
L’être : Nous avons, Geneviève, coucou.
C’est la première fois que tu viens dans l’émission ?
Geneviève : bonjour, oui.
L’être : gratitude pour les premières fois, je vois dans ma boule de cristal que tu es au Québec.
Geneviève : oui, je viens du Québec, hier soir, j’étais présente à l’émission avec Marie-Josée Marlène, j’étais émue, je voulais vous écrire.
L’être : Oui, tu peux nous écrire.
Geneviève : je n’ai pas eu le temps parce que après, j’ai dormi et ce matin, je voulais faire la méditation, mais je n’ai pas eu le temps, donc je vais la faire après.
L’être : comment tu te sens dans ton corps Geneviève ?
Geneviève : un peu fébrile, les mains, tous moites.
L’être : l’émotion du premier rendez-vous. Depuis combien de temps, tu connais l’émission ?
Geneviève : depuis cet été, je l’écoute, grâce à Marie-Josée aussi Robichaud.
Ce n’est pas constant, mais hier l’appel, c’était très fort, puissant.
J’ai pleuré avec vous, j’ai ris et c’est la même chose depuis ce matin-là, tous les cas me parlent, ils font du bien à Geneviève.
L’être : est-ce qu’il y a une question, pourquoi Geneviève ou pourquoi je ?
Geneviève : pourquoi elle se sent bloquée à tous les niveaux professionnels, l’amoureux, je le bloque.
L’être : non, c’est Geneviève, le bloc.
Geneviève : Geneviève le bloc. J’ai chaud là.
L’être : pour celles et ceux qui ont chauds, vous pouvez vous déshabiller, il n’y a aucun problème, vous êtes tout nus chez vous, tout le monde s’en fout.
Geneviève : il y a plein de neige à l’extérieur.
L’être : nous allons aller quand même un peu dans le détail, par exemple, dans l’amour, qu’est-ce que je veux, qui n’est pas là ?
Geneviève : la présence, l’amour de ce merveilleux.
L’être : et pourquoi je ne vais pas chercher un homme au marché ?
Geneviève : ça a été le cas de ma dernière histoire en plein stationnement.
L’être : non, la dernière histoire de Geneviève, ce n’est pas mon histoire à moi, c’est l’histoire de Geneviève.
À cause de l’ancienne histoire de Geneviève, elle ne veut pas en prendre un nouveau, c’est ça ?
Geneviève : ça a été terrible pour elle.
L’être : pourquoi ça a été terrible ?
Geneviève : ça fait beaucoup de peine…
L’être : laisse pleurer.
Dis avec moi :
J’accueille la tristesse.
L’étape une, c’est d’accueillir ce qui a besoin d’être accueilli, c’est en toi et ce sont des émotions et c’est la tristesse.
C’est important d’accueillir cette tristesse-là qui a envie d’être vécue.
Pourquoi la tristesse n’aurait pas le droit d’être vécue ?
Geneviève : peut-être que je la permets tout simplement pas.
L’être : non, ce n’est pas “Je”, c’est Geneviève ne s’autorise pas à être triste et moi, l’être, j’autorise tout, c’est pour ça que c’est bien de sortir de la confusion identitaire.
Ce n’est pas pour des prunes, c’est technique.
Je vous ennuie avec l’illéisme parce que c’est tellement pratique pour sortir de la confusion.
Vous le voyez bien dans l’émission d’ailleurs, donc mettez dans votre vie l’illéisme, il y a Geneviève et il y a moi.
Geneviève se raconte des histoires, Geneviève a peur de recréer une histoire d’amour parce qu’elle a besoin de digérer l’ancienne.
Alors, qu’est-ce qui n’a pas été digéré ? Comment ça s’est terminé ?
Geneviève : j’ai découvert qu’il avait une vie, qu’il n’était pas disponible pour Geneviève, il était déjà avec quelqu’un.
L’être : il ne t’avait pas dit ?
Geneviève : non.
L’être : « J’ai oublié de te dire que je suis marié. »
Geneviève : tout à fait.
L’être : ils sont fous.
Alors quand je suis chez lui, c’est : j’avais peur de m’engager, j’avais peur d’assumer ce que je suis.
Il y a un gros boulot à faire là-dessus.
Tu étais amoureuse, c’est ça.
Geneviève : oui.
L’être : lui aussi, il était amoureux, le seul problème de l’histoire, c’est qu’il n’assume pas ses responsabilités.
Le problème, il vient de lui, il ne vient pas de toi, tu n’as rien fait dans l’histoire. Ce qui te fait pleurer c’est qu’il est amoureux aussi.
Laisse pleurer, tout doit partir, tout doit pleurer.
Gratitude, merci d’offrir ce partage.
Merci à toutes celles et ceux qui passent dans l’émission depuis le début de toutes les émissions et qui offrent des morceaux de leur vie.
C’est tellement beau d’offrir une partie de sa vérité, vous êtes magnifique.
En même temps, ça libère.
J’avais besoin d’accepter le réel, j’avais besoin d’accepter aussi, par rapport à ce gars, son manque de courage, sa faiblesse, ses peurs, parce que lui, il était amoureux, mais il n’osait pas dire et il n’est pas très courageux, c’est ça qui manque chez lui.
Après forcément ça fait des histoires comme ça, puis ça fait mal.
En même temps, ça fait grandir les 2, lui, il grandit et puis toi, tu grandis aussi.
J’avais besoin d’être précise dans ma demande à l’univers, et de dire à l’univers que je voudrais quelqu’un de libre, de disponibles.
Quelqu’un qui ne soit pas avec quelqu’un d’autre. Précisons-le dans la commande.
Geneviève : et qui veut être là à côté de moi.
L’être : et qui assume son amour.
Geneviève : tout à fait et qui reste.
L’être : qui assume et qui n’a pas peur de l’amour, de la déesse que je suis parce que c’est vrai que chez toi, c’est… J’ai remarqué ça beaucoup chez les québécoises.
Il y a un truc quand même à aller investiguer au Canada, au Québec, il y a un côté très vrai chez les québécois, québécoises, j’ai remarqué.
Je ne sais pas comment ils ont fait ça, mais il y a un côté très… Ah oui, je sais ce qui s’est passé parce qu’en fait, le Québec, ce sont des Français de l’époque et du coup, cela évolue différemment.
Vous êtes resté très naturel.
C’était quand que vous avez créé le Québec ? En quelle année tu te rappelles, toi ?
Geneviève : dans les années 1500, je crois.
L’être : la France dans les 500 dernières années… et oui, c’est à cause de Descartes fait, il n’y a pas que lui, mais ça, la France a suivi un autre chemin.
Du coup, en allant au Québec et au Canada, il y a cette réalité qu’il y avait il y a 500 ans.
L’humanité n’a pas toujours été suridentifiée à l’égo, au “Je”, au “Moi”, à la personne.
C’est ça s’est vraiment fait dans les 500 dernières années ce truc-là,
Il y a comme une accentuation, une individualité plus grande qui a été créé.
C’est vrai il y a eu les 2 guerres tout ça, mais il y a plein de facteurs qui ont créé ce… Mais ce sont surtout les philosophes qui étaient très identifiés à l’égo, comme Descartes qui dit : « Je pense donc je suis. » c’est exactement le contraire, parce que j’existe, qu’il y a un individu, un “Je” en “Moi” qui reçoit des pensées.
Rien à voir en fait, mais comme lui, il ne méditait pas, il ne sait pas ce que c’est que la méditation, il a flingué tout le monde.
C’est intéressant de voir qu’il y a beaucoup de philosophes comme ça, hyper identifiés, à l’ego qui a amené tout l’occident dans une espèce de… Et là, ce que je retrouve, c’est effectivement naturel, c’est chouette, ça donne envie d’aller voir le Québec.
Revenons à nos moutons, j’avais besoin de pardonner à mon ex, sa faiblesse, son ignorance, son manque de courage
Geneviève : et d’arrêter de m’accuser, de mettre le blâme sur Geneviève.
L’être : oui, tu n’as rien fait toi, tu es juste tombé amoureuse, peut-être le truc que tu as fait, c’est manqué de discernement.
Geneviève : probablement.
L’être : si tu rencontres quelqu’un, tu peux lui demander est-ce que t’as une femme et des enfants ! Tu lui avais demandé non ?
Geneviève : ce n’était pas clair, il était séparé, mais bon.
L’être : mais en fait, il ne l’est pas ?
Geneviève : oui, exactement.
L’être : oui, il a inventé en fait, c’est un menteur.
Geneviève : je ne peux pas croire que Geneviève, elle a attiré ça…
L’être : elle n’a pas attiré, elle a créé au niveau de l’être, pourquoi d’après toi, c’est évident.
Geneviève : pour comprendre.
L’être : pour comprendre quoi, allez, je vous laisse réfléchir.
Geneviève : l’amour de moi-même.
L’être : non, non, ce n’est pas ça, c’est comprendre qu’il y a besoin de discernement.
Si vous avez dans votre vie des menteurs et des menteuses, dont les conjoints ou ailleurs, Ce n’est pas par hasard.
Ça a été créé exprès pour vous embêter, pourquoi ?
Pour que vous augmentiez votre discernement, c’est quoi le discernement ?
C’est quand tu vas dans l’être et que tu ressens avec ton système émotionnel, ton cœur et ton corps sans écouter trop la tête, juste ça alors, tu sais tout déjà.
Ton corps, il ne sait pas mentir, contrairement à la tête, ton cœur, il ne sait pas mentir non plus, contrairement à la tête et ton émotionnel non plus.
Il y a juste à écouter l’émotionnel, écouter le cœur et écouter le corps.
Ces 3 trucs-là, c’est beaucoup plus intelligent que l’intellect, pourquoi ?
Mais parce que l’intellect a une facilité pour raconter des bobards, ça, c’est dans l’intellect, pourquoi ? Parce que l’intellect ne veut pas voir le réel, parce que ça lui fait peur.
Par exemple, t’étais amoureuse de lui, tu ne voulais pas voir que c’était un monteur ?
Il y a plein de mécanismes inconscients qui ne vont pas poser les bonnes questions.
Maintenant, tu dis : ce n’était pas clair, normalement, c’est dès le départ que tu fais ça, tu vois ça.
Ce n’est pas pour te faire culpabiliser que je dis cela, c’est pour expliquer quel est l’enseignement derrière l’histoire.
Toi t’as fait ce que t’as pu, mais si j’arrive à ressentir mon cœur, mon émotionnel et mon corps, ce n’est pas possible de me mentir, ça existe pas en fait.
Tout le monde-là, je parle à tout le monde dans le groupe, vous savez au fond de vous, si quelqu’un vous ment, vous le savez.
Ce n’est pas possible de mentir sur cette planète, ça n’existe pas.
Il y a que l’identité qui va être d’accord pour croire un mensonge parce qu’il y a un bénéfice secondaire à croire le mensonge, là, en l’occurrence, dans l’amour, le bénéfice secondaire, c’est : je ne te pose pas trop de questions comme ça je suis amoureuse et puis voilà.
Mais si vous voulez aller dans le réel, mettez les pieds dans le plat tout le temps.
L’amour, ça va marcher si vous mettez de la lumière dans toutes les zones d’ombre.
Des zones d’ombre, il y en a chez vous et chez l’autre.
C’est ça l’amour. Quand vous commencez à aller dans l’amour, à être amoureuse amoureux, y a plein de lumières et d’amour en vous. L’amour, le vrai amour, va mettre de la lumière dans tout ce qui n’est pas clair, c’est ça le dialogue avec l’être.
Ici, c’est super éclairé, j’arrive chez vous et tout, s’est éclairé, c’est comme si j’étais éclairagiste.
Il y en a qui appelle ça, clairvoyant, mais en fait, je suis éclairagiste, j’amène de la lumière là où vous n’osez pas regarder parce qu’il a des systèmes de fuite, il y a des systèmes de protection, il y a tout un tas de systèmes qui fait que l’inconscient est totalement inconscient, mais pas pour tout le monde.
C’est inconscient pour l’identité, donc là, je parle à chacun, vous avez un inconscient parce que vous êtes identifié à l’identité en allant dans l’être et en sortant de l’identité, il y a plus d’inconscient ou beaucoup moins en tout cas.
C’est comme ça que j’arrive à voir votre inconscient.
D’après vous, comment je fais ?
Il suffit d’aller dans l’être, ce n’est pas compliqué.
Dans l’être, il y a plus d’inconscient chez les autres et beaucoup moins chez soi.
Là, c’est possible d’aller voir l’inconscient de Sébastien, Sébastien, il va voir des clairvoyants ou des thérapeutes. Et puis il est passé à la moulinette lui aussi.
Il a eu ça en stage et dans tous les stages, il fait le stage comme tout le monde, mais il évolue vite quand même vous ne trouvez pas ?
Ce n’est pas forcément agréable de passer à la moulinette, ça crée des dissonances cognitives, mais ça fait tellement de bien après qu’il est possible que vous créez une identité qui revienne sans cesse dans la clairvoyance dans ce stretching psychique
Comment tu te sens ?
Geneviève : relâché, un espace en haut de ma tête qui est plus grande, je me sens comme ça.
L’être : alors, on va pardonner, dites avec moi les mantras de pardon, les mantras, c’est une science très puissante, ça vient de l’hindouisme et on était 80 à faire l’atelier ce matin et quand vous chantez, parce que c’est des chansons indiennes avec des mantras et bien, figurez-vous que vous éliminez tous les obstacles dans votre vie juste avec ce mantra.
Parce que c’est Ganesh et Ganesh, il est connu pour ça.
Là actuellement Sébastien, il est à Cachin c’est l’île aux éléphants, donc c’est très Ganesh. Ganesh, c’est un éléphant.
Il y a une énergie de Ganesh depuis un mois et demi, qui est extraordinaire, c’est la puissance de l’éléphant, le symbole qui est en train de s’incarner en nous.
C’est le 3ᵉ chakra, c’est la force et le pouvoir d’éliminer tous les obstacles comme un éléphant.
Il n’y a rien qui résiste à un éléphant, et c’est ça Ganesh.
Les mantras, ce n’est pas pour des prunes, ce n’est pas pour rien.
Les mantras, c’est une science très importante dans l’hindouisme et en général parce que quand vous allez dans l’être et que vous chantez des mantras, le fait de chanter ça mène dans l’être de toute façon, et ça crée une nouvelle réalité.
L’atelier, c’est super fun, nous chantons, il y a de la joie, des montées vibratoires, mais en plus c’est utile puisque c’est pratique et que vous enlevez les tous les blocages et là Sébastien, il pleure à chaque fois qu’il chante ce mantra-là et c’était très émotionnel aujourd’hui la méditation.
Continuez à chanter tous ces mantras, tous ces chants indiens, c’est vraiment super chouette.
Dites avec moi :
Dans cette vie et dans toutes mes vies,
À mes ex chéris,
je vous pardonne,
je me pardonne tout,
je me libère de vous maintenant,
je refais ma vie,
gratitude pour l’expérience,
gratitude pour l’enseignement.
J’avais besoin de voir que si je suis amoureuse et que nous n’arrivons pas avec le chéri à créer un nous, un couple, il y a une forme de perfection à l’intérieur, donc ça fait souffrir, c’est vrai, mais c’est qui qui souffre ?
C’est le “Je”, c’est l’identité qui souffre et du coup ça permet de comprendre : et si j’ai envie d’arrêter de souffrir et si j’allais dans l’être !
Mais oui, c’est ça, c’est comme ça que ça marche.
À quoi ça sert la souffrance ? Ça vous donne une motivation pour aller dans l’être.
C’est horrible d’avoir un chéri et puis ça ne passe pas.
C’est l’un des trucs les plus horribles. Il y a beaucoup de choses horribles.
Il y a deux choses : avant d’aller dans l’être, vivre pleinement la tristesse et ce qu’il y a à vivre.
N’utilisez pas l’être pour fuir l’expérience.
L’égo se dissout, l’identité se dissout, donc tu te dissous dans la confusion et c’est très désagréable, mais une fois que c’est dissout, il y a beaucoup moins de jobs, beaucoup moins de d’égo, de “Moi”, de personne.
C’est l’ego, le “Je”, le “Moi” qui ne veut pas faire l’expérience de l’amour, tandis que l’être, il adore ça.
Parce que soi-disant ça fait mal.
Oui, mais ça fait mal à qui ?
Ça fait mal la personne parce qu’elle ne sait pas ce qu’elle veut.
Pourquoi la personne souffre quand elle n’a pas ce qu’elle veut ? Ça, c’est la question.
D’après toi, pourquoi la personne, l’identité souffre quand elle n’a pas ce qu’elle veut ? Ça, c’est une vraie question, on ne me l’a jamais posé en plus, notamment l’amour, elle aurait voulu un chéri et le chéri, il s’en va.
Pourquoi ça fait souffrir quand l’identité n’a pas ce qu’elle veut ?
Geneviève : elle s’est sentie rejetée, abandonnée, trahie.
L’être : donc ça fait resurgir des traumas de l’enfance.
Geneviève : oui, sans doute.
L’être : mais pourquoi l’identité ne pourrait pas accepter que ça ne se passe pas comme elle veut ? Je vous laisse réfléchir un peu, pourquoi l’identité souffre quand elle n’a pas ce qu’elle veut ?
Geneviève : je dirais des attentes, maintenant, Geneviève, elle a 44 ans…
L’être : et alors, qu’est-ce que ça change ? En fait, j’avais la croyance d’avoir 44 ans, mais quand tu es amoureuse, tu as toujours 20 ans.
Geneviève : oui, je suis toute seule à vivre là.
L’être : c’est momentané, tu es toute seule jusqu’à ce que tu attrapes un homme.
Geneviève : l’attraper…
L’être : exactement, l’attraper,
Geneviève : l’attraper avec un filet.
L’être : je veux plutôt une canne à pêche, mais un filet, ça peut être pratique.
En français, on dit, j’ai pécho un mec, ça veut dire, j’ai chopé, c’est du verlan et ils m’ont expliqué ça la semaine dernière.
Si je suis la déesse créatrice du monde, alors je crée un chéri et je l’attrape.
Geneviève : mais je veux qu’il vienne tout seul.
L’être : non Geneviève, attention, on sort de la confusion identitaire.
Geneviève voudrait qu’il vienne tout seul le poisson.
Je vais dire un truc, si jamais tu fais de la pêche, au Québec a certainement des rivières, Ça ne marche pas comme ça, tu mets ton seau dans la rivière et puis tu dis « Viens, viens gentil poisson », non, ils ne vont pas venir tout seuls.
Les mecs, c’est pareil, ils ne vont pas venir tout seuls, tu vois, ils ont peur de l’amour, ils ont peur de se faire attraper, ils ont peur de perdre la liberté.
Ils ont 150 millions de peurs.
Comme celui que tu as créé dans ta réalité, tu vois bien qu’il a 150 millions de peurs.
Il se fait croire en lui-même qu’il a envie d’amour, et dès que tu lui proposes, il part en courant. Ce n’est pas très courageux.
Si vous attendez qu’ils arrivent, vous pouvez toujours attendre 150 ans. Ça ne marche pas comme ça.
Je vous recommande d’apprendre à choper, à pécho, à chasser, pourquoi ? Mais parce que c’est dans l’homme et la femme.
Il y a cet instinct de chasseur.
Nous avons été félins, nous avons tous des vies de félins.
Étudiez un peu les félins, les tigres, les chats aussi, ce sont de sacrés chasseurs, les chats.
Les chats, c’est extraordinaire.
Le plus spectaculaire, ce sont les chats avec les serpents, ils ont peur de rien, même avec les chiens.
Les chats, c’est d’une force invincible, les chats, ils ont un mindset, une force de caractère impressionnante, et vous avez la même chose, Mesdames et Messieurs.
Vous avez ce truc comme un chat, comme un félin, comme un lion ou un tigre.
Il y a un plaisir de chasser, mais aussi un plaisir d’être chassé.
Je ne dis pas de chasser pour le plaisir de chasser, mais chasser depuis le cœur avec ce plaisir de dire à l’autre, tu me plais, j’ai envie de toi.
Commencez à vous réveiller là-dessus parce que c’est une fuite, le fait d’attendre qu’il arrive.
Comment tu te sens avec cette idée d’aller chasser ?
Geneviève : de mieux en mieux, mais je ne vois pas du tout quoi faire.
L’être : je n’avais pas appris à attraper des mecs ! c’est juste ça.
À l’école, ils t’ont appris à écrire, à lire, quelques bricoles sur l’histoire, mais le cours de drague, c’était où ?
Le cours d’ouverture de cœur, c’était où ?
Le cours de méditation, c’était où ?
Ils ont tout faux 0 sur 20 l’école.
L’idée, c’est que tu te débrouilles à apprendre toute seule, tu n’as pas besoin de l’école.
De toute façon, c’est trop tard, tu as 44 ans.
Et si je m’offrais des formations, voilà sur comment apprendre à créer un homme dans sa réalité.
Comment apprendre à choper, à pécho, à aller vers l’autre aussi.
Derrière ce sport de : je fais des rencontres et puis j’attrape des beaux hommes, je fais un travail sur moi, sur mon affirmation, ma confiance et mon discernement, c’est ça la vérité.
C’est pour cela que je vous recommande d’apprendre, c’est parce que c’est beaucoup plus profond que ça.
Mais qui n’a pas envie d’apprendre à chasser ?
C’est celle qui a peur.
Peur de quoi ?
De pas être belle, de pas lui plaire, etc.
En fait, on s’en fout, c’est que des peurs, ce n’est pas le sujet.
Je ne dis pas que ça va marcher à tous les coups.
Ça ne marchera pas à tous les coups de toute façon, mais ce n’est pas le sujet non plus.
Le sujet, c’est d’apprendre.
J’avais besoin d’accepter que ça ne marche pas à tous les coups, comme tout dans la vie d’ailleurs.
J’avais besoin d’accepter que l’autre me dise non.
J’avais besoin de voir que c’est parfait si le mec, il s’enfuit et si ça ne marche pas. Pourquoi c’est parfait d’après toi ?
Geneviève : c’est pour que je travaille, pour que Geneviève travaille sa conscience ?
L’être : non, c’est parce que s’il n’est pas capable de t’aimer, il n’a rien à faire dans ta vie. C’est pour ça que c’est parfait.
Je n’ai pas répondu à la question de tout à l’heure : pourquoi l’identité, elle souffre quand elle n’a pas ce qu’elle veut ?
Donc l’intérieur de l’identité est comme un enfant capricieux.
Ça se passe à l’âge de 3 ans, c’est le même enfant qui pique sa colère parce qu’il n’a pas son jouet, les parents ne font pas ce qu’il veut, c’est une phase du développement de l’enfance.
Et donc ça souffre parce que ce truc n’a pas été suffisamment vécu.
C’est-à-dire ?
Quand je suis dans la confusion identitaire, que je m’identifie à la personne, ça souffre quand ça n’a pas ce que ça veut.
Quand vous allez dans l’être, il y a l’abandon à toute la création parce que je suis la création, d’accord ?
Si ça se fait pas avec cet homme-là et je ressens en moi une perfection et je m’abandonne au destin, à la providence, à l’être, à existence, et c’est parfait.
L’être est toujours dans une posture d’abandon, tandis que la personne est toujours dans une posture soit de résistance, soit de je veux.
L’être est dans l’abandon, ce n’est pas la personne, c’est pour ça que la personne souffre.
La personne souffre parce qu’il y a un écart entre ce qu’elle veut et la réalité.
Elle voudrait un mec et la réalité, c’est que le mec, est parti en courant.
Il y a un écart entre la réalité, réel, ça, c’est l’être et la personne.
C’est cet écart qui fait souffrir.
En allant dans l’être, il y a plus d’écart, parce que l’être égale la réalité.
J’espère que ce n’est pas trop compliqué : l’être égale la réalité et l’être, s’abandonne à lui-même et à la réalité parce que tout ça, c’est égal.
Tandis que la personne refuse la réalité…
Attention, cela n’empêche pas d’avoir des envies et de manifester plein de choses dans le monde.
Vous créez tout ce que vous voulez, mais il y a un paradoxe.
Non seulement vous créez depuis le cœur tout ce que vous voulez, mais en même temps, il y a la réalité, donc c’est là ou ce n’est pas là.
Ça ne vous empêche pas de faire le nécessaire par exemple : voir dans des sites de rencontres ou aller dans des endroits, rencontrer plein de gens, ça oui.
Mais sans attente et en acceptant la réalité.
Pourquoi accepter la réalité ?
Mais pour arrêter de souffrir. Après, si vous voulez souffrir, continuez, ça ne me gêne pas.
Vous avez vu pourquoi ça souffre ? Ça souffre parce qu’il y a un écart entre la réalité et ce que voudrait la personne.
C’est toujours la réalité qui gagne, et du coup le jeu, et ça crée la dynamique de la vie.
Le jeu de la vie, c’est : qu’est-ce que je dois faire pour changer ma réalité ? Qu’est-ce que je dois faire si je veux un mec ?
C’est facile, je dois apprendre ce que je ne sais pas faire et puis aller là où il y en a ça ce n’est pas très compliqué.
Tu veux des tomates, tu vas au marché, tu achètes des tomates, tu veux un mec, bah, tu vas sur les sites de rencontres et puis tu choisis parmi 10 milles, tu vas bien en trouver un ou deux.
J’avais besoin d’apprendre à aller sur les sites. J’avais besoin d’apprendre à écouter mes ressentis, à être clairvoyante, clairvoyant.
J’avais besoin d’apprendre la relation humaine.
Tu vois comment ça marche ?
Geneviève : oui.
L’être : donc si tu vas dans l’être et que tu acceptes toute l’existence, après, tu seras totalement éveillé, tu seras sorti de l’identité.
L’effet secondaire plutôt, c’est que vous allez être heureux et heureux. C’est ça l’intérêt. Pourquoi ne pas choisir le bonheur ?
À quoi ça sert de se faire du mal ?
Le bonheur, c’est très simple, c’est quand vous acceptez la réalité.
Allez dans l’être, vous verrez, c’est facile.
L’écart entre le bonheur et le malheur, c’est vachement simple, c’est votre capacité à accepter le réel.
Le malheur, la souffrance, c’est parce que l’identité refuse le réel.
En allant dans l’être, vous allez embrasser, épouser, vous abandonner au réel parce que le réel et vous, égal un.
C’est juste ça, le bonheur, c’est accepter le réel. Ça peut être accepté sa maladie, accepter son handicap, accepter ses manques, tout accepter même les émotions, la tristesse.
C’est le pouvoir de l’accueil, super livre d’ailleurs de Nasrine Reza.
Le pouvoir de l’accueil, très bon livre, c’est ça qu’elle dit d’ailleurs, elle est très éveillée, elle est sortie de l’identité, de la matrice.
C’est accueillir en fait, c’est vraiment le pouvoir de l’accueil.
Quand vous avez ce pouvoir-là, c’est échec et MAT, c’est fini, vous avez gagné la partie.
Parce qu’il y a cette capacité d’être dans l’être et d’accueillir le réel.
Attention, cela ne vous empêche pas de canaliser vos envies, des projets pour modifier le réel, il n’y a aucun problème, il ne s’agit pas d’arrêter d’agir et d’arrêter de faire tout ce que vous avez envie, ce n’est pas ça dont je parle.
C’est accepter le réel et en même temps canaliser et dire qu’est-ce que je fais pour rencontrer quelqu’un ?
C’est important de voir qu’il n’y a pas de confusion, il ne s’agit pas de dire « Oui, c’est le destin, je suis pour rien, je ne peux rien faire », non, ce n’est pas ça que je veux dire.
Vous pouvez tout changer dans le réel, mais cela ne vous empêche pas d’accepter le réel tel qu’il est maintenant.
Il y a 0% de fatalisme dans ce que je vous dis.
C’est très important de ne pas être fataliste. C’est l’ego qui est fataliste, c’est.
Geneviève : Geneviève est beaucoup plus en paix, au calme, prendre des directions différentes, je m’en fous et je lâche prise.
L’être : c’est ça, il a une grande sagesse chez toi, c’est grand chez toi.
Il y a tout un travail à faire pour créer dans sa réalité des hommes capables d’aimer comme moi, j’aime et comme toi t’aime infiniment, donc commencez par sélectionner depuis le cœur des hommes avec le cœur ouvert.
Quand tu vas sur essayer de rencontres, tu leur parles d’amour, de poème et tu leur poses 80 questions sur : est-ce que t’as le cœur ouvert ? Quel est ta relation ?
Imagine-le et tu vas le créer.
Ça va se faire par le canal de l’imagination, l’imagination, ce n’est pas ce que vous croyez.
L’imagination, c’est un outil de création assisté avec l’univers.
Oui, il y a la création assistée par ordinateur CAO, et là, il y a la création assistée par l’univers CAU.
C’est ça l’imagination, l’univers, c’est vous, alors ça, vous allez vous en apercevoir après beaucoup de méditation, mais je vous le dis un peu en avance.
Comment il fait l’univers pour créer la réalité ? Il l’imagine, il fait comme vous puisque vous êtes l’univers et il est vous, vous êtes lui, c’est un.
L’univers imagine l’univers, l’univers imagine des dimensions et après, il crée.
Ça a été réalisé par Sébastien et ça a été écrit dans le livre des secrets que je vous recommande sur Amazon où il y a 2 chapitres sur des expériences qu’il a vécues où il avait réalisé qu’à un moment, notamment par une cérémonie chamanique, chaque pensée se transformait en musique d’orchestre.
Alors une musique d’orchestre, puisque Sébastien est compositeur, c’est 50 lignes d’instruments.
Tu as tous les instruments d’orchestre, 50 instruments et en temps réel chacune de ces pensées pendant cette méditation profonde se transforme en musique, donc il entendait de la musique comme vous pourriez mettre un CD pendant 2h.
Il n’a rien enregistré, il n’a rien chanté, il a juste été dans la béatitude de créer de la musique, mais de la musique d’orchestre.
En temps réel, chaque pensée se transformait en musique.
C’est comme ça que l’être crée l’univers et c’est comme ça que vous, l’être, vous créez votre vie.
C’est-à-dire que vous allez imaginer un homme, un chéri avec toutes ces caractéristiques, vous allez l’écrire même, et comme vous êtes l’univers, l’univers va vous le créer. Pourquoi ?
Parce que l’univers est amoureux de vous et que vous êtes l’univers, à quoi ça sert les sites de rencontre ?
Les sites de rencontres, tu regardes mille profils, avec mille photos, il y a mille profils avec 10 photos par personne admettons, et là, c’est une façon que vous avez de créer votre réalité.
Ce qui a été découvert, il n’y a pas longtemps, c’est que les mille profils sur le site, ce sont des personnages non-joueurs, c’est-à-dire, ils ne sont pas encore incarnés, ils n’existent pas en fait.
Vous avez l’impression qu’ils existent, qu’ils se sont inscrits sur le site de rencontre et il y en a 1 million.
Alors non, tout ça, c’est la petite histoire.
En vérité, c’est qu’un catalogue et quand vous cliquez et que vous contactez le mec, il se manifeste.
Tu vois comment ça marche ? C’est important de comprendre ça parce que l’univers, il optimise, il ne va pas créer 1 million de mecs, alors que vous avez besoin de 2.
Il va créer au fur et à mesure de vos réactions.
C’est écrit nulle part ce que je vous dis là, vous allez me dire c’est de la science-fiction.
Vous allez voir, à un moment, au niveau de la physique quantique, ça se retrouve, c’est-à-dire que c’est vraiment important de comprendre ça.
Vous avez 10 mille profils, je vous dis que les mecs, ils n’existent pas, mais que si vous cliquez, vous le contactez, vous lui écrivez, il commence à prendre vie et à un moment, si vous lui téléphonez, il commence encore un peu plus à prendre vie.
Il se crée une mémoire, une vie, etc.
Ça se fait tout dans l’autre sens, et à un moment, si vous faites en rendez-vous, l’univers crée le mec avec sa vie et tout, et je fais référence quand je vous dis ça à un livre qui s’appelle un homme debout, de Franck Levey, c’est un super livre où il explique comment il créait la réalité, il a failli devenir fou.
Il avait créé plein de trucs, c’est vraiment magnifique ce livre et ça parle de ça.
Tous les clairvoyants vous diront la même chose, et tous ceux qui se sont désidentifiés de la personne.
C’est vraiment très important de comprendre ce point-là, vous n’attirez pas des mecs, vous créez des mecs.
C’est un point important parce qu’il y en a beaucoup qui sont seuls.
Allez sur les sites, allez partout et commencer à faire des rencontres.
Si vous ne rencontrez personne, l’univers ne peut rien pour vous, vous bloquez le processus de création de l’univers.
Si vous rencontrez plein de gens juste comme ça pour les rencontrer, il y en a avec qui ça va marcher.
Vous allez avoir tous les deux envie d’être ensemble, ça va faire comme du magnétisme.
Vous allez vous coller, vous ne pourrez plus vous décoller.
C’est l’amour, en fait, qui va prendre possession de vous.
C’est comme ça que ça va se passer, mais il faut quand même rencontrer des gens. Ça, c’est votre partie à vous.
Après, il y aura un 2ᵉ truc à faire, c’est de s’abandonner à l’amour sans avoir peur, et il y a quand même un truc à faire aussi, c’est avoir du discernement quand même, c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas de prendre le premier venu ou n’importe qui ou quelqu’un qui est sous l’emprise de drogue parce que en fait, vous allez être avec les deux, avec la drogue et le mec.
C’est important de voir ça aussi, que ça soit le tabac, l’alcool, tout ce que vous voulez.
Il y a beaucoup de gens qui ne sont pas libres et il y a très peu de gens libres, parce que pour se libérer faut sortir de l’identité déjà.
Mais même dans l’identité, tout est fractal et holographique.
Il y a des gens qui sont sous l’emprise de drogue, d’alcool, de cigarette, le cannabis, c’est très fréquent, ça peut être plein d’autres trucs.
Comment vous voulez faire un nous un avec deux entités !
Vous croyez que vous êtes avec un chéri, non, ce n’est pas un chéri, c’est un chéri plus son addiction, c’est vraiment important de voir ça parce que l’addiction, elle est vivante.
Elle est comme une entité, surtout le cannabis par exemple.
Je crois qu’on a dépassé le temps, tu as eu une réponse complète, je crois.
Geneviève : merci, je suis calme. C’était très intense.
L’être : c’est toujours intense dialogue avec l’être.
Si vous pouvez ne pas créer un “Moi” avec l’être, ou un “Je” ou une identité avec l’être parce que… C’est pour ça que ça s’appelle plutôt existence.
Le problème de l’être, c’est que comme il y a une projection, vous croyez que l’être est une entité, une identité, mais en fait non.
L’être égale existence et à un moment, il y a plus besoin d’identité du tout, mais vous avez l’impression que l’être est une identité, parce que vous croyez être une identité.
C’est une projection, tu me suis ?
Geneviève : je pense que l’humain, il s’accroche à certains repères.
Je me sens aujourd’hui bizarrement bien.
L’être : c’est parfait, c’est la vie qui vit à travers toi.
Geneviève : je ne veux rien, là, je veux juste prendre un petit café, nous, on est encore le matin.
L’être : gros bisous. Je t’aime, je t’aime, je t’aime.
Geneviève : merci Sébastien.
L’être : Sébastien, il est parti à la méditation de tout à l’heure.
Il était là au début de la méditation, vous voyez que ce n’est pas le même rythme.
Avec l’automassage, il part en 5 minutes.
À bientôt.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime.
Geneviève : merci. L’être : c’est toujours aussi fantastique, dialogue avec l’être.
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