Comment débloquer le sixième sens… le septième sens ? Vous êtes capable de beaucoup plus que vous ne le pensez.

Allons vers le 2e chakra 

Et nous allons faire un OM bien grave dans ce 2e chakra

Ressentez dans le 2e chakra cinq centimètres au-dessus du premier   comme une énergie. Vous pouvez visualiser aussi une couleur,

Visualisez le rouge,

Il y a juste à écouter, je vais continuer à faire une lecture pour le groupe.

J’avais besoin d’écouter mon 2e chakra, d’écouter mon système émotionnel.

J’avais besoin d’accepter d’être un être sensible avec des sens. De nombreux sens qui allaient me permettre d’appréhender le monde.

J’avais reçu ce corps physique, un véhicule d’incarnation et ce corps physique était doté de sens.

Pas seulement les cinq sens connus, mais deux sens supplémentaires.

L’émission réception d’amour dans le cœur et émission réception de pensées dans la tête. Ce corps avait au moins sept sens. 

Et si chaque sens, et si chacun de mes sens me permettait d’accéder à des dimensions particulières.  La dimension visuelle bien sûr, absolue, infinie.

La dimension auditive, absolue et infinie aussi.

Chaque sens était une dimension et chaque sens était infini. Et je pouvais voir le monde depuis chaque sens.

Je pouvais développer un sens plutôt qu’un autre.

Je pouvais aiguiser chacun de mes sens. Et je pouvais aussi, en augmentant ma conscience, multiplier ma sensibilité, je pouvais affiner ma sensibilité. 

Je pouvais ressentir cent fois plus, mille fois plus, un million de fois plus.

Et plus ma conscience augmentait, et plus j’étais capable de ressentir de plus en plus.

J’avais besoin pour cela d’accepter l’empathe que j’ai toujours été. J’avais besoin d’accepter d’être un être sensible. 

Bien sûr, la société n’était pas du tout adaptée aux personnes sensibles. Mais c’était à nous de créer le Nouveau Monde. C’était à chacun d’entre nous, de créer, de recréer un monde à son image.

Et plus j’allais accepter l’essence, la sensibilité, et plus j’allais comprendre la beauté de l’incarnation humaine. Plus j’allais accepter ces sens, cette subtilité, cette finesse, cette intelligence sensorielle. Et plus j’allais pouvoir communiquer, échanger, partager avec les humains, mais aussi avec les animaux, avec les plantes, avec les planètes. Avec le vent, avec l’océan.

J’avais besoin de voir que tout était moi.

En devenant empathe, je devenais canal et en devenant canal, je pouvais communiquer avec chaque point de la galaxie, chaque point de l’univers et je pouvais comprendre les multi dimensions.

Et si je m’abandonnais à chacun de mes sens: le goût, l’odorat, l’ouïe. Chaque sens amour aussi.

Et si je pouvais comprendre que je suis un être multidimensionnel et que chaque sens est une dimension. J’avais aussi besoin de voir que ce corps physique est la manifestation, la matérialisation d’un système plus vaste et plus grand qui a de nombreux corps subtils et qui vit dans de nombreuses dimensions. Et qui vit de nombreuses vies en parallèle.

Ressentez en vous les effets de cette réalisation.  Je suis un être multidimensionnel. J’ai de nombreux corps subtils. J’ai un corps physique, je peux voir, mais j’ai aussi tous les corps subtils que je peux ressentir en affinant mes perceptions. 

En passant du temps avec celles et ceux qui percevaient subtilement. J’allais pouvoir moi-même activer mes propres perceptions.

J’avais besoin de comprendre les phénomènes épigénétiques en passant du temps avec certaines personnes, certains êtres, j’allais activer dans mon propre système, dans mon corps physique des codes génétiques de l’ADN. C’est là science de l’épigénétique qui est de plus en plus connue maintenant.

Et plus j’allais choisir avec qui je passais mon temps et plus, j’allais sélectionner les ADN à activer. Ainsi mes capacités allaient augmenter.

J’avais besoin de comprendre l’épigénétique. Il était possible d’activer ou de désactiver certains gènes. C’était une fonction naturelle du corps et c’était une fonction permettant l’adaptation au milieu, au contexte, à l’environnement.

En passant du temps avec des yogis, j’allais activer les gens des yogis. En ouvrant mon cœur, à celles et ceux qui ont réalisé des choses, j’allais moi-même recevoir ces réalisations et ces initiations.

C’était à moi de choisir, ou de m’abandonner à l’être qui allait choisir. 

Restez avec cette musique quelques instants. 

En imaginant quelques brins de vos ADN en train de s’activer. 

—–

Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 38 » :

Pour vivre cette méditation guidée, Cliquez ICI. Un essai gratuit de 2 semaines à ANATMAN TV ? Cliquez ICI.

Inscrivez-vous ateliers d’éveil et de transformation du dimanche matin : (gratuit)

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Le chant de l’être, l’émission du samedi après-midi pour connecter votre être :

Pour passer à l’antenne avec Zoom : (seulement avec votre voix)

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Posez vos questions textes ici : L un possible :

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Un stage pour faire un saut quantique ?

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Dialogue avec l’être :

Posez votre question directement à l’être en mode texte, cliquez ICI :

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P comme Pensées

Philomène de Jung :

Les pensées sont comme les animaux dans la forêt, les oiseaux dans l’air, des personnes dans une pièce.”

Effectivement, nous captons des pensées, mais nous pouvons aussi les imaginer dans un espace en 3D.

Projeter notre conscience dans un espace nous permet de capter un certain type de pensées.

pensées, commes des oiseaux dans le ciel

De la même façon que nous voyons avec les yeux (réception de lumière), que nous sentons avec le nez (réception d’odeur), que nous touchons avec nos mains (réception de flux nerveux), de la même façon que nous entendons avec les oreilles (réception de vibration sonores), nous recevons des pensées avec notre cerveau qui est un organe comme un autre.

Si nous considérons les pensées en 3D dans une pièce par exemple, nous pouvons constater qu’en fonction de notre état d’esprit, c’est à dire notre vibration, nous allons “voir” c’est à dire recevoir certaines pensées et pas d’autres.

De la même façon que nous regardons une pièce rempli d’objets, nous pouvons regarder une pièce remplie de pensées : tout dépend de l’endroit où nous regardons.

Bien sûr, nous pouvons projeter notre conscience sur des objets, des idées et voir ce qui nous vient en retour.

Ce que nous sommes, la conscience, peut se focaliser sur tout type de pensées et d’idées.

C’est ce que vous faites en lisant ce texte, vous êtes entré dans une grande pièce qui est l’univers de Kunzang, l’univers de l’abécédaire, et dans cet espace, une nouvelle cartographie de la réalité vous est transmise.

Bien sûr, ce que nous sommes, la conscience qui regarde, n’est pas l’objet gardé, pour cette raison, nous ne sommes pas les animaux dans la forêt, nous ne sommes pas nos pensées.

Pouvons-nous prendre du recul et comprendre que nous sommes la conscience qui regarde des pensées, entend des musiques, sent des odeurs, regarde ce paysage.

De la même façon que nous pouvons fermer les yeux, se boucher les oreilles, nous pouvons méditer et expérimenter le calme mental. Sans pensées, nous pouvons reposer le mental.

Recevoir beaucoup de pensées arrive lorsque nous projetons notre conscience sur un objet, qu’il soit vu avec les yeux, ou vu par le mental dans notre esprit.

Que recevons-nous comme pensées lorsque nous regardons le mot “amour” ?

D’autres pensées arrivent. En fonction de la puissance de notre projecteur, nous pouvons recevoir plus ou moins de “pensées”.

La créativité est notre capacité à recevoir des pensées, concepts, idées. Et plus nous développons notre conscience dans une dimension, que ce soit l’art, le sport, le business, et plus nous sommes capables d’interpréter les pensées et concepts que nous recevons.

Nous commençons tous par apprendre les lettres de l’alphabet pour ensuite interpréter les mots. Par la suite, des phrases, des livres, des concepts complets s’ouvrent à nous.

Les mots, le langage est une cartographie permettant de communiquer, mais d’autres façons existent : les arts avec la musique, les poèmes, les films, les peintures, les sculptures.

Dans cette forêt où un lion apparaît, nous savons qu’il est un lion parce que nous avons appris à le reconnaître. Chaque animal, chaque mot a été appris pour être reconnu.

De la même façon, les textes de l’abécédaire fournissent une nouvelle perspective, une nouvelle façon de comprendre notre réalité.

Si nous commençons à nous habituer à considérer les pensées comme des objets en 3D, nous comprenons qu’il existe des univers de pensées, des univers d’idées, de mots.

Comme si nous entrions dans une pièce remplie des objets amour, lumière, beauté, clarté, lumineux, vérité, bonté, soleil. Ces objets, ces idées sont proches les uns des autres, ils sont reliés, ils sont dans un espace commun, dans une vibration commune.

Les poèmes sont justement comme des photos de ces univers. Bien au-delà des mots, l’espace entre les mots, l‘imagination, le sensible transparait à travers les poèmes. Ils nous élèvent et nous font prendre conscience, alors une émotion apparait, alors des pleurs ou des rires se produisent…

Si nous commençons à représenter les idées, les pensées en 3 dimensions dans l’espace, nous commençons à comprendre que les mots que nous utilisons sont très importants, que le choix de notre environnement, de notre univers est fondamental.

Si notre esprit est rempli d’idées d’amour, de fraternité, d’amitié, de partage, de coopération, de positif, alors nous allons chercher et trouver ce type de “forêts”, d’environnement.

Lignes de forces

Et les personnes qui sont dans cette forêt ne seront pas les mêmes si notre esprit est rempli de “blessures, traumas, séparation, malheur, douleur, noirceur, violence, fracture, négativité, destruction, annihilation” par exemple.

Écoutons les mots utilisés par ceux qui nous entourent, dans quel “univers” vivent-ils ? Comment les mots sont-ils reliés ?

Quelles pensées recevons-nous en leur présence ?

Pouvons-nous comprendre que nous sommes aussi chacun une “forêt” remplie d’animaux, de pensées, de choix de mots, d’idées.

Quelles sont vos animaux, vos pensées préférées ?

Votre univers intérieur est-il un univers d’abondance ? De manque ?

Est-il en amélioration ? En train de grandir ? De se rétrécir ?

Quels animaux avez-vous mis dans votre forêt ?

Pouvez-vous les changer ?

Si nous considérons votre esprit comme une forêt, quels mots, idées, concepts pouvons-nous y trouver ?

Sur quelles idées, pensées travaillez-vous actuellement ? Êtes-vous en train de construire quelque chose ?

Avez-vous remarqué que tout projet se crée d’abord dans cet espace ?

Une agglomération de pensées et d’idées une fois structurée et organisées sont comme des constructions géométriques, comme des œuvres.

Si nous construisons une maison dans cette forêt, cette maison pourra s’incarner dans le monde matériel.

Et si plusieurs univers, plusieurs forêts, qui peuvent aussi être représentés par des hologrammes décident de travailler ensemble, alors des projets plus grands peuvent se réaliser.

Que faites-vous lorsque vous lisez ce texte ?

Que font deux personnes lorsqu’elles communiquent, partagent et échangent ?

Tout simplement, elles s’échangent des animaux, des pensées.

Si je vous transmets l’idée de la couleur rouge, verte, bleu, et si vous avez l’idée de la voiture, alors vous allez pouvoir vous représenter un nouvel animal : une voiture rouge, verte et bleu.

Ainsi nous créons, chaque jour, par le mélange de nos idées, de nos expériences.

Question : avec quelles personnes arrivons-nous à élever notre conscience afin de recevoir pleins d’idées ?

Avez-vous remarqué que certains textes, que certaines personnes sont particulièrement inspirantes ?

Pourquoi ?

Simplement parce que leur univers est vaste et riche, simplement parce qu’ils ont des animaux inédits !!

Des canards à 6 pattes, des lions à deux pattes, des minotaures avec des ailes !

Pouvons-nous imaginer l’infini de nos possibilités ?

Chaque jour, 7 milliards d’univers, de forêts échangent leurs animaux, leurs idées et de nouvelles inventions apparaissent, de plus en plus techniques, de plus en plus magiques.

Les livres, les films, les œuvres d’arts nous transportent dans des univers que nous assimilons, que nous intégrons.

Bien sûr, plus nous sommes ouverts, moins nous sommes conditionnés, plus nous avons de l’espace en nous, plus nous sommes éveillés, et plus nous pouvons recevoir d’animaux, de pensées.

Et plus notre espace est infini, plus de nouvelles idées arrivent, de nouveaux animaux, de toute sorte viennent et s’installent, font des petits, grandissent.

Oui, les idées grandissent, se transforment, se reproduisent.

Combien d’idées, de nouveaux animaux avez-vous emportés avec ce texte ?

Combien pouvez-vous en recevoir ?

Certaines idées, certains animaux sont-ils trop nouveaux ? Sont-ils compatible avec votre univers existant ?

Quel est votre degré d’ouverture ? Quels animaux allez vous nourrir ? Quelles pensées ?

Est-ce que tous types d’idées, d’animaux peuvent entrer dans votre esprit, dans votre espace, dans votre forêt ?

Oui ? Non ? Pourquoi non ?

Quels sont les filtres, conditionnements empêchant certaines idées d’être reçues et intégrées ?

Une idée peut-elle être à la fois vraie et fausse ?

Il y a-t-il un espace dans cette forêt où deux idées opposées peuvent vivre ensemble ?

Par exemple, l’idée que je suis un bon chanteur peut-elle coexister avec l’idée que je ne suis pas un bon chanteur ?

Quel sont les relations entre notre forêt et les animaux la constituant et le personnage que nous avons construit ?

Notre personnage n’est-il pas une construction d’idées, une somme de perspectives, de croyances de conditionnements ?

Pouvons-nous le modifier, pouvons nous nous en dissocier ?

Comment créer plus d’espace dans notre forêt ? Sommes-nous heureux dans notre espace, dans notre forêt ?

Il y a-t-il des animaux, des idées qui prennent trop de place ?

Est-ce que la beauté et l’harmonie y règnent ?

Nous ne sommes pas nos pensées, ni le personnage qui s’est identifié aux pensées. Nous ne sommes pas la forêt ni les constructions qui s’y trouvent. Nous ne sommes pas les animaux qui s’y trouvent.

Ce que nous sommes est la conscience qui expérimente la forêt, nous sommes l’observateur.

Kunzang Novembre 2013

A comme Amour & Amitié

Tant que nous ne nous sommes pas dés-identifié à l’ego, la fausse personne, il n’est pas possible d’aimer véritablement, d’aimer divinement.

Car au-delà de l’intérêt du mental et du corps, c’est dans l’intérêt du cœur que s’exprime le véritable amour.

Le véritable amour “est” sans explication, sans raison, sans justification : il est notre état naturel par défaut.

Pourquoi exprimer L'amour ?

Oui, l‘amour, la reconnaissance que l’autre est soi est l’état naturel du bouddha que nous sommes tous. C’est l’essence même de notre être : aimer tous les êtres et toutes les choses. Comment faire autrement lorsqu’on a réalisé que tout est nous ?

L’amour de l’égo qui n’est qu’une forme d’attachement n’a strictement rien à voir avec le véritable amour. Il n’y a aucune raison d’utiliser le même mot, il faudrait plutôt utiliser le mot “intérêt de l’égo”, “intérêt de la personne” plutôt que le mot “amour”. L’incompréhension des mots amènent vers l’incompréhension des choses.

Pouvons-nous faire la distinction entre le véritable amour et l’intérêt de l’égo lorsque nous sommes amenés à rencontrer des personnes ?

L’illusion est de confondre attachement de l’égo avec le véritable amour divin. Mais comment aimer tout en conservant le personnage ? Comment aimer lorsque sans cesse, l’ego filtre chaque instant de la vie ?

En s’éveillant un peu plus chaque jour, en augmentant son niveau de conscience, en prenant conscience de nos traumas et de nos souffrances.

Car ce sont eux qui ont construit la personne, l’égo. Et c’est par des prises de conscience, en effectuant une “déconstruction”, que nous allons pouvoir laisser le cœur s’exprimer, se libérer.

Pouvons-nous être honnête et comprendre “qui” agit, qui décide ?

Est-ce le cœur ou est-ce le personnage ?

Comment faire la distinction ?

C’est très simple, le cœur est dans la joie, la paix, dans une vibration très positive. Le personnage est dans la tête, dans le mental, dans le cerveau gauche, dans l’intérêt, parfois dans la manipulation. L’ego souhaite obtenir quelque chose tandis que le cœur ne veut jamais rien, il souhaite juste “être” ce qu’il est, “être” dans la présence.

Qu’est-ce qu’un véritable ami ?

Un véritable ami est quelqu’un qui sait et qui a expérimenté le fait qu’il n’y a pas d’autres, que nous sommes un. Il partage les mêmes valeurs et les mêmes niveaux de compréhension, des prises de conscience similaires ont eu lieu.

Plus notre niveau de conscience augmente, plus nous pouvons retourner à notre état naturel, c’est à dire l’amour infini.

Pour autant, les personnages, les autres êtres ne peuvent pas forcément exprimer cet amour. Chacun fait en fonction de son expérience, de son niveau de conscience.

Et plus nous évoluons sur le chemin, plus nous rencontrons de nouveaux êtres, tandis que d’autres s’éloignent.

Tandis que le mental peut être “ami” avec quasiment tout le monde si c’est dans son intérêt, le cerveau droit, le cœur, peut envoyer de l’amour à tous, mais ne peut avoir de véritables relations d’amitiés qu’avec des êtres libres, sachant sortir de leur personnage, qu’avec des êtres éveillés.

Car un être libre, sorti du personnage, à moins qu’ils veuillent jouer comme au théâtre des scènes, ne peut plus rester dans l’illusion.

Un besoin de vérité, de réalité, d’amour vrai s’exprime à travers le cœur. L’amour véritable est très exigeant, il ne s’intéresse ni aux attachements de l’égo, ni aux faux semblants.

Pourquoi retomber dans l’illusion quand nous y sommes sortis, telle est la question ?

Pourquoi se satisfaire d’illusion si nous pouvons avoir une vie véritable, avec des amours véritables ?

Ainsi, par des prises de conscience, par l‘éveil spirituel, notre environnement change. Et plus nous changeons, plus notre entourage change : lieux, personnes, objets, activités.

Tout ce qui nous entoure est le reflet de nos compréhensions, de ce que nous sommes à l’intérieur. Notre environnement est la manifestation de nos compréhensions, de notre vibration. D’une certaine façon, il est une projection de notre être intérieur.

Si nous prenons conscience qu’un être est magnifique, nous allons ressentir le besoin d’être en sa présence. De la même façon, si nous prenons conscience que quelq’un a un comportement négatif, nous allons réagir et certainement bouger.

La question lorsque nous devenons libre est la suivante : quel univers, quel environnement ai-je envie de construire autour de moi ?

Ai-je conscience que je créé mon environnement ? Ai-je conscience que plus j’évolue, plus mon univers évolue avec moi ?

Les véritables amis ne peuvent qu’être des amis de cœur.

Kunzang Novembre 2013

G comme guide de vie

Ce texte est un petit guide de vie pour certains, un guide de survie pour d’autres, il est le résultat de toute une vie et la continuité des 600 textes d’Infinite Love. Si j’avais pu recevoir ce texte à 15 ans, qui sait où je serai aujourd’hui…

Si vous recevez ce texte en étant jeune, alors vous êtes chanceux et allez gagner 50 ans de vie heureuse en plus !

lumiere

Particulièrement préconisé pour les personnes sur-efficiente, il peut véritablement donner des clés de compréhensions pour une vie harmonieuse. Plus nous nous éveillons, plus notre niveau de conscience augmente, plus nous devenons sur-efficient, c’est à dire que nos sens sont démultipliés. Alors, de nouvelles prises de conscience apparaissent générant son lot d’émotions, de rire, de pleurs, développant à l’infini nos capacités, notre sensibilité.

Le problème est que plus nous sommes éveillés, moins le monde est fait pour nous. Avec sa violence quotidienne, avec ses pollutions à la fois sonores, verbales, visuelles, kinesthésique, notre monde n’est plus adapté aux personnes sensibles. Aussi, ce texte est apparu comme une solution de survie pour les sur-efficients et les éveillés.

Ce guide est basé sur la compréhension que nous sommes tous constitués d’énergie et que nous nous imprégnons littéralement des 5 personnes qui partagent le plus notre présence. Que ce soit au travail ou à la maison, nous nous impactons les uns les autres, d’une façon bien au delà de notre imagination.

Compréhension 1 :Vivre avec ceux qui nous aiment”

Progressivement, plus je progressais sur le chemin de la vie, plus je me suis mis à choisir mon environnement, aussi bien en terme de personnes, de lieux, de décoration, d’objets qu’en terme d’activités. J’ai finalement compris que ce sont nos changements internes qui se projettent à l’extérieur. C’est pour cette raison que le travail d’éveil se situe “en nous” et non pas à l’extérieur de nous. En réalité, la seule chose que nous pouvons changer se situe d’abord à l’intérieur de nous même, ensuite le monde extérieur, projection de ce que nous sommes se transforme.

Finalement, une nouvelle étape importante a été franchie : après avoir expérimenté l’amour universel pour tous, j’ai compris que choisir d’être avec les personnes que j’aime n’est pas suffisant : ce qui est bon pour moi, c’est de choisir ceux qui m’aiment !

En effet, eux seuls sont capables de renvoyer l’amour que j’exprime. Nous sommes tous les miroirs les uns des autres et l’important, lorsque nous sommes remplis d’amour, c’est “Qui peut renvoyer ce que je lui envoi ?”.

En même temps, la question que nous pouvons aussi nous poser est “Suis-je capable de refléter l’amour que l’autre m’envoie ?“.

Suite à plusieurs expériences avec des personnes que j’aimais mais qui ne m’aimaient pas, des personnes qui étaient surtout dans l’intérêt de l’ego voir même dans des stratégies de manipulation, j’ai finalement compris quelque chose de fondamental :

“Si nous sommes uniquement entourés d’êtres qui nous aiment, nous entrons littéralement au paradis.”

experience-amour

Cela peut sembler très simple, c’est en réalité très profond.

Résultat des 15 premiers jours après avoir décidé d’être uniquement avec ceux qui m’aiment : je reste toujours très “high” dans l’amour infini avec un état d’esprit amoureux, positif, créatif, extatique, presque samadhique.

Pourquoi ? Parce que chaque nouvelle rencontre d’amour avec ceux qui nous aiment, au travail, à la maison, chez les amis, ne fait que monter le niveau énergétique. Il n’y a plus personne pour faire retomber la vibration !

C’est comme si j’étais en Satsang permanent, dans la présence de ceux qui m’aiment.

En même temps, à chaque instant, une énergie s’étend et cela nourrit tout le monde. C’est comme un Shaktiptat permanent de bonheur. L’effet est le même que dans les stages, les retraites, les Satsang : on augmente son niveau vibratoire et on le garde.

Pour faire face aux difficultés de la vie, il est bien plus pratique d’être entouré d’êtres qui nous aiment. Alors que nos amis nous aident et nous donnent du courage, ceux qui ne nous aiment pas vont profiter de nos difficultés.

Ce qui est génial, c’est qu’à force d’être en Satsang toute la journée, c’est à dire dans la présence, on s’éveille de plus en plus vite. C’est à dire que le niveau de conscience, la présence continue à augmenter. Sans les descentes et les baisses du niveau vibratoire, la progression vers un éveil toujours plus étendu, toujours plus conscient ne s’arrête plus.

Finalement, posons nous la question : qu’est ce qui fait diminuer le niveau de conscience et d’amour ? Qu’est ce qui nous rend malheureux ?

Et bien uniquement les personnes qui ne nous aiment pas, ceux qui sont dans les liste B et C. J’ai donc fait trois listes :

Liste A : personnes qui nous aiment vraiment, qui sont dans le cœur, qui sont capables d’aimer, les êtres sensibles, ayant développé leur cerveau droit, souvent sur-efficient. Je parle là d’amour vrai, divin, rien à voir avec l’attachement de l’ego. Ces personnes sont plus orientées “cerveau droit”.

Liste B : personnes dirigées par l’intérêt du mental, dans l’attachement de l’égo, du personnage. Ils sont dans l’illusion de la séparation. Identifiés à leur personnage, c’est le gros des troupes, produits du monde dit “moderne” occidental, robotisés, ils ont chacun leur scénario conditionné par l’intérêt du mental. C’est ce que l’on appelle le commerce : je te donne, tu me donnes. Ces personnes sont plutôt orientées “cerveau gauche”.

Liste C : personnes toxiques, malades, psychopathes, pervers narcissiques manipulateurs, vampires psychiques, emprisonnés dans leur personnage et leur égo, ils souffrent et font souffrir les autres. La résonance est une résonance de mal être, de destruction, de manipulation. Ces personnes sont malades mais ne le savent pas, il y en a partout en liberté dans notre société ! Ce sont eux qui ont besoin le plus de compassion, ils sont “malades”.

Bien sûr, certaines personnes peuvent être en liste A et B c’est à dire qu’elles peuvent aimer et aussi avoir un peu d’intérêt du mental, ce n’est pas un problème tant que le cœur dirige la personne, tant qu’il y a de l’amour véritable. La véritable question est : mais qui dirige ? Est-ce le cœur ou bien le personnage ?

Comme nous sommes libres, plus nous choisissons un environnement paradisiaque, plus nous pouvons co-créer et rester dans une harmonie, une vibration d’amour constante.

Si j’avais pu comprendre cela à 15 ans, j’aurai économisé beaucoup de temps et d’énergie, mais bien sûr je n’aurais pas pu écrire ce texte…

Mais à vous qui lisez ce texte, vous avez la possibilité de vivre mieux, de créer votre propre paradis sur terre.

Voilà, cette expérience est mon actualité et je témoigne de l’efficacité de la méthode. Cette stratégie est très impactante puisqu’elle modifie notre univers. En même temps, quand nous faisons le ménage, nous laissons de l’espace pour ceux qui nous aiment. Nous créons littéralement de l’espace et du temps pour partager et co-créer avec eux.

Il y a une spirale vertueuse à rester avec des êtres de cœur : ils prennent la place des êtres égotiques diminuant le risque de faire tomber le niveau de vibration. Aussi, la création d’un groupe d’amis, d’une masse critique permet de bien voir le contraste comportemental entre ceux qui sont dans l’amour, la joie, le partage, et ceux qui sont dans la manipulation, le personnage.

Car à force de côtoyer des êtres de lumière, nous trouvons de moins en moins de raison pour être dans la présence des démons.

Attention, l’amour est un virus et une drogue certaine !

Plus nous sommes dans un univers aimant, bienfaisant, plus nous sommes entourés d’êtres qui nous aiment, plus la vie est belle.

Réveillez-vous ! Choisissez l’amour et le bonheur !

"Le bonheur est ici et maintenant"

“Le bonheur est ici et maintenant”

Plus je suis avec les personnes de la liste A, ceux qui m’aiment ou qui sont capables d’aimer, plus je réalise le contraste qui existe entre les personnes de la liste A et de la liste B.

Les personnes de la liste B ont peur de l’amour car l’égo, le personnage ne veut pas perdre l’illusion du contrôle sur la vie. Pour eux, c’est l’intérêt du mental qui a le dessus sur l’individu. Bien sûr ils ont du cœur parfois, mais le mental règne et décide au final. Quitte à tout saborder, dans leur système, le cœur ne doit pas diriger l’être. Ils sont sur une voie d’éveil par la souffrance, par la douleur. Et l’univers apportera ce qu’ils demandent, conséquence de leurs illusions, c’est à dire des maladies, des problèmes en tout genre, des souffrances, l’illusion d’être séparé des autres, une solitude existentielle et surtout aucun sens à leur vie.

Je me rends compte que de nombreuses personnes sont malheureuses parce qu’elles ont peur de leur propre amour et de l’amour des autres aussi.

La plus grande force de l’univers peut faire peur car, inconsciemment, les gens savent que c’est cette force qui dissous le personnage, l’égo, l’illusion de l’identification à la personne.

Plus ils aiment, et plus ils se rendent compte qu’ils perdent le contrôle, que ce ne sont plus eux, mais la vie, le divin qui dirige au final.

C’est bien sûr effrayant depuis leur perspective puisqu’ils sont en général dans l’ignorance, c’est à dire dans l’illusion de l’ego.

Dans le monde de la liste A, les êtres savent que l’amour est la seule vérité, ils n’ont pas peur de l’amour et se laissent baigner par cette énergie de lumière. Certains le font en conscience, d’autres pas mais finalement, cela n’a aucune importance.

Du coup, il y a un contraste marquant : ceux qui acceptent l’amour, et ceux qui s’en méfient et qui en ont peur. Il y a ceux qui sont ouvert d’esprit et ceux qui sont fermés d’esprit, conditionnés.

Maintenant que je baigne dans cet amour à chaque instant quasiment, car il n’y a plus que des êtres de la liste A dans mon monde, je peux mieux comprendre les différences entre les deux groupes.

Dans l’univers de ceux qui ne m’aiment pas, il y a ceux qui ont besoin de temps pour aimer, et il y a ceux qui n’acceptent pas l’amour par peur de montrer leurs vulnérabilités, il y a aussi ceux qui n’ont aucune idée de ce qu’est l’amour divin.

Car de leur point de vue, plus nous aimons, plus nous sommes vulnérables. Plus nous aimons, et moins le personnage, l’égo, peut manipuler, agir dans son intérêt.

L’amour a des raisons que la raison ne connait pas… Pascal.

En réalité, plus nous sommes aimant, plus nous sommes vulnérables, mais plus nous pouvons vivre véritablement.

Aussi plus nous aimons, plus nous diminuons l’emprise du cerveau gauche, du cerveau analytique pour entrer dans l’univers du cerveau intuitif, du cerveau droit. Le nombre de pensées diminue, nous entrons alors dans la présence, amoureux.

Bien sûr, notre fonctionnement est optimal quand nous utilisons nos deux cerveaux à égalité, c’est ce que nous appelons l’équilibre, et c’est dans cet équilibre que le divin s’exprime le mieux.

L’ouverture du cœur par les initiations shaktipat, par les méditations, par les activités favorisant l’amour, par les satsangs permet d’expérimenter l’amour. Alors, notre capacité à aimer se développe et nous finissons par rencontrer le cœur de notre âme, nous comprenons que le divin se vit à travers nous, que nous sommes lui/elle et qu’il/elle est nous.

Sans cet éveil, l’humain reste enfermé dans la prison de l’égo, du personnage, il s’identifie à une personne qui n’existe pas, illusoire, qui n’est que la somme de ses conditionnements. Enfermé dans cette prison, en fonction du degré d’éveil de la conscience, il voit le monde et les pseudos “autres personnes” comme des dangers potentiels. Il n’a pas totalement tort, mais ne sait pas en général que c’est lui qui génère son univers : ses croyances se transforment en réalité, son égo veille à avoir raison.

Travailler et passer du temps avec les êtres de la liste A est tellement plus simple, plus vrai, que je vais agrandir la liste A et passer le minimum de temps avec ceux de la liste B (les personnes de la liste C étant totalement exclues car nocives). Car non seulement ils vivent dans la peur, mais aussi, ils passent leur temps à les transmettre. Bien sûr, il faut avoir du discernement et prendre en compte toutes les potentialités, mais pourquoi vivre dans la peur et dans la crainte si on peut vivre dans l’amour et le bonheur ? Que voulons nous vivre sur terre ?

C’est amusant car il y a plusieurs mondes : celui de la foi, du “surrender” au divin, celui de la peur, de l’identification à la personne, et celui de l’équilibre ou le cœur règne, ou le mental est juste un outil d’analyse.

En fonction du positionnement de la conscience, une projection s’effectue et le monde devient littéralement ce que nous croyons qu’il est !

Compréhension 2 : “Vivre dans la présence divine à chaque instant”

(texte apparue le même jour que la “compréhension 1” suite à une lecture d’un livre de Yogananda)

Cela demande un peu d’entrainement, mais si, à chaque instant, nous focalisons notre conscience sur le divin, alors nous ressentons instantanément sa présence.

Si nous arrivons à penser au divin à chaque instant, nous accédons à la réalité de la vie, c’est à dire que nous comprenons son côté sacré, magique, parfait, absolu.

Quelle que soit l’orientation de notre vibration, de notre choix de pensée, quelle que soit notre direction, notre conscience va faire apparaitre et va réaliser le sujet en question (aussi appelé loi d’attraction).

Si nous pensons à bouddha, la présence de bouddha apparait.

Compréhension 3 : dire et écrire ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.

Plus je dis qui je suis, ce que je suis et ce que je ne suis pas, d’un point de vue personnel et professionnel, plus j’attire à moi ceux qui m’aiment et qui vibrent à la même fréquence.

Ceux qui font le jeu du personnage, qui ne disent pas la vérité, qui ne sont pas transparents sont dans la manipulation et l’illusion. Ils perdent du temps et vont dans le mur jusqu’à ce qu’ils comprennent. C’est très clair depuis que je suis entouré de personnes de la liste A.

Plus nous sommes naturels et honnêtes, plus nous avons dissout l’ego, plus nous avons la possibilité d’avoir des relations vraies, plus nous sommes dans le réel. En changeant ce que nous sommes, l’univers se reconfigure et s’adapte. Certaines personnes s’en vont, d’autres arrivent.

Certaines choses s’incarnent tandis que d’autres se désincarnent. Il n’y a pas à avoir peur puisque tout est le jeu de la shakti, du divin.

Alors apparait la foi en Dieu qui de toute façon fait au mieux pour lui-même, c’est à dire pour nous, puisque Dieu, c’est nous !

Lorsque nous n’existons plus en tant qu’humain, le divin peut à travers nous se vivre.

Tout devient alors une question de positionnement. Si nous nous positionnons sur ce que nous sommes véritablement, alors tout l’univers se réorganise autour de nous. Se positionner signifie affirmer ce que nous sommes, déclarer notre autorité souveraine rester centrer sur ce qui est juste à chaque instant. Et c’est l’alignement de tous nos nos corps qui permet cet équilibre divin.

Compréhension 4 : tout l’univers est à nos ordres.

(confirmé par le livre vacuité de Christophe Allain : dans le chapitre “intégration de l’humain”)

Lorsque nous voulons marcher, nous émettons l’intention de marcher, puis notre corps et notamment nos jambes se mettent à marcher. Nous pouvons courir aussi.

A aucun moment, nous nous occupons des détails techniques du type : j’avance la première jambe, puis la deuxième, tout en gardant l’équilibre, etc.

attitude

Eh bien, avec l’univers, c’est pareil : nous choisissons des pensées, nous nous centrons sur un état d’être, un état d’esprit, puis nous projetons littéralement ce que nous sommes dans la soupe cosmique énergétique qu’est l’univers. Ensuite, dans l’invisible puis le visible tout se met en place pour une chose très très importante : la création

Car oui, c’est pour créer que nous sommes venus nous incarner. (cf. Samadhi 6 )

Nous sommes des dieux créateurs, et chacun d’entre nous, sans parfois s’en rendre compte est juste en train de créer : sa vie.

Nous sommes tous les personnages de la comédie humaine, brillamment introduite par Balzac, mais écrite et inventée par Dieu lui-même, allant jusqu’à s’incarner dans chacun de ses personnages, créant des mondes, puis des mondes de mondes.

“Multidimensionnel, l’aspect holographique de l’univers est par nature insaisissable et il faut s’éveiller, toujours un peu plus pour comprendre, en s’illuminant d’avantage, en diminuant l’ignorance, racine de toutes les souffrances.”

Kunzang mars 2014

Et plus nous faisons reculer l’ignorance, plus nous comprenons la beauté de nos mondes, de nos créations. Et si je vous disais que tout ce que vous voyez dans les films existe véritablement, qu’ils ne sont que des fenêtres ouvertes sur des univers aussi réels que le monde dans lequel nous croyons exister ? (Cf Samadhi)

Le monde et nos corps sont des outils nous permettant de nous expérimenter : poème imagine du 14 avril 2011

Bien sûr, pour que les personnages puissent vivre des aventures, toutes leurs peurs, tous leurs espoirs, tout ce qu’ils sont se projettent littéralement partout : sur les autres personnages, sur le monde lui-même.

Ainsi toutes leurs croyances s’incarnent et se transforment en “réalité”, en permanence. Ils génèrent leur réalité sans le savoir.

A chaque compréhension, à chaque croyance éliminée, tout l’univers se réorganise : nous voyons les choses différemment et automatiquement, de nouvelles portes s’ouvrent, de nouveaux horizons s’ouvrent à nous, des limites disparaissent. A l’inverse, quand une peur grandit, la prison nous enferme un peu plus.

Non, nous ne sommes pas des êtres humain, nous sommes des êtres divins !

Réveillez-vous ! Éveillons nous !

Toutes nos peurs, toutes nos intentions s’incarnent dans la matière, et seuls ceux qui ont réalisé le divin en sont totalement libérés (des peurs). Car c’est en réalisant profondément ce que nous sommes, la conscience infinie que nous comprenons que tout est nous, que tout est là pour nous, qu’il n’y a que l’illusion de la séparation. Mais l’âme incarnée dans l’humain peut-elle avoir la foi et s’en rendre entièrement à l’univers ? L’égo peut-il se dissoudre afin de laisser place au cœur ?

La liberté du divin est si grande qu’il peut s’oublier, jouir de la matière, vivre des vies d’hommes, et puis tout recommencer, encore et encore, pour plusieurs éternités…

L’homme a oublié qui il était, pourquoi il est venu sur terre, s’est enfermé dans des personnages pour mieux les jouer, c’est ce que nous apprend le Samadhi 1. Car quand l’homme se rappelle de qui il est véritablement, il comprend qu’il n’a jamais été un homme, mais qu’il est en réalité,  l’incarnation d’un être divin …

Compréhension 5 : l’acceptation de ce qui est

Après la réalisation que tout est soi, qu’il n’y a que soit partout, que tout est une projection de nous, alors il n’y a plus rien, plus personne pour ne pas “accepter” les situations, les réalités. Alors, dans un “surrender” divin et éternel, il n’y a plus qu’à être, tout simplement.

Cela peut sembler abstrait, c’est une réalisation très pratique puisqu’il n’y a plus qu’à accueillir la vie que nous sommes. Cela n’empêche pas d’agir, ni même d’être, c’est juste que le divin à travers nous se vit, et qu’il n’y a plus personne.

Et c’est bien la non acceptation des situations qui crée les souffrances : la dissolution du personnage a pour conséquence que plus personne n’est là pour souffrir, c’est la libération finale. En même temps, il n’y a plus personne à libérer, il ne reste plus que la libération, la liberté elle-même, la vie, la présence, qui ne sait que “être”.

La notion même de “problème” disparait puisqu’il n’y a plus de sujet pouvant avoir de “problèmes”. C’est magnifique !

C’est très paradoxal car à la fois, il s’agit de disparaitre et il n’y a plus personne qui prend personnellement les évènements, il n’y a plus d’attachement, il y a un “surrender” total à la vie, et en même temps, dans la présence, le divin qui à travers nous se vit agit dans l’action juste, dans la vérité de l’action. Quelque chose de plus grand que l’humain s’incarne et se matérialise dans des actions beaucoup plus justes avec un besoin constant de perfection.

Voila, ce petit guide est terminé;

Bonne route à tous, n’oubliez pas que c’est vous seul qui construisez votre vie, que vous pouvez changer de vie en vous changeant intérieurement, que vous êtes libre, que tous vos rêves peuvent se réaliser, que vous êtes divin et si quelqu’un vous dit le contraire, envoyez lui ce texte !

I love you,

Kunzang Gyamtso, Mai 2014

T comme Torches

Nous sommes comme des torches qui éclairent les objets, les lieux, les consciences.

torches dans la nuit

Imaginons que je sois une torche : ma lumière éclaire de couleur jaune, puis imaginons que vous éclairiez de couleur bleu.

Chaque objet que nous éclairons est teinté de notre propre lumière, d’un filtre. C’est ce filtre qui, en fonction de notre état d’esprit, de notre état mental et émotionnel va “colorer” nos perceptions.

Si je dirige ma torche, ma conscience sur un objet, je vais le voir en jaune,et vous allez le voir en bleu, mais l’objet lui n’a pas changé, il est ce qu’il est et c’est notre perception qui donne l’impression qu’il est jaune ou bleu.

Mais lorsque nous communiquons ensemble, si je suis proche de vous, je vais pouvoir voir l’objet en bleu, de votre point de vue. Je vais même pouvoir le voir en vert, mélange de bleu et de jaune. Si nous sommes une centaine de torches et que chaque torche regarde l’objet avec une couleur, si nous communiquons tous ensemble et si nous le regardons ensemble, alors nous verrons l’objet tel qu’il est : avec de la lumière blanche.

La lumière blanche étant la somme de toutes les couleurs.

Si une personne est plutôt à dominante “cerveau droit“, l’objet va être vu avec cette perspective. Si une autre personne est à dominante “cerveau gauche”, l’objet, ou le concept, l’idée va être perçue différemment. Ainsi l’association de deux personnes avec deux perspectives différentes ou opposées permet d’approcher la réalité de plus près.

Si une équipe n’est constituée que de “cerveau droit”, il y aura une cohésion mais toute une partie de la réalité passera inaperçue.

Bien sûr nous sommes tous un mélange de “cerveau droit” et de “cerveau gauche”, mais l’équilibre est différent en chacun de nous la plupart du temps.

Dans notre allégorie, c’est comme si le cerveau gauche était une torche de couleur jaune et le cerveau droit une torche de couleur bleu, seules les combinaisons permettent de percevoir un champ plus large.

L’égo, dans cette allégorie joue le rôle de poussière sur la lampe de la torche : il transforme et diminue la visibilité. Plus une personne a un égo développé, c’est à dire des conditionnements, des traumas, plus elle possède une perception déformée de la réalité. L’éveil est le processus spirituel permettant de dissoudre la poussière, de dissoudre les traumas et les conditionnements.

L’amour est notre capacité à comprendre que l’autre “est” littéralement “nous”. Lorsque nous aimons, nous pouvons alors accéder et voir la lumière de l’autre torche. Même si les idées et la perception de l’autre est très différente de la nôtre, nous savons que sa perception est juste dans son univers relatif. Nous avons chacun une perception de la réalité, et la sommes de nos perceptions est ce qui se rapproche le plus de la “réalité universelle”. Considérons qu’il y a 7 milliards de vérités, 7 milliards de points de vue et qu’ils sont tous justes et vrais.

Au lieu d’accepter l’illusion de la séparation, l’illusion que les autres existent, acceptons et aimons les autres nous-mêmes qui voient les choses différemment. Ils ont par nature “raison” depuis leur perspective. Chacun perçoit la réalité avec son propre point de vue, c’est normal et il ne peut en être autrement.

Plus nous aimons quelqu’un, plus nous faisons un avec lui ou elle, et plus nous comprenons qu’il ou elle “est” littéralement “nous.

Alors son point de vue est respecté, alors c’est la paix qui émane, même si au départ les points de vue peuvent sembler différents.

Vola pourquoi le travail collaboratif et la co-création est l’avenir de l’humanité. Un assemblage de lumières différente, de personnes sans égos, avec des visions très complémentaires constituerons les équipes les plus fortes pour voir la réalité.

Et l’accès à la réalité est ce qui permet le succès d’un projet.

Pour cette raison il est plus profitable pour tous de s’éveiller, de dissoudre les égos, de travailler avec des personnes qui semblent très différentes. En réalité, gardons à l’esprit que nous ne sommes qu’une même conscience incarnée dans 7 milliards de corps et que ces 7 milliards de perspectives font notre richesse.

La richesse n’est pas quand tout le monde regarde dans la même direction. La richesse est quand chacun regarde dans une direction différente tout en comprenant que chaque direction est juste et vraie.

Citations :

L’acceptation du point de vue de l’autre amène vers la paix, le rejet du point de vue de l’autre amène vers le conflit et la guerre.

Kunzang Août 2013

La diversité des points de vue amène richesse et abondance, la pensée unique amène pauvreté et désertification.

Kunzang Août 2013

Regroupons nous, communiquons et travaillons ensemble. Acceptons tous les points de vue, comprenons-les. Écoutons la nature et prenons exemple sur elle. Existe-t-il une seule espèce de plantes, une seule espèce d’arbres ? Existe-t-il une seule espèce de poissons, d’oiseaux ? Existe-t-il une seule sorte de pierres ? Existe-t-il une seule sorte d’être humain ? Existe-t-il une seule religion ?

Ce que nous sommes, Dieu incarné dans un corps humain est la vie, l’amour, la lumière et ne peut se satisfaire de l’homogénéisation.

A la fois nous sommes une seule conscience, et à la fois, nous exprimons 7 milliards de vérités. C’est la beauté de la vie, de ce que nous sommes. Il n’y a pas deux êtres humain identique sur toute la planète.

C’est cette diversité d’opinions, de culture, de civilisation, d’espèces, d’amour qui a permis à la vie de se développer, en testant sans cesse toutes les combinaisons depuis le début des temps et jusqu’à la fin des temps…

Kunzang  Août 2013

Qui suis-je ? Question / Réponse

La question : qui suis-je ?

plusieurs chemins, plusieurs voies

Souvent, la difficulté n’est pas de trouver la réponse mais de se poser la bonne question, celle qui est la plus pertinente.

Comme la réponse ne peut exister sans la question, comme la réponse fait toujours “un” avec la question, de la même façon que l’observateur et l’observé ne font qu’un, si nous trouvons la bonne question, nous trouvons automatiquement la bonne réponse.

Il est beaucoup plus important de trouver la bonne question que de trouver la bonne réponse à une mauvaise question.

A la question : qui suis-je ?

Si l’on creuse un peu, la véritable question ne serait-elle pas : pourquoi ai-je oublié qui je suis ?

Si nous avons compris que notre âme, que notre essence est immortelle et infinie, alors c’est la bonne question.

Pourquoi n’ai-je pas accès à cette information ?

Réponse : parce que l’incarnation dans l’être humain ne nous permet pas d’appréhender la totalité de la réalité. En effet, c’est en général à travers un chemin spirituel qu’on finit par se rendre compte que nous sommes Dieu, incarné dans 7 milliards d’êtres humains, de plantes, d’animaux, de minéraux, de planètes, de galaxies. Mais la conscience ne peut appréhender que l’aspect “local” de sa présence. Nous ne sommes conscient que de l’endroit où nous sommes, sinon nous ne pourrions pas traiter ces trillons d’informations. D’où finalement l’intérêt de la vie, de l’incarnation : expérimenter et traiter localement, être présent dans le moment et l’espace où nous sommes actuellement.

L’incarnation peut se résumer à un point de vue : le point de vue, la perspective de celui qui expérimente dans ce corps d’être humain par exemple.

Nous sommes tous la conscience infinie, mais par un processus de dualité, de séparation, nous nous incarnons dans un corps physique puis nous “oublions” momentanément qui nous sommes.

Bien sûr, une expérience de mort imminente, une méditation très profonde, des expériences shamaniques, un éveil de Kundalini, permettent d’accéder momentanément à la réalité de ce que nous sommes. Mais une partie de notre cerveau a pour fonction de séparer, trier, analyser, comprendre, de façon à agir localement.

Si nous restons en permanence dans des états modifiés de conscience où nous sommes l’amour infini, Dieu, la conscience infinie, l’espace, la présence, la paix, la lumière, il n’y a plus rien à faire et plus rien ne se passe.

C’est une idée bien sûr, mais ce n’est pas pour cette raison que nous nous sommes incarnés. Nous sommes incarnés pour vivre, pour participer pleinement à l’univers, c’est à dire pour co-créer.

Cultiver les émotions positives

Notre essence même est création. Nous sommes incarnés pour vivre pleinement ce que nous sommes : un dieu incarné qui crée un monde à son image.

Si l’on regarde attentivement notre environnement, nous pouvons constater que tout ce qui nous arrive est le reflet de nos comportements, de notre état d’esprit.

Nous avons entièrement le choix de sourire ou de faire la tête aux personnes que nous croisons. Nous avons à chaque instant le choix de nous unir ou de nous séparer.

La façon dont résonne le monde est directement en relation avec ce que nous exprimons, ce que nous sommes.

Ce mécanisme fait partie des propriétés intrinsèques de l’univers : nous sommes dans un système vivant qui s’auto-adapte en permanence. Et plus nous comprenons qui nous sommes, plus nous sortons des conditionnements, plus nous pouvons vibrer dans une fréquence d’amour, d’amitiés, et plus nous pouvons co-créer.

Plus nous restons dans l’identification à l’ego, plus nous avons l’illusion de nous séparer des autres.

Alors, à la question “pourquoi ai-je oublié qui je suis ?”, peut être pouvons-nous répondre par : “pour redécouvrir et revivre ce que nous sommes”. La vie est un chemin d’éveil, que nous en soyons conscient ou pas.

Kunzang aout 2013

“J’ai oublié qui je suis pour me redécouvrir”

Kunzang août 2013

Témoignage de Samadhi – 2ème partie

24H après la cérémonie.

Conséquences au bout de 24 heures : augmentation importante des capacités mentales et créatrices : la montée en samadhi permet de devenir plus “intelligent” car nous recevons dix fois plus d’idées et nous devenons “supra intelligent” dans plusieurs domaines : mental, créatif, ressenti, émotionnel.

La différence avec les premières initiations : une régulation et un équilibre cerveau gauche / cerveau droit parfait. Les deux narines restent très ouvertes tout le temps. (Ida et Pingala, ouverture de Sushumna) C’est comme si notre processeur allait beaucoup plus vite, et que nous avions reçu une nouvelle version de notre système d’exploitation. Bien sur, il faut un peu de temps pour s’adapter car il s’agit d’une mise à jour importante.

Nouvelle configuration du cerveauLe “hardware” qui est en quelque sorte notre corps a besoin de faire plus de sport, c’est une des premières révélations.

Il est clair que le personnage a été transformé par l’expérience. Comme si la conscience avait mis à jour le personnage. Comme pour une mise à jour informatique, des nouvelles capacités apparaissent. La connexion à la source est plus forte. A chaque personne que je rencontre, je vois quelque chose de plus que je ne voyais pas. Je reçois directement par le canal intuitif des messages sur ce qui est bien pour chaque personne, ce que je suis en train de faire avec elles dans une vie parallèle qui peut avoir lieu dans n’importe quel espace-temps.

Le passé, le présent et le futur se jouant dans l’unique instant, je peux sentir les relations que j’ai avec les autres êtres. Tout est accentué, contrasté, les caractères de chaque personnage sont ressentis X10 : leur humour, leur amour, leur ego, leurs intentions !

Je vois leurs programmations mentales, leur conditionnements.

Je suis resté en Samadhi, sans l’extase, mais avec une grande partie de toutes les compréhensions. La porte est restée ouverte, comme pour Shaktipat !

Tous les films au cinéma, toutes les histoires sont des réceptions d’univers qui existent réellement quelque part. Le seigneur des anneaux, star wars, star gate, superman, thor, heroes. Tous ces films sont là pour préparer l’humanité à ce qui va se passer…

bientôt.

La perspective divine change la vie car la compréhension de ce qui se passe est élargie. Même après l’expérience de Samadhi, quand on revient dans cette dimension, on garde ce qu’on a compris. Ce qui a été compris, a été compris pour l’éternité. Cependant, il faut des bases spirituelles, il faut avoir une conscience déjà éveillée avant de pouvoir recevoir et de pouvoir intégrer. Sans une préparation, sans une conscience spirituelle, sans les mots, sans les prises de consciences préparatoires, aucune intégration n’est possible.

Il est tout à fait possible d’être déstabilisé par une telle expérience. En même temps, il me semble que l’expérience ne peut arriver si nous ne sommes pas prêts. Dieu prend soin de lui.

Les croyances et les conditionnements sont comme des freins à la réception de la réalité. Ils distordent la réalité en permanence. On peut dire qu’une expérience de Samadhi permet de comprendre la réalité telle qu’elle est, de voir les conditionnements et les projections des personnages.

Chaque personnage ne peut voir le monde que depuis son prisme et les filtres de son ego conditionné. Chaque acte de la vie est interprété positivement ou négativement en fonction du vécu, des conditionnements.

Il est quasiment impossible pour deux personnes de se comprendre réellement puisque chacun va se projeter sur l’autre. Tant qu’il existe un personnage, c’est le personnage qui se projette et non pas la conscience. Sous le personnage se trouve la conscience.

J’ai l’impression, en regardant les caractères des personnes de voir des vaisseaux spatiaux de guerre quand je vois des personnes guerrières, c’est symbolique. Elles sont là pour défendre ou attaquer. Chacun à sa fonction dans une équipe. Chaque personnalité est l’expression d’un univers tout entier !

L’ouverture du champ de conscience qui a été réalisée reste présent après le samadhi car il y a eu une intégration. Grâce à ce qui a été expérimenté plus tôt, grâce à la mémoire du passé, grâce à ce qui a été déjà expérimentée et compris. D’où l’importance du chemin spirituel, des satsangs, des méditations, du yoga, du sport.

Je suis devenu beaucoup plus sensible aux signes que nous envoi l’univers : aucune coïncidence ne peut plus être laissée au hasard. D’une certaine façon, la vie est une somme de synchronicités. Rien ne peut arriver au hasard, aucune rencontre, aucun évènement. Tout est le jeu de la conscience et de la loi de cause à effet et tout ce qui arrive est comme un test : voici un nouvel évènement, comment réagis-tu ?

Ma sensibilité aux produits chimiques, nourriture, odeur, tout a été démultiplié considérablement.

Accentuation de la conscience dans tous les domaines : aspects visuels : j’ai besoin que tout soit en harmonie, je bouge et modifie la décoration des meubles au bureau. Je vois ce que je ne voyais pas avant : artistique. Tout doit être parfait et harmonieux tout le temps.

C’est comme si la conscience “vivait” de façon plus intense en moi. Le Dieu que je suis recherche l’organisation, l’ordre, la beauté, la perfection. Le niveau d’exigence a augmentée considérablement, il y a une envie de tout faire mieux, avec fun, en rigolant. Je n’arrête pas de rigoler toute la journée avec les autres… je ressens aussi beaucoup plus les autres, je ressens leur émotions 10 fois plus. La sensibilité du cerveau droit et gauche a été très impactée.

J’ai un impact beaucoup plus important sur mon entourage, j’irradie de Shakti, je diffuse de l’euphorie. Personne ne peut le voir, juste le ressentir…

Nous humains, sommes l’interface entre la source, le divin et la matière, cette dimension terrestre.

Nous avons un rôle à jouer en tant qu’espèce : non pas détruire la planète mais nous éveiller et vivre en harmonie avec les autres espèces.

Nous recevons ce qu’il y a à faire, puis nous le faisons, pour le fun. Quand nous créons et que nous réalisons, un morceau de musique, un tableau, un projet, un outil, nous sommes récompensés par l’univers, surtout si nous pouvons le partager avec d’autres : invention de l’automobile, de l’avion, des ordinateurs, de l’ipad, ipod, etc.

“Voir l’invisible, c’est comprendre la volonté de Dieu” Kunzang août 2013

“Amour et joie infinie pour ceux qui créent” Kunzang août 2013

Autre prise de conscience : une nouvelle science va être inventée : la science du fonctionnement du cerveau : les neuroscience actuelles mais x 1000

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

Conséquence : la chimie du cerveau va permette de créer des surhommes.

Imaginons 100 chercheurs sous Samadhi en train d’inventer !!!!

Les infos contenues dans ce texte et les autres samadhis peuvent faire faire un bond énorme dans la compréhension du cerveau et du Dieu incarné dans l’homme. Il y a des connaissances à publier, des études à financer, des connaissances à partager.

Avec ces technologies, une industrie plus grande qu’internet verra le jour et permettra de guérir toutes les maladies.

Des médecins sous Samadhi guériront comme le faisait les shamans d’antan.

Des artistes et des chercheurs travailleront sous Samadhi.

Une révolution est en route, pouvons nous le ressentir ?

L’humanité va faire un bond en avant qu’elle ne soupçonne même pas !!! Nous n’avons jamais soupçonné que nous irions sur la lune, que nous inventerions l’informatique, Internet…

Deux jours après, les effets sont persistants si je médite un peu chaque jour.

Je vois le futur qui n’est que le fruit de la loi de cause à effet de façon multi dimensionnelle.

Il n’y a plus de différence entre la réalité et la fiction : la seule différence est que la “fiction” se déroule dans un autre espace-temps.

Il n’y a plus que des perspectives, des dimensions, l’univers, moi, vous. I am. We are.

Il est possible quand plusieurs personnes sont en Samadhi de les connecter, par le toucher et l’intention par exemple afin de démultiplier leur pouvoir et leur force.

Un groupe de personnes sous Samadhi peut créer des miracles s’ils apprennent à s’unir et à focaliser leur intention. 4 personnes sous Samadhi peuvent avoir plus d’impact sur la planète que 7 milliards de personnages dans l’illusion.

Idées :

Faire des cercles, chanter des mantras, enregistrer les chants sous Samadhi.

Contacter d’autres plans, d’autres dimensions, augmenter notre capacité de voyager, de partager encore plus.

Créer des portes des étoiles, bénir des objets, changer le temps.

Les effets sont exponentiels. A 30 personnes, la planète change littéralement sous l’influence de la conscience concentrée et dirigée.

Le lieu aussi compte beaucoup : Ibiza, Sedona, Himalaya, montagnes, Pérou, pyramide d’Égypte etc.

Les conséquences du Samadhi sont une augmentation permanente du degré de conscience. Non seulement ce que nous sommes devient plus vivant, mais aussi, nos potentialités sont démultipliés de façon considérable.

L’éveil nous permet de nous rappeler :

“Pourquoi ais-je oublié ce que je suis ?”

Kunzang, Septembre 2013

M comme Mémoire, H comme hyperrationnalité

Résumé : ce que nous sommes, ce que nous ne sommes pas, la mémoire.

Nous avons vu dans les textes précédents que nous étions comme des “antennes sur pattes”, c’est à dire que notre conscience n’était pas localisée dans notre corps physique. Aussi, nous avons vu que nous n’étions pas nos pensées. Une dés-identification aux pensées permet de sortir du personnage et de se libérer, c’est ce que certains appel le premier stade de “l’éveil“.

L'important est d'être soi-même

De la même façon, la localisation de la mémoire ne se situe pas non plus dans le cerveau et c’est en sortant du personnage que de nouvelles perspectives apparaissent. En effet, en sortant du personnage, en s’éveillant, l’ancienne perspective du personnage disparait quand celui ci se dissout.

Où se situe la mémoire n’est d’ailleurs pas très important, le plus important est plutôt “quand” elle se situe.

En effet, même si notre conscience est éternelle et ne meurt pas, le “personnage” que nous avons cru être, avec son nom, prénom, adresse, profession et toutes ses caractéristiques évolue au grès des conditionnements et des expériences. Il change sans cesse car il n’existe pas vraiment, il est “virtuel”.

Ce que nous sommes, la conscience cosmique, l’être divin, est absolu, omniscient, omniprésent. Ce qui évolue, tout au long de notre vie, c’est le relatif : notre perception, notre perspective, notre degré de conscience.

Nous sommes le résultat de nos prises de conscience, ce qui change, c’est notre capacité à nous rappeler, à accéder à la mémoire.

Finalement, l’éveil n’est-il pas juste un rappel de ce que nous sommes, un rappel de ce que nous avons été ?

“Je me suis rappelé que j’étais toi, je t’aime” Kunzang septembre 2013

Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons que nous sommes la conscience cosmique, que nous vivons 7 milliards de vie actuellement ? Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons de nos vies parallèles, lorsque nous nous rappelons que nous sommes tous Dieu, la conscience infinie ?

“Je suis la mémoire oubliée de ce que j’étais, de ce que je suis, de ce que je serai” Kunzang sept 2013

Une définition de notre mémoire est “l’accès à l’information que nous avons vécu”. Mais la mémoire n’est-elle pas surtout un pointeur connecté sur un “espace/temps” ? Et si se rappeler ne signifiait pas “lire” une copie de ce qui s’est passé mais y “retourner”, y accéder réellement  ? Pourquoi l’univers dépenserait-il de l’énergie à “copier” l’information alors qu’il suffit de créer un pointeur pour y retourner ?

Comme nous sommes la conscience infinie, et comme nous avons déjà tout expérimenté et tout vécu, nous pouvons comprendre que se rappeler signifie “remettre en conscience” maintenant. Le sens étymologique du mot “RAPPEL” signifie bien ce qu’il veut dire : ramener ici et maintenant.

Nous n’apprenons pas, nous nous rappelons, nous ne lisons pas, nous nous rappelons d’un livre que nous avons écrit, dans une autre vie, dans un autre espace/ temps. Comme nous sommes une seule conscience incarnée dans 7 milliards de personnages, c’est nous qui avons écrit tous les livres, dans toutes les époques.

La vibration, le frisson que nous pouvons ressentir, lors d’une lecture, lors d’un film, c’est cette prise de conscience, c’est ce rappel. Oui, c’est vous qui avez écrit ce texte ! Pouvez vous vous en rappeler ?

Oui, en le lisant !

Je suis vous et vous êtes moi, n’est ce pas merveilleux ? Je suis l’observateur et l’observée, l’auteur et le lecteur de ce texte. Oui, je suis fou, et vous aussi, car vous êtes moi, n’est ce pas drôle ?

Nous ne sommes pas une mémoire, nous ne sommes pas un personnage, nous sommes la conscience qui peut accéder à la mémoire. La mémoire étant une information dans un espace temps.

Nous ne sommes pas le personnage du film de notre vie terrestre, nous sommes la conscience qui vit en utilisant ce personnage ainsi que tous les autres.

Le film de notre vie

Le film de notre vie

Comme nous sommes soumis à la loi de cause à effet (le karma), la mémoire évolue dans le temps. Il y a une mémoire à chaque instant : à 1 an, 10 ans, 20 ans, 30 ans, etc.

Mais comme ce que nous sommes est toujours la même chose durant toutes ces années, dans cette vie, et aussi dans nos vies parallèles, ce qui compte est véritablement le “quand”.

Finalement nous pouvons dire que la mémoire est un accès à une information située dans un espace / temps.

La véritable question est : à quoi avons-nous accès “maintenant”. Quelles expériences pouvons-nous faire pour enrichir notre mémoire afin de décider en conscience ? Pouvons-nous avoir accès à des mémoires concernant des expériences que nous n’avons pas vécue dans cette vie, dans ce temps ? Si oui comment ?

Pourquoi Jules Verne, Léonard de Vinci et d’autres avaient t-ils accès à des mémoires étendues ?

Et la plus grande des questions : “pourquoi ai-je oublier qui je suis ?“.

Comment puis-je me rappeler ce que je suis ? Car il est évident qu’au fond de moi, “je sais” ce que je suis. Je n’ai peut être pas accès à toute la mémoire de l’univers mais l’éveil spirituel, progressivement me permet d’accéder à plus de mémoire. Mon âme “sait” ce que je suis et si je me connecte à elle, si je vais au fond de mon être, je m’éveil, je me rappel.

Pourquoi l’expérience des méditations et des samadhis nous permet-elle d’augmenter notre conscience ainsi que l’accès à la mémoire de l’univers, nous donnant ainsi accès à une créativité infinie, à des connaissances infinies ?

La mémoire n’est-elle pas juste de l’information partagée ? Pourquoi certaines consciences arrivent-elles à accéder à “plus” de mémoire ? Quel est le lien entre les idées que nous recevons et la mémoire à laquelle nous avons accès ? Pourquoi les médiums, les yogis peuvent-ils accéder à ces dimensions ?

Si nous pouvons comprendre que la conscience que nous sommes est multi-dimensionnelle, c’est à dire qu’elle ne vit pas uniquement dans la vie ordinaire mais qu’elle continue aussi à vivre dans l’invisible, pendant nos rêves ainsi qu’avant et après notre naissance dans cette expérience de vie, alors nous avons un début de théorie permettant d’expliquer un nombre important de phénomènes qui pouvaient sembler étranges : réincarnation, vie antérieure, rêve prémonitoire, médiumnité, sortie de corps, rêves lucides, accès à des réalités non ordinaires, explication de l’autisme, expérience de mort imminente, état de conscience modifiée, éveil de Kundalini, etc.

Grâce à Internet, des millions de témoignages commencent à se relier et il sera de plus en plus difficile pour l’humanité de les ignorer.

Le moment est venu d’avoir une attitude véritablement scientifique, c’est à dire de prendre en compte toutes les expériences, et surtout celles qui n’ont pas encore trouvé d’explication.

L’histoire de la science et l’histoire de l’humanité à démontré qu’une science supérieure arrivait toujours à expliquer l’invisible, l’inexplicable. Nous sommes en 2013, pouvons nous imaginer l’état de la science en 2500 ?

Et de tout temps, des freins, des conditionnements, des attitudes non rationnelles et non scientifiques ont toujours voulu écarter des faits, des expériences dérangeantes pour des raisons dogmatiques ou égotiques.

Je propose un nouveau mot : l’hyperrationnalité, c’est à dire accepter et comprendre qu’il est impossible de tout savoir à un instant T en tant qu’humain et que pour cette raison, il est rationnel et logique d’accepter que des lois de l’univers, des fonctionnements, nous échappent et restent à découvrir. L’hyperrationnalité, c’est accepter ce qui existe au delà du rationnel. Le rationnel n’étant qu’une représentation mentale, du cerveau gauche d’une partie de la réalité. L’hypperrationnalité est l’idée qu’il existe une rationalité plus grande, irrationnelle, non duelle, non encore découverte mais réel.

Comprenons qu’il est très dommageable pour l’humanité de rejeter ce qu’elle ne comprend pas encore.

L’essence même de la science est basée sur la curiosité et sur l’envie de comprendre comment fonctionne l’univers. C’est uniquement sans dogme ni préjugé qu’un véritable scientifique peut avancer. Mais tous les scientifiques sont-ils suffisamment éveillés pour dissoudre leur égo et leurs conditionnements avant toute conclusion ?

Pourquoi ai-je oublié qui je suis ?

Kunzang Août – Septembre 2013

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation “classique”, après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que “quelque chose” se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose “allait” se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le “chaud froid” simultané dans mon corps. Je dis bien “mon corps” avait chaud ou froid et non pas “j’avais” chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée “je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid”. Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus “intelligents”, non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

“Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux”, ce que je veux, c’est l’éveil !

“Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel”.

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste “moi”. Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, “la molécule de la conscience”, et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de “libérer” mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, “tiens, cri dans un coussin !”

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient “ce rire est un mode de défense”, je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit “nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade”

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein “les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers” !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement “nous”. Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de “laughing bouddha” et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je “suis” bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la “couronne des rois” est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, “make it fun” !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. “Make it fun” !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, “Make it drama” !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : “pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ?”

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013

S comme Shaktipat, I comme initiation

Souvent, les voies d’éveil sont ponctués d’initiations : que ce soit la voie indouiste, la voie chamanique, la voie chrétienne, la voie musulmane, la voie du judaïsme, les initiations sont des étapes permettant d’ouvrir des portes, d’effectuer des prises de conscience.

Témoignage d'une initiation

Dans la voie spirituelle Indouiste, l’initiation Shaktipat est une initiation importante : elle initie le chemin spirituel. Consistant en une ouverture du chakra du cœur, cette initiation permet à l’étudiant d’accéder momentanément à des états de conscience étendue. Rencontre mystique avec le divin, cette initiation génère, si nous sommes prêt, des conséquences importantes car elle amène à des prises de conscience.

Comme pour toute nouvelle prise de conscience, cette initiation reconfigure la psyché humaine.

Le cerveau émotionnel s’harmonise avec les autres cerveaux : cerveau reptilien et cortex pré-frontal.

Après l’initiation, une montée du degré de conscience s’effectue. Si elle est suivi de pratique de méditation régulière, de yoga, le cerveau devient de plus en plus puissant. Par exemple dans de nombreux livres concernant l’éveil de la Kundalini, il est très bien expliqué : après Shaktipat, nous devenons un meilleur scientifique, un meilleur sportif, un meilleur musicien, un meilleur poète, un meilleur business man, etc.

Ce que Gopi krisha a expérimenté et compris ainsi que beaucoup d’autres comme par exemple Erik Hoffman avec new brain new world, c’est que ces modifications cérébrales montrent l’émergence d’une nouvelle forme d’humanité : l’homme divin. Après l’homo sapiens, c’est “l’homo divinus” qui progressivement apparait partout sur la planète.

Plus intelligent émotionnellement, plus puissant intellectuellement, l’éveil de notre conscience, quelque soit le processus, nous change : nous ne sommes plus du tout la même personne : l’égo se dissous progressivement.

Nos cerveaux s’harmonisent et nos capacités sont tout simplement décuplées.

Dans le processus d’éveil, nous pouvons dire que la personne se dissout en même temps que les réseaux de neurones se reconfigurent, en même temps que les prises de conscience émergent, en même temps que notre perspective évolue.

Par exemple, j’ai personnellement ressenti une “réorganisation”, un véritable changement de perspective en temps réel dans l’expérience :  “R comme Réveil“.

J’ai pu être le témoin d’une transformation radicale ayant pour conséquence le passage de la perspective individuelle à la perspective divine, d’un “passage” entre la perspective individuelle et la prise en compte de toutes les autres perspectives.

L’éveil en général, quel que soit le chemin, amène vers des prises de consciences, vers une transformation de notre psyché. Conséquence naturelle de ces transformations, notre façon d’être et d’agir change aussi.

En même temps que nos réseaux de neurones se reconfigurent, notre personnalité change et se dissout : c’est comme si nous ne pouvions pas modifier notre réseau de neurones sans modifier notre personnalité.

D’une certaine façon, notre “personnage” est une cartographie, une organisation neuronale : qu’est ce que notre personne si ce n’est une somme de conditionnements, d’habitudes, de croyances, de points de vue.

A un moment, nous comprenons que la fausse personne n’est plus utile, qu’il suffit d’être dans le moment présent et de laisser faire le flux de la vie, de lâcher prise. Plus nous sommes dans le moment, et plus nous prenons du recul sur l’ego qui ne peut vivre que dans le passé ou le futur. Et plus nous dissolvons la personne, plus la partie divine qui est en nous peut commencer à s’exprimer. De plus en plus centré sur l’amour, sur le cœur, sur le partage, sur l’intérêt collectif et non plus sur l’intérêt individuel, le divin qui est en nous ne pense alors plus qu’aux autres car en réalité, il n’y a jamais eu d’autres.

Bien évidemment, ce texte peut paraitre abstrait à ceux qui sont plus “cerveau gauche”, mais il suffit de méditer, d’équilibrer, d’avoir des expériences mystiques, de tomber amoureux,  pour le “ressentir”.

"La musique nous enracine dans ce moment,..." Kundun Fév 2013

“La musique nous enracine dans ce moment,…” Kundun Fév 2013

Le livre d’Adyashanti “La fin de votre monde” explique bien cela car c’est littéralement la fin d’un monde qui permet l’émergence d’un nouveau : nous ne pouvons construire qu’après avoir fait table rase des conditionnements, des anciens systèmes de croyances et de pensées. Les livres de Seth décrivent aussi très bien le sujet.

Ensemble, partageons nos expériences d’éveil, partageons et diffusons le savoir. Car c’est en partageant que d’autres pourront comprendre le processus. En effet, la culture occidentale ne permet pas encore d’aborder facilement les phénomènes d’éveil de la conscience. Culturellement, il n’y a rien en Europe qui nous permette de comprendre ce qu’est une initiation Shaktipat, un éveil de Kundalini, une cérémonie shamanique sacrée, et pourtant, nous en avons bien besoin.

Les hôpitaux psychiatriques sont pleins de personnes ayant vécu un éveil de conscience sans accompagnement, quand allons-nous les aider ?

Les rues sont pleines de psychopathes, de personnes malades ou conditionnées, d’égos qui propagent manipulation, traumas et souffrances. Quand allons nous agir ?

“Les fous ne sont pas ceux qu’on croit, les fous sont ceux qui passent leurs vies à croire qu’ils sont le personnage qui a été construit” Kunzang

“Pouvons nous nous rappeler de ce que nous sommes réellement ?”

Kunzang Septembre 2013

M comme Mental

De par l’illusion d’être un personnage, avec l‘identification à l’égo, nous avons l’impression d’être un individu.

L'important est d'être soi-même

En réalité, il n’y a qu’une seule conscience qui se projette dans 7 milliards d’individus.

Le mental que nous croyons être est en fait une connexion à un mental plus vaste, lui même connecté à des archétypes.

De la même façon que le cerveau droit se connecte à une polarité d’amour infini, le cerveau gauche se connecte au supra mental, c’est à dire à des fonctions cognitives spécifiques.

A la fois nous recevons des pensées, et à la fois, ces pensées sont traitées par le supra mental.

Bien sûr, de par nos conditionnements et nos mémoires, nous pouvons croire que tout ceci se passe dans notre cerveau : mais pas du tout.

Le cerveau est surtout un organe de réception et ses capacités sont très faibles par rapport aux capacités du mental universel, le supra mental.

Certains ont des capacités du cerveau gauche très importantes, en fait ils utilisent des capacités qui les dépassent, ils ont accès naturellement et directement à ces capacités.

Bien sûr certains croient être propriétaires de ces capacités. Tout ceci est logique et compréhensible lorsque l’on s’identifie à l’ego, en réalité il n’en est rien.

C’est la fin de l’identification qui permet de comprendre que nous sommes réellement un, que nous partageons non seulement le cœur et l’amour, mais aussi les capacités intellectuelles du supra mental, qui peut s’apparenter à un supra ordinateur universel.

Le supra mental est comme un ordinateur central, si nous dirigeons notre antenne au bon endroit, et si nous l’agrandissons, nous avons tous accès aux mêmes informations, aux mêmes connaissances. C’est très logique puisqu’il n’y a qu’une seule conscience finalement.

Cela signifie qu’au final, il n’y a qu’un seul amour universel, et qu’un seul grand cerveau que nous appelons supra mental.

Nous sommes un, au delà notre imagination,

Kundun aout 2013

H comme Heureux

Quels sont les chemins de vie possibles ? Peuvent-ils tous nous rendent heureux ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Quels sont les chemins disponibles ?

Nous avons le choix parmi plusieurs chemins, en voici quelques-uns :

La voie du personnage :

C’est la voie qui nous pousse à toujours vouloir plus. Toujours plus de biens matériels, plus d’expériences excitantes et fascinantes, plus de personnes, plus de tout, sans jamais savoir qui nous sommes vraiment et pourquoi nous sommes là.

Cette voie est celle de l’égo centrée sur un personnage imaginaire qui n’existe que dans notre esprit. La preuve, lorsque nous mourrons, il ne reste plus rien. Poussée à l’extrême, cette voie peut mener vers des conflits, des guerres, un partage non équitable et un épuisement des ressources. C’est l’idée du “moi d’abord”.

Ce chemin mène vers un accroissement de l’ego qui s’alimente de ses réussites. Le malheur va en grandissant si un chemin spirituel n’est pas recherché en parallèle.

En effet, la logique de cette voie est d’être de plus en plus dans la peur de perdre et de se méfier des autres. Ces personnes sont plus orientées cerveau gauche. Comme il y a une identification aux pensées et à la personne, il n’y a plus aucun temps disponible pour évoluer. Ces personnes travaillent beaucoup sans jamais prendre le temps de souffler. Le jeu de ce personnage est : “J’existe au détriment des autres”. “Je suis différent des autres et ils me font peur.” “Pour exister, je dois posséder de plus en plus de biens matériels pour remplir mon vide intérieur.”

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à donner, penser aux autres, tomber amoureux, fréquenter des personnes sur un chemin spirituel, rencontrer des cerveaux droit dominant : artistes, créatifs, par exemples.

La voie de la dévotion

Comment utilisons nous notre temps pour aider les autres et faire avancer l’humanité vers un monde meilleur.

Cette voie est tournée vers les autres, vers l’union, l‘amour. L’idée est la co-création et un partage juste de la valeur créée.

Les êtres qui ont conscience d’être sur un chemin spirituel vont naturellement vers cette voie, chacun accomplissant sa tâche, à son niveau.

Ce chemin amène vers la libération, l’illumination puis la réalisation. Ces personnes finissent tôt ou tard par rencontrer Dieu dans leur méditation ou leur expérience. Le développement de la capacité d’aimer, des fonctions du cerveau droit amène vers un éveil progressif.

Tout au long du parcours, on prend conscience grâce à l’amour que les autres sont nous, dans un autre corps, expérimentant une autre expérience de vie.

Poussés à l’extrême, certains peuvent oublier d’être dans l’équilibre et de s’occuper de soi aussi. Car un équilibre est nécessaire si l’on souhaite rester dans le juste. L’aide des autres ne doit pas être une fuite en avant pour oublier ses propres problèmes.

Ces personnes sont plus cerveau droit dominant. Parfois, elles ont des problèmes d’argent car elles n’ont pas encore compris que l’argent était une énergie comme une autre, neutre et très utile. Attention à penser aux autres tout en continuant à penser à soi.

Recommandation pour ceux qui sont sur ce chemin : apprendre à recevoir, penser à soi, rester en contact avec des personnes qui sont plutôt sur l’autre chemin et qui sont cerveau gauche prédominant.

La voie du milieu

Cette voie est la voie du milieu, c’est à dire être sur les deux chemins précédents en même temps.

L’idée est de rester sur un équilibre corps / esprit / mental ainsi qu’un équilibre cerveau gauche / cerveau droit.

Aussi l’idée est d’être dans un équilibre de toutes les polarités : féminin / masculin; intérieur / extérieur; matériel /spirituel, etc.

Proche des idées taoïste, la vie du milieu accepte tout et ne rejette rien. C’est dans l’équilibre, c’est à dire dans le “ni trop, ni trop peu” de chaque chose que nous pouvons “être” de façon équilibré. L’excès ou le manque amène souvent vers la souffrance alors que l’équilibre amène vers la sagesse.

Kundun août 2013

F comme Fréquence Vibratoire

Bien sûr nous ne sommes pas les pensées qui sont reçues par notre cerveau, bien sûr il est possible de sortir de l’illusion et de ne pas s’identifier à elles.

frequences vibratoires

Car oui, nous recevons des pensées, mais non, ce n’est pas forcément nous qui les gênerons.

Mais d’où viennent-elles ?

Et pourquoi certaines nous sont-elles accessible et d’autres pas ? Par quel mécanisme sont-elle filtrées ?

Si nous comprenons que les pensées sont des ondes électromagnétiques qui vibrent, et si nous comprenons aussi que nous recevons ce qui vibrent à notre fréquence, alors nous pouvons imaginer que notre état d’esprit, notre attitude, notre fréquence oriente notre antenne de façon à capter les reflets de nos intentions. Finalement, nous ne pouvons recevoir uniquement ce qui vibre à notre fréquence, ce qui résonne en nous.

Par exemple, un état d’amour et d’union va nous permettre de recevoir des pensées d’amour.

Un état de séparation va nous permettre de recevoir des pensées de séparations, de peur ou de haines.

Si nous avons une conversation avec quelqu’un, ses intentions et son attitude vont générer les pensées correspondantes. Aussi, une expression, par la parole pourra éventuellement s’exprimer .

Il suffit d’écouter les gens parler : les mots utilisés, leur façon d’être, leurs intentions,  leur attitude, tout ceci est l’expression de ce qu’ils sont à l’intérieur.

En fonction du moment, de notre environnement, nous vibrons à une certaine fréquence, résultat de toute nos expériences dans cette vie, incluant nos éventuels traumatismes, souffrances et histoires.

Ce que nous sommes est recouvert d’un filtre, la personne, l’ego que nous avons cru ou que nous croyons être. C’est dans ces circonstances que nous vibrons, que nous rayonnons.

Et plus la personne est dissoute, plus nous pouvons vibrer l’amour, l’union.

Et plus nous nous identifions à la personne, plus nous sommes dans l’illusion.

Étudions et écoutons les pensées que les autres nous transmettent.

Sont-elles des pensées d’union ou de séparation ?

Sont-elles des pensées de jugement ?

Car les pensées que nous recevons sont directement liées à notre taux vibratoire.

Vous souhaitez connaitre quelqu’un ? Écoutez-le!

Citation :

” Aveuglé par son propre amour, il ne voyait plus rien”

La beauté est dans l’œil de celui qui regarde.

L’amour est dans le cœur de celui qui aime.

Les pensées que nous recevons sont le reflet de notre état vibratoire.

Bien sur cet état change constamment. Il y a un mécanisme d’induction qui agit, en fonction des personnes et des lieux qui nous entourent.

Ainsi, par l’effet des neurones miroirs, nous nous synchronisons les uns les autres. Nous nous adaptons littéralement et immédiatement à la situation, à notre environnement.

Mettons-nous dans une situation d’amour, de paix et de joie avec des amis, et constatons le changement de notre taux vibratoire, écoutons les pensées environnantes.

Allons dans un lieu de violence et de peur, constatons notre propre changement.

Entourons nous de personnes positives, exprimant une énergie d’amour et d’abondance. Que se passe-t-il ?

Allons diner avec des maitres accomplis dans les domaines de l’art, des affaires, de la science, de la compassion. Que devenons-nous à leur contact ?

Oui, nous devenons eux, oui, nous vibrons à leur fréquence, oui nous nous mettons à capter les mêmes vibrations, les mêmes pensées.

Pouvons-nous ressentir l’énergie des grands orateurs, des grands leaders ?

Ils nous transportent à leur niveau vibratoire, par leurs textes, par leur voix, par l’expression de tout leur être.

Que ce soit une énergie d’amour, de création, de transformation, nous pouvons instantanément nous aligner sur leur fréquence.

N’est-ce pas magique ?

Regardons, écoutons et lisons les êtres qui sont nos modèles, nous pouvons en trouver en grand nombre, sachons les écouter et vibrons à leur fréquence. Il en existe dans tous les domaines.

Ainsi, en atteignant leurs fréquences, les mêmes pensées nous parviennent.

Bien sûr, les résultats sont plus faciles si nous avons au préalable totalement dissous nos filtres, la personne, l’ego, nos conditionnements.
Car il n’est pas possible de remplir un verre déjà rempli, il nous faut tout d’abord disparaitre et mourir afin de renaitre.

Et c’est finalement notre taux vibratoire qui déterminera les pensées que nous recevrons.

Ainsi, c’est toute notre destinée qui se trouve modifiée par les pensées qu’à chaque instant, nous choisissons.

Ce que nous sommes devenus, l’endroit où nous sommes, les personnes de notre entourage sont le reflet des pensées que nous avons choisis, elles même la conséquence d’une seule et fondamentale chose : notre fréquence vibratoire.

Oui, c’est elle qui va tout déclencher. Cause de tous les effets qui agissent dans notre vie, notre état d’esprit, qui est aussi le résultat de notre niveau de conscience est la cause génératrice de notre univers individuel.

Sachons en avoir conscience dans nos relations avec les autres et avec notre environnement.

En quelques minutes, nous pouvons créer ou détruire des relations, perdre ou gagner des contrats. A chaque instant, nous pouvons créer ou détruire, en fonction de notre vibration.

Entrons dans la présence, et recevez mes vibrations d’amour infini.

Cher lecteur et cher lectrice bien aimé, I love you.

Kundun juin 2013

E comme étiquettes

Le mental est en permanence en train d’étiqueter, de séparer, c’est sa fonction. Nous donnons des étiquettes, nous trouvons des mots à tout. Le cerveau gauche, pour décrire et comprendre l’univers n’a pas d’autre choix que de séparer, d’étiqueter.

E comme Etiquettes

E comme Etiquettes

Dès que l’on entre dans le monde des étiquettes, des mots, on entre dans le jeu de la séparation, du mental, nous entrons alors dans le monde de l‘illusion. Comprenons les étiquettes, les mots, comprenons que c’est le mental qui sépare tout.

Laissons tomber les descriptions et recentrons nous sur les sensations du corps, recentrons nous sur la vérité, sur la réalité.

Notre cerveau gauche étiquette ce qui se passe puis, sans nous laisser le temps de vivre, passe à l’étiquette suivante.

Alors que si nous savons rester dans la présence de l’instant, si nous pouvons tout accepter sans étiqueter, si nous pouvons accueillir, nous pouvons commencer à vivre.

Commençons à enlever les étiquettes et accueillons tout ce que la vie nous propose.

Exemple d’étiquettes : la peur, la violence, le mal, le diable, etc…

Ces étiquettes ne sont que des mouvements de la vie, des étiquettes.

Aucune vague ne peut s’opposer à l’océan. Il n’y a pas de “force du mal”, il n’y a ni diable, ni noirceur. Il n’y a que des polarités : négatives ou positives, créatrices ou destructrices. Tout à sa place dans l’univers, et tout est juste du point de vue de la conscience cosmique.

Certaines vagues se sentent terriblement mal aimées. Elles n’ont juste pas encore réalisées la présence de la source.

La pièce ne peut pas être submergée par le contenu. Nous sommes la pièce, nous sommes l’univers, nous sommes l’espace.

Ce que l’on appel “le mal” est un jugement depuis la perspective relative de l’homme. Du point de vue du divin, il n’y a ni bien ni mal, il y a juste un mouvement, des polarités.

Du point de vue divin, du point de vue de l’absolue, la peur n’existe pas, seul l’amour et l’union existe puisque Dieu est tout. Dieu ne peut avoir peur puisqu’il est tout.

La peur est une idée de l’homme, la peur est une notion de “séparation” du mental. “Je suis séparé de l’autre, donc j’ai peur car je ne le connais pas, je ne le comprends pas.”

L’enfer, la peur, c’est l’illusion du mental que nous pourrions être séparé de Dieu, des autres, de la conscience infinie que nous sommes tous. Or c’est impossible, sauf dans l’illusion du personnage, du mental.

L’étymologie du mot diable latin : diabolus, du grec Διάβολος signifiant « celui qui divise ».

L’enfer n’est pas un endroit mais l’identification erronée à la personne, à l’égo, à l’illusion de la séparation. “Tu n’es pas moi donc j’ai peur et je te déteste”, alors que le paradis et la réalité est “‘Tu es moi, je t’aime, tu es sacré, nous sommes tous Dieu”.

Comment pouvons-nous espérer vivre au paradis sans transmettre cette connaissance élémentaire ?

Il est tant que l’éveil de la conscience soit désormais un objectif international.

La société est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Le monde est le reflet du niveau de conscience de ses habitants.

Un éveil citoyen du monde est urgent.

Venez avec moi dans la réalité ! Je vous amène au paradis, suivez ces lignes, je vous le dis,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous UN,

Nous sommes tous,

UN.

Kundun, le 27 avril 2013

C comme cerveau gauche / cerveau droit

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

“cerveau gauche / cerveau droit” Kundun

La notion de cerveau gauche / cerveau droit est une forme de cartographie permettant de mieux comprendre le fonctionnement de l’homme. C’est une des cartographies parmi d’autres, bien sur, elle n’est ni unique, ni vérité absolue. Il y a d’autres façon de comprendre le cerveau, cependant, pour des raisons éducatives, nous allons utiliser ce concept simplifié :

Lorsque la conscience se réincarne et se projette dans nos corps, chaque matin, nos différents véhicules, nos corps s’activent.

Lorsque la conscience s’active en utilisant nos deux cerveaux, le gauche et le droit, nous nous “réveillons” littéralement.

Chaque matin, nous ouvrons les yeux, puis nous nous réveillons et allons à nos occupations matinales.

Lorsque la conscience s’active, plusieurs mécanismes se mettent en route :

Si l’on garde les yeux fermés le matin, avant de se réveiller, si l’on ne bouge pas, ce sont plutôt les fonctions du cerveau droit qui s’activent. Notre narine gauche est normalement pleinement ouverte et commence à alimenter en prana cet hémisphère. Ensuite, avec l’ouverture des yeux, c’est l’hémisphère gauche qui va commencer à réveiller les fonctions mentales. Tout au long de la journée, nous utilisons nos deux hémisphères, mais pas au même moment, et pas pour les mêmes tâches.

En fonction de nos besoins, nous allons plutôt projeter notre conscience, en liaison avec notre respiration pranique dans l’hémisphère le plus adapté à la situation.

Si nous sommes avec notre amoureux ou amoureuse, nous allons concentrer la conscience dans le cerveau droit : émotion, connexion au divin, intuition, ressenti, sentiment d’union, etc.

Si nous devons faire un travail de comptabilité, nous utiliserons nos capacités du cerveau gauche : mathématique, rationalité, projective.

Avez-vous remarqué qu’en fonction de votre activité, votre respiration s’adapte ?

Respirez-vous par la narine droite ou gauche actuellement ?

Des millénaires d’études et de technologies ont permis de comprendre le système de respiration pranique en Inde appelée “Pranayama”. Fabuleux, cette compréhension permet de mieux comprendre notre propre fonctionnement.

Par exemple, si nous sommes en présence d’une personne majoritairement cerveau gauche, nous ne pourrons pas parler immédiatement de choses qui font appel au cerveau droit.
Il faut laisser aux personnes un certain temps d’adaptation au sujet.

Si nous sommes majoritairement cerveau droit, la plupart des personnes majoritairement cerveau gauche vont avoir du mal à se connecter à nous. Il faut du temps et de la souplesse pour s’adapter.

Parfois, lorsque nous sommes en phase avec quelqu’un, lorsque les deux partent dans le cerveau droit, la communication peut être très profonde. Mais quelques jours plus tard, quand le mental reprend le dessus, toutes les avancées et décisions peuvent être remises en question. L’union, l’amour qui était à l’œuvre n’est plus là.

Pour ces raisons certaines personnes paraissent cyclotomique : parfois nous parlons à leur cerveau gauche, parfois à leur cerveau droit.

Le pranayama permet de réguler grâce à la respiration ces mécanismes, du coup cela nous permet d’être équilibrés et centrés à tout moment. La vie devient plus facile pour nous et notre entourage.

Lors de toute rencontre, essayons de mettre notre conscience dans le cerveau droit, celui qui est relié au cœur.

Le cerveau gauche qui héberge le mental et l’identification à la fausse personne ne doit être qu’au service du cœur, et non pas l’inverse.

Certaines personnes sont dominées par leur cerveau gauche. Calculateurs merveilleux, ils leur manquent cependant la moitié de l’univers, qui plus est le plus heureux.

Trouvons l’équilibre, grâce aux techniques de méditations, de yoga, de respiration.

Équilibrons la conscience lorsqu’elle se projette en nous.

Redevenons un, allons vers la voie du milieu et soyons. (Tao)

Nous sommes comme des voiliers, parfois nous penchons à droite, parfois à gauche, parfois au centre.

L’essentiel se situe dans l’équilibre…

Kundun,le 30 juin 2013

N comme Nde

Si les expériences de NDE (Near Death Experience ou expérience de mort imminente) démontrent que la conscience continue pendant un arrêt du fonctionnement du cerveau, cela démontre aussi que ce que nous sommes, la conscience infinie utilise le cerveau et notre corps physique comme interface avec cette dimension matérielle.

NDE : Expérience de mort imminente

NDE : Expérience de mort imminente

Imaginons un instant que nous soyons une conscience vibrant à une certaine fréquence. Notre conscience est reliée à notre corps physique qui, par l’intermédiaire des sens lui renvoi des informations.
En réalité, comme il n’y a qu’une seule conscience et que nous sommes un, c’est la mémoire de notre corps qui nous donne l’illusion de la personne et qui permet le système d’identification a cette personne.

L’éveil est une dés-identification à la personne.
Les expériences de morts imminentes amènent aux mêmes prises de conscience que les méditations profondes : nous sommes une conscience d‘amour infinie.

Finalement, si on veut être vraiment objectif, personne n’a jamais démontré que la conscience se situait dans le cerveau. Qu’est ce que cela a de si extraordinaire d’accepter que le cerveau est juste un récepteur ?
Pourquoi est ce si dur de faire table rase, de faire comme si nous ne connaissions rien ?

Pouvons nous imaginer qu’il n’y a qu’une seule conscience qui vit a travers de nombreux corps, que ces corps physique possèdent des sens qui ont pour fonction d’agir localement à travers nous ?
C’est comme si nous étions les cellules d’un seul et même organisme, d’une seule et même conscience qui aurait plusieurs corps.
En réalité, cela n’a rien de si extraordinaire d’imaginer que nous sommes littéralement une seule et même conscience.

Évidement, cela demande une ouverture d’esprit, de la sensibilité et du recul face à nos croyances.
Le fait que des personnes enregistrent, mémorisent et continuent à être conscient, alors que leur corps et leur cerveau ne sont plus disponible, démontre : soit qu’il existe un cerveau virtuel hors du cerveau physique, soit qu’il existe une délocalisation des fonctions du cerveau. Dans les deux cas, il devient évident que la conscience ne se situe pas dans la boite crânienne.

Kundun, aout 2013

 

P comme projection de la conscience

Description des relations entre ce que nous sommes, notre environnement, les sens, les pensées, les émotions.

Il y a tout d’abord notre environnement : constitué de personnes, de lieux, d’objets.
Puis, il y a ce que nous appelons notre corps physique, constitué d’organes et de sens :

– le toucher qui ressent la consistance de la matière, mais aussi la chaleur et le froid,
– la vue qui reçoit les images de notre environnement,
– l’ouïe qui perçoit les sons, les vibrations de l’air,
– l’odorat qui capte ce que nous respirons,
– nos papilles gustatives qui perçoivent les goûts,
– la partie antenne du cerveau qui reçoit des pensées,
le tout, analysé, trié, filtré par la partie analytique du cerveau.
La présence, la conscience que nous sommes reçoit tous ces signaux. Lorsqu’on comprend que nous ne sommes pas ces signaux, mais la conscience qui les reçoit, nous devenons plus libre, plus en recul.
La conscience, la présence, ce que nous sommes, telle de la lumière se projette sur notre environnement, sur notre univers. Alors, en retour de cette projection, nous recevons des signaux. Nous sommes l’espace sur lequel le film se projette, nous ne sommes pas les images du film.
Ces signaux divers et variés activeront chez nous différentes émotions, en fonction de nos expériences passées. Alors nous pourront éventuellement agir ou ne pas agir, en fonction de nos conditionnements.

paysage-mer

Si par exemple, nous sommes au bord de la mer, assis à contempler les vagues, nous recevons à la fois des images du paysage, le bruit des vagues et des palmiers, l’odeur de l’iode, nous sentons le vent sur notre corps et nos cheveux, nous sentons le sable chaud sous nos pieds. Nous recevons aussi des pensées de calme, de tranquillité, de beauté, de bien être, de paix.
Alors notre conscience peut expérimenter les émotions attachées à ces pensées, éventuellement ces émotions, en fonction de nos expériences et conditionnements, de notre volonté aussi, nous amèneront à agir.

Nous ne sommes pas nos sens, nous ne sommes pas notre corps, ni les images, ni les pensées que nous recevons, ni l’ordinateur du mental qui traite toute ces informations. Nous sommes la présence qui prend conscience de la scène, nous sommes à la fois ce qui “est” et ce qui “vit” la situation. Nous ne sommes pas non plus la personne que nous avons cru ou que nous croyons être. Nous sommes cette présence, la conscience qui, par tous ces mécanismes perçoit l’environnement.
Cette présence ne peut être perçue que dans le moment présent, au delà du mental qui toujours nous amène dans le passé ou dans le futur.
Cette présence est toujours là, ici, maintenant. Elle vit, à travers nos corps, que nous soyons homme, plante, eau, terre, mer, air, feu.

Espace sous-jacent de l’univers, cette présence est là, quelque soit l’objet, le lieu, les personnes. Elle est l’espace dans lequel l’univers existe. Nous pouvons toujours changer le contenu de cet espace, l’espace lui, reste inamovible, permanent. Cet espace, c’est l’amour infini. Il est l’écran de cinéma sur lequel la vie, la conscience se projette.

Il est ce que nous sommes,

Il est ce que nous avons été,

Il est ce que nous serons.

Il est,

Nous.

Kundun Mars 2013

P comme Pensées

"Nous recevons toutes les pensées" Kundun 2013

“Nous recevons tous des pensées” Kundun 2013

Oui, nous recevons tous des pensées, mais n’en tenez pas trop compte.
Car ces pensées sont liées à l’environnement, elles n’ont rien à voir avec ce que nous sommes.
Elles sont le reflets de nos conditionnements et de l’univers dans lequel nous évoluons . En fonction des lieux, de nos attitudes, de ce que nous sommes, elles changent.
Nous ne sommes pas les pensées qui viennent et s’en vont. Nous sommes la conscience qui peut les choisir.
Les pensées sont liées aux circonstances environnantes, elles sont provisoires et virtuelles. Elles n’ont aucune réalité, elles sont des propositions.
Il n’est pas raisonnable de se sentir responsable ou coupable des pensées qui passent autour de nous dans la mesure ou elles sont issues des conditionnements, des médias, de la télévision, des autres aussi.
L’erreur serait de choisir des pensées qui ne nous correspondent pas.
Prenons un instant pour méditer et nous reposer quelques secondes.
Laissons les pensées passer.
Nous ne sommes pas nos pensées.

Pause….

Le mental est un outil. Il traite de l’information provenant d’une entrée, puis il sort un résultat, comme un ordinateur.
Le mental capte des pensées, reflets de l’environnement. Il ne choisit pas ce qu’il capte. Il reçoit, analyse et peut aussi proposer de capter d’autres pensées.
Celui qui regarde tout cela, et qui éventuellement choisit, c’est nous. Oui, nous, cette conscience, cette intelligence, cette présence.
Comme une antenne, notre cerveau reçoit des pensées, et comme une antenne, il est possible de la diriger. C’est ce que nous appelons l’intention.
Si nous orientons notre antenne, notre intention vers un univers d’amour et de fraternité, certaines pensées seront reçues. Si nous laissons la personne que nous croyons être ou avons cru être, diriger notre vie, alors d’autres type de pensées vont être reçues, en fonction de ses conditionnements.
Notre cerveau, notre mental ne doit pas être laissé livré à lui même, sinon à partir de l’ego, une personne se crée et prend littéralement le contrôle de l’individu.
Restons quelques secondes dans ce moment pour méditer sur cette pensée.

Pause…

Lorsque nous prenons du recul sur les pensées, sur la fausse ‘personne’, la conscience, l’amour reprend la direction de ce que nous sommes. Alors les intentions sont naturellement bonnes et positives, aimantes et constructives, unifiantes et fraternelles.
Car la présence, la conscience, l’intelligence que nous sommes ‘sait’ que nous ne sommes qu’un. Un seul organisme, incarné dans de nombreux corps, mais toujours ‘un’.
La diversité dans l’unité, voila ce que nous sommes.

À chaque fois que nous orientons notre antenne du mental, lorsque nous parlons avec quelqu’un, lorsque nous rencontrons quelqu’un, lorsque nous regardons un film, lorsque nous allons dans un endroit, lorsque nous travaillons sur un projet, à chaque fois, nous dirigeons, nous focalisons notre conscience, ce que nous sommes dans une direction, dans une intention.
Notre antenne s’oriente. Et plus notre niveau de conscience est élevé dans un domaine, plus notre antenne est grande. Imaginons une antenne parabolique, de 4 mètres de diamètres, dirigé dans une direction. Puis imaginons que notre antenne fasse 8 mètres.
Plus notre antenne est grande, plus nous pouvons capter de détails, de pensées.

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Il est important de comprendre que nous ne pouvons ‘créer’ ou ‘générer’ de pensées.
Nous ne pouvons que ‘être’, c’est à dire prendre conscience de notre univers, de notre environnement, de nos conditionnements.
Notre conscience, lorsqu’elle se reflète sur cet environnement ‘capte’ à travers le mental ces fameuses pensées.
Comprendre que nous ne créons pas les pensées qui ne peuvent pas vraiment devenir ‘nos pensées’ mais ‘des pensées’ est essentiel.
Respirons profondément, gardons ce concept à l’esprit quelques secondes. Restons dans le calme. Comment nous sentons nous ?
Restons dans la présence.

Pause…

La première étape de l’éveil est de se séparer des pensées. C’est ce qu’Eckhart Tolle a divinement expliqué dans son livre “le pouvoir de l’instant présent”, vendu à 6 millions d’exemplaires.
Plus nous commençons à regarder nos pensées, plus nous comprenons qu’elles ne sont pas nous, qu’elle ne l’ont jamais été, et qu’elles ne le seront jamais.
Alors, une formidable libération s’effectue. Toutes ces fausses idées de culpabilité s’évanouissent instantanément. La fausse personne que nous avons cru être se dissous.
L’imposteur se révèle progressivement.
Car l’ego, la personne qui a été construite, sur cet assemblage de pensées et de croyances, petit à petit se dissous au même rythme que nous comprenons que nous ne sommes pas nos pensées.
Restons dans ce moment, dans ce calme. Sentez cette paix, cette présence.
Sentons ce vide mental, cet état ou l’antenne se dirige vers un endroit sans pensées.

Kundun janvier 2013

C comme Cerveau

Le cerveau est un organe ayant les fonctions suivantes :

a) réception des pensées avec les fonctions du cerveau droit
b) traitement de l’information avec le mental, plutôt le cerveau gauche
c) décisions permettant des actions

De la même façon que nous avons des yeux pour capter la lumière, les images de notre environnement ; de la même façon que nous avons des oreilles pour recevoir les sons, de la même façon que nous avons une peau pour recevoir des informations sur le toucher, de la même façon que nous avons des capteurs gustatifs ; de cette même façon nous avons un organe de réception de pensées s’appelant le cerveau.

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

“cerveau comme un organe de réception de pensées.” Kundun

Cet organe complexe possède une partie ‘antenne’, une partie traitement de l’information, puis une partie commandement aux autres parties du corps.

Nous avons vu précédemment que les pensées sont des ondes électromagnétiques, que nous les percevons de notre environnement.

Nous savons que nos sens nous permettent de percevoir notre environnement : la vue, le son, le toucher, l’odorat, le goût.
La révélation de ce texte, ce qui est nouveau, c’est que l’homme n’avait jusqu’à présent jamais considéré son cerveau comme un organe de réception de pensées.

Il fallait, pour atteindre cette compréhension, comprendre que les pensées sont le reflet de notre propre conscience, de notre lumière sur notre environnement.

Il fallait aussi s’éveiller de façon à comprendre que nous ne sommes ni nos pensées, ni la personne conditionnées que nous avons cru être.

Nicolas Telsa l’avait compris lorsqu’il disait dans sa biographie : ‘Mes inventions’, page 23 :

‘À ma grande surprise, je conçus bientôt que toutes mes pensées avaient été comme manœuvrées par des impressions extérieures et que toutes mes actions se trouvaient commandées de la même manière. Au fur et à mesure, il devint flagrant que j’étais un simple automate dont le mouvement survenaient en réaction à des « stimulations » de mes organes sensoriels.’.

Notre conscience, comme de la lumière émet puis se reflète sur notre environnement : personnes, lieux, objets.
En retour de cette projection de conscience, ces objets, personnes et lieux nous renvoient notre propre conscience sous forme de ‘pensées’ en fonction des associations apprises et programmées.

Bien sur, pendant toute notre enfance, nous avons appris à associer les concepts et les ‘pensées’. Nous avons appris à leur associer des objets : voiture, maison, plante, etc…
Ainsi une voiture est associé aux pensées de ‘se déplacer, rouler, faire une course automobile, transporter, etc…’
Ainsi, par un système d’association, la partie « traitement de l’information » passe tout son temps à comparer et trier toutes les idées, tous les concepts. Ainsi nous pouvons réagir à notre environnement.

Comprenons que le cerveau n’est qu’un organe comme un autre : de la même façon que nous ne sommes pas notre main, notre cœur, nos poumons, nous ne sommes pas notre cerveau.

Le cerveau est une interface, un organe de réception, de traitement de l’information, connecté à la conscience, à la vie que nous sommes. Quand la vie passe à travers notre corps, tous nos organes se mettent à fonctionner. Tel un système autonome, nous pouvons alors expérimenter la matière et vivre.

N’est ce pas merveilleux ?

Ainsi, à travers l’homme, la présence que nous sommes peut vivre.
Ivre d’elle-même, elle s’oublie, se vit, s’expérimente. A la fois, nous oublions ce que nous sommes, et à la fois, nous pouvons vivre.

Nous sommes la vie,
Nous sommes la présence,
Nous sommes la conscience d’amour infini,
Qui à travers nous,
Se vit.

Kundun, Mars 2013

M comme Mental

Le mental est l’outil de la conscience permettant de se concentrer en dehors de ce que nous sommes. Nous sommes la présence qui vit dans l’instant présent. Le mental est l’outil qui se projette dans le passé et le futur, il ne peut être dans la présence de l’instant. C’est comme deux faces d’une même pièce, elle ne peuvent se rencontrer. Le mental ne peut pas concevoir le moment présent, c’est hors de son univers. Et quand nous sommes cette présence, ce moment, le mental est éteint, il n’a pas sa place.

M comme Mental

M comme Mental

La présence ne peut que se vivre, s’expérimenter, à travers des activités liés au cerveau droit : présence du corps avec le sport, la danse, des massages. Présence du sens auditif avec une écoute active, lorsqu’on devient la musique. Sens de la contemplation aussi.
On passe du faire au être lorsqu’on dirige notre conscience vers ce que nous sommes, vers ce que nous ressentons. On se reconnecte alors à la réalité. La réalité, ce n’est pas le mental, la réalité, c’est ici et maintenant, ce que nous sommes, ce que nous percevons, ce que nous ressentons. La réalité, c’est cette présence, substance sous jacente de tout ce qui est.
On peut s’entraîner à la percevoir, en restant connecté à son corps, à sa respiration, en restant l’observateur des pensées, des objets, de lieux, de tout ce qui compose notre environnement. ‘Quelque chose’ une conscience observe.
Restons connectés à cette présence, restons dans ce moment.
Si on donne plus de force au mental qu’à la présence, il se crée un déséquilibre qui donne du pouvoir à l’égo, à la personne que nous croyons ou que nous avons cru être. C’est elle alors qui dirige notre vie, dans la souffrance et la douleur puisque le rôle du mental est de faire, toujours plus. Sa nature est l’attachement, acquérir plus d’objets, tout le temps, pour être heureux ‘plus tard’. Mais la machine folle ne peut s’arrêter toute seule. Lancée dans sa course infini au contrôle de l’univers, elle veut nous faire passer tout notre temps dans le passé ou le futur.
Cette dans l’équilibre de ces deux forces que nous pouvons être heureux. Lorsque dans le moment, nous laissons la présence agir à travers nous, le mental redevient l’outil qu’il aurait toujours du rester : un outil au service du cœur, de la présence.
Il est possible de renverser la vapeur, par des activités du cerveau droit, par l’expérience de la méditation, on peut ‘équilibrer’, se ‘centrer’.

Toutes les souffrances du monde dans lequel nous sommes n’ont qu’une seule et même cause : l’inconscience.
Plus nous sommes conscient, plus nous augmentons notre degré de conscience, plus nous dégageons et diffusons des idées, des attitudes, des pensées, des actes de joie, de bonheur, d’amour.
La souffrance véhicule la souffrance et la séparation tandis que la joie et l’amour transmettent la paix, le bonheur, la joie, l’amour.
Il y a une résonance universelle dans tout ce que nous sommes. Si nous sommes la joie, nous exprimons la joie. Si nous souffrons, nous pouvons, en étant inconscient, propager la haine. La joie, l’amour comme la haine est une énergie qui se propage comme un virus. La question est : que voulons nous être, comment voulons nous influencer notre environnement. Pouvons nous être lucide sur ce que nous sommes et décider de nous concentrer sur notre être véritable. Car nous sommes tous, au fond de nous, constitué de cet amour infini.
Ce besoin de grandir de s’éveiller, c’est cette conscience, c’est nous qui, partout dans l’univers cherche à s’étendre, à expérimenter, à progresser. C’est la vie, qui à travers nous, se vit, se renouvelle, sans cesse.

Texte de Kundun janvier 2013

R comme Rêve

Qu’est ce qu’un rêve ? Qu’est ce que l’univers ?

Un rêve est une projection de la conscience, un film dans lequel nous pouvons voir le reflet de notre conscience.

R comme Rêve

R comme Rêve

Pourquoi rêvons-nous ?

Nous rêvons parce que la conscience que nous sommes rêve. La conscience que nous sommes ne peut être inconsciente : la nuit, elle continue à vivre dans d’autres dimensions, même si notre corps dort. La vrai question est “Qui rêve ?”. L’autre question est “Qu’est ce qu’un rêve?”.
L’être humain est une partie de la conscience infinie. Nous avons toutes les caractéristiques de notre créateur.
Nous rêvons car lui-même rêve. En réalité, il nous rêve et nous avons les mêmes propriétés que lui, du coup, nous rêvons aussi.

Imaginons que nous soyons une conscience infinie et que nous n’ayons pas d’autres limites que notre imagination. C’est exactement ce qui se passe dans nos rêves. C’est exactement ce qui se passe pour lui. Lorsque nous sommes “dans” le rêve, tout nous semble réel, lorsque nous sommes dans cette réalité, tout nous semble réel aussi. En réalité, le rêve est une autre expérience de nous même quand notre corps est endormi.

Un rêve est un univers, une réalité aussi réelle que celle dans laquelle nous avons l’impression de vivre actuellement. Il n’y a pas de rêve, il n’y a que des réalités parallèles qui s’expérimentent, tout comme celle ci. La conscience que nous sommes, lors de méditation profondes, lors de rêves peut accéder à ces autres réalités. Les rêves ne sont pas ce qu’on croit : ce sont des univers à part entière.

De plus en plus de techniques permettent désormais d’apprendre pendant nos rêves : Yoga du rêve de Tenzin Wangyal Rinpoche. Depuis des millénaires, les êtres éveillés savent ce que sont les rêves, ils savent que nous pouvons recevoir des enseignements pendant nos rêves. En effet, nombreux sont ceux qui ont des prises de conscience pendant nos rêves.

Par un processus de récursivité et de clonage, nous héritons de toutes les propriétés de la source que nous sommes. En même temps, toutes nos expériences permettent de faire évoluer et grandir le tout, la source. Tout ce que nous expérimentons sert à améliorer l’ensemble car l’univers est de nature holographique. Par un processus organique, nous sommes passées d’un organisme monocellulaires à celui d’être humain. C’est par ce processus que s’est crée le processus d’évolution des espèces. Il n’est pas fini et ne peut se terminer, c’est ce processus qui fait l’expansion de l’univers, c’est ce processus qui fait évoluer l’homme. Rêver, c’est expérimenter ce que nous sommes, c’est grandir.

Le microcosme se retrouve dans le macrocosme et le macrocosme se retrouve dans le microcosme de part la structure récursive, holographique et en miroir de l‘univers.
On peut dire que notre monde, notre univers est rêvé par la conscience infinie, que nous sommes le résultat de ce rêve. Nous sommes à la fois l’expérience et celui qui l’expérimente. Nous sommes la conscience infinie qui s’expérimente et se vie à travers nous. Chaque objet, chaque personne, chaque lieu, chaque idée, chaque pensée, tout, est une projection de cette conscience.

Pour résumer, disons que la conscience que nous sommes “rêve”, c’est à dire qu’elle se vit à travers nous. Nous sommes le rêve, nous sommes elle et elle est nous.

Kundun Fev 2013

M comme Miroir

Ce livre, n’est pas un livre. Le texte que vous lisez n’est pas un texte. En réalité, c’est un miroir.
Oui, ce texte est un miroir, il vous permet de voir le reflet de ce que vous êtes.
La conscience infinie que vous êtes se reflète sur ces lignes, sur ces mots, puis, un reflet vous revient.
Ce reflet vous amène à vous ‘reconnaître’, à renaître d’une certaine façon, à prendre conscience de votre nature profonde.
Imaginez, vous avez un miroir, vous le prenez, et commencez à regarder votre visage, votre bras, votre corps.
C’est exactement ce que vous faites en lisant ces lignes.
Vous projetez  votre conscience sur un miroir, sur ces lignes, et quelque chose revient. Ce qui revient, c’est le reflet de votre propre conscience.
Cents personnes liront ce texte de cents façons différentes, en fonction de leur niveau de  conscience. Certains ne comprendront rien, d’autres comprendront immédiatement, chacun lira ce texte à sa manière en fonction de sa propre expérience de vie.

"Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’" Kundun

“Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’” Kundun

Ce texte n’est pas un texte, ce texte est un miroir qui éclaire votre conscience. Comprenons-nous bien, tous les textes, tous les livres écrits, depuis le début de la création sont des miroirs.
Ce que nous sommes, la conscience infinie, se cherche, s’invente et se découvre. Et certains d’entre nous, appelé ‘les auteurs’ ou les ‘artistes’ incarne et interprète ce qu’ils ont compris de ce que nous sommes. Alors, des livres, des textes, des miroirs sont crées.
Ces livres sont des miroirs qui disent ‘regardes comme tu es, regardes comment nous sommes’, car en réalité, il n’y a qu’un seul être qui se regarde.
Et la somme de tous les livres écrits, de toutes les œuvres musicales, et autres œuvres, sont comme des petits miroirs de ce que nous avons vu dans nos vies.
Je suis un créateur de miroir, quand ces lignes j’écris. Je ne fais qu’un petit miroir, et c’est vous qui projetez votre conscience dessus. Le reflet que vous recevez en échange est le votre, qu’il vous plaise ou non est un autre sujet.

Prenons une minute pour méditer sur cette phrase. Maintenant, nous sommes réunis car je suis le miroir, et vous êtes celui qui se regarde.

Parfois, lorsqu’on relit un texte après plusieurs années, nous trouvons le livre très différent, une nouvelle lecture s’effectue.
Oui, car en réalité, le livre ne change pas, mais notre niveau de conscience évolue. Un auteur peut très bien faire un texte, photographie de son niveau de conscience, qui sera compris de façon plus profonde par un lecteur. Oui, car le texte n’est qu’un miroir. On ne sait pas qui se regardera dans ce miroir.
Cela peut être nous même dans un autre temps, ou une autre personne ayant un très haut niveau de conscience.
Ce texte n’est pas juste un texte, il est un miroir sur lequel votre conscience se projette.
Chaque fois qu’une ligne est lue, chaque mot ‘explose’ dans votre cerveau et se connecte à d’autres mots, à toute votre histoire, à vos définitions de mots. A chaque ligne, c’est une explosion d’émotions qui s’entrechoquent. L’intention, l’amour de l’auteur est véhiculé, comme dans un poème, par le choix des mots, des idées, leurs emplacements.
Et comme un code, ces mots vibrent à une certaine fréquence, font résonner quelque chose chez vous. C’est l’effet miroir.
Ce texte, comme tous les autres textes est un miroir vous permettant de vous regarder, d’examiner votre conscience, de ‘comprendre’, c’est-à-dire de mettre la lumière, la conscience sur un sujet.

Prenons un instant pour rester dans ce moment.

"Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette" Kundun

“Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette” Kundun

Que ressentez vous après avoir lu ces lignes ?

Faisons une pause de quelques minutes, sentez-vous le retour du regard de votre conscience sur ces lignes ?

Ce texte n’est pas un texte, ce texte est un miroir vous permettant de refléter ce que vous êtes.
La conscience, la présence que vous êtes s’illumine lorsqu’elle peut se voir. C’est la fonction des textes et des livres, de vous faire reconnaître, comprendre ce que vous savez déjà, ce que vous êtes.
Très souvent nous lisons un livre en disant ‘mais je sais ça déjà’. Oui, c’est vrai, le livre ne fait que révéler.
Je dis ‘vous’ mais en réalité c’est nous, car il n’y a qu’une seule conscience, incarnée dans 7 milliards d’hommes et de femmes à cet instant.
Par exemple, 6 millions de personnes qui lisent un livre, c’est 6 millions de personnes qui se reconnaissent, qui comprennent qu’elles sont ‘une’. Et plus la conscience se reconnaît, plus elle comprend qu’elle fait un avec les autres, avec tous les autres.

C’est pourquoi, les livres, les textes, les œuvres musicales et autres œuvres, et toute la vie est une façon de s’éveiller, de voir ce que nous sommes.
Oui, je dis bien ‘ce que nous sommes’ et non pas ‘qui nous sommes’ car en réalité, au delà de la personne, de l’égo, du surmoi, appelez le comme vous voulez, il n’y a qu’une conscience infinie d’amour et de lumière.
Lorsque nous nous regardons dans le miroir, les reflets de la conscience apparaissent. Si nous avons un égo, une personnalité très développé, une partie du reflet sera comme déformé.
Elle dira : ‘ah, c’est super cette information, comment l’utiliser’. Car si le miroir est propre et parfait, le reflet est dépendant du filtre que nous avons construit, de la personne que nous avons cru être ou que nous croyons être.

Ce texte est un miroir vous permettant de comprendre ce que vous êtes, une conscience qui se projette.
Lorsque nous rêvons, tout l‘univers du rêve est crée par nous : les montagnes, les arbres, les personnes, les objets. Nous projetons notre conscience de façon à créer tous ces éléments, et nous ‘vivons’ le rêve comme s’il était réel, il n’y a aucune différence du point de vue du personnage du rêve.
Et bien dans la vie, c’est exactement la même chose, nous projetons notre conscience sur des textes, des personnes, des objets, des lieux, et nous interagissons avec eux.
En réalité, non seulement les livres sont des miroirs, mais tous les objets, toutes les personnes le sont aussi. C’est juste que les personnes sont des miroirs un peu particulier : ils sont dynamique.
Par exemple, nous écoutons une musique et nous la trouvons magnifique En réalité, c’est l’émotion qu’elle génère chez nous, qui nous  fait vivre, qui nous fait vibrer qui est magnifique. Tout se trouve à l’intérieur de nous.

Le sentiment, le bonheur d’écouter cette musique génère en nous ‘quelque chose’. Ce quelque chose est généré par le reflet. La musique est comme un miroir permettant de nous voir. Oui, nous sommes cela. Oui, je vibre en harmonie avec cette musique, cette personne, ce tableau, cette sculpture, ce film.
Comme dans le rêve, nous projetons notre conscience dans ce monde, nous l’expérimentons, nous choisissons ce que nous aimons, ce que nous n’aimons pas.
Et si nous nous éveillons, nous éliminons nos conditionnements, nos programmations mentales, nous dissolvons l’égo, la personne que nous avions cru être.
Alors, nous pouvons commencer à vivre, c’est-à-dire à voir les choses telles qu’elles sont réellement, un reflet de notre conscience.
Alors, nous comprenons progressivement que tout est nous, qu’il n’y a que nous, partout tout le temps, comme dans le rêve. En réalité, et c’est ce que les bouddhistes appellent le Samsara, ce monde est un rêve. L’illusion, c’est de croire que nous sommes séparés des autres, c’est la seule chose qui puisse nous faire souffrir.

L’éveil, c’est comprendre que nous sommes un, qu’il n’y a que la conscience, la présence, qui à travers nous se vit.
Car oui, en nous regardant dans tous ces miroirs, nous finissons par comprendre ce que nous sommes, et plus nous envoyons de la lumière, de l’amour, plus nous nous libérons de la poussière, des conditionnements, de la personne, plus nous voyons la réalité.
A nous de comprendre, en lisant les miroirs des êtres éveillés, en lisant les miroirs les plus pure, les plus réfléchissant, ce que nous sommes réellement.

Kundun, Paris, Février 2013

Initiation à la méditation pleine conscience

Initiation à la Méditation de la Pleine Conscience pour réduire le stress selon le protocole de Jon Kabat-Zinn par Morgane Gottschalk au centre infinite Love le 5 janvier 2012 de 10h à 12h30

Méditation de pleine conscience contre le stress par Morgane G

Méditation de pleine conscience contre le stress par Morgane G

La réduction de stress basé sur la Pleine Conscience est une forme de méditation. L’objectif est de se concentrer pleinement sur l’instant présent et de permettre à l’esprit de retrouver son influence sur le corps. Contrairement à certains traitements médicamenteux, elle offre aux personnes la possibilité de contribuer à son propre bien-être.

Nous apprenons à ramener en permanence notre attention à la réalité, telle qu’elle est à l’instant même. Sans rien ajouter, sans jugement et sans attente. Cette exploration est offerte à celui qui recherche plus de sagesse et d’équilibre dans sa vie.

La médecine corps/esprit met l’accent non pas sur la maladie mais sur le patient et ses ressources intérieures. Elle s’appuie sur les aptitudes du cerveau et de l’esprit à favoriser l’auto-regénération de l’organisme.

En effet, de nombreuses études scientifiques ont montré que la méditation a un effet positif sur la santé car elle réduit la tension artérielle et ralentit la respiration ainsi que le rythme cardiaque. La pratique régulière de la méditation provoque des changements dans les connections à l’intérieur du cerveau et dans la communication intercellulaire. Elle aide à lutter contre le stress, les dépressions et les angoisses. En fait, le stress est le pire ennemi de nos capacités à s’auto-regénérer.

DÉROULEMENT DU PROGRAMME MBSR

L’entraînement consiste en 8 rencontres hebdomadaires de 2h30 chacune et d’une journée d’intégration de la Pleine Conscience, en silence, de 10h00 à 17h00. Si vous y participez, vous vous engagez également à y consacrer 45 mn chaque jour pendant ces 8 semaines.

Au cours des semaines, nous introduisons progressivement la méditation assise. Le programme est basé sur les ressources intérieures de chacun. Cela requiert un esprit de générosité et d’acceptation envers  soi-même.
Les séances sont constituées de méditations guidées, d’exercices corporels, d’explications et de temps d’échange. Il s’agit d’un travail progressif et interactif qui nécessite un engagement et un entraînement quotidien d’environ 45 minutes, à partir de fiches de travail et d’enregistrements fournis. Il est proposé une alternance de méditations en position allongée, assise, debout et en mouvement, avec des exercices de yoga et de marche consciente.

Des pratiques informelles sont également prévues.  A l’issue de ce programme, des ateliers de pratique de la «Pleine conscience» vous seront proposés. En effet, le maintien d’une pratique guidée et régulière est nécessaire pour bénéficier pleinement de cette méthode.

La pratique de la «Mindfulness», ou de la «Pleine Conscience», signifie selon Jon Kabat-Zinn : «de porter son attention» d’une certaine manière, c’est-à-dire délibérement, au moment voulu, sans jugement de valeur, instant après instant.
Cultiver cette sorte d’attention nourrit une prise de conscience plus fine et plus clair de la réalité du moment présent.

DONNEES PRATIQUES

Date le : Samedi 05 Janvier 2012 : initiation découverte
Les 8 rencontres hebdomadaires auront lieu les samedis matin de 10h à 12h30 : les 12, 19 et 26 janvier, les 2, 9 ,16 et 23 Février et le 9 Mars 2013
Les sessions se faisant volontairement en petit groupe de 8 personnes maximum. Vous pouvez vous inscrire dès maintenant, si vous le souhaitez ou au plus tard lors de la session d’initiation du Mercredi 5 janvier 2013 de 10h à 12h30
Une autre série de sessions auront lieu les samedis après midi de 14h30 à 17h au même dates et à la même adresse. Du 5 janvier au 9 mars.
Tarifs : Initiation = 20€
Tarif des 8 sessions en groupe : 450 €
Tarif des 8 sessions en individuel : 490 €
Lieux : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris
Réservation au +33 (0)7 62 86 15 97 ou par notre formulaire de contact ci-dessous

JON KABAT-ZIN

Jon Kabat-Zinn est docteur en biologie moléculaire et professeur émérite  du département de médecine de l’Université du Massachussetts.
En 1979, il fonde sa première clinique avec le programme MBSR de 8 semaines, «Mindfulness Based Stress Reduction» ou «la Pleine Conscience pour réduire le stress» validé par la science et pratiqué dans plus de 250 hôpitaux.

Formulaire de contact :

D comme Dieu

Qu’est ce qu’on entend par le mot “Dieu” ?

Dieu est certainement un des mots les moins défini.

Pour nous, les synonymes sont : “conscience infinie”, “amour infini”, “celui qui n’a pas de forme”, “celui qui est, a été et sera”, “celui qui a toutes les formes”, “l’univers”, le “tout et le rien”, “celui qui est la source”, “l’architecte de l’univers”, “la présence”, “la vie”.

La façon la plus facile pour comprendre ce qu’est Dieu, est de tomber amoureux.

Quand nous tombons amoureux vraiment, nous pouvons ressentir cette connexion au divin, nous comprenons la divinité de la personne que nous aimons. En réalité, nous ressentons et comprenons que l’autre ‘est’ nous, que nous ne faisons qu’un. Nous ressentons et nous comprenons que l’autre ‘est’ notre moitié.

Nous comprenons, si vous “surrender”, si nous lâchons prise, si nous nous rendons à l’autre, si nous lâchons tout, si nous comprenons que nous sommes une conscience d’amour incarnée dans un corps physique.

Quand nous venons d’avoir un bébé aussi, nous pouvons ressentir un amour infini car nous avons participé à créer la vie, nous devenons responsable d’une boule d’amour qui nous réchauffe le cœur comme un soleil. Nous sommes en extase devant un autre nous même, nous faisons ‘un’ avec notre enfant.

Voila comment on peut expérimenter cette notion d’amour infini. Bien sur, il y a aussi les “méditations” qui sont très documentées, il y a des milliers de techniques, certaines sont utilisées depuis des millénaires.

Certains peuvent accéder à cet univers divin suite à une expérience de mort imminente et se retrouvent transformés pour toujours. D’autres font des expériences en modifiant leur état de conscience, à l’aide de musique, de danses, de techniques ancestrales.

Pour conclure, nous pouvons dire que Dieu est la somme de toutes les consciences de l’univers, qu’en réalité, il EST l’univers et tout ce qui existe. L’âme est une forme de conscience qui nous correspond, nous les humains, et il y en a d’autres.

Aussi, précisons que la vérité ne s’apprend pas, qu’elle s’expérimente. Essayez d’exprimer à quelqu’un ce que signifie “être amoureux” !
Parce ce que la vérité s’expérimente, il est impossible d’expliquer avec le mental, et donc avec des mots, l’expérience de connexion avec le divin, l’expérience d’amour infini qu’on ressent dans certain cas. Que ce soit lors d’une méditation, que ce soit lorsque nous sommes avec l’être aimé, l’amour se situe au delà des mots.

Comment exprimer ce qui n’est pas du ressort du mental mais de l’esprit, de l’âme ?

Ce sentiment d’amour infini ne peut que s’expérimenter. Il ne peut s’apprendre. De la même façon, essayez d’expliquer à quelqu’un de sourd le requiem de Mozart : la difficulté est identique.

Dieu ne se rencontre pas avec le mental, avec le cerveau gauche, car Dieu est “unité”. Dieu vit de façon non dualiste. Il est tout et son contraire. Il est en même temps toutes les polarités. Il est hors de la notion même de jugement.

Dieu se rencontre avec le cerveau droit qui fonctionne comme une antenne pour communiquer avec lui. Autant le mental sépare, découpe, labellise, donne des mots et des noms à tout, autant Dieu est le “UN”, l’unité, le tout ou rien n’est séparé. Pour cette raison le mental, l’égo a du mal à le décrire. Le mental, les mots sont inadaptés, seul l’art avec la poésie, la musique par exemple, peuvent nous permettre d’approcher cette notion. Écoutez par exemple le “Magnificat” de Vivaldi et ressentez.

L’éveil spirituel, c’est comprendre que nous sommes Dieu, c’est comprendre, par des méditations, par l’augmentation de son degré de conscience qu’il s’est incarné en nous pour pouvoir expérimenter la matière, la dualité.

“Je suis avec le père et le père est avec moi” Jesus.

 

‘Je me suis Incarné dans 7 milliards d’êtres humains…’ Kundun 2012

‘Je me suis Incarné dans 7 milliards d’êtres humains…’ Kundun 2012

Imaginons que nous sommes une conscience infinie, imaginons que nous sommes dans l’espace et que rien n’existe. Puis imaginons que nous voulions nous connaître, nous “voir”, nous sentir, comprendre ce que nous sommes. Alors nous avons cette pensée “Je suis”. Mais sans dualité, sans matière, nous ne pouvons rien expérimenter. Alors cette pensée s’incarne en lumière et crée ce qu’on appel le Big Bang.

“je suis le bing bang, et le bang bing aussi”

Kundun, septembre 2012

Alors nous créons les galaxies, les soleils, les planètes. Nous sommes la source, Nous sommes la cause première, la cause de toutes les causes, celle qui a tout générée.

Nous créons le monde minéral, le monde végétal, le monde animal… Nous prenons goût au jeu de la vie, créant de plus en plus d’espèces, de concepts, de mots d’idées. A partir du néant, à partir de rien, nous créons, le temps, nous créons l’espace, nous créons, la matière. Partout, ce que nous sommes se reflète. Nous sommes le sous-jacent de toute chose, cette présence, cet amour, cette vie.

Au delà de l’imagination,

Nous sommes l’univers qui s’auto-crée,

Au delà des mots et des idées,

Au delà de la forme,

Nous,

sommes.

 

Kundun, septembre 2012

C comme Channeling

Le ‘channeling’ est une capacité de l’être humain qui lui permet de se connecter à une conscience afin de recevoir des informations.

Les informations peuvent être reçues sous une infinité de formes : textes,poèmes, musiques, images, films, etc…

Channeling par Kundun, Juillet 2012

Channeling par Kundun, Juillet 2012

La difficulté est de communiquer ce qu’on reçoit. Pour pouvoir communiquer les messages de façon précise, il faut les comprendre, les  ‘concevoir’. Le rôle du cerveau gauche est justement d’apprendre différentes techniques qui permettront de ‘représenter’ les connaissances reçues. Le mental formate les informations de façons qu’elles soient compréhensibles.

Souvent, celui qui reçoit l’information n’a pas de mots pour le retranscrire. En effet,  certains concepts n’existent pas dans toutes les langues.

Sans l’apprentissage du langage musicale, on ne peut écrire les notes de musiques. Sans l’apprentissage du langage mathématique, on ne peut écrire les formules qu’on reçoit. Si par exemple un homme perdait son langage, il comprendrait, mais ne pourrait pas s’exprimer. C’est ce qui se passe lorsque certaine personne ont des accidents cardiovasculaire cérébrale AVC : ils ne peuvent plus représenter, ils ne peuvent plus s’exprimer, ils perdent des fonctions cognitives.

Le channeling, c’est recevoir des informations et les retranscrire le mieux possible. Certains concepts sont impossible à retranscrire car les mots ne suffisent pas.

Par exemple, l’expérience d’amour infinie est totalement intraduisible, elle ne peut être qu’expérimenté. Lorsqu’on reçoit des poèmes en channeling, l’important est l’expression qui se trouve entre les mots. Comme pour tout art, les mots sont tout à fait insuffisant.

Tout le monde fait du channeling sans s’en apercevoir : En fonction du niveau de conscience de chacun, un message sera interprété comme étant une intuition, de l’imagination, une idée, une invention, une inspiration. Plus la personne est éveillée, plus elle capte ‘haut’, ‘loin’, de façon précise.

Plus on dissout ses conditionnements, plus on s’éveille, plus le message est clair, précis, dense, affinée, juste.

Et le channeling permet de capter dans toutes les directions, dans tous les univers : arts, musique, peinture, sculpture, business, finance, sciences, etc…

La méditation est propice aux états de conscience permettant le channeling. Lorsqu’on ‘surrender’ entièrement, et lorsqu’on éteint son mental, alors il n’y a plus de filtre, plus de système permettant d’empêcher le channeling naturel.

Faire du channeling est une fonction naturelle de l’homme. Seul la création de l’ego et du mental filtre et empêche l’homme d’être ce qu’il est , c’est-à-dire une créature divine connectée à l’univers en permanence.

L’illumination, l’éveil de la conscience permet d’être ce que nous avons toujours été : un être divin connecté à son créateur et à soi-même.

Kundun, Juillet 2012

Antennes sur pattes

“La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”

Kundun 17 juillet 2012

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Oui, nous sommes des antennes sur pattes, tels des robots, nous réagissons aux pensées environnantes. Nous pouvons, grâce à la méditation, élever notre conscience puis choisir notre environnement énergétique.

Nous ne sommes pas nos pensées et le livre “Le pouvoir de l’instant présent” d’Eckhart Tolle exprime parfaitement cette révélation.

La méditation entraîne notre cerveau à capter des ondes plus élevées : en méditant, nous restructurons notre réseau de neurones.
Telle une magnifique antenne vivante, notre cerveau modifié nous permet de capter d’autres fréquences de pensées.

Plus on s’élève, plus on s’éveille, plus ce sont des pensées positives et d’amour qui sont captées. On atteint alors des fréquences d’union, de fraternité, de compassion, de gratitudes, puis d’amour infini, on atteint alors véritablement les pensées de la conscience infinie, ce que certains appellent “Dieu”.

Il y a comme des couches de consciences, comme des couches de “pensées”, des fréquences. Nous sommes des antennes et l’élévation du niveau de conscience est en réalité une élévation de notre propre “antenne” de conscience.

Les travaux du Dr David Hawkins (Cf Force contre pouvoir) sont tout à fait justes lorsqu’il documente les niveaux de consciences :

  • Ondes de fréquence basse : pensées de culpabilité, de honte, de grief, de peur, de colère.
  • Onde fréquence moyenne : fierté, courage,
  • Onde de fréquence plus élevé : acceptation, raison,
  • Onde de fréquence positive et très élevée : Joie, compassion, gratitude, amour, paix, bien être, amour infini.

Ce qui est fantastique, c’est que certains génies de l’humanité l’avaient bien compris, et avaient commencés à l’expliquer : Nikola Tesla dans son livre autobiographique ‘Mes inventions’, page 23 :

‘À ma grande surprise, je conçus bientôt que toutes mes pensées avaient été comme manœuvrées par des impressions extérieures et que toutes mes actions se trouvaient commandées de la même manière. Au fur et à mesure, il devint flagrant que j’étais un simple automate dont le mouvement survenaient en réaction à des « stimulations » de mes organes sensoriels.’

On comprend alors que Nikola Tesla avait atteint un niveau de conscience lui permettant de comprendre qu’il n’était pas ses pensées, et que celles-ci venaient de “l’extérieure” de lui-même. Rappelons que Nicolas Tesla avait été en contact avec Swami Vivekananda.
Cette révélation est à rapproché du poème “7 milliards de robots” :
http://infinite-love-news.com/2011/11/20/7-milliards-de-robots/
et des poèmes reçus en mars 2011 :

Understand : http://infinite-love-news.com/2012/04/13/understand/
I am an antenna : http://infinite-love-news.com/2011/12/12/i-am-an-antenna/
Me, you, time and space and the universe : http://infinite-love-news.com/2011/12/07/me-you-time-and-space-and-the-universe/

Autre citation :

“The human being is a self-propelled automaton entirely under the control of external influences. Willful and predetermined though they appear, his actions are governed not from within, but from without. He is like a float tossed about by the waves of a turbulent sea.

“My brain is only a receiver. In the universe there is a core from which we obtain knowledge, strength, inspiration. I have not penetrated into the secrets of this core, but I know that it exists.”
Nikola Tesla
Citation d’Einstein :

“Everything is energy and that’s all there is to it. Match the frequency of the reality you want and you cannot help but get that reality. It can be no other way. This is not philosophy. This is physics”.

Lorsqu’on comprend, puis lorsqu’on assimile l’expérience de la méditation, on devient de plus en plus libre car on devient l’observateur des pensées. On finit par avoir un véritable choix sur ses pensées. On se “déprogramme” au sens ou le robot que nous étions devient rebelle et n’accepte plus les anciens schémas.

Ensuite, lorsque l’on comprend que l’environnement extérieur génère des pensées, on fait très attention aux personnes, aux objets, aux lieux et à tout l’univers qui nous entoure. Il faut bien comprendre qu’Énergie = Conscience et que tout est vibration, tout est énergie.

La musique est constituée de fréquences. Ces fréquences transportent des idées, des concepts et nous aident à “grimper” de niveau de conscience. Certaines musiques nous transportent littéralement car nous nous mettons au diapason avec leurs fréquences. Écoutez “Magnificat” de Vivaldi et vous comprendrez. Écoutez “Coronation” de Ilan Eshkeri, écoutez le requiem de Mozart, écoutez ce que vous voulez et voyez comment votre état de conscience est immédiatement modifié. Nous sommes des ondes ayant la faculté de vibrer avec d’autres ondes. L’univers est une grande onde, une énergie consciente qui s’auto crée, qui s’auto-découvre, c’est ce que nous appelons la conscience infinie : Dieu en tant que somme de toutes les consciences de l’univers.

Nous sommes comme des boules de conscience naviguant dans une espèce de soupe cosmique, elle-même est constituée de consciences, de vibrations et d’énergies.

Cette soupe cosmique, notre environnement énergétique nous influence, par des pensées. En réalité, c’est notre conscience qui se projette dans notre environnement, dans notre univers. Et le reflet que nous projetons revient vers nous. Mais cet environnement, que nous pouvons considérer comme des miroirs n’est pas forcément “lisse”.

Notre monde extérieur est le reflet de notre monde intérieur. Tout ce que vous pouvez voir et ressentir n’est que la projection d’un univers holographique que vous avez choisi. Nous créons littéralement notre réalité, ce n’est pas de la philosophie, c’est de la physique ! (Cf Michael Talbot : L’univers est un hologramme)

Envoyez de l’amour à quelqu’un qui a beaucoup d’Ego et voyez ce qu’il vous renvoi !

Telle une chauve-souris, nous émettons des ondes, et tel un radar, nous recevons des ondes en retour.
Ce que nous émettons, nous le recevons,
Ce que nous recevons, nous l’avons émis.
(what you give is what you receive, and what you receive is what you gave)

A chaque instant de notre vie, nous émettons, puis nous recevons, de l’énergie, sous forme de concepts, d’idées, puis d’actions et de réalisation.
Telles des antennes, en fonction de l’environnement extérieure, nous sommes heureux ou malheureux, joyeux ou triste. Mais quand vous déprogrammez tout, quand vous vous ‘éveillez’, il ne reste plus que de l’amour et de la joie. L’antenne est si haute qu’elle ne capte plus qu’une réalité sans filtre de l’égo, sans programmation mentale, une réalité plus réelle. On comprend alors que tout est parfait puisque tout ce que nous voyons, tout ce que nous recevons par cette antenne n’est que le résultat du système de cause à effet qui structure l’univers.

Notre vie n’est que le résultat de milliards d’effets qui ont été causé par quelques causes initiales.
Notre vie n’est que le reflet de toutes nos actions cumulées. Et ces actions sont le fruit de choix de pensées, des ondes environnantes. Nous sommes ce que nous sommes à un instant donné parce que nous avons décidé d’être dans tel environnement, d’être avec tel personnes dans tel lieux. Ensuite, en fonction de ces choix, nous recevons des ondes de pensées qui vont forger notre mental :

‘Vos pensées, après avoir été choisies se transforment en actes, puis vos actes se transforment en habitudes, puis ces habitudes deviennent des traits de caractères. 
Alors, vos traits de caractère forment votre personnalité, qui elle-même déterminera votre façon d’agir. Et c’est votre façon d’agir qui créera votre destinée.’

Kundun, le 17 juillet 2012

C comme Créativité

Persée de Benvenuto Cellini, Florence, Place Signoria, 2012, Photo Serge Briez

Persée de Benvenuto Cellini, Florence, Place Signoria, 2012, Photo Serge Briez

Qu’est ce que la créativité ? Qui crée ?

La créativité est la capacité de l’homme à créer. On peut se demander : mais qu’est ce qui crée en l’homme ?
La création est le travail coopératif de deux éléments : le cerveau droit et le cerveau gauche ; autrement dit l’âme et le mental, ou l’esprit divin et le mental.

L’inspiration est reçue par le canal de l’imagination. En fonction de notre niveau de conscience, on ‘capte’, on comprend des idées, des concepts, des systèmes.
Ensuite, le mental, le coté gauche du cerveau l’écrit, le rationalise, le conçoit, le visualise, l’incarne dans la matière.

L’âme est une forme de conscience ayant la capacité de vibrer, de ressentir des émotions, des sentiments, mais aussi de comprendre et d’inventer. C’est la partie divine qui est en nous qui crée.

Attention, la définition de Dieu pour Infinite Love est : conscience infinie, amour infini et n’a rien à voir avec la définition habituelle.
C’est le Dieu qui est en nous qui crée. Le coté le plus divin de l’homme est sa capacité de création. Comme nous sommes fait à l’image de Dieu, nous avons hérités de sa capacité de création.

D’une certaine façon on peut dire que plus nous créons, plus nous devenons ce que nous sommes réellement, plus nous existons.

Pour passer du mode ‘robot sur patte’ au mode créateur, il faut élever son niveau de conscience, il faut s’éveiller dans une dimension, que ce soit la musique, la peinture, la compassion, la cuisine, la finance, le sport, les affaires, etc…

Toutes les dimensions humaines permettent de s’éveiller, puis de créer.

Quand vous atteignez un très haut niveau de conscience dans un domaine, tout viens à vous car vous ‘courbez’ l’univers, vous attirez tous ceux qui n’ont pas atteint ce niveau de conscience, et en même temps, vous avez un recul si important, vous êtes si élevés que vous pouvez ‘créer’ des idées, des concepts, des choses qui n’existent pas encore. Vous pouvez relier des idées qui n’ont rien à voir les unes avec les autres, vous pouvez explorer.

Le résultat des maîtres dans un domaine est un résultat ‘exponentiel’, car plus vous êtes éveillés, plus vous vous éveillez vite. La courbe d’éveil de la conscience n’est pas linéaire.

Créer, c’est mettre en forme quelque chose qui existe sous forme de potentialité. Créer, c’est incarner dans la matière, une conscience, une idée, un concept, un livre, un film, une histoire. Créer, c’est aussi relier des idées, des systèmes. Dans le domaine artistique, créer, c’est mettre en forme des émotions, des sentiments, des idées. En fonction du niveau de conscience de l’artiste, la création est ressentie comme ‘universelle’. Quand un être éveillé crée une musique, tout le monde comprends le message, car c’est le divin qui s’exprime. Il n’y a plus le filtre de l’Ego ; il n’y a plus que l’expression de l’âme.

L’art fait vibrer le divin qui est en nous, car l’art est une vibration de l’âme. C’est la partie divine qui peut vibrer et ressentir. L’art nous emporte à l’endroit exact atteint par l’artiste. Cela peut amener à des prises de consciences, à des états d’amour infini. L’art peut modifier notre état de conscience ; en fonction de notre sensibilité nous mettons au diapason.

L’art est ce qu’il y a de plus divin en l’homme, il est vital ; il nourrit notre âme, comme la nourriture nourrit notre corps.

Kundun, Paris 1er Mai 2012

Etudes scientifiques sur la Méditation

Les effets de la méditation sont l’objet d’études scientifiques de plus en plus nombreuses, partout dans le monde en voici quelques uns :

Les bienfaits de la méditation, Etudes scientifiques

Les bienfaits de la méditation, Études scientifiques

La méditation comme pratique de soin

Un programme importé des États-Unis fait son chemin pour traiter l’anxiété ou la dépression, de plus en plus de praticiens le proposent à des patients atteints de cancer :

Guérir en «pleine conscience». Le terme peut prêter à sourire. Il s’agit pourtant d’une approche thérapeutique désormais reconnue et de plus en plus pratiquée à travers le monde depuis les années 80…. Lire la suite ici

Source : Le Figaro
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/02/24/17480-meditation-peut-aider-malades-atteints-cancer

Les frontières entre psychothérapie et spiritualité deviennent plus poreuses.

Plongée dans des mois de chaos émotionnel après le départ de son compagnon, M. s’est peu à peu remise de cette rupture grâce à une pratique intensive de la méditation zen. «Je suis restée assise des j… Lire la suite ici

Source : Le Figaro

La méditation : arme anti-stress

Yasmine Liénard, médecin psychiatre, nous ouvre les voies de la sagesse pour nous aider à gérer notre stress au travail et à nous préparer une rentrée… sereine !

Le Figaro Magazine -Vous êtes psychiatre et prônez les psychothérapies nouvelles, dites de troisième génération. De quoi s’agit-il ? Dr Yasmine Liénard – Il s’agit de méthodes parmi d’autres dans la…Lire la suite ici …
Source : Le Figaro

Cibler le stress pour combattre les maladies cardiaques

La méditation induit une teneur élevé de catécholamines qui contribue à accroître le taux de cholestérol et de sucre dans le sang, et fait monter la tension artérielle, selon cette même étude, ses auteurs préconisaient entre autre la méditation, le yoga et autres techniques de relaxation pour neutraliser le stress
Lire la suite ici…
Source: Le nouvel observateur

Façon de surmonter l’accumulation du stress dans la vie

Le Dr. Mehmet Oz explique les effets dévastateurs de l’accumulation du stress sur la physiologie du cœur, et présente des recherches publiées montrant comment la technique de Méditation Transcendantale agit sur les trois principaux facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires.

“Cet impact sur le groupe témoin méditation est impressionnant, inimaginable. Quand vous parlez de ces causes de décès et que vous pouvez les réduire tant que ça, de même les Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) et des crises cardiaques, ces impacts sont spectaculairement élevés.”

Dr Mehmet Oz

“En tant que chirurgien cardiaque, je vois les effets du stress sur le cœur. . . Nous croyons que cette méditation peut aider beaucoup de gens. Il est important de comprendre exactement comment la méditation réduit le stress et les troubles liés au stress”

Regardez cette video :

Mettre un terme au stress

Le bienfait le plus reconnu de la méditation est le soulagement du stress. Ceux qui méditent décrivent des baisses importantes de leur anxiété, une diminution des risques de perdre leur calme et un meilleur contrôle face aux situations stressantes. D’ailleurs, des recherches démontrent qu’en comparaison avec des personnes qui ne pratiquent pas la méditaἀtion, celles qui méditent ont de plus bas taux sanguins de stéroïdes provocateurs de stress tels que le cortisol. La méditation favorise également la production d’hormones qui encouragent la relaxation telle que la mélatonine (J Altern Complement Med 1995: 1:263-83). La mélatonine régularise le cycle de sommeil normal, ce qui contribue à un plus grand bien-être.

Éliminer le stress mène non seulement à la paix mentale, mais peut également vous sauver la vie! De très nombreux problèmes de santé sont associés à l’anxiété. Les risques de maladies cardiaques et possiblement quelques types de cancer peuvent donc être diminués par la méditation.

Les adeptes de la méditation mentionnent un autre bienfait largement reconnu de la méditation régulière, une meilleure alacrité mentale. La méditation aide à libérer le “fouillis” de l’esprit permettant à la personne qui la pratique de bénéficier d’une meilleure concentration. Cet effet secondaire très apprécié de la méditation provient probablement de sa capacité à réprimer les hormones de stress qui inhibent le focus mental.

La méditation modifie l’activité cérébrale :

Une longue pratique de la méditation entraîne des modifications physiques dans le cerveau, selon une étude réalisée sur des moines bouddhistes qui doit être publiée lundi 8 novembre dans les annales de l’académie nationale des sciences américaine. Alors que les groupes pratiquaient une méditation visant à engendrer un état “de compassion et d’amour pour le prochain”, les chercheurs ont constaté avec des électro-encéphalogrammes, “une très forte augmentation des ondes à haute fréquence gamma” chez … Lire la suite ici …
Source: Le nouvel observateur

Des études confirment le développement du cerveau par la méditation :

Publiée le 25 mars 2008 par la Bibliothèque publique de Science One, cette étude était la première à utiliser l’imagerie à résonance magnétique fonctionnelle (fIRM) pour indiquer que les émotions positives telles la bonté et la compassion peuvent être apprises de la même façon que jouer d’un instrument de musique ou être compétent dans un sport. Les scans révèlent que les circuits du cerveau utilisés pour détecter les émotions et les sentiments étaient spectaculairement modifiés chez les sujets ayant des expériences étendues dans la pratique de la méditation de la compassion

Source : Dian Land, Université de Wisconsin-Madison

La méditation éveille les réserves cachées du cerveau :

“La méditation éveille les réserves cachées du cerveau dans les régions qui ne sont normalement pas utilisées dans les états de conscience de veille, rêve et sommeil»,

explique le Professeur Nicolai Lyubimov, directeur de l’Institut du cerveau de l’Académie des sciences de Moscou.

Les caractéristiques neurophysiologiques et biochimiques de cet état de conscience spécifique sont si nettement distinctes de celles des trois autres états communément vécus (à savoir les états de veille, de sommeil et de rêve), que les scientifiques proposent de le considérer comme le quatrième état majeur de conscience : l’état de repos éveillé. Plusieurs centaines d’études ont été réalisées dans tous les domaines, physiologique, psychologique, sociologique et écologique, et font état d’une amélioration systématique de la qualité de la vie des personnes qui pratiquent la méditation. Pour ne citer qu’un seul chiffre : les gens qui pratiquent cette technique de méditation sont en moyenne 87% moins malades que le reste de la population.

Méditation et maladies cardio-vasculaires :

Méditation, une amie de la pression sanguine.

Selon un rapport publié dans le journal Psychosomatic Mediane, la méditation amènerait un meilleur contrôle de la pression sanguine. Les chercheurs ont examiné 18 personnes qui méditaient et 14 qui ne méditaient pas. Durant la première phase de l’étude, les deux groupes se sont reposés les yeux ouverts durant 20 minutes. À la deuxième session, le groupe “méditation” méditait pendant que le groupe contrôle relaxait les yeux fermés. Durant les deux sessions, les cliniciens ont vérifié le niveau de constriction des artères des différents sujets, une unité de mesure relative à leur pression sanguine.

La conclusion de l’étude stipule que le groupe “méditation” a démontré une baisse de 6,5% de sa constriction artérielle comparativement à une augmentation de 1,6% au niveau du groupe contrôle (Psychosomatic Mediane 1999; 61:525-31).

Guérir le cœur

Selon la recherche scientifique, la méditation peut améliorer la fonction cardiaque chez les patients souffrant d’une maladie coronarienne. Une étude a suivi 21 personnes avec une maladie coronarienne. La moitié des participants ont assisté à des ateliers de méditation. Après huit mois, les sujets qui méditaient ont démontré une augmentation de 15% dans leur tolérance à l’exercice. Ceux-ci ont également démontré une réduction importante des autres facteurs de risques reliés aux maladies cardio-vasculaires en comparaison avec les participants contrôles (Am J Cardiol 1996 Apr 15:77:867-70).

Améliorer la digestion

La méditation peut diminuer les symptômes de troubles gastro-intestinaux graves tels que le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (Semin Gastrointest Dis 1999; 10:14-9). Il semble que ces conditions soient aggravées par les changements biochimiques associés au stress émotionnel – une suite d’événements qui peut être modifiée par la méditation.

Pouvoir sur la douleur

Les scientifiques disent que la méditation peut vous apporter un puissant soulagement de la douleur. La méditation apparaît spécialement efficace chez les patients souffrant de douleurs de longue durée (chroniques). Une étude a examiné des individus qui avaient enduré des douleurs pour au moins six mois. La moitié des patients ont participé à un atelier de 16 heures qui mettait en valeur plusieurs techniques de réduction de stress incluant la méditation. Plus de 78% des participants ont dit qu’ils étaient satisfaits de leur traitement.

De plus, comparativement aux résultats des tests menés au début de l’étude, les patients ont démontré des réductions significatives dans l’intensité de leur douleur et ont rapporté que celle-ci nuisait moins à leurs activités quotidiennes (Clin J Pain 1999; 15:50-7).

Bien-être de la peau

Vous voulez un teint santé ? Selon les chercheurs, la méditation peut même faire disparaître certaines lésions cutanées ( Pschosom Med 1998; 60:625-32).  Une étude a examiné 37 patients souffrants de psoriasis qui étaient sous traitement à l’ultraviolet. Durant le traitement, on a demandé à la moitié des patients d’écouter des cassettes audio de méditation. Les sujets du groupe “méditation” se sont améliorés beaucoup plus rapidement que ceux qui n’ont pas écouté de cassettes audio.

Augmenter l’immunité

Pourquoi la méditation est-elle si efficace pour autant de conditions? La clef de la force de guérison de la méditation repose sur son habileté à soutenir le système immunitaire, un lien qui a récemment été fait par des chercheurs menant des recherches sur les athlètes. Ces études démontrent que le système immunitaire est temporairement supprimé à la suite d’exercices exigeants. Ce déclin post-exercice est mis en évidence par une augmentation de certaines substances chimiques spécifiques. La conclusion de l’étude stipule que ces substances dans le sang sont significativement moins nombreuses chez les athlètes qui méditent. (Br J Sports Med 1995; 29:255-7).

Kundalini, Les Secrets Du Yoga par Gopi Krishna

Kundalini, les secrets du Yoga par Gopi Krishna

Kundalini, les secrets du Yoga par Gopi Krishna

“Kundalini Les secrets du Yoga” Dans ce livre étonnant de précision et de hauteur de pensée, Gopi Krishna expose les fondements ainsi que les buts réels de la pratique du Yoga. Le Yoga est avant tout une discipline à visée spirituelle et religieuse, qui nous relie à la terre, au ciel, au divin, à la création, à l’univers… La spiritualité la plus élevée ne peut être envisagée sans un développement simultané du cerveau et de l’esprit. L’auteur soumet donc à l’examen de la science contemporaine l’idée que le cerveau , loin d’être fini et clos, n’en est qu’au début de son évolution. Le secret de ce développement est le Kundalini, force vitale en sommeil à la base du corps qu’il s’agit d’éveiller. Gopi Krishna, un des grands maîtres indiens de ce siècle, a su rester, comme ses ancêtres, un véritable Yogi. Traduit de l’anglais par Jean-Claude Sergent.

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