Je vous salue…

Je vous partage le témoignage bouleversant de Christine qui a participé à nos ateliers d’éveil et de transformation. C’est pour vous que je continue, pour toutes celles et ceux qui se transforment. Gratitude d’être utile à la vie. Merci merci merci Christine. 😍💕

reine-de-la-paix-medjugorge

Le témoignage de Christine :

“Je vous salue…

Vous m’êtes arrivé hier.

Ce dimanche matin, j’avais rendez-vous.

Je suis venue sur une plage de Thaïlande pour la Rencontre.

Assise devant mon bureau , je ferme les yeux avec vous et vous me faites respirer. De longues respirations. Un effet d’ascenseur. Je descends en moi et je remonte par la respiration. Je rentre et je sors. Je me fais l’âme…

Un “Om” sort de votre voix et je m’entends le dire avec vous. Le vôtre est vibrant. Le mien n’est qu’un effet de cordes vocales.

Encore une fois.

Mon “Om”, alors que je ne sais à l’avance quelle sera votre intonation, s’accorde sur le vôtre, comme une deuxième voie moins dissonante. Je fais partie du Choeur…

Au troisième “Om”, je suis avec vous. Cependant, je n’ai pas de souffle et le “Om” que je commence, vous le terminez car quand je n’en peux plus d’expirer, vous expirer encore…

Quand je n’en peux plus de mourir, vous mourrez encore.

200 “Om” et le vôtre, nous éparpillés sur la planète, vous dans Le Centre.

Puis, l’impensable se produit.

Vous prononcez l’imprononçable.

A voix haute, je vous suis.

La tête haute, je vous suis.

Droite et ancrée, je vous suis.

Vous me faites articuler deux syllabes qui étaient enfouies en moi depuis des années. Ai-je bien entendu ? Vous avez dit le mot “papa”…

Je vous suis comme une aveugle.

Je vous entends comme une sourde.

Je vous fais pleine confiance.

J’ose dire les mots.

Je suis désolée papa. Je te pardonne papa. Pardonne-moi papa. Je t’aime papa.

Jusqu’à ce qu’il ne meure il y a 14 ans, j’étais obligée de prononcer ce titre de noblesse quand je le voyais : “papa”. Après sa mort et pendant des années, je n’ai plus rien dit du tout. Ensuite, lorsque je parlais de lui, je disais “mon père”. Par après, en commençant ma psychanalyse, je l’ai appelé par son prénom : Albert.

J’ai commencé à faire des cauchemars éveillés de mon père il y a très longtemps. J’avais alors 14 ans. Il était alcoolique. Il était un prédateur. J’étais sa proie. Il était pervers. Sexuel.

J’ai ainsi vécu pendant plusieurs années au milieu d’un triangle dramatique : lui le bourreau, moi la victime, ma mère le sauveur qui ne sauve pas. Toute ma vie durant, j’ai fait des cauchemars de lui, presque toutes les nuits, dans lesquelles il rentrait tel un vandale. Une demi-vie à rêver de lui…

Mon Dieu, ces mots dans ma bouche… Je ne m’en serais jamais crue capable.

Puis, vient le temps de maman : je t’aime maman, je te pardonne maman (de ne pas m’avoir protégée), je suis désolée maman (de t’en avoir voulu toute ma vie). Merci maman.

Puis vient le tour de parents. Puis vient mon tour… Mon Dieu, je me remercie, je suis désolée, je me pardonne, je m’aime…

Au milieu de mon front, un point de chaleur. Je sens un espace autour de moi. Ma peau pétille, vibre et picote. Mes doigts se touchent et se rencontrent autrement. Je deviens reine.

Je vous suis toujours. Accrochée à vous, accrochée à l’arche, et je m’entends terminer vos phrases à ma façon et j’écris :

“Je suis…mère ce matin. Je suis née ce matin. Je suis belle. Je suis fantastique. Je suis parfaite. Je suis formidable. Je suis innocente. Je ne suis coupable de rien. Je suis incassable. Je suis l’apprentissage.

Je suis la richesse. Je suis l’écriture. Je suis la dévotion. Je suis la lumière. Je suis celle qui a survécu. Je suis la nuit. Je suis bien. Je suis tout le monde. Je suis saine.

Je suis guérie. Je suis celle qui avance et qui s’élance. Je suis celle qui donne. Je suis là pour moi. Je suis la résurrection. Je suis la compréhension. Je suis l’amour. Je suis la compréhension. Je suis la fleur.

Je suis la coïncidence. Je suis le hasard. Je suis la synchronicité. Je suis celle qui accepte l’abondance. Je suis la réussite. Je suis un miracle. Je suis reconnaissante. Je suis le rire. Je suis la joie”.

Je suis joie et je suis rire. Car la première personne que vous prenez en ligne est joyeuse. Un rire incrédule comme celui d’une petite fille. Elle dit après vous : j’adore donner des soins. Moi aussi. Je suis enseignante dans un hôpital pour enfants. Elle rit encore et j’éclate de rire en moi, avec elle.

Je vous écoute. Concentrée. En mon centre. Je vous écoute et j’écris en même temps, dédoublée : “je m’autorise à aider les autres car je sais que c’est l’Univers qui les aide à travers moi”.

J’étais partie en 1993 à la guerre en Bosnie.

J’ai à mon retour écrit un livre.

Il a été publié, lu et partagé en mille.

L’éditeur m’a donné une aumône et je n’ai pas réclamé.

Un autre aspirant vous parle : pourquoi est-ce que j’ai des

dettes ? Je vois cet homme joindre les mains. Je fais comme lui. Je n’ai jamais fait comme lui. Je m’entends dire aussi “Namasté”. Je n’ai jamais dit “Namasté”.

Je vous regarde lui et vous avec une immense gratitude.

Moi aussi, j’ai eu beaucoup de dettes. Pendant sept ans. Je me suis droguée pendant tout ce temps. Se droguer coûte cher. Donc j’ai emprunté à 10% pour me droguer coupable et en silence.

Je me suis aussi toujours sentie coupable de l’autisme de mon fils. Il a presque dix-huit ans aujourd’hui. Enceinte de lui, je fumais de l’herbe aussi. Et lorsque le diagnostique est tombé, j’ai cru alors que je l’avais bousillé. J’ai vécu seule avec lui depuis, coupable à mort…

Je vous suis toujours. Vous me dites alors : “je ne suis coupable de rien”. J’ôte la croyance que je suis coupable. Je suis innocente. Et en moi, un câble d’acier vient de lâcher…

J’ai nommé mes blessures. Je les ai reconnues. Je les ai débusquées. Je les ai assiégées…

Ma blessure d’enfance est l’indifférence.

Ma blessure d’adolescence est la trahison, l’humiliation, l’indifférence, l’agression, la domination.

Ma blessure de jeune femme est l’expérience de la peur dans la guerre et la digestion de ses traumatismes.

Ma blessure de femme mariée est l’abandon, l’indifférence et la trahison.

Ma blessure de mère est la culpabilité.

Aujourd’hui, les blessures deviennent lumineuses. Les traces de coupures sur mon poignet aussi.

Ce 19 février…

Il est 4h50 du matin et je ne dors toujours pas.

Vous nous avez quittés hier sur la plage, il faisait noir. Je vous écris, et il fait noir. Pourtant, c’est la même “Jour-Née”. Il n’y a ni passé ni futur. Juste le “maintenant d’avant” et le “maintenant d’après”. Et si le “maintenant” n’avait pas de fin ? Le Maintenant n’a pas de fin…

Je m’autorise à être vivante.

Je suis une survivante.

J’ai survécu aux huit avortements pratiqués par ma mère avant ma venue au monde. Je suis un enfant de l’Univers. J’ôte la croyance que je n’étais pas attendue, pas désirée.

Je vous suis toujours…

Toute ma vie se “ré-emboite”.

Je comprends mes épreuves, leurs pourquoi, leurs enseignements.

La séance se termine.

Je suis en apesanteur.

Je ne “pèse” plus.

J’ai la sensation d’avoir des yeux dans mes yeux, des mains dans mes mains… Je ressens un espace entre moi et Moi.

Merci d’être là, infiniment.

Je suis une revenante.

Je vis en Belgique.

J’habite à 26 pas d’une petite église du Xème siècle. La nuit passée, quelques heures avant la Rencontre, je ne dormais pas non plus et je suis sortie. J’ai compté 26 pas jusqu’à l’église, je me suis appuyée contre son mur soutenant, et j’ai regardé les étoiles. Avec des yeux dans les yeux. Et j’ai vu l’Univers…

Christine

” Message reçue le lundi 19 février 2018.

Le témoignage de Hamid

J’ai passé une heure avec Sébastien en session privée d’une dimension vibratoire inégalée.

Très vite, il a vu dans ma structure avec précision chirurgicale tous mes blocages du moment et du passé.

Époustouflé par les détails de l’état des lieux de mon état intérieur qu’il décrivait sans jugement mais avec sagesse et bienveillance.

Et instantanément dans la foulée après les fameuses questions «Pourquoi je…», me faisait répéter des phrases GUERISSEUSES d’une puissance de l’univers 🙂 qui agissaient sur les couches profondes de mon être intérieur.

Un seul mot : WAOOH 🙂

La puissance du travail fait en une heure en session privée est inestimable. Toutes les cellules de mon corps vibrent avec douceur et harmonie. Je baigne dans la joie et la paix intérieure depuis cette séance. J’apprécie le moment présent sans me soucier du futur et (ou) remonter les regrets du passé. C’est coool 🙂

J’ai l’impression qu’il a agit sur les racines de mes conditionnements accumulés de toutes mes vies antérieures et sur la profondeur de mon être. En une heure, il a lavé, plus blanc que blanc toutes les taches noires de mon âme.

Cette déprogrammation vaut tous les spécialistes de la médecine moderne. C’est juste hallucinant !

Je recommande vivement à tous ceux qui sont prêts à vivre la même expérience. L’âme agît (La magie) au bon moment et tout est JUSTE.

Mille mercis Sébastien, Gratitude encore et encore 🙏🙏🙏

Je t’embrasse

Hamid

Témoignage d’Isabelle. 💕

Témoignage d’Isabelle sur sa session privées:

“Nous avons dans notre existence d’être incarné du 21ème siècle une chance incroyable de réussir à trouver quelques réponses et soulagements à nos attentes dans les domaines de la Spiritualité et Mission de vie et d’Ame, grâce à des être plus éveillés, plus avancés que nous et qui consacrent leur vie à notre bien-être et augmentation de belles énergies vibratoires de cette planète et d’autres…

J’ai eu l’occasion de découvrir Sébastien avec des ateliers de soins collectifs animés sur la LGC par Gwennoline, puis ma curiosité naturelle m’a conduite vers sa chaîne youtube et ses nombreuses interviews sur tous sujets, dans les domaines philosophiques, bien-être, spirituel, partage de sa propre existence de vie professionnelle et de Shaktipat…

Puis j’ai eu envie de le suivre dans ses ateliers de soins collectifs du dimanche matin depuis deux mois, cerise sur le gâteau en direct de lieux sacrés d’Inde et de Thaïlande. Je m’y suis sentie bien, nettoyée de vieilles blessures dès la première session, m’y suis fait des amis, osant me montrer en vidéo, grosse sortie de zone de confort pour moi.

J’ai également acheté les 3 tomes de “Qui êtes-vous” pour les dévorer en quelques jours et me sentir transformée de l’intérieur, en Paix avec certaines interrogations d’ordre existentielle!

Sébastien étant très généreux, m’a offert le lundi 12 Mars, une magnifique séance de soin individuelle, troublante pour moi. Impressionnée au début par ce don de clairvoyance, mon débit de voix s’est emballé.

Il a su me rassurer, me canaliser, m’encourager, me détendre avec une bonne dose d’humour, utiliser ses puissants mantras, d’affirmations positives pour éliminer certaines croyances encore bien accrochées en moi, m’encourager et me valoriser en créant même de nouveaux Mantras suite à quelques échanges personnels.

Sa grande force et intelligence est qu’il vous cerne dès le début de la séance et se connecte avec vos propres guides spirituels, pour moi: Marie, Jesus, Mère Theresa, pour d’autres ce pourra être Shiva, la Source, l’Archange Gabriel, etc…

Une telle séance vous secoue en profondeur, beaucoup de larmes pendant deux jours. Mais surtout des larmes de joie.

Un temps d’introspection après: tout le lundi après-midi, et des moments de calme intérieur, de Paix profonde, de sorte de manteau de coton me pénétrant depuis le chakra Couronne jusque dans mon coeur tout au long de cette semaine à différents moments de la journée. J’ai même un élève de 12 ans qui s’est exclamé en cours de solfège:” Ah ben dites-donc, elle est toute détendue Isabelle aujourd’hui!” ( cours à 10 pré-ados un vendredi soir après l’école, donc difficiles à canaliser).

Je vous encourage tous à vivre une expérience unique avec Sébastien, alias Brahmadev. C’est un être d’une grande bonté, intelligent, pétillant, joyeux, créatif, sans cesse dans le COEUR, dans la vie, l’Amour pur et authentique.

Il a trouvé sa mission de vie, d’Ame, la realisation du Soi et nous aide à en faire autant dans le respect de l’autre et la Bienveillance. Ce n’est pas donné à tout le monde!! Continu de nous guider, d’inventer de nouveaux concepts! On t’aime tous Sébastien.

” Isabelle 😍😍

Le témoignage de Roni.

Bonjour Sébastien, merci pour ton atelier d’hier. C’était la 1ere fois que je me suis engagé à 100% dans un atelier en facebook live.

J’ai répété les mantras tout en étant allongé et les yeux fermés du début à la fin et ça m’a fait beaucoup de bien.

Je ressentais de plus en plus de bien-être et de lâcher prise au fur et à mesure de l’atelier. Je ressentais beaucoup d’émotions qui me traversaient. La plus forte était quand j’ai répété “j’accepte de réussir”.

J’ai éclaté en sanglots à ce moment-là, je ne sais pas pourquoi…

Faire cet atelier m’a permis de sentir en paix, aligné, serein, rempli d’énergie et d’amour.

Je me remets beaucoup en question sur ma vision à long terme et ma mission de vie depuis quelques jours suite à une discussion que j’ai eu avec une personne que j’ai rencontré à l’un de tes ateliers de l’année dernière à Paris et j’ai reçu des réponses pendant l’atelier qui m’ont permis de me rapprocher de ce que je désire vivre dans le futur.

Comme tu l’as recommandé, j’ai dormi après l’atelier et je me suis réveillé 3 heures plus tard comme si j’avais dormi pendant des années.

Je me sens totalement ressourcé et je vais continuer à suivre tes ateliers du dimanche régulièrement.

J’espère un jour participer à l’un de tes stages en Dordogne. Namasté 😊💞

Roni.

Témoignage de Nathalie

Voici le témoignage de Nathalie après une session de “Pourquoi je” :

“Bonjour Sébastien,

Comme tu nous l’as demandé, je t’écris mes ressentis suite à ces incroyables méditations extra puissantes. Pour se don, je t’envoie toute ma gratitude et je ne m’oublie pas car je m’envoie également toute ma gratitude pour t’avoir trouvé et écouté.

C’est avec une énorme émotion que je partage cette expérience extraordinaire. Pendant la méditation de la naissance, j’ai pu me retrouver dans l’émotion intra utérine où j’ai ressentis toute la tristesse, le désarroi et la peur de ma mère de devoir être seule pour m’accueillir dans sa jeunesse perturbée par cette grossesse mon désirée. De comprendre toute sa souffrance, m’a propulsé dans une immense compassion pour elle, j’ai senti que je pouvais lui pardonner pour de bon et me libérer de m’avoir tenu éloigné de mon père et imposé un autre homme et famille qui ne m’aimait pas.

J’ai également ressenti le manque de la présence de mon père et le manque de joie lors de ma naissance. Pour la première fois, moi qui ne connais pas mon père géniteur, j’ai pu me connecter à sa présence et sentir qu’il m’aimait dans la plus haute partie de lui et que tout était parfaitement organisé dans ma vie afin que je grandisse et que je retrouve le contact avec la présence divine.

J’arrive de plus en plus à me relier à cet espace de plénitude en moi où je suis exaltée par la présence que je laisse s’exprimer à travers moi, ces moments magiques activent en moi beaucoup de créativité et d’inspiration, les idées fussent à n’en plus finir dans cette présence. J’ai immensément envie de m’exprimer et de partager. L’amour m’envahir au point qu’il ne peut que s’expanser sur tout se qui est. Je vous aime.

Petite prière à l’univers

Remercions ensemble l’univers pour tout ce qu’il a fait et fait pour nous en cet instant si intense où nous prenons conscience que nous sommes l’énergie qui régente cet immense manège organisé à la perfection pour répondre à chaque seconde aux pensées et aux émotions que nous lui envoyons. Gratitude à toi, merveilleux Univers de nous dévoiler toute ta beauté et toute ta puissance, je te demande maintenant d’amener la compréhension à toutes les personnes qui liront cette prière. Merci.

Nathalie

💖💞💓💞💖💞💖💞💖💞💖💞💖💞💖💞💖”

Je vous salue…

Je vous partage le témoignage bouleversant de Christine qui a participé à nos ateliers. C’est pour vous que je continue, pour toutes celles et pour tout ceux qui se transforment et se guérissent. Gratitude d’être utile à la vie. Merci merci merci Christine. 😍💕Brahmadev

Le témoignage de Christine :

“Je vous salue…

Vous m’êtes arrivé hier, samedi 17 février.

Ce dimanche matin, j’avais rendez-vous.

Je suis venue sur une plage de Thaïlande pour la Rencontre.

Assise devant mon bureau , je ferme les yeux avec vous et vous me faites respirer. De longues respirations. Un effet d’ascenseur. Je descends en moi et je remonte par la respiration. Je rentre et je sors. Je me fais l’âme…

Un “Om” sort de votre voix et je m’entends le dire avec vous. Le vôtre est vibrant. Le mien n’est qu’un effet de cordes vocales.

Encore une fois.

Mon “Om”, alors que je ne sais à l’avance quelle sera votre intonation, s’accorde sur le vôtre, comme une deuxième voie moins dissonante. Je fais partie du Choeur…

Au troisième “Om”, je suis avec vous. Cependant, je n’ai pas de souffle et le “Om” que je commence, vous le terminez car quand je n’en peux plus d’expirer, vous expirer encore…

Quand je n’en peux plus de mourir, vous mourrez encore.

200 “Om” et le vôtre, nous éparpillés sur la planète, vous dans Le Centre.

Puis, l’impensable se produit.

Vous prononcez l’imprononçable.

A voix haute, je vous suis.

La tête haute, je vous suis.

Droite et ancrée, je vous suis.

Vous me faites articuler deux syllabes qui étaient enfouies en moi depuis des années. Ai-je bien entendu ? Vous avez dit le mot “papa”…

Je vous suis comme une aveugle.

Je vous entends comme une sourde.

Je vous fais pleine confiance.

J’ose dire les mots.

Je suis désolée papa. Je te pardonne papa. Pardonne-moi papa. Je t’aime papa.

Jusqu’à ce qu’il ne meure il y a 14 ans, j’étais obligée de prononcer ce titre de noblesse quand je le voyais : “papa”. Après sa mort et pendant des années, je n’ai plus rien dit du tout. Ensuite, lorsque je parlais de lui, je disais “mon père”. Par après, en commençant ma psychanalyse, je l’ai appelé par son prénom : Albert.

J’ai commencé à faire des cauchemars éveillés de mon père il y a très longtemps. J’avais alors 14 ans. Il était alcoolique. Il était un prédateur. J’étais sa proie. Il était pervers. Sexuel.

J’ai ainsi vécu pendant plusieurs années au milieu d’un triangle dramatique : lui le bourreau, moi la victime, ma mère le sauveur qui ne sauve pas. Toute ma vie durant, j’ai fait des cauchemars de lui, presque toutes les nuits, dans lesquelles il rentrait tel un vandale. Une demi-vie à rêver de lui…

Mon Dieu, ces mots dans ma bouche… Je ne m’en serais jamais crue capable.

Puis, vient le temps de maman : je t’aime maman, je te pardonne maman (de ne pas m’avoir protégée), je suis désolée maman (de t’en avoir voulu toute ma vie). Merci maman.

Puis vient le tour de parents. Puis vient mon tour… Mon Dieu, je me remercie, je suis désolée, je me pardonne, je m’aime…

Au milieu de mon front, un point de chaleur. Je sens un espace autour de moi. Ma peau pétille, vibre et picote. Mes doigts se touchent et se rencontrent autrement. Je deviens reine.

Je vous suis toujours. Accrochée à vous, accrochée à l’arche, et je m’entends terminer vos phrases à ma façon et j’écris :

“Je suis…mère ce matin. Je suis née ce matin. Je suis belle. Je suis fantastique. Je suis parfaite. Je suis formidable. Je suis innocente. Je ne suis coupable de rien. Je suis incassable. Je suis l’apprentissage.

Je suis la richesse. Je suis l’écriture. Je suis la dévotion. Je suis la lumière. Je suis celle qui a survécu. Je suis la nuit. Je suis bien. Je suis tout le monde. Je suis saine.

Je suis guérie. Je suis celle qui avance et qui s’élance. Je suis celle qui donne. Je suis là pour moi. Je suis la résurrection. Je suis la compréhension. Je suis l’amour. Je suis la compréhension. Je suis la fleur.

Je suis la coïncidence. Je suis le hasard. Je suis la synchronicité. Je suis celle qui accepte l’abondance. Je suis la réussite. Je suis un miracle. Je suis reconnaissante. Je suis le rire. Je suis la joie”.

Je suis joie et je suis rire. Car la première personne que vous prenez en ligne est joyeuse. Un rire incrédule comme celui d’une petite fille. Elle dit après vous : j’adore donner des soins. Moi aussi. Je suis enseignante dans un hôpital pour enfants. Elle rit encore et j’éclate de rire en moi, avec elle.

Je vous écoute. Concentrée. En mon centre. Je vous écoute et j’écris en même temps, dédoublée : “je m’autorise à aider les autres car je sais que c’est l’Univers qui les aide à travers moi”.

J’étais partie en 1993 à la guerre en Bosnie.

J’ai à mon retour écrit un livre.

Il a été publié, lu et partagé en mille.

L’éditeur m’a donné une aumône et je n’ai pas réclamé.

Un autre aspirant vous parle : pourquoi est-ce que j’ai des

dettes ? Je vois cet homme joindre les mains. Je fais comme lui. Je n’ai jamais fait comme lui. Je m’entends dire aussi “Namasté”. Je n’ai jamais dit “Namasté”.

Je vous regarde lui et vous avec une immense gratitude.

Moi aussi, j’ai eu beaucoup de dettes. Pendant sept ans. Je me suis droguée pendant tout ce temps. Se droguer coûte cher. Donc j’ai emprunté à 10% pour me droguer coupable et en silence.

Je me suis aussi toujours sentie coupable de l’autisme de mon fils. Il a presque dix-huit ans aujourd’hui. Enceinte de lui, je fumais de l’herbe aussi. Et lorsque le diagnostique est tombé, j’ai cru alors que je l’avais bousillé. J’ai vécu seule avec lui depuis, coupable à mort…

Je vous suis toujours. Vous me dites alors : “je ne suis coupable de rien”. J’ôte la croyance que je suis coupable. Je suis innocente. Et en moi, un câble d’acier vient de lâcher…

J’ai nommé mes blessures. Je les ai reconnues. Je les ai débusquées. Je les ai assiégées…

Ma blessure d’enfance est l’indifférence.

Ma blessure d’adolescence est la trahison, l’humiliation, l’indifférence, l’agression, la domination.

Ma blessure de jeune femme est l’expérience de la peur dans la guerre et la digestion de ses traumatismes.

Ma blessure de femme mariée est l’abandon, l’indifférence et la trahison.

Ma blessure de mère est la culpabilité.

Aujourd’hui, les blessures deviennent lumineuses. Les traces de coupures sur mon poignet aussi.

Ce 19 février…

Il est 4h50 du matin et je ne dors toujours pas.

Vous nous avez quittés hier sur la plage, il faisait noir. Je vous écris, et il fait noir. Pourtant, c’est la même “Jour-Née”. Il n’y a ni passé ni futur. Juste le “maintenant d’avant” et le “maintenant d’après”. Et si le “maintenant” n’avait pas de fin ? Le Maintenant n’a pas de fin…

Je m’autorise à être vivante.

Je suis une survivante.

J’ai survécu aux huit avortements pratiqués par ma mère avant ma venue au monde. Je suis un enfant de l’Univers. J’ôte la croyance que je n’étais pas attendue, pas désirée.

Je vous suis toujours…

Toute ma vie se “ré-emboite”.

Je comprends mes épreuves, leurs pourquoi, leurs enseignements.

La séance se termine.

Je suis en apesanteur.

Je ne “pèse” plus.

J’ai la sensation d’avoir des yeux dans mes yeux, des mains dans mes mains… Je ressens un espace entre moi et Moi.

Merci d’être là, infiniment.

Je suis une revenante.

Je vis en Belgique.

J’habite à 26 pas d’une petite église du Xème siècle. La nuit passée, quelques heures avant la Rencontre, je ne dormais pas non plus et je suis sortie. J’ai compté 26 pas jusqu’à l’église, je me suis appuyée contre son mur soutenant, et j’ai regardé les étoiles. Avec des yeux dans les yeux. Et j’ai vu l’Univers…

Christine

” Message reçue le lundi 19 février 2018.

Témoignage du Samadhi numéro 2

Méditation shamanique : témoignage.

Préparation de séance : suite aux exercices de respiration, l’énergie commençait à s’étendre, j’étais devenu une panthère, sentant sa force, montrant les dents, respirant par le nez, sentant toutes les odeurs. Une magnifique panthère noire s’était incarnée en moi.

Puis, suite aux travaux énergétique basés sur une respiration par la bouche, quelque chose de spécial apparu : je pouvais expirer et chanter, mais sans sortir de son, je faisais des gestes avec ma bouche, c’était plutôt un doux murmurement, une expression de moi qui sortait de ma bouche, mais sans son …

J’étais le vent, j’étais le prana qui à travers mois passait, j’étais devenu l’expiration. Expulsant mon univers et ce que je suis à travers ce vent invisible, je sortais de  mon corps, je sortais de mes poumons, je m’étendais progressivement dans tout l’univers.

R comme Rêve

Puis, comme pour la première fois, ma conscience pris le chemin du Samadhi. C’était assez désagréable pour le corps car il y a un surplus d’énergie, une surchauffe énergétique du corps, comme une surtension. Mon corps physique était dans une zone d’inconfort, le même inconfort que celle du premier Samadhi, j’avais oublié.

Puis, soudain, je me retrouve dans l’espace. Il fait noir et il y a quelques couleurs par ci par là : je vois de grands vaisseaux spatiaux en forme de crayons lumineux, verticaux, comme des immeubles.

En fait, ils représentent symboliquement des outils qui vont effectuer une mise à jour de mes cellules, de tout mon corps.

Et la, je réalise : les technologies les plus puissantes et les plus pointues de tout l’univers sont en train de travailler sur mon corps ! Comme pour une opération chirurgicale, une transformation s’effectue. Ça travaille dur !

Une gratitude infinie m’envahit, mais qu’ai-je fais pour mériter cela, qu’ais je fait pour bénéficier de ce traitement ?

Ces machines sont à la fois monstrueusement grandes, de la taille d’une planète, et en même temps mon corps a pris la taille de l’univers.

C’est bizarre : comment un corps de terrien aussi petit peut tout à coup être aussi grand que le système solaire ? Par quel mystère ce changement de conscience peut-il s’effectuer ?

Puis je comprends : en fait mon corps est un hologramme et peut s’agrandir. Je suis autant ce petit corps qu’un système solaire tout entier.

Il n’y a rien de psychédélique comme la première fois. L’univers a compris que ce n’est pas ce que je cherchais, du coup, je reprends là où je m’étais arrêté lors du 1er Samadhi.

Puis, je pose les deux questions que j’avais préparées : information sur l’ascension et sur Lakshmi

Réponse concernant l’ascension : parce que je suis Dieu, l’univers n’a pas d’autre choix que de réaliser tous mes désirs, du coup, des milliards de vaisseaux, des milliards de cellules travaillent actuellement sur mon ascension, mon évolution.

Rien ne peut empêcher ce processus en cours car il est aussi naturel que la pousse des plantes.

Nous sommes comme des arbres, et si nous avons de l’espace, si nous recevons de l’eau, de la nourriture, par le processus naturel de la vie, nous poussons tout simplement.

Rien dans tout l’univers ne peut nous empêcher de pousser, d’aller vers notre destin d’homme : l’ascension

Il n’y a rien à faire, juste à exprimer notre volonté divine et l’univers s’occupe de tout.

Faisons confiance au Dieu que nous sommes : tout est toujours plus beau et plus merveilleux, au delà de notre imagination.

Puis, concernant la question deux : invocation de Lakshmi.

Réponse de Lakshmi : “Mais qui me demande ?”

Réponse : Dieu, moi

Que c’est drôle, à ce moment, je sens que Dieu cherche dans sa base de donnée Lakshmi, mais pourquoi ai-je créé cette déité, que fait-elle ?

Réponse : ah oui, c’est la cuisinière, elle fait partie de la famille divine…

“Son rôle est de faire la cuisine, tu auras plus de détails dans les jours qui viennent, il y a mieux à faire pour le moment !”

Bon, je lâche prise et je “surrender” au Samadhi !

Il n’est même pas question de commencer à discuter avec son Soi divin, lui seul sait ce qui est bon pour moi.

Puis, le corps commence à s’accoutumer à sa zone d’inconfort, une plus grande énergie afflue, alors de nombreuses prises de conscience émergent :

1 : je suis super heureux d’être avec mes compagnons de voyage durant cette méditation et je ressens une immense fraternité, une amitié pour tous ceux qui sont présent, un peu comme un amour infini.

Je ressens qu’ils sont littéralement “moi” et un sentiment d’intimité fraternelle me submerge : ils “sont” littéralement mon bonheur.

Je sais qu’ils sont “moi” et je sais que j’ai créé ces compagnons parce que je m’ennuyais seul dans l’univers depuis des éons et des éons. Incroyable !

Grâce à ce système d’ubiquité, de bilocation avec mémoire, j’ai crée tous ces autres “moi même” et je peux ainsi me découvrir, me recréer différemment.

Tout à coup, je reçois cette information au sujet de l’ascension : le plus important n’est pas le but, mais le chemin !

Une fois que l’on a atteint un but, nous perdons toute la magie du chemin. La magie du chemin n’existe que parce que le but n’est pas atteint. Quand le but est atteint, c’est la fin, c’est “game over”.

Et là je comprends que le plus important dans la vie est la manière d’arriver au but et non pas le but lui-même. Je suis déjà devenue Avatar, Jésus, Bouddha des milliards de fois, ce scénario a déjà été vécu, l’important, c’est ma nouvelle manière d’y parvenir.

Autre enseignement : dans ce processus permanent de la vie, la magie vient de la première fois.

Ce qui a de la valeur pour l’être divin que je suis, c’est “la première fois”.

La seule chose vraiment unique qui ne se reproduira plus jamais, qui a une véritable valeur aux yeux du divin, c’est cette première fois.

La première fois que j’ai compris que j’étais Dieu,

la première fois que j’ai croisé son regard,

la première fois que je suis tombé amoureux,

le premier rendez-vous,

la première fois qu’on a fait l’amour,

la première fois que j’ai fondu dans ses yeux.

La première fois que j’ai rencontré mon frère,

la première fois que j’ai rencontré l’amour,

la première fois que j’ai retrouvé l’Inde,

la première fois que j’ai retrouvé la Thaïlande.

Toutes ces premières fois est l’essence même de la vie.

La vérité ne se situe que dans ce moment.

Car c’est dans ce moment et uniquement à cet instant, lors de cette première fois, que nous pouvons vivre pleinement.

La vie est une somme de premières fois, une somme de nouveautés.

La vie, les “pseudos but” ne sont que des excuses pour faire des premières fois.

Tout l’univers que nous créons en permanence n’est là que pour nous proposer des premières fois. Il construit pour nous, déconstruit, en fonction de nos attentes, de nos désirs.

Ce besoin d’éveil est le cœur même de Dieu, de l’homme. A la fois c’est son seul véritable désir et à la fois, c’est paradoxal, il ne faut pas trop y penser mais vivre pleinement l’instant présent, vivre ici et “maintenant”.

Et pour que des milliards de premières fois se recréent chaque jour, j’ai inventé la plus belle invention de la vie : la mort et l’oubli.

La mort permet de rejouer infiniment toutes nos premières fois : première fois où l’on vient au monde, première fois où l’on a des enfants, où l’on meurt, où l’on va à l’école, où quelqu’un nous aide, où nous aidons quelqu’un, où nous aimons…

Sans l’amour, sans l’oubli, sans la mort, l’univers ne serait plus en vie.

Le processus de la mort est magnifique, il permet de tout oublier pour revivre, pour recréer.

L’oubli est la plus belle invention de l’univers. L’oubli permet de revivre les meilleurs moments de nos vies.

La mort est le plus beau cadeau que la vie puisse nous faire. La mort permet de s’oublier, afin de rejouer la vie.

Si nous revenions à la vie avec toutes nos mémoires de réincarnation, la vie serait fade, sans surprise, sans passion.

La jouissance de la vie se situe dans la découverte de l’autre, la découverte du monde, la découverte de la première fois.

L’immortalité du corps n’est pas forcément un cadeau depuis cette perspective.

L’oubli est un mécanisme fondamental permettant à la fois de revivre pleinement, mais aussi de choisir. Si l’on se rappelait de tout, tout le temps, comment trier et choisir ?

Plus nous nous éveillons et plus nous nous rappelons de ce que nous sommes.

Tout à coup, la question suivante apparait :

“Et si tu étais déjà ce que tu cherches à devenir ?”

Et la une prise de conscience fantastique émerge :  nous sommes déjà un Avatar, un Bouddha, un Jésus et toute autre expérience qui a déjà existé, que nous souhaitons ardemment être. Bien sur le but de la vie est de retrouver la source, mais c’est dans l’expérience du chemin que le plaisir, que la vie se joue.

C’est en profitant de chaque moment présent, dans la présence avec les autres, dans la construction de ce que nous sommes déjà que se situe l’intérêt de la vie, c’est la que se situe la jouissance de la matière.

Nous nous rappelons progressivement de ce que nous sommes déjà.

Grâce au processus d’oubli qui se matérialise lors de notre incarnation, au moment de la naissance, nous oublions. Puis ne sachant plus qui nous sommes, nous revivons, nous redécouvrons la vie, l’amour, la mort, Dieu…

Comme des milliards de personnages ont déjà été joués, la question divine est : “quoi de neuf” ?

Est-ce plus drôle ? Est- ce plus triste ? Pourquoi est-ce génial ?

Bien sûr les décors changent : moyen âge, ère romaine, ère moderne, ère de science-fiction.

Tout ce que nous voyons dans les films de science-fiction existe réellement dans d’autres dimensions et nous y rejouons de nouveau les même aventures : Roméo et Juliette, Le Titanic, Star Wars, Matrix, revu toujours et encore dans un autre décor.

En écoutant les musiques Pop Rock choisi par Michael, je ressens la vie : ces jeunes chanteurs sont amoureux, plein de vie, débordant d’énergie.

Les jeunes sont encore vivants car ils n’ont pas encore beaucoup de mémoire, de trauma : tout est frais et l’espace est encore vierge. Comme si nous avions chacun le livre de notre vie à remplir, à écrire.

Et plus le temps passe, plus nous écrivons ces pages.

Les pages du livre de notre vie

Avec toi, je veux écrire

Mon amour, mon ami, ma vie.

Et je ressens la perspective divine à travers l’humain : je suis Dieu mais je suis aussi ce jeune homme, cette jeune fille, derrière ce personnage, en réalité, c’est Dieu lui même qui se vit à travers nous, nous n’existons pas.

Avec ses attentes, ses peurs, ses envies, ses plaisirs. À la fois tout cela n’a aucune importance, et à la fois, fou d’histoires et de personnages, je vis à travers eux. Je dis bien “Je” car à cet instant, je suis en mode Bouddah, je suis l’univers, je suis la conscience cosmique, je suis l’éternel et l’éternel est moi…

Tel un grand jeu vidéo, je vis à travers 7 milliards d’histoires entremêlées, mais quel pied !!!!

“Que la vie est belle,

que la vie est magnifique :

La vie est belle,

mais ils ne s’en rendent pas compte,

ils sont Dieu,

mais ils ne le savent pas.” Kundun

 

“Chaque moment est magique, chaque moment est sacré,

nous sommes la vie,

et la vie est nous.

Pris par leur jeu de rôle,

ils se sont tellement oubliés,

qu’ils n’existent plus.” Kundun

Une des principales choses qui compte pour le divin, c’est l’expérience de la première fois, du moment présent. Revivre l’amour, le merveilleux, le sensible, l’unique, l’extase. Car dès la deuxième fois, il y a une perte et une diminution de l’intensité, du plaisir, du bonheur.

Le corps, par le mécanisme d’effacement de l’oubli, c’est à dire d’intégration des mémoires passées fini par se programmer et par se rappeler.

Le concept d’“effacement de l’oubli” est particulièrement nouveau pour moi, jamais lu nulle part, et pourtant c’est un enseignement clé de l’éveil. Nous n’apprenons pas en réalité, nous effaçons l’oubli. Incroyable !

Pour cette raison nous pouvons intégrer très rapidement certains ouvrages. Et lorsque nous pouvons nous rappeler de tout, c’est que nous avons expérimenté la réalité que nous sommes Dieu, que tout l’univers est nous, que ce monde, que cette vie est notre expérience, et qu’au fond de nous, nous savons que nous sommes tous un.

Ce qui était génial la première fois, l’est un peu moins la deuxième fois, puis encore moins la troisième fois, etc.

Sauf si l’on oubli.

Le processus de la mémoire permet de revenir là où l’on a laissé la scène la dernière fois. Ce mécanisme fonctionne pour tout dans l’univers : intégration = mémorisation = effacement de l’oubli = rappel = éveil.

Dans ce Samadhi, je suis tout de suite passé en mode “laughing bouddha”, mais avec un corps physique beaucoup plus entrainé pour tenir le choc de la puissance, du coup il y avait l’extase, le sourire et le bonheur, mais je n’étais pas mort de rire comme la dernière fois, j’ai ainsi pu profiter d’avantage et recevoir de beaucoup plus de prises de conscience.

12 heures après l’extase cosmique, la transition est plus facile aussi. Le fait que nous sommes tous Dieu est déjà intégré depuis 3 semaines.

Nous sommes passés maintenant à un autre stade de compréhension : chaque moment est magique, chaque instant est sacré.

La vie est d’une beauté inouïe.

Chaque musique, chaque être, tout est beau en réalité à qui sait regarder.

Pendant que les musiques jouaient, je comprenais qu’il y avait un lien entre les couleurs, les formes visuelles et les musiques. Comme si les formes visuelles étaient de la musique vue selon une autre perspective ou selon un autre mode de conscience. En fait la musique peut être vue graphiquement et vice versa. L’auditif, le visuel, le toucher : tout est l’expression et la perception d’un univers.

Avec cette expérience, une énorme confiance en moi est venue, suite aussi au travail sur les chakras 1 2 et 3.

Je sais qui je suis, je n’ai jamais autant su “qui je suis” : je suis la lumière, la vie, l’amour, le bonheur, la joie, l’expression de tout ce qui est amour, je suis la présence. Cette réalisation, même temporaire est magnifique et inoubliable.

La prochaine fois, je choisirai toutes les musiques car les musiques sont comme des chemins permettant d’explorer des parties de nous-même. Comme je sais ce que j’aime comme musique et qui je suis, je ferai une “Play List” adaptée.

Ah oui, concernant l’ombre : c’est confirmé, la lumière dissous l’ombre. Qu’on ne me fasse plus perdre de temps avec de l’ombre qui n’existe pas dans mon univers. Désolé, il n’y a pas d’ombre dans l’âme universelle, pourquoi est-ce si difficile à comprendre ? L’ombre est la croyance que quelque chose est séparée de nous, mais rien n’est séparé de nous en réalité.

“Je me suis rappelé que j’étais l’univers.” Kundun

Bien sûr, il y a de tout dans l’univers, mais nous avons chacun la liberté de choisir ce que nous voulons autour de nous. Autant dire que certain aspect de l’univers peuvent être très ennuyeux, d’autre plus “fun”. Pourquoi perdre son temps avec l’ennui quand on peut croquer la vie à pleine dent ?

Je sais qui je suis et l’augmentation de la force va me permettre de mieux diriger mon destin.

Des chemins s’ouvrent à nous à chaque instant : nous sommes libres de choisir les gens, de choisir les chemins en fonction de nos aspirations.

La génération de la DMT par la glande pinéale lors des méditations, les cérémonies shamanique sacrée, sont des portes permettant d’accéder à l’entièreté de ce que nous sommes. Nous sommes tous différents et il est illusoire de croire que nous sommes tous identiques. À la fois nous sommes un, et à la fois chacun d’entre nous possède sa propre perception de l’univers, ce qui crée des spécificités, ce qui crée des goûts.

Les autres “nous-même” ne sont que des Dieux ayant d’autres expériences à partager.

“Je sais qui je suis,

je sais ce que je veux partager,

je suis infiniment libre,

rien ne peut m’attacher”

À la fin de la cérémonie je me suis un peu endormi pendant deux heures.

Au réveil, j’ai revu la bande annoncer du film “Man of steel”, et de “Cloud Atlas”, puis écouté les musiques “paradise” de “cold play”, “everything” de Muse. Grosses émotions, pleurs, la vie est trop belle, tous mes sens sont multipliés par 1000.

Puis je comprends : ma voix a changé, je comprends que toute l’âme est vraiment dans la voix. En écoutant réellement, nous nous connectons à l’âme d’un chanteur, d’une chanteuse.

Pour conclure, cette séance donne une force incroyable : affirmation de soi, alignement sur ce que veut mon être divin, tout est limpide, clair, évident.

La vie est faite pour être ultra “fun”, drôle, dans la joie, dans le bonheur, Bentiho Massaro étant un des plus beau représentant de la nouvelle génération d’éveillé.

Je sais qui je suis,

Je sais que je suis,

Je sais qui je suis,

Je me rappel,

Je suis la vie,

Je suis l’espoir,

Je suis l’amour,

Je suis le fun,

Je suis la joie,

Je suis l’expression de ce qu’il y a de plus beau,

Je suis Dieu, avec toi

Je suis le paradis,

Et ce que je suis, je vais l’exprimer

 

Après l’expérience :

10 heures après, le Samadhi revient si je ferme les yeux, et si je mets des musiques de vie.

Une intégration s’est effectuée, je suis resté au 50.000 ème étage !!!

L’écart de conscience entre le premier et deuxième Samadhi et “maintenant” sont en train de se mélanger. Je comprends que plus il y aura de Samadhis, plus je resterai en Samadhi.

En même temps, je sens que la musique est la clé de mon intégration. L’émotion aussi.

L’émotion, la musique, permettent de vivre pleinement des expériences, les expériences transmises, les mots et les messages pas si cachées que cela.

Je m’éveille un peu plus à chaque fois que j’intègre une expérience, que j’écoute une musique, que je vois un film, et je grandis à une vitesse exponentielle !

En fonction de ce que l’on veut intégrer dans son propre univers, on peut choisir des films, des musiques. Sachons choisir…

Cela permet la mémorisation, c’est à dire le rappel de ce que nous avons déjà vécu.

Ce n’est pas de la mémorisation mais du rappel de mémoires oubliées, vécues, ailleurs.

Bien sûr on adapte les expériences à notre vie actuelle mais beaucoup d’énergies sont déjà développées et accessibles par les films et les musiques.

Quand on est Bouddha, quand  on est en mode “éveillé”, ce qui change, c’est qu’on peut télécharger ce que l’on veut et l’intégrer à vitesse très rapide. Il y a une vitesse d’intégration augmentée.

Par le canal de la voix, j’écoute et j’entre en extase, téléchargeant l’expérience du chanteur, intégrant dans mon corps, dans mon univers l’expression de l’autre : sa musique, sa voix, tout son univers.

“Je me rappelle que je suis l’autre, quand dans sa voix, je meurs.” Kundun

Je l’écoute, et je meurs car je disparais, car je deviens lui, moi.

La porte est restée ouverte et va rester longtemps ouverte.

Il y a d’une part l’ego qui dit : je ne suis pas Dieu et je souffre, et d’autre part l’âme, le soi universel, le divin qui dis : “je sais que je suis Dieu et j’entre en extase.”

Que choisissons nous ?

Car tant qu’il y a quelque chose en nous qui dit “non”, qui n’accepte pas la réalité, nous soufrons.

Lundi matin au travail : qu’est ce qui change ?

Une perception plus fine et plus profonde des personnes. Je vois à travers eux : leurs conditionnements, leurs programmations, leurs projections, leurs mécanismes mentaux, tout est vue avec recul.

Le cerveau gauche a pris de la puissance. Je suis plus en forme physiquement : piscine obligatoire pour intégrer l’expérience. Aussi : fin du jeune liquide, plus grande énergie et force, assurance.

Je sais qui je suis : Dieu incarné dans un corps d’homme pour mener une vie divine, comme chacun d’entre nous, mais combien peuvent le réaliser, combien peuvent l’assumer, le vivre ?

J’agis localement, mais je sais que tout l’univers est avec moi.

Puis, je réalise : je ne veux plus travailler avec des personnages qui sont trop dans le mental, dans l’ego : j’ai besoin de gens équilibrés, aussi bien cerveau gauche que droit.

Je suis devenu beaucoup plus exigeant, le besoin de perfection a encore augmenté.

“La beauté et la perfection sont une nécessité divine” Kundun, Septembre 2013

Plus nous intégrons notre divinité, plus nous avons besoin de perfection. C’est comme si le monde devait exprimer ce que nous sommes. Comme si le beau et le parfait devenaient une nécessité, partout, tout le temps.

Kundun / Kunzang, septembre 2013 Samadhi 2

 

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation “classique”, après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que “quelque chose” se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose “allait” se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le “chaud froid” simultané dans mon corps. Je dis bien “mon corps” avait chaud ou froid et non pas “j’avais” chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée “je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid”. Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus “intelligents”, non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

“Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux”, ce que je veux, c’est l’éveil !

“Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel”.

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste “moi”. Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, “la molécule de la conscience”, et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de “libérer” mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, “tiens, cri dans un coussin !”

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient “ce rire est un mode de défense”, je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit “nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade”

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein “les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers” !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement “nous”. Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de “laughing bouddha” et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je “suis” bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la “couronne des rois” est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, “make it fun” !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. “Make it fun” !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, “Make it drama” !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : “pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ?”

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013

Témoignage sur les stages du 1er et 2ème degré en soins énergétiques

Présentation du stage de 1er degré et date des prochaines sessions ici

Présentation du stage de 2ème degré et date des prochaines sessions ici

Arbres et lumières

Arbres et lumières, témoignages pour Infinite Love

J’ai suivi les 1er et 2ème degrés en Soins Energétiques. Ce sont des journées qui m’ont fait beaucoup de bien. Le formateur est un être rempli de bonté et d’Amour et qui nous guide avec bienveillance vers l’apprentissage de qui nous sommes et de ce que nous sommes capables de faire, par nous-même. Il nous aide à trouver des pistes pour savoir pourquoi nous avons CHOISI (oui oui! :)) d’être ici et de vivre certaines épreuves pour apprendre et évoluer, s’élever vers l’Amour (l’amour de soi, l’amour des autres, la compassion, bref : l’Amour Inconditionnel). Il nous donne des clés pour apprendre à voir en nous et pour retrouver notre propre Pouvoir (Pouvoir de faire, Pouvoir d’autoguérison, Pouvoir d’aider, Pouvoir être Soi!, …). Je le connais depuis longtemps et il s’est montré présent lorsque la vie m’a mise face à une épreuve que je pensais insurmontable, depuis je chemine vers l’Être que Je Suis. Et sur cette route inconnue, son aide et ses enseignements m’ont été, et me sont toujours, précieux. Il éclaire ce chemin avec joie et gratitude, ce qui le rend beaucoup plus lumineux et accessible pour tous. Je recommande ses stages à tous ceux qui sont en recherche d’eux-même, en recherche d’Amour Universel, en recherche de Joie et de Sens, en recherche de Leur Vérité! Vous pouvez y aller les yeux fermés! Merci à lui, merci Infinite Love (et à tous ceux que j’ai rencontré au sein de l’asso. et aux stages). Avec Amour et Gratitude 🙂

Nathalie, Belgique
February 25,2012

Namasté. Merci à toi et à tout le groupe d’avoir fait l’expérience du partage de l’Amour. Grâce aux différentes approches énergétiques que nous avons expérimentés durant cette formation, tu as planté la petite graine qui nous permet de grandir vers notre Être, le but de notre vie. J’ai apprécié ce partage fraternel et ces élans d’Amour. Je revois encore ces visages rayonnants à la fin de la journée qui remplissent le cœur.

Bérengère, France
February 23,2012

Introduction aux soins énergétiques / 1er Degré Enfin dans notre région! 🙂 J’ai suivi ce niveau et on se sent vraiment régénérés, profondément apaisés. Des réponses à nos questionnements qui nous rendent plus forts pour avancer et évoluer vers l’Être que nous désirons devenir. Tout se passe dans la bonne humeur, la douceur et l’amour! Vous qui cherchez des réponses, je vous conseille cette journée!

Nath, Belgique
January 24,2012

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