Quand on va au fond d’une passion, on se rencontre soi même, et finalement, on comprend que Dieu, c’est nous.
Kunzang Sept 2013
éveil, réalisation du soi, réalisation du non-soi, clairvoyance, méditation
Quand on va au fond d’une passion, on se rencontre soi même, et finalement, on comprend que Dieu, c’est nous.
Kunzang Sept 2013
Le langage écrit et parlé que nous utilisons est très limitant. Inventons de nouveaux mots, de nouveaux concepts.
“Un monde nouveau ne pourra émerger qu’avec un langage nouveau, basé sur des idées nouvelles.” Kundun mai 2013
Au delà des concepts obsolètes et erronés, créons un langage permettant d’appréhender la réalité qui désormais s’ouvre à nous.
Le mot “arbre” permet-il une représentation réel de ce qu’est un arbre ?
Non mais franchement ?
Le mot “oiseau”, le mot “homme”, le mot “amour” ?
Les mots ont fait leur temps, entrons désormais dans l’univers de demain, ou grâce à la poésie, mélangées aux images, aux vidéos, aux senteurs, au toucher, nous pourrons communiquer réellement.
Les mots sont trompeurs car leurs définitions sont différentes pour chacun d’entre nous.
Heureusement, nous pouvons nous connecter à la conscience de l’auteur, heureusement, nous comprenons au delà des mots, entre les lignes.
Comme toujours, c’est le silence entre les notes, l’espace entre les mots qui transmet véritablement.
Comment pouvons nous espérer créer un monde nouveau en restant coincé et emprisonné par des concepts anciens et obsolètes ?
Car c’est toute la société, et sa façon de communiquer qui est en train d’évoluer devant nos yeux, maintenant. Grâce a internet, chacun a la parole, chacun peut partager, les personnes se dissolvent un peu plus, à chaque Satsang, à chaque lecture de livre, à chaque rencontre.
Mais comment évoluer et recevoir des pensées au delà des anciens concepts, des anciennes programmations mentales ?
En changeant certains mots bien sur, en les utilisant d’une nouvelle façon. En mixant les contenus multimédias et les mots.
La communication par l’image et par le son apparaissent alors comme une évidence. Compréhensible par tous, nous avons alors la possibilité d’exprimer plus de choses.
L’humanité a changé de langage, le cinéma et le multimédia sont les nouveaux moyens permettant de transmettre la connaissance et les compréhensions.
Texte de Kundun, Mai 2013
Un jour,
Je suis sorti de toi,
C’était la vie, c’était l’aventure, c’était la découverte,
Tous ces autres moi,
On a bien rigolé.
Et tout le temps, toi,
Tu me souriais.
Et à chaque instant,
On était bien là, tous les deux,
Ensemble, présent.
Et quand je souriais, tu me souriais.
Et quand je pleurais, tu pleurais.
Et quand je souffrais, tu souffrais aussi.
Quand tu exprimais l’amour, je devenais amour,
Quand tu exprimais la guerre, je devenais la guerre.
Quand tu jouais, je devenais le jeu.
Puis un jour, ils ont fait la paix.
On a voyagé,
On a travaillé,
On a construit,
On s’est enrichi.
On a développé,
On s’ est amusé.
On a beaucoup ri,
Un peu pleuré aussi.
Tu m’as envoyé ce regard,
Qui m’as fait chaviré,
Tu m’as envoyé ce toucher,
Tout mon corps a tremblé.
A chaque fois, c’était toi.
Tes musiques, j’ai écouté,
Tes poèmes, j’ai entendu
Tes textes, tu m’as expliqué !
Des anges, tu m’as expédiés,
Avec des archanges, on a dîner.
Des maîtres ascensionnés, on a visité.
Chaque fois, c’était toi,
A chaque fois, encore et toujours toi.
Cet amour, ce voyage, cette rencontre inattendue,
Ce n’était pas lui,
C’était toi
Cette coïncidence, ce hasard, ce sourire,
C’était toi,
Cette émotion, cet éclat de rire,
C’était encore toi.
Ce livre, ce film, ce baiser, ce câlin, ce tremblement, cette caresse,
C’était toi.
Cette méditation, ce cri, ce paysage, cette rencontre,
C’était toi.
Ce plat, ce tableau, cette sculpture, cette volupté,
C’était toi, encore et toujours toi.
Toi qui a toujours tout organisé,
Toi qui a toujours tout préparé,
toi qui a toujours tout synchronisé,
Toi qui a toujours fait
Comme pour toi.
C’est marrant, mais c’est seulement maintenant.
que j’ai disparu,
C’est fou mais c’est seulement maintenant
Que je suis présent,
C’est terrible, mais c’est seulement Maintenant
Que je n’existe plus,
C’est dingue, mais c’est seulement maintenant,
Que je comprends.
Ma vie,
N’était pas ma vie,
Car je n’étais pas en vie.
Ma vie,
N’était pas la vie,
Il n’y avait pas de vie
Ma vie n’était pas la vie,
Car il n’y avait personne.
Ma vie n’était pas la vie,
Il n’y avait qu’un robot,
La vie n’était pas ma vie,
Il n’y avait qu’un automate,
Qui pensait vivre sa vie.
Qui pensait ‘être’,
Un homme.
Puis un jour,
Ma mort,
Puis un jour,
Petit à petit,
Puis un jour
J’ai senti,
Que cette vie,
C’était ta vie.
Maintenant, seulement maintenant,
Que je n’existe plus,
Je comprends,
Il n’y a pas de moi,
Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends,
Il n’y en jamais eu.
Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends
il ne peut pas y en avoir.
Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus de moi,
Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus que toi,
Maintenant, seulement maintenant
Qu’il n y a plus que notre présence,
Maintenant, et seulement maintenant,
A cet instant.
Nous savons,
Toi et moi,
Lui et elle,
Maintenant, et seulement maintenant,
Tous en vérité,
Nous savons,
Au fond de nous,
Que l’univers,
Que le vide,
Et que ce tout,
C’est nous.
Poème de Kundun 6 janvier 2013
Chaque être, que vous rencontrez, est un miroir qui ne demande qu’à s’illuminer, par votre présence, par votre attitude, par votre intention.
Envoyez votre lumière, envoyez votre amour et soyez le témoin, sentez le changement dans la présence.
Constatez cette légèreté, cette paix, cette joie, sentez les reflets de votre amour sur les visages.
L’environnement est en interaction permanente avec l’amour, il est ‘love dependent’.
Aimez, aimez et constatez comment tout s’illumine, facilement, naturellement. Mais tous ces miroirs ne demandent que cela ! De l’amour, de l’amour, encore et toujours de l’amour !
De la joie, de la joie, de l’amour, de l’humour, encore et toujours.
Envoyez ce que vous avez dans le cœur, maintenant et toujours, allez y, envoyez tout, il n’y a rien à perdre.
Et même si tous les miroirs ne peuvent pas vous refléter, parce qu’ils ne sont pas encore prêt, communiquez, exprimez votre amour, votre joie de vivre. Exprimez ce que nous sommes, envoyez la lumière!
Il en restera toujours quelque chose. Ne vous laissez pas abattre si certain miroir, emprisonnés par l’ego ne sont pas conscient. Leur tour viendra, dans cette vie là ou une autre, cela n’a aucune importance.
Soyez vous même en toute circonstance, soyez le cœur, pas votre ego, soyez le vrai vous, soyez divin.
Allez chercher profondément, au fond de votre âme, tout cet amour infini, et exprimez le, maintenant !
Texte de Kundun, Janvier 2013
Mais qui es tu?
Je suis un autre toi, avec qui,
Ce que tu es réellement,
Tu peux découvrir.
Tel un miroir, je reflète tout ce que tu m’envoies.
Envois moi de l’amour,
De l’amour tu recevras,
Envois moi de la séparation,
De la séparation, tu recevras.
C’est toi qui décide,
Car finalement,
Tu comprendras,
Que je suis toi.
Ne le vois tu pas?
Comme on aime un frère jumeau,
Je t’aime,
Car, mon frère, tu es.
A travers moi, comprends qui tu es,
Expérimente moi,
Je suis la pour toi,
Comme tu es la pour moi.
Nous nous sommes rencontrés,
Pas par hasard,
Mais pour progresser, ensemble,
Pour apprendre quelque chose,
Sur le chemin de la vie.
Je suis toi,
Et tu es moi,
Au fond de toi, ne le sens tu pas?
Qu’allons nous échanger ?
Qu’allons nous apprendre ?
Comment allons nous nous entraider ?
A nous, de le découvrir.
Je t’aime.
Viens avec moi.
Poème de Kundun / poem by Kundun
Il est certain que nous nous posons tous ces questions au minimum une fois dans notre vie.
Mais combien d’entre nous les creusent vraiment ? Qui sait vraiment qui il est ? et pourquoi il est ici ?….
Une femme me disait un jour : “ je ne sais plus qui je suis”.
Je répondit: “Oui, vous avez perdu la notion de qui vous êtes vraiment, parce que vous cherchez à être ce que vous pensez devoir être pour plaire, pour être aimé, vous faire respecter, éviter les problèmes…
Alors vous avez commencé à dire oui alors que vous vouliez dire non et vice versa. C’est comme ça que vous vous êtes progressivement éloigné de votre être, jusqu’au point d’avoir perdu votre identité véritable.
Tout cela parce qu’on nous programme comme des robots depuis l’enfance.
Il faut travailler dure pour gagner sa vie…
Ça ne se refuse pas…
On ne dit pas ça…
Je n’aime pas ça…
Si tu n’es pas gentil tu n’auras pas ceci…
Oui c’est dès l’enfance qu’on nous apprend que si on ne fait pas ce que l’autre attend de nous on ne nous aimera pas ! Et que ça n’ira pas !!!
Alors on se dit qu’on ne nous aimera pas si on est tout simplement soi. On commence à se muer en robot… Un robot soit disant intelligent qui calcul ce que l’autre attend de nous et qui répond en conséquence.
Le problème étant qu’un jour on se rend compte que ça ne fonctionne pas, on est pas plus aimé ou respecté malgré nos efforts et on se sent toujours mal dans sa peau. »
A cette question il y a plusieurs réponses :
Tout d’abord ce qu’on croit que l’autre veux est souvent à mille lieux de ce qu’il veut vraiment, parce qu’on se sert de son mental qui est influencé par notre Ego. Il en découle donc un jugement incorrect. Seul l’intuition, dépourvut d’ego, peut nous guider à coup sur.
Ensuite, quant on perd son identité, on perd son amour propre… on ne se respecte plus ! Alors comment voulez vous que les autres nous respectent si nous ne le faisons pas nous même.
« Alors comment retrouver son identité, son être ? » Me demanda cette femme.
Tout simplement en changeant et en faisant l’expérience de ce que nous ne sommes pas.
« L’autre jour » me dit elle « je me suis énervé violemment pour la première fois au travail ».
« C’est super » fut ma réponse.
« Non, me dit elle, je me suis senti très mal après ça. »
« Vous avez donc fait l’expérience de qui vous n’êtes pas, et vous savez dès à présent que vous ne voulez plus vous énervez ainsi, ce qui fait que vous vous êtes rapproché un peu de votre être.
Sachez qu’entre ne rien dire, se cacher et s’énerver violemment il y a beaucoup d’autres solutions, et une, voir plusieurs d’entre elles, font partie de votre être.
Alors continuez à expérimenter ainsi et bientôt vous ferez l’expérience de votre être. »
« D’un autre côté nous avons d’autre robots, ceux qui se croient aimé, ceux a qui tout est du et à qui l’on ne peut rien refuser. Ces robots dorment encore plus profondément dans l’illusion d’être. Car ils ne se pausent aucune question, leur Ego a une telle emprise sur eux qu’ils pensent être leur ego et que tout ce qui ne rentre pas dans leur compréhension égotique est faux. Ces dormeurs se font manipuler par leur ego et ils ne le savent même pas. On pourrait leur dire, qu’ils ne nous croiraient jamais et nous traiteraient de fou.
Mais dans un asile de fou le premier signe qui détermine qu’un fou peu guérir et s’en sortir. C’est lorsqu’il reconnaît et admet qu’il est fou. »
Mais alors que faire ?
Avant tout, nous devons souhaiter de tout cœur un changement véritable et reconnaître que nous dormons profondément.
Ensuite il faut prendre conscience et connaissance du mécanisme de la vie sur ses différentes dimensions.
La première dimension à laquelle il faut s’intéresser est la dimension psychique car c’est celle-ci qui influence notre quotidien, nos programmations.
Comme dans le monde dit physique, il y a dans le monde psychique des personnes constructives et destructives, des endroits ordonnés et désordonnés.
Les personnes psychiques sont en faite nos egos qui nous parlent et nous influencent, les endroits sont nos projections mentales dans le futur ou le passé. Pour percevoir tout cela il faut absolument sortir du mode automatique et reprendre le contrôle. Ce qui veut dire s’éveiller ou en d’autres thermes ne pas s’oublier. Car quant on s’oublie c’est le mental et l’Ego qui prennent le contrôle et on passe en mode automatique c’est alors que le mental s’identifie aux situations.
Si le mental identifie une impression comme négative, alors il est blessé ou se sent attaqué, en conséquence le mental fabrique un programme de défense appelé Ego qui contre attaquera ou se défilera à l’avenir dans ses situations.
Si on nous insulte nous insultons, si on nous pousse à boire nous buvons…
Nous devons éviter ce type de réactions automatiques, incontrôlés et impulsives. Pour cela il nous faut rester dans le moment présent pour rester conscient et ne pas nous oublier, dans ce cas toutes les impressions sont reçu par notre conscience et non par notre mental.
Celle-ci va digérer nos impressions et les transformer en quelque chose de diffèrent.
Je vais vous donner un exemple :
Rappelez vous votre adolescence. Un jour où, votre professeur ou vos parents, ne parvenaient pas a vous faire comprendre quelque chose et que leur manque d’éveil et de présence enclencha le programme de la terreur ou de la colère.
C’est a ce moment qu’ils se sont mis à s’emporter, s’énerver et à votre tour votre mental enclenche l’ego qui est programmé pour se défendre par la contre-attaque ou pire par la tristesse, pour recevoir la pitié et la clémence. Dans les deux cas vous vous morfondrez intérieurement et vous serez frustré extérieurement. Alors que si vous étiez pleinement présent à vous ce serai votre conscience qui générerait vos impressions et elle identifierait cette impression comme une personne désespérer, qui s’est oublié et s’est bêtement laissé emporter par ses programmations en s’énervant.
Vous ne vous identifierez pas a cette situation puisque la personne ne se fâche pas sur vous mais sur elle même, puisque c’est elle qui n’arrive pas à expliquer convenablement.
Vous resterez calme et aurez de la compassion pour ce pauvre robot. Vous ne perdrez pas tous vos moyens à cause de l’énervement et resterez concentré sur l’essentiel qui est votre être.
En résumé ce qu’il vous reste à faire , est de prendre conscience que vous êtes la plus part du temps en mode automatique, endormi et qu’il faut s’éveiller en vivant le moment présent.
Dans le moment présent, commence l’introspection et l’observation des programmes qui désirent s’exprimer dès que l’on s’oublie. Une fois que l’on a pri conscience de ses programmes, on peut les observer consciemment et arriver au point où on se rend compte qu’ils n’ont pas de raisons d’être et qu’ils sont tous parfaitement inadaptés et obsolètes.
Ecrit par Brahmadev, Belgique, Introduction au stage de soins énergétiques holistiques.
Nous avons eu la chance, Le vendredi 28 et Samedi 29 Octobre, de pouvoir assister au premier colloque international de la recherche pour les handicaps & autres fragilités, à l’espace Océan de la chambre d’Amour, salle des congrès d’Anglet, près de Biarritz.
Ce congrès avait pour thème :Cristaux d’eau, Minéraux & Végétaux, Mémoire, bienfaits & avenir.
L’invité exceptionnel de ce congrés était le Dr Masaru Emoto.
Le congrès a été organisé par l’oeuvre Ithurria au profit des enfants handicapés du Pays Basque et du Japon.
Ce congrès a été pour nous l’occasion de rencontres extraordinaires :
Il nous a parlé au cours de 2 conférences exceptionnel de son travail sur l’eau : « Cristaux d’eau et le pouvoir guérisseur de l’eau ». Il a publié plusieurs ouvrages présentant des clichés de cristaux de molécules d’eau. Il interprète ces clichés comme des preuves que les cristaux réagissent par des changements de structure à diverses influences comme celles d’une musique de Jean-Sébastien Bach ou de hard rock, ainsi qu’à de simples mots comme « Merci ». Ces recherches montrent que notre conscience humaine est intimement liée à l’eau et qu’il est essentiel pour le bien-être de tous que nous prenions conscience du rôle fondamental de l’eau pour le bien-être de l’humanité. Son message de paix : AMOUR et GRATITUDE envers l’EAU qui nous nourrie et nous constitue.
L’une des filles de Béatrice Bonin, Julie est atteinte d’un handicap très lourd qui l’empêche de communiquer, pourtant ce petit bout de femme émet une énergie et une volonté surprenante pour son age, témoignage de ses souffrances mais aussi de sa capacité à voir le monde. Julie a chargé ses parents d’une grande mission : « réaliser son idéal de paix, en aidant tous les enfants comme elle, ces enfants différents, quelque soit l’étiquette que les grands sorciers leur collaient, à vivre chez eux, en famille, et apprendre aux gens, à les respecter. » . Pour accomplir cette mission, Béatrice Bonin a créé l’Oeuvre Ithurria au profit des enfants handicapés.
La banalisation de la vie
Ce soir, j’ai cinq ans.
Je vois tout avec les yeux d’un enfant de cinq ans,
Tout est magique, tout est sacré.
Comment ai-je pu oublier ?
Pourquoi avons-nous oublié ?
Tout a été banalisé : la rencontre de l’autre, la communication avec l’autre, la découverte de l’autre.
La découverte, les gestes quotidiens.
Se nourrir, se laver, se rencontrer,se parler, se regarder, se toucher.
Nous avons tout banalisé,
Alors qu’en réalité, notre monde, notre univers est magique.
Nous sommes entourés de beautés, de magies, de sacré et nous ne le voyons plus.
Je suis redevenu un enfant, je redécouvre la magie de la vie.
Toutes ces premières fois, me ramènent à la vie.
Son regard, un baiser, une caresse, tout redevient nouveau.
Comme si je n’avais jamais vécu, j’ai été transporté dans l’univers de première fois…
Comme si j’avais perdu la mémoire, je redécouvre,
La vie.
En réalité, si l’on s’éveille à nos sens, si l’on retrouve notre cœur d’enfant, si l’on se déprogramme,
Il est tout à fait naturel, de redevenir,
Vivant.
Pouvons-nous, par des prises de conscience, par l’écoute de notre être profond,
Redevenir,
Ce que nous sommes réellement ?
C’est à dire Dieu dans un corps d’homme ou de femme.
Il n’y a jamais eu d’humain sur terre. Il n’y a que des Dieux incarnés dans des corps humains.
L’essence même de notre être est divine.
Nous l’avons juste oublié, momentanément.
Nous sommes des machines à vivre des comédies humaines.
Nous incarnons le relatif sur terre alors que nous sommes des êtres absolu.
Éveillons nous, éveillons nous à la nature divine qui se cache en nous.
Pourquoi ?
Pour mieux vivre, pour mieux être, pour développer l’infini dans le fini, pour réaliser notre potentiel.
Pour le fun, pour créer quelque chose de nouveau.
Pouvons-nous retrouver le sacré, le merveilleux, le sensible ?
Pouvons-nous arrêter de courir afin de vivre dans le moment présent ?
Cessons de banaliser la vie. Chaque instant est sacré, chaque instant est divin, restons dans cette présence, restons dans le cœur,
Et contemplons les reflets,
De notre être,
A travers,
L’univers.
Kunzang, Septembre 2013
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