A comme Amour & Amitié

Tant que nous ne nous sommes pas dés-identifié à l’ego, la fausse personne, il n’est pas possible d’aimer véritablement, d’aimer divinement.

Car au-delà de l’intérêt du mental et du corps, c’est dans l’intérêt du cœur que s’exprime le véritable amour.

Le véritable amour “est” sans explication, sans raison, sans justification : il est notre état naturel par défaut.

Pourquoi exprimer L'amour ?

Oui, l‘amour, la reconnaissance que l’autre est soi est l’état naturel du bouddha que nous sommes tous. C’est l’essence même de notre être : aimer tous les êtres et toutes les choses. Comment faire autrement lorsqu’on a réalisé que tout est nous ?

L’amour de l’égo qui n’est qu’une forme d’attachement n’a strictement rien à voir avec le véritable amour. Il n’y a aucune raison d’utiliser le même mot, il faudrait plutôt utiliser le mot “intérêt de l’égo”, “intérêt de la personne” plutôt que le mot “amour”. L’incompréhension des mots amènent vers l’incompréhension des choses.

Pouvons-nous faire la distinction entre le véritable amour et l’intérêt de l’égo lorsque nous sommes amenés à rencontrer des personnes ?

L’illusion est de confondre attachement de l’égo avec le véritable amour divin. Mais comment aimer tout en conservant le personnage ? Comment aimer lorsque sans cesse, l’ego filtre chaque instant de la vie ?

En s’éveillant un peu plus chaque jour, en augmentant son niveau de conscience, en prenant conscience de nos traumas et de nos souffrances.

Car ce sont eux qui ont construit la personne, l’égo. Et c’est par des prises de conscience, en effectuant une “déconstruction”, que nous allons pouvoir laisser le cœur s’exprimer, se libérer.

Pouvons-nous être honnête et comprendre “qui” agit, qui décide ?

Est-ce le cœur ou est-ce le personnage ?

Comment faire la distinction ?

C’est très simple, le cœur est dans la joie, la paix, dans une vibration très positive. Le personnage est dans la tête, dans le mental, dans le cerveau gauche, dans l’intérêt, parfois dans la manipulation. L’ego souhaite obtenir quelque chose tandis que le cœur ne veut jamais rien, il souhaite juste “être” ce qu’il est, “être” dans la présence.

Qu’est-ce qu’un véritable ami ?

Un véritable ami est quelqu’un qui sait et qui a expérimenté le fait qu’il n’y a pas d’autres, que nous sommes un. Il partage les mêmes valeurs et les mêmes niveaux de compréhension, des prises de conscience similaires ont eu lieu.

Plus notre niveau de conscience augmente, plus nous pouvons retourner à notre état naturel, c’est à dire l’amour infini.

Pour autant, les personnages, les autres êtres ne peuvent pas forcément exprimer cet amour. Chacun fait en fonction de son expérience, de son niveau de conscience.

Et plus nous évoluons sur le chemin, plus nous rencontrons de nouveaux êtres, tandis que d’autres s’éloignent.

Tandis que le mental peut être “ami” avec quasiment tout le monde si c’est dans son intérêt, le cerveau droit, le cœur, peut envoyer de l’amour à tous, mais ne peut avoir de véritables relations d’amitiés qu’avec des êtres libres, sachant sortir de leur personnage, qu’avec des êtres éveillés.

Car un être libre, sorti du personnage, à moins qu’ils veuillent jouer comme au théâtre des scènes, ne peut plus rester dans l’illusion.

Un besoin de vérité, de réalité, d’amour vrai s’exprime à travers le cœur. L’amour véritable est très exigeant, il ne s’intéresse ni aux attachements de l’égo, ni aux faux semblants.

Pourquoi retomber dans l’illusion quand nous y sommes sortis, telle est la question ?

Pourquoi se satisfaire d’illusion si nous pouvons avoir une vie véritable, avec des amours véritables ?

Ainsi, par des prises de conscience, par l‘éveil spirituel, notre environnement change. Et plus nous changeons, plus notre entourage change : lieux, personnes, objets, activités.

Tout ce qui nous entoure est le reflet de nos compréhensions, de ce que nous sommes à l’intérieur. Notre environnement est la manifestation de nos compréhensions, de notre vibration. D’une certaine façon, il est une projection de notre être intérieur.

Si nous prenons conscience qu’un être est magnifique, nous allons ressentir le besoin d’être en sa présence. De la même façon, si nous prenons conscience que quelq’un a un comportement négatif, nous allons réagir et certainement bouger.

La question lorsque nous devenons libre est la suivante : quel univers, quel environnement ai-je envie de construire autour de moi ?

Ai-je conscience que je créé mon environnement ? Ai-je conscience que plus j’évolue, plus mon univers évolue avec moi ?

Les véritables amis ne peuvent qu’être des amis de cœur.

Kunzang Novembre 2013

Témoignage du Samadhi numéro 2

Méditation shamanique : témoignage.

Préparation de séance : suite aux exercices de respiration, l’énergie commençait à s’étendre, j’étais devenu une panthère, sentant sa force, montrant les dents, respirant par le nez, sentant toutes les odeurs. Une magnifique panthère noire s’était incarnée en moi.

Puis, suite aux travaux énergétique basés sur une respiration par la bouche, quelque chose de spécial apparu : je pouvais expirer et chanter, mais sans sortir de son, je faisais des gestes avec ma bouche, c’était plutôt un doux murmurement, une expression de moi qui sortait de ma bouche, mais sans son …

J’étais le vent, j’étais le prana qui à travers mois passait, j’étais devenu l’expiration. Expulsant mon univers et ce que je suis à travers ce vent invisible, je sortais de  mon corps, je sortais de mes poumons, je m’étendais progressivement dans tout l’univers.

R comme Rêve

Puis, comme pour la première fois, ma conscience pris le chemin du Samadhi. C’était assez désagréable pour le corps car il y a un surplus d’énergie, une surchauffe énergétique du corps, comme une surtension. Mon corps physique était dans une zone d’inconfort, le même inconfort que celle du premier Samadhi, j’avais oublié.

Puis, soudain, je me retrouve dans l’espace. Il fait noir et il y a quelques couleurs par ci par là : je vois de grands vaisseaux spatiaux en forme de crayons lumineux, verticaux, comme des immeubles.

En fait, ils représentent symboliquement des outils qui vont effectuer une mise à jour de mes cellules, de tout mon corps.

Et la, je réalise : les technologies les plus puissantes et les plus pointues de tout l’univers sont en train de travailler sur mon corps ! Comme pour une opération chirurgicale, une transformation s’effectue. Ça travaille dur !

Une gratitude infinie m’envahit, mais qu’ai-je fais pour mériter cela, qu’ais je fait pour bénéficier de ce traitement ?

Ces machines sont à la fois monstrueusement grandes, de la taille d’une planète, et en même temps mon corps a pris la taille de l’univers.

C’est bizarre : comment un corps de terrien aussi petit peut tout à coup être aussi grand que le système solaire ? Par quel mystère ce changement de conscience peut-il s’effectuer ?

Puis je comprends : en fait mon corps est un hologramme et peut s’agrandir. Je suis autant ce petit corps qu’un système solaire tout entier.

Il n’y a rien de psychédélique comme la première fois. L’univers a compris que ce n’est pas ce que je cherchais, du coup, je reprends là où je m’étais arrêté lors du 1er Samadhi.

Puis, je pose les deux questions que j’avais préparées : information sur l’ascension et sur Lakshmi

Réponse concernant l’ascension : parce que je suis Dieu, l’univers n’a pas d’autre choix que de réaliser tous mes désirs, du coup, des milliards de vaisseaux, des milliards de cellules travaillent actuellement sur mon ascension, mon évolution.

Rien ne peut empêcher ce processus en cours car il est aussi naturel que la pousse des plantes.

Nous sommes comme des arbres, et si nous avons de l’espace, si nous recevons de l’eau, de la nourriture, par le processus naturel de la vie, nous poussons tout simplement.

Rien dans tout l’univers ne peut nous empêcher de pousser, d’aller vers notre destin d’homme : l’ascension

Il n’y a rien à faire, juste à exprimer notre volonté divine et l’univers s’occupe de tout.

Faisons confiance au Dieu que nous sommes : tout est toujours plus beau et plus merveilleux, au delà de notre imagination.

Puis, concernant la question deux : invocation de Lakshmi.

Réponse de Lakshmi : “Mais qui me demande ?”

Réponse : Dieu, moi

Que c’est drôle, à ce moment, je sens que Dieu cherche dans sa base de donnée Lakshmi, mais pourquoi ai-je créé cette déité, que fait-elle ?

Réponse : ah oui, c’est la cuisinière, elle fait partie de la famille divine…

“Son rôle est de faire la cuisine, tu auras plus de détails dans les jours qui viennent, il y a mieux à faire pour le moment !”

Bon, je lâche prise et je “surrender” au Samadhi !

Il n’est même pas question de commencer à discuter avec son Soi divin, lui seul sait ce qui est bon pour moi.

Puis, le corps commence à s’accoutumer à sa zone d’inconfort, une plus grande énergie afflue, alors de nombreuses prises de conscience émergent :

1 : je suis super heureux d’être avec mes compagnons de voyage durant cette méditation et je ressens une immense fraternité, une amitié pour tous ceux qui sont présent, un peu comme un amour infini.

Je ressens qu’ils sont littéralement “moi” et un sentiment d’intimité fraternelle me submerge : ils “sont” littéralement mon bonheur.

Je sais qu’ils sont “moi” et je sais que j’ai créé ces compagnons parce que je m’ennuyais seul dans l’univers depuis des éons et des éons. Incroyable !

Grâce à ce système d’ubiquité, de bilocation avec mémoire, j’ai crée tous ces autres “moi même” et je peux ainsi me découvrir, me recréer différemment.

Tout à coup, je reçois cette information au sujet de l’ascension : le plus important n’est pas le but, mais le chemin !

Une fois que l’on a atteint un but, nous perdons toute la magie du chemin. La magie du chemin n’existe que parce que le but n’est pas atteint. Quand le but est atteint, c’est la fin, c’est “game over”.

Et là je comprends que le plus important dans la vie est la manière d’arriver au but et non pas le but lui-même. Je suis déjà devenue Avatar, Jésus, Bouddha des milliards de fois, ce scénario a déjà été vécu, l’important, c’est ma nouvelle manière d’y parvenir.

Autre enseignement : dans ce processus permanent de la vie, la magie vient de la première fois.

Ce qui a de la valeur pour l’être divin que je suis, c’est “la première fois”.

La seule chose vraiment unique qui ne se reproduira plus jamais, qui a une véritable valeur aux yeux du divin, c’est cette première fois.

La première fois que j’ai compris que j’étais Dieu,

la première fois que j’ai croisé son regard,

la première fois que je suis tombé amoureux,

le premier rendez-vous,

la première fois qu’on a fait l’amour,

la première fois que j’ai fondu dans ses yeux.

La première fois que j’ai rencontré mon frère,

la première fois que j’ai rencontré l’amour,

la première fois que j’ai retrouvé l’Inde,

la première fois que j’ai retrouvé la Thaïlande.

Toutes ces premières fois est l’essence même de la vie.

La vérité ne se situe que dans ce moment.

Car c’est dans ce moment et uniquement à cet instant, lors de cette première fois, que nous pouvons vivre pleinement.

La vie est une somme de premières fois, une somme de nouveautés.

La vie, les “pseudos but” ne sont que des excuses pour faire des premières fois.

Tout l’univers que nous créons en permanence n’est là que pour nous proposer des premières fois. Il construit pour nous, déconstruit, en fonction de nos attentes, de nos désirs.

Ce besoin d’éveil est le cœur même de Dieu, de l’homme. A la fois c’est son seul véritable désir et à la fois, c’est paradoxal, il ne faut pas trop y penser mais vivre pleinement l’instant présent, vivre ici et “maintenant”.

Et pour que des milliards de premières fois se recréent chaque jour, j’ai inventé la plus belle invention de la vie : la mort et l’oubli.

La mort permet de rejouer infiniment toutes nos premières fois : première fois où l’on vient au monde, première fois où l’on a des enfants, où l’on meurt, où l’on va à l’école, où quelqu’un nous aide, où nous aidons quelqu’un, où nous aimons…

Sans l’amour, sans l’oubli, sans la mort, l’univers ne serait plus en vie.

Le processus de la mort est magnifique, il permet de tout oublier pour revivre, pour recréer.

L’oubli est la plus belle invention de l’univers. L’oubli permet de revivre les meilleurs moments de nos vies.

La mort est le plus beau cadeau que la vie puisse nous faire. La mort permet de s’oublier, afin de rejouer la vie.

Si nous revenions à la vie avec toutes nos mémoires de réincarnation, la vie serait fade, sans surprise, sans passion.

La jouissance de la vie se situe dans la découverte de l’autre, la découverte du monde, la découverte de la première fois.

L’immortalité du corps n’est pas forcément un cadeau depuis cette perspective.

L’oubli est un mécanisme fondamental permettant à la fois de revivre pleinement, mais aussi de choisir. Si l’on se rappelait de tout, tout le temps, comment trier et choisir ?

Plus nous nous éveillons et plus nous nous rappelons de ce que nous sommes.

Tout à coup, la question suivante apparait :

“Et si tu étais déjà ce que tu cherches à devenir ?”

Et la une prise de conscience fantastique émerge :  nous sommes déjà un Avatar, un Bouddha, un Jésus et toute autre expérience qui a déjà existé, que nous souhaitons ardemment être. Bien sur le but de la vie est de retrouver la source, mais c’est dans l’expérience du chemin que le plaisir, que la vie se joue.

C’est en profitant de chaque moment présent, dans la présence avec les autres, dans la construction de ce que nous sommes déjà que se situe l’intérêt de la vie, c’est la que se situe la jouissance de la matière.

Nous nous rappelons progressivement de ce que nous sommes déjà.

Grâce au processus d’oubli qui se matérialise lors de notre incarnation, au moment de la naissance, nous oublions. Puis ne sachant plus qui nous sommes, nous revivons, nous redécouvrons la vie, l’amour, la mort, Dieu…

Comme des milliards de personnages ont déjà été joués, la question divine est : “quoi de neuf” ?

Est-ce plus drôle ? Est- ce plus triste ? Pourquoi est-ce génial ?

Bien sûr les décors changent : moyen âge, ère romaine, ère moderne, ère de science-fiction.

Tout ce que nous voyons dans les films de science-fiction existe réellement dans d’autres dimensions et nous y rejouons de nouveau les même aventures : Roméo et Juliette, Le Titanic, Star Wars, Matrix, revu toujours et encore dans un autre décor.

En écoutant les musiques Pop Rock choisi par Michael, je ressens la vie : ces jeunes chanteurs sont amoureux, plein de vie, débordant d’énergie.

Les jeunes sont encore vivants car ils n’ont pas encore beaucoup de mémoire, de trauma : tout est frais et l’espace est encore vierge. Comme si nous avions chacun le livre de notre vie à remplir, à écrire.

Et plus le temps passe, plus nous écrivons ces pages.

Les pages du livre de notre vie

Avec toi, je veux écrire

Mon amour, mon ami, ma vie.

Et je ressens la perspective divine à travers l’humain : je suis Dieu mais je suis aussi ce jeune homme, cette jeune fille, derrière ce personnage, en réalité, c’est Dieu lui même qui se vit à travers nous, nous n’existons pas.

Avec ses attentes, ses peurs, ses envies, ses plaisirs. À la fois tout cela n’a aucune importance, et à la fois, fou d’histoires et de personnages, je vis à travers eux. Je dis bien “Je” car à cet instant, je suis en mode Bouddah, je suis l’univers, je suis la conscience cosmique, je suis l’éternel et l’éternel est moi…

Tel un grand jeu vidéo, je vis à travers 7 milliards d’histoires entremêlées, mais quel pied !!!!

“Que la vie est belle,

que la vie est magnifique :

La vie est belle,

mais ils ne s’en rendent pas compte,

ils sont Dieu,

mais ils ne le savent pas.” Kundun

 

“Chaque moment est magique, chaque moment est sacré,

nous sommes la vie,

et la vie est nous.

Pris par leur jeu de rôle,

ils se sont tellement oubliés,

qu’ils n’existent plus.” Kundun

Une des principales choses qui compte pour le divin, c’est l’expérience de la première fois, du moment présent. Revivre l’amour, le merveilleux, le sensible, l’unique, l’extase. Car dès la deuxième fois, il y a une perte et une diminution de l’intensité, du plaisir, du bonheur.

Le corps, par le mécanisme d’effacement de l’oubli, c’est à dire d’intégration des mémoires passées fini par se programmer et par se rappeler.

Le concept d’“effacement de l’oubli” est particulièrement nouveau pour moi, jamais lu nulle part, et pourtant c’est un enseignement clé de l’éveil. Nous n’apprenons pas en réalité, nous effaçons l’oubli. Incroyable !

Pour cette raison nous pouvons intégrer très rapidement certains ouvrages. Et lorsque nous pouvons nous rappeler de tout, c’est que nous avons expérimenté la réalité que nous sommes Dieu, que tout l’univers est nous, que ce monde, que cette vie est notre expérience, et qu’au fond de nous, nous savons que nous sommes tous un.

Ce qui était génial la première fois, l’est un peu moins la deuxième fois, puis encore moins la troisième fois, etc.

Sauf si l’on oubli.

Le processus de la mémoire permet de revenir là où l’on a laissé la scène la dernière fois. Ce mécanisme fonctionne pour tout dans l’univers : intégration = mémorisation = effacement de l’oubli = rappel = éveil.

Dans ce Samadhi, je suis tout de suite passé en mode “laughing bouddha”, mais avec un corps physique beaucoup plus entrainé pour tenir le choc de la puissance, du coup il y avait l’extase, le sourire et le bonheur, mais je n’étais pas mort de rire comme la dernière fois, j’ai ainsi pu profiter d’avantage et recevoir de beaucoup plus de prises de conscience.

12 heures après l’extase cosmique, la transition est plus facile aussi. Le fait que nous sommes tous Dieu est déjà intégré depuis 3 semaines.

Nous sommes passés maintenant à un autre stade de compréhension : chaque moment est magique, chaque instant est sacré.

La vie est d’une beauté inouïe.

Chaque musique, chaque être, tout est beau en réalité à qui sait regarder.

Pendant que les musiques jouaient, je comprenais qu’il y avait un lien entre les couleurs, les formes visuelles et les musiques. Comme si les formes visuelles étaient de la musique vue selon une autre perspective ou selon un autre mode de conscience. En fait la musique peut être vue graphiquement et vice versa. L’auditif, le visuel, le toucher : tout est l’expression et la perception d’un univers.

Avec cette expérience, une énorme confiance en moi est venue, suite aussi au travail sur les chakras 1 2 et 3.

Je sais qui je suis, je n’ai jamais autant su “qui je suis” : je suis la lumière, la vie, l’amour, le bonheur, la joie, l’expression de tout ce qui est amour, je suis la présence. Cette réalisation, même temporaire est magnifique et inoubliable.

La prochaine fois, je choisirai toutes les musiques car les musiques sont comme des chemins permettant d’explorer des parties de nous-même. Comme je sais ce que j’aime comme musique et qui je suis, je ferai une “Play List” adaptée.

Ah oui, concernant l’ombre : c’est confirmé, la lumière dissous l’ombre. Qu’on ne me fasse plus perdre de temps avec de l’ombre qui n’existe pas dans mon univers. Désolé, il n’y a pas d’ombre dans l’âme universelle, pourquoi est-ce si difficile à comprendre ? L’ombre est la croyance que quelque chose est séparée de nous, mais rien n’est séparé de nous en réalité.

“Je me suis rappelé que j’étais l’univers.” Kundun

Bien sûr, il y a de tout dans l’univers, mais nous avons chacun la liberté de choisir ce que nous voulons autour de nous. Autant dire que certain aspect de l’univers peuvent être très ennuyeux, d’autre plus “fun”. Pourquoi perdre son temps avec l’ennui quand on peut croquer la vie à pleine dent ?

Je sais qui je suis et l’augmentation de la force va me permettre de mieux diriger mon destin.

Des chemins s’ouvrent à nous à chaque instant : nous sommes libres de choisir les gens, de choisir les chemins en fonction de nos aspirations.

La génération de la DMT par la glande pinéale lors des méditations, les cérémonies shamanique sacrée, sont des portes permettant d’accéder à l’entièreté de ce que nous sommes. Nous sommes tous différents et il est illusoire de croire que nous sommes tous identiques. À la fois nous sommes un, et à la fois chacun d’entre nous possède sa propre perception de l’univers, ce qui crée des spécificités, ce qui crée des goûts.

Les autres “nous-même” ne sont que des Dieux ayant d’autres expériences à partager.

“Je sais qui je suis,

je sais ce que je veux partager,

je suis infiniment libre,

rien ne peut m’attacher”

À la fin de la cérémonie je me suis un peu endormi pendant deux heures.

Au réveil, j’ai revu la bande annoncer du film “Man of steel”, et de “Cloud Atlas”, puis écouté les musiques “paradise” de “cold play”, “everything” de Muse. Grosses émotions, pleurs, la vie est trop belle, tous mes sens sont multipliés par 1000.

Puis je comprends : ma voix a changé, je comprends que toute l’âme est vraiment dans la voix. En écoutant réellement, nous nous connectons à l’âme d’un chanteur, d’une chanteuse.

Pour conclure, cette séance donne une force incroyable : affirmation de soi, alignement sur ce que veut mon être divin, tout est limpide, clair, évident.

La vie est faite pour être ultra “fun”, drôle, dans la joie, dans le bonheur, Bentiho Massaro étant un des plus beau représentant de la nouvelle génération d’éveillé.

Je sais qui je suis,

Je sais que je suis,

Je sais qui je suis,

Je me rappel,

Je suis la vie,

Je suis l’espoir,

Je suis l’amour,

Je suis le fun,

Je suis la joie,

Je suis l’expression de ce qu’il y a de plus beau,

Je suis Dieu, avec toi

Je suis le paradis,

Et ce que je suis, je vais l’exprimer

 

Après l’expérience :

10 heures après, le Samadhi revient si je ferme les yeux, et si je mets des musiques de vie.

Une intégration s’est effectuée, je suis resté au 50.000 ème étage !!!

L’écart de conscience entre le premier et deuxième Samadhi et “maintenant” sont en train de se mélanger. Je comprends que plus il y aura de Samadhis, plus je resterai en Samadhi.

En même temps, je sens que la musique est la clé de mon intégration. L’émotion aussi.

L’émotion, la musique, permettent de vivre pleinement des expériences, les expériences transmises, les mots et les messages pas si cachées que cela.

Je m’éveille un peu plus à chaque fois que j’intègre une expérience, que j’écoute une musique, que je vois un film, et je grandis à une vitesse exponentielle !

En fonction de ce que l’on veut intégrer dans son propre univers, on peut choisir des films, des musiques. Sachons choisir…

Cela permet la mémorisation, c’est à dire le rappel de ce que nous avons déjà vécu.

Ce n’est pas de la mémorisation mais du rappel de mémoires oubliées, vécues, ailleurs.

Bien sûr on adapte les expériences à notre vie actuelle mais beaucoup d’énergies sont déjà développées et accessibles par les films et les musiques.

Quand on est Bouddha, quand  on est en mode “éveillé”, ce qui change, c’est qu’on peut télécharger ce que l’on veut et l’intégrer à vitesse très rapide. Il y a une vitesse d’intégration augmentée.

Par le canal de la voix, j’écoute et j’entre en extase, téléchargeant l’expérience du chanteur, intégrant dans mon corps, dans mon univers l’expression de l’autre : sa musique, sa voix, tout son univers.

“Je me rappelle que je suis l’autre, quand dans sa voix, je meurs.” Kundun

Je l’écoute, et je meurs car je disparais, car je deviens lui, moi.

La porte est restée ouverte et va rester longtemps ouverte.

Il y a d’une part l’ego qui dit : je ne suis pas Dieu et je souffre, et d’autre part l’âme, le soi universel, le divin qui dis : “je sais que je suis Dieu et j’entre en extase.”

Que choisissons nous ?

Car tant qu’il y a quelque chose en nous qui dit “non”, qui n’accepte pas la réalité, nous soufrons.

Lundi matin au travail : qu’est ce qui change ?

Une perception plus fine et plus profonde des personnes. Je vois à travers eux : leurs conditionnements, leurs programmations, leurs projections, leurs mécanismes mentaux, tout est vue avec recul.

Le cerveau gauche a pris de la puissance. Je suis plus en forme physiquement : piscine obligatoire pour intégrer l’expérience. Aussi : fin du jeune liquide, plus grande énergie et force, assurance.

Je sais qui je suis : Dieu incarné dans un corps d’homme pour mener une vie divine, comme chacun d’entre nous, mais combien peuvent le réaliser, combien peuvent l’assumer, le vivre ?

J’agis localement, mais je sais que tout l’univers est avec moi.

Puis, je réalise : je ne veux plus travailler avec des personnages qui sont trop dans le mental, dans l’ego : j’ai besoin de gens équilibrés, aussi bien cerveau gauche que droit.

Je suis devenu beaucoup plus exigeant, le besoin de perfection a encore augmenté.

“La beauté et la perfection sont une nécessité divine” Kundun, Septembre 2013

Plus nous intégrons notre divinité, plus nous avons besoin de perfection. C’est comme si le monde devait exprimer ce que nous sommes. Comme si le beau et le parfait devenaient une nécessité, partout, tout le temps.

Kundun / Kunzang, septembre 2013 Samadhi 2

 

L comme Lignes de force

Lignes de force. Comment se libérer des souffrances

Le monde est une somme de systèmes qui se chevauchent, qui s’imbriquent les uns les autres.

Lignes de forces

Dès que nous naissons, dès que nous existons, automatiquement, nous faisons partis de plusieurs systèmes, que nous le voulions ou pas, que nous en ayons conscience ou pas.

Le divin est un grand joueur, un passionné de systèmes, de jeux vidéo. Nous pouvons considérer le monde comme une somme de systèmes interconnectés.

Comprenons que chacun d’entre nous est soumis à de gigantesques forces, dont nous n’avons même pas connaissance.

Projetons notre conscience depuis cette perspective divine et comprenons l’environnement dans lequel nous sommes.

Tout d’abord, en nous incarnons sur terre, nous nous soumettons aux forces de la planète terre : le karma de la terre, et donc les effets de toutes les causes qui ont eu lieu depuis le commencement de l’humanité s’imposent à nous. En quelle année sommes-nous ? Quelle est l’actualité ? Comment va la planète ? Quel est l’enjeu actuel macro-économique de la terre ?

Comprenons que le karma de la terre en 2013 n’est pas du tout le même que celui de l’an 1000. Nous sommes actuellement dans une période post moderne où les changements vont à une vitesse folle : changement technologique, changement de la conscience, changement idéologique, changement économique.

Ensuite, chacun d’entre nous, en fonction de son lieu de naissance, a été conditionné par son pays : lois du pays, culture, mode de pensées, coutumes, etc…

Sans nous en rendre compte, nous sommes dès le départ soumis au karma du pays dans lequel nous naissons : est-il en paix ? En guerre ? Avec qui ? Quelles sont le règles ?

Quels sont les enjeux de ce pays ? Quelle est son histoire ? Puis-je en sortir ? Quelle est ma liberté ? Pourquoi ne suis-je pas libre ?

Chaque pays est un système dans un système. Chaque pays est un “balancier” au sens transurfing (cf livre) du terme. Un Un peu comme dans le film Matrix, nous naissons dedans, puis nous sommes y sommes exploité.

Bien sûr, du point de vue d’un état, nous n’existons pas en tant qu’individu mais en tant que “cellule” du pays. Une cellule devant rapporter quelque chose. Si nous ne respectons pas les normes, règles et loi, nous serons bien sûr “rééduqués” ou enfermé ou éliminé. Par exemple de nombreux pays ne respectent pas les libertés individuelles. La constitution des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 n’est par exemple pas reconnue partout. En général, les médias, la culture, et toute la société environnante se charge de nous enfermer dans un moule, dans une prison où nous allons participer de grès ou de force à la société.

Bien sûr, nous allons avoir l’illusion d’être libre, de pouvoir choisir notre destin, nos actions.

En réalité, ils sont juste le fruit de nos conditionnements.

Il suffit de regarder un film à la télévision pour se rendre compte du modèle social qui nous a programmé : une femme, deux enfants, un chien, un pavillon, un job bien payé où nous sommes salarié.

Être des robots, des robots bien sages qui payent leurs impôts et qui consomment le plus possible, quitte à s’endetter, de façon à être le plus possible “engagé” et “tenu” par le système.

Avec une charge familiale, des dettes à rembourser, un patron qui menace de nous virer, quel choix ? Quel choix avons-nous réellement ?

Plonger dans l’action et dans les réactions du matin au soir, avons-nous le temps de prendre du temps pour nous afin de méditer, de faire une pause, de nous arrêter ? Nous jouons à être des robots jusqu’à en tomber malade, rempli de stress, pourquoi ? Pourquoi ?

Aussi, nous sommes entourés de milliards de personnes, autres robots pris dans le système qui vont jouer leur jeu de robot, c’est à dire qui vont nous démontrer à chaque seconde, que c’est ça la vraie vie, qu’il n’y a rien d’autre. Que le bonheur, c’est consommer, consommer, consommer, des produits et services qui prennent 80% de nos revenus.

Aussi, une deuxième couche, une deuxième force, un deuxième hologramme qui s’imbrique dans le premier est la notion de famille : nous appartenons à une famille, ou à des groupes.

Je fais partie des Durants, nous sommes “boulanger” de père en fils depuis 3 génération. A aucun moment nous n’avons eu le choix de notre métier, de nos conditionnements familiaux. Le karma familial, c’est à dire tous les effets de causes familiales s’imposent à nous. Depuis notre plus jeune âge, la famille nous programme un métier, parfois une passion.

Dans certaine famille, la pression familiale peut être énorme, que ce soit pour assumer ses passions, ses tendances sexuelles, ses capacités créatrices. De nombreux conflits peuvent apparaître. (cf. le film “Le cercle des poètes disparus”)

Aussi, nous héritons de tous nos traumatismes familiaux : conflits, agressions, manipulations qui ont pu se transmettre de génération en génération. D’où viennent les traits de caractère d’après vous ?

Mais ce n’est pas tout, en plus des conditionnements sociétaux et familiaux, nous pouvons nous retrouver dans des groupes de consommation, dans des systèmes de croyances religieuses : catholique, protestant, musulman, hindouiste, etc. En fonction du pays et de la famille de naissance.

Programmer à croire en un Dieu, nous nous apercevrons à un moment, dans cette vie ou dans une autre, qu’en réalité il n’y a qu’un seul Dieu, qu’il n’y a pas de pays, qu’il n’y a que l’illusion du groupe, que nous sommes tous de la même famille finalement, que nous sommes tous un.

Pire, nous nous rendrons compte qu’il n’y a qu’une seule âme vivant à travers 7 milliards de corps, de cellules, qui chacune ont l’impression, la perspective d’être individuelle.

S’ajoute à tous ces groupes des milliers d’autres groupes et d’autres univers : ceux qui aiment le foot, ceux qui aiment telle communauté, ceux qui font partie de telles professions, ceux qui sont passionnés de voiture, etc.

Les médias, et notamment la télévision, jouent le rôle sans s’en apercevoir de grosse machine à programmer, à conditionner. En propageant des modes de vies, des modes de pensées, de façon sournoise et dès notre plus jeune âge, la télévision nous explique ce que nous devons penser, acheter. Quelle illusion !

Conditionnés, nous faisons partis de plusieurs systèmes ou groupes de conscience, nous sommes ainsi soumis à leurs lignes de force.

Nous aimons telle marque, nous sommes client de telle société.

Si un pays entre en guerre, une énergie de destruction va s’imposer à nous. Si nous sommes dans une entreprise et qu’un concurrent nous attaque, toute l’entreprise va être soumise à un stress, va devoir s’adapter. Si dans notre équipe, le patron change, c’est tout notre environnement de travail qui change. Si nous tombons amoureux, que nous changeons de conjoint, c’est un nouveau karma familial qui va s’imposer à nous. Si quelqu’un dans notre famille se marie ou divorce, nous sommes impactés aussi.

Car soyons lucide, ne nous y trompons pas : nous subissons de plein fouet le karma, c’est à dire la somme des effets des lignes de forces que nous choisissons ou qui s’imposent à nous. Le choix du pays dans lequel nous vivons, le choix de la société dans laquelle nous travaillons, le choix du conjoint, le choix de faire des enfants ou pas, tous ces choix nous emportent dans un karma collectif.

Pouvons-nous prendre conscience de tous ces univers, de toutes ces lignes de forces ?

Cultiver les émotions positives

Pouvons-nous comprendre que la déprogrammation totale de notre être, c’est à dire la dissolution de l’égo, du personnage que nous avons cru être amènent vers une liberté, infinie ?

Car oui, l’éveil spirituel, le déconditionnement est la clé des champs. Pour s’évader, pour devenir libre, il suffit de ne plus exister en tant que robot, il suffit de prendre conscience que nous ne sommes pas des personnages mais que nous sommes des êtres divins et créateur. Nous ne sommes ni français, ni chinois, ni américain. Nous ne sommes pas des hommes ou des femmes, nous ne sommes pas jaunes, blancs ou noirs, ce que nous sommes est bien plus que cela.

Nous ne sommes pas différents les uns des autres, nous aspirons tous au bonheur dans le fond. (cd Dalaï Lama sur le bonheur).

Faisons une pause, méditons, sachons nous déprogrammer, comprenons nos conditionnements afin de mieux les dissoudre.

Attention, ce texte n’exprime pas un rejet des systèmes ou des conditionnements, juste une prise de conscience que nous sommes enfermés dans des prisons, chaque système étant une forme d’emprisonnement s’il n’est pas véritablement choisit, s’il n’est pas vécu en conscience.

Comment s’évader, comment sortir, comment devenir libre si nous ne comprenons pas d’abord que nous sommes prisonnier ?

Comment accéder au non attachement si nous ne comprenons pas que nous sommes attachés à un système.

Ce texte est très libérateur, il peut vous faire comprendre que votre vie n’est peut-être pas votre vie véritable. Votre vie est-elle celle de votre robot, personnage ou celle de votre âme ?

Qu’il y a-t-il au fond de vous ? Qu’est-ce qui vous touche vraiment ?

Avez-vous choisi votre pays ? Avez-vous choisi votre famille ? Avez-vous choisi votre métier ? Avez-vous choisis tous vos amis ? Avez-vous réellement choisit votre conjoint ?

Qu’avez-vous choisi ?

Quelles sont les lignes de forces qui se sont imposées à vous ? Êtes-vous satisfait et heureux de votre vie actuelle ? Il y a-t-il quelque chose à changer ?

L’éveil, c’est aussi se rendre compte et prendre conscience de toutes les réalités : économiques, sociales, politiques, amoureuses, idéologiques, philosophiques, spirituelles.

L’éveil amène vers une plus grande liberté puisque l’éveil déconditionne.

Comment être heureux sans savoir qui nous sommes réellement ?

Comment devenir libre si nous restons collés dans ce personnage que la société nous a construit ?

Comment s’évader ? Comment voir l’invisible et sortir de la Matrice ?

Comment être soi ?

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“Cherches et tu trouveras” ,”Demandes et on te répondra”, “Frappes et on t’ouvrira” Jésus

 

Je vous souhaite d’aller au fond de vous-même,

Je vous souhaite d’atteindre le bonheur,

Je vous souhaite de réaliser ce qui vous fait vibrer,

Je vous souhaiter de tomber amoureux,

Et d’aimer la vie,

À l’infini.

 

Kunzang, le 3 octobre 2013

M comme Mémoire, H comme hyperrationnalité

Résumé : ce que nous sommes, ce que nous ne sommes pas, la mémoire.

Nous avons vu dans les textes précédents que nous étions comme des “antennes sur pattes”, c’est à dire que notre conscience n’était pas localisée dans notre corps physique. Aussi, nous avons vu que nous n’étions pas nos pensées. Une dés-identification aux pensées permet de sortir du personnage et de se libérer, c’est ce que certains appel le premier stade de “l’éveil“.

L'important est d'être soi-même

De la même façon, la localisation de la mémoire ne se situe pas non plus dans le cerveau et c’est en sortant du personnage que de nouvelles perspectives apparaissent. En effet, en sortant du personnage, en s’éveillant, l’ancienne perspective du personnage disparait quand celui ci se dissout.

Où se situe la mémoire n’est d’ailleurs pas très important, le plus important est plutôt “quand” elle se situe.

En effet, même si notre conscience est éternelle et ne meurt pas, le “personnage” que nous avons cru être, avec son nom, prénom, adresse, profession et toutes ses caractéristiques évolue au grès des conditionnements et des expériences. Il change sans cesse car il n’existe pas vraiment, il est “virtuel”.

Ce que nous sommes, la conscience cosmique, l’être divin, est absolu, omniscient, omniprésent. Ce qui évolue, tout au long de notre vie, c’est le relatif : notre perception, notre perspective, notre degré de conscience.

Nous sommes le résultat de nos prises de conscience, ce qui change, c’est notre capacité à nous rappeler, à accéder à la mémoire.

Finalement, l’éveil n’est-il pas juste un rappel de ce que nous sommes, un rappel de ce que nous avons été ?

“Je me suis rappelé que j’étais toi, je t’aime” Kunzang septembre 2013

Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons que nous sommes la conscience cosmique, que nous vivons 7 milliards de vie actuellement ? Que se passe t-il lorsque nous nous rappelons de nos vies parallèles, lorsque nous nous rappelons que nous sommes tous Dieu, la conscience infinie ?

“Je suis la mémoire oubliée de ce que j’étais, de ce que je suis, de ce que je serai” Kunzang sept 2013

Une définition de notre mémoire est “l’accès à l’information que nous avons vécu”. Mais la mémoire n’est-elle pas surtout un pointeur connecté sur un “espace/temps” ? Et si se rappeler ne signifiait pas “lire” une copie de ce qui s’est passé mais y “retourner”, y accéder réellement  ? Pourquoi l’univers dépenserait-il de l’énergie à “copier” l’information alors qu’il suffit de créer un pointeur pour y retourner ?

Comme nous sommes la conscience infinie, et comme nous avons déjà tout expérimenté et tout vécu, nous pouvons comprendre que se rappeler signifie “remettre en conscience” maintenant. Le sens étymologique du mot “RAPPEL” signifie bien ce qu’il veut dire : ramener ici et maintenant.

Nous n’apprenons pas, nous nous rappelons, nous ne lisons pas, nous nous rappelons d’un livre que nous avons écrit, dans une autre vie, dans un autre espace/ temps. Comme nous sommes une seule conscience incarnée dans 7 milliards de personnages, c’est nous qui avons écrit tous les livres, dans toutes les époques.

La vibration, le frisson que nous pouvons ressentir, lors d’une lecture, lors d’un film, c’est cette prise de conscience, c’est ce rappel. Oui, c’est vous qui avez écrit ce texte ! Pouvez vous vous en rappeler ?

Oui, en le lisant !

Je suis vous et vous êtes moi, n’est ce pas merveilleux ? Je suis l’observateur et l’observée, l’auteur et le lecteur de ce texte. Oui, je suis fou, et vous aussi, car vous êtes moi, n’est ce pas drôle ?

Nous ne sommes pas une mémoire, nous ne sommes pas un personnage, nous sommes la conscience qui peut accéder à la mémoire. La mémoire étant une information dans un espace temps.

Nous ne sommes pas le personnage du film de notre vie terrestre, nous sommes la conscience qui vit en utilisant ce personnage ainsi que tous les autres.

Le film de notre vie

Le film de notre vie

Comme nous sommes soumis à la loi de cause à effet (le karma), la mémoire évolue dans le temps. Il y a une mémoire à chaque instant : à 1 an, 10 ans, 20 ans, 30 ans, etc.

Mais comme ce que nous sommes est toujours la même chose durant toutes ces années, dans cette vie, et aussi dans nos vies parallèles, ce qui compte est véritablement le “quand”.

Finalement nous pouvons dire que la mémoire est un accès à une information située dans un espace / temps.

La véritable question est : à quoi avons-nous accès “maintenant”. Quelles expériences pouvons-nous faire pour enrichir notre mémoire afin de décider en conscience ? Pouvons-nous avoir accès à des mémoires concernant des expériences que nous n’avons pas vécue dans cette vie, dans ce temps ? Si oui comment ?

Pourquoi Jules Verne, Léonard de Vinci et d’autres avaient t-ils accès à des mémoires étendues ?

Et la plus grande des questions : “pourquoi ai-je oublier qui je suis ?“.

Comment puis-je me rappeler ce que je suis ? Car il est évident qu’au fond de moi, “je sais” ce que je suis. Je n’ai peut être pas accès à toute la mémoire de l’univers mais l’éveil spirituel, progressivement me permet d’accéder à plus de mémoire. Mon âme “sait” ce que je suis et si je me connecte à elle, si je vais au fond de mon être, je m’éveil, je me rappel.

Pourquoi l’expérience des méditations et des samadhis nous permet-elle d’augmenter notre conscience ainsi que l’accès à la mémoire de l’univers, nous donnant ainsi accès à une créativité infinie, à des connaissances infinies ?

La mémoire n’est-elle pas juste de l’information partagée ? Pourquoi certaines consciences arrivent-elles à accéder à “plus” de mémoire ? Quel est le lien entre les idées que nous recevons et la mémoire à laquelle nous avons accès ? Pourquoi les médiums, les yogis peuvent-ils accéder à ces dimensions ?

Si nous pouvons comprendre que la conscience que nous sommes est multi-dimensionnelle, c’est à dire qu’elle ne vit pas uniquement dans la vie ordinaire mais qu’elle continue aussi à vivre dans l’invisible, pendant nos rêves ainsi qu’avant et après notre naissance dans cette expérience de vie, alors nous avons un début de théorie permettant d’expliquer un nombre important de phénomènes qui pouvaient sembler étranges : réincarnation, vie antérieure, rêve prémonitoire, médiumnité, sortie de corps, rêves lucides, accès à des réalités non ordinaires, explication de l’autisme, expérience de mort imminente, état de conscience modifiée, éveil de Kundalini, etc.

Grâce à Internet, des millions de témoignages commencent à se relier et il sera de plus en plus difficile pour l’humanité de les ignorer.

Le moment est venu d’avoir une attitude véritablement scientifique, c’est à dire de prendre en compte toutes les expériences, et surtout celles qui n’ont pas encore trouvé d’explication.

L’histoire de la science et l’histoire de l’humanité à démontré qu’une science supérieure arrivait toujours à expliquer l’invisible, l’inexplicable. Nous sommes en 2013, pouvons nous imaginer l’état de la science en 2500 ?

Et de tout temps, des freins, des conditionnements, des attitudes non rationnelles et non scientifiques ont toujours voulu écarter des faits, des expériences dérangeantes pour des raisons dogmatiques ou égotiques.

Je propose un nouveau mot : l’hyperrationnalité, c’est à dire accepter et comprendre qu’il est impossible de tout savoir à un instant T en tant qu’humain et que pour cette raison, il est rationnel et logique d’accepter que des lois de l’univers, des fonctionnements, nous échappent et restent à découvrir. L’hyperrationnalité, c’est accepter ce qui existe au delà du rationnel. Le rationnel n’étant qu’une représentation mentale, du cerveau gauche d’une partie de la réalité. L’hypperrationnalité est l’idée qu’il existe une rationalité plus grande, irrationnelle, non duelle, non encore découverte mais réel.

Comprenons qu’il est très dommageable pour l’humanité de rejeter ce qu’elle ne comprend pas encore.

L’essence même de la science est basée sur la curiosité et sur l’envie de comprendre comment fonctionne l’univers. C’est uniquement sans dogme ni préjugé qu’un véritable scientifique peut avancer. Mais tous les scientifiques sont-ils suffisamment éveillés pour dissoudre leur égo et leurs conditionnements avant toute conclusion ?

Pourquoi ai-je oublié qui je suis ?

Kunzang Août – Septembre 2013

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation “classique”, après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que “quelque chose” se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose “allait” se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le “chaud froid” simultané dans mon corps. Je dis bien “mon corps” avait chaud ou froid et non pas “j’avais” chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée “je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid”. Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus “intelligents”, non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

“Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux”, ce que je veux, c’est l’éveil !

“Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel”.

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste “moi”. Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, “la molécule de la conscience”, et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de “libérer” mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, “tiens, cri dans un coussin !”

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient “ce rire est un mode de défense”, je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit “nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade”

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein “les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers” !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement “nous”. Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de “laughing bouddha” et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je “suis” bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la “couronne des rois” est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, “make it fun” !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. “Make it fun” !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, “Make it drama” !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : “pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ?”

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013

N comme Nde

Si les expériences de NDE (Near Death Experience ou expérience de mort imminente) démontrent que la conscience continue pendant un arrêt du fonctionnement du cerveau, cela démontre aussi que ce que nous sommes, la conscience infinie utilise le cerveau et notre corps physique comme interface avec cette dimension matérielle.

NDE : Expérience de mort imminente

NDE : Expérience de mort imminente

Imaginons un instant que nous soyons une conscience vibrant à une certaine fréquence. Notre conscience est reliée à notre corps physique qui, par l’intermédiaire des sens lui renvoi des informations.
En réalité, comme il n’y a qu’une seule conscience et que nous sommes un, c’est la mémoire de notre corps qui nous donne l’illusion de la personne et qui permet le système d’identification a cette personne.

L’éveil est une dés-identification à la personne.
Les expériences de morts imminentes amènent aux mêmes prises de conscience que les méditations profondes : nous sommes une conscience d‘amour infinie.

Finalement, si on veut être vraiment objectif, personne n’a jamais démontré que la conscience se situait dans le cerveau. Qu’est ce que cela a de si extraordinaire d’accepter que le cerveau est juste un récepteur ?
Pourquoi est ce si dur de faire table rase, de faire comme si nous ne connaissions rien ?

Pouvons nous imaginer qu’il n’y a qu’une seule conscience qui vit a travers de nombreux corps, que ces corps physique possèdent des sens qui ont pour fonction d’agir localement à travers nous ?
C’est comme si nous étions les cellules d’un seul et même organisme, d’une seule et même conscience qui aurait plusieurs corps.
En réalité, cela n’a rien de si extraordinaire d’imaginer que nous sommes littéralement une seule et même conscience.

Évidement, cela demande une ouverture d’esprit, de la sensibilité et du recul face à nos croyances.
Le fait que des personnes enregistrent, mémorisent et continuent à être conscient, alors que leur corps et leur cerveau ne sont plus disponible, démontre : soit qu’il existe un cerveau virtuel hors du cerveau physique, soit qu’il existe une délocalisation des fonctions du cerveau. Dans les deux cas, il devient évident que la conscience ne se situe pas dans la boite crânienne.

Kundun, aout 2013

 

Je suis la joie

Je suis la joie,
Sans raison,
Sans façon,
Rempli de bonheur,
Je suis devenu la joie,
Pourquoi pas.
Un sourire,
Un regard,
Une intimité,
Une énergie,
Et je deviens,
Toi,
Moi,
La vie.

Poème de Kundun, Mai 2013

E comme État, P comme Psychologique

C’est notre état psychologique, notre façon d’appréhender les choses, notre perspective, notre point de vue qui crée, détruit et transforme notre univers.

C'est notre état psychologique,[...] qui crée, détruit et transforme notre univers.

C’est notre état psychologique,[…] qui crée, détruit et transforme notre univers.

En fonction de notre état psychologique, nous allons générer des attitudes qui ne manquerons pas d’agir sur notre environnement et notamment sur les autres.
Si nous pouvons, en devenant le moment présent, rester centrer sur ce que nous sommes réellement : une présence d’amour, alors notre impact sur le monde change.

Si nous pouvons garder notre meilleur état psychologique possible, à chaque instant, si nous pouvons être cet amour infini, sans se laisser influencer par l’environnement, quoi qu’il arrive, alors dans ce moment de pleine conscience, nous ne pouvons qu’agir justement, et prendre les bonnes décisions. Alors, Dans un esprit de fraternité et de partage, nous pouvons exprimer ce que nous sommes : l’amour et non pas l’identification à nos croyances.
Alors la vie devient vrai, alors la vie devient réel, alors la vie devient profonde et juste.
Notre état psychologique est tout ce que nous avons, c’est lui qui va générer notre monde.

Pouvons nous comprendre que l’amour engendre l’amour et que la haine engendre la haine ?
Dans un cycle infini de destruction et de création, notre état d’esprit va se manifester en créant des unions et des séparations. La même rencontre, dans deux moment différents, avec des états d’esprits différents engendrera des conséquences diamétralement différentes.

Sachons cultiver l’amour, la fraternité, la paix afin de co-créer ensemble un monde qui nous reflète ce que nous sommes.

Dans quels états d’esprit sont les gens autour de nous ? Que diffusent nos amis, notre famille, les personnes qui travaillent avec nous ?
Comme un virus, l’état psychologique d’une personne se propage et se transmet. Soyons attentif aux êtres qui sont en contact avec nous.
Pouvons nous être naturel, pouvons nous être nous même auprès d’eux ?
L’état psychologique des êtres, qu’ils soient dans un état d’union ou de séparation ne manquera pas de nous influencer. C’est l’histoire de l’homme qui rentre du travail énervé et fatigué de se faire engueuler toute la journée et qui est violent avec sa femme le soir. Car chaque violence, chaque état psychologique de l’autre, qu’il soit positif ou négatif agit sur nous. Il faut un certain temps pour revenir dans un état psychologique d’amour infini après s’être fait agressé. Pour certains, l’amour est naturel, pour d’autres c’est la violence, en fonction de leur état psychologique de base.

Sachons nous centrer sur le cœur, apprenons à cultiver un état psychologique d’amour et de bien être.

Partageons et diffusons la joie, le bonheur, l’amour d’être ce que nous sommes.

Osons répandre la joie, ayons le courage d’être nous même, au delà des évènements, au delà des circonstances.

Concentrons nous, sur le cœur, sur l’amour et voyons comment notre monde change avec nous.

Kundun, Mai 2013

Atelier d’alchimie

Léonardo Anfolsi vous propose du Vendredi 7 juin à 21h  au Dimanche 9 juin 2013 à 18h un atelier d’alchimie véritable.

Nous vous offrons cet atelier comme un don de savoir et d’expériences, offert sans retenue, à partir de la Tradition. Ce que nous avons découvert ou expérimenté est exposé ouvertement pour quiconque ose sincèrement se poser des questions, parce que nous connaissons l’époque dans laquelle nous vivons.

PRESENTATIONPARTICIPANTSLEONARDO ANFOLSI INFOS PRATIQUES

Cet atelier ouvert :

  • Vous montre en temps réel la création d’Arcanes de Mélissa à base de plantes, qui seront partagées par tous. Elles vous donnent des recettes très anciennes et efficaces, au plan général et individuel, avec des potentialités que vous pouvez comprendre et utiliser immédiatement.
  • Vous permet de travailler immédiatement avec les instruments authentiques des anciens maîtres de la tradition hermétique de l’Orient et de l’Occident, abordant vos questions et votre destinée d’une manière qui fait effectivement de vous « votre propre guide », sans réserve.
  • Vous invite à faire partie d’un groupe de chercheurs libres qui partagent chaque mois les résultats de leurs expériences, ou vous procure tous les contacts et l’information pour poursuivre vos recherches par vous-même.

L’atelier peut être mené en italien, en français et en anglais, et il est dirigé par Leonardo Anfolsi et un groupe de ses amis chercheurs.

ATELIER OUVERT D’ALCHIMIE VÉRITABLE

Il s’agit de l’alchimie utile aujourd’hui pour le bien-être et l’auto-initiation de chacun.

Ce travail sur la transformation inclut :

    • les ARCANES : l’auto-harmonisation par des remèdes à base d’herbes et de minéraux, réalisant la connaissance des Lois de l’Univers ;
    • la MÉDITATION enseignée pour l’accomplissement de la recherche intérieure afin d’atteindre l’illumination ;
    • la DESTINÉE pour acquérir les outils permettant de travailler RAPIDEMENT sur les quatre points de votre personnalité :1/ les choix (passé, présent, futur) 2/les relations 3/ l’éducation et 4/ la connaissance (conscience, divination, vision). Ce point sera davantage développé dans les prochains ateliers.
    • Le BIEN-ÊTRE de votre esprit, votre énergie et votre corps
  • comment réactiver les réponses immédiates du système nerveux extrapyramidal en utilisant des techniques spéciales qui nous permettent d’accroître notre agilité et d’obtenir des réflexes incroyablement rapides ;
  • découverte d’une nouvelle flexibilité du corps et de l’esprit grâce à la régénération quotidienne des cellules nerveuses et le renforcement des tendons ;
  • comment se agir soi-même et prévenir les accidents ;
  • comment produire la réponse rapide en anaérobie endogène aux facteurs de stress ;

Ce travail sur l’énergie se concentrera sur :

  • cinq niveaux d’énergie – leur compréhension, leur réactivation, leur usage ;
  • la compréhension de la barrière d’énergie, du flux d’énergie et de l’énergie auto-régénératrice ;
  • la thérapie par la respiration et le souffle ;
  • les techniques de régénération de l’énergie dans la vie quotidienne : en situation de communication, dans les relations, le travail.
Affiche Atelier d'Alchimie véritable

Affiche Atelier d’Alchimie véritable

Charte des participants

cette charte est à signer vendredi 7 juin 2013 avant le début de l’atelier:
Vous êtes les bienvenus pour participer à nos Ateliers Cosmopolites :

  • Si vous êtes capable de faire preuve d’enthousiasme et de gratitude et si vous vous engagez à partager de manière appropriée les meilleures découvertes de votre vie.
  • Si vous comprenez qu’aucune religion n’est supérieure à la réalité et que vous percevez qu’aucune idée, théorie ou opinion n’est supérieure au mystère vivant d’une feuille d’arbre ou à votre perspicacité naturelle.
  • Si vous êtes pleinement responsable à tous les niveaux, y compris un élargissement du sens de l’expérience résultant de ces ateliers.

NOTES BIOGRAPHIQUES CONCERNANT

LEONARDO ANFOLSI

Leonardo est né en 1959 à Bologne. Comme tous les enfants, il adorait explorer, courir et sauter, mais quelquefois il posait de très sérieuses questions existentielles aux adultes qui, la sueur au front, essayaient de lui répondre. Une question de ce genre était : « Pourquoi courez-vous comme si vous alliez mourir ? »
Un jour, il voulut comprendre ce que l’on ressent au-delà des sens : alors il se boucha les oreilles, ferma les yeux et essaya de voir quelque chose, mais il ne put trouver quoi que ce soit ressemblant à ce que les adultes racontaient à l’église. Il trouva une lumière dansante. Il appela plus tard cette expérience « la fontaine des lumières ». C’est pour cette raison qu’adulte, il continua ses expériences et ses recherches dans le champ de l’esprit et de la conscience.
Enfant, un compagnon de jeux lui dit un jour : « Peut-être sommes-nous tous en train de rêver ». Comme son ami lui disait cela, Leonardo ressentit une absence de poids dans son corps et sa respiration s’évanouit ; il dit au garçon : « Mais mes parents ne m’ont jamais rien dit de semblable ! » Le garçon lui répondit à brûle pourpoint : « Peut-être sont-ils eux aussi en train de rêver ». Depuis ce jour, il ressent souvent cette impression au coucher du soleil,et glisse dans un état de joie océanique où toute chose est incluse.
A l’âge de dix-sept ans, il ouvrit un livre d’Alan Watts et découvrit que cette expérience était déjà connue. C’est ainsi qu’il rencontra le Zen, et pendant plus d’une semaine, il ne put contenir la joie de cette découverte, au grand agacement de ses amis.
A dix-huit ans, il franchit le seuil du monastère de Zenshinji, et depuis lors il étudie et pratique avec le Maître du Rinzai Zen Engaku Taino, successeur de la lignée d’Hakuin Ekaku et Taishitsu Mumon. Il y a passé de longues retraites, alternant la pratique et les voyages, l’escalade, les pèlerinages, et toutes sortes d’artisanats.

L’auteur.

Franco Battiato a publié un livre de L. Anfolsi en 1987 : il fut le seul auteur italien de l’estimable collection L’Ottava, supervisée personnellement par F. Battiato, qui rassembla quatorze titres. Le livre de L. Anfolsi « Bananananda » est le neuvième de la série, qui comprend des textes de Gurdjieff, Soseki, Al Qadir Jilani.
Il a également publié divers livres en relation avec la spiritualité et la philosophie. L’un de ceux-là contient une préface d’un professeur mondialement connu, l’érudit Lama tibétain Namkhai Norbu, qui lui a longtemps enseigné les méthodes du Dzogchen. En 2007, L.Anfolsi a publié un manuel relatif à la pratique de la méditation Zen : « Zen Koan », et quelques livres électroniques sur des sujets semblables.

Le chercheur et le formateur.

L. Anfolsi est chercheur en médecines naturelles depuis sa jeunesse et reste très motivé par cette passion ; il a étudié l’usage thérapeutique des plantes, des métaux, des minéraux et les champs énergétiques. De ce fait, il a rapidement acquis de la notoriété et du mérite en travaillant avec des médecins et des professionnels de santé. En 1983, on l’a choisi comme directeur du centre de thérapie de l’importante et renommée institution naturiste européenne, l’ « Association Naturiste de Bologne ».

Le Moine, l’Initié, l’Enseignant.

L. Anfolsi est un enseignant bouddhiste contemporain, dans la lignée du Rinzai Zen. Il fut ordonné en avril 1981 à l’âge de vingt-deux ans en tant que « Reyio », après quatre années de pratique. Il est aujourd’hui encore ministre du culte de cette même tradition. En voyageant, en explorant la spiritualité et la civilisation globale, il a bénéficié de l’éducation ou de la formation de professeurs de toutes les ethnies, y compris le Dalai Lama, leader des Tibétains en exil, Adam Fortunate, Aigle des Sioux Lakota, Baba Balnath en Inde, Douglas Harding en Angleterre. Le Lama Gomo Tulku, un voyant très respecté des Bouddhistes tibétains de toutes obédiences, l’a reconnu comme l’émanation contemporaine d’un ermite du passé.
Son ami et professeur Corallo Reginelli a participé aux écrits du groupe d’ UR ( ?) sous la signature d’Arom et Taurulus, et fait partie de la lignée de Rudolf Steiner. C’est lui, avec d’autres disciples de la tradition philosophique néo-platonicienne, qui a influencé son étude de la pensée occidentale.
L. Anfolsi a été éduqué dans la confrérie même d’où Georges Ivanovich Gurdjieff a tiré l’essence de son enseignement, une association très active dans la Russie européenne du début du vingtième siècle, qui a accueilli des chercheurs de toutes origines philosophiques et religieuses.
L. Anfolsi forme des professionnels et des cadres et les thèmes majeurs de ses séminaires sont la « résilience », l’enthousiasme (la ferveur) et l’optimisation des relations humaines.
L. Anfolsi vit en Californie et dans les collines d’Emilie et de Toscane où il a fondé en 1992 une association culturelle pour la recherche spirituelle laïque qu’il a organisée en incitant ses étudiants à participer volontairement à la communauté.
En Californie, il vit dans les collines proches de Scramento, où il a fondé le Temple de la Fleur d’Or à Georgetown, où sont organisées des retraites d’Illumination Intense et des sessions Zazen/ Koan. Il poursuit son travail de thérapeute et d’enseignant en militantisme relationnel.
A Ojai, L. Anfolsi collabore à l’Université Mondiale et programme ses ateliers au Meditation Mountain, où Jiddu Krisnamurti, Anne Besant, Petrovna Blavatsky, Roberto Assaggioli, et Swami Yogananda ont dirigé leurs retraites.

Infos pratiques :

Lieux: Paris 11ème ( Centre Infinite Love Paris )

Horaires : le vendredi 7 de 21h à 22h.30, le samedi 8 de 14h à 18h., le dimanche 9 de 9h à 13h. et de 14 à 18h.

Tarif : 95€
Tel: +33 762861597
mail : mdefays@gmail.com

T comme Temps (1)

L’illusion du temps :

Le temps des sciences

L’illusion du temps

Le temps est une forme d’illusion, le temps est un système de comparaison de mesures. En réalité, c’est la loi de cause à effet qui donne l’‘impression’ que le temps existe.
Regardez cette pomme, je vais la laisser tomber sur la table. “Boom” ! La pomme tombe : jusque là, rien de spéciale, on peut tous reproduire cette expérience..

Que s’est-il passé ?

J’ai lâché la pomme, et avec la loi de cause à effet, elle est tombée sur la table.
Si on veut parler du temps, certains diront qu’elle a mis 1/2 secondes à tomber.
Vous, madame, qu’en pensez-vous ?
Euh, je ne sais, pas je ne suis pas mathématicienne…
Parce qu’il faut être mathématicienne pour faire tomber les pommes ?
Rire dans la salle.
Et vous jeune homme, combien de temps faut-il à la pomme pour tomber ?
Je ne sais pas, 250 millisecondes
Wouah, ça c’est une réponse…

Bon, voici quelques explications :

Faites comme si le temps n’avait pas été inventé, effacez le de votre cerveau un instant.
En réalité, la pomme est passé de cette position ‘haute’, à la position plus basse, ‘je suis sur la table’.
Regardons sur un schéma :
Imaginez toutes les positions que la pomme a prise entre le moment où je l’ai lâché, et le moment où elle est arrive sur la table:
Il est possible de visualiser un nombre déterminé, précis et exacte de positions
Admettons que l’on visualise 15432 positions par exemple, si on veut une précision.
On est bien d’accord, imaginez comme un film au ralenti, vous savez que les films sont une suite d’images que nous projetons à vitesse rapide.

En réalité, cette invention, le cinéma n’est que la représentation d’une compréhension, d’un système général. Le microcosme est dans le macrocosme et le macrocosme est dans le microcosme. Ça vous dit quelque chose ?

Revenons à notre expérience : bon, nous avons 15432 positions.

Eh bien, considérons que chaque position est en réalité une dimension, un univers, géré par la loi de cause à effet.
Dessinons des traits sur ce tableau : Imaginons qu’il y ait 15432 scénarios possible, c’est comme si il y avait 15432 univers parallèle, ou ligne de temps qui se joue en parallèle et non plus de façon séquentielle.

La pomme, si aucun obstacle ne vient arrêter sa descente va tomber sur la table.
Et le lien ente chacune des 15432 positions est un univers de probabilité qui peut faire changer de direction. Si rien ne se passe, on va passer du point 1 au point 2, c est à dire qu’on change d’univers. On passe de l’univers la pomme est au point 1 a l’univers la pomme est au point 2. On change en fait d’espace temps.
Alors maintenant, je vous pose une question : où avez vu du temps dans cette expérience ?
En réalité, il n’y a pas de ‘temps’, il n’y a que des causes et des effets, avec des probabilités de changer d’espace, de dimension à chaque événement.
Admettons que vous souhaitiez ‘calculer’ le ‘temps’ que met la pomme entre le point 1 et le point 2. Vous utilisez une horloge atomique ultra précise, vous inventez un système très sophistique et vous sortez le résultat suivant ‘156’ millisecondes !
Oui, ok, vous avez comparez deux choses, mais le temps n’existe toujours pas.
Vous avez comparé le nombre d’événement, de clic, de votre horloge atomique et comptez la différence avec mon expérience. C’est juste une comparaison. Vous avez inventé. un compteur de clic, et vous appelez cela ‘le temps’. Oui, ok. Pourquoi pas, c’est plutôt pratique, mais en réalité, c’est une illusion.
Par exemple, prenez vos 156 millisecondes, et divisez les par 1 million !

Qu’est ce que cela donne ?

Si on descend dans l’infiniment petit, on s’aperçoit de quoi : la pomme est constitue d’énergie, de molécules, si on va dans le très petit, on va s’apercevoir que la pomme est constitué d’atomes finalement, organisés d’une certaine façon.
Si on met tout au ralenti, les électrons de ces atomes vont tourner de plus en plus lentement.
Imaginez chaque électron en train de ralentir.
Faisons un arrêt sur image : la pomme est suspendue car plus rien ne bouge.
Que se passe t-il quand plus rien ne bouge ?
‘Je vous là donne en 1000’ ! Il n’y a plus de temps !!
Ah, zut alors, qu’est ce que c’est que cette histoire, on m’a donc menti !
Comment se fait-il qu’il n’y ait plus de temps, tout a été mis sur ‘pause’. Imaginez votre lecteur de dvd, votre femme regardait un film, et vous, pafff, vous mettez sur pause!
Et vous commencez à expliquer à votre femme que le temps n’existe pas !
Elle vous regarde droit dans les yeux et vous dit ‘ tu remets mon film tout de suite, sinon, je vais t’expliquer que le temps avec moi, c’est bientôt fini!’
‘Oui chéri’, et vous remettez sur ‘play…’

Bon, revenons à notre exemple.
Donc quand plus rien ne bouge, il n’y a plus de temps… Hum, hum, bizarre ça.
Peut être vous demandez vous : ‘Comment se fait-il que la vitesse des électrons changent la notion du ‘temps’ ?’
Mais alors, le temps, cela n’existe pas, c’est juste éphémère, c’est une vue de l’esprit !

Mais qui a invente ce concept de temps ?

Quelqu’un a mis du sable dans une bouteille et a dit : ‘ quand cette bouteille sera vide’ tu devras être revenu !
Et un autre, regardant le soleil, a crée des horloges solaire et dit : il est midi, l’ombre du cadrant montre que c’est l’heure de manger’
Plus tard, d’autres homme ont dit, à chaque fois qu’un cristal de quartz vibre, j’ajoute une seconde.
Et puis un jour, comme les hommes ont vu que le soleil ne disait pas midi partout au même moment sur la planète, car à un moment, la terre n’était plus plate mais ronde… Alors les hommes ont synchronisés un système qu’ils ont appelé ‘le temps’.
‘Qu’elle heure est-il ?’
Qui signifie en réalité : ‘combien il y a t-il de tics depuis que l’on a commencé à compter’. Car il a bien fallu, de façon totalement arbitraire dire à un moment : il est tel jour et telle heure.
En réalité, le temps n’est qu’une convention. Il n’y a jamais eu d’année 0, d’ailleurs les chinois sont à 4500 et les juifs à 5800 ans.

Par contre, là ou ils ont été sympa, c’est de synchroniser les heures sur toute la planète !
Sinon, on aurait très bien pu avoir 7h15 à paris et 18h32 à pékin.
Que les hommes sont intelligent…

Donc, revenons à notre exemple, le temps est une convention suite à un calcul. Il y a d’ailleurs des horloges atomiques de référence.
Revenons à notre pomme que nous avions laissé en suspend dans son univers, sa dimension du point 1.
Au niveau atomique, si plus rien ne bouge, si on fait un arrêt sur image, la pomme ne tombe donc pas. Effectivement, elle n’a aucune raison de tomber puisque rien ne bouge !
Alors posons-nous la question : mais pourquoi la pomme tombe t elle ?
Eh bien tout simplement par la loi de la gravité et la loi de cause à effet, c’est à dire que comme je l’ai lâché et que ‘rien’ ne la retient, dès que ses électrons se remette à tourner, elle est soumise à toutes les lois de l’univers et notamment l’attraction terrestre, elle va petit à petit passer de l’étape 1 à l’étape 2 puis l’étape 3 jusqu’à l’étape 15432. Mettez toutes les images au ralenti de la pomme et elle arrivera jusqu’à la dernière image, la dernière position en réalité.
Mais le temps n’est jamais intervenu dans le mécanisme, seul des humains un peu inventif se sont dit un jour. ‘Tiens, on va créer un système de référence basé sur le mouvement’
Ce dont nous parlons a été démontre par Einstein lorsqu’il a explique que le temps était relatif et qu’il ne pouvait être absolu. En effet, le temps est une convention basée sur un référentiel qui aujourd’hui est le césium 133: pour calculer une seconde, on regarde en combien de “temps” le césium change d’état.

Avant d’aller plus loin, regardons ce qu’est la vitesse : Qu’est ce que la vitesse ?
Par exemple 100 km/heure ou 200 km/heure
La vitesse est le temps que met un objet pour parcourir une distance. Par exemple, il est parti à 12h, arrive à 13h, et il y a 100 kilomètres entre les deux distances.
Comme le temps n’est qu’un moyen de comparer le nombre de tic tac de notre horloge avec le déplacement de notre voiture, comme la pomme qui est en mouvement, la voiture l’est aussi.
Il n y a pas de calcul de vitesse ou de temps s’il n’y a pas de mouvement.
D’une certaine façon, le temps est un référentiel qui permet d’évaluer le nombre de causes et d’effets.

Par exemple la définition de la seconde, l’unité SI de temps, a été établie selon les connaissances et les possibilités techniques de chaque époque. Elle a d’abord été définie comme la fraction 1⁄86400 du jour solaire terrestre moyen. L’échelle de temps associée est le temps universel. Cette durée est proche de la période moyenne du battement du cœur d’un homme adulte au repos.
Aujourd’hui, la seconde n’est plus définie par rapport à l’année, mais par rapport à une propriété de la matière ; cette unité de base du système international a été définie en 1967 dans les termes suivants : “La seconde est la durée de 9 192 631 770 de périodes de la radiation correspondant à la transition entre les niveaux hyperfins F=3 et F=4 de l’état fondamental 6S½ de l’atome de césium 133.”
La seconde, étalon de mesure du temps, est ainsi un multiple de la période de l’onde émise par un atome de césium 133 lorsqu’un de ses électrons change de niveau d’énergie. On est ainsi passé de définitions, en quelque sorte descendantes, dans lesquelles la seconde résultait de la division d’un intervalle de durée connue en plus petits intervalles, à une définition ascendante où la seconde est multiple d’un intervalle plus petit.
On est bien là dans un système causale de causes à d’effets.
Finalement ce qu’on appel temps est un comparateur : il compare des mouvements : le mouvement des électrons du césium, avec le mouvement de la pomme ou de la voiture.
Comme nous l’avons vu, le temps n’existe que s’il y a mouvement de ‘quelque chose.’
Alors nous arrivons vers ce qu’à démontré Einstein, à savoir que le temps est nécessairement lié à l’espace et aux objets.
Car il faut bien que ‘quelque chose’ bouge pour qu’il existe ce comparateur de mouvement.
Ne dites plus ‘temps’, dites ‘comparateur’ de mouvement, et tout sera plus simple.
S’il n’y a pas d’électron qui se transforment et qui changent d’état, il n’y a plus de causes et d’effet, il n’y a plus rien à comparer et on est dans une expérience ou tout est sur pause
Il faut donc bien de la matière, de l’énergie pour pouvoir ‘comparer’ les choses les unes avec les autres: pas de pomme = pas de cause ni d’effet.
D’une certaine façon, on peut considérer ce comparateur de mouvements, que certains appel ‘le temps’ comme un comparateur du nombre d’effets produits par un système ou par un autre : pendant que la pomme tombe, le césium s’est transforme tant de fois ?
On peut même dire que la pomme tombe à 2 mètre/secondes.
C’est à dire que le césium se transforme xxx fois pendant que la pomme a changé 15432 fois de place.
Comment pouvons-nous désormais percevoir la vitesse lorsqu’on considère que le temps n’est qu’un comparateur de mouvement entre deux systèmes : le mouvement du césium et celui de la pomme par exemple.
On peut alors dire qu’on compare le nombre de causes et d’effets de chaque système :
La vitesse est finalement un nombre de mouvements, c’est à dire un nombre de causes et d’effet.
Au lieu de dire 2 mètres/secondes, on pourrait aussi bien dire 15432 images, ou 15432 Emplacements, ou 15432 déplacements aussi.
Einstein a découvert que l’espace et le temps était donc lié. Effectivement, ils sont liés car sans espace ni objet, il n’y a rien à mesurer.
Il a aussi découvert qu’il y avait un lien entre la vitesse et le temps. En effet, plus on va ‘vite’ plus il y a de ‘mouvements’, c’est à dire plus il y a de ’causes’ et d’effets.

Le comparateur qu’est le ‘temps’ pourrait être considéré comme une somme de causes et d’effets finalement. Combien de dimensions, dans combien d’espaces différent la pomme a t-elle été pendant ces deux secondes ?

D’une certaine façon, plus y il a de mouvements, plus la vitesse est grande.
En une seconde, la lumière parcourt 299 000 km. Cela signifie que sa fréquence, sa capacité de mouvement est très importante. On peut dire qu’elle bouge, qu’elle se déplace très rapidement.

Pourquoi le ‘temps’ est il relatif ?

Le temps est nécessairement relatif car il est un comparateur de mouvement. (Entre le mouvement du césium et un autre mouvement)
Il ne peut être ‘absolu’ par définition puisqu’il compare toujours deux choses : l’une par rapport à l’autre. Il est fait comme cela.
Pour conclure, on peut dire que le temps n’existe pas ‘réellement’, il a été invente par les hommes pour mesurer et comparer des mouvements.
Comme on ne compare une chose que par rapport à une autre, le temps ne peut qu’être relatif finalement.
Et comme le temps scientifique le plus précis est une mesure à partir d’un changement d’état du césium, toute modification du changement d’état du césium modifiera le temps. Que se passe t-il dans un univers ou le césium évolue 100 fois plus rapidement ?

Pour conclure, nous pouvons dire que le temps est un système de comparaison de mesures basées sur la loi de cause à effet, et qu’il n’est en réalité qu’une convention.

Le temps n’existe pas vraiment. En réalité, il n’existe qu’un seul grand présent, témoin des mouvements d’énergies qui créent les mouvements.

Du coup, la conséquence de cette compréhension est que le passé et le futur n’existe pas non plus : comme le temps n’existe pas, il ne peut y avoir ni futur ni passé.

Ce que nous sommes, la conscience infini, la présence, n’existe que dans la réalité, c’est à dire dans le présent. Ce que nous sommes ne peut exister dans le “futur” ou dans le “passé” car ceux ci ne sont que des projections du mental.

La seule réalité qui existe est maintenant. Si nous nous nous rappelons du passé, nous ne pouvons nous en rappeler qu’en le ramenant dans le présent. Le futur imaginaire aussi ne peut être expérimenté que “maintenant”.

L’éveil permet de comprendre qu’il n’existe qu’un grand moment présent. Ekhart Tolle l’a très bien expliqué dans son livre “le pouvoir de l’instant présent”.

Faisons une pause un instant.

Entrons en méditation et ressentons ce moment infini qu’est la vie.

Le temps est une illusion du mental. Seul un infini présent existe maintenant. C’est “maintenant” que vous lisez ce texte, vous ne pouvez pas le lire en dehors de “maintenant”.

Bien sur le monde évolue et bouge, créant des mouvements de causes et d’effets donnant l’illusion d’un temps passé et présent.

Mais si on éteint le mental.

Si on reste dans cette présence.

La vitesse diminue, les mouvements ralentissent.

Restons dans cette présence. Faisons une pause. Restons dans l’instant.

Comprenons qu’il n’y a qu’ici et maintenant.

Toujours, et encore.

Il n’y a qu’ici et maintenant.

Rejoignons nous ensemble, dans cet ici et maintenant, avec ce texte.

Comprenons que nous ne pouvons exister ailleurs que maintenant.

Nous sommes l’espace, nous sommes la conscience infini, nous sommes la présence, nous sommes l’univers dans lequel les mouvements d’énergie ont lieu pendant cet infini présent.

Mais l’espace que nous sommes ne peut que “être”. Il ne peut disparaitre. Comme dans une pièce : vous pouvez changer le contenu de la pièce, mais la pièce elle-même ne change pas.

De la même façon il n’y a qu’un seul temps, un seul grand moment présent dans lequel des mouvements d’énergie ont lieu : de personnes, d’objets, etc…

Le contenu qui est dans l’espace est modifié par ces mouvements d’énergie, mais tout se situe dans l’unique présent.

Le mental a pour fonction de se projeter dans un moment qui n’existe pas encore que nous appelons le futur. Mais si nous l’arrêtons, si nous le stoppons, alors les pensées ne viennent plus. Alors, il n’y a plus de mouvements, alors un calme et une paix infini apparaissent.

Alors ce que nous sommes réellement,

La présence apparait,

Alors toutes les illusions disparaissent.

L’illusion de la personne,

L’illusion

Du

Temps.

S’évanouissent.

Kundun 2012-2013

Toi et Moi

Un jour,
Je suis sorti de toi,
C’était la vie, c’était l’aventure, c’était la découverte,
Tous ces autres moi,
On a bien rigolé.

Et tout le temps, toi,
Tu me souriais.
Et à chaque instant,
On était bien là, tous les deux,
Ensemble, présent.

Et quand je souriais, tu me souriais.
Et quand je pleurais, tu pleurais.
Et quand je souffrais, tu souffrais aussi.

Quand tu exprimais l’amour, je devenais amour,
Quand tu exprimais la guerre, je devenais la guerre.
Quand tu jouais, je devenais le jeu.
Puis un jour, ils ont fait la paix.

On a voyagé,
On a travaillé,

On a construit,
On s’est enrichi.

On a développé,
On s’ est amusé.

On a beaucoup ri,
Un peu pleuré aussi.

Tu m’as envoyé ce regard,
Qui m’as fait chaviré,
Tu m’as envoyé ce toucher,
Tout mon corps a tremblé.

A chaque fois, c’était toi.
Tes musiques, j’ai écouté,
Tes poèmes, j’ai entendu
Tes textes, tu m’as expliqué !
Des anges, tu m’as expédiés,
Avec des archanges, on a dîner.
Des maîtres ascensionnés, on a visité.
Chaque fois, c’était toi,
A chaque fois, encore et toujours toi.

Cet amour, ce voyage, cette rencontre inattendue,
Ce n’était pas lui,
C’était toi
Cette coïncidence, ce hasard, ce sourire,
C’était toi,
Cette émotion, cet éclat de rire,
C’était encore toi.
Ce livre, ce film, ce baiser, ce câlin, ce tremblement, cette caresse,
C’était toi.

Cette méditation, ce cri, ce paysage, cette rencontre,
C’était toi.

Ce plat, ce tableau, cette sculpture, cette volupté,
C’était toi, encore et toujours toi.

Toi qui a toujours tout organisé,
Toi qui a toujours tout préparé,
toi qui a toujours tout synchronisé,
Toi qui a toujours fait
Comme pour toi.

C’est marrant, mais c’est seulement maintenant.
que j’ai disparu,

C’est fou mais c’est seulement maintenant
Que je suis présent,

C’est terrible, mais c’est seulement Maintenant
Que je n’existe plus,

C’est dingue, mais c’est seulement maintenant,
Que je comprends.

Ma vie,
N’était pas ma vie,
Car je n’étais pas en vie.

Ma vie,
N’était pas la vie,
Il n’y avait pas de vie
Ma vie n’était pas la vie,
Car il n’y avait personne.

Ma vie n’était pas la vie,
Il n’y avait qu’un robot,

La vie n’était pas ma vie,
Il n’y avait qu’un automate,

Qui pensait vivre sa vie.
Qui pensait ‘être’,
Un homme.

Puis un jour,
Ma mort,

Puis un jour,
Petit à petit,

Puis un jour
J’ai senti,

Que cette vie,
C’était ta vie.

Maintenant, seulement maintenant,
Que je n’existe plus,
Je comprends,
Il n’y a pas de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends,
Il n’y en jamais eu.

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends
il ne peut pas y en avoir.

Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus que toi,

Maintenant, seulement maintenant
Qu’il n y a plus que notre présence,

Maintenant, et seulement maintenant,
A cet instant.
Nous savons,
Toi et moi,
Lui et elle,

Maintenant, et seulement maintenant,
Tous en vérité,
Nous savons,
Au fond de nous,

Que l’univers,
Que le vide,
Et que ce tout,

C’est nous.

Poème de Kundun 6 janvier 2013

P comme projection de la conscience

Description des relations entre ce que nous sommes, notre environnement, les sens, les pensées, les émotions.

Il y a tout d’abord notre environnement : constitué de personnes, de lieux, d’objets.
Puis, il y a ce que nous appelons notre corps physique, constitué d’organes et de sens :

– le toucher qui ressent la consistance de la matière, mais aussi la chaleur et le froid,
– la vue qui reçoit les images de notre environnement,
– l’ouïe qui perçoit les sons, les vibrations de l’air,
– l’odorat qui capte ce que nous respirons,
– nos papilles gustatives qui perçoivent les goûts,
– la partie antenne du cerveau qui reçoit des pensées,
le tout, analysé, trié, filtré par la partie analytique du cerveau.
La présence, la conscience que nous sommes reçoit tous ces signaux. Lorsqu’on comprend que nous ne sommes pas ces signaux, mais la conscience qui les reçoit, nous devenons plus libre, plus en recul.
La conscience, la présence, ce que nous sommes, telle de la lumière se projette sur notre environnement, sur notre univers. Alors, en retour de cette projection, nous recevons des signaux. Nous sommes l’espace sur lequel le film se projette, nous ne sommes pas les images du film.
Ces signaux divers et variés activeront chez nous différentes émotions, en fonction de nos expériences passées. Alors nous pourront éventuellement agir ou ne pas agir, en fonction de nos conditionnements.

paysage-mer

Si par exemple, nous sommes au bord de la mer, assis à contempler les vagues, nous recevons à la fois des images du paysage, le bruit des vagues et des palmiers, l’odeur de l’iode, nous sentons le vent sur notre corps et nos cheveux, nous sentons le sable chaud sous nos pieds. Nous recevons aussi des pensées de calme, de tranquillité, de beauté, de bien être, de paix.
Alors notre conscience peut expérimenter les émotions attachées à ces pensées, éventuellement ces émotions, en fonction de nos expériences et conditionnements, de notre volonté aussi, nous amèneront à agir.

Nous ne sommes pas nos sens, nous ne sommes pas notre corps, ni les images, ni les pensées que nous recevons, ni l’ordinateur du mental qui traite toute ces informations. Nous sommes la présence qui prend conscience de la scène, nous sommes à la fois ce qui “est” et ce qui “vit” la situation. Nous ne sommes pas non plus la personne que nous avons cru ou que nous croyons être. Nous sommes cette présence, la conscience qui, par tous ces mécanismes perçoit l’environnement.
Cette présence ne peut être perçue que dans le moment présent, au delà du mental qui toujours nous amène dans le passé ou dans le futur.
Cette présence est toujours là, ici, maintenant. Elle vit, à travers nos corps, que nous soyons homme, plante, eau, terre, mer, air, feu.

Espace sous-jacent de l’univers, cette présence est là, quelque soit l’objet, le lieu, les personnes. Elle est l’espace dans lequel l’univers existe. Nous pouvons toujours changer le contenu de cet espace, l’espace lui, reste inamovible, permanent. Cet espace, c’est l’amour infini. Il est l’écran de cinéma sur lequel la vie, la conscience se projette.

Il est ce que nous sommes,

Il est ce que nous avons été,

Il est ce que nous serons.

Il est,

Nous.

Kundun Mars 2013

R comme Responsabilité

Qu’est ce que la responsabilité ?
Quelle responsabilité avons-nous dans cette vie ?

R comme Responsabilité

R comme Responsabilité

Pour répondre à ces questions, méditons un instant et faisons une pause.
Installons le calme mentale. Restons à l’écart du monde un instant. Entrons dans la paix, la joie, ouvrons notre esprit à la conscience.

Tout d’abord, pour bien répondre, comprenons ce que nous sommes, et ce que nous ne sommes pas. Car pour répondre, il faut savoir ‘qui’ ‘peut’ être responsable.
Nous ne sommes pas l’égo, la personne que nous avons crus ou que nous croyons être. La première étape du développement spirituel est d’arrêter de s’identifier aux pensées. C’est cela l’égo, une identification à nos pensées. Nous ne sommes pas nos pensées.

Ce que nous sommes est une conscience d’amour infini, que certains appellent l’âme, qui se vie à travers nos corps physique et notre corps mental et à travers tout ce qui existe dans l’univers.
Par un processus karmique, c’est-à-dire à travers la loi de cause à effet, nous vivons puis reproduisons à travers plusieurs vies, depuis des millénaires les mêmes comportements, les mêmes conditionnements sociaux et culturels. Sur tous les êtres humains ayant vécus sur terre depuis le commencement, beaucoup ont vécus comme des robots n’ayant jamais ressenti le besoin de comprendre “qui” ils étaient et pourquoi ils étaient là. Peu ont compris que nous n’étions pas l’identification aux pensées, c’est-à-dire l’égo, la personne virtuelle.

Être responsable, c’est agir en conscience, c’est-à-dire agir en comprenant l’étendue des effets de nos actes. Pour être responsable, il faut aussi avoir la volonté d’agir.

Plus nous sommes conscient, plus nous comprenons, plus nous devenons responsable. L’éveil amène à une responsabilité plus grande, non pas une responsabilité de l’égo puisque celui-ci n’existe plus, mais une responsabilité de la conscience.
Prenons un exemple : nous voyons de plus en plus de violence dans les écoles. Aux états unis, certains commettent des massacres.

Qui est responsable ?

Méditons un instant dans ce moment.

Qui est responsable ?
Le robot sans conscience qui a tué ses camarades ?
Les parents qui ne savaient pas comment aimer leur enfant ?
Les professeurs ?
Non.

Nous sommes tous responsable de cette situation. Nous sommes responsables collectivement de tout ce qui se passe dans ce monde. Je ne dis pas cela pour culpabiliser les personnes, les égos. Je dis cela car finalement, il n’y a qu’une seule conscience qui se vit à travers 7 milliards de nous-mêmes. Et si nous ne sommes pas capables collectivement de nous éveiller, ce genre de malheur arrive.

Mais que faisons-nous pour empêcher cela ?
Que faisons-nous pour empêcher les idées violentes de se propager ?
Avons-nous conscience que le cinéma, la télévision et certain jeux vidéo programment la tête des enfants et des parents pour les transformer en tueur en série ?
Pourquoi ne sont-ils pas interdits ?

La création, la diffusion et la propagation d’idées, de films, de jeux vidéos et de comportements violents est criminel car tout ceci encourage la violence. De la même façon que nous pouvons créer des univers de paix et de joie, nous pouvons créer des univers de guerre et de destruction. Si nous prenons en compte : l’identification aux pensées et aux émotions, le fait que notre conscience se reflète sur l’environnement, ainsi que la loi de cause à effet, nous comprenons que la violence et la diffusion de film violent conditionnent les populations.

La haine et la violence amènent de la haine et de la violence. La diffuser, c’est participer à l’alimenter. Comprenons qu’avec la découverte des neurones miroir, nous savons désormais que le cerveau se met au diapason des scènes que nous regardons. Nous “éduquons” et programmons littéralement notre cerveau à s’adapter aux environnements que nous lui proposons.

Quelle responsabilité avons-nous dans cette vie ?

La première responsabilité est de nous éveiller un peu plus chaque jour, c’est-à-dire augmenter notre niveau de conscience, et ce dans les domaines qui nous tiennent à cœur. Plus nous nous éveillons, plus nous éveillons notre entourage. Choisissons l’amour, la joie, la paix et diffusons ce que nous sommes. Montrons que c’est possible. Soyons courageux, disons non à la violence, non à la guerre, non à l’illusion de la séparation. Les êtres éveillés ont toujours prônés l’amour et ce n’est pas par hasard.

Une autre responsabilité est d’agir en conscience le plus possible afin d’arrêter la roue karmique, la loi de cause à effet afin qu’elle ne génère plus que du bonheur.
Chaque jour, nous avons toujours l’occasion d’agir dans le sens de l’amour.

Parfois, certains se demandent  : Mais pourquoi le divin laisse t-il faire toutes ces atrocités ?

La conscience infinie existe dans un univers non duel ou il n’y a ni bien ni mal, ou n’existe que des mouvements d’énergies, qui créent et qui détruisent.
De nombreuses lois existent, et elles sont toutes respectées.

Les crimes et atrocités qui sont commises chaque jour ne sont que les effets de causes qui ont eu leur commencement il y a bien longtemps, parfois dans d’autres vies.

Pour mettre fin aux effets, il n’y a qu’une seule solution : l’éveil, la prise de conscience.
Tant que l’humanité n’aura pas compris la loi de cause à effet, c’est à dire le fait que le monde est un miroir pour notre conscience, tant que nous ne savons pas ce qu’est la réalité, tant que nous ne savons pas ce que nous sommes, toute la tragédie humaine continuera. Nous sommes collectivement responsables de tout ce qui se passe. Il y a une unité de la famille humaine que nous ne pouvons ignorer.

Ensemble, nous pouvons partager, nous pouvons enseigner, nous pouvons transmettre, nous pouvons vibrer à une fréquence plus élevée.
Ensemble, nous pouvons réunir, nous pouvons relier, nous pouvons transformer.
Ensemble, nous pouvons nous entraider, nous pouvons nous guider, et changer.
Nous sommes responsables, de façon individuelle et collective de notre vie, de nos attitudes. Le monde étant le reflet de ce que nous sommes, changeons ensemble ce que nous sommes. Éveillons chacune de nos cellules, c’est à dire chaque être humain.

Je parle là de notre propre conscience collective. Nous sommes co-créateur, nous sommes multidimensionnel, nous sommes riches, nous sommes nombreux, nous sommes beaux, nous sommes l’amour, nous sommes la vie, nous sommes le présent, nous sommes partout, nous sommes la présence.

Partageons ce que nous sommes, ensemble, maintenant.

Exprimons la divinité qui est en nous, vibrons aux fréquences les plus élevées, celles qui rapprochent l’homme et la femme de sa nature divine.
Nous sommes tous,
Un.
Tous responsables les uns des autres,
Uni par l’amour,
Uni par le cœur.
Rappelons-nous,
Co-créateur de l’univers,
Nous sommes tous,
Un.

Voir le poème : Imagine.

Kundun mars 2013

Lui

Je suis avec notre père,
Et notre père est avec moi.
Je suis sa présence,
Je suis sa danse,
Il chante a travers moi,
Il te sourit,
Il te regarde,
Il t’écoute,
Il te touche
Il te bénit,
Il est,
Je suis,
Nous sommes,
Lui.
Je suis,
Son instrument,
A travers moi, il joue,
A travers moi, il souffle la vie,
A travers moi, il agit.
A travers lui,
Je suis

Poème de Kundun jan 2013

P comme Pensées

"Nous recevons toutes les pensées" Kundun 2013

“Nous recevons tous des pensées” Kundun 2013

Oui, nous recevons tous des pensées, mais n’en tenez pas trop compte.
Car ces pensées sont liées à l’environnement, elles n’ont rien à voir avec ce que nous sommes.
Elles sont le reflets de nos conditionnements et de l’univers dans lequel nous évoluons . En fonction des lieux, de nos attitudes, de ce que nous sommes, elles changent.
Nous ne sommes pas les pensées qui viennent et s’en vont. Nous sommes la conscience qui peut les choisir.
Les pensées sont liées aux circonstances environnantes, elles sont provisoires et virtuelles. Elles n’ont aucune réalité, elles sont des propositions.
Il n’est pas raisonnable de se sentir responsable ou coupable des pensées qui passent autour de nous dans la mesure ou elles sont issues des conditionnements, des médias, de la télévision, des autres aussi.
L’erreur serait de choisir des pensées qui ne nous correspondent pas.
Prenons un instant pour méditer et nous reposer quelques secondes.
Laissons les pensées passer.
Nous ne sommes pas nos pensées.

Pause….

Le mental est un outil. Il traite de l’information provenant d’une entrée, puis il sort un résultat, comme un ordinateur.
Le mental capte des pensées, reflets de l’environnement. Il ne choisit pas ce qu’il capte. Il reçoit, analyse et peut aussi proposer de capter d’autres pensées.
Celui qui regarde tout cela, et qui éventuellement choisit, c’est nous. Oui, nous, cette conscience, cette intelligence, cette présence.
Comme une antenne, notre cerveau reçoit des pensées, et comme une antenne, il est possible de la diriger. C’est ce que nous appelons l’intention.
Si nous orientons notre antenne, notre intention vers un univers d’amour et de fraternité, certaines pensées seront reçues. Si nous laissons la personne que nous croyons être ou avons cru être, diriger notre vie, alors d’autres type de pensées vont être reçues, en fonction de ses conditionnements.
Notre cerveau, notre mental ne doit pas être laissé livré à lui même, sinon à partir de l’ego, une personne se crée et prend littéralement le contrôle de l’individu.
Restons quelques secondes dans ce moment pour méditer sur cette pensée.

Pause…

Lorsque nous prenons du recul sur les pensées, sur la fausse ‘personne’, la conscience, l’amour reprend la direction de ce que nous sommes. Alors les intentions sont naturellement bonnes et positives, aimantes et constructives, unifiantes et fraternelles.
Car la présence, la conscience, l’intelligence que nous sommes ‘sait’ que nous ne sommes qu’un. Un seul organisme, incarné dans de nombreux corps, mais toujours ‘un’.
La diversité dans l’unité, voila ce que nous sommes.

À chaque fois que nous orientons notre antenne du mental, lorsque nous parlons avec quelqu’un, lorsque nous rencontrons quelqu’un, lorsque nous regardons un film, lorsque nous allons dans un endroit, lorsque nous travaillons sur un projet, à chaque fois, nous dirigeons, nous focalisons notre conscience, ce que nous sommes dans une direction, dans une intention.
Notre antenne s’oriente. Et plus notre niveau de conscience est élevé dans un domaine, plus notre antenne est grande. Imaginons une antenne parabolique, de 4 mètres de diamètres, dirigé dans une direction. Puis imaginons que notre antenne fasse 8 mètres.
Plus notre antenne est grande, plus nous pouvons capter de détails, de pensées.

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Antennes sur pattes : “La méditation est le chemin qui mène vers l’éveil”, Kundun

Il est important de comprendre que nous ne pouvons ‘créer’ ou ‘générer’ de pensées.
Nous ne pouvons que ‘être’, c’est à dire prendre conscience de notre univers, de notre environnement, de nos conditionnements.
Notre conscience, lorsqu’elle se reflète sur cet environnement ‘capte’ à travers le mental ces fameuses pensées.
Comprendre que nous ne créons pas les pensées qui ne peuvent pas vraiment devenir ‘nos pensées’ mais ‘des pensées’ est essentiel.
Respirons profondément, gardons ce concept à l’esprit quelques secondes. Restons dans le calme. Comment nous sentons nous ?
Restons dans la présence.

Pause…

La première étape de l’éveil est de se séparer des pensées. C’est ce qu’Eckhart Tolle a divinement expliqué dans son livre “le pouvoir de l’instant présent”, vendu à 6 millions d’exemplaires.
Plus nous commençons à regarder nos pensées, plus nous comprenons qu’elles ne sont pas nous, qu’elle ne l’ont jamais été, et qu’elles ne le seront jamais.
Alors, une formidable libération s’effectue. Toutes ces fausses idées de culpabilité s’évanouissent instantanément. La fausse personne que nous avons cru être se dissous.
L’imposteur se révèle progressivement.
Car l’ego, la personne qui a été construite, sur cet assemblage de pensées et de croyances, petit à petit se dissous au même rythme que nous comprenons que nous ne sommes pas nos pensées.
Restons dans ce moment, dans ce calme. Sentez cette paix, cette présence.
Sentons ce vide mental, cet état ou l’antenne se dirige vers un endroit sans pensées.

Kundun janvier 2013

Bottle in the sea.

Hey you!
Come, come here,
Don’t be shy,
Please, read this text,
And imagine,
That you, in another space and time,
Have writen this poem.
Imagine, that this text,
Is a mirror,
Of what you really are.
Imagine,

That there is only you,
Imagine, You, as an infinite consciousness.
How could you see you?
How could you feel you,
How could you touch you?
If there is no separated you?
How an eye can see itself ?

So, you created this world,

You created duality,
You created,

All these people,

All these flowers,

All these minerals,
To know you.

You decided to live inside them,
Inside their hearts,
Inside the love.
You decided to experience yourself,
To understand,
What you really are.

Yes, it is you,
Which has created this text,
To initiate you,
To enlight you,
To tell you,
To remember you,
What you really are:
An infinite love, an infinite consciousness,
Living,
In 7 billions of humans.

Living,

In everything.

Cause deeply inside you,
You know,
Your mind,

You are not,
Your body,

You are not.
What you are,

Is you:
This love, this peace, this joy,

Is you.
You are,

The presence.

Please,
Understand,
Me,
So you will understand,
You.

Poème par / Poem by Kundun jan 2013

Ce n’est pas que je t’aime,

Ce n’est pas que je t’aime,
C’est que je deviens l’amour.
Je deviens ce que j’ai toujours été,
Ce que je suis, et ce que je serai.
Avec toi,
Je n’existe plus,
Dans tes bras,

Je peux être,

Moi.

Poème de Kundun

Vérité et amour

La vérité, c’est l’amour.

Tu es beau,
Tu es magnifique,
Tu es amour infini,
Tu es,
Conscience infinie
Tu es
La force,
Tu es
la puissance,
Tu es
La création,
Tu es
Ce moment.
Tu es,
La cause,
Et l’effet,
Tu es
Partout,
Tout le temps,
A l’intérieur,
De tout.
Tu es,
Nous.

Poème de Kundun, Février 2013

Heureux

Heureux,
Je suis.
Comment pourrais-je ne pas être heureux?
Maintenant que je sais,
Comment pourrais-je ne pas être heureux?
Maintenant que je sais,
Que je suis toi, que je suis lui, que je suis elle, que nous sommes un.
La vie est merveilleuse,
Maintenant que je sais,
Que tu es ici, et là, toujours,
Et tout le temps.
La vie est,
Et je suis, avec la vie, ta voie, ton esprit, ton jeu, ton amour, ta présence, ton rire, ta joie.
La vie se meut,
Et elle me fait bouger,
La vie se vit,
Et moi,

Je vis

Poème de Kundun, Janvier 2013

E comme Éveil

Qu’est ce que l’éveil ?

S’éveiller, c’est libérer la conscience, libérer la présence que nous sommes.

S’éveiller, c'est libérer la puissance de notre projecteur

S’éveiller, c’est libérer ce que nous sommes réellement.

Imaginons que notre conscience soit la lumière d’une ampoule, puis imaginons que cette ampoule passe de 40 à 400 watts.

S’éveiller, c’est augmenter l’intensité lumineuse, c’est augmenter la conscience.

Notre conscience s’étend dans toutes les dimensions : corps, esprit, mental. Avec l’éveil, tel un projecteur de lumière, notre conscience illumine plus intensément, dans toutes les directions : les filtres de l’égo qui retenaient la lumière se sont dissout.

Le mental devient le supra mental et accède alors au ressources illimitées de l’univers, l’intelligence n’est plus celle de l’homme, ni celle de l’égo, mais celle de la présence. Les pensées reçues changent et deviennent des pensées d’union, d’unité, d’amour, de partage.

Le cœur explose d’amour infini et la présence se libère, elle s’exprime dans la joie, l’amour, l’humour, le rire, le bonheur. L’amour est ressenti pour tout être et toute chose car nous savons que tout est nous.

La perception du corps est de moins en moins filtrée. Les sens s’étendent de façon spectaculaire. Le moindre parfum, goût, contact, sensation, son est ressenti de façon plus intime, plus fort. La sensibilité est accrue. Le corps vibre, réagit aux flux énergétiques. Il devient canal, médium entre le haut et le bas.

L’éveil spirituel, c’est lorsqu’on existe plus en tant que personne, quand nous faisons un avec l’infini, lorsqu’il n’y a plus “personne” à éveiller. La personne est dissoute, il n’y a rien à éveiller. Finalement, il y a juste à dissoudre ce que nous n’avons jamais été.

On entre alors dans l’univers de la non dualité, le point de vue adopté devient celui du divin, non plus celui de la personne.

Dans cet univers non duel, quelque chose se rend compte qu’il n’a jamais été l’illusion de la personne, ni la somme de ses conditionnements.

Lorsque nous n’existons plus, mais que la présence à travers nous se vit, notre perception de l’univers, notre point de vue change. Comme l’égo a disparu, il n’y a plus personne pour avoir un point de vue individualiste, du coup, c’est le point de vue de ce qui reste qui apparait : celui du divin, de la présence.

On entre alors dans le monde de la présence, du ressenti. Quelque chose vit a travers nos corps, quelque chose se vit à travers nous.

C’est alors dans ce moment présent, ni dans le passé, ni dans le futur, c’est dans cet univers non duel que la présence que nous sommes peut s’exprimer librement.

Libéré de l’égo, il n’y a plus d’identification à la personne, nous prenons alors conscience de ce que nous sommes : un conscience d’amour infini.

Kundun, Janvier 2013

E comme être

E comme être

E comme être

Chaque jour, a chaque moment, notre attitude reflète notre état d’esprit, ce que nous sommes.
Soyons dans l’amour, l’amitié, la coopération, la joie, le bonheur et observons.
Transmettons ce que nous avons dans le cœur, et soyons le témoin de notre reflet. Tout ce que nous sommes se reflète de façon immédiate.
Plus nous sommes éveillés, conscient, dans la présence, plus ce que nous sommes se reflète vite. Et même si certains sont emprisonnés par la personne qu’ils pensent être, il ressente notre amour inconditionnel et infini.

Face à l’ego, envoyons plus d’amour.
Nous pouvons “surrender” à tous les autres, car ils sont nous même. Nous pouvons “surrender” à leur cœur bien sur, pas à leur ego.

Nous pouvons aussi nourrir leur cœur et affamer leur ego !
Nous pouvons, par notre attitude exprimer ce que nous sommes réellement, une conscience d’amour infinie.

Texte de Kundun, Janvier 2013

A comme Attitude.

A comme Attitude

A comme Attitude

L’attitude est le reflet de notre univers intérieur.

En fonction de notre attitude, de notre vibration, de notre présence, de notre état d’esprit, nous allons recevoir certaines pensées.

Par exemple, une attitude positive, d’amour nous permettra de capter des pensées d’union, de fraternité.
Au départ, tout commence par l’intention, la volonté qui va générer l’attitude. La posture mentale captera ensuite les pensées correspondantes.
Et plus nous nous habituons à une attitude mentale, plus nous modifions notre façon de réfléchir, de concevoir : il y a comme un tri qui s’effectue sur les pensées que nous recevons. Par exemple, les personnes positives ne reçoivent plus que des pensées positives. Au bout d’un certain temps, les pensées négatives n’apparaissent même plus.

Nos pensées, après avoir été choisies se transforment en actes, puis ces actes se transforment en habitudes, puis ces habitudes deviennent des traits de caractères. Finalement, c’est notre attitude qui, par habitude transforme notre caractère, et c’est notre caractère qui crée notre destin.

Pour cette raison, l’attitude est fondamentale. Elle génère littéralement notre univers.

Les personnes ayant du succès ne réussissent pas par hasard mais parce qu’elles ont l’attitude correspondantes. (Cf ‘Réfléchissez et devenez riche’ de Napoleon Hill)
Elles ont apprise par l’expérience à maintenir cette attitude. En vibrant à la même fréquence qu’elles, en lisant leurs biographies (écrites par elle uniquement) nous pouvons obtenir des résultats similaire. Par une connexion à leurs textes et à leurs âmes, nous pouvons les rencontrer.

Beaucoup d’entres-nous n’ont pas conscience que tout ce qui nous arrive est le résultat de ce que nous sommes intérieurement et donc de nos attitudes.

L’attitude est une des choses les plus importantes car elle est le reflet de notre monde intérieur. L’univers est comme un grand miroir. Grâce à la loi de cause à effet, elle qui va générer nos expériences.

L’attitude ne se vit que dans l’instant présent, elle est notre réalité de chaque instant.

En augmentant notre niveau de conscience, nous modifions progressivement notre monde intérieur ainsi que nos attitudes. C’est ainsi que, tous ensemble, nous changeons le monde.

Texte de Kundun Février 2013

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Cours de Danse “Longo”

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage

Carol Salter vous propose tous les mardis de 17h00 à 19h00, au centre Infinite Love, Paris 11ème, un cours de danse “Longo”.

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Présentation

Cette méthode mise au point par ELIMA DELY MPUTU est issue de trois différentes traditions de danse initiatiques du Congo

Cette danse vise à nous Libérer des conditionnements qui nous empêchent d’incarner – ici sur terre – la totalité de qui nous sommes véritablement (notion fondamentale de l’ancrage).

Elle  harmonise les énergies masculine et féminine en nous, ce qui équilibre la fonction des hémisphères droit et gauche du cerveau, et Porte le mental à vivre de plus en plus dans l’ici et maintenant.
Cette méthode donne à l’individu les outils pour s’ancrer à l’intérieur de soi, pour une meilleure approche, une meilleure découverte, une meilleure connaissance de son être.

Les Piliers du Longo

  • L’INNOCENCE : L’innocence, c’est l’Âme de la joie.
  • LA SPONTANEITE : La spontanéité, c’est l’innocence en mouvement.
  • LA SAGESSE : C’est l’acceptation de ce que les choses sont ce qu’elles sont, de ses propres limites et ses qualités.
    C’est le dépassement de la lutte, des contradictions.
  • L’EQUILIBRE : C’est l’établissement dans son Être.

Les Outils du Longo

  • LE MOUVEMENT :
    • Coordination des pieds, jambes, mains, bras, tête.
    • La latéralité
    • Une suite chorégraphiée des pas de danse
  • LA CONSCIENCE : Le mouvement doit être exécuté avec une pleine conscience. La pleine conscience donne de l’épaisseur et de la consistance à l’individu, et dans tout ce qu’il entreprend.
  • LA PRESENCE : La pleine conscience nous amène dans un état de présence dans le mouvement, où l’individu vit le mouvement dans l’instant. Toute l’énergie est canalisée dans ce qu’il est en train de faire maintenant. Et de ce fait, il occupe l’espace et devient plus efficace. La présence donne ce qu’on appelle « la grâce du mouvement ».
  • LE SOUFFLE : C’est l’âme du mouvement. Un mouvement qui est fait en pleine conscience, en harmonie avec la respiration (inspiration, expiration) nous installe dans la présence, et nous permet d’aller vers le ressenti.
  • LE RESSENTI : Tout mouvement passe d’abord par la phase d’élaboration, qui est le domaine de l’âme, ensuite par la phase de l’exécution, qui est le domaine de l’esprit, et puis enfin par la phase du ressenti, qui est le domaine du corps. Le ressenti est la manière du corps de vivre un mouvement.

Les Objectifs :

La danse Africaine étant à priori une danse rituelle et thérapeutique, la pratique de celle-ci à partir de la méthode de l’Ancrage amène l’individu à se reconnecter avec lui-même et à se recentrer. Le “longo” l’amène à potentialiser toutes ses ressources et à mettre toute son énergie à la réalisation de son bien être et de ses objectifs. Par l’Ancrage, l’individu retrouve la spontanéité qui conduit à l’harmonisation et à la maîtrise de ses gestes et mouvements et actions. En plus de la détente, l’Ancrage installe la paix en soi, instrument majeur de la confiance en soi, et, de ce fait, permet de combattre le stress. Il aide l’individu à relativiser les évènements, d’où le détachement et une vision globale et large des choses. L’Ancrage permet de mieux appréhender l’espace et le temps, de mieux focaliser l’attention, et contribue à la joie de vivre.

La Pratique :

Dans la pratique, l’individu est invité à découvrir la vie à l’intérieur de son corps. Ce temple (NZOTO) lieu de connexion entre le matériel et l’immatériel, lieu où l’esprit (ELIMO) et l’âme (MOLIMO) convergent. Le ressenti est la base de l’enseignement. Ainsi, chaque mouvement exécuté est fait en conscience, et ressenti à l’intérieur de soi. Et de ce fait, on développe l’état de la présence.

Les séances durent 1h30, 3h, une journée (6h), ou un week-end (2x6h).
Les séances se font en groupe ou en individuel. Les séances individuelles se font toutes sur rendez-vous

Le Public Visé :

L’Ancrage est ouvert à toute catégorie de personnes : adultes, enfants, professionnels et non professionnels de la danse, etc. Il vise l’Etre. Il replace l’homme au centre de toutes les préoccupations et l’amène vers le MUNTU (l’homme dans sa véritable nature matérielle et immatérielle).

Données pratiques :

La tenue vestimentaire est à l’appréciation de chacun, à la seule condition qu’elle ne soit pas ample, et encombrante. La pratique se fait pieds nus, afin d’être au contact de la terre (sol).
Animé par : Carol SALTER,  Balongi enseignante de « l’institut LONGO » de Paris
Date : Tous les mardis de 17h00 à 19h00
Lieu : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris, Métro Voltaire
PARTICIPATION : 20 € Tarif réduit sur justificatif : 15 €
Réservation : par téléphone au 07 86 94 96 67 ou par le formulaire de réservation ci-dessous

Méditation Infinite Love “la non-technique”

Mikel Defays d’Infinite Love vous propose une nouvelle méditation “la non technique” le Lundi 4 Mars 2013 à 9h30

Méditation "non technique" par Mikel Defays pour Infinite Love

Méditation “non technique” par Mikel Defays pour Infinite Love

La méditation Infinite Love est un état de pleine conscience qui nous permet de vivre dans le moment présent. Elle a de nombreuses facultés dont une qui est de nous libérer de nos souffrances. Cette méditation n’a rien a priori d’extraordinaire ou de spécial. Mais en réalité, elle l’est, parce qu’elle nous transforme incroyablement et nous rend conscient que nous sommes des êtres extraordinaires. Elle nous permet d’accéder à des parties ignorées de nous mêmes de manière spontanée, chaleureuse et neutre. C’est une façon d’être et non une technique. Elle consiste simplement à prêter attention à ce qui se passe dans votre vie, afin de ne plus passer à coté d’elle. À laisser les choses être ce qu’elles doivent être. Il s’agit d’être, être en harmonie avec tout ce qui se présente à vous, sans juger. Il s’agit d’être et vivre pleinement.

Cette méditation ne nécessite aucune connaissance préalable. Durant cette méditation il ne s’agit pas de se focaliser, de devoir faire le vide, de forcer une attitude ou de méditer dans une position bien précise. Il ne s’agit pas de rentrer en guerre avec son mental ou ses pensées, il s’agit justement d’y instaurer la paix et l’harmonie. Cette méditation n’est pas une technique, elle est plutôt une non technique ou encore une façon d’être pleinement dans le présent. Elle peut se pratiquer partout et à tout moment.

Durant ce stage vous apprendrez à vous détacher et prendre de la hauteur de manière à expérimenter d’autres champs de conscience. Tel un rocher qui se détache de lui même pour découvrir qu’il est une montagne et cette montagne un monde… ce monde un univers.

Ces nouveaux angles de vue vous révèleront de nouvelles perspectives afin de vous libérer de toutes vos illusions. Les journées de stage sont guidées a travers différentes méditations et suivies de débriefing répondant aux questions émergentes. Des consultations individuelles son également envisageables durant et après le stage. Après le stage toute personne aura acquis une connaissance claire pour pratiquer la méditation Infinite Love. Tout élève sera suivi après le stage (si tel est son désire) pour qu’il puisse progresser de manière stable. Aussi ce stage vous permettra d’avoir accès à des méditations de groupe que ce soit à distance ou sur place avec débriefing.

Programme :

Accueil, Présentation puis stage guidées a travers différentes méditations, suivies d’enseignement spirituel et de débriefing répondant aux questions émergentes

Enseignant :

Mikel Defays a reçu dès les premières années de sa vie un enseignement qui l’a placé sur la route vers la conscience. De nombreuses personnalités dans le cadre du bien-être, la spiritualité, la conscience et la médecine alternative lui ont transmis généreusement leurs savoirs faire, ce qui lui à permit de concevoir une nouvelle approche de la vie et de son équilibre. C’est par cette approche multiforme qu’il vous propose de découvrir lors de ses formations et consultations individuelles. Ces domaines d’action son présent à tous les niveaux que ce soit physique, mental, émotionnel ou spirituel.
Pour en savoir plus sur le parcours de Mikel Defays, lire la suite …

Avantages :

Cette méditation est un outil très puissant pour augmenter votre niveau de conscience, et ce dans tous les domaines. Il ne faut pas prendre cette initiation à la légère, car la vie des personnes qui l’expérimentent va réellement changer.
En effet, plus notre niveau de conscience augmente, plus nous comprenons l’univers dans lequel nous évoluons. Par la suite, l’action et les comportements changent. La vie des gens évolue véritablement. Pour cette raison, nous conseillons aux couples de suivre ce chemin ensemble.
Les méditations, que ce soit pleine conscience ou les autres permettent d’augmenter notre niveau de conscience et par conséquent d’avancer sur le chemin de l’éveil spirituel.
L’engagement d’Infinite Love est de vous laisser libre, de vous donner des outils que vous pourrez continuer à utiliser seul ou entre amis. A chaque augmentation de votre niveau de conscience, vous devenez plus libre, vous êtes « déprogrammé’ ».

Études scientifiques sur la méditation

Les effets de la méditation sont l’objet d’études scientifiques de plus en plus nombreuses : Nous vous les présentons dans cet article
Découvrez également les témoignages de participants à nos stages.

Lieux et données pratiques :

Ce stage de Méditation pleine conscience aura lieu de 9h30 à 17h :

Lundi 4 Mars 2013
En Belgique à Vielsalm dans les Ardennes   ( à +/- 2h00 de Bruxelles et 3h00 de Paris )
ou
En France, Centre Infinite Love, 75011 Paris,

Amenez votre pic-nique et boissons ( Belgique: possibilité de se restaurer sur place sur demande)
Pour toute personne ne pouvant pas participer à tout les frais de participation nous avons mis au point un système d’échange de compétences qui consiste à offrir des prestations en tant que bénévole au sein de la Fondation : la demande pour participer à cet échange de compétences doit se faire avant l’inscription.

Vous pouvez me contacter à tout moment pour toutes questions supplémentaires ou pour réserver :

Par téléphone en Belgique : 0032/(0)498350137

Par téléphone en France :0033/(0)762861597

ou par le formulaire de contact ci-dessous

Journée yoga et méditation « Infinite Love »

Tout les Lundis et  vendredis, Infinite Love et Yogi Deepu vous propose des activités autour de l’éveil du corps, de la conscience, de la méditation et du bien-être au centre Infinite Love à Paris 11ème.

Journée Yoga et méditation par Deepu, pour Infinite Love

Journée Yoga et méditation par Deepu, pour Infinite Love

Attention : RÉSERVATIONS NÉCESSAIRES par le formulaire en bas de cette page. Le nombre de places étant limité. Inscrivez vous vite.

Tout les Lundis :
13h00 à 14h30 : Hatha Yoga Asanas, cours de yoga pour tout niveau par Deepu
14h30 à 16h00 : Pranayama & Yoga Nidra, travail de respiration et méditation pour tout niveau par Deepu
16h15 à 17h15 : Méditation Védique, méditation guidée pour tout niveau par Deepu
17h30 à 18h30 : Vedic Chanting Mantra par Deepu
18h40 à 20h00 : Dynamic Hatha Yoga Asanas, cours de yoga par Deepu

Tout les vendredis :
13h00 à 14h30 : Hatha Yoga Asanas, cours de yoga pour tout niveau par Deepu
14h30 à 16h00 : Pranayama & Yoga Nidra, travail de respiration et méditation pour tout niveau par Deepu
16h15 à 17h15 : Méditation Védique, méditation guidée pour tout niveau par Deepu
17h30 à 18h30 : Vedic Chanting Mantra par Deepu
18h40 à 20h00 : Dynamic Hatha Yoga Asanas, cours de yoga par Deepu

Yogi Deepu

Né d’une famille Brahmane, Deepu a grandi à Rishikesh, capitale du Yoga en Inde, au pied de Himalaya. Il a vécu dans l’ashram Shri Sacha Dham où il a pratiqué le yoga depuis son plus jeune âge auprès de son maitre le grand yogi Shri Sacha Hansraaj Maharaj. Il y a également appris le style Shivananda. Pour en savoir plus sur Yogi Deepu

Présentation des ateliers:

Hata Yoga Asanas

« Shtiram shukham asanam » ,Yoga Sutra from Patanjali Yoga Sutra

Le mot Yoga vient du terme Sanskrit « Yuj » qui signifie « union ».

Le Yoga est en effet l’union du corps et de l’esprit à travers un enchainement de postures  (ou « Asanas » en Sanskrit), dans un état méditatif, en profonde écoute avec notre intérieur.  Cette connexion entre notre corps et notre esprit nous permet de développer une profonde sérénité, l’éveil de notre conscience ainsi que la connaissance de Soi et de l’Univers.

La pratique du Hatha yoga est une invitation au bien-être, à une profonde paix intérieur. Prenant en compte l’individu dans sa totalité : corps, énergie et mental, il cherche à harmoniser ces trois plans en agissant directement sur le corps énergétique. Le travail de la respiration y occupe une place centrale favorisant le développement, la circulation et la canalisation de l’énergie vitale.

Ainsi, une pratique régulière du Hatha Yoga apporte vitalité, équilibre et sérénité pour un bien-être au quotidien. Il éveille notre conscience pour une vie plus lumineuse en accord avec notre nature profonde.

Pranayama et Yoga Nidra

Pranayama, Renaitre par le souffle..

Issue des mots Sanskrit « Prana » (énergie vitale) et « Ayama » (expansion), le pranayama est un ensemble de techniques de respirations profondes destinées à apporter bien-être et équilibre aussi bien physique que mental. Ces différentes techniques de maitrise du souffle permettent de faire circuler l’énergie vitale dans l’organisme, cette énergie ayant une action curative sur notre physique (purification et revitalisation de nos organes, évacuation des toxines du corps, … ) mais aussi sur le plan psychologique par son action positive sur notre système nerveux et émotionnel. Une pratique régulière du pranayama permet de développer nos capacités physiques et mentales, notre énergie vitale ainsi que notre lumière.

Au delà de ses bienfaits physiques et psychologiques, le pranayama permettra d’accéder à un plan d’énergie hors du temps et de l’espace à l’intérieur duquel nous pouvons expérimenter le profond bien-être qu’est celui d’accepter de vivre le moment présent, dans toute sa splendeur.

Yoga Nidra

« Yoga Nidra » signifie en Sanskrit « dormir en conscience » ou « sommeil yogic».

Le yoga Nidra est une profonde relaxation guidée permettant d’accéder à un état de sommeil corporel et mental en conscience. Son enseignement fut originellement pratiqué pour améliorer la santé physique et vider l’esprit afin de préparer à la méditation dans la recherche de l’éveil. C’est un puissant moyen de relaxation dans le monde moderne ainsi qu’un moyen de revitaliser le système nerveux et d’éveiller les forces de guérison. Dans le Yoga Nidra, nous entrons dans un sommeil conscient, lucide et sans barrière, un sommeil méditatif.

Une fois le mental calmé, visualisations, symboles et mantras peuvent être employés afin de déverrouiller l’esprit et accéder à des expériences psychiques profondes, pour harmoniser et purifier les chakras.

Méditation Védique

La méditation védique (ou « Bhâvâtit Dhyâna » en Sanskrit) est une technique mentale, simple et naturelle. Elle permet à l’esprit de faire l’expérience des niveaux de plus en plus subtils de la conscience pour finalement transcender, c’est-à-dire aller au delà de toute activité mentale et ainsi faire l’expérience de la source de la pensée, la conscience pure.

Dans cet état de repos profond, de silence et de paix, la conscience individuelle est pleinement éveillée à sa dimension universelle. Elle est consciente d’elle-même dans sa valeur ultime, non changeante, immuable. Elle est la totalité.

Ainsi, la méditation védique apporte une profonde paix intérieure, elle ouvre notre esprit à une nouvelle expérience, celle d’une vie détendue, plus alerte, plus créative et plus épanouissante.

Vedic Chanting Mantra

Un mantra est une phrase sacrée provenant du verbe Sanskrit « Man » signifiant « penser » et de « Trâna » signifiant « protection ». Un mantra est ainsi une forme mentale qui protège.

Basé sur le pouvoir du son, la vibration de ce dernier et sa résonance transforment l’environnement ainsi que le récitant. Il est dit qu’à chaque situation de la vie correspond un mantra qui peut nous aider que ce soit sur les plans physique, mental, émotionnel ou spirituel.

Le chant de mantras apaise le mental et favorise la connexion et l’unité avec l’Univers, il nous offre une véritable libération nous permettant d’accéder à un état de paix intérieur.

Dynamic Hatha Yoga Asanas

« Shtiram shukham asanam » ,Yoga Sutra from Patanjali Yoga Sutra
Le mot Yoga vient du terme Sanskrit « Yuj » qui signifie « union ».
Le Yoga est en effet l’union du corps et de l’esprit à travers un enchaînement de postures (ou « Asanas » en Sanskrit), dans un état méditatif, en profonde écoute avec notre intérieur. Cette connexion entre notre corps et notre esprit nous permet de développer une profonde sérénité, l’éveil de notre conscience ainsi que la connaissance de Soi et de l’Univers.
La pratique du Hatha yoga est une invitation au bien-être, à une profonde sérénité. Prenant en compte l’individu dans sa totalité : corps, énergie et mental, il cherche à harmoniser ces trois plans en agissant directement sur le corps énergétique. Le travail de la respiration y occupe une place centrale favorisant le développement, la circulation et la canalisation de l’énergie vitale.
Ainsi, une pratique régulière du Hatha Yoga vous apportera vitalité, équilibre et sérénité pour un bien-être au quotidien, il éveillera votre conscience pour une vie plus lumineuse en accord avec notre nature profonde.

Tarifs hors Action gratuite :

18€ la séance
Pour l’ensemble des activités de la journée Tarif = 80 €
Tarif pour 5 séances = 80 €
Tarif pour 10 séances = 150 €
Abonnement mensuel 2 cours par semaine = 130 €
Abonnement mensuel, cours illimités = 250 €
Abonnement annuel, cours illimités (11 mois) = 1000 €
ou règlement individuel par activités payantes

Données Pratiques :

Date le : tout les lundis et vendredis
Lieux : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris
Réservation au +33 (0)7 62 86 15 97 ou par notre formulaire de contact ci-dessous

Loi de l’attraction

Lorsque nous nous mettons au diapason d’une pensée, lorsque nous choisissons d’être en phase avec une pensée ou un projet (qui n’est finalement qu’une pensée évoluée et détaillée), alors notre être se met dans un certain état d’esprit, sur une certaine fréquence.

loi de l'attraction, texte de Kundun 2013

loi de l’attraction, texte de Kundun 2013

Si à cette fréquence, à cette pensée nous y ajoutons l’attitude alors nous œuvrons pour sa matérialisation.

Si en plus, nous imaginons que cette pensée, que ce projet est déjà réalisé, alors une prise de conscience se réalise : la prise de conscience que c’est possible.

Il y a alors comme un pointeur, une direction qui s’installe dans notre vie.
L’émotion si possible forte de cette découverte, de cette prise de conscience agit comme un carburant qui va ´fixer ´ et cristalliser ce nouvel état d’être.

Ensuite, étant donné que nous sommes déjà dans l’aboutissement de la pensée, du projet, l’univers va faire tout ce qu’il peut pour ´rattraper´ son retard, c’est à dire la différence de conscience entre la pensée réalisée et le point de départ.

Nous allons littéralement vibrer à la fréquence de notre nouvel état d’esprit, attirant magnétiquement tout ce qui nous entoure, parfois de façon inattendue. L’intelligence infinie à une conscience infinie des potentialités qui nous entoure et des lignes de vies possibles. La loi de l’attraction intervient alors comme un aimant, comme une résonance. Pour cette raison l’attitude, l’attitude et l’attitude est fondamentale. Elle est l’expression de ce que nous sommes et le reflet des pensées qui nous impactent. Plus nous nous éveillons, plus nous les choisissons, moins nous sommes victimes de nos conditionnements.

De plus, tel un aimant, tout un tas d’autres pensées vont apparaître pour éclairer les chemins possibles entre l’arrivée et le départ.
Si par la répétition nous confirmons chaque jour ce nouvel état de conscience, nous créons un sillon dans l’univers des possibles.

nous créons un sillon dans l'univers des possibles.

Nous créons un sillon dans l’univers des possibles.

Pourquoi ?

Pourquoi l’univers à t-il tendance à réaliser tous nos désirs, indépendamment de tout jugement, de toute dualité ?
Pour deux raisons : d’une part notre volonté et notre être est de nature divine. La conscience que nous sommes, qui vit à travers nos corps est l’expression de la vie et du divin. C’est littéralement l’intelligence infini (dieu pour ceux qui sont religieux) qui vit à travers nous, bien au delà de l’égo. Et plus l’égo est dissous, plus “il” peut vivre à travers nous.
Et aussi parce que notre univers à été crée pour que nous puissions expérimenter tous nos désirs.
Autrement dit c’est le fondement même de notre univers qui est une conscience infini de réaliser ses désirs à travers nous.
En tant qu’antenne sur patte, nous ne pouvons que choisir les pensées, nous mettre au diapason d’un certain état d’esprit. Nous pouvons, si nous nous déconditionnons commencer à choisir un peu. L’éveil, c’est se libérer de la personne que nous avons cru être, alors nous augmentons les potentialités, laissant le divin s’exprimer à travers nous.
Car le divin choisit toujours ce qui est le mieux pour nous, pour lui. Quand le divin peut s’exprimer à travers nous pleinement apparaît le génie ou bien la folie si nous perdons l’équilibre.

L’expérience la plus profitable à son propre développement, c’est à dire à son propre éveil est mis en priorité. Ainsi notre propre éveil est surtout le sien. En réalité la personne, l’égo que nous avons cru être n’ayant aucune existence, il est la seule réalité.
Oui, le divin s’éveille à travers nous et nous nous éveillons à travers lui. Il y a une réciprocité car nous sommes “un” au final.

“Un jour l’homme comprendra que Dieu, c’est lui” Alain LM.

Kundun Février 2013

C comme Cause, E comme Effet

Loi de cause à effet : une expérience d’amour.

Loi de cause à effet : une expérience d'amour

Loi de cause à effet : une expérience d’amour

Nous pouvons considérer notre vie comme une somme d’expériences.
Si on y regarde de près, chaque expérience peut être analysée et comprise comme une expérience d’amour basée sur la loi de cause a effet.
Comme pour des bulles de savons, chaque expérience peut en intégrer d’autres.
Je m’explique : prenons par exemple la naissance :
En général, l’amour de deux êtres (qui est la cause) génère un effet : on se met en couple, puis parfois, un enfant apparaît.

La cause et l’effet, d’une certaine façon ne font qu’un, c’est la bulle de savon. Cette entité, cette cellule cause-effet, qui est dans ce cas l’amour de deux être va générer tout un tas d’autres bulles ’causes-effets’ qui sont comme des petites bulles de savon intégré à la première. Par exemple, cette union va créer la bulle ‘on loue un appartement, on vit ensemble’ et aussi, ‘ je n’habite plus chez mes parents’, ‘ je vais chercher du travail’, etc…
Si on regarde l’historique de sa vie, on peut identifier les grosses bulles, les cellules ’cause/effet’ qui ont changé notre vie de façon considérable.

Ce que j’essaye de transmettre dans ce texte, c’est cette compréhension qu’à la base de chaque bulle, il y a un acte d’amour, que cet acte d’amour est une cause qui va générer tout un tas de sous-bulles, des effets qui eux-même seront la cause d’autre événements.
Si on regarde un instant dans le passé, on peut à la fois comprendre pourquoi on est ici et maintenant mais aussi voir quelles seront les effets de nos amours d’aujourd’hui.

Par exemple, admettons que nous sommes un jeune informaticien passionné d’informatique dans les année 1990, on crée une société de service, qui a du succès, on la revend, on acquière l’énergie de l’argent.
Il y a dans cette bulle une cause et un effet, un début et une fin, un expérience de vie qui commence et ce termine. C’est la même histoire que pour le couple : on se rencontre, on s’aime, on vit ensemble, on fait éventuellement des enfants, puis on meurt.

Il y a comme des bulles d’expérience que nous pouvons considérer comme des cellules unitaire d’expérience qui font un tout. La cause n’est jamais séparée de l’effet. On peut voir l’ensemble comme un tout. La bulle contient la cause et l’effet.

Une expérience d'amour

Une expérience d’amour

Par exemple : nous rencontrons quelqu’un, nous ‘tombons amoureux de cette personne du point de vue du cœur et de l’intellect, on s’associe, nous créons une société et un projet ensemble. De nouveau une bulle cause-effet a été crée. Et cette création est aussi basée sur un amour : l’amour fraternel d’être avec un autre soi-même qui a la même vision.

Prenons un autre exemple : nous rencontrons un Yogi magnifique qui donne des cours de Yoga.
Tout d’un coup, l’amour du Yoga et de ce professeur nous donne envie de prendre des cours. Une bulle cause/effet se crée.

Nous rencontrons aussi un professeur de piano qui joue merveilleusement bien. Et hop, l’amour de la musique et du professeur nous amène à prendre des cours.
Une bulle ’cause/effet’ se crée et dans 20 ans, nous serons sur scène à jouer du piano.

A y regarder de près, Toutes nos vies sont faites de bulles ’cause/effet’.
Et à y regarder d’encore plus près, la véritable cause génératrice est l’amour de quelque chose ou de quelqu’un.

Exemple : vous êtes un enfant, vos parents vous offre un ordinateur et 15 ans plus tard, vous devenez informaticien. La cause, c’est l’amour de vos parents.
Vous décidez d’aller au restaurant avec des amis pour passer un bon moment : la cause est l’amour fraternel que vous avez pour vos amis.
La bulle ’cause/effet’, c’est ce moment ou vous serez tous ensemble. Un des sous-effets possible, c’est que vous risquez d’y rencontrer votre futur femme ou mari.

Si on se met à regarder rétrospectivement nos vies, on s’aperçoit que nous sommes actuellement tous dans des bulles ’cause/effet’ qui structurent et façonnent nos vies.
Il est possible de prendre conscience de ces bulles.
Pourquoi en sommes nous arrivé la ?
Quelles enseignements ais-je tiré de ces expériences, sont-elles terminées ?
Dans quelles bulles- suis-je ?

Prenons un moment pour nous poser.
Respirons profondément, et arrêtons tout quelques minutes pour rester dans cette réflexion.

Dans quelles bulles suis-je ?

Dans quelles bulles suis-je ?

Dans quelle bulle suis-je ? Quelle est la bulle ’cause/effet’ principale dans laquelle je suis ?
Il y a une bulle ‘travail’ et une bulle ‘couple’, une bulle ‘besoin spirituel’…?
Listons nos bulles.
Voyons les causes et les effets qui nous ont amenés dans ces bulles.
Suis-je entièrement satisfait de mes bulles ?
Faisons une pause, restons dans ce moment quelques minutes.

Écrivons sur une feuille nos grandes bulles, nos grands axe ’cause/effet’ qui nous ont amené ici et maintenant. Pourquoi lisez vous ce texte ? Qu’elles sont les circonstances qui vous ont amené à ce texte. Est ce Google ? La cause est-elle une recherche d’information ?
Voyons comment le hasard qui n’existe pas a été la cause de cette lecture.

A la fois vous lisez ce texte, et au même moment, je l’écris.
Oui, nous sommes bien connectés par cette bulle ’cause/effet’ généré par l’amour de la connaissance, et l’amour de l’autre.
Restons dans cette communion quelques instant. Sentez vous ce lien, cet amour ?
Car en réalité, c’est la même source sous-jacente qui à la fois écrit ce texte, et qui le lit. Cette source, c’est l’amour que nous sommes. Cette source, c’est l’amour qui expérimente la vie, par les expériences, par ces fameuses bulles…
Si vous aimez ce texte, peut être aurez vous envie d’en lire d’autres ? Peut être aurez vous envie de me rencontrer ? Ce serait chouette. Comment imaginer tous les effets d’une telle cause ?

Revenons maintenant à nos bulles ’cause/effet’

Nous pouvons, par cette introspection, par cette rétrospectives ‘remonter dans le temps’ et visualiser notre vie, les causes majeurs qui nous ont amenés jusqu’ici.
Pourquoi souhaitons nous augmenter notre niveau de conscience ? Quelles sont les causes, quelle est l’amour sous-jacent derrière cet élan ?
Et quelles sont les synchronicités, les coïncidences qui nous ont aidé ?

Car lorsque nous examinons attentivement ces bulles ’cause/effet’, on s’aperçoit qu’il y a des bulles dans les bulles, qu’elles se rejoignent, qu’elles s’amassent ensemble.
La loi de résonance et la loi de l’attraction font que les bulles se rejoignent.

Bulles, cellules photos Serge Briez, cap médiations

Bulles, cellules photos Serge Briez, cap médiations

Nous avons tous quelques grosses bulles qui ont déterminée notre vie.
Prenons quelques instant pour les visualiser. Faisons une pause de quelques minutes.

Restons dans ce moment présent et demandons nous : quel était mon état d’esprit dans ces moments les plus importants de ma vie ?
Quel était mon niveau de conscience ?
Étais-je dans la joie, le bonheur ? Étais-je dans la souffrance ? Étais-je présent ? Qui a vraiment décidé de ces causes ? Est ce Mon Ego, mon cœur, mon corps ? Est ce quelqu’un d’autre que moi ?

Car si on regarde attentivement, on peut découvrir qu’en fonction des créateurs des causes, les effets vont être très différent. Les effets du cœurs ne sont pas du tout les mêmes que les effets de l’ego. Il y en a un qui unit, alors que l’autre sépare.

Mes bulles sont-elles plus générées par la personne que je crois ou que j’ai cru être, ou bien par le vrai soi, l’amour, le cœur ?
Est ce le corps qui crée des causes ?
Prenons un instant de réflexion. Respirons et restons dans l’instant quelques minutes.

Qui créent les bulles ?

Qui créent les bulles ?

Qui créent les bulles ?

Suis-je entièrement libre des causes que je génère ?
Suis-je capable de bien voir la différence entre les effets générés par le cœur, l’ego, le corps ?
Car évidement, nous expérimentons, nous créons ces bulles d’expérience, nous générons les causes et les effets, mais est ce le vrai ‘nous’ ?
Est ce le vrai nous ou bien la personne crée par le mental ?
Voila un sujet à explorer…

Plus nous pouvons comprendre le mécanisme sous-jacent à la création de ces bulles, plus nous augmentons notre niveau de conscience, plus nous devenons libre de choisir la qualité de notre expérience de vie.

Libre de comprendre pourquoi nous sommes ici et maintenant, et libre de nous épanouir, de comprendre ce que nous sommes.
Car la maîtrise de cette loi de cause à effet, de ce mécanisme de bulles, permet ainsi de choisir sa vie, d’être heureux.

Car c’est dans le moment présent, en conscience et dans la présence, que nous pouvons devenir la clarté. Et C’est cette clarté du corps, du mental et du cœur que nous pouvons appréhender toutes les conséquences, tous les effets de nos causes.

Car si nous agissons dans la conscience du cœur et de l’amour, si nous générons des causes en toute conscience, les effets seront magnifiques.

Méditons sur ce passage de Luc :

Lc 6:37- Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ; remettez, et il vous sera remis.
Lc 6:38- Donnez, et l’on vous donnera ;

Plus nous dissolvons l’égo, plus nous sommes dans l’amour, sans jugement ni condamnation, plus nous générons des causes aimantes. L’univers est un grand miroir qui nous renvoi ce que nous lui envoyons.

Tant que nous ne comprenons pas la loi de cause à effet et l’importance de l’attitude, nous passons notre vie à regarder les effets sans rien comprendre : très peu d’entre-nous s’intéresse aux causes, et pourtant, c’est la compréhension et l’étude des causes qui permet le discernement. En réalité chaque effet à une ou plusieurs causes, sachons les découvrir.

Pour conclure ce texte : plus nous restons dans la présence, dans l’amour, la fraternité, le cœur, plus les effets de nos causes seront magnifiques.

A l’inverse, plus nous laissons le mental, l’ego, la personne que nous n’avons jamais été, diriger les causes de notre vie, plus il y aura de souffrances et de séparation.

C’est à la fois si logique, si simple et si évident, mais regardons autour de nous, pourquoi cette connaissance est-elle si peu partagée ?

Kundun, le 13 janvier 2013

Lui

Je suis avec notre père,
Et notre père est avec moi.
Je suis sa présence,
Je suis sa danse,
Il chante a travers moi,
Il te sourit,
Il te regarde,
Il t’écoute,
Il te touche
Il te bénit,
Il est,
Je suis,
Nous sommes,
Lui.
Je suis,
Son instrument,
A travers moi, il joue,
A travers moi, il souffle la vie,
A travers moi, il agit.
A travers lui,
Je suis

Poème de Kundun / Poem by Kundun jan 2013

Cours de Danse “Longo”

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage

Carol Salter vous propose le Mardi 26 Février 2013 UN COURS GRATUIT  de 17h00 à 19h00, au centre Infinite Love, Paris 11ème, un cours de danse “Longo”. Et retrouvez les cours de Longo tous les Mardis de 17h00 à 19h00

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Le « Longo » La Danse Africaine d’Ancrage par Carol Salter

Présentation

Cette méthode mise au point par ELIMA DELY MPUTU est issue de trois différentes traditions de danse initiatiques du Congo

Cette danse vise à nous Libérer des conditionnements qui nous empêchent d’incarner – ici sur terre – la totalité de qui nous sommes véritablement (notion fondamentale de l’ancrage).

Elle  harmonise les énergies masculine et féminine en nous, ce qui équilibre la fonction des hémisphères droit et gauche du cerveau, et Porte le mental à vivre de plus en plus dans l’ici et maintenant.
Cette méthode donne à l’individu les outils pour s’ancrer à l’intérieur de soi, pour une meilleure approche, une meilleure découverte, une meilleure connaissance de son être.

Les Piliers du Longo

  • L’INNOCENCE : L’innocence, c’est l’Âme de la joie.
  • LA SPONTANEITE : La spontanéité, c’est l’innocence en mouvement.
  • LA SAGESSE : C’est l’acceptation de ce que les choses sont ce qu’elles sont, de ses propres limites et ses qualités.
    C’est le dépassement de la lutte, des contradictions.
  • L’EQUILIBRE : C’est l’établissement dans son Être.

Les Outils du Longo

  • LE MOUVEMENT :
    • Coordination des pieds, jambes, mains, bras, tête.
    • La latéralité
    • Une suite chorégraphiée des pas de danse
  • LA CONSCIENCE : Le mouvement doit être exécuté avec une pleine conscience. La pleine conscience donne de l’épaisseur et de la consistance à l’individu, et dans tout ce qu’il entreprend.
  • LA PRESENCE : La pleine conscience nous amène dans un état de présence dans le mouvement, où l’individu vit le mouvement dans l’instant. Toute l’énergie est canalisée dans ce qu’il est en train de faire maintenant. Et de ce fait, il occupe l’espace et devient plus efficace. La présence donne ce qu’on appelle « la grâce du mouvement ».
  • LE SOUFFLE : C’est l’âme du mouvement. Un mouvement qui est fait en pleine conscience, en harmonie avec la respiration (inspiration, expiration) nous installe dans la présence, et nous permet d’aller vers le ressenti.
  • LE RESSENTI : Tout mouvement passe d’abord par la phase d’élaboration, qui est le domaine de l’âme, ensuite par la phase de l’exécution, qui est le domaine de l’esprit, et puis enfin par la phase du ressenti, qui est le domaine du corps. Le ressenti est la manière du corps de vivre un mouvement.

Les Objectifs :

La danse Africaine étant à priori une danse rituelle et thérapeutique, la pratique de celle-ci à partir de la méthode de l’Ancrage amène l’individu à se reconnecter avec lui-même et à se recentrer. Le “longo” l’amène à potentialiser toutes ses ressources et à mettre toute son énergie à la réalisation de son bien être et de ses objectifs. Par l’Ancrage, l’individu retrouve la spontanéité qui conduit à l’harmonisation et à la maîtrise de ses gestes et mouvements et actions. En plus de la détente, l’Ancrage installe la paix en soi, instrument majeur de la confiance en soi, et, de ce fait, permet de combattre le stress. Il aide l’individu à relativiser les évènements, d’où le détachement et une vision globale et large des choses. L’Ancrage permet de mieux appréhender l’espace et le temps, de mieux focaliser l’attention, et contribue à la joie de vivre.

La Pratique :

Dans la pratique, l’individu est invité à découvrir la vie à l’intérieur de son corps. Ce temple (NZOTO) lieu de connexion entre le matériel et l’immatériel, lieu où l’esprit (ELIMO) et l’âme (MOLIMO) convergent. Le ressenti est la base de l’enseignement. Ainsi, chaque mouvement exécuté est fait en conscience, et ressenti à l’intérieur de soi. Et de ce fait, on développe l’état de la présence.

Les séances durent 1h30, 3h, une journée (6h), ou un week-end (2x6h).
Les séances se font en groupe ou en individuel. Les séances individuelles se font toutes sur rendez-vous

Le Public Visé :

L’Ancrage est ouvert à toute catégorie de personnes : adultes, enfants, professionnels et non professionnels de la danse, etc. Il vise l’Etre. Il replace l’homme au centre de toutes les préoccupations et l’amène vers le MUNTU (l’homme dans sa véritable nature matérielle et immatérielle).

Données pratiques :

La tenue vestimentaire est à l’appréciation de chacun, à la seule condition qu’elle ne soit pas ample, et encombrante. La pratique se fait pieds nus, afin d’être au contact de la terre (sol).
Animé par : Carol SALTER,  Balongi enseignante de « l’institut LONGO » de Paris
Date : Tous les mardis de 17h00 à 19h00
Lieu : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris, Métro Voltaire
PARTICIPATION : 20 € Tarif réduit sur justificatif : 15 €
Réservation : par téléphone au 07 86 94 96 67 ou par le formulaire de réservation ci-dessous