Les flèches de Cupidons,
Me transpercent le cœur,
Quand dans tes yeux,
De bonheur,
Je vis,
Je meurs.
Kunzang, Juin 2014
éveil, réalisation du soi, réalisation du non-soi, clairvoyance, méditation
Les flèches de Cupidons,
Me transpercent le cœur,
Quand dans tes yeux,
De bonheur,
Je vis,
Je meurs.
Kunzang, Juin 2014
Même si
Je n’existe pas,
Même si
Ce personnage n’est qu’un rôle,
Même si
Ce monde n’est qu’une illusion,
Même si
Le film de notre vie n’est qu’une comédie,
Même si
Tu n’existes pas non plus,
Même si
Tout ceci…
Il était une fois,
Même si,
Toi
Et moi.
Alors la vie,
Alors le jeu,
Alors ici,
Alors maintenant,
Ici,
Le meilleur
De la vie,
Le meilleur
De l’amour,
Le meilleur
Des rires,
Le meilleur
Des pleurs,
Le meilleur,
D’ailleurs,
Je vis
J’explore
Je suis
Je grandis
Parce que je suis,
Ce que je suis,
Parce que je sais,
Qui je suis,
Parce que tu es
Moi,
Parce que je suis,
Toi,
Parce que je suis
Lui,
Parce que nous sommes
Elle,
Parce que le film,
De notre vie,
Est merveilleux,
Quand dans tes yeux,
Je,
Peux,
Kunzang Gyamtso, Octobre 2013
Il t’aime
“Ce n’est pas moi qui t’aime,
Tu vis,
Tu bouges,
Tu marches,
Tu regardes,
Tu chantes,
Peux-tu comprendre,
Le privilège,
Que je t’ai donné ?
Peux-tu comprendre,
Le privilège,
Que je me suis donné ?
A travers toi,
Je vis,
A travers moi,
Tu vis,
Le privilège,
De notre vie.
Kunzang, Septembre 2013
Combien de morts,
Je suis ton destin,
Je suis ton chemin,
J’écoute,
Ce que tu décides,
Je réagis,
À ce que tu choisis.
A chaque instant,
Tu peux choisir,
A chaque moment,
Tu peux agir.
Tu es libre,
Car tu es moi.
Tu es libre,
Car tu es Dieu.
Je suis ton destin,
Et je n’ai d’autre choix,
Que d’accomplir,
Ce que tu décides.
Comprends bien,
Tu es le seul,
A décider,
De ton chemin,
Tu es le seul,
A décider,
De ton destin.
Kunzang, Septembre 2013
Je suis la vie,
Je suis ces fleurs que j’ai senti,
Je suis ces corps que j’ai caressé,
Je suis ces parfums que j’ai respiré,
Je suis ces kilomètres que j’ai parcouru,
Je suis ces êtres que j’ai aimé,
Je suis cette montagne que j’ai grimpé,
Je suis la mémoire de nos amours,
Je suis tout ce que j’ai parcouru, senti, écouté, goûté, respiré, partagé,
Je suis toutes les musiques que j’ai écouté.
Ce que je suis est si immense que je ne sais plus qui je suis,
Je suis l’amour,
J’aime mes créations qui sont moi.
Ce sont elles qui me créent finalement,
Je ne sais plus qui crée qui car je suis tout,
Au-delà de toutes ces perspectives de moi,
Je suis ce que je suis,
Je suis là, je suis partout,
Je suis.
Kunzang Août 2013
Finalement,
Il n’y a que des fous,
Partout.
Il y a les fous qui s’identifient à leur personnage,
Il faut être fou pour croire cela !
Puis il y a les fou, qui croient être Dieu, la conscience infinie.
Il faut être fou pour croire cela !
Il y a les fous, programmés comme des robots qui meurent fous, sans jamais réaliser,
Qu’ils sont fous.
Puis il y a les fou éveillés qui savent qu’ils sont Dieu.
C’est totalement fou de réaliser cela.
Donc finalement,
Il n’y a que des fous !
Les fous éveillés et les fous endormis,
C’est fou non ?
Ba,
Moi je m’en fous,
Car j’ai choisi ma folie,
Car je sais,
Que Je suis fou,
De vous,
Kunzang sept 2013
Je suis la joie,
Sans raison,
Sans façon,
Rempli de bonheur,
Je suis devenu la joie,
Pourquoi pas.
Un sourire,
Un regard,
Une intimité,
Une énergie,
Et je deviens,
Toi,
Moi,
La vie.
Poème de Kundun, Mai 2013
Je suis fou,
Oui, je suis fou de toi,
De nous,
De ce que nous sommes,
De ce que nous co-creons ensemble,
Je suis fou,
Car je suis,
Toi.
Car je sais maintenant,
Qu’il n’y a que nous,
Partout,
Ici et maintenant,
Car je sais,
Que nous sommes,
Un.
Poème de Kundun, Avril 2013
Un jour,
Je suis sorti de toi,
C’était la vie, c’était l’aventure, c’était la découverte,
Tous ces autres moi,
On a bien rigolé.
Et tout le temps, toi,
Tu me souriais.
Et à chaque instant,
On était bien là, tous les deux,
Ensemble, présent.
Et quand je souriais, tu me souriais.
Et quand je pleurais, tu pleurais.
Et quand je souffrais, tu souffrais aussi.
Quand tu exprimais l’amour, je devenais amour,
Quand tu exprimais la guerre, je devenais la guerre.
Quand tu jouais, je devenais le jeu.
Puis un jour, ils ont fait la paix.
On a voyagé,
On a travaillé,
On a construit,
On s’est enrichi.
On a développé,
On s’ est amusé.
On a beaucoup ri,
Un peu pleuré aussi.
Tu m’as envoyé ce regard,
Qui m’as fait chaviré,
Tu m’as envoyé ce toucher,
Tout mon corps a tremblé.
A chaque fois, c’était toi.
Tes musiques, j’ai écouté,
Tes poèmes, j’ai entendu
Tes textes, tu m’as expliqué !
Des anges, tu m’as expédiés,
Avec des archanges, on a dîner.
Des maîtres ascensionnés, on a visité.
Chaque fois, c’était toi,
A chaque fois, encore et toujours toi.
Cet amour, ce voyage, cette rencontre inattendue,
Ce n’était pas lui,
C’était toi
Cette coïncidence, ce hasard, ce sourire,
C’était toi,
Cette émotion, cet éclat de rire,
C’était encore toi.
Ce livre, ce film, ce baiser, ce câlin, ce tremblement, cette caresse,
C’était toi.
Cette méditation, ce cri, ce paysage, cette rencontre,
C’était toi.
Ce plat, ce tableau, cette sculpture, cette volupté,
C’était toi, encore et toujours toi.
Toi qui a toujours tout organisé,
Toi qui a toujours tout préparé,
toi qui a toujours tout synchronisé,
Toi qui a toujours fait
Comme pour toi.
C’est marrant, mais c’est seulement maintenant.
que j’ai disparu,
C’est fou mais c’est seulement maintenant
Que je suis présent,
C’est terrible, mais c’est seulement Maintenant
Que je n’existe plus,
C’est dingue, mais c’est seulement maintenant,
Que je comprends.
Ma vie,
N’était pas ma vie,
Car je n’étais pas en vie.
Ma vie,
N’était pas la vie,
Il n’y avait pas de vie
Ma vie n’était pas la vie,
Car il n’y avait personne.
Ma vie n’était pas la vie,
Il n’y avait qu’un robot,
La vie n’était pas ma vie,
Il n’y avait qu’un automate,
Qui pensait vivre sa vie.
Qui pensait ‘être’,
Un homme.
Puis un jour,
Ma mort,
Puis un jour,
Petit à petit,
Puis un jour
J’ai senti,
Que cette vie,
C’était ta vie.
Maintenant, seulement maintenant,
Que je n’existe plus,
Je comprends,
Il n’y a pas de moi,
Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends,
Il n’y en jamais eu.
Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends
il ne peut pas y en avoir.
Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus de moi,
Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus que toi,
Maintenant, seulement maintenant
Qu’il n y a plus que notre présence,
Maintenant, et seulement maintenant,
A cet instant.
Nous savons,
Toi et moi,
Lui et elle,
Maintenant, et seulement maintenant,
Tous en vérité,
Nous savons,
Au fond de nous,
Que l’univers,
Que le vide,
Et que ce tout,
C’est nous.
Poème de Kundun 6 janvier 2013
Lorsque notre conscience,
La loi de cause à effet illumine,
Alors,
Les chemins des possibles,
S’illuminent.
Lorsque,
Comme un projecteur,
Notre conscience illumine.
Alors,
L’intuition devient
clairvoyance.
Alors,
L’imagination devient communication,
Alors,
Progressivement, les effets des causes se révèlent.
Quand, s’illuminent les chemins,
Alors,
Il n’y a,
plus qu’à choisir,
Que de chemins, que de destins.
Tous,
Sont les effets de causes que nous choisissons.
Car les pensées, car les idées,
Ne sont que les effets d’autres pensées, d’autres idées.
Chaque idée, chaque pensée, chaque mot est un chemin qui nous a amené, là où nous sommes.
Maintenant.
Choisissons bien,
Les chemins que nous prenons.
Choisissons bien,
Les mots que nous prenons.
Certain unifient, certains séparent.
C’est la conscience que nous sommes, qui choisit.
C’est la conscience que nous sommes, qui libère.
Elles seule peut aimer,
Elle seule peut vivre.
Finalement,
Il suffit d’être,
Ce que nous sommes.
Le cœur, pas l’ego,
En sommes.
Il suffit d’être dans l’instant,
Dans ce moment présent, ici et maintenant.
Il suffit de choisir le point de vue du divin,
Non duel, unificateur, amoureux.
Il suffit de dissoudre l’illusion de la personne.
Il suffit de mourir,
Pour renaître,
Plus grand, plus beau, plus juste.
Moins endormi.
Il suffit d’être dans la présence,
Pour laisser vivre,
La vie.
Il suffit d’être,
Tout simplement d’être,
L’être,
Qui à travers nous,
Se vit.
Poème de Kundun, Mars 2013
L’observation des pensées crée automatiquement un recul entre l’observateur, la conscience que nous sommes et les pensées qui ne sont pas nous.
Si nous prenons quelques instant de pause, quelles sont les pensées qui vous apparaissent? Notez les puis revenez sur ce texte.
Comprenez que vous pouvez être l’observateur des pensées. Mais qui observe ?
Vous bien sur ! Mais qui êtes vous ? Celui qui observe, la conscience.
Plus nous observons nos pensées, plus nous comprenons d’où elles viennent : conditionnements, automatismes liés à l’enfance, l’éducation, l’environnement.
La plupart du temps, nous sommes en ‘pilotage automatique’. Mais qui est le pilote automatique ? L’ego, la personne que nous croyons être ou que nous avons cru être.
Le vrai “nous” peut reprendre la main, peut arrêter le pilote automatique, et commencer a vivre.
Pour cela, restons dans l’instant, dans ce moment où le mental ne peut pas demeurer.
Plus nous prenons de la distance avec les pensées, plus nous devenons libre.
Libre de les choisir, libre de les comprendre, libre de remonter à leur source. Nous avons vu dans le texte : ‘loi de cause à effet sur les pensées’ que ces pensées ont toujours une source, une cause. Elles ont une source car elles sont le reflet de notre propre conscience sur l’environnement qui fait miroir.
Le contrôle et le choix des pensées nous amène vers la liberté.
Ne soyons pas esclave du mental. C’est lui, qui en créant l’ego, la personne finit par croire que nous sommes nos pensées. Plus nous restons dans le présent, dans l’instant, dans la présence, plus nous restons observateur des pensées qui arrivent, puis qui partent.
Certaines peuvent retenir notre attention bien sur, mais détachons nous d’elles. Ne soyons pas en réaction, restons conscient, restons dans la présence, restons libre.
La plupart des pensées que nous recevons viennent de nos conditionnements. Et plus nous nous en détachons, plus nous sommes libre. Alors il est possible de devenir très créatif, c’est à dire d’avoir d’autres type de pensées, des pensées qui vibrent à notre fréquence, et non pas à celle de nos programmations mentales.
C’est aussi ça la créativité, avoir la possibilité de sortir des conventions, des programmations. Que pouvons nous inventer lorsque l’on reste dans le carcan de la personne, cet automate qui ne sait que reproduire ce pourquoi il a été programmé.
Restons dans la présence et regardez les pensées passer, laissez les passer, habituez vous à créer cette séparation entre vous et elles.
Vous n’êtes pas vos pensées.
Texte de Kundun janvier 2013
Hey baby,
There is no coincidence at all,
There is only law of cause and effects,
There is only signs,
There is only help.
Can’t you see?
When i am talking to you?
Can’t you see?
When i am seeing you?
Please,
Listen to me,
When through your experiences,
I am teaching you.
Yes,
At school you are,
Yes,
Tested you are,
Any second of your life.
The thoughts you choose,
The ideas you make yours,
The action you do.
Your response,
To my questions.
Everyday,
Every hour,
Every minute,
You project your consciousness,
In this world,
Then thoughts, ideas are reflecting to
You.
Dissolve your ego,
Dissolve the person you are not,
And listen to me.
Always with you,
I am,
Everywhere,
All the time.
The presence I am.
You can feel me,
Listen to me,
Come in the moment,
I am the presence,
I am the ‘now’, here.
Don’t follow the mind.
Come here, now.
Take a deep breath,
Make a pause,
Stay in the heart,
Stay in the love,
Be the feeling,
Be here,
Be now,
Be,
Me.
Poem by Kundun jan 2013
Quand,
Plus que moi, partout, tu verras.
Quand,
Plus que nous, partout, tu seras.
Alors,
Maintenant,
Ici,
Et toujours,
Tu vivras.
Poème de Kundun Février 2013
Je suis avec notre père,
Et notre père est avec moi.
Je suis sa présence,
Je suis sa danse,
Il chante a travers moi,
Il te sourit,
Il te regarde,
Il t’écoute,
Il te touche
Il te bénit,
Il est,
Je suis,
Nous sommes,
Lui.
Je suis,
Son instrument,
A travers moi, il joue,
A travers moi, il souffle la vie,
A travers moi, il agit.
A travers lui,
Je suis
Poème de Kundun jan 2013
Hey you!
Come, come here,
Don’t be shy,
Please, read this text,
And imagine,
That you, in another space and time,
Have writen this poem.
Imagine, that this text,
Is a mirror,
Of what you really are.
Imagine,
That there is only you,
Imagine, You, as an infinite consciousness.
How could you see you?
How could you feel you,
How could you touch you?
If there is no separated you?
How an eye can see itself ?
So, you created this world,
You created duality,
You created,
All these people,
All these flowers,
All these minerals,
To know you.
You decided to live inside them,
Inside their hearts,
Inside the love.
You decided to experience yourself,
To understand,
What you really are.
Yes, it is you,
Which has created this text,
To initiate you,
To enlight you,
To tell you,
To remember you,
What you really are:
An infinite love, an infinite consciousness,
Living,
In 7 billions of humans.
Living,
In everything.
Cause deeply inside you,
You know,
Your mind,
You are not,
Your body,
You are not.
What you are,
Is you:
This love, this peace, this joy,
Is you.
You are,
The presence.
Please,
Understand,
Me,
So you will understand,
You.
Poème par / Poem by Kundun jan 2013
La vérité, c’est l’amour.
Tu es beau,
Tu es magnifique,
Tu es amour infini,
Tu es,
Conscience infinie
Tu es
La force,
Tu es
la puissance,
Tu es
La création,
Tu es
Ce moment.
Tu es,
La cause,
Et l’effet,
Tu es
Partout,
Tout le temps,
A l’intérieur,
De tout.
Tu es,
Nous.
Poème de Kundun, Février 2013
Je ne lis pas ce livre,
Je le bois,
Comme on boit un nectar délicieux.
Il nous nourrit, il nous illumine, il nous soigne.
Je bois son amour, sa lumière, sa beauté.
Il m’aime et je l’aime,
Car nous savons,
Qu’un,
Nous sommes.
poème de Kundun, Février 2013
Heureux,
Je suis.
Comment pourrais-je ne pas être heureux?
Maintenant que je sais,
Comment pourrais-je ne pas être heureux?
Maintenant que je sais,
Que je suis toi, que je suis lui, que je suis elle, que nous sommes un.
La vie est merveilleuse,
Maintenant que je sais,
Que tu es ici, et là, toujours,
Et tout le temps.
La vie est,
Et je suis, avec la vie, ta voie, ton esprit, ton jeu, ton amour, ta présence, ton rire, ta joie.
La vie se meut,
Et elle me fait bouger,
La vie se vit,
Et moi,
Je vis
Poème de Kundun, Janvier 2013
Titre : mystère de la vie
Tu m’as donné la vie,
Tu m’a laissé l’amour,
Caché ta présence.
Que veux tu devenir maintenant,
Toi,
Qui à travers moi,
Voyage,
De corps en corps,
De planète en planète,
De soleil en soleil,
D’univers en univers.
Toi qui,
A travers moi,
S’expérimente, se touche, s’écoute, se voit,
Se vit.
Mais que veux tu ?
Mais qui es tu ?
Mais pourquoi ?
Toi et moi,
Lui et nous,
Elle et lui,
Ici,
Sommes nous ?
Poème de Kundun, Février 2013
La conscience que nous sommes, pour se voir, pour se contempler, nécessite l’usage de miroirs.
Nous sommes des miroirs. Ce texte aussi est un miroir.
Lisez ce texte et comprenez que vous êtes une conscience consciente d’elle même.
Voyez, sentez comment ce texte fait miroir.
Je suis une conscience qui a conscience d’exister.
Votre conscience se regarde, s’examine avec ce texte.
Elle prend conscience d’exister, du coup elle s’étend instantanément : oui, j’existe, je me regarde. Je ne suis pas les pensées, je suis l’observateur des pensées, je suis la présence, témoin de mon environnement : pensées, espaces, lieux, objets, personnes.
Je vis la scène, je la regarde, je suis cette présence qui constate, qui ressent à travers les sens. Mais je ne suis pas mon corps, je ne suis pas les pensées, je ne suis pas la personne qui s’est programmée, conditionnée. Je suis la conscience qui utilise ces outils.
Je suis cette présence, qui est une émanation de l’être, cet amour infini, cette paix, cette joie. Voila ce que je suis. Je suis tout, et je suis rien, je suis lui, et je suis elle.
Je suis,
nous.
Texte de Kundun Janvier 2013
La présence, éblouie par sa propre beauté, entre dans la gratitude et le bonheur, lorsque à travers nos yeux, son reflet, elle touche.
Ivre de sa propre lumière, elle peut alors, à travers nous, simple véhicule de sa magnificence, jouir de sa propre présence.
Folle d’elle même, la vie s’écoule à travers la vie. Elle se sent, s’écoute, se touche, se joue. Sauvage, envahissante, exubérante, elle se propage, se développe, se découvre, se vit.
Laissons la agir, intelligente, aimante, elle seule,
sait.
Poème de Kundun 1er janvier 2013
Lorsque notre conscience,
La loi de cause à effet illumine,
Alors,
Les chemins des possibles,
S’illuminent.
Lorsque,
Comme un projecteur,
Notre conscience illumine.
Alors,
L’intuition devient
clairvoyance.
Alors,
L’imagination devient communication,
Alors,
Progressivement, les effets des causes se révèlent.
Quand, les chemins s’illuminent,
Alors,
il n’y a,
Plus qu’à choisir.
Que de chemins, que de destins.
Tous,
Sont les effets des causes que nous choisissons.
Car les pensées, car les idées,
Ne sont que les effets d’autres pensées, d’autres idées.
Chaque idée, chaque pensée, chaque mot est un chemin qui nous a amené, la où nous sommes,
Maintenant.
Choisissons bien,
Les chemins que nous prenons.
Choisissons bien,
Les mots que nous prenons.
Certain unifient, d’autres séparent.
C’est la conscience que nous sommes, qui choisit.
C’est la conscience que nous sommes, qui libère.
Elles seule peut aimer,
Elle seule peut vivre.
Finalement,
Il suffit d’être,
Ce que nous sommes.
Le cœur, pas l’ego,
En sommes.
Il suffit d’être,
Dans l’instant,
Dans ce moment présent,
Ici et maintenant.
Il suffit de choisir le point de vue du divin,
Non duel, unificateur, amoureux.
Il suffit de dissoudre l’illusion de la personne.
Il suffit de mourir,
Pour renaître,
Plus grand, plus beau, plus juste.
Moins endormi.
Il suffit d’être dans la présence,
Pour laisser vivre,
La vie.
Il suffit d’être,
Tout simplement d’être,
L’être,
Qui à travers nous,
Se vit.
Poème de Kundun / Poem by Kundun jan. 2013
Un livre, un texte est l’expression d’idées, de concepts.
Le choix des mots, la façon dont ils sont ordonnés, l’intention derrière les mots nous amènent à partager l’univers de l’auteur.
Comme nous sommes tous des êtres vibratoires, nous avons la capacité d’entrer en résonance avec une musique, avec un texte, avec un paysage, un lieu, une personne.
Un texte est composés de mots qui ont chacun une fréquence. Chaque fréquence représente une idée, une signature énergétique vibratoire, d’où la fameuse phrase : ‘Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.’ Car il a bien fallu que le Verbe, c’est à dire l’idée, le mot soit crée avant toute chose.
Ainsi chaque texte nous fait vibrer et nous pouvons ressentir la fréquence de son auteur : nous nous connectons littéralement à lui.
Après tout, nous ne sommes que de l’énergie, et nous sommes tous connectés puisque nous sommes un. Il n’y a pas de distance ni de matérialité lorsque nous partageons des idées, lorsque nous nous connectons à la source.
Nous pouvons recevoir la lumière d’un auteur via son texte. Nous pouvons ressentir une connexion d’âme à âme, nous pouvons nous reconnaitre à travers un texte, un auteur qui, fondamentalement est un autre ‘nous-même’. Les livres sont d’une importance fondamentale, comme toute forme d’art car ils sont des liens entre le ‘nous vivant dans le passé’ et le ‘nous vivant maintenant’.
En réalité, comme il n’y a qu’une seule âme universelle, c’est nous-même, incarné dans d’autres corps, dans d’autres époques qui avons écrits tous les livres. Ainsi, parfois, nous lisons un livre et nous nous apercevons que nous savons déjà ce qui est écrit, que ce qui est écrit est ‘vrai’. C’est ce qui se passe lorsque nous sommes en phase avec l’auteur.
Bien sur, les textes sont lus à travers le mental et la fausse personne, l’égo qui peut manipuler et comprendre de travers ce qui est écrit. Mais sous le texte, de façon sous-jacente, se trouve aussi l’amour, le cœur de l’auteur.
Faisons une pause quelques minutes… Que ressentons-nous en lisant certain texte ou poème ?
Quelles émotion sont générées? Certains textes sont t-ils inspirant ? Nous amènent ils à de nouvelles compréhension ? Certains textes au contraire nous embrouillent-ils l’esprit ?
Prenons le temps de ressentir cette résonance naturelle.
Avant de lire un texte, posons nous dans l’instant, dans ce moment présent, ouvrons notre conscience, mettons nous dans un endroit calme. Si un texte nous donne envie d’écrire, écrivons.
Ce texte nous fait-il du bien ? Ou au contraire, crée t-il un malaise ?
A travers chaque texte, chaque email même, nous pouvons ressentir l’intention de l’auteur, nous pouvons recevoir l’expression de son amour, ou ressentir l’expression de sa personne, de son ego.
Le choix des mots, l’intention derrière les phrases nous connecte à son âme.
Parfois, on peut aussi comprendre plus que ce que l’auteur a lui même compris. Car en fonction de notre degré de conscience, un texte est perçue avec la lumière de celui qui le lit.
Nous sommes une conscience qui éclaire, le texte est comme un miroir, et le miroir ne sait pas qui va se refléter à travers lui.
Vous ne me croyez pas ? Faites vous même des textes et lisez les un an ou deux plus tard, s’ils ont été écrit avec amour, vous verrez avec étonnement qu’ils comportent plus que votre niveau de conscience de l’époque.
Aussi, relisez un livre au bout d’un an et voyez comme vous comprenez beaucoup plus de choses.
Un texte, un poème est comme la photo d’un paysage.
Chaque livre, chaque musique nous éveil un peu plus en augmentant notre niveau de conscience.
Comprenons que chaque texte est une initiation qui nous éclaire, qui nous connecte, qui nous grandit.
Texte de Kundun janvier 2013
Chaque jour, a chaque moment, notre attitude reflète notre état d’esprit, ce que nous sommes.
Soyons dans l’amour, l’amitié, la coopération, la joie, le bonheur et observons.
Transmettons ce que nous avons dans le cœur, et soyons le témoin de notre reflet. Tout ce que nous sommes se reflète de façon immédiate.
Plus nous sommes éveillés, conscient, dans la présence, plus ce que nous sommes se reflète vite. Et même si certains sont emprisonnés par la personne qu’ils pensent être, il ressente notre amour inconditionnel et infini.
Face à l’ego, envoyons plus d’amour.
Nous pouvons “surrender” à tous les autres, car ils sont nous même. Nous pouvons “surrender” à leur cœur bien sur, pas à leur ego.
Nous pouvons aussi nourrir leur cœur et affamer leur ego !
Nous pouvons, par notre attitude exprimer ce que nous sommes réellement, une conscience d’amour infinie.
Texte de Kundun, Janvier 2013
Ce n’est pas moi qui t’aime
C’est dieu qui t’aime a travers moi
Et ce n’est pas toi qui m’aime
C’est dieu qui m’aime a travers toi
Laissons le s’exprimer,
Laissons le nous aimer,
Au delà des égos,
Au delà des personnes que nous ne sommes pas.
Entrons dans la présence,
Dans cet amour infini,
Qui toujours uni.
Entrons dans la présence,
Dans la conscience infini,
Qui a travers nous
Se vit.
Devenons l’amour,
Devenons ce moment,
Devenons,
Lui
Devenons,
Elle
Devenons,
Nous
Poème de Kundun / Poem by Kundun
Comme les plantes se tournent vers la lumière,
Comme les fleurs éclosent au printemps,
Nous,
Humain,
Nous tournons vers dieu,
Nous, humain,
Nous tournons vers la lumière,
Nous humain,
Nous tournons vers l’amour,
Nous humain,
Nous tournons vers la joie,
Nous humain,
Nous tournons vers la paix,
Car nous humain,
Oui nous, humain,
Sommes dans le jardin de dieu.
Et oui, nous, humain,
Grandissons, encore et toujours,
Et oui, nous humain,
Évoluons, encore et toujours.
De plus en plus haut,
Oui nous, humain, finissons
par éclore,
Oui nous humain, finissons
par fleurir
Oui, nous humain, finissons
par nous ouvrir,
Le cœur.
Et c’est ce cœur, qui pour nous,
oui, nous humain,
Donne les fruits de la vie.
Donne les fruits,
Du divin.
Car ces fruits, sont nos œuvres,
Car ces fruits sont nos créations,
Car ces fruits sont nos enfants,
Car ces fruits sont la vie,
Qui toujours,
A travers nous,
Se vit.
Car oui,
Nous humain,
Sommes la vie,
Qui a travers nous,
Se reproduit.
Poème de Kundun / Poem by Kundun jan 2013