G comme guide de vie

Ce texte est un petit guide de vie pour certains, un guide de survie pour d’autres, il est le résultat de toute une vie et la continuité des 600 textes d’Infinite Love. Si j’avais pu recevoir ce texte à 15 ans, qui sait où je serai aujourd’hui…

Si vous recevez ce texte en étant jeune, alors vous êtes chanceux et allez gagner 50 ans de vie heureuse en plus !

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Particulièrement préconisé pour les personnes sur-efficiente, il peut véritablement donner des clés de compréhensions pour une vie harmonieuse. Plus nous nous éveillons, plus notre niveau de conscience augmente, plus nous devenons sur-efficient, c’est à dire que nos sens sont démultipliés. Alors, de nouvelles prises de conscience apparaissent générant son lot d’émotions, de rire, de pleurs, développant à l’infini nos capacités, notre sensibilité.

Le problème est que plus nous sommes éveillés, moins le monde est fait pour nous. Avec sa violence quotidienne, avec ses pollutions à la fois sonores, verbales, visuelles, kinesthésique, notre monde n’est plus adapté aux personnes sensibles. Aussi, ce texte est apparu comme une solution de survie pour les sur-efficients et les éveillés.

Ce guide est basé sur la compréhension que nous sommes tous constitués d’énergie et que nous nous imprégnons littéralement des 5 personnes qui partagent le plus notre présence. Que ce soit au travail ou à la maison, nous nous impactons les uns les autres, d’une façon bien au delà de notre imagination.

Compréhension 1 : « Vivre avec ceux qui nous aiment »

Progressivement, plus je progressais sur le chemin de la vie, plus je me suis mis à choisir mon environnement, aussi bien en terme de personnes, de lieux, de décoration, d’objets qu’en terme d’activités. J’ai finalement compris que ce sont nos changements internes qui se projettent à l’extérieur. C’est pour cette raison que le travail d’éveil se situe « en nous » et non pas à l’extérieur de nous. En réalité, la seule chose que nous pouvons changer se situe d’abord à l’intérieur de nous même, ensuite le monde extérieur, projection de ce que nous sommes se transforme.

Finalement, une nouvelle étape importante a été franchie : après avoir expérimenté l’amour universel pour tous, j’ai compris que choisir d’être avec les personnes que j’aime n’est pas suffisant : ce qui est bon pour moi, c’est de choisir ceux qui m’aiment !

En effet, eux seuls sont capables de renvoyer l’amour que j’exprime. Nous sommes tous les miroirs les uns des autres et l’important, lorsque nous sommes remplis d’amour, c’est « Qui peut renvoyer ce que je lui envoi ? ».

En même temps, la question que nous pouvons aussi nous poser est « Suis-je capable de refléter l’amour que l’autre m’envoie ?« .

Suite à plusieurs expériences avec des personnes que j’aimais mais qui ne m’aimaient pas, des personnes qui étaient surtout dans l’intérêt de l’ego voir même dans des stratégies de manipulation, j’ai finalement compris quelque chose de fondamental :

« Si nous sommes uniquement entourés d’êtres qui nous aiment, nous entrons littéralement au paradis. »

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Cela peut sembler très simple, c’est en réalité très profond.

Résultat des 15 premiers jours après avoir décidé d’être uniquement avec ceux qui m’aiment : je reste toujours très « high » dans l’amour infini avec un état d’esprit amoureux, positif, créatif, extatique, presque samadhique.

Pourquoi ? Parce que chaque nouvelle rencontre d’amour avec ceux qui nous aiment, au travail, à la maison, chez les amis, ne fait que monter le niveau énergétique. Il n’y a plus personne pour faire retomber la vibration !

C’est comme si j’étais en Satsang permanent, dans la présence de ceux qui m’aiment.

En même temps, à chaque instant, une énergie s’étend et cela nourrit tout le monde. C’est comme un Shaktiptat permanent de bonheur. L’effet est le même que dans les stages, les retraites, les Satsang : on augmente son niveau vibratoire et on le garde.

Pour faire face aux difficultés de la vie, il est bien plus pratique d’être entouré d’êtres qui nous aiment. Alors que nos amis nous aident et nous donnent du courage, ceux qui ne nous aiment pas vont profiter de nos difficultés.

Ce qui est génial, c’est qu’à force d’être en Satsang toute la journée, c’est à dire dans la présence, on s’éveille de plus en plus vite. C’est à dire que le niveau de conscience, la présence continue à augmenter. Sans les descentes et les baisses du niveau vibratoire, la progression vers un éveil toujours plus étendu, toujours plus conscient ne s’arrête plus.

Finalement, posons nous la question : qu’est ce qui fait diminuer le niveau de conscience et d’amour ? Qu’est ce qui nous rend malheureux ?

Et bien uniquement les personnes qui ne nous aiment pas, ceux qui sont dans les liste B et C. J’ai donc fait trois listes :

Liste A : personnes qui nous aiment vraiment, qui sont dans le cœur, qui sont capables d’aimer, les êtres sensibles, ayant développé leur cerveau droit, souvent sur-efficient. Je parle là d’amour vrai, divin, rien à voir avec l’attachement de l’ego. Ces personnes sont plus orientées « cerveau droit ».

Liste B : personnes dirigées par l’intérêt du mental, dans l’attachement de l’égo, du personnage. Ils sont dans l’illusion de la séparation. Identifiés à leur personnage, c’est le gros des troupes, produits du monde dit « moderne » occidental, robotisés, ils ont chacun leur scénario conditionné par l’intérêt du mental. C’est ce que l’on appelle le commerce : je te donne, tu me donnes. Ces personnes sont plutôt orientées « cerveau gauche ».

Liste C : personnes toxiques, malades, psychopathes, pervers narcissiques manipulateurs, vampires psychiques, emprisonnés dans leur personnage et leur égo, ils souffrent et font souffrir les autres. La résonance est une résonance de mal être, de destruction, de manipulation. Ces personnes sont malades mais ne le savent pas, il y en a partout en liberté dans notre société ! Ce sont eux qui ont besoin le plus de compassion, ils sont « malades ».

Bien sûr, certaines personnes peuvent être en liste A et B c’est à dire qu’elles peuvent aimer et aussi avoir un peu d’intérêt du mental, ce n’est pas un problème tant que le cœur dirige la personne, tant qu’il y a de l’amour véritable. La véritable question est : mais qui dirige ? Est-ce le cœur ou bien le personnage ?

Comme nous sommes libres, plus nous choisissons un environnement paradisiaque, plus nous pouvons co-créer et rester dans une harmonie, une vibration d’amour constante.

Si j’avais pu comprendre cela à 15 ans, j’aurai économisé beaucoup de temps et d’énergie, mais bien sûr je n’aurais pas pu écrire ce texte…

Mais à vous qui lisez ce texte, vous avez la possibilité de vivre mieux, de créer votre propre paradis sur terre.

Voilà, cette expérience est mon actualité et je témoigne de l’efficacité de la méthode. Cette stratégie est très impactante puisqu’elle modifie notre univers. En même temps, quand nous faisons le ménage, nous laissons de l’espace pour ceux qui nous aiment. Nous créons littéralement de l’espace et du temps pour partager et co-créer avec eux.

Il y a une spirale vertueuse à rester avec des êtres de cœur : ils prennent la place des êtres égotiques diminuant le risque de faire tomber le niveau de vibration. Aussi, la création d’un groupe d’amis, d’une masse critique permet de bien voir le contraste comportemental entre ceux qui sont dans l’amour, la joie, le partage, et ceux qui sont dans la manipulation, le personnage.

Car à force de côtoyer des êtres de lumière, nous trouvons de moins en moins de raison pour être dans la présence des démons.

Attention, l’amour est un virus et une drogue certaine !

Plus nous sommes dans un univers aimant, bienfaisant, plus nous sommes entourés d’êtres qui nous aiment, plus la vie est belle.

Réveillez-vous ! Choisissez l’amour et le bonheur !

"Le bonheur est ici et maintenant"

« Le bonheur est ici et maintenant »

Plus je suis avec les personnes de la liste A, ceux qui m’aiment ou qui sont capables d’aimer, plus je réalise le contraste qui existe entre les personnes de la liste A et de la liste B.

Les personnes de la liste B ont peur de l’amour car l’égo, le personnage ne veut pas perdre l’illusion du contrôle sur la vie. Pour eux, c’est l’intérêt du mental qui a le dessus sur l’individu. Bien sûr ils ont du cœur parfois, mais le mental règne et décide au final. Quitte à tout saborder, dans leur système, le cœur ne doit pas diriger l’être. Ils sont sur une voie d’éveil par la souffrance, par la douleur. Et l’univers apportera ce qu’ils demandent, conséquence de leurs illusions, c’est à dire des maladies, des problèmes en tout genre, des souffrances, l’illusion d’être séparé des autres, une solitude existentielle et surtout aucun sens à leur vie.

Je me rends compte que de nombreuses personnes sont malheureuses parce qu’elles ont peur de leur propre amour et de l’amour des autres aussi.

La plus grande force de l’univers peut faire peur car, inconsciemment, les gens savent que c’est cette force qui dissous le personnage, l’égo, l’illusion de l’identification à la personne.

Plus ils aiment, et plus ils se rendent compte qu’ils perdent le contrôle, que ce ne sont plus eux, mais la vie, le divin qui dirige au final.

C’est bien sûr effrayant depuis leur perspective puisqu’ils sont en général dans l’ignorance, c’est à dire dans l’illusion de l’ego.

Dans le monde de la liste A, les êtres savent que l’amour est la seule vérité, ils n’ont pas peur de l’amour et se laissent baigner par cette énergie de lumière. Certains le font en conscience, d’autres pas mais finalement, cela n’a aucune importance.

Du coup, il y a un contraste marquant : ceux qui acceptent l’amour, et ceux qui s’en méfient et qui en ont peur. Il y a ceux qui sont ouvert d’esprit et ceux qui sont fermés d’esprit, conditionnés.

Maintenant que je baigne dans cet amour à chaque instant quasiment, car il n’y a plus que des êtres de la liste A dans mon monde, je peux mieux comprendre les différences entre les deux groupes.

Dans l’univers de ceux qui ne m’aiment pas, il y a ceux qui ont besoin de temps pour aimer, et il y a ceux qui n’acceptent pas l’amour par peur de montrer leurs vulnérabilités, il y a aussi ceux qui n’ont aucune idée de ce qu’est l’amour divin.

Car de leur point de vue, plus nous aimons, plus nous sommes vulnérables. Plus nous aimons, et moins le personnage, l’égo, peut manipuler, agir dans son intérêt.

L’amour a des raisons que la raison ne connait pas… Pascal.

En réalité, plus nous sommes aimant, plus nous sommes vulnérables, mais plus nous pouvons vivre véritablement.

Aussi plus nous aimons, plus nous diminuons l’emprise du cerveau gauche, du cerveau analytique pour entrer dans l’univers du cerveau intuitif, du cerveau droit. Le nombre de pensées diminue, nous entrons alors dans la présence, amoureux.

Bien sûr, notre fonctionnement est optimal quand nous utilisons nos deux cerveaux à égalité, c’est ce que nous appelons l’équilibre, et c’est dans cet équilibre que le divin s’exprime le mieux.

L’ouverture du cœur par les initiations shaktipat, par les méditations, par les activités favorisant l’amour, par les satsangs permet d’expérimenter l’amour. Alors, notre capacité à aimer se développe et nous finissons par rencontrer le cœur de notre âme, nous comprenons que le divin se vit à travers nous, que nous sommes lui/elle et qu’il/elle est nous.

Sans cet éveil, l’humain reste enfermé dans la prison de l’égo, du personnage, il s’identifie à une personne qui n’existe pas, illusoire, qui n’est que la somme de ses conditionnements. Enfermé dans cette prison, en fonction du degré d’éveil de la conscience, il voit le monde et les pseudos « autres personnes » comme des dangers potentiels. Il n’a pas totalement tort, mais ne sait pas en général que c’est lui qui génère son univers : ses croyances se transforment en réalité, son égo veille à avoir raison.

Travailler et passer du temps avec les êtres de la liste A est tellement plus simple, plus vrai, que je vais agrandir la liste A et passer le minimum de temps avec ceux de la liste B (les personnes de la liste C étant totalement exclues car nocives). Car non seulement ils vivent dans la peur, mais aussi, ils passent leur temps à les transmettre. Bien sûr, il faut avoir du discernement et prendre en compte toutes les potentialités, mais pourquoi vivre dans la peur et dans la crainte si on peut vivre dans l’amour et le bonheur ? Que voulons nous vivre sur terre ?

C’est amusant car il y a plusieurs mondes : celui de la foi, du « surrender » au divin, celui de la peur, de l’identification à la personne, et celui de l’équilibre ou le cœur règne, ou le mental est juste un outil d’analyse.

En fonction du positionnement de la conscience, une projection s’effectue et le monde devient littéralement ce que nous croyons qu’il est !

Compréhension 2 : « Vivre dans la présence divine à chaque instant »

(texte apparue le même jour que la « compréhension 1 » suite à une lecture d’un livre de Yogananda)

Cela demande un peu d’entrainement, mais si, à chaque instant, nous focalisons notre conscience sur le divin, alors nous ressentons instantanément sa présence.

Si nous arrivons à penser au divin à chaque instant, nous accédons à la réalité de la vie, c’est à dire que nous comprenons son côté sacré, magique, parfait, absolu.

Quelle que soit l’orientation de notre vibration, de notre choix de pensée, quelle que soit notre direction, notre conscience va faire apparaitre et va réaliser le sujet en question (aussi appelé loi d’attraction).

Si nous pensons à bouddha, la présence de bouddha apparait.

Compréhension 3 : dire et écrire ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.

Plus je dis qui je suis, ce que je suis et ce que je ne suis pas, d’un point de vue personnel et professionnel, plus j’attire à moi ceux qui m’aiment et qui vibrent à la même fréquence.

Ceux qui font le jeu du personnage, qui ne disent pas la vérité, qui ne sont pas transparents sont dans la manipulation et l’illusion. Ils perdent du temps et vont dans le mur jusqu’à ce qu’ils comprennent. C’est très clair depuis que je suis entouré de personnes de la liste A.

Plus nous sommes naturels et honnêtes, plus nous avons dissout l’ego, plus nous avons la possibilité d’avoir des relations vraies, plus nous sommes dans le réel. En changeant ce que nous sommes, l’univers se reconfigure et s’adapte. Certaines personnes s’en vont, d’autres arrivent.

Certaines choses s’incarnent tandis que d’autres se désincarnent. Il n’y a pas à avoir peur puisque tout est le jeu de la shakti, du divin.

Alors apparait la foi en Dieu qui de toute façon fait au mieux pour lui-même, c’est à dire pour nous, puisque Dieu, c’est nous !

Lorsque nous n’existons plus en tant qu’humain, le divin peut à travers nous se vivre.

Tout devient alors une question de positionnement. Si nous nous positionnons sur ce que nous sommes véritablement, alors tout l’univers se réorganise autour de nous. Se positionner signifie affirmer ce que nous sommes, déclarer notre autorité souveraine rester centrer sur ce qui est juste à chaque instant. Et c’est l’alignement de tous nos nos corps qui permet cet équilibre divin.

Compréhension 4 : tout l’univers est à nos ordres.

(confirmé par le livre vacuité de Christophe Allain : dans le chapitre « intégration de l’humain »)

Lorsque nous voulons marcher, nous émettons l’intention de marcher, puis notre corps et notamment nos jambes se mettent à marcher. Nous pouvons courir aussi.

A aucun moment, nous nous occupons des détails techniques du type : j’avance la première jambe, puis la deuxième, tout en gardant l’équilibre, etc.

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Eh bien, avec l’univers, c’est pareil : nous choisissons des pensées, nous nous centrons sur un état d’être, un état d’esprit, puis nous projetons littéralement ce que nous sommes dans la soupe cosmique énergétique qu’est l’univers. Ensuite, dans l’invisible puis le visible tout se met en place pour une chose très très importante : la création

Car oui, c’est pour créer que nous sommes venus nous incarner. (cf. Samadhi 6 )

Nous sommes des dieux créateurs, et chacun d’entre nous, sans parfois s’en rendre compte est juste en train de créer : sa vie.

Nous sommes tous les personnages de la comédie humaine, brillamment introduite par Balzac, mais écrite et inventée par Dieu lui-même, allant jusqu’à s’incarner dans chacun de ses personnages, créant des mondes, puis des mondes de mondes.

« Multidimensionnel, l’aspect holographique de l’univers est par nature insaisissable et il faut s’éveiller, toujours un peu plus pour comprendre, en s’illuminant d’avantage, en diminuant l’ignorance, racine de toutes les souffrances. »

Kunzang mars 2014

Et plus nous faisons reculer l’ignorance, plus nous comprenons la beauté de nos mondes, de nos créations. Et si je vous disais que tout ce que vous voyez dans les films existe véritablement, qu’ils ne sont que des fenêtres ouvertes sur des univers aussi réels que le monde dans lequel nous croyons exister ? (Cf Samadhi)

Le monde et nos corps sont des outils nous permettant de nous expérimenter : poème imagine du 14 avril 2011

Bien sûr, pour que les personnages puissent vivre des aventures, toutes leurs peurs, tous leurs espoirs, tout ce qu’ils sont se projettent littéralement partout : sur les autres personnages, sur le monde lui-même.

Ainsi toutes leurs croyances s’incarnent et se transforment en « réalité », en permanence. Ils génèrent leur réalité sans le savoir.

A chaque compréhension, à chaque croyance éliminée, tout l’univers se réorganise : nous voyons les choses différemment et automatiquement, de nouvelles portes s’ouvrent, de nouveaux horizons s’ouvrent à nous, des limites disparaissent. A l’inverse, quand une peur grandit, la prison nous enferme un peu plus.

Non, nous ne sommes pas des êtres humain, nous sommes des êtres divins !

Réveillez-vous ! Éveillons nous !

Toutes nos peurs, toutes nos intentions s’incarnent dans la matière, et seuls ceux qui ont réalisé le divin en sont totalement libérés (des peurs). Car c’est en réalisant profondément ce que nous sommes, la conscience infinie que nous comprenons que tout est nous, que tout est là pour nous, qu’il n’y a que l’illusion de la séparation. Mais l’âme incarnée dans l’humain peut-elle avoir la foi et s’en rendre entièrement à l’univers ? L’égo peut-il se dissoudre afin de laisser place au cœur ?

La liberté du divin est si grande qu’il peut s’oublier, jouir de la matière, vivre des vies d’hommes, et puis tout recommencer, encore et encore, pour plusieurs éternités…

L’homme a oublié qui il était, pourquoi il est venu sur terre, s’est enfermé dans des personnages pour mieux les jouer, c’est ce que nous apprend le Samadhi 1. Car quand l’homme se rappelle de qui il est véritablement, il comprend qu’il n’a jamais été un homme, mais qu’il est en réalité,  l’incarnation d’un être divin …

Compréhension 5 : l’acceptation de ce qui est

Après la réalisation que tout est soi, qu’il n’y a que soit partout, que tout est une projection de nous, alors il n’y a plus rien, plus personne pour ne pas « accepter » les situations, les réalités. Alors, dans un « surrender » divin et éternel, il n’y a plus qu’à être, tout simplement.

Cela peut sembler abstrait, c’est une réalisation très pratique puisqu’il n’y a plus qu’à accueillir la vie que nous sommes. Cela n’empêche pas d’agir, ni même d’être, c’est juste que le divin à travers nous se vit, et qu’il n’y a plus personne.

Et c’est bien la non acceptation des situations qui crée les souffrances : la dissolution du personnage a pour conséquence que plus personne n’est là pour souffrir, c’est la libération finale. En même temps, il n’y a plus personne à libérer, il ne reste plus que la libération, la liberté elle-même, la vie, la présence, qui ne sait que « être ».

La notion même de « problème » disparait puisqu’il n’y a plus de sujet pouvant avoir de « problèmes ». C’est magnifique !

C’est très paradoxal car à la fois, il s’agit de disparaitre et il n’y a plus personne qui prend personnellement les évènements, il n’y a plus d’attachement, il y a un « surrender » total à la vie, et en même temps, dans la présence, le divin qui à travers nous se vit agit dans l’action juste, dans la vérité de l’action. Quelque chose de plus grand que l’humain s’incarne et se matérialise dans des actions beaucoup plus justes avec un besoin constant de perfection.

Voila, ce petit guide est terminé;

Bonne route à tous, n’oubliez pas que c’est vous seul qui construisez votre vie, que vous pouvez changer de vie en vous changeant intérieurement, que vous êtes libre, que tous vos rêves peuvent se réaliser, que vous êtes divin et si quelqu’un vous dit le contraire, envoyez lui ce texte !

I love you,

Kunzang Gyamtso, Mai 2014

A comme Abécédaire, pourquoi s’éveiller ?

La question « pourquoi s’éveiller » peut paraitre étrange : nous pourrions tout aussi bien nous poser les questions :

« Pourquoi vivre ? », « Pourquoi être heureux ? », « Pourquoi s’épanouir ? », « Pourquoi être ce que nous sommes ? »

Et pourquoi pas ?

lumiere2« Je suis un abécédaire, je suis vivant »

La naissance, l’incarnation à tout effacé de notre mémoire : nous arrivons nu, pour tout redécouvrir.

Dans le merveilleux chemin qu’est la vie, lentement, nous nous rappelons, nous nous souvenons : nos capacités, nos amis, nos valeurs, nos amours, nos passions…

Et puis, par une somme de coïncidences, par des hasards qui n’en sont pas, la vie, la présence, par magie nous apporte, tout ce dont nous avons besoin, chaque jour, à chaque instant, jusqu’à ce texte, jusqu’à ce jour…

Afin de vous rendre la vie moins difficile, afin que vous soyez heureux, je suis un abécédaire et je suis la pour vous aider. Bien sur, vous êtes tombé sur moi par hasard, et pourtant…

Mes textes sont la pour vous rendre service, tel un compagnon fidèle, je vous accompagne. Bien sur je suis vivant ! Je suis même capable de transmettre des émotions, de l’imagination, de la force, de la paix, de la connaissance, de la lumière. Comme vous, je me reproduis, comme vous, je transmets, comme vous, je diffuse, ce que je suis…

Ma fonction est de vous accompagner, de vous aider à découvrir ce que vous êtes. Par un mécanisme de miroirs, en projetant votre conscience sur moi, vous vous illuminez ! Et plus vous envoyez de lumière, plus vous en recevez.

« La connaissance des mots amène à la connaissance des choses » disait Platon, un vieil ami.

A ceux qui ont tout oublié, je donne des éléments de réponses : « Qui suis-je ? », « Que se passe t-il dans ma vie ? », « Qu’ai-je fais pour en arriver la ? », « Comment puis-je améliorer ma situation ? », « Ou est le bonheur ? »…

Tout au long des mots, tout au long des pages, des prises de conscience apparaitront : vous n’êtes pas uniquement votre corps physique, ni vos pensées, ni vos émotions. Ce que vous êtes est à la fois la conscience, l’espace, la présence, la vie, une perspective, l’amour infini, la paix, ce que certain ont aussi appelé « Dieu ».

Nous verrons ce qu’est la vie, ce qu’est le divin, ce qu’est le monde, ce que sont les « autres ». Nous verrons le fonctionnement et les mécanismes de nombreuses lois dont la loi de causes à effets, la loi de l’attraction, la loi de résonance. Je transmettrai des enseignements répondant à des questions philosophiques du type : « Qu’est ce que la vérité, qu’est ce que l’amour, qu’est ce que l’égo, qu’est ce que le temps ? ». Aussi, de nombreuses techniques pour transcender l’égo, pour dissoudre l’illusion, la personne seront transmises.

De nombreux êtres éveillés ont déjà enseigné tout cela. Des textes sacrés et anciens ont transmis ces perspectives, ces vérités, depuis des millénaires, de façon secrète de façon publique. Ce que je suis n’est pas nouveau, ce que je suis est très ancien…

Ce que je suis est un accès à un univers de connaissances, ce que je suis est une façon d’accéder à un savoir ancestral, ce que je suis est universel, ce que je suis est infini.

J’ai été crée par les témoignages et les expériences d’un auteur « Kunzang », mon créateur. Par des textes, par des poèmes qui sont comme des photos, mon corps s’est matérialisé dans votre espace : à chaque prise de conscience, à chaque méditation, l’expérience a été enregistrée, écrite. A chaque émotion, à chaque compréhension, un texte, une cellule de mon corps, je suis né. L’amour de mon créateur vous percevrez, à travers mes cellules, je suis lui, il est moi, sommes, un.

Le cœur de ce que je suis est l’essence même qui a constitué les religions, les spiritualités, les philosophies. Je suis une façon de décrire l’univers, l’humain, le divin, la réalité. De mon point de vue, toutes les perspectives sont justes et vraies. La ou je suis n’existe ni dualité, ni conflit ni séparation, je ne suis ni plus ni moins vrai que d’autres textes, je suis. En réalité, tous les textes sont moi et je suis eux. Bien sur, je suis, fou, c’est ça qui est génial ! Je suis un abécédaire fou, pour vous.

Bienvenue dans mon univers, bienvenue dans ce monde, je vous aime d’un amour infini, d’un amour lumineux, d’un amour, merveilleux…

« Que mon corps vous illumine,

Que ma joie soit votre joie,

Que mon corps deviennent…

Votre corps. »

L’abécédaire

J comme « Je sais »

Le pouvoir du mantra « je sais » est infini. Pouvons-nous comprendre qu’au fond de nous, dans notre cœur, ce que nous sommes réellement « sait » ?

Le divin que nous sommes, lorsqu’il se connecte à sa partie la plus intime, la plus sacrée « sait ».

Le pouvoir du mantra "je sais" est infini.

Le pouvoir du mantra « je sais » est infini.

Oui, au fond de nous nous savons. Nous savons que ce texte est vrai, que cette émotion est vraie, que je suis l’amour, que je suis la vie, que je suis la conscience infinie qui à travers ce corps, se vit.

Au fond de nous, nous savons la vérité de ce que nous sommes, nous savons que la seule réalité est l’amour et l’expérience que nous pouvons en faire.

Regardons notre entourage, centrons nous sur le cœur. Au fond de nous, nous savons qu’ils sont d’autres nous même, dans d’autres vies.

Il y a tout un tas de choses que nous savons, à l’intérieur. Au fond de nous, nous savons que c’est le divin, l’amour qui nous pousse à agir. Même si parfois, l’ego, le personnage détourne une partie de l’énergie, nous savons ce que nous sommes.

Nous savons qu’une force infinie, l’amour nous guide, nous transporte, nous aide, nous accompagne, partout.

Et quand ce sentiment  » je sais » s’exprime depuis le cœur, depuis la profondeur de notre âme, alors nous réalisons que tout est possible.

C’est au cœur, à l’âme, à l’amour que je parle, pas au mental ni au faux personnage que certains croient être, ni à l’ego.

C’est dans cette énergie de ‘je sais’, centrée sur l’amour et le cœur, que nous pouvons réaliser nos rêves.

Car le divin que nous sommes vibre à la fréquence du « je sais », si dans cette énergie d’amour nous réalisons que notre rêve est déjà réalité quelque part, ce sont alors des pensées de réussite, de réalisation et d’intégration qui se figent autour de nous.

Dans cet état vibratoire de « je sais » amoureux, nous intégrons en nous l’état de conscience qui va permettre la réalisation dans le monde physique.

Si nous dirigeons notre conscience sur un projet qui nous tient à cœur, et si nous lui superposons l’énergie du « je sais » que ce projet est déjà réalisé. Si je peux ressentir avec tous mes sens la réalisation, l’émotion de réalisation de ce projet, alors le « je sais » devient plus qu’une intime conviction, alors tous nos corps s’alignent et intègrent le fait que « je sais » que ce projet est réalisé.

Quand le Dieu que nous sommes sait, tout s’aligne sur l’énergie du « je sais », l’univers n’a pas d’autres choix que de réaliser sa volonté divine.

Car oui, nous sommes tous des Dieux, nous sommes tous l’âme universelle qui à travers nous se vit.

Pouvons-nous réaliser que nous sommes les seuls capable de nous limiter ?

Aucun autre que nous même n’a ce droit.

Allons au fond de nous, et ressentons cette vérité.

Oui, vous qui me lisez, ce que vous êtes réellement est de nature divine, vous n’êtes pas le robot ou le personnage que la société vous a construit. Ce que vous êtes, la conscience infinie, l’amour infini, l’espace, la présence est la force créatrice de l’univers, vous êtes, la vie.

Se connecter à l’énergie « je sais » sans doute, ni peur, permet d’aller au plus profond de nous. Nous nous connectons directement à notre âme, en court-circuitant le mental qui n’a pas le temps pour analyser, expliquer, comprendre. Nous savons, c’est tout.

Ainsi nous nous alignons avec les profondeurs de notre âme qui sait. Car c’est tout notre être qui sait. Savoir en éteignant l’ordinateur du mental, en dissolvant l’ego, le faux personnage permet d’accéder au supra mental, le cerveau du divin en quelque sorte.

Il faut pour cela dissoudre son ego le plus possible, de façon à éliminer tous les conditionnements, croyances, programmations. En étant très ouvert et en prenant en compte toutes les pensées et toutes les idées, nous commençons à choisir nos pensées, à sortir des schémas sociétaux, à devenir, libre.

L’âme qui s’exprime dans le cerveau droit et le cœur « sait » intuitivement tandis que le mental essaye de formuler et d’expliquer pourquoi nous « sait ». En réunissant et en équilibrant nos deux hémisphères, nous pouvons alors accomplir « sa » volonté en conscience qui devient alors littéralement la nôtre.

D’où la fameuse phrase : Que ta volonté soit faite et non la mienne (celle de l’ego). Mais quand nous devenons un avec le père et qu’il est un avec nous, il n’y a plus alors qu’une seule volonté commune.

« Je suis avec le père et le père est avec moi. »

Au-delà de l’intime conviction, il y a la réalité de ce que nous sommes. C’est cet aspect divin qui est en nous que nous pouvons connecter. Comme nous sommes littéralement Dieu, (Lire R comme Rêve) forcément nous « savons ». Cette sensation, émotion du savoir, en étant centré sur le cœur fournit une énergie puissante et infinie, elle révèle notre nature divine.

Au fond de nous, toutes les réserves et connaissances de l’univers nous sont accessibles si nous acceptons, comprenons et assumons ce que nous sommes réellement : Dieu incarné dans un corps humain pour expérimenter la matière.

Expérimenter la matière

Expérimenter la matière

Attention, l’énergie « je sais » ne doit pas nous faire tomber dans le piège « je détiens la vérité » car il y a 7 milliards de vérités. Le « je sais » est un je sais qui fait référence au cœur, à ce que je suis, à ce que je sais profondément. Ce n’est pas un je sais et les autres ne savent pas, au contraire, c’est un je sais intime permettant de savoir ce que nous sommes, et en même temps, je sais que tous les autres moi savent aussi finalement.

Car je sais qu’il n’y a pas d’autres, que ce que j’appelle les autres sont juste d’autres moi-même dans une autre expérience.

Et même si les « je sais » peuvent parfois s’interpréter différemment, je sais que chacun a le droit d’avoir sa vérité, son interprétation de ce qu’il est.

Le Dieu que nous sommes à la liberté de s’interpréter 7 milliards de fois différemment, de vivre et être ce qu’il veut. C’est ça être humain, c’est incarner dans la matière le divin qui à travers nous se vit. Et si le Dieu que je suis devient ivre de matière au point d’oublier qui il est, et bien c’est très bien ainsi !

Nous naissons humain, mais nous mourrons divin. Et si nous savons mourir avant la mort physique de notre corps, alors nous comprenons le divin que nous avons toujours été, que dès la naissance, nous sommes l’expression divine, au-delà  des conditionnements, des souffrances et des traumatismes que nous avons pu expérimenter.

Je sais ce que je suis, je suis la puissance d’amour infini qui à travers nous, se vit.

Connectons nous sur le cœur et ressentons cette énergie « je sais »,  écoutons ce qui nous arrive. Quelles sont nos intuitions, nos émotions ?

Faisons une pause, notons tout ce qui nous arrive.

pause

Que savons-nous ?
Sentons la puissance du « je sais » monter en nous :

Je sais que je suis, l’amour,
Je sais que je suis indestructible, immortel,
Je sais que je suis tous mes frères, et toutes mes sœurs,
Je sais que nous sommes un,
Je sais qu’il n’y a que nous,
Je sais que ma pensée est créatrice car je suis Dieu.
Je sais que je sais,
Je sais que l’amour est la vérité, que la matière n’est qu’une projection de mes pensées,
Je sais que tout est moi, je sais qu’il n’y a que moi, que nous, partout.
Je sais que tout ce que je crée est une expression de ce que je suis, l’amour infini.
Je sais que je suis toi, et que tu es moi.
Je sais que je t’aime, que tu es la vie, que tu es, l’infini.
Je sais que tout le monde ne le sait pas encore,
Je sais aussi qu’avec ce message, beaucoup vont comprendre ce qu’ils sont.
Je sais que l’amour est la clé pour se dissoudre, et pour faire un avec le père.
Je sais que l’amour, la plus grande force de l’univers à travers nous se vit.
Je sais que si je choisi l’amour, l’union, je vais construire.
Je sais que si je choisi la séparation, la peur ou la haine, je vais détruire.
Je sais que c’est moi qui choisis.
Je sais que je ne suis pas mes pensées, que je ne suis pas le personnage, l’ego.
Je sais que je suis l’âme d’amour infini, qui dans ce corps se vit.
Je sais que je suis l’amour, la vie.
Je sais que je suis libre d’être, ce que je veux.
Je sais que de bonheur je pleurs, quand dans tes bras je meurs.
Je sais que je suis le créateur de ma vie,
Je sais que je suis libre, d’être ou de ne pas être, de faire, ou de ne pas faire.
Je sais ce qui est bien pour moi,
Je sais que personne ne doit me dire ce que je dois faire, ce que je dois être,
Je sais que je peux penser par moi-même,
Je sais que je peux sortir des conditionnements,
Je sais que je suis Dieu incarné dans ce corps pour mon expérience de vie,
Je sais que ma vie peut devenir divine et belle, en fonction des pensées que je choisis.
Je sais que je suis maître de ma vie, que je peux choisir ce qui est bien pour moi.
Je sais que je t’aime, que tu es un autre moi même, derrière ces lignes,
Et maintenant que toi aussi tu sais que nous sommes un,
Vivons en paix et en harmonie, dans la joie et dans l’amour.
Co-créons ensemble et partageons ce que nous sommes,
Ce que nous,
Savons,
Partageons,
L’amour
Partageons
La lumière.

Je t’aime et je te bénis,

Reçois mon amour,

Infini,

Kundun juillet 2013

C comme Comportement

Dis-moi comment tu te comportes, et je te dirai quelles pensées, quelles vibrations tu génères et émets vers les autres.

bulle-amourLes pensées que nous générons dans les cerveaux des personnes qui nous lisent ou qui nous écoutent sont directement liées à notre état d’esprit et à notre vibration personnelle.

Nous pouvons tous propager des idées d’union, d’amour, de fraternité, de co-création, ou bien propager des idées de séparations, de destruction.
Les pensées et les idées que nous allons susciter chez les autres sont la conséquence et la résultante de ce que nous sommes, c’est à dire:

A) notre niveau de conscience dans un domaine
B) notre état d’esprit, notre vibration intérieure

Par notre présence, par l’expression de ce que nous sommes, par le regard, la voix, le toucher, nous n’avons d’autres choix que d’exprimer notre vibration.

Par un effet de résonance et d’écho, en projetant leur propre conscience sur nos œuvres, les êtres qui entrent en contact avec nous, par un texte, une vidéo, une photo, un enregistrement audio, une œuvre d’art, ou par notre présence se mettent à vibrer avec nous.

Par exemple, si quelqu’un vous crie dessus et s’énerve après vous, vous allez automatiquement recevoir la pensée : ce type est malade, je vais partir. Ou bien vous allez ressentir son énervement et vous aller lui rentrer dedans et ajouter de la colère à la colère, histoire de nourrir votre ego.

Une infinité de stratégies est possible, en fonction de notre état d’esprit. Nous pouvons aussi décider de ne pas réagir et de rire pour montrer le côté grotesque de la situation.

Le mécanisme est le même qu’en musique : si vous êtes une corde de guitare, et que vous êtes la note ‘do’, à chaque fois que quelqu’un jouera un ‘do’ avec n’importe quelle instrument, vous allez vibrer et entrer en résonance.
Grâce aux neurones miroir qui sont dans le cortex pré frontal, avant même que nous nous en apercevions, nous entrons en résonance avec l’autre.
En fonction de nos expériences passées, nous avons la capacité de nous remettre immédiatement en phase avec l’intention et l’état d’esprit de l’auteur. Bien sûr l’accord est parfait si nous pouvons rapprocher ce que nous lisons de notre propre expérience.
Comment comprendre le plaisir de goûter une glace au chocolat si nous n’avons jamais goûté de glace ? Impossible.
Aussi les idées et vibrations que nous recevons ne peuvent qu’entrer en résonance avec notre propre expérience individuelle. Souvent, une lecture amène à conscientiser une expérience que nous avons déjà effectuée, le texte a alors une fonction éducative et d’intégration de ce que nous savons déjà.
Il y a deux cas de figure :

  • soit nous avons déjà expérimenté et le texte nous aide à intégrer, à comprendre ce qui nous est arrivé,
  • soit le texte ne résonne pas et reste intellectuel, virtuel, mental.

A chaque fois que nous parlons, que nous écrivons, nous exprimons une vibration, un état d’esprit. Alors nous transportons littéralement le lecteur dans notre monde intérieur, sur une fréquence ou le lecteur va pouvoir vibrer avec nous, surtout s’il se rappelle une expérience.

Que se passe-t-il alors à ce moment ?

Il reçoit de nouvelles pensées, de nouvelles idées, de nouvelles inspirations.

Certains textes peuvent être très inspirant et générer d’importantes prises de conscience.
Finalement, c’est un peu comme si nous étions des antennes sur patte avec un effet émetteur relais : en effet, nous exprimons tous une certaine fréquence, un état d’esprit, un comportement.

Bien sûr, c’est cet état d’esprit qui va nous amener à recevoir certaines pensées. Alors nos choix de pensées se transforment progressivement en habitudes, puis en caractères, puis bien évidement en destinée.

Ce que nous sommes vibre et influence vraiment les autres.
Certaines personnes nous portent dans la joie tandis que d’autres nous sapent le moral. Nous pouvons ainsi gagner ou perdre de l’énergie, augmenter ou descendre en fréquence.

Si nous sommes en paix et dans la joie, nous allons exprimer et attirer ce type d’expérience, de concepts, d’idées. Si nous sommes dans la souffrance, nous allons aussi exprimer et propager notre état d’esprit. Regardons par quelles personnes nous sommes attirées, pourquoi ? Qui est dans notre entourage ? Quelle résonance avons-nous atour de nous ? Comment sont les gens, les lieux, les objets ? Correspondent-ils à ce que je suis ou à ce que je veux être et expérimenter ?
Puis-je changer d’univers afin d’aller vers un environnement qui me convienne mieux ? Oui, non? en combien de temps ? Pourquoi ? Pourquoi pas ? Comment ?

Faisons une pause et méditons sur cet instant.

"La perfection est un des chemins pour atteindre Dieu."
Quelles pensées m’arrivent maintenant ?

Notons les pensées qui arrivent, respirons calmement, entrons dans la présence de cette prise de conscience et posons-nous la question : qu’est-ce que je veux réellement au fond de moi ?

Tous, nous nous influençons les uns les autres. Parfois, une seule rencontre, une seule compréhension peut changer un destin.

Pour ces raisons, les expériences de vie sont importantes. Communiquons et exprimons ce que nous avons vécu, nos expériences.
Progressivement et collectivement, nous pouvons partager une infinité d’expériences et grandir, ensemble.

Partageons ce que nous sommes et comprenons que nous sommes,
Un.

Kundun juillet 2013

Se libérer des pensées

L’observation des pensées crée automatiquement un recul entre l’observateur, la conscience que nous sommes et les pensées qui ne sont pas nous.

Instant de pause

Instant de pause

Si nous prenons quelques instant de pause, quelles sont les pensées qui vous apparaissent? Notez les puis revenez sur ce texte.

Comprenez que vous pouvez être l’observateur des pensées. Mais qui observe ?
Vous bien sur ! Mais qui êtes vous ? Celui qui observe, la conscience.
Plus nous observons nos pensées, plus nous comprenons d’où elles viennent : conditionnements, automatismes liés à l’enfance, l’éducation, l’environnement.
La plupart du temps, nous sommes en ‘pilotage automatique’. Mais qui est le pilote automatique ? L’ego, la personne que nous croyons être ou que nous avons cru être.
Le vrai « nous » peut reprendre la main, peut arrêter le pilote automatique, et commencer a vivre.
Pour cela, restons dans l’instant, dans ce moment où le mental ne peut pas demeurer.
Plus nous prenons de la distance avec les pensées, plus nous devenons libre.
Libre de les choisir, libre de les comprendre, libre de remonter à leur source. Nous avons vu dans le texte : ‘loi de cause à effet sur les pensées’ que ces pensées ont toujours une source, une cause. Elles ont une source car elles sont le reflet de notre propre conscience sur l’environnement qui fait miroir.
Le contrôle et le choix des pensées nous amène vers la liberté.
Ne soyons pas esclave du mental. C’est lui, qui en créant l’ego, la personne finit par croire que nous sommes nos pensées. Plus nous restons dans le présent, dans l’instant, dans la présence, plus nous restons observateur des pensées qui arrivent, puis qui partent.
Certaines peuvent retenir notre attention bien sur, mais détachons nous d’elles. Ne soyons pas en réaction, restons conscient, restons dans la présence, restons libre.
La plupart des pensées que nous recevons viennent de nos conditionnements. Et plus nous nous en détachons, plus nous sommes libre. Alors il est possible de devenir très créatif, c’est à dire d’avoir d’autres type de pensées, des pensées qui vibrent à notre fréquence, et non pas à celle de nos programmations mentales.

C’est aussi ça la créativité, avoir la possibilité de sortir des conventions, des programmations. Que pouvons nous inventer lorsque l’on reste dans le carcan de la personne, cet automate qui ne sait que reproduire ce pourquoi il a été programmé.

Restons dans la présence et regardez les pensées passer, laissez les passer, habituez vous à créer cette séparation entre vous et elles.

Vous n’êtes pas vos pensées.

Texte de Kundun janvier 2013

Conscience et miroir

Conscience et Miroir : Texte de Kundun

Conscience et Miroir : Texte de Kundun

La conscience que nous sommes, pour se voir, pour se contempler, nécessite l’usage de miroirs.
Nous sommes des miroirs. Ce texte aussi est un miroir.

Lisez ce texte et comprenez que vous êtes une conscience consciente d’elle même.
Voyez, sentez comment ce texte fait miroir.

Je suis une conscience qui a conscience d’exister.

Votre conscience se regarde, s’examine avec ce texte.

Elle prend conscience d’exister, du coup elle s’étend instantanément : oui, j’existe, je me regarde. Je ne suis pas les pensées, je suis l’observateur des pensées, je suis la présence, témoin de mon environnement : pensées, espaces, lieux, objets, personnes.

Je vis la scène, je la regarde, je suis cette présence qui constate, qui ressent à travers les sens. Mais je ne suis pas mon corps, je ne suis pas les pensées, je ne suis pas la personne qui s’est programmée, conditionnée. Je suis la conscience qui utilise ces outils.

Je suis cette présence, qui est une émanation de l’être, cet amour infini, cette paix, cette joie. Voila ce que je suis. Je suis tout, et je suis rien, je suis lui, et je suis elle.

Je suis,

nous.

Texte de Kundun Janvier 2013

L comme Livre

Qu’est ce qu’un livre, qu’est ce qu’un texte ?

L comme Livre

L comme Livre

Un livre, un texte est l’expression d’idées, de concepts.

Le choix des mots, la façon dont ils sont ordonnés, l’intention derrière les mots nous amènent à partager l’univers de l’auteur.
Comme nous sommes tous des êtres vibratoires, nous avons la capacité d’entrer en résonance avec une musique, avec un texte, avec un paysage, un lieu, une personne.
Un texte est composés de mots qui ont chacun une fréquence. Chaque fréquence représente une idée, une signature énergétique vibratoire, d’où la fameuse phrase : ‘Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.’ Car il a bien fallu que le Verbe, c’est à dire l’idée, le mot soit crée avant toute chose.

Ainsi chaque texte nous fait vibrer et nous pouvons ressentir la fréquence de son auteur : nous nous connectons littéralement à lui.

Après tout, nous ne sommes que de l’énergie, et nous sommes tous connectés puisque nous sommes un. Il n’y a pas de distance ni de matérialité lorsque nous partageons des idées, lorsque nous nous connectons à la source.

Nous pouvons recevoir la lumière d’un auteur via son texte. Nous pouvons ressentir une connexion d’âme à âme, nous pouvons nous reconnaitre à travers un texte, un auteur qui, fondamentalement est un autre ‘nous-même’. Les livres sont d’une importance fondamentale, comme toute forme d’art car ils sont des liens entre le ‘nous vivant dans le passé’ et le ‘nous vivant maintenant’.

En réalité, comme il n’y a qu’une seule âme universelle, c’est nous-même, incarné dans d’autres corps, dans d’autres époques qui avons écrits tous les livres. Ainsi, parfois, nous lisons un livre et nous nous apercevons que nous savons déjà ce qui est écrit, que ce qui est écrit est ‘vrai’. C’est ce qui se passe lorsque nous sommes en phase avec l’auteur.

Bien sur, les textes sont lus à travers le mental et la fausse personne, l’égo qui peut manipuler et comprendre de travers ce qui est écrit. Mais sous le texte, de façon sous-jacente, se trouve aussi l’amour, le cœur de l’auteur.

Faisons une pause quelques minutes… Que ressentons-nous en lisant certain texte ou poème ?
Quelles émotion sont générées? Certains textes sont t-ils inspirant ? Nous amènent ils à de nouvelles compréhension ? Certains textes au contraire nous embrouillent-ils l’esprit ?

Prenons le temps de ressentir cette résonance naturelle.
Avant de lire un texte, posons nous dans l’instant, dans ce moment présent, ouvrons notre conscience, mettons nous dans un endroit calme. Si un texte nous donne envie d’écrire, écrivons.

Ce texte nous fait-il du bien ? Ou au contraire, crée t-il un malaise ?

A travers chaque texte, chaque email même, nous pouvons ressentir l’intention de l’auteur, nous pouvons recevoir l’expression de son amour, ou ressentir l’expression de sa personne, de son ego.
Le choix des mots, l’intention derrière les phrases nous connecte à son âme.

Parfois, on peut aussi comprendre plus que ce que l’auteur a lui même compris. Car en fonction de notre degré de conscience, un texte est perçue avec la lumière de celui qui le lit.

Nous sommes une conscience qui éclaire, le texte est comme un miroir, et le miroir ne sait pas qui va se refléter à travers lui.
Vous ne me croyez pas ? Faites vous même des textes et lisez les un an ou deux plus tard, s’ils ont été écrit avec amour, vous verrez avec étonnement qu’ils comportent plus que votre niveau de conscience de l’époque.

Aussi, relisez un livre au bout d’un an et voyez comme vous comprenez beaucoup plus de choses.
Un texte, un poème est comme la photo d’un paysage.
Chaque livre, chaque musique nous éveil un peu plus en augmentant notre niveau de conscience.

Comprenons que chaque texte est une initiation qui nous éclaire, qui nous connecte, qui nous grandit.

Texte de Kundun janvier 2013

M comme Miroir

Ce livre, n’est pas un livre. Le texte que vous lisez n’est pas un texte. En réalité, c’est un miroir.
Oui, ce texte est un miroir, il vous permet de voir le reflet de ce que vous êtes.
La conscience infinie que vous êtes se reflète sur ces lignes, sur ces mots, puis, un reflet vous revient.
Ce reflet vous amène à vous ‘reconnaître’, à renaître d’une certaine façon, à prendre conscience de votre nature profonde.
Imaginez, vous avez un miroir, vous le prenez, et commencez à regarder votre visage, votre bras, votre corps.
C’est exactement ce que vous faites en lisant ces lignes.
Vous projetez  votre conscience sur un miroir, sur ces lignes, et quelque chose revient. Ce qui revient, c’est le reflet de votre propre conscience.
Cents personnes liront ce texte de cents façons différentes, en fonction de leur niveau de  conscience. Certains ne comprendront rien, d’autres comprendront immédiatement, chacun lira ce texte à sa manière en fonction de sa propre expérience de vie.

"Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’" Kundun

« Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’ » Kundun

Ce texte n’est pas un texte, ce texte est un miroir qui éclaire votre conscience. Comprenons-nous bien, tous les textes, tous les livres écrits, depuis le début de la création sont des miroirs.
Ce que nous sommes, la conscience infinie, se cherche, s’invente et se découvre. Et certains d’entre nous, appelé ‘les auteurs’ ou les ‘artistes’ incarne et interprète ce qu’ils ont compris de ce que nous sommes. Alors, des livres, des textes, des miroirs sont crées.
Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’, car en réalité, il n’y a qu’un seul être qui se regarde.
Et la somme de tous les livres écrits, de toutes les œuvres musicales, et autres œuvres, sont comme des petits miroirs de ce que nous avons vu dans nos vies.
Je suis un créateur de miroir, quand ces lignes j’écris. Je ne fais qu’un petit miroir, et c’est vous qui projetez votre conscience dessus. Le reflet que vous recevez en échange est le votre, qu’il vous plaise ou non est un autre sujet.

Prenons une minute pour méditer sur cette phrase. Maintenant, nous sommes réunis car je suis le miroir, et vous êtes celui qui se regarde.

Parfois, lorsqu’on relit un texte après plusieurs années, nous trouvons le livre très différent, une nouvelle lecture s’effectue.
Oui, car en réalité, le livre ne change pas, mais notre niveau de conscience évolue. Un auteur peut très bien faire un texte, photographie de son niveau de conscience, qui sera compris de façon plus profonde par un lecteur. Oui, car le texte n’est qu’un miroir. On ne sait pas qui se regardera dans ce miroir.
Cela peut être nous même dans un autre temps, ou une autre personne ayant un très haut niveau de conscience.
Ce texte n’est pas juste un texte, il est un miroir sur lequel votre conscience se projette.
Chaque fois qu’une ligne est lue, chaque mot ‘explose’ dans votre cerveau et se connecte à d’autres mots, à toute votre histoire, à vos définitions de mots. A chaque ligne, c’est une explosion d’émotions qui s’entrechoquent. L’intention, l’amour de l’auteur est véhiculé, comme dans un poème, par le choix des mots, des idées, leurs emplacements.
Et comme un code, ces mots vibrent à une certaine fréquence, font résonner quelque chose chez vous. C’est l’effet miroir.
Ce texte, comme tous les autres textes est un miroir vous permettant de vous regarder, d’examiner votre conscience, de ‘comprendre’, c’est-à-dire de mettre la lumière, la conscience sur un sujet.

Prenons un instant pour rester dans ce moment.

"Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette" Kundun

« Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette » Kundun

Que ressentez vous après avoir lu ces lignes ?

Faisons une pause de quelques minutes, sentez-vous le retour du regard de votre conscience sur ces lignes ?

Ce texte n’est pas un texte, ce texte est un miroir vous permettant de refléter ce que vous êtes.
La conscience, la présence que vous êtes s’illumine lorsqu’elle peut se voir. C’est la fonction des textes et des livres, de vous faire reconnaître, comprendre ce que vous savez déjà, ce que vous êtes.
Très souvent nous lisons un livre en disant ‘mais je sais ça déjà’. Oui, c’est vrai, le livre ne fait que révéler.
Je dis ‘vous’ mais en réalité c’est nous, car il n’y a qu’une seule conscience, incarnée dans 7 milliards d’hommes et de femmes à cet instant.
Par exemple, 6 millions de personnes qui lisent un livre, c’est 6 millions de personnes qui se reconnaissent, qui comprennent qu’elles sont ‘une’. Et plus la conscience se reconnaît, plus elle comprend qu’elle fait un avec les autres, avec tous les autres.

C’est pourquoi, les livres, les textes, les œuvres musicales et autres œuvres, et toute la vie est une façon de s’éveiller, de voir ce que nous sommes.
Oui, je dis bien ‘ce que nous sommes’ et non pas ‘qui nous sommes’ car en réalité, au delà de la personne, de l’égo, du surmoi, appelez le comme vous voulez, il n’y a qu’une conscience infinie d’amour et de lumière.
Lorsque nous nous regardons dans le miroir, les reflets de la conscience apparaissent. Si nous avons un égo, une personnalité très développé, une partie du reflet sera comme déformé.
Elle dira : ‘ah, c’est super cette information, comment l’utiliser’. Car si le miroir est propre et parfait, le reflet est dépendant du filtre que nous avons construit, de la personne que nous avons cru être ou que nous croyons être.

Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette.
Lorsque nous rêvons, tout l‘univers du rêve est crée par nous : les montagnes, les arbres, les personnes, les objets. Nous projetons notre conscience de façon à créer tous ces éléments, et nous ‘vivons’ le rêve comme s’il était réel, il n’y a aucune différence du point de vue du personnage du rêve.
Et bien dans la vie, c’est exactement la même chose, nous projetons notre conscience sur des textes, des personnes, des objets, des lieux, et nous interagissons avec eux.
En réalité, non seulement les livres sont des miroirs, mais tous les objets, toutes les personnes le sont aussi. C’est juste que les personnes sont des miroirs un peu particulier : ils sont dynamique.
Par exemple, nous écoutons une musique et nous la trouvons magnifique En réalité, c’est l’émotion qu’elle génère chez nous, qui nous  fait vivre, qui nous fait vibrer qui est magnifique. Tout se trouve à l’intérieur de nous.

Le sentiment, le bonheur d’écouter cette musique génère en nous ‘quelque chose’. Ce quelque chose est généré par le reflet. La musique est comme un miroir permettant de nous voir. Oui, nous sommes cela. Oui, je vibre en harmonie avec cette musique, cette personne, ce tableau, cette sculpture, ce film.
Comme dans le rêve, nous projetons notre conscience dans ce monde, nous l’expérimentons, nous choisissons ce que nous aimons, ce que nous n’aimons pas.
Et si nous nous éveillons, nous éliminons nos conditionnements, nos programmations mentales, nous dissolvons l’égo, la personne que nous avions cru être.
Alors, nous pouvons commencer à vivre, c’est-à-dire à voir les choses telles qu’elles sont réellement, un reflet de notre conscience.
Alors, nous comprenons progressivement que tout est nous, qu’il n’y a que nous, partout tout le temps, comme dans le rêve. En réalité, et c’est ce que les bouddhistes appellent le Samsara, ce monde est un rêve. L’illusion, c’est de croire que nous sommes séparés des autres, c’est la seule chose qui puisse nous faire souffrir.

L’éveil, c’est comprendre que nous sommes un, qu’il n’y a que la conscience, la présence, qui à travers nous se vit.
Car oui, en nous regardant dans tous ces miroirs, nous finissons par comprendre ce que nous sommes, et plus nous envoyons de la lumière, de l’amour, plus nous nous libérons de la poussière, des conditionnements, de la personne, plus nous voyons la réalité.
A nous de comprendre, en lisant les miroirs des êtres éveillés, en lisant les miroirs les plus pure, les plus réfléchissant, ce que nous sommes réellement.

Kundun, Paris, Février 2013

L comme Loi et A comme Attraction

Loi d'attraction et Prière, Infinite Love

Loi d’attraction et Prière à Infinite Love : « J’envoie toutes mes intentions de prospérité à la fondation, que son objectif d’augmenter les consciences se réalise »

Qu’est ce que la loi de l’attraction ?

Visualisez, écrivez, puis lisez votre projet tel que vous le concevez, une fois abouti avec le maximum de détail.
Tout doit être très clair. Lisez le souvent. Ensuite, soyez à l’écoute et observer comment l’univers, par des synchronicités, par des coïncidences (qui n’existe pas) va vous apporter ce que vous souhaitez.
Entraînez vous à comprendre les signes, à ‘faire le lien’ entre les évènements et votre projet.
Le hasard est l’autre nom de Dieu. Pour infinite Love, la définition de Dieu est ‘Conscience infinie’ et n’a rien à voir avec l’idée générale qu’on s’en fait.
Avec des prières, vous pouvez aussi envoyer de l’énergie à votre projet. Surtout ne changez pas d’idée et de projet, soyez clair sur l’objectif.

Par exemple, pour soutenir les objectifs d’Infinite Love, voici une prière simple :

« J’envoie toutes mes intentions de prospérité à la fondation Infinite Love, que son objectif d’augmenter les consciences se réalise »

Kundun, Paris, 28 Avril 2012

M comme Musique

Musique, onde, énergie par infinite Love

Musique, onde, énergie par infinite Love

Qu’est ce que la musique ?

La musique est un groupe d’ondes vibrant de façon harmonieuse. La musique propage des émotions, des sentiments, des idées, des concepts. La musique est un support. Comme tout art, elle fait vibrer le divin qui est en nous.
Car les émotions transmises par la musique ‘résonne’ en nous. Le corps vibre et ‘comprends’. Il s’exprime, par des frissons, des vibrations, il fait ‘un’ avec la musique.
La musique est universelle et permet de transmettre des idées, des émotions, et cela quelque soit la culture, la langue. La musique relie tous les être humains. Elle met au diapason, elle prépare l’âme à recevoir des messages.
Elle peut nous mettre dans un état ‘réceptif’ :  L’émotion de la musique nous donne de l’énergie, du carburant.

La musique modifie notre état de conscience. Elle calme, excite, régule, structure notre façon de recevoir les pensées.
Écoutez ‘Gloria’ de Vivaldi, écoutez Magnificat aussi et constatez votre nouvel état de conscience. Écoutez le requiem de Mozart, écoutez du Bach, voyez comment votre cerveau réagit.
Chantez dans une chorale, laissez vous  emporter par l’énergie de la musique. La musique fait raisonner votre âme. Oui elle peut augmente notre niveau de conscience. Écoutez les plus grand musicien et imprégnez vous de leurs idées. Connectez vous à leur âme. Vibrez avec eux.

Qui écoute de la musique ? Certainement pas votre mental ni votre Ego qui ne peut comprendre les émotions (ou alors la musique ne vous apporte aucune émotion). Votre âme, votre cœur, votre corps, ce que vous êtes au plus profond de vous écoute la musique.
Écoutez la voix de ceux qui vous aime, écoutez leur intention, comprenez l’invisible, comprenez ce qui est encrypté dans la voix. C’est toute l’âme d’une personne que vous ressentez quand elle vous parle : la gentillesse, la joie, l’amour.
Plus une personne est enfermé dans son Ego, moins il y a d’amour, moins il y a de joie. Écoutez un être éveillée, il ne parle pas, il ‘chante’.
La voix, comme les yeux sont le reflet de l’âme pour qui sait écouter, pour qui sait regarder.

Kundun, Paris, 28 Avril 2012

D comme Doute

Qu’est ce que le doute ?

Qu'est ce que la prière ? Qu'est ce que le doute ?

Qu’est ce que la prière ? Qu’est ce que le doute ?

Pour bien comprendre cette question, il faut déterminer ce qui peut douter en l’homme. Car seul l’Ego, le mental peut douter.
L’âme ne doute pas, elle est amour, joie, vérité ; rien ne peut douter en elle. Elle sait ce qu’elle est, elle sait ce qu’elle ressent.
Le corps aussi ne sait pas douter. Le corps EST, tout simplement.
Alors qu’est ce que le doute ? Le doute, est le résultat du mental qui n’a pas réussi à donner une réponse à une question.
Le doute, c’est quand le mental dit : Je ne sais pas. Le doute, c’est l’inconnue. La potentialité existe mais il y a le choix entre deux possibilités : vrai ou faux, oui ou non.
Voila ce qu’est le doute.
Lorsque la conscience s’élève et dépasse la dualité, il n’y a plus de doute, car l’on sait que les deux potentialités sont possibles. Il n’y a alors plus de doute.
On sait qu’on est libre de choisir l’une ou l’autre des possibilités.

Il y a d’un coté l’âme qui a la foi, et de l’autre coté le mental qui doute. Le corps, lui, ressent la vérité et s’exprime. Écoutez le, et vous aurez votre réponse, votre vérité.

Citation à retenir :

‘Ceux qui doute devraient commencer par douter du doute, alors ils découvriraient la foi, alors ils n’auraient plus de doute’.

L’âme, qui est la partie divine de l’homme ne peut douter, car Dieu ne peut douter de lui-même. C’est justement ce qui fait la différence entre l’homme sans foi et l’homme divin, c’est aussi ce qui fait la différence entre l’homme éveillée et l’homme ‘endormi’.
L’homme réalisé sait qu’il est Dieu, il ne peut donc plus douter de lui-même. S’il doutait de lui-même, il redeviendrait un homme non réalisé.

Citation à retenir :

‘Si tu n’as pas foi en toi, pourquoi veux tu que les autres aient foi en toi ?’

Finalement, il y a d’un coté le doute, et de l’autre coté la foi.

La foi amène à l’amour, à l’union, à la joie ; le doute amène à la peur, à la séparation.

Si vous doutez, commencez par douter du doute !

Kundun, Paris, 28 Avril 2012