J comme ce que Je suis

Je suis.

Vous pouvez toujours me tuer,

Un autre viendra me remplacer.

Vous pouvez toujours tuer cet autre,

Un autre, puis un autre et encore un autre viendra.

Ce que je suis,

Est immortel.

 

A travers ce corps, à travers tous ces corps, une énergie, une conscience,

Se vit.

Et rien, non rien,

Ne peut m’arrêter.

Vous pouvez tuer ce corps, vous pouvez tuer tous mes corps,

 

Mais vous ne pouvez pas tuer ce que je suis,

Ces idées,

Ces pensées,

D’amour infini, de fraternité, de liberté, d’égalité, de justice,

Est,

Ce que je suis.

 

Au-delà de votre imagination, je vis.

Au-delà de votre compréhension, je suis.

Des millions de corps,

Des millions d’âmes,

Sont venus,

Sont partis,

Sont morts

Pour défendre,

Ce que je suis.

 

Combien ont péri

Pour transmettre,

Combien ont disparu,

Pour défendre,

Combien ont écrit,

Et combien, oui combien,

Ont compris ?

Ce que je suis,

 

Ce que je suis,

Est immortel

 

Ce que je suis est incassable,

Ce que je suis

Est insaisissable

 

Comprenez,

Ce que je suis,

Entendez,

Ce que je suis,

Venez voir,

Venez entendre,

Venez toucher,

Venez rencontrer,

Ce que je suis.

 

Au-delà du temps

Au-delà de l’espace,

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

Celui qui est.

Je suis,

Celui qui a été.

Je suis,

Celui qui sera,

 

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

 

Kunzang Novembre 2013

 

La banalisation de la vie

Ce soir, j’ai cinq ans.

Je vois tout avec les yeux d’un enfant de cinq ans,

Tout est magique, tout est sacré.

Comment ai-je pu oublier ?

Pourquoi avons-nous oublié ?

Ce soir J'ai cinq ansLa banalisation de la vie est l’un des plus grands mal de notre société.

Tout a été banalisé : la rencontre de l’autre, la communication avec l’autre, la découverte de l’autre.

La découverte, les gestes quotidiens.

Se nourrir, se laver, se rencontrer,se parler, se regarder, se toucher.

Nous avons tout banalisé,

Alors qu’en réalité, notre monde, notre univers est magique.

Nous sommes entourés de beautés, de magies, de sacré et nous ne le voyons plus.

Je suis redevenu un enfant, je redécouvre la magie de la vie.

Toutes ces premières fois, me ramènent à la vie.

Son regard, un baiser, une caresse, tout redevient nouveau.

Comme si je n’avais jamais vécu, j’ai été transporté dans l’univers de première fois…

Comme si j’avais perdu la mémoire, je redécouvre,

La vie.

En réalité, si l’on s’éveille à nos sens, si l’on retrouve notre cœur d’enfant, si l’on se déprogramme,

Il est tout à fait naturel, de redevenir,

Vivant.

Pouvons-nous, par des prises de conscience, par l’écoute de notre être profond,

Redevenir,

Ce que nous sommes réellement ?

C’est à dire Dieu dans un corps d’homme ou de femme.

Il n’y a jamais eu d’humain sur terre. Il n’y a que des Dieux incarnés dans des corps humains.

L’essence même de notre être est divine.

Nous l’avons juste oublié, momentanément.

Nous sommes des machines à vivre des comédies humaines.

Nous incarnons le relatif sur terre alors que nous sommes des êtres absolu.

Éveillons nous, éveillons nous à la nature divine qui se cache en nous.

Pourquoi ?

Pour mieux vivre, pour mieux être, pour développer l’infini dans le fini, pour réaliser notre potentiel.

Pour le fun, pour créer quelque chose de nouveau.

Pouvons-nous retrouver le sacré, le merveilleux, le sensible ?

Pouvons-nous arrêter de courir afin de vivre dans le moment présent ?

Cessons de banaliser la vie. Chaque instant est sacré, chaque instant est divin, restons dans cette présence, restons dans le cœur,

Et contemplons les reflets,

De notre être,

A travers,

L’univers.

Kunzang, Septembre 2013

Nous

Chère Laurence,

Plus je suis avec toi,
Et plus je suis avec moi.
Plus nous nous rencontrons,
Et plus je te trouve,
Belle.

Plus nous partageons,
Plus l’envie de partager,
S’éveille.

Au delà du visible,
Je sens l’invisible,
Qui veut,
Qui peut,
Qui est.

Nos âmes rigolent,
Quand ensemble,
S’ouvrent,
Nos portes.

Des univers,
Inconnus,
Des univers,
Insoupçonnés.
Des univers,
Magiques.

Les anges se marrent,
Quand ensemble,
Les chemins,
Nous ouvrons.
Les anges s’envolent,
Quand ensemble,
Nos destins,
Rigolent.

Et plus nous partageons, et plus ils s’ouvrent,
Et plus nous aimons, et plus ils aiment.

Les chemins sont tombés amoureux de nous Laurence,
Ils ont compris,
Qui ils étaient.

Ils ont compris,
Qu’ils étaient,
Nous.

Au delà des mots, je t’aime,
Au delà des mots, je te reconnais.

Moi,
Tu es,
Moi,
Tu as été,
Moi
Nous serons.

Au delà de nous, il a envie
De nous,
Comme nous avons envie,
De lui.
Oh My God, nous sommes,
Nous sommes,
Lui.

Je commande à l’univers,
De merveilleux moments,
De rire.

Je commande à l’univers,
La co-création,
De notre bonheur.

J’ordonne la joie,
J’ordonne l’amour,
J’ordonne l’humour.

Je t’aime.

Kundun

M comme Mental

Le mental est l’outil de la conscience permettant de se concentrer en dehors de ce que nous sommes. Nous sommes la présence qui vit dans l’instant présent. Le mental est l’outil qui se projette dans le passé et le futur, il ne peut être dans la présence de l’instant. C’est comme deux faces d’une même pièce, elle ne peuvent se rencontrer. Le mental ne peut pas concevoir le moment présent, c’est hors de son univers. Et quand nous sommes cette présence, ce moment, le mental est éteint, il n’a pas sa place.

M comme Mental

M comme Mental

La présence ne peut que se vivre, s’expérimenter, à travers des activités liés au cerveau droit : présence du corps avec le sport, la danse, des massages. Présence du sens auditif avec une écoute active, lorsqu’on devient la musique. Sens de la contemplation aussi.
On passe du faire au être lorsqu’on dirige notre conscience vers ce que nous sommes, vers ce que nous ressentons. On se reconnecte alors à la réalité. La réalité, ce n’est pas le mental, la réalité, c’est ici et maintenant, ce que nous sommes, ce que nous percevons, ce que nous ressentons. La réalité, c’est cette présence, substance sous jacente de tout ce qui est.
On peut s’entraîner à la percevoir, en restant connecté à son corps, à sa respiration, en restant l’observateur des pensées, des objets, de lieux, de tout ce qui compose notre environnement. ‘Quelque chose’ une conscience observe.
Restons connectés à cette présence, restons dans ce moment.
Si on donne plus de force au mental qu’à la présence, il se crée un déséquilibre qui donne du pouvoir à l’égo, à la personne que nous croyons ou que nous avons cru être. C’est elle alors qui dirige notre vie, dans la souffrance et la douleur puisque le rôle du mental est de faire, toujours plus. Sa nature est l’attachement, acquérir plus d’objets, tout le temps, pour être heureux ‘plus tard’. Mais la machine folle ne peut s’arrêter toute seule. Lancée dans sa course infini au contrôle de l’univers, elle veut nous faire passer tout notre temps dans le passé ou le futur.
Cette dans l’équilibre de ces deux forces que nous pouvons être heureux. Lorsque dans le moment, nous laissons la présence agir à travers nous, le mental redevient l’outil qu’il aurait toujours du rester : un outil au service du cœur, de la présence.
Il est possible de renverser la vapeur, par des activités du cerveau droit, par l’expérience de la méditation, on peut ‘équilibrer’, se ‘centrer’.

Toutes les souffrances du monde dans lequel nous sommes n’ont qu’une seule et même cause : l’inconscience.
Plus nous sommes conscient, plus nous augmentons notre degré de conscience, plus nous dégageons et diffusons des idées, des attitudes, des pensées, des actes de joie, de bonheur, d’amour.
La souffrance véhicule la souffrance et la séparation tandis que la joie et l’amour transmettent la paix, le bonheur, la joie, l’amour.
Il y a une résonance universelle dans tout ce que nous sommes. Si nous sommes la joie, nous exprimons la joie. Si nous souffrons, nous pouvons, en étant inconscient, propager la haine. La joie, l’amour comme la haine est une énergie qui se propage comme un virus. La question est : que voulons nous être, comment voulons nous influencer notre environnement. Pouvons nous être lucide sur ce que nous sommes et décider de nous concentrer sur notre être véritable. Car nous sommes tous, au fond de nous, constitué de cet amour infini.
Ce besoin de grandir de s’éveiller, c’est cette conscience, c’est nous qui, partout dans l’univers cherche à s’étendre, à expérimenter, à progresser. C’est la vie, qui à travers nous, se vit, se renouvelle, sans cesse.

Texte de Kundun janvier 2013

C comme Cause, E comme Effet

Loi de cause à effet : une expérience d’amour.

Loi de cause à effet : une expérience d'amour

Loi de cause à effet : une expérience d’amour

Nous pouvons considérer notre vie comme une somme d’expériences.
Si on y regarde de près, chaque expérience peut être analysée et comprise comme une expérience d’amour basée sur la loi de cause a effet.
Comme pour des bulles de savons, chaque expérience peut en intégrer d’autres.
Je m’explique : prenons par exemple la naissance :
En général, l’amour de deux êtres (qui est la cause) génère un effet : on se met en couple, puis parfois, un enfant apparaît.

La cause et l’effet, d’une certaine façon ne font qu’un, c’est la bulle de savon. Cette entité, cette cellule cause-effet, qui est dans ce cas l’amour de deux être va générer tout un tas d’autres bulles ’causes-effets’ qui sont comme des petites bulles de savon intégré à la première. Par exemple, cette union va créer la bulle ‘on loue un appartement, on vit ensemble’ et aussi, ‘ je n’habite plus chez mes parents’, ‘ je vais chercher du travail’, etc…
Si on regarde l’historique de sa vie, on peut identifier les grosses bulles, les cellules ’cause/effet’ qui ont changé notre vie de façon considérable.

Ce que j’essaye de transmettre dans ce texte, c’est cette compréhension qu’à la base de chaque bulle, il y a un acte d’amour, que cet acte d’amour est une cause qui va générer tout un tas de sous-bulles, des effets qui eux-même seront la cause d’autre événements.
Si on regarde un instant dans le passé, on peut à la fois comprendre pourquoi on est ici et maintenant mais aussi voir quelles seront les effets de nos amours d’aujourd’hui.

Par exemple, admettons que nous sommes un jeune informaticien passionné d’informatique dans les année 1990, on crée une société de service, qui a du succès, on la revend, on acquière l’énergie de l’argent.
Il y a dans cette bulle une cause et un effet, un début et une fin, un expérience de vie qui commence et ce termine. C’est la même histoire que pour le couple : on se rencontre, on s’aime, on vit ensemble, on fait éventuellement des enfants, puis on meurt.

Il y a comme des bulles d’expérience que nous pouvons considérer comme des cellules unitaire d’expérience qui font un tout. La cause n’est jamais séparée de l’effet. On peut voir l’ensemble comme un tout. La bulle contient la cause et l’effet.

Une expérience d'amour

Une expérience d’amour

Par exemple : nous rencontrons quelqu’un, nous ‘tombons amoureux de cette personne du point de vue du cœur et de l’intellect, on s’associe, nous créons une société et un projet ensemble. De nouveau une bulle cause-effet a été crée. Et cette création est aussi basée sur un amour : l’amour fraternel d’être avec un autre soi-même qui a la même vision.

Prenons un autre exemple : nous rencontrons un Yogi magnifique qui donne des cours de Yoga.
Tout d’un coup, l’amour du Yoga et de ce professeur nous donne envie de prendre des cours. Une bulle cause/effet se crée.

Nous rencontrons aussi un professeur de piano qui joue merveilleusement bien. Et hop, l’amour de la musique et du professeur nous amène à prendre des cours.
Une bulle ’cause/effet’ se crée et dans 20 ans, nous serons sur scène à jouer du piano.

A y regarder de près, Toutes nos vies sont faites de bulles ’cause/effet’.
Et à y regarder d’encore plus près, la véritable cause génératrice est l’amour de quelque chose ou de quelqu’un.

Exemple : vous êtes un enfant, vos parents vous offre un ordinateur et 15 ans plus tard, vous devenez informaticien. La cause, c’est l’amour de vos parents.
Vous décidez d’aller au restaurant avec des amis pour passer un bon moment : la cause est l’amour fraternel que vous avez pour vos amis.
La bulle ’cause/effet’, c’est ce moment ou vous serez tous ensemble. Un des sous-effets possible, c’est que vous risquez d’y rencontrer votre futur femme ou mari.

Si on se met à regarder rétrospectivement nos vies, on s’aperçoit que nous sommes actuellement tous dans des bulles ’cause/effet’ qui structurent et façonnent nos vies.
Il est possible de prendre conscience de ces bulles.
Pourquoi en sommes nous arrivé la ?
Quelles enseignements ais-je tiré de ces expériences, sont-elles terminées ?
Dans quelles bulles- suis-je ?

Prenons un moment pour nous poser.
Respirons profondément, et arrêtons tout quelques minutes pour rester dans cette réflexion.

Dans quelles bulles suis-je ?

Dans quelles bulles suis-je ?

Dans quelle bulle suis-je ? Quelle est la bulle ’cause/effet’ principale dans laquelle je suis ?
Il y a une bulle ‘travail’ et une bulle ‘couple’, une bulle ‘besoin spirituel’…?
Listons nos bulles.
Voyons les causes et les effets qui nous ont amenés dans ces bulles.
Suis-je entièrement satisfait de mes bulles ?
Faisons une pause, restons dans ce moment quelques minutes.

Écrivons sur une feuille nos grandes bulles, nos grands axe ’cause/effet’ qui nous ont amené ici et maintenant. Pourquoi lisez vous ce texte ? Qu’elles sont les circonstances qui vous ont amené à ce texte. Est ce Google ? La cause est-elle une recherche d’information ?
Voyons comment le hasard qui n’existe pas a été la cause de cette lecture.

A la fois vous lisez ce texte, et au même moment, je l’écris.
Oui, nous sommes bien connectés par cette bulle ’cause/effet’ généré par l’amour de la connaissance, et l’amour de l’autre.
Restons dans cette communion quelques instant. Sentez vous ce lien, cet amour ?
Car en réalité, c’est la même source sous-jacente qui à la fois écrit ce texte, et qui le lit. Cette source, c’est l’amour que nous sommes. Cette source, c’est l’amour qui expérimente la vie, par les expériences, par ces fameuses bulles…
Si vous aimez ce texte, peut être aurez vous envie d’en lire d’autres ? Peut être aurez vous envie de me rencontrer ? Ce serait chouette. Comment imaginer tous les effets d’une telle cause ?

Revenons maintenant à nos bulles ’cause/effet’

Nous pouvons, par cette introspection, par cette rétrospectives ‘remonter dans le temps’ et visualiser notre vie, les causes majeurs qui nous ont amenés jusqu’ici.
Pourquoi souhaitons nous augmenter notre niveau de conscience ? Quelles sont les causes, quelle est l’amour sous-jacent derrière cet élan ?
Et quelles sont les synchronicités, les coïncidences qui nous ont aidé ?

Car lorsque nous examinons attentivement ces bulles ’cause/effet’, on s’aperçoit qu’il y a des bulles dans les bulles, qu’elles se rejoignent, qu’elles s’amassent ensemble.
La loi de résonance et la loi de l’attraction font que les bulles se rejoignent.

Bulles, cellules photos Serge Briez, cap médiations

Bulles, cellules photos Serge Briez, cap médiations

Nous avons tous quelques grosses bulles qui ont déterminée notre vie.
Prenons quelques instant pour les visualiser. Faisons une pause de quelques minutes.

Restons dans ce moment présent et demandons nous : quel était mon état d’esprit dans ces moments les plus importants de ma vie ?
Quel était mon niveau de conscience ?
Étais-je dans la joie, le bonheur ? Étais-je dans la souffrance ? Étais-je présent ? Qui a vraiment décidé de ces causes ? Est ce Mon Ego, mon cœur, mon corps ? Est ce quelqu’un d’autre que moi ?

Car si on regarde attentivement, on peut découvrir qu’en fonction des créateurs des causes, les effets vont être très différent. Les effets du cœurs ne sont pas du tout les mêmes que les effets de l’ego. Il y en a un qui unit, alors que l’autre sépare.

Mes bulles sont-elles plus générées par la personne que je crois ou que j’ai cru être, ou bien par le vrai soi, l’amour, le cœur ?
Est ce le corps qui crée des causes ?
Prenons un instant de réflexion. Respirons et restons dans l’instant quelques minutes.

Qui créent les bulles ?

Qui créent les bulles ?

Qui créent les bulles ?

Suis-je entièrement libre des causes que je génère ?
Suis-je capable de bien voir la différence entre les effets générés par le cœur, l’ego, le corps ?
Car évidement, nous expérimentons, nous créons ces bulles d’expérience, nous générons les causes et les effets, mais est ce le vrai ‘nous’ ?
Est ce le vrai nous ou bien la personne crée par le mental ?
Voila un sujet à explorer…

Plus nous pouvons comprendre le mécanisme sous-jacent à la création de ces bulles, plus nous augmentons notre niveau de conscience, plus nous devenons libre de choisir la qualité de notre expérience de vie.

Libre de comprendre pourquoi nous sommes ici et maintenant, et libre de nous épanouir, de comprendre ce que nous sommes.
Car la maîtrise de cette loi de cause à effet, de ce mécanisme de bulles, permet ainsi de choisir sa vie, d’être heureux.

Car c’est dans le moment présent, en conscience et dans la présence, que nous pouvons devenir la clarté. Et C’est cette clarté du corps, du mental et du cœur que nous pouvons appréhender toutes les conséquences, tous les effets de nos causes.

Car si nous agissons dans la conscience du cœur et de l’amour, si nous générons des causes en toute conscience, les effets seront magnifiques.

Méditons sur ce passage de Luc :

Lc 6:37- Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ; remettez, et il vous sera remis.
Lc 6:38- Donnez, et l’on vous donnera ;

Plus nous dissolvons l’égo, plus nous sommes dans l’amour, sans jugement ni condamnation, plus nous générons des causes aimantes. L’univers est un grand miroir qui nous renvoi ce que nous lui envoyons.

Tant que nous ne comprenons pas la loi de cause à effet et l’importance de l’attitude, nous passons notre vie à regarder les effets sans rien comprendre : très peu d’entre-nous s’intéresse aux causes, et pourtant, c’est la compréhension et l’étude des causes qui permet le discernement. En réalité chaque effet à une ou plusieurs causes, sachons les découvrir.

Pour conclure ce texte : plus nous restons dans la présence, dans l’amour, la fraternité, le cœur, plus les effets de nos causes seront magnifiques.

A l’inverse, plus nous laissons le mental, l’ego, la personne que nous n’avons jamais été, diriger les causes de notre vie, plus il y aura de souffrances et de séparation.

C’est à la fois si logique, si simple et si évident, mais regardons autour de nous, pourquoi cette connaissance est-elle si peu partagée ?

Kundun, le 13 janvier 2013

Photos du salon zen 2012

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Rencontre

Mais qui es tu?

Je suis un autre toi, avec qui,
Ce que tu es réellement,
Tu peux découvrir.
Tel un miroir, je reflète tout ce que tu m’envoies.
Envois moi de l’amour,
De l’amour tu recevras,
Envois moi de la séparation,
De la séparation, tu recevras.
C’est toi qui décide,
Car finalement,
Tu comprendras,
Que je suis toi.
Ne le vois tu pas?
Comme on aime un frère jumeau,
Je t’aime,
Car, mon frère, tu es.
A travers moi, comprends qui tu es,
Expérimente moi,
Je suis la pour toi,
Comme tu es la pour moi.
Nous nous sommes rencontrés,
Pas par hasard,
Mais pour progresser, ensemble,
Pour apprendre quelque chose,
Sur le chemin de la vie.
Je suis toi,
Et tu es moi,
Au fond de toi, ne le sens tu pas?
Qu’allons nous échanger ?
Qu’allons nous apprendre ?
Comment allons nous nous entraider ?
A nous, de le découvrir.
Je t’aime.
Viens avec moi.

Poème de Kundun / poem by Kundun

C comme Croyances

C comme Croyances

C comme Croyances

Qu’est ce qu’une croyance ?

Une croyance est une illusion. On croit quelque chose, mais cela veut-il dire qu’on ne l’a pas expérimenté ? La croyance, c’est prendre pour vrai une information.
C’est une erreur. Pour atteindre le juste, pour atteindre le vrai, il ne faut pas croire, il faut ‘vivre’, tester, expérimenter.

Ne croyez pas ! ne croyez pas ce qu’on vous dit, ce qu’on vous apprend. Expérimentez ! Testez ! Vérifiez si cela fonctionne pour vous.

Souvent, les personnes ne font pas la différence entre leurs ‘croyances’, leurs conditionnements et ce qui est ‘vrai’, ce qui est juste.

Il ne faut pas croire, il faut expérimenter, il faut ‘être’. La vérité ne s’apprend pas, elle s’expérimente !

Ne croyez pas ce qu’il y a écrit sur ce site Internet, devenez libre, testez, utilisez votre ‘discernement’, votre logique. Ne croyez pas ce qu’on vous dit, ne croyez pas ce qu’on vous a appris !
Déprogrammez vous, rien n’est ‘évident’, tout est possible.

Par exemple :

faut il croire en Dieu ?

Non bien sur, il faut l’expérimenter ! Dieu n’est pas une croyance, on ne l’atteint pas par le mental. Dieu ne peut qu’être expérimenté. Quand vous le rencontrerez, vous aurez ‘la foi’.

À quoi servent les croyances ?

À manipuler les autres, bien sur. À les entraîner à avoir du ‘discernement’ !

Comment faire la différence entre nos croyances et la vérité ?

C’est simple, la vérité, c’est ce qui fonctionne. La vérité, c’est ce que vous avez expérimenté dans votre univers et qui marche.

Vous souhaitez changer de vie ?

Réfléchissez et modifiez vos croyances. Croyez que vous pouvez réussir, vous réussirez ! Croyez que vous pouvez devenir riche, vous le deviendrez. Ce que vous croyez, transforme votre réalité. La somme de nos croyances est ce qu’on appel des ‘conditionnements’. Ce sont ces conditionnements qui conditionnent et créent votre réalité.

La bonne nouvelle est que vous pouvez choisir vos croyances, vous êtes libre ! Modifiez vos croyances et soyez attentif. L’univers s’adapte à vos croyances en permanence. Il vous offre des opportunités à chaque instant. Ce sont vos croyances qui font le tri. Soyez positif, soyez ouvert, et regardez votre horizon s’élargir jusqu’à l’infini.

Texte de Kundun, 19/05/2012, Paris