Je suis

Je suis la vie,

je suis l’abondance,

je suis la connaissance,
je suis le beau,
je suis l’harmonie,
je suis le juste,
je suis le vrai,
je suis l’espace,
 
toi.
 
Kunzang Août 2013

Je suis

Je suis ces fleurs que j’ai senti,

Je suis ces corps que j’ai caressé,

Je suis ces parfums que j’ai respiré,

Je suis ces kilomètres que j’ai parcouru,

Je suis ces êtres que j’ai aimé,

Je suis cette montagne que j’ai grimpé,

Je suis la mémoire de nos amours,

Je suis tout ce que j’ai parcouru, senti, écouté, goûté, respiré, partagé,

Je suis toutes les musiques que j’ai écouté.

Ce que je suis est si immense que je ne sais plus qui je suis,

Je suis l’amour,

J’aime mes créations qui sont moi.

Ce sont elles qui me créent finalement,

Je ne sais plus qui crée qui car je suis tout,

Au-delà de toutes ces perspectives de moi,

Je suis ce que je suis,

Je suis là, je suis partout,

Je suis.

Kunzang Août 2013

Les Fous

Finalement,

Il n’y a que des fous,

Partout.

Il y a les fous qui s’identifient à leur personnage,

Il faut être fou pour croire cela !

Puis il y a les fou, qui croient être Dieu, la conscience infinie.

Il faut être fou pour croire cela !

Il y a les fous, programmés comme des robots qui meurent fous, sans jamais réaliser,

Qu’ils sont fous.

Puis il y a les fou éveillés qui savent qu’ils sont Dieu.

C’est totalement fou de réaliser cela.

Donc finalement,

Il n’y a que des fous !

Les fous éveillés et les fous endormis,

C’est fou non ?

Ba,

Moi je m’en fous,

Car j’ai choisi ma folie,

Car je sais,

Que Je suis fou,

De vous,

Kunzang sept 2013

Je suis la joie

Je suis la joie,
Sans raison,
Sans façon,
Rempli de bonheur,
Je suis devenu la joie,
Pourquoi pas.
Un sourire,
Un regard,
Une intimité,
Une énergie,
Et je deviens,
Toi,
Moi,
La vie.

Poème de Kundun, Mai 2013

Je suis fou

Je suis fou,
Oui, je suis fou de toi,
De nous,
De ce que nous sommes,
De ce que nous co-creons ensemble,
Je suis fou,
Car je suis,
Toi.
Car je sais maintenant,

Qu’il n’y a que nous,

Partout,

Ici et maintenant,

Car je sais,
Que nous sommes,
Un.

Poème de Kundun, Avril 2013

Toi et Moi

Un jour,
Je suis sorti de toi,
C’était la vie, c’était l’aventure, c’était la découverte,
Tous ces autres moi,
On a bien rigolé.

Et tout le temps, toi,
Tu me souriais.
Et à chaque instant,
On était bien là, tous les deux,
Ensemble, présent.

Et quand je souriais, tu me souriais.
Et quand je pleurais, tu pleurais.
Et quand je souffrais, tu souffrais aussi.

Quand tu exprimais l’amour, je devenais amour,
Quand tu exprimais la guerre, je devenais la guerre.
Quand tu jouais, je devenais le jeu.
Puis un jour, ils ont fait la paix.

On a voyagé,
On a travaillé,

On a construit,
On s’est enrichi.

On a développé,
On s’ est amusé.

On a beaucoup ri,
Un peu pleuré aussi.

Tu m’as envoyé ce regard,
Qui m’as fait chaviré,
Tu m’as envoyé ce toucher,
Tout mon corps a tremblé.

A chaque fois, c’était toi.
Tes musiques, j’ai écouté,
Tes poèmes, j’ai entendu
Tes textes, tu m’as expliqué !
Des anges, tu m’as expédiés,
Avec des archanges, on a dîner.
Des maîtres ascensionnés, on a visité.
Chaque fois, c’était toi,
A chaque fois, encore et toujours toi.

Cet amour, ce voyage, cette rencontre inattendue,
Ce n’était pas lui,
C’était toi
Cette coïncidence, ce hasard, ce sourire,
C’était toi,
Cette émotion, cet éclat de rire,
C’était encore toi.
Ce livre, ce film, ce baiser, ce câlin, ce tremblement, cette caresse,
C’était toi.

Cette méditation, ce cri, ce paysage, cette rencontre,
C’était toi.

Ce plat, ce tableau, cette sculpture, cette volupté,
C’était toi, encore et toujours toi.

Toi qui a toujours tout organisé,
Toi qui a toujours tout préparé,
toi qui a toujours tout synchronisé,
Toi qui a toujours fait
Comme pour toi.

C’est marrant, mais c’est seulement maintenant.
que j’ai disparu,

C’est fou mais c’est seulement maintenant
Que je suis présent,

C’est terrible, mais c’est seulement Maintenant
Que je n’existe plus,

C’est dingue, mais c’est seulement maintenant,
Que je comprends.

Ma vie,
N’était pas ma vie,
Car je n’étais pas en vie.

Ma vie,
N’était pas la vie,
Il n’y avait pas de vie
Ma vie n’était pas la vie,
Car il n’y avait personne.

Ma vie n’était pas la vie,
Il n’y avait qu’un robot,

La vie n’était pas ma vie,
Il n’y avait qu’un automate,

Qui pensait vivre sa vie.
Qui pensait ‘être’,
Un homme.

Puis un jour,
Ma mort,

Puis un jour,
Petit à petit,

Puis un jour
J’ai senti,

Que cette vie,
C’était ta vie.

Maintenant, seulement maintenant,
Que je n’existe plus,
Je comprends,
Il n’y a pas de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends,
Il n’y en jamais eu.

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends
il ne peut pas y en avoir.

Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
Qu’il n’y a plus que toi,

Maintenant, seulement maintenant
Qu’il n y a plus que notre présence,

Maintenant, et seulement maintenant,
A cet instant.
Nous savons,
Toi et moi,
Lui et elle,

Maintenant, et seulement maintenant,
Tous en vérité,
Nous savons,
Au fond de nous,

Que l’univers,
Que le vide,
Et que ce tout,

C’est nous.

Poème de Kundun 6 janvier 2013

Éclairage

Lorsque notre conscience,
La loi de cause à effet illumine,
Alors,
Les chemins des possibles,
S’illuminent.

Lorsque,
Comme un projecteur,
Notre conscience illumine.
Alors,
L’intuition devient
clairvoyance.
Alors,
L’imagination devient communication,
Alors,
Progressivement, les effets des causes se révèlent.

Quand, s’illuminent les chemins,
Alors,
Il n’y a,
plus qu’à choisir,

Que de chemins, que de destins.

Tous,
Sont les effets de causes que nous choisissons.

Car les pensées, car les idées,
Ne sont que les effets d’autres pensées, d’autres idées.

Chaque idée, chaque pensée, chaque mot est un chemin qui nous a amené, là où nous sommes.
Maintenant.

Choisissons bien,
Les chemins que nous prenons.

Choisissons bien,
Les mots que nous prenons.

Certain unifient, certains séparent.

C’est la conscience que nous sommes, qui choisit.
C’est la conscience que nous sommes, qui libère.

Elles seule peut aimer,
Elle seule peut vivre.

Finalement,
Il suffit d’être,
Ce que nous sommes.
Le cœur, pas l’ego,
En sommes.

Il suffit d’être dans l’instant,
Dans ce moment présent, ici et maintenant.
Il suffit de choisir le point de vue du divin,
Non duel, unificateur, amoureux.

Il suffit de dissoudre l’illusion de la personne.

Il suffit de mourir,
Pour renaître,
Plus grand, plus beau, plus juste.
Moins endormi.

Il suffit d’être dans la présence,
Pour laisser vivre,
La vie.

Il suffit d’être,
Tout simplement d’être,
L’être,
Qui à travers nous,
Se vit.

Poème de Kundun, Mars 2013

Coincidence

Hey baby,
There is no coincidence at all,
There is only law of cause and effects,
There is only signs,
There is only help.
Can’t you see?
When i am talking to you?
Can’t you see?

When i am seeing you?
Please,
Listen to me,
When through your experiences,
I am teaching you.
Yes,
At school you are,
Yes,
Tested you are,
Any second of your life.
The thoughts you choose,
The ideas you make yours,
The action you do.
Your response,
To my questions.
Everyday,
Every hour,

Every minute,
You project your consciousness,
In this world,
Then thoughts, ideas are reflecting to
You.
Dissolve your ego,
Dissolve the person you are not,
And listen to me.
Always with you,
I am,
Everywhere,
All the time.
The presence I am.
You can feel me,
Listen to me,
Come in the moment,
I am the presence,
I am the ‘now’, here.
Don’t follow the mind.
Come here, now.
Take a deep breath,
Make a pause,
Stay in the heart,
Stay in the love,
Be the feeling,
Be here,
Be now,
Be,
Me.

Poem by Kundun jan 2013

Quand

Quand,
Plus que moi, partout, tu verras.
Quand,
Plus que nous, partout, tu seras.
Alors,
Maintenant,

Ici,
Et toujours,
Tu vivras.

Poème de Kundun Février 2013

Lui

Je suis avec notre père,
Et notre père est avec moi.
Je suis sa présence,
Je suis sa danse,
Il chante a travers moi,
Il te sourit,
Il te regarde,
Il t’écoute,
Il te touche
Il te bénit,
Il est,
Je suis,
Nous sommes,
Lui.
Je suis,
Son instrument,
A travers moi, il joue,
A travers moi, il souffle la vie,
A travers moi, il agit.
A travers lui,
Je suis

Poème de Kundun jan 2013

Bottle in the sea.

Hey you!
Come, come here,
Don’t be shy,
Please, read this text,
And imagine,
That you, in another space and time,
Have writen this poem.
Imagine, that this text,
Is a mirror,
Of what you really are.
Imagine,

That there is only you,
Imagine, You, as an infinite consciousness.
How could you see you?
How could you feel you,
How could you touch you?
If there is no separated you?
How an eye can see itself ?

So, you created this world,

You created duality,
You created,

All these people,

All these flowers,

All these minerals,
To know you.

You decided to live inside them,
Inside their hearts,
Inside the love.
You decided to experience yourself,
To understand,
What you really are.

Yes, it is you,
Which has created this text,
To initiate you,
To enlight you,
To tell you,
To remember you,
What you really are:
An infinite love, an infinite consciousness,
Living,
In 7 billions of humans.

Living,

In everything.

Cause deeply inside you,
You know,
Your mind,

You are not,
Your body,

You are not.
What you are,

Is you:
This love, this peace, this joy,

Is you.
You are,

The presence.

Please,
Understand,
Me,
So you will understand,
You.

Poème par / Poem by Kundun jan 2013

Ce n’est pas que je t’aime,

Ce n’est pas que je t’aime,
C’est que je deviens l’amour.
Je deviens ce que j’ai toujours été,
Ce que je suis, et ce que je serai.
Avec toi,
Je n’existe plus,
Dans tes bras,

Je peux être,

Moi.

Poème de Kundun

Vérité et amour

La vérité, c’est l’amour.

Tu es beau,
Tu es magnifique,
Tu es amour infini,
Tu es,
Conscience infinie
Tu es
La force,
Tu es
la puissance,
Tu es
La création,
Tu es
Ce moment.
Tu es,
La cause,
Et l’effet,
Tu es
Partout,
Tout le temps,
A l’intérieur,
De tout.
Tu es,
Nous.

Poème de Kundun, Février 2013

Le livre

Je ne lis pas ce livre,
Je le bois,
Comme on boit un nectar délicieux.
Il nous nourrit, il nous illumine, il nous soigne.
Je bois son amour, sa lumière, sa beauté.
Il m’aime et je l’aime,
Car nous savons,
Qu’un,
Nous sommes.

poème de Kundun, Février 2013

Mystère de la vie

Titre : mystère de la vie

Tu m’as donné la vie,
Tu m’a laissé l’amour,
Caché ta présence.

Que veux tu devenir maintenant,
Toi,
Qui à travers moi,
Voyage,
De corps en corps,
De planète en planète,
De soleil en soleil,
D’univers en univers.

Toi qui,
A travers moi,
S’expérimente, se touche, s’écoute, se voit,
Se vit.

Mais que veux tu ?
Mais qui es tu ?
Mais pourquoi ?

Toi et moi,
Lui et nous,
Elle et lui,

Ici,
Sommes nous ?

Poème de Kundun, Février 2013

La présence

La présence, éblouie par sa propre beauté, entre dans la gratitude et le bonheur, lorsque à travers nos yeux, son reflet, elle touche.
Ivre de sa propre lumière, elle peut alors, à travers nous, simple véhicule de sa magnificence, jouir de sa propre présence.
Folle d’elle même, la vie s’écoule à travers la vie. Elle se sent, s’écoute, se touche, se joue. Sauvage, envahissante, exubérante, elle se propage, se développe, se découvre, se vit.
Laissons la agir, intelligente, aimante, elle seule,
sait.

Poème de Kundun 1er janvier 2013

Eclairage

Lorsque notre conscience,
La loi de cause à effet illumine,
Alors,
Les chemins des possibles,
S’illuminent.

Lorsque,
Comme un projecteur,
Notre conscience illumine.
Alors,
L’intuition devient
clairvoyance.
Alors,
L’imagination devient communication,
Alors,
Progressivement, les effets des causes se révèlent.

Quand, les chemins s’illuminent,
Alors,
il n’y a,
Plus qu’à choisir.

Que de chemins, que de destins.

Tous,
Sont les effets des causes que nous choisissons.

Car les pensées, car les idées,
Ne sont que les effets d’autres pensées, d’autres idées.

Chaque idée, chaque pensée, chaque mot est un chemin qui nous a amené, la où nous sommes,
Maintenant.

Choisissons bien,
Les chemins que nous prenons.

Choisissons bien,
Les mots que nous prenons.

Certain unifient, d’autres séparent.

C’est la conscience que nous sommes, qui choisit.
C’est la conscience que nous sommes, qui libère.

Elles seule peut aimer,
Elle seule peut vivre.

Finalement,
Il suffit d’être,
Ce que nous sommes.
Le cœur, pas l’ego,
En sommes.

Il suffit d’être,

Dans l’instant,
Dans ce moment présent,

Ici et maintenant.
Il suffit de choisir le point de vue du divin,
Non duel, unificateur, amoureux.

Il suffit de dissoudre l’illusion de la personne.

Il suffit de mourir,
Pour renaître,
Plus grand, plus beau, plus juste.
Moins endormi.

Il suffit d’être dans la présence,
Pour laisser vivre,
La vie.

Il suffit d’être,
Tout simplement d’être,
L’être,
Qui à travers nous,
Se vit.

Poème de Kundun / Poem by Kundun jan. 2013

La vie

Comme les plantes se tournent vers la lumière,
Comme les fleurs éclosent au printemps,
Nous,
Humain,
Nous tournons vers dieu,
Nous, humain,
Nous tournons vers la lumière,
Nous humain,
Nous tournons vers l’amour,
Nous humain,
Nous tournons vers la joie,
Nous humain,
Nous tournons vers la paix,

Car nous humain,
Oui nous, humain,
Sommes dans le jardin de dieu.
Et oui, nous, humain,
Grandissons, encore et toujours,
Et oui, nous humain,
Évoluons, encore et toujours.

De plus en plus haut,
Oui nous, humain, finissons
par éclore,
Oui nous humain, finissons
par fleurir
Oui, nous humain, finissons
par nous ouvrir,
Le cœur.

Et c’est ce cœur, qui pour nous,
oui, nous humain,
Donne les fruits de la vie.
Donne les fruits,
Du divin.

Car ces fruits, sont nos œuvres,
Car ces fruits sont nos créations,
Car ces fruits sont nos enfants,
Car ces fruits sont la vie,
Qui toujours,
A travers nous,
Se vit.

Car oui,
Nous humain,
Sommes la vie,
Qui a travers nous,
Se reproduit.

Poème de Kundun / Poem by Kundun jan 2013

Toi et moi

Un jour,
Je suis sorti de toi,
C’était la vie, c’était l’aventure, c’était la découverte,
Tous ces autres moi,
On a bien rigolé.

Et tout le temps, toi,
Tu me souriais.
Et a chaque instant,
On était bien là,tous les deux,
Ensemble, présent.

Et quand je souriais, tu me souriais.
Et quand je pleurais, tu pleurais.
Et quand je soufrais, tu souffrais aussi.

Quand tu exprimais l’amour, je devenais amour,
Quand tu exprimais la guerre, je devenais la guerre.
Quand tu jouais, je devenais le jeu.
Puis un jour,  ils ont fait la paix.

On a voyagé,
On a travaillé,

On a construit,
On s’est enrichi.

On a développé,
On s’ est amusé.

On a beaucoup rit,
On a un peut pleuré aussi.

Tu m’as envoyé ce regard,
Qui m’as fait chaviré,
tu m’as envoyé ce toucher,
Tout mon corps a tremblé.

A chaque fois, c’était toi.
Tes musiques, j’ai écouté,
Tes poèmes, j’ai entendu
Tes textes, tu m’as expliqué !
Des  anges, tu m’as expédiés,
Avec des archanges, on a dîné.
Des maîtres ascensionnés, on a visité.
A chaque fois, c’était toi,
A chaque fois, encore et toujours toi.

Cet amour, ce voyage, cette rencontre inattendue,
Ce n’était pas lui,
C’était toi
Cette coïncidence, ce hasard, ce sourire,
C’était toi,
Cette émotion, cet éclat de rire,
C’était encore toi.
Ce livre, ce film, ce baiser, ce câlin, ce tremblement, cette caresse,
C’était toi.

Cette méditation, ce cri, ce paysage, cette rencontre,
C’était toi.

Ce plat, ce tableau, cette sculpture, cette volupté,
C’était toi, encore et toujours toi.

Toi qui a toujours tout organisé,
Toi qui toujours tout préparé,
toi qui a toujours tout synchronisé,
Toi qui a toujours fait
Comme pour toi.

C’est marrant, mais c’est seulement maintenant.
que j’ai disparu,

C’est fou mais c’est seulement maintenant
que je suis présent,

C’est terrible, mais c’est seulement maintenant
Que je n’existe plus,

C’est dingue, mais c’est seulement maintenant,
Que je comprends.

Ma vie,
N’était pas ma vie,
Car je n’étais pas en vie.

Ma vie,
N’était pas la vie,
Il n’y avait pas de vie
Ma vie n’était pas la vie,
Car il n’y avait personne.

Ma vie n’était pas la vie,
Il n’y avait qu’un robot,

La vie n’était pas ma vie,
Il n’y avait qu’un automate,

Qui pensait vivre sa vie.
Qui pensait ‘être’,
Un homme.

Puis un jour,
Mourir,

Puis un jour,
Petit à petit,

Puis un jour
j’ai senti,

Que cette vie,
C’était ta vie.

Maintenant, seulement maintenant,
Que je n’existe plus,
Je comprends,
Il n’y a pas de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends,
il n’y en jamais eu.

Maintenant, seulement maintenant,
Je comprends
il ne peut pas y en avoir.

Maintenant, seulement maintenant,
qu’il n’y a plus de moi,

Maintenant, seulement maintenant,
qu’il n’y a plus que toi,

Maintenant, seulement maintenant
Qu’ il n y a plus que notre présence,

Maintenant, et seulement maintenant,
A cet instant.
Nous savons,
Toi et moi,
lui et elle,

Maintenant, et seulement maintenant,
Tous en vérité,
Nous savons,
Au fond de nous,

Que l’univers,
Que le vide,
Et que le tout,

C’est nous.

Poème de Kundun / Poem by Kundun  06 jan 2013

Ma vie

Toute ma vie,
De la musique, j’écoutais, sans comprendre pourquoi. Il fallait de la musique, le matin, le soir, tout le temps.
Aujourd’hui, je sais, que ce n’était pas la musique, mais toi que je recherchai.
Alors que les plantes se tournent vers le soleil, c’est vers toi que se tourne nos âme.
Tout ce qui nous fait vibrer, la musique, l’art est une expression de ta magnificence.
Tout ce qui nous fait pleurer, rire, vibrer nous rapproche de toi.
La vie, la passion, c’est ton énergie, ta vitalité qui, à travers nous, surgit.
Tes propositions, sont merveilleuses, quand nous les acceptons.
Inattendue, sauvage, ce regard, ce touché, c’était donc toi.
Ces coups de foudre, cet amour divin, derrière leurs yeux, c’était toi. Ce bonheur, cet amour, cette joie, c’était encore toi.

Poème de Kundun / Poem by Kundun

Je n’ai pas peur,

Je n’ai pas peur,
De t’aimer,
Je n’ai pas peur,
De tomber amoureux,
Je n’ai pas peur,
D’être,
Ce que je suis,
Une conscience d’amour,

Infini.
Sensible, vulnérable, réceptive,
Mais aussi forte, puissante, vivante.
Je n’ai pas peur,
Du futur, du passé.
Car je suis,

Le présent,
Avec toi, maintenant,
Toi qui lit ces lignes,
Toi qui est moi,
Ne le sais tu pas ?
Comme une bouteille à la mer,
Un poème n’a pas peur,
D’éveiller, d’aimer, d’être.
Je suis ce poème,
Et je suis toi,
Ne le vois tu pas ?
Je suis ce poème,
Et je suis la conscience,
Qui à travers toi,
Se lit,
Qui à travers toi,
Se vit.
Pourquoi ?
Et pourquoi pas,
Exister, pour découvrir,
Ce que nous sommes.
Et pourquoi pas,
Être, pour vivre,
L’amour, la vie.
Car seul l’amour vit,
Pendant que la personne survit.
Seul l’amour uni,
Pendant que la personne désuni.
Je n’ai pas peur,
De te dire,
Que tu peux vivre,
Comme moi, comme nous,
La plus belle vie,
Que tu puisses imaginer.
Imagine la, et vis la.
Viens !
Je t’aime
Je t’aime
Je t’aime
Je te connais,
Car moi,
Tu es.

Poème de Kundun / Poem by Kundun jan 2013

Christmas

Oh baby
It’s Christmas

Any material gift
I could offer you
Any typical gift
I could offer you

But today
Yes today
The most important gift
In this world, and the others
I will offer you:

Oh baby
With this poem
In this moment
Before God, and before the Angels
My heart
I offer to you
My infinite love
I share with you

Come
Come with me
Into the light of our merging bodies

Come
Come with me
Discover the space of this new universe

Our love, this power
Is the most precious gift
In the whole universe

Because
With this power
Because
With this love
Anything
Becomes possible

Because
With this power
Because
With this love
Every dream
Becomes true

Because
With this power
Because
With this love
What we really are
We can discover

Because
With this power
Because
With this love
The whole universe
Was created

Because
This infinite power
Because
This infinite love
Is
The power
Is
The love
Of
God

Poème de Kundun / Poem by Kundun

Imagine

Imagine,

7 billions of people enlightened,
Living together,
Loving each other,
Creating each other,
Creating the new world,
Of happiness,
Of consciousness.
Come with us brothers,
Come with us sisters,
Join our movement of life,
Join our movement of love,
Imagine,
Millions of enlightened beings,
Working together,
Millions of Mozart,
Millions of Leonard da Vinci,
Millions of Einstein,
Millions of Ramana Maharshi,
Creating,
Not only the new world on earth,
But a new whole universe,
Of genius,
Of living gods,
Exploring new forms of life,
Understanding new forms of knowledge,
Create new technologies,
Create new sciences,
Create new economy,
Create new arts,
Create new gods.
Come on
Come on, baby,
Come with us.
Let’s create our destiny,
Let’s create the present.
Let’s be,
What we really are.
Let’s be,
The love,
Let’s be
The light,
Let’s be
The life.

And
Let’s,

Be

Poem by Kundun/ Poème de Kundun

Waiting for love

I dreamed about you
And suddenly, you appeared.
How is that possible?

Yes, I created you
Yes, you created me.
Can you believe it?
Let me say this:
Whatever we think comes into being
In a way
No one can imagine

When my dreams
Connect to your dreams
Life becomes true

Take the keys
To paradise,
Take the keys
And open the door.
Enter your dream.

Please, trust me
When I tell you
Free you are

Take your keys to paradise
Those keys are called Love
Those keys are called Freedom

Understand what you are
Trust me
Surrender to me
When I tell you
How divine you are
How beautiful you are

Yes, you are free
Yes, you are love
Yes, you are an incarnation of God

Allow yourself
To be free
To make the most beautiful dream
Of your life come true

Remember what you really are
Remember yourself
Remember me
And understand
The love
Inside you
Inside me
Inside us

Remember:
One
We are
One
We were
One
We will be
Forever

Poème de Kundun / Poem by Kundun

Oh seigneur,

Je ne parle plus,
Je ne vois plus,
Je ne ressens plus.
Je n’existe plus.

Je m’en remet a toi,
Désormais.
Car je viens de réaliser,

A cet instant,
C’est toi qui voit,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui écoute,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui ressent,

A travers moi.

Je suis libre,
Car je n’existe plus.
Je suis libre,
Car fondu dans l’amour infini,
Je suis libre,
Car c’est toi qui vit,
A travers moi.

Il n’y a plus que l’amour,
Il n’y a plus que l’énergie,
Il n’y a plus que toi,
Il n’y a plus que moi,
Partout.

Je nage,
Dans le courant de ta rivière d’amour.

Je baigne,
Dans tes idées.

Je vis,
Dans notre cœur.

Je comprends maintenant:
C’est ton action que je transmet,
C’est ta parole que je diffuse.
C’est ton amour que je vis.

Mon dieu,
Qu’il est magnifique,
De disparaître.

Qu’il est magnifique,
De se laisser guider.

Qu’il est magnifique,

D’exister.

Poème de Kundun, Juin 2012/ Poem by Kundun, June 2012

The choice

Every day
With our choice
Of people
Of projects
Of priorities
We are creating our world

Every day
With our choice
Of thoughts
Of beliefs
Of experiences
We are building our universe

Understand
This it is all of these choices
Which bring us
Day after day
To the Here and Now

Understand
That we are free
To choose
The people
The environment
The universe
Which make us happy

Define your universe
Then
Choose !

Poem by Kundun / Poème de Kundun

//

Le Choix

Le choix

Chaque jour,
Par nos choix,
De personnes,
De projets,
De priorités,
Nous créons notre monde.

Chaque jour,
Par nos choix,
De pensées,
De croyances,
D’expériences,
Nous construisons notre univers.

Prenons conscience,
Que ce sont tous ces choix,
Qui nous ont amenés,
Jour après jour,
Ici et maintenant.

Prenons conscience,
Que nous sommes libre,
De choisir,
Les personnes,
L’environnement,
L’univers,
Qui peut nous rendre heureux.

Définissez votre univers,
Puis,
Choisissez !

Poème de Kundun / Poem by Kundun

Imagine

Imagine
You could
Understand
Everything
About everything

What would you do?

Oh brother
My infinite love
I give to you
My universe is yours
Surrendered I have

Now
One we have become

I have the freedom
To say yes
You can do what you want
With my universe
Because infinite trust
I have for you
I have the freedom
To give you my freedom
And to trust you
Infinitely

Now
One we have become

Poem by Kundun / Poème de Kundun

The God inside you

The God inside you
You can find
Focus on your love
Concentrate on your heart
Fall in love
Surrender
And find the reflection of your love
Everywhere
In everyone

Then you can see
How beautiful you are
How wonderful life is
Then God you can see
In the mirrors of others

Love is the key
Love is the key to enlightenment
Just spread your love
And see what happens

Understand me
Trust me
When I tell you this secret:
You
Are
God

Poem by Kundun / Poème de Kundun

Waiting for love

I dreamed about you
And suddenly, you appeared.
How is that possible?

Yes, I created you
Yes, you created me.
Can you believe it?
Let me say this:
Whatever we think comes into being
In a way
No one can imagine

When my dreams
Connect to your dreams
Life becomes true

Take the keys
To paradise,
Take the keys
And open the door.
Enter your dream
.

Please, trust me
When I tell you
f
Free you are

Take your keys to paradise
Those keys are called Love
Those keys are called Freedom

Understand what you are
Trust me
Surrender to me
When I tell you
How divine you are
How beautiful you are

Yes, you are free
Yes, you are love
Yes, you are an incarnation of God

Allow yourself
To be free
To make the most beautiful dream
Of your life come true

Remember what you really are
Remember yourself
Remember me
And understand
The love
Inside you
Inside me
Inside us

Remember
:
One
We are
One
We were
One
We will be
Forever

Poème de Kundun / Poem by Kundun