L’intelligence suprême, c’est quand l’ego est d’accord pour mourir,
I comme Intelligence suprême
A comme Attitude, H comme humour
Nos attitudes sont le reflet de notre être, sont le reflet de notre niveau de conscience.
La vie est extrêmement simple, il suffit d’écouter et de regarder les personnes pour comprendre “qui” ils sont, comment ils en sont arrivés là.
Nos attitudes révèlent notre être dans sa globalité et dans sa profondeur.
Comment réagissons-nous aux évènements, aux personnes ?
Par quoi sommes-nous choqué ? Par quoi sommes-nous attirés ? Que rejetons-nous ?
L’ensemble de nos conditionnements, de nos programmations constitue ce que nous pouvons appeler une personne. Sachons regarder cette personne avec un regard externe.
C’est tout à fait possible dès qu’il y a une des-identification au personnage. Nous pouvons prendre de la hauteur et regarder, étudier, rigoler de notre personnage.
Avec cette nouvelle perspective, nous pouvons ainsi le modifier, le dissoudre, le transformer parfois radicalement. Nous sommes totalement libre dès que nous en sortons.
Et plus nous sortons de notre personnage, plus nous pouvons à la fois l’étudier, mais aussi ne plus le laisser réagir à chaud à l’environnement. Nous passons alors du mode “réaction” où nous réagissons immédiatement au mode “sagesse” où tous les événements de la vie sont vus depuis une autre perspective.
Car “qui” réagit à chaud dans la vie ? En général, l’ego, le personnage.
En étant véritablement dans la présence et non plus dans l’ego, nous adoptons alors une attitude plus posée, plus calme.
Et surtout, par cette prise de recul permanente, il nous est possible de percevoir l’invisible.
Une partie de l’invisible étant les programmations mentales des autres personnages. Nous sortons alors du jeu classique d’action/réaction entre personnages pour entrer dans un univers d‘éveil.
Oui, un univers d’éveil, car il suffit qu’un des deux personnages soit en analyse, en contemplation des attitudes de l’autre pour que le jeu s’arrête instantanément. Pour jouer, il faut des personnages. Les personnages ne peuvent plus jouer leur rôle si nous ne leur faisons pas miroir. Comme au théâtre, si un acteur s’arrête de jouer, que peuvent faire les autres ?
Par exemple, un personnage s’énerve et nous voyons clairement les traumatismes sous-jacents à cette attitude émotionnelle non maîtrisée. Un autre personnage s’inquiète et nous comprenons instinctivement sa cause. Une personne répond positivement ou négativement à nos actions, à nos propositions, et nous comprenons immédiatement quelles pensées ont été choisies.
Le caractère et la psychologie de chacun s’intègrent et s’affichent à cœur ouvert dans nos attitudes.
Faites un sourire et voyez ce qu’on vous renvoi.
Tendez la main et proposez une co-création et voyez ce qu’on vous renvoi.
Exprimez votre amour et voyez ce qu’on vous renvoi.
Est-ce des peurs ? Est-ce des doutes ?
Ou est ce de la foi, est-ce de l’envie d’être ensemble ? Est-ce du positif, du négatif ?
Est-ce l’intérêt du mental, est-ce l’intérêt de l’ego ou est-ce l’intérêt du cœur ?
Que ressentons nous dans la présence des autres ?
L’attitude, l’attitude et l’attitude nous permettent de voir qui est l’autre. L’attitude des personnages que nous rencontrons est un peu comme une carte de visite : ‘bonjour, je suis positif’, ‘bonjour, je n’aime pas’, ‘ bonjour, j’ai peur de tout’, ‘bonjour, je suis inquiet de tout ‘, ‘ bonjour, je vous aime, je sais que je suis toi’, ‘ bonjour, j’ai peur de toi’, ‘ bonjour, qui es-tu ?’, ‘bonjour que puis-je pour toi ?’, ‘bonjour, que veux tu ?’.
Nos attitudes nous révèlent à un point inimaginable. Chaque comportement, chaque réaction, chaque mouvement, chaque proposition, chaque fuite, chaque émotion est l’expression de ce qu’est notre personnage.
Pouvons-nous nous en extraire et le regarder de haut ?
Alors apparait le rire, l’humour. Depuis un certain angle, une scène, une attitude, un comportement peut-être drôle. Qu’il est drôle de se moquer de son personnage !
Car “qui” ou “quoi” en nous peut faire cela ?
C’est très souvent le cœur, l’amour que nous sommes, l’âme se moque de l’ego, du personnage.
L’humour, la rigolade sont les meilleurs moyens pour sortir de son personnage et pour en rire.
C’est le cœur qui rit, l’ego n’a aucun sens de l’humour. Il ne peut pas comprendre car il reste dans un univers rationnel, de cerveau gauche. L’humour se situe dans le cerveau droit, il exprime des compréhensions invisibles. Lorsque nous rendons visible l’invisible, nous rions.
“C’est Dieu à travers nous qui rit quand l’ego s’aplatit.”
Kunzang sept 2013
La Plage, A comme Autre
Je suis sur la plage, des milliers de “moi” jouent et rient, bronzent, nagent et se reposent.
C’est marrant de comprendre qu’en réalité, il n’y a que moi sur la plage. Non seulement il n’y a que moi, mais surtout, je suis la plage, la mer, le vent et le soleil.
Bien sur tous ces autres “moi” sont autonomes et indépendants, ils reçoivent comme moi des pensées, ils ont des envies, des activités, ils ont chacun une vie.
Mais au fond, la source de toutes ces envies, de toutes ces activités, la source qui nous anime est unique.
Il n’y a que la conscience, il n’y a que la présence, qui à travers nous se vit.
Nous recherchons tous la même chose simplement parce que nous sommes réellement un seul et même être incarné dans plusieurs corps.
Nous sommes “un” signifie qu’une seule conscience incarnée dans différents éléments existe: les humains, la plage, le soleil, la mer, le vent !
Nous recherchons tous le bonheur, le plaisir, la survie, la joie, l’amour sous toutes ces formes. Nous recherchons la paix, la liberté, le développement de notre être, la réalisation et l’expansion de ce que nous sommes.
Bien sûr il y a comme une compétition puisque nous sommes 7 milliards et que les ressources de la planète sont limitées. La plupart d’entre nous ne savent pas que nous sommes une seule et même conscience. De leur point de vue individuel et égotique, certains croient même être un personnage qui s’est construit avec le temps.
Mais s’ils pouvaient le dissoudre un peu, alors il y aurait un peu plus de partage, alors il y aurait un peu plus d’amour et de bonheur.
Bien sûr, personne n’est responsable de l’identification à l’ego : depuis des générations et des générations, cette “maladie”, ces conditionnements se transmettent.
Nous sommes chacun responsable en fonction de notre niveau de conscience. Et plus il grandit, plus nous comprenons qu’il n’y a pas d'”autres“. Et plus il grandit plus nous comprenons que nous devons prendre soin les uns des autres. Quelque chose en nous nous amène à aimer les autres : nos enfants, notre mari, conjoints, amis, etc.
Mais pouvons-nous étendre cet amour à tous les soi-disant “autres” ?
Partageons nos compréhensions et nos expériences, aidons nous les uns les autres car en réalité, je vous le dis, il n’y a pas d’autres.
Il n’y a que l’illusion de l’autre, il n’y a que nous, partout, tout le temps.
Il n’y a que 7 milliards de nous-même qui construisons l’humanité. L’homme doit prendre conscience qu’il est responsable de la planète terre. Les plantes et les animaux ne détruisent pas l’environnement, seul l’homme le fait. Nous devons apprendre à respecter notre planète. Arrêtons de polluer, arrêtons de détruire. Nous avons la possibilité, en augmentant le niveau de conscience général de vivre en harmonie avec la terre. Nous pouvons partager plus équitablement les ressources de la terre.
Nous pouvons aussi mieux travailler et mieux partager ensemble.
Chacun d’entre nous peut faire la différence dans son action, dans son comportement quotidien, dans son mode de vie.
Chaque cellule que nous sommes peut agir, il suffit de vivre en conscience, à chaque instant.
Il suffit d’être dans la présence, avec un état d’esprit positif, d’amour, de partage, de fraternité.
Cela semble si simple.
Mais si nous nous posons la question : pourquoi tout le monde n’est-il pas dans cet état d’amour, que recevons-nous comme réponse ?
“Simplement parce qu’ils ne savent pas qui ils sont.” “Ils ne se rappellent pas”.
Ils ne savent pas qu’ils sont nous, que nous sommes un. Des traumatismes, des douleurs, des souffrances ont construit l’idée qu’il y avait réellement des “autres”, et même qu’ils pouvaient être parfois hostiles.
Certains leur ont montré qu’ils étaient différents et séparés. Car pourquoi, si l’autre est moi, oui, pourquoi me fait-il du mal ?
Réponse : parce qu’il ne sait ni qui il est, ni pourquoi il le fait. Il est juste inconscient. D’où la fameuse phrase : “il faut leur pardonner, ils ne savent pas ce qu’ils font.” Jésus
L’ignorance est la racine de toutes les souffrances de l’humanité. Transmise de générations en générations, elle continue chaque jour à se propager.
Mais il est temps désormais de pardonner. Pardonnons maintenant à tous eux qui nous ont fait du mal. Libérons nous des souffrances, cassons la chaine infernale qui les reproduit. Répondons à toute agression par la paix et la non-violence.
Quelqu’un nous agresse et nous reportons l’agression. Quelqu’un nous attaque et nous attaquons en retour. Quelqu’un nous vole et nous volons. Depuis 100 générations parfois, dans certaines familles, les parents battent leurs enfants et trouvent cela tout à fait normal. Cassons ce cycle, stoppons les karmas négatif.
Les schémas et conditionnements se répètent, se propagent, encore et toujours.
Mais quand tout cela s’arrêtera-t-il ?
L’homme peut-il comprendre que toutes ses actions se répercutent et qu’elles sont gérées par la loi du Karma, par la loi de cause à effet ?
En général, l’homme ne sait pas qu’il est Dieu incarné dans nos corps, et il ne sait pas que l’amour est la seule réalité.
Dans l’illusion de son personnage, il marche, comme un robot, programmé. Il programme ses enfants comme lui-même a été programmé.
Alors diffusons l’amour,
Alors diffusons la joie, la bonne humeur,
Montrons une autre façon de vivre,
En conscience, dans le respect et le partage. Soyons heureux ensemble !
Déprogrammons nous les uns les autres, éveillons nous, ensemble.
Comme dans la chanson de John Lennon, Imagine, ceci est peut être un rêve.
Mais je ne suis pas le seul à le partager. Il est partagé par des millions de personnes qui chaque jour s’éveillent un peu plus.
Rassemblons-nous !
Nous pouvons vraiment être plus heureux,
C’est facile, il suffit de s’éveiller, d’être le vrai soi, l’amour, pas l’ego !
C’est facile, il suffit d’être, ce que nous sommes réellement.
C’est facile, il suffit de choisir ses pensées, de décider d’être : libre !
C’est facile, il suffit d’être avec ceux qui nous aiment vraiment,
C’est facile, il suffit de s’aimer, et d’aimer ceux qui nous entourent.
C’est facile, il suffit de bien choisir son environnement,
C’est facile, il suffit de se centrer sur le cœur, de fondre dans l’amour infini que nous sommes tous au fond de nous,
C’est facile, il suffit d’être présent, dans l’instant, maintenant,
C’est facile, je vous le dis, c’est facile, essayez et vous verrez !
C’est facile,
I love you,
Kundun juillet 2013
I comme illusion
Il y a un lien entre l’illusion de la personne et l‘illusion du temps.
Il y a deux grandes illusion dans ce monde : l’illusion d’être une personne et l’illusion que le temps existe. Ces deux illusions disparaissent au même endroit : dans le moment présent.
Le mental, la personne ne peut exister que dans le passé ou le futur. En effet, dans l’instant présent, la personne artificielle ne peut vivre : constituée par la projection du mental, la fausse personne se dissous dans le présent. Une projection ne peut exister que dans l’illusion du passé ou du futur. Ainsi le moment présent permet à la présence que nous sommes de prendre conscience de sa réalité.
Nous sommes la vie, nous sommes la présence, nous sommes la conscience et l’espace dans lequel tout existe.
Comprenons que nous pouvons dissoudre nos conditionnements, par des prises de conscience, par l’expérimentation.
Dans la présence de ce moment, comprenons qu’il est possible de grandir, de changer de points de vue. L’éveil est un changement de perspective, il s’effectue progressivement lorsque nous passons du point de vue de la fausse personne vers le point de vue non duel de ce que nous sommes : une conscience divine d’amour infini.
Dans cette compréhension profonde de la présence et de ce moment, il n’y à plus personne pour s’illusionner, ni sur le temps, ni sur l’identification à quoi que ce soit.
Alors La vie à travers nous se vit.
Kundun mai 2013
M comme Matins
Tout les matins
Chaque matin, nous nous réveillons, et au moment du réveil, de nouveau, nous nous identifions à notre personnage.
Mais pouvons nous comprendre que nous ne sommes pas lui ?
Nous sommes la vie, qui à travers lui se vit.
Nous sommes la présence, la conscience infinie, l’amour infini, la vie.
Chaque matin, 7 milliards de fois, nous nous réveillons, nous nous identifions à notre personnage. Ce qui est paradoxal, c’est qu’à chaque fois que nous nous réveillons, à chaque fois que nous nous identifions, nous changeons de rêve, nous ne nous réveillons pas vraiment. Nous passons du rêve de la nuit au rêve du jour.
Comprenons que l’identification au pensées, l’identification à la fausse personne est la seule chose qui peut nous faire souffrir.
Car cette personne s’identifie à une mémoire : la mémoire de tout ce que l’antenne sur patte que nous sommes a expérimenté durant cette vie.
Prenons du recul, dissolvons l’égo, la personne et comprenons qu’au delà de l’identification, nous sommes la conscience universelle, nous somme une seule et unique conscience.
Car chaque matin, JE en tant que conscience unique s’incarne dans les cellules de mon corps pour vivre et expérimenter. Nous sommes, chacun d’entre nous les cellules d’un seul organisme, d’une seule conscience qui à travers nous se vit.
Ce que nous sommes est une conscience qui vit a travers 7 milliards de corps humain, pouvons nous le comprendre ?
Nous vivons aussi à travers les plantes et les animaux. Notre conscience ‘est’ la vie, la présence.
Éveillons nous, dissolvons la personne et entrons dans la non dualité pour comprendre que nous sommes un.
Nous sommes ‘un’ seul être d’amour, nous sommes l’espace qui contient tout l’univers, nous sommes la vie, nous sommes la présence, nous sommes la conscience.
Pouvons nous comprendre que nous sommes beaucoup plus que des frères et des sœurs ?
Nous sommes littéralement ‘un’. Nous sommes le même être d‘amour infini, qui se vit dans plusieurs cellules en même temps.
Il est venu le moment ou chaque homme, chaque femme peut comprendre cela.
L’être que nous sommes ressent le besoin de s’éveiller en éveillant chaque cellule de son corps : nous.
Afin que cesse les souffrances, les séparations, l’illusion de la personne, afin que l’humanité puisse passer à l’étape suivante, l’éveil planétaire est nécessaire.
Tout les problèmes de cette planète sont les effets de cette non compréhension.
Collectivement, cette non compréhension engendre des destructions d’animaux, de plantes, d‘autres êtres humain.
L’identification à la personne, à l’égo, aux pensées pourrait très bien être considéré comme une maladie. Comme pour un cancer, les conséquences sont la destructions d’autres cellules du corps.
L’éveil, la prise de conscience, l’amour est un médicament qui soigne, d’abord le corps dans lequel nous nous éveillons, puis ensuite tous les autres corps qui nous entourent.
Les livres, les satsangs nous soignent, nous guérissent de l’illusion.
Les effets sont immédiats et infinis. Comme un médicament, nous nous propageons, nous guérissons, dans l’amour et le partage.
Comprenons nous bien, ouvrons les yeux, l’organisme planète terre est en train de s’éveiller, à travers nous, ses cellules.
Tous les matins, un être multicellulaire, appelé “terre”, s’éveille.
Nous sommes la vie,
Nous sommes l’amour,
Nous sommes la présence,
Nous sommes la conscience,
Qui à travers nos corps,
Se vit.
Kundun, Mai 2013
C comme Contrôle
L’égo, la personne a parfois l’impression qu’elle contrôle la situation.
Plus elle progresse dans le contrôle des autres personnes, des situations, de ce qui se passe, plus elle génère une énergie de force et de volonté de plus en plus difficile à maintenir, de plus en plus stressante.
Le proverbe “l’homme fait des plans, et dieu rigole” est très significatif.
Plus nous pouvons dissoudre la personne, nos conditionnements, et plus nous allons vers la foi, plus nous avons confiance en la vie.
Au contraire, si nous suivons à l’extrême la personne, l’égo, nous allons vers l’illusion du contrôle de notre environnement.
Il y a d’une part un chemin qui mène vers le bonheur, un “surrender” total au divin qui à travers nous se vit, et d’autre part un chemin rempli de souffrance où nous essayons d’aller à l’encontre des événements et de la vie.
Acceptons et affrontons les situations. Ne fuyons pas. Elles existent pour nous apprendre quelque chose.
Chaque seconde de notre expérience, par notre intuition, par notre imagination, nous recevons le plan divin, nous sommes guidés par la vie.
Si nous savons écouter, la joie et le bonheur se retrouvent sur notre chemin.
Si la personne prend le contrôle de la conscience, du cœur, alors, il existe comme un détournement de cette énergie qui va alors s’investir dans une action non juste.
Le contrôle est basé sur l’illusion de la séparation. Si nous comprenons que nous sommes un et qu’il n’y a pas de séparation, nous pouvons nous laisser porter par le flux de la vie tout en écoutant nos intuitions. On passe alors du “contrôle” au “lâcher prise”. Témoin de la vie, nous devenons alors spectateur de l’énergie de vie, qui à travers nous se vit.
Plus nous allons vers l’éveil et la dissolution de la personne, plus la vie se libère à travers nous.
Kundun, Mai 2013
C comme Critique
Critiquer les autres n’amène à rien.
C’est l’égo, la personne qui critique, pour exister, créant des séparations en permanence. Car l’égo se construit sur les séparations, tandis que le cœur les dissous. La personne critique et juge afin de se mettre en valeur, afin d’exister : “j’existe car j’ai raison, car je suis séparé des autres, car je suis meilleur, car je détiens la vérité”.
Cette illusion est tout simplement la cause même de toute souffrance, de toute violence : “croire que nous ne sommes pas l’autre”.
Le Dalaï lama à dit : “il ne faut pas juger car cela rend malheureux.”
Cela est très juste : plus nous sommes dans l’illusion de l’égo, de la séparation, plus nous sommes dans la souffrance, dans la violence. Très souvent, ce que nous n’apprécions pas chez l’autre est un retour de notre propre reflet.
Plus nous sommes dans l’illusion, plus nous souffrons et pus nous sommes dans la réalité, et plus nous disparaissons.
Texte de Kundun,Février 2013