, en utilisant le filtre de nos conditionnements.
Mais qui ‘veut ?’
Quelle est cette force ?
Sur quoi agit-elle ?
Cette force, c’est l’énergie de vie qui nous traverse.
Quelque soit l’usage qui sera fait de cette force : une action d’union ou de séparation, cette force nous traverse.

Parfois détourné par l’Ego, cette force de vie peut très bien alimenter la personne, le personnage que nous croyons ou avons cru être. Sans les filtre de la personne, cette force est la source d’inspirations divines, de perfections.
Cette source vient du cœur au départ, et c’est l’amour qui crée le mouvement. C’est l’amour qui est à la base de chaque action, de nos choix, de notre expérience de vie.

« La volonté, c’est l’amour au service de la vie. » Kundun 2013

Et plus nous nous éveillons, plus la vie nous traverse, plus notre volonté grandit, car ce n’est plus notre volonté mais la sienne, celle de la présence qui sait, celle de la présence qui fait.

Et plus la présence grandit, plus nous disparaissons, et plus la présence apparait, plus nous sommes ce que nous avons toujours été, une conscience infini d’amour expérimentant ce qu’elle est.

Méditons et restons dans ce moment présent. Laissons les pensées passer puis se perdre. Laissons les passer jusqu’à la suivante.
Au bout d’un moment, il n’y en aura plus. Projetons notre conscience sur l’amour, sur le cœur, écoutons attentivement une musique, devenons la musique. Laissons le moment remplir tout l’espace qu’il est déjà, puis devenons ce moment.
Il est là, nous sommes là, il est nous et nous sommes lui. Nous sommes aussi ce moment ou l’action, ou l’inaction est possible.
Ce moment ne change pas, il est permanent et infini. Il n’y a ni passé ni futur, il n’y a que ce moment présent. Le passé est une mémorisation d’un état présent. On peut le ‘rappeler’ uniquement dans le présent, car les choses n’existent que dans le présent.
La réalité, ce qui est vrai, c’est ce qui est permanent. Ce qui change tout le temps ne peut être vrai. Seul ce moment présent est vrai, car toujours là.

La présence ne peut vivre qu‘ici et maintenant, tandis que le mental ne peut y demeurer, son univers étant celui du passé et du futur.

Texte de Kundun, Décembre 2012

P comme Pensées, S comme Savoir

Pensées et transmission du Savoir

Nous ne sommes pas nos pensées, mais nos corps énergétique vibrent à une certaine fréquence, nous permettant de recevoir des pensées. Et plus nous vibrons haut en fréquence, plus nous captons des pensées d’union, d’amour, de fraternité, de compassion, de joie, de bonheur.

"Comme des boules de conscience, ces boules de pensées existent ..." Kundun, Février 2013

« Comme des boules de conscience, des boules de pensées existent … » Kundun, Février 2013

Comme des boules de conscience, des boules de pensées existent et deviennent accessible en fonction de notre vibration intérieure, de notre état d’esprit.
Considérons un concept, une idée, une pensée comme une onde électromagnétique, et considérons aussi la loi de cause à effet, qui nous permet d’apprendre, de connaître, de comprendre ces informations, ces concepts, ces idées.

La conscience que nous sommes, par un mécanisme de réflection, éclaire les concepts, les idées, les pensées. Alors, celles-ci s’illuminent et peuvent prendre vie, si on y ajoute la volonté, la force de vie.
Nous ne sommes pas nos pensées mais la présence, qui à travers nous, y concentre son pouvoir, sa volonté. Pour cette raison, plus nous avons un degré de conscience étendue, plus la force que nous envoyons dans les pensées est puissante. Plus nous laissons la présence s’exprimer, plus les pensées sont belles.

Alors, nous devenons en quelque sorte des relais de pensées.

De par ce que nous sommes, de par notre état vibratoire, de par nos écrit et nos œuvres, nous les diffusons. Nous devenons des générateurs, des extracteurs de pensées.
La conscience infinie que nous sommes, dans tous ces aspects vit à travers nous. Nous sommes en quelques sorte ses antennes relais.
Tous ensemble, nous exprimons, développons, testons, expérimentons ses pensées.
Si nous choisissons la pensée que la vie est belle et facile, alors l’univers sera perçue à partir de ce filtre. Si nous croyons qu’il faut souffrir pour être beau, alors nous allons expérimenter cette pensée.
Toutes les pensées sont valables, ce sont des fréquences, des concepts à expérimenter.

Des milliards de combinaisons sont possibles et c’est ce que nous expérimentons, nous, les 7 milliards d’antennes sur patte quand la vie, à travers nous, se vit.
Nous l’expérimentons d’un point de vue individuel mais aussi d’un point de vue collectif. Nous pouvons à tout moment décider de changer de groupe, d’univers, de choix de pensées. La vie est comme comme un grand jeu vidéo. Nous sommes entièrement re-programmable. Bien sur, plus on dissout la personne que nous avons cru être, plus nous devenons libre de choisir de nouvelles pensées, et par conséquent une nouvelle vie, une nouvelle expérience, une nouvelle programmation.
Bien sur, commencer par éliminer toutes nos croyances est l’étape préliminaire à cette re-programmation. L’éveil est le processus de dissolution de la personne.
Plus nous entrons dans la présence, plus nous existons réellement, au delà des conditionnements et programmation du mental.
Comprenons que le choix de notre environnement est un élément déterminant de notre expérience.

L’environnement, lorsque notre conscience se reflète dessus, que ce soit des personnes, des objets ou des lieux, nous renvoi des ondes vibratoires. Ces ondes propagent des pensées. Nous même réfléchissons et propageons, par notre attitude, notre regards, notre toucher, nos paroles, notre voix, notre simple présence, des ondes vibratoires.

Nous émettons en fonction de notre degré de conscience, en fonction de notre état vibratoire.
Et plus nous nous éveillons à la présence, et plus nous pouvons la laisser vivre à travers nous. Alors nous émettons, alors nous transmettons.
Des pensées nouvelles apparaissent ainsi pour notre entourage. Il y a un effet sur la psyché, et à terme dans la matière. C’est comme une sorte de radioactivité car les êtres conservent ce qu’ils reçoivent de nous. Il y a un effet ‘Shaktipat’, un effet initiatique par la présence. Lorsqu’il y a la compréhension avec l’éveil du supra mental, il peut aussi y avoir intégration puis réalisation.

La simple lecture d’un texte ou d’un livre, la visualisation d’une photo nous met en contact avec la présence de l’auteur (cf Adyashanti dans Conscience pure et méditation véritable). On se met littéralement à vibrer à la même fréquence que l’auteur, augmentant alors notre niveau de conscience, notre compréhension.
Bien sur, le mental fait son travail d’analyse, de trie. Il peut aussi y avoir une récupération de l’ego et du mental des informations, mais si on lit avec le cœur, notre présence se connecte avec l’auteur car il ‘est’ nous finalement.

En réalité, c’est nous qui avons écrit tous ces livres. Ainsi nous nous rappelons de ce que nous avons écrit, par l’intermédiaire de l’auteur, ainsi il est beaucoup plus facile de se rappeler et d’intégrer ce que nous savons déjà.
Pour cette raison, à chaque fois qu’un être éveillé expérimente et vit quelque chose de nouveau, c’est toute la famille humaine qui en bénéficie.
Le chemin est déjà tracé, donc plus facile à parcourir.

"Le chemin est déjà tracé, donc plus facile à parcourir." Kundun , Février 2013

« Le chemin est déjà tracé, donc plus facile à parcourir. » Kundun , Février 2013

C’est la fonction, des livres et du partage des connaissances : essayer de ne pas réinventer la roue, et ce dans tous les domaines : science, art, philosophie.
Les pensées sont des ondes, mais aussi des assemblages de plusieurs ondes.
La créativité, c’est assembler de nouvelles combinaisons de pensées, de concepts.
C’est la présence qui crée à travers nous, laissant le choix à l’ordinateur du mental de s’occuper de la partie ‘technique’ de l’œuvre. Ainsi nous pouvons dire que l’art est une co-création entre l’inspiration divine et le cerveau de l’homme.

Ensemble, partageons nos expériences, aidons nous les uns les autres à créer un monde meilleur, dans le partage, l’amour, la joie, le bonheur.

Partageons nos expériences, relions nous les uns les autres, ensemble, vivons le partage du savoir et de la connaissance.

Car seule l’éducation et la transmission du savoir permet à l’homme, chaque année, d’apporter la lumière la ou il y a de l’ignorance. Et c’est le savoir qui, aujourd’hui au XXIè siècle se diffuse, partout, instantanément avec Internet, avec Google, avec Amazon.

Plus rien ne peut empêcher ce grand mouvement de mise en commun des connaissances.

Nous ne pouvons qu’assister, dans la joie, et regarder, cet éveil planétaire, qui partout, dans chaque pays, éveil les consciences. Invisible pour ceux qui sont aveugle, le mouvement est grandissant, exponentiel, puissant, indestructible, invincible. Dirigé par la présence, par la vie, nous en sommes les témoins, joyeux.

Aujourd’hui, plus rien ne peut empêcher l’homme de se connecter avec ses frères et ses sœurs, quelque soit leur pays de naissance. Car en réalité, il n’y a jamais eu de pays, il n’y a toujours eu qu’une seule et même planète. Chaque jour un peu plus, l’illusion de la séparation de dissous. Chaque jour, un peu plus l’amour nous unit. Partout, des maîtres s’éveillent, écrivent, transmettent.

Ensemble, faisons briller la lumière, partageons, partageons nos compréhensions.

Car oui, nous sommes un, oui, la famille humaine, derrière l’illusion de la séparation bat d’un seul et même grand cœur. Nous l’appelons : l’amour infini.

Texte de Kundun, Février 2013

Les Yogis du Tibet

Extrait d’un Film de 2002 en anglais sur les yogis du Tibet

Découvrez le premier film présentant les moines reclus du Tibet. Les moines ont accepté de discuter de certains aspects de leur philosophie et de se laisser filmer durant la réalisation de leurs pratiques spirituelles quotidiennes. Vous pouvez soutenir les cinéastes en achetant une copie de ce DVD : http://www.theyogisoftibet.com/

M comme Mental

Le mental est l’outil de la conscience permettant de se concentrer en dehors de ce que nous sommes. Nous sommes la présence qui vit dans l’instant présent. Le mental est l’outil qui se projette dans le passé et le futur, il ne peut être dans la présence de l’instant. C’est comme deux faces d’une même pièce, elle ne peuvent se rencontrer. Le mental ne peut pas concevoir le moment présent, c’est hors de son univers. Et quand nous sommes cette présence, ce moment, le mental est éteint, il n’a pas sa place.

M comme Mental

M comme Mental

La présence ne peut que se vivre, s’expérimenter, à travers des activités liés au cerveau droit : présence du corps avec le sport, la danse, des massages. Présence du sens auditif avec une écoute active, lorsqu’on devient la musique. Sens de la contemplation aussi.
On passe du faire au être lorsqu’on dirige notre conscience vers ce que nous sommes, vers ce que nous ressentons. On se reconnecte alors à la réalité. La réalité, ce n’est pas le mental, la réalité, c’est ici et maintenant, ce que nous sommes, ce que nous percevons, ce que nous ressentons. La réalité, c’est cette présence, substance sous jacente de tout ce qui est.
On peut s’entraîner à la percevoir, en restant connecté à son corps, à sa respiration, en restant l’observateur des pensées, des objets, de lieux, de tout ce qui compose notre environnement. ‘Quelque chose’ une conscience observe.
Restons connectés à cette présence, restons dans ce moment.
Si on donne plus de force au mental qu’à la présence, il se crée un déséquilibre qui donne du pouvoir à l’égo, à la personne que nous croyons ou que nous avons cru être. C’est elle alors qui dirige notre vie, dans la souffrance et la douleur puisque le rôle du mental est de faire, toujours plus. Sa nature est l’attachement, acquérir plus d’objets, tout le temps, pour être heureux ‘plus tard’. Mais la machine folle ne peut s’arrêter toute seule. Lancée dans sa course infini au contrôle de l’univers, elle veut nous faire passer tout notre temps dans le passé ou le futur.
Cette dans l’équilibre de ces deux forces que nous pouvons être heureux. Lorsque dans le moment, nous laissons la présence agir à travers nous, le mental redevient l’outil qu’il aurait toujours du rester : un outil au service du cœur, de la présence.
Il est possible de renverser la vapeur, par des activités du cerveau droit, par l’expérience de la méditation, on peut ‘équilibrer’, se ‘centrer’.

Toutes les souffrances du monde dans lequel nous sommes n’ont qu’une seule et même cause : l’inconscience.
Plus nous sommes conscient, plus nous augmentons notre degré de conscience, plus nous dégageons et diffusons des idées, des attitudes, des pensées, des actes de joie, de bonheur, d’amour.
La souffrance véhicule la souffrance et la séparation tandis que la joie et l’amour transmettent la paix, le bonheur, la joie, l’amour.
Il y a une résonance universelle dans tout ce que nous sommes. Si nous sommes la joie, nous exprimons la joie. Si nous souffrons, nous pouvons, en étant inconscient, propager la haine. La joie, l’amour comme la haine est une énergie qui se propage comme un virus. La question est : que voulons nous être, comment voulons nous influencer notre environnement. Pouvons nous être lucide sur ce que nous sommes et décider de nous concentrer sur notre être véritable. Car nous sommes tous, au fond de nous, constitué de cet amour infini.
Ce besoin de grandir de s’éveiller, c’est cette conscience, c’est nous qui, partout dans l’univers cherche à s’étendre, à expérimenter, à progresser. C’est la vie, qui à travers nous, se vit, se renouvelle, sans cesse.

Texte de Kundun janvier 2013

L comme Livre

Qu’est ce qu’un livre, qu’est ce qu’un texte ?

L comme Livre

L comme Livre

Un livre, un texte est l’expression d’idées, de concepts.

Le choix des mots, la façon dont ils sont ordonnés, l’intention derrière les mots nous amènent à partager l’univers de l’auteur.
Comme nous sommes tous des êtres vibratoires, nous avons la capacité d’entrer en résonance avec une musique, avec un texte, avec un paysage, un lieu, une personne.
Un texte est composés de mots qui ont chacun une fréquence. Chaque fréquence représente une idée, une signature énergétique vibratoire, d’où la fameuse phrase : ‘Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.’ Car il a bien fallu que le Verbe, c’est à dire l’idée, le mot soit crée avant toute chose.

Ainsi chaque texte nous fait vibrer et nous pouvons ressentir la fréquence de son auteur : nous nous connectons littéralement à lui.

Après tout, nous ne sommes que de l’énergie, et nous sommes tous connectés puisque nous sommes un. Il n’y a pas de distance ni de matérialité lorsque nous partageons des idées, lorsque nous nous connectons à la source.

Nous pouvons recevoir la lumière d’un auteur via son texte. Nous pouvons ressentir une connexion d’âme à âme, nous pouvons nous reconnaitre à travers un texte, un auteur qui, fondamentalement est un autre ‘nous-même’. Les livres sont d’une importance fondamentale, comme toute forme d’art car ils sont des liens entre le ‘nous vivant dans le passé’ et le ‘nous vivant maintenant’.

En réalité, comme il n’y a qu’une seule âme universelle, c’est nous-même, incarné dans d’autres corps, dans d’autres époques qui avons écrits tous les livres. Ainsi, parfois, nous lisons un livre et nous nous apercevons que nous savons déjà ce qui est écrit, que ce qui est écrit est ‘vrai’. C’est ce qui se passe lorsque nous sommes en phase avec l’auteur.

Bien sur, les textes sont lus à travers le mental et la fausse personne, l’égo qui peut manipuler et comprendre de travers ce qui est écrit. Mais sous le texte, de façon sous-jacente, se trouve aussi l’amour, le cœur de l’auteur.

Faisons une pause quelques minutes… Que ressentons-nous en lisant certain texte ou poème ?
Quelles émotion sont générées? Certains textes sont t-ils inspirant ? Nous amènent ils à de nouvelles compréhension ? Certains textes au contraire nous embrouillent-ils l’esprit ?

Prenons le temps de ressentir cette résonance naturelle.
Avant de lire un texte, posons nous dans l’instant, dans ce moment présent, ouvrons notre conscience, mettons nous dans un endroit calme. Si un texte nous donne envie d’écrire, écrivons.

Ce texte nous fait-il du bien ? Ou au contraire, crée t-il un malaise ?

A travers chaque texte, chaque email même, nous pouvons ressentir l’intention de l’auteur, nous pouvons recevoir l’expression de son amour, ou ressentir l’expression de sa personne, de son ego.
Le choix des mots, l’intention derrière les phrases nous connecte à son âme.

Parfois, on peut aussi comprendre plus que ce que l’auteur a lui même compris. Car en fonction de notre degré de conscience, un texte est perçue avec la lumière de celui qui le lit.

Nous sommes une conscience qui éclaire, le texte est comme un miroir, et le miroir ne sait pas qui va se refléter à travers lui.
Vous ne me croyez pas ? Faites vous même des textes et lisez les un an ou deux plus tard, s’ils ont été écrit avec amour, vous verrez avec étonnement qu’ils comportent plus que votre niveau de conscience de l’époque.

Aussi, relisez un livre au bout d’un an et voyez comme vous comprenez beaucoup plus de choses.
Un texte, un poème est comme la photo d’un paysage.
Chaque livre, chaque musique nous éveil un peu plus en augmentant notre niveau de conscience.

Comprenons que chaque texte est une initiation qui nous éclaire, qui nous connecte, qui nous grandit.

Texte de Kundun janvier 2013

R comme Réfléchir

Qu’est ce que réfléchir ?

R comme Réfléchir

R comme Réfléchir

Amusant ce mot. Réfléchir, c’est justement focaliser sa conscience sur un sujet. On dirige sa conscience qui va se réfléchir sur le sujet.

Qu’allons nous obtenir de cette réflexion, c’est justement le principe même de la réflexion, c’est à dire de notre niveau de conscience, de lumière. Comme pour un projecteur, plus nous avons de la puissance, plus le résultat de notre réflexion est élevée.

Qu’est ce qui réfléchit ? La conscience, à travers l’activité du mental.

Pourquoi exprimer L’amour ?

Pourquoi exprimer L'amour ?

Pourquoi exprimer L’amour ?

Chaque être que vous rencontrez est un miroir qui ne demande qu’à s’illuminer, par votre présence, par votre attitude, par votre intention.
Envoyez votre lumière, envoyez votre amour et soyez le témoin, sentez le changement dans la présence.
Constatez cette légèreté, cette paix, sentez les reflets de votre amour sur les visages. L’environnement est ‘amour dépendant’.
Aimez, aimez et constatez comment tout s’illumine, facilement, naturellement. Mais tous ces miroirs ne demandent que cela ! De l’amour, de l’amour, encore et toujours de l’amour !
De la joie, de la joie, de l’humour, encore et toujours.
Envoyez ce que vous avez dans le cœur, toujours et maintenant, allez y, envoyez tout, il n’y a rien à perdre.
Et même si tous les miroirs ne peuvent pas vous refléter, parce qu’ils ne sont pas encore prêt, communiquez, exprimez votre amour, votre joie de vivre. Exprimez ce que nous sommes, envoyez la lumière!
Il en restera toujours quelque chose. Ne vous laissez pas abattre si certains miroirs, emprisonnés par l’ego, ils ne sont pas conscient. Leur tour viendra, dans cette vie là ou une autre, cela n’a aucune importance.
Soyez vous même en toute circonstance, soyez le cœur, pas votre ego ou la personne que vous avez cru être, soyez le vrai vous, soyez divin.
Allez cherchez profondément, au fond de votre âme, tout cet amour infini, et exprimez le, maintenant !

Texte de Kundun, Février 2013

A comme Attitude.

A comme Attitude

A comme Attitude

L’attitude est le reflet de notre univers intérieur.

En fonction de notre attitude, de notre vibration, de notre présence, de notre état d’esprit, nous allons recevoir certaines pensées.

Par exemple, une attitude positive, d’amour nous permettra de capter des pensées d’union, de fraternité.
Au départ, tout commence par l’intention, la volonté qui va générer l’attitude. La posture mentale captera ensuite les pensées correspondantes.
Et plus nous nous habituons à une attitude mentale, plus nous modifions notre façon de réfléchir, de concevoir : il y a comme un tri qui s’effectue sur les pensées que nous recevons. Par exemple, les personnes positives ne reçoivent plus que des pensées positives. Au bout d’un certain temps, les pensées négatives n’apparaissent même plus.

Nos pensées, après avoir été choisies se transforment en actes, puis ces actes se transforment en habitudes, puis ces habitudes deviennent des traits de caractères. Finalement, c’est notre attitude qui, par habitude transforme notre caractère, et c’est notre caractère qui crée notre destin.

Pour cette raison, l’attitude est fondamentale. Elle génère littéralement notre univers.

Les personnes ayant du succès ne réussissent pas par hasard mais parce qu’elles ont l’attitude correspondantes. (Cf ‘Réfléchissez et devenez riche’ de Napoleon Hill)
Elles ont apprise par l’expérience à maintenir cette attitude. En vibrant à la même fréquence qu’elles, en lisant leurs biographies (écrites par elle uniquement) nous pouvons obtenir des résultats similaire. Par une connexion à leurs textes et à leurs âmes, nous pouvons les rencontrer.

Beaucoup d’entres-nous n’ont pas conscience que tout ce qui nous arrive est le résultat de ce que nous sommes intérieurement et donc de nos attitudes.

L’attitude est une des choses les plus importantes car elle est le reflet de notre monde intérieur. L’univers est comme un grand miroir. Grâce à la loi de cause à effet, elle qui va générer nos expériences.

L’attitude ne se vit que dans l’instant présent, elle est notre réalité de chaque instant.

En augmentant notre niveau de conscience, nous modifions progressivement notre monde intérieur ainsi que nos attitudes. C’est ainsi que, tous ensemble, nous changeons le monde.

Texte de Kundun Février 2013

LE POUVOIR DE L’AMOUR

Darpan et l’association être presence vous propose le vendredi 22 Mars 2013, à 19h30  une conférence sur le pouvoir de l’amour. Cette conférence sera suivi le Samedi 23 et dimanche 24 Mars 2013 d’un séminaire de 10h30 à 17h

Séminaire de Darpan, le pouvoir de l'amour

Séminaire de Darpan, le pouvoir de l’amour

Conférence & Séminaire

Darpan

Darpan

Que l’on soit seul ou en couple, l’amour nous attire. Nous savons intuitivement que pour y accéder, nous devons cesser d’entretenir nos défenses et nos résistances et quitter le mental pour revenir à notre ressenti. En agissant ainsi, nous savons également que nous prenons le risque d’être vulnérables et de nous exposer à nos vieilles blessures…

Lors de ce séminaire, Darpan présentera les savoir-faire utiles pour dépasser les peurs et les noirceurs qui nous confinent à une petite portion de notre être. Il livrera les clés pour transformer l’émotion et le sexe en amour et démontrera comment cette merveilleuse présence s’inscrit au cœur même de la vie spirituelle.

« Les thèmes de mes séminaires sont des prétextes pour examiner ce qui vous sépare de la Vie et de l’Amour que vous êtes.

Ne venez pas uniquement pour le thème mais pour saisir l’opportunité de gagner en conscience et en intelligence et pour acquérir des savoir-faire précieux dans l’exploration de votre vie intérieure et dans la résolution de vos difficultés. »

Darpan

Données pratiques

Animé par : Darpan : http://www.aventure-interieure.ch/
Date : Conférence : Vendredi 22 Mars à 19h30
Séminaire : Samedi 23 et Dimanche 24 Mars 2013 de 10h30 à 17h
Lieu : Conférence : 30 Rue Cabanis  75014 Paris, M° Saint Jacques ou Glacière
Séminaire : 11 rue René Villermé, M° Père Lachaise
PARTICIPATION : Conférence : Participation Libre à partir de 8€ pas de réservation, Attention, places limitées
Séminaire : 140 € les deux jours
Réservation : Association être présence

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Cours de Danse « Longo »

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage

Carol Salter vous propose tous les mardis de 17h00 à 19h00, au centre Infinite Love, Paris 11ème, un cours de danse « Longo ».

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Présentation

Cette méthode mise au point par ELIMA DELY MPUTU est issue de trois différentes traditions de danse initiatiques du Congo

Cette danse vise à nous Libérer des conditionnements qui nous empêchent d’incarner – ici sur terre – la totalité de qui nous sommes véritablement (notion fondamentale de l’ancrage).

Elle  harmonise les énergies masculine et féminine en nous, ce qui équilibre la fonction des hémisphères droit et gauche du cerveau, et Porte le mental à vivre de plus en plus dans l’ici et maintenant.
Cette méthode donne à l’individu les outils pour s’ancrer à l’intérieur de soi, pour une meilleure approche, une meilleure découverte, une meilleure connaissance de son être.

Les Piliers du Longo

  • L’INNOCENCE : L’innocence, c’est l’Âme de la joie.
  • LA SPONTANEITE : La spontanéité, c’est l’innocence en mouvement.
  • LA SAGESSE : C’est l’acceptation de ce que les choses sont ce qu’elles sont, de ses propres limites et ses qualités.
    C’est le dépassement de la lutte, des contradictions.
  • L’EQUILIBRE : C’est l’établissement dans son Être.

Les Outils du Longo

  • LE MOUVEMENT :
    • Coordination des pieds, jambes, mains, bras, tête.
    • La latéralité
    • Une suite chorégraphiée des pas de danse
  • LA CONSCIENCE : Le mouvement doit être exécuté avec une pleine conscience. La pleine conscience donne de l’épaisseur et de la consistance à l’individu, et dans tout ce qu’il entreprend.
  • LA PRESENCE : La pleine conscience nous amène dans un état de présence dans le mouvement, où l’individu vit le mouvement dans l’instant. Toute l’énergie est canalisée dans ce qu’il est en train de faire maintenant. Et de ce fait, il occupe l’espace et devient plus efficace. La présence donne ce qu’on appelle « la grâce du mouvement ».
  • LE SOUFFLE : C’est l’âme du mouvement. Un mouvement qui est fait en pleine conscience, en harmonie avec la respiration (inspiration, expiration) nous installe dans la présence, et nous permet d’aller vers le ressenti.
  • LE RESSENTI : Tout mouvement passe d’abord par la phase d’élaboration, qui est le domaine de l’âme, ensuite par la phase de l’exécution, qui est le domaine de l’esprit, et puis enfin par la phase du ressenti, qui est le domaine du corps. Le ressenti est la manière du corps de vivre un mouvement.

Les Objectifs :

La danse Africaine étant à priori une danse rituelle et thérapeutique, la pratique de celle-ci à partir de la méthode de l’Ancrage amène l’individu à se reconnecter avec lui-même et à se recentrer. Le « longo » l’amène à potentialiser toutes ses ressources et à mettre toute son énergie à la réalisation de son bien être et de ses objectifs. Par l’Ancrage, l’individu retrouve la spontanéité qui conduit à l’harmonisation et à la maîtrise de ses gestes et mouvements et actions. En plus de la détente, l’Ancrage installe la paix en soi, instrument majeur de la confiance en soi, et, de ce fait, permet de combattre le stress. Il aide l’individu à relativiser les évènements, d’où le détachement et une vision globale et large des choses. L’Ancrage permet de mieux appréhender l’espace et le temps, de mieux focaliser l’attention, et contribue à la joie de vivre.

La Pratique :

Dans la pratique, l’individu est invité à découvrir la vie à l’intérieur de son corps. Ce temple (NZOTO) lieu de connexion entre le matériel et l’immatériel, lieu où l’esprit (ELIMO) et l’âme (MOLIMO) convergent. Le ressenti est la base de l’enseignement. Ainsi, chaque mouvement exécuté est fait en conscience, et ressenti à l’intérieur de soi. Et de ce fait, on développe l’état de la présence.

Les séances durent 1h30, 3h, une journée (6h), ou un week-end (2x6h).
Les séances se font en groupe ou en individuel. Les séances individuelles se font toutes sur rendez-vous

Le Public Visé :

L’Ancrage est ouvert à toute catégorie de personnes : adultes, enfants, professionnels et non professionnels de la danse, etc. Il vise l’Etre. Il replace l’homme au centre de toutes les préoccupations et l’amène vers le MUNTU (l’homme dans sa véritable nature matérielle et immatérielle).

Données pratiques :

La tenue vestimentaire est à l’appréciation de chacun, à la seule condition qu’elle ne soit pas ample, et encombrante. La pratique se fait pieds nus, afin d’être au contact de la terre (sol).
Animé par : Carol SALTER,  Balongi enseignante de « l’institut LONGO » de Paris
Date : Tous les mardis de 17h00 à 19h00
Lieu : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris, Métro Voltaire
PARTICIPATION : 20 € Tarif réduit sur justificatif : 15 €
Réservation : par téléphone au 07 86 94 96 67 ou par le formulaire de réservation ci-dessous