E comme étiquettes

Le mental est en permanence en train d’étiqueter, de séparer, c’est sa fonction. Nous donnons des étiquettes, nous trouvons des mots à tout. Le cerveau gauche, pour décrire et comprendre l’univers n’a pas d’autre choix que de séparer, d’étiqueter.

E comme Etiquettes

E comme Etiquettes

Dès que l’on entre dans le monde des étiquettes, des mots, on entre dans le jeu de la séparation, du mental, nous entrons alors dans le monde de l‘illusion. Comprenons les étiquettes, les mots, comprenons que c’est le mental qui sépare tout.

Laissons tomber les descriptions et recentrons nous sur les sensations du corps, recentrons nous sur la vérité, sur la réalité.

Notre cerveau gauche étiquette ce qui se passe puis, sans nous laisser le temps de vivre, passe à l’étiquette suivante.

Alors que si nous savons rester dans la présence de l’instant, si nous pouvons tout accepter sans étiqueter, si nous pouvons accueillir, nous pouvons commencer à vivre.

Commençons à enlever les étiquettes et accueillons tout ce que la vie nous propose.

Exemple d’étiquettes : la peur, la violence, le mal, le diable, etc…

Ces étiquettes ne sont que des mouvements de la vie, des étiquettes.

Aucune vague ne peut s’opposer à l’océan. Il n’y a pas de “force du mal”, il n’y a ni diable, ni noirceur. Il n’y a que des polarités : négatives ou positives, créatrices ou destructrices. Tout à sa place dans l’univers, et tout est juste du point de vue de la conscience cosmique.

Certaines vagues se sentent terriblement mal aimées. Elles n’ont juste pas encore réalisées la présence de la source.

La pièce ne peut pas être submergée par le contenu. Nous sommes la pièce, nous sommes l’univers, nous sommes l’espace.

Ce que l’on appel “le mal” est un jugement depuis la perspective relative de l’homme. Du point de vue du divin, il n’y a ni bien ni mal, il y a juste un mouvement, des polarités.

Du point de vue divin, du point de vue de l’absolue, la peur n’existe pas, seul l’amour et l’union existe puisque Dieu est tout. Dieu ne peut avoir peur puisqu’il est tout.

La peur est une idée de l’homme, la peur est une notion de “séparation” du mental. “Je suis séparé de l’autre, donc j’ai peur car je ne le connais pas, je ne le comprends pas.”

L’enfer, la peur, c’est l’illusion du mental que nous pourrions être séparé de Dieu, des autres, de la conscience infinie que nous sommes tous. Or c’est impossible, sauf dans l’illusion du personnage, du mental.

L’étymologie du mot diable latin : diabolus, du grec Διάβολος signifiant « celui qui divise ».

L’enfer n’est pas un endroit mais l’identification erronée à la personne, à l’égo, à l’illusion de la séparation. “Tu n’es pas moi donc j’ai peur et je te déteste”, alors que le paradis et la réalité est “‘Tu es moi, je t’aime, tu es sacré, nous sommes tous Dieu”.

Comment pouvons-nous espérer vivre au paradis sans transmettre cette connaissance élémentaire ?

Il est tant que l’éveil de la conscience soit désormais un objectif international.

La société est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Le monde est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Un éveil citoyen du monde est urgent.

Venez avec moi dans la réalité ! Je vous amène au paradis, suivez ces lignes, je vous le dis,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous,

UN.

Kundun, le 27 avril 2013

E comme Emotions positives

Cultiver les émotions positives

Cultiver les émotions positives

Apprenons à cultiver des émotions positives d’amour, d’abondance et de créativité, de partage de joie, puis écoutons les pensées que nous recevons.

Ne faisons pas le contraire : cultiver des émotions négatives de destruction, de séparation et accepter les pensées que nous recevons.

L’état d’esprit, l‘attitude est primordiale, c’est elle qui va nous connecter et qui va faire résonner le champ des potentialités.

C’est notre état d’esprit et donc le choix de pensées qui va littéralement attirer les synchronicités dans notre vie.

Soyons dans la présence, vivons en conscience nos moments. Ainsi nous pouvons vibrer à la fréquence d’amour et de fraternité, ainsi de nouvelles pensées nous parviennent, ainsi nous pouvons réellement construire notre vie, en toute liberté, loin des conditionnements.

Si nous pouvons cesser de réagir à nos émotions, si nous pouvons plutôt les choisir, par l’attitude ouverte et positive, d’amour, alors nous commençons à devenir libre, car ce n’est plus nos émotions qui nous guident, mais ce que nous sommes réellement.

Kundun, juillet 2013

N comme Nourriture

Nous sommes ce que nous mangeons

Nous sommes ce que nous mangeons

La nourriture : Nous sommes ce que nous mangeons.

Qu’on parle de corps physique, de corps mental, de corps spirituel, nous sommes ce que nous mangeons.

Si nous nous nourrissons de pensées positives, d’énergie positive, notre vie peut s’en trouver radicalement modifiée. Notre corps physique aussi devient la nourriture que nous absorbons. Si vous êtes végétarien, fruitarien, respirien ou omnivore, votre corps ainsi que votre niveau de conscience sera dans un état très différent.

Essayez de réfléchir après avoir mangé un cassoulet et vous verrez !

Les aliments sont de l’énergie, mais l’énergie est aussi une conscience. Les aliments sont une forme de conscience car tout est énergie. Que se passe t-il lorsqu’on ne maîtrise pas la qualité énergétique des aliments ? N’y a-t-il pas un risque de manger n’importe quoi ? D’où viennent toutes ces maladies, tous ces cancers ? Dans quelle proportion les produits chimique, les engrais et les insecticides contaminent-ils nos aliments ? Bien évidement très peu de tests ont été effectués sur les 80 000 substances diffusées dans l’alimentation.

Qu’elle est le niveau de conscience des personnes qui utilisent ces substances ? Comment pourraient-ils prendre les bonnes décisions puisqu’ils ne savent pas encore qu’Énergie = Conscience, et qu’on devient ce qu’on mange. Comme le Tabac à l’époque, ils n’ont pas encore ‘conscience’ des conséquences.

Soyons prudent, vérifions ce que nous mangeons, vérifions la composition des produits que nous mettons sur notre corps. Telle que les cosmétiques, les produits de nettoyage qui imprègnent notre peau, soyons attentif. Les magasins bio et naturel sont en plein développement un peu plus chaque jour car il y a une réalité derrière tout cela. Plus le niveau de conscience de la population augmente, plus les comportements changent.

Certains aliments, certaines substances, certaines pensées sont toxiques. Faisons attention à ce que nous mangeons, faisons attention à l’air que nous respirons, à l’eau que nous buvons, à tous les produits et substances qui font nos corps, faisons attention aux pensées et aux croyances aussi.

Que ce soit physique, mental, spirituel, émotionnel, soyons prudent, choisissons, réfléchissons, devenons libre !

Texte de Kundun, 28/05/2012