
Nous avons des affirmations positives à dire.
Dites avec moi :
Je m’abandonne à la vie.
J’aime la vie.
Je laisse la vie être à travers ce corps.
Je respecte la vie.
J’honore la vie.
Je célèbre la vie.
J’accepte d’être la vie.
Allons maintenant dans le deuxième chakra. Faisons un OM bien grave dans le deuxième chakra ensemble.
Il y a juste à écouter, je vais lire l’inconscient du groupe concernant le deuxième chakra.
J’avais besoin de comprendre pourquoi j’avais sept sens.
En plus des cinq sens principaux, il y avait l’émission, la réception d’amour et l’émission, la réception de pensées.
De la même façon que les yeux voient de la lumière, les oreilles entendent des sons.
Mon cœur pouvait recevoir de l’amour et donner de l’amour, et mon cerveau recevait des pensées, émettait des pensées.
J’avais besoin de comprendre les sens sont des interfaces me permettant de connecter des dimensions : la dimension du toucher, la dimension musicale des sons, la dimension visuelle, la dimension du goût, la dimension de l’odorat, la dimension du cœur avec l’amour et la dimension intellectuelle, mentale, avec des idées et des pensées.
J’avais besoin de comprendre la société dans laquelle je suis né, qui m’a éduqué était en déséquilibre.
Elle passait beaucoup de temps dans la dimension intellectuelle et mentale, au détriment de la dimension corporelle et au détriment de la dimension émotionnelle.
Quatre-vingt-dix pour cent des personnes passaient leur vie enfermées dans la tête.
Un personnage avait été créé à cet effet et une identification à ce personnage avait été créée à cet effet.
En changeant de dimension, en investissant dans les autres dimensions, en passant du temps par exemple dans la dimension émotionnelle, deuxième chakra, il était possible de vivre différemment.
En passant du temps et en comprenant la dimension corporelle, j’allais pouvoir vivre Amour.
En passant du temps dans la dimension corporelle, j’allais pouvoir m’occuper de mon corps physique.
J’avais besoin de comprendre que c’était ce déséquilibre entre les dimensions qui allait créer des maladies, qui allaient créer des déséquilibres dans le corps.
En harmonisant le corps physique, mon système émotionnel, mon cœur, chaque sens et en laissant une part équilibrée au sens intellectuel et mental, j’allais pouvoir avoir une vie équilibrée.
Et si le bonheur ne se situait pas dans la tête mais dans le cœur ?
Et si le bonheur ne se situe pas dans la tête mais dans le corps ? Et si le bonheur c’était juste d’être ce que je suis, de laisser la vie être à travers ce corps ?
Et si le bonheur c’était un abandon total à Existence, à la vie, à ce corps ?
Et si le bonheur apparaissait spontanément et naturellement, dès qu’il y avait des identifications de l’ego, du « Je », de la personne ?
Et si c’était la personne qui se rendait malheureuse à cause de toutes ces idées ?
J’avais besoin d’accueillir mon système émotionnel.
J’avais besoin de laisser pleurer tout ce qu’il y a à pleurer.
J’avais besoin de vivre toutes les émotions : tristesse, colère, rage, etc.
J’avais besoin d’arrêter de donner le contrôle à la tête car j’avais remarqué que la tête m’empêchait de vivre ma vie ; la tête, l’intellect, la personne, filtrait et ne souhaite pas que certaines émotions soient vécues, pour des raisons culturelles et d’éducation, de très mauvaises raisons en vérité.
J’avais besoin de créer des espaces dans des cérémonies chamaniques par exemple ou des ateliers d’éveil où j’allais pouvoir m’exprimer pleinement, où j’allais pouvoir crier, hurler, rager, pleurer de façon à déboucher ce deuxième chakra, de façon à activer aussi ce troisième chakra, de façon à me libérer de la personne.
Et si je faisais des choses qui ne se font pas, dans un cadre sécurisé, intime ?
Et si je faisais des choses pour moi, seul, pourquoi pas, ou avec des amis ?
Et si je m’autorisais ma libération.
J’avais besoin d’accueillir les émotions.
Dites avec moi :
J’accueille toutes mes émotions.
Je crée un espace dans ma vie où les émotions sont possibles.
Je m’autorise à faire des cérémonies chamaniques, des soins énergétiques.
Je m’autorise des pratiques émotionnelles.
Je m’autorise des pratiques qui libèrent les émotions.
Je m’autorise à pleurer, même en public, je m’autorise à rire.
—–
Ce texte est un extrait de notre atelier « Atelier d’éveil ANATMAN Saison 4 Episode 31 » :
Pour vivre cette méditation guidée, Cliquez ICI. Un essai gratuit de 2 semaines à ANATMAN TV ? Cliquez ICI.
Inscrivez-vous ateliers d’éveil et de transformation du dimanche matin : (gratuit)
https://sebastiensocchard.systeme.io/0f7ef2fb-7d649c52-41f7f155
Le chant de l’être, l’émission du samedi après-midi pour connecter votre être :
Pour passer à l’antenne avec Zoom : (seulement avec votre voix)
https://sebastiensocchard.systeme.io/0f7ef2fb-7d649c52-5f85bff8
Posez vos questions textes ici : L un possible :
https://sebastiensocchard.systeme.io/be2212b3
Un stage pour faire un saut quantique ?
https://sebastiensocchard.systeme.io/f8930840-695e6508
Dialogue avec l’être :
Posez votre question directement à l’être en mode texte, cliquez ICI :
https://sebastiensocchard.systeme.io/be2212b3-71e1cfa4
Pour s’inscrire et passer à l’antenne avec Zoom : (seulement avec votre voix)
https://sebastiensocchard.systeme.io/0f7ef2fb-7d649c52-d99e7ed4
S’abonner à la chaîne privée pour accéder aux rediffusions des ateliers d’éveil et de transformation avec musique :
La banalisation de la vie
Ce soir, j’ai cinq ans.
Je vois tout avec les yeux d’un enfant de cinq ans,
Tout est magique, tout est sacré.
Comment ai-je pu oublier ?
Pourquoi avons-nous oublié ?
Tout a été banalisé : la rencontre de l’autre, la communication avec l’autre, la découverte de l’autre.
La découverte, les gestes quotidiens.
Se nourrir, se laver, se rencontrer,se parler, se regarder, se toucher.
Nous avons tout banalisé,
Alors qu’en réalité, notre monde, notre univers est magique.
Nous sommes entourés de beautés, de magies, de sacré et nous ne le voyons plus.
Je suis redevenu un enfant, je redécouvre la magie de la vie.
Toutes ces premières fois, me ramènent à la vie.
Son regard, un baiser, une caresse, tout redevient nouveau.
Comme si je n’avais jamais vécu, j’ai été transporté dans l’univers de première fois…
Comme si j’avais perdu la mémoire, je redécouvre,
La vie.
En réalité, si l’on s’éveille à nos sens, si l’on retrouve notre cœur d’enfant, si l’on se déprogramme,
Il est tout à fait naturel, de redevenir,
Vivant.
Pouvons-nous, par des prises de conscience, par l’écoute de notre être profond,
Redevenir,
Ce que nous sommes réellement ?
C’est à dire Dieu dans un corps d’homme ou de femme.
Il n’y a jamais eu d’humain sur terre. Il n’y a que des Dieux incarnés dans des corps humains.
L’essence même de notre être est divine.
Nous l’avons juste oublié, momentanément.
Nous sommes des machines à vivre des comédies humaines.
Nous incarnons le relatif sur terre alors que nous sommes des êtres absolu.
Éveillons nous, éveillons nous à la nature divine qui se cache en nous.
Pourquoi ?
Pour mieux vivre, pour mieux être, pour développer l’infini dans le fini, pour réaliser notre potentiel.
Pour le fun, pour créer quelque chose de nouveau.
Pouvons-nous retrouver le sacré, le merveilleux, le sensible ?
Pouvons-nous arrêter de courir afin de vivre dans le moment présent ?
Cessons de banaliser la vie. Chaque instant est sacré, chaque instant est divin, restons dans cette présence, restons dans le cœur,
Et contemplons les reflets,
De notre être,
A travers,
L’univers.
Kunzang, Septembre 2013
Publier ou envoyer sur :
WordPress: