P comme Pensées

Philomène de Jung :

Les pensées sont comme les animaux dans la forêt, les oiseaux dans l’air, des personnes dans une pièce.”

Effectivement, nous captons des pensées, mais nous pouvons aussi les imaginer dans un espace en 3D.

Projeter notre conscience dans un espace nous permet de capter un certain type de pensées.

pensées, commes des oiseaux dans le ciel

De la même façon que nous voyons avec les yeux (réception de lumière), que nous sentons avec le nez (réception d’odeur), que nous touchons avec nos mains (réception de flux nerveux), de la même façon que nous entendons avec les oreilles (réception de vibration sonores), nous recevons des pensées avec notre cerveau qui est un organe comme un autre.

Si nous considérons les pensées en 3D dans une pièce par exemple, nous pouvons constater qu’en fonction de notre état d’esprit, c’est à dire notre vibration, nous allons “voir” c’est à dire recevoir certaines pensées et pas d’autres.

De la même façon que nous regardons une pièce rempli d’objets, nous pouvons regarder une pièce remplie de pensées : tout dépend de l’endroit où nous regardons.

Bien sûr, nous pouvons projeter notre conscience sur des objets, des idées et voir ce qui nous vient en retour.

Ce que nous sommes, la conscience, peut se focaliser sur tout type de pensées et d’idées.

C’est ce que vous faites en lisant ce texte, vous êtes entré dans une grande pièce qui est l’univers de Kunzang, l’univers de l’abécédaire, et dans cet espace, une nouvelle cartographie de la réalité vous est transmise.

Bien sûr, ce que nous sommes, la conscience qui regarde, n’est pas l’objet gardé, pour cette raison, nous ne sommes pas les animaux dans la forêt, nous ne sommes pas nos pensées.

Pouvons-nous prendre du recul et comprendre que nous sommes la conscience qui regarde des pensées, entend des musiques, sent des odeurs, regarde ce paysage.

De la même façon que nous pouvons fermer les yeux, se boucher les oreilles, nous pouvons méditer et expérimenter le calme mental. Sans pensées, nous pouvons reposer le mental.

Recevoir beaucoup de pensées arrive lorsque nous projetons notre conscience sur un objet, qu’il soit vu avec les yeux, ou vu par le mental dans notre esprit.

Que recevons-nous comme pensées lorsque nous regardons le mot “amour” ?

D’autres pensées arrivent. En fonction de la puissance de notre projecteur, nous pouvons recevoir plus ou moins de “pensées”.

La créativité est notre capacité à recevoir des pensées, concepts, idées. Et plus nous développons notre conscience dans une dimension, que ce soit l’art, le sport, le business, et plus nous sommes capables d’interpréter les pensées et concepts que nous recevons.

Nous commençons tous par apprendre les lettres de l’alphabet pour ensuite interpréter les mots. Par la suite, des phrases, des livres, des concepts complets s’ouvrent à nous.

Les mots, le langage est une cartographie permettant de communiquer, mais d’autres façons existent : les arts avec la musique, les poèmes, les films, les peintures, les sculptures.

Dans cette forêt où un lion apparaît, nous savons qu’il est un lion parce que nous avons appris à le reconnaître. Chaque animal, chaque mot a été appris pour être reconnu.

De la même façon, les textes de l’abécédaire fournissent une nouvelle perspective, une nouvelle façon de comprendre notre réalité.

Si nous commençons à nous habituer à considérer les pensées comme des objets en 3D, nous comprenons qu’il existe des univers de pensées, des univers d’idées, de mots.

Comme si nous entrions dans une pièce remplie des objets amour, lumière, beauté, clarté, lumineux, vérité, bonté, soleil. Ces objets, ces idées sont proches les uns des autres, ils sont reliés, ils sont dans un espace commun, dans une vibration commune.

Les poèmes sont justement comme des photos de ces univers. Bien au-delà des mots, l’espace entre les mots, l‘imagination, le sensible transparait à travers les poèmes. Ils nous élèvent et nous font prendre conscience, alors une émotion apparait, alors des pleurs ou des rires se produisent…

Si nous commençons à représenter les idées, les pensées en 3 dimensions dans l’espace, nous commençons à comprendre que les mots que nous utilisons sont très importants, que le choix de notre environnement, de notre univers est fondamental.

Si notre esprit est rempli d’idées d’amour, de fraternité, d’amitié, de partage, de coopération, de positif, alors nous allons chercher et trouver ce type de “forêts”, d’environnement.

Lignes de forces

Et les personnes qui sont dans cette forêt ne seront pas les mêmes si notre esprit est rempli de “blessures, traumas, séparation, malheur, douleur, noirceur, violence, fracture, négativité, destruction, annihilation” par exemple.

Écoutons les mots utilisés par ceux qui nous entourent, dans quel “univers” vivent-ils ? Comment les mots sont-ils reliés ?

Quelles pensées recevons-nous en leur présence ?

Pouvons-nous comprendre que nous sommes aussi chacun une “forêt” remplie d’animaux, de pensées, de choix de mots, d’idées.

Quelles sont vos animaux, vos pensées préférées ?

Votre univers intérieur est-il un univers d’abondance ? De manque ?

Est-il en amélioration ? En train de grandir ? De se rétrécir ?

Quels animaux avez-vous mis dans votre forêt ?

Pouvez-vous les changer ?

Si nous considérons votre esprit comme une forêt, quels mots, idées, concepts pouvons-nous y trouver ?

Sur quelles idées, pensées travaillez-vous actuellement ? Êtes-vous en train de construire quelque chose ?

Avez-vous remarqué que tout projet se crée d’abord dans cet espace ?

Une agglomération de pensées et d’idées une fois structurée et organisées sont comme des constructions géométriques, comme des œuvres.

Si nous construisons une maison dans cette forêt, cette maison pourra s’incarner dans le monde matériel.

Et si plusieurs univers, plusieurs forêts, qui peuvent aussi être représentés par des hologrammes décident de travailler ensemble, alors des projets plus grands peuvent se réaliser.

Que faites-vous lorsque vous lisez ce texte ?

Que font deux personnes lorsqu’elles communiquent, partagent et échangent ?

Tout simplement, elles s’échangent des animaux, des pensées.

Si je vous transmets l’idée de la couleur rouge, verte, bleu, et si vous avez l’idée de la voiture, alors vous allez pouvoir vous représenter un nouvel animal : une voiture rouge, verte et bleu.

Ainsi nous créons, chaque jour, par le mélange de nos idées, de nos expériences.

Question : avec quelles personnes arrivons-nous à élever notre conscience afin de recevoir pleins d’idées ?

Avez-vous remarqué que certains textes, que certaines personnes sont particulièrement inspirantes ?

Pourquoi ?

Simplement parce que leur univers est vaste et riche, simplement parce qu’ils ont des animaux inédits !!

Des canards à 6 pattes, des lions à deux pattes, des minotaures avec des ailes !

Pouvons-nous imaginer l’infini de nos possibilités ?

Chaque jour, 7 milliards d’univers, de forêts échangent leurs animaux, leurs idées et de nouvelles inventions apparaissent, de plus en plus techniques, de plus en plus magiques.

Les livres, les films, les œuvres d’arts nous transportent dans des univers que nous assimilons, que nous intégrons.

Bien sûr, plus nous sommes ouverts, moins nous sommes conditionnés, plus nous avons de l’espace en nous, plus nous sommes éveillés, et plus nous pouvons recevoir d’animaux, de pensées.

Et plus notre espace est infini, plus de nouvelles idées arrivent, de nouveaux animaux, de toute sorte viennent et s’installent, font des petits, grandissent.

Oui, les idées grandissent, se transforment, se reproduisent.

Combien d’idées, de nouveaux animaux avez-vous emportés avec ce texte ?

Combien pouvez-vous en recevoir ?

Certaines idées, certains animaux sont-ils trop nouveaux ? Sont-ils compatible avec votre univers existant ?

Quel est votre degré d’ouverture ? Quels animaux allez vous nourrir ? Quelles pensées ?

Est-ce que tous types d’idées, d’animaux peuvent entrer dans votre esprit, dans votre espace, dans votre forêt ?

Oui ? Non ? Pourquoi non ?

Quels sont les filtres, conditionnements empêchant certaines idées d’être reçues et intégrées ?

Une idée peut-elle être à la fois vraie et fausse ?

Il y a-t-il un espace dans cette forêt où deux idées opposées peuvent vivre ensemble ?

Par exemple, l’idée que je suis un bon chanteur peut-elle coexister avec l’idée que je ne suis pas un bon chanteur ?

Quel sont les relations entre notre forêt et les animaux la constituant et le personnage que nous avons construit ?

Notre personnage n’est-il pas une construction d’idées, une somme de perspectives, de croyances de conditionnements ?

Pouvons-nous le modifier, pouvons nous nous en dissocier ?

Comment créer plus d’espace dans notre forêt ? Sommes-nous heureux dans notre espace, dans notre forêt ?

Il y a-t-il des animaux, des idées qui prennent trop de place ?

Est-ce que la beauté et l’harmonie y règnent ?

Nous ne sommes pas nos pensées, ni le personnage qui s’est identifié aux pensées. Nous ne sommes pas la forêt ni les constructions qui s’y trouvent. Nous ne sommes pas les animaux qui s’y trouvent.

Ce que nous sommes est la conscience qui expérimente la forêt, nous sommes l’observateur.

Kunzang Novembre 2013

J comme ce que Je suis

Je suis.

Vous pouvez toujours me tuer,

Un autre viendra me remplacer.

Vous pouvez toujours tuer cet autre,

Un autre, puis un autre et encore un autre viendra.

Ce que je suis,

Est immortel.

 

A travers ce corps, à travers tous ces corps, une énergie, une conscience,

Se vit.

Et rien, non rien,

Ne peut m’arrêter.

Vous pouvez tuer ce corps, vous pouvez tuer tous mes corps,

 

Mais vous ne pouvez pas tuer ce que je suis,

Ces idées,

Ces pensées,

D’amour infini, de fraternité, de liberté, d’égalité, de justice,

Est,

Ce que je suis.

 

Au-delà de votre imagination, je vis.

Au-delà de votre compréhension, je suis.

Des millions de corps,

Des millions d’âmes,

Sont venus,

Sont partis,

Sont morts

Pour défendre,

Ce que je suis.

 

Combien ont péri

Pour transmettre,

Combien ont disparu,

Pour défendre,

Combien ont écrit,

Et combien, oui combien,

Ont compris ?

Ce que je suis,

 

Ce que je suis,

Est immortel

 

Ce que je suis est incassable,

Ce que je suis

Est insaisissable

 

Comprenez,

Ce que je suis,

Entendez,

Ce que je suis,

Venez voir,

Venez entendre,

Venez toucher,

Venez rencontrer,

Ce que je suis.

 

Au-delà du temps

Au-delà de l’espace,

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

Celui qui est.

Je suis,

Celui qui a été.

Je suis,

Celui qui sera,

 

Au-delà de l’au-delà,

Je suis,

 

Kunzang Novembre 2013

 

E comme Expériences

Il n’y a aucune différence entre toi et moi, nous sommes la même substance, la même âme, nous sommes la même conscience, nous sommes tous Dieu.

il n'y a pas de différences entre toi et moi

Il y une seule chose qui crée l’illusion de la différenciation : notre perspective individuelle qui est construite par notre expérience.
Autrement dit, nous ne pouvons voir et comprendre le monde qu’à travers nos expériences personnelles. Nos expériences sont difficiles voir impossibles à retransmettre car au delà des mots. Aussi, nous passons nos vies à essayer de les partager.
Ce sont nos expériences qui ont construit notre perspective, notre façon d’appréhender et de comprendre la vie, l’univers, le visible et l’invisible.
Kunzang Septembre 2013

A comme Amis

Qu’est ce qu’un ami ?

A comme Amis

A comme Amis

Les vrais amis sont ceux qui nous permettent de nous voir tels que nous sommes. Miroirs parfait, leur ego n’essaye pas de filtrer ce que nous leurs envoyons pour nous manipuler.

Car l’ego de l’autre, le filtre du miroir peut faire semblant, pour nous faire plaisir ou pour obtenir quelque chose de nous.

Celui qui dit toujours oui à tout et qui nous renvoi que ce que nous voulons voir n’est pas un ami mais un miroir déformant qui alimente la construction de notre propre ego.

La flatterie par exemple est une forme de manipulation bien connue.

Un ami ou un conjoint, s’il peut rester lui-même en toute circonstance, s’il peut sans compromis juste “être” ce qu’il est, c’est à dire ne pas jouer le personnage de l’ego, alors cet ami ou ce conjoint peut nous apporter beaucoup.

Car nous nous illuminons, nous nous éveillons au contact des autres, par l’effet miroir lorsque notre conscience se projette sur eux.

Mais pouvons-nous choisir des personnes “vraies” autour de nous, des personnes capables d’être honnêtes, c’est à dire capables d’être elles-mêmes ?

Le bonheur, c’est d’être soi-même, de sortir des conditionnements, d’exprimer ce que nous sommes, sans peur.

Plus nous pouvons exprimer ce que nous sommes, sans peur des réactions des autres, plus nous sommes vrai, plus nous sommes honnêtes.

Et plus le personnage, l’ego, fait semblant, plus nous abandonnons notre droit d’exister. Si nous continuons dans cette voie, au final, nous ne sommes plus personne.

La profondeur de notre conscience ne se situe pas dans le faux personnage créé par nos conditionnements mais au fond de notre âme, dans le cœur.

Sachons choisir nos amis, entourons nous d’êtres qui peuvent rester eux-même en toute circonstance. Ils reflètent ce qu’ils sont. Et plus leur niveau de conscience est élevé, plus notre reflet, nous pouvons voir. Tel des miroirs purs, ils nous aident à voir ce que nous sommes réellement, et donc à nous éveiller.

Kundun, le 23 juillet 2013

Quand

Quand,
Plus que moi, partout, tu verras.
Quand,
Plus que nous, partout, tu seras.
Alors,
Maintenant,

Ici,
Et toujours,
Tu vivras.

Poème de Kundun Février 2013

Mystère de la vie

Titre : mystère de la vie

Tu m’as donné la vie,
Tu m’a laissé l’amour,
Caché ta présence.

Que veux tu devenir maintenant,
Toi,
Qui à travers moi,
Voyage,
De corps en corps,
De planète en planète,
De soleil en soleil,
D’univers en univers.

Toi qui,
A travers moi,
S’expérimente, se touche, s’écoute, se voit,
Se vit.

Mais que veux tu ?
Mais qui es tu ?
Mais pourquoi ?

Toi et moi,
Lui et nous,
Elle et lui,

Ici,
Sommes nous ?

Poème de Kundun, Février 2013

C comme Croyance, R comme Réalités

Comment faire la part des choses entre nos croyances, les croyances des autres et la réalité ?

Par le discernement.

Le cœur « est », l’Ego « fait », Kundun 2012

Le cœur « est », l’Ego « fait », Kundun 2012

Le discernement ne s’intéresse qu’aux faits, à la perception la plus juste possible de la réalité. En utilisant le mental et ses capacités de raisonnement, sa logique.

On peut aussi écouter son cœur, mais parfois, des filtres émotionnels troubles le message.

Avoir du discernement, c’est aussi écouter des personnes éveillées et neutres. Une erreur classique est d’écouter des personnes ayant beaucoup d’Ego ou concernées. En effet, plus les personnes ont de l’Ego, moins elles ont de discernement.

Des personnes avec peu d’Ego peuvent « trier »le factuel de l’interprétation. Car l’Ego a sa propre stratégie, tel un filtre, il nous fait voir et comprendre ce qu’il a envie en fonction de ses propres intérêts. D’où l’intérêt de le dissoudre par la voie spirituelle. Plus on dissout son Ego, plus on est libre, plus on devient sage, plus on peut approcher le réel.

En général, les intérêts de l’Ego sont des intérêts de séparation, de contrôle, de prise de pouvoir, d’intérêt matériel, de pensée négative, de non respect de l’autre, de destruction, de stratégies et tactique en tout genre. Les intérêts du cœur sont des intérêts diamétralement opposés, ce sont des intérêts d’union, d’amour, de joie, de paix, de partage, de prise de conscience, de communion, de pensées positives de respect de l’autre.

Le cœur « est », l’Ego « fait », et il fait souvent en fonction de ses propres intérêts et non des intérêts du cœur et du corps, d’où des conflits internes.

C’est l’équilibre des intérêts du cœur, du corps et de l’âme qui permettent à l’homme d’être heureux. C’est uniquement lorsqu’on transcende ses propres intérêts qu’on peut commencer à vraiment s’éveiller. Quels sont les intérêts du groupe ? Quels sont les intérêts de l’autre ? Quels est l’intérêt du plus grand nombre ?

Kundun, 4 Sept 2012

Article précédent : Miroir, dis moi qui est le plus beau ?                                           Article à venir : Pourquoi s’intéresser à l’intérêt du plus grand nombre, à celui du groupe ?

Oh seigneur,

Je ne parle plus,
Je ne vois plus,
Je ne ressens plus.
Je n’existe plus.

Je m’en remet a toi,
Désormais.
Car je viens de réaliser,

A cet instant,
C’est toi qui voit,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui écoute,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui ressent,

A travers moi.

Je suis libre,
Car je n’existe plus.
Je suis libre,
Car fondu dans l’amour infini,
Je suis libre,
Car c’est toi qui vit,
A travers moi.

Il n’y a plus que l’amour,
Il n’y a plus que l’énergie,
Il n’y a plus que toi,
Il n’y a plus que moi,
Partout.

Je nage,
Dans le courant de ta rivière d’amour.

Je baigne,
Dans tes idées.

Je vis,
Dans notre cœur.

Je comprends maintenant:
C’est ton action que je transmet,
C’est ta parole que je diffuse.
C’est ton amour que je vis.

Mon dieu,
Qu’il est magnifique,
De disparaître.

Qu’il est magnifique,
De se laisser guider.

Qu’il est magnifique,

D’exister.

Poème de Kundun, Juin 2012/ Poem by Kundun, June 2012

G comme Génie

Qu’est ce que le génie ?

Le génie, c’est la même chose que la folie (voir F comme Folie), avec en plus la possibilité de communiquer, de rapporter ce qu’on a vu et compris.

Grâce à un équilibre de tous les corps (voir le livre les 8 circuits de consciences), si on peut rapporter ce qu’on a vu, si on peut communiquer, alors on passe du fou au génie.

Car le génie a nécessairement dissous ses programmations mentales, il est sorti du carcan, il est devenu libre et éveillé.

David de Michel-Ange, Florence, photo Serge Briez

David de Michel-Ange, Florence, photo Serge Briez

Kundun, juin 2012

F comme Folie

Qu’est ce que la folie ?

Satyre de la fontaine de Neptune, Florence, photo Serge Briez

Satyre de la fontaine de Neptune, Florence, photo Serge Briez

La folie, c’est être capable de voir, et de comprendre des choses que personnes ne comprends. La folie, c’est quand on accède à des univers inconnus, quand on peut accéder à des dimensions inimaginables et incompréhensibles pour l’homme.
L’homme fou a changé de dimension, souvent, il n’est plus capable de communiquer avec la réalité ordinaire.
L’autisme est très similaire à la folie au sens ou les autistes accèdent, eux aussi, à d’autres dimensions. Certains ont accès à des ressources extraordinaires de la conscience infinie.

Naturellement, la folie guette les hommes qui augmente leur niveau de conscience de façon considérable. S’éveiller, c’est accéder au divin : les conséquences sont inévitables.

Kundun, juin 2012