Une méditation spirituelle : l’atelier d’éveil ANATMAN chaque dimanche à 9:45 sur Zoom. (gratuit)

La méditation est un moyen efficace de calmer l’esprit et de réduire le stress. Tout le monde peut le pratiquer et en retirer de nombreux avantages. Certains méditent afin d’améliorer leur santé psychophysique, d’autres veulent mieux contrôler leur corps et leurs pensées ou même atteindre l’illumination, d’autres encore veulent réduire les émotions négatives et se libérer des peurs. Alors, dans cet atelier, nous allons méditer ensemble dans la pratique.

Par où commencer la méditation spirituelle ?

Allongez-vous confortablement. Trouvez un endroit paisible où vous ne serez pas dérangé. Laissez-vous tombez dans votre matelas, dans votre lit…

Imaginez que vous êtes avec moi maintenant, en Inde, sur la plage, sur les berges du Gange, la rivière sacrée. Il fait beau. La température est parfaite, il y a du soleil, il y a du vent, très léger.

Imaginez maintenant vos jambes comme des racines, vos pieds comme des racines, qui s’enfoncent dans le sable sur la plage. Faites avec moi un OM d’ancrage. OM.

Une grande inspiration avec moi. Conservez l’air, puis relâcher tout, tout doucement.

Bien tranquillement installé, le corps se repose, tout s’abandonne, il n’y a plus personne. Il n’y a plus que Présence, Existence, Conscience, Amour dans le cœur. Laissez pleurer si ça pleure.

Écoutez vos chakra et accueillez les émotions

Nous allons aller ensemble dans le premier chakra au niveau du périnée. Je vais lire le premier chakra. Il y a juste à écouter dans cette première partie, ensuite, nous dirons des affirmations positives. Il y a juste à ressentir en vous, l’effet de ce qui va être dit. S’il y a des émotions, accueillez-les !

J’avais besoin de me reconnecter à mon corps physique. J’avais besoin d’écouter ce corps physique. J’avais besoin de comprendre : ce corps physique n’était pas mon corps physique. C’était le corps physique de la vie, c’était une cellule de Gaïa. J’avais cru qu’il m’appartenait. Comme si la vie pouvait m’appartenir…

Et si ce corps physique était le corps physique de la planète Terre ?

Et si j’étais une cellule de Gaïa parmi 8 milliards d’êtres humains, parmi des milliards d’animaux, parmi des milliards de végétaux ?

Et si j’arrêtais de faire une affaire personnelle de tout ce qui semble être ma vie ?

Et si je pouvais réaliser pendant quelques secondes : ma vie n’avait jamais été ma vie mais ça avait toujours été « sa » vie ?

En comprenant que ce corps physique est une cellule d’un ensemble plus vaste, Gaïa, la planète Terre, alors j’allais pouvoir m’abandonner à ce corps physique.

J’avais besoin de voir en moi. Une « personne » croyait que ce corps lui appartenait, que ce corps devait faire tout ce que cette « personne » pouvait souhaiter.

J’avais besoin de voir le mécanisme d’identité qui s’était approprié ce corps physique, qui s’était approprié la vie elle-même.

J’avais besoin de faire marche arrière et d’apprendre à m’abandonner au vivant.

Ce corps physique était ce qu’il y a de plus vivant en moi, c’était ce qu’il y a de plus vivant de tout ce que je suis en vérité.

Tout vit et vibre au tour de nous

En apprenant à l’écouter, en apprenant à manger de la nourriture vivante, en apprenant à ressentir ce qui me fait vraiment du bien, en arrêtant de manger des choses toxiques ou indigestes, j’allais pouvoir revivre, reprendre goût à cette vie ; j’allais pouvoir laisser la vie, Gaïa le vivant, s’incarner sur terre à travers ce corps.

J’avais besoin de comprendre le concept de santé : la vie par nature était un système d’équilibre, un système qui s’harmonisait en permanence. Il suffisait de s’abandonner à la vie, à mon corps, à Gaïa, pour que tout se réharmonise, pour que tout s’autoguérisse, en permanence.

J’avais besoin de voir : en passant du temps dans la nature, j’allais recevoir des énergies, l’énergie de la nature.

En passant du temps, sur une plage, dans la mer, dans une rivière, dans une forêt ; en passant du temps avec les éléments naturels, j’allais vibrer à la même fréquence que ces éléments, j’allais me ressourcer, j’allais reprendre goût à la vie, j’allais redevenir la vie dans ce corps.

J’avais besoin de comprendre : la nature vivante vibre à une certaine fréquence. Chaque chose vivante, chaque objet vivant sur Terre émet des vibrations.

Et plus j’allais monter mon niveau de conscience, plus j’allais m’abandonner à l’être et plus j’allais pouvoir ressentir, comme dans le film Avatar, la vie dans chaque feuille, dans chaque plante, dans chaque rayon de soleil, dans chaque rivière ou cours d’eau, dans chaque grain de sable.

Ressentir la vie grâce au corps physique

J’avais besoin d’apprendre à ressentir la vie grâce à ce corps physique.

Et plus j’allais ressentir la vie dans mon être, dans mon cœur, dans mes cellules, et plus j’allais vouloir vivre là où il y a de la vie, dans la nature.

Et plus j’allais vouloir manger des choses remplies de vie, des choses que j’allais cueillir dans le potager juste avant de les manger. (Comme nous avons fait à Saint Nexans, près de Bergerac pendant nos stages d’été.)

J’avais besoin de comprendre : en mangeant du vivant, j’allais redevenir vivant(e), en côtoyant le vivant, j’allais être soumis(e) à une influence du vivant, j’allais vibrer le vivant.

J’avais besoin de comprendre : les maladies étaient apparues parce que je m’étais déconnecté de la vie en moi et de la vie sur terre. En vivant dans une ville déconnectée de la nature, en mangeant n’importe quoi, j’aurais très bien pu être beaucoup plus malade beaucoup plus tôt en vérité. C’est un miracle si j’ai survécu à ce régime de déconnexion.

La nature guérit tout ce qu’elle est, elle guérit donc mon corps !

Et si je passais du temps dans le jardin, dans une forêt, dans la nature, avec les montagnes ?

Et si je pouvais comprendre : je suis un enfant de la nature et la nature me guérit, s’autoguérit et en vérité autoguérit son propre corps, ce que j’ai cru être mon corps.

J’avais besoin de comprendre : plus il y avait de plantes, d’animaux vivants, d’éléments naturels autour de moi, dans ma vie et plus j’allais être en pleine santé ; plus j’allais harmoniser tout ce que je suis, tous mes corps physiques et mes autres corps.

J’avais besoin de prendre soin de ce corps physique en faisant du sport, du yoga, des étirements, du Qi Gong. Et plus j’allais bouger ou plus j’allais laisser ce corps bouger, danser, chanter, et plus ce corps allait être vivant, et plus ce corps allait être rempli de vie, et plus j’allais pouvoir vivre en tant qu’êtres humains.

J’avais besoin de voir : la maladie n’est pas du tout une fatalité. La maladie est une conséquence d’un manque d’hygiène de vie, d’un manque, de conscience dans la façon de vivre, d’être et de traiter le corps physique. La maladie était un appel au secours du corps.

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