M comme Mort

Qu’est ce que la mort ?

Cette question amène immédiatement vers une autre question : « la mort de quoi, de qui ? »

Si on fait référence à la mort de l’homme, la mort est surtout la mort de l’identification, la mort de l’illusion, la mort de l’individu.
En même temps, la mort est aussi la libération de l’illusion qui s’évanouit alors dans le grand tout. Au moment de la mort, l’individu se dissout, il ne reste plus alors que l’unité. Il ne reste plus alors que la source. L’univers non duel apparait, l’illusion de la dualité s’évanouit, laissant place à l’amour infini que nous sommes. Certaines expériences de mort imminente (NDE) ont très bien documenté ce processus qui apparaît aussi lors de certaines méditations.

"La mort est une transformation"

« La mort est une transformation »

La fusion avec l’amour infini, avec le divin est l’expérience ultime de nos vies incarnées. Il n’y a pas lieu d’avoir peur. Mourrons dans cette vie et dissolvons la personne, l’égo afin de pouvoir commencer à vivre. Mourrons psychologiquement avant la mort physique, devenons libre dès que possible. Pourquoi souffrir ? Pourquoi continuer à croire que nous sommes séparés des autres ?
Laissons la vie nous proposer son chemin. Disons oui à l’amour, à la vie.

Il n’y a pas de différence entre la vie et la mort : la mort n’est qu’une étape de la vie, n’est qu’une transformation permettant à la vie de progresser.
Sans la mort, il ne peut y avoir de vie, et sans la vie, il ne peut y avoir de mort.
Ce sont les deux faces d’une même unité, d’une même médaille. La mort de certains permet la vie d’autres, chacun son tour !

La mort fait partie intégrante de la vie. La mort est juste une transformation. Comme une chenille devient un papillon, nous nous transformons.
Nous passons d’un corps à un autre, plus beau, plus grand, plus fort. Ce que nous avons appris avec notre corps physique est conservé et nous sera utile plus tard.
Nous avons emprunté ce corps qui nous permet de mémoriser notre expérience, créant même une personne. Mais ce que nous sommes réellement, la conscience ne peut mourir.

La conscience est « ce qui est », « ce qui a été », « ce qui sera ». En réalité, comme il n’y a qu’un seul grand moment présent, de son point de vue, la conscience ne peut que être tout le temps, elle ne peut « mourir ». D’une certaine façon, il n’y a ni temps, ni espace puisqu’elle est tout cela à la fois.

La conscience vit à travers nous, à travers le vivant, et se transforme. Elle expérimente, et évolue sans cesse, cherchant une amélioration constante de ce qu’elle est, permettant l’évolution des espèces.
Cette intention de vivre, d’expérimenter, de se développer est un des attributs du divin, de la vie. Nous retrouvons cet attribut dans tout ce qui existe, des animaux, aux plantes, aux hommes, aux organisations humaines aussi.

En effet, les attributs des cellules que nous sommes se retrouvent dans les attributs des groupes d’hommes. Même les sociétés commerciales cherchent à s’améliorer. Certaines meurent et disparaissent aussi. C’est une autre forme de transformation ou chaque cellule libérée pourra rejoindre d’autres groupes.

D’une certaine façon, les sociétés sont aussi vivantes que les hommes et les femmes qui les composent.

Pouvons nous sentir les transformations actuelles de notre société ? Pouvons nous comprendre que certaines civilisations sont mortes alors que d’autres sont nées ?
La monarchie est morte et la démocratie est née. L’empire romain est mort. De nombreux pays ont disparus. En réalités, le monde comme l’homme est en transformation permanente.

La mort dans ce cas précis est une transformation d’un système par un autre, d’une organisation par une autre.
Comme pour un être humain qui est constitué de cellules, les organisations humaines le sont aussi. Comme pour un être humain, le système permettant l’organisation des cellules peut tomber malade ou mourir.
D’une certaine façon, les crises sont comme des maladies, elles sont l’incarnation d’une prise de conscience, d’un changement, d’une réorganisation du système. Bien sur le système, Comme le corps humain peut très bien mourir et ne pas s’en remettre.

On voit un peu partout dans le monde une compétition entre les systèmes, entre les groupes humains, entre les pays. Certains n’hésitent pas, comme lors des dernières guerres à littéralement tuer les cellules des systèmes concurrents : « utilises mon système ou je te tue ».
Incapable de comprendre que toutes les cellules font partie du même organisme, certains groupes, sociétés ou pays sont prêt à éliminer ceux qui ne sont pas comme eux.
Emprisonnés dans l’illusion de la personne, de l’égo, les différences ne sont pas comprises comme une diversité enrichissante mais comme une séparation. Du coup, l’illusion se transmet aussi aux pays : « je suis la France ». En réalité, il n’y a que sept milliards d’êtres humains.
La peur de l’autre, de la différence prend alors le dessus sur l’amour du cœur.
Toutes les violences viennent de cette racine : l’illusion que nous ne sommes pas « un ».

Imaginons une planète terre ou tous les pays, ou toutes les organisations comprendraient qu’elles sont en réalité un seul et même organisme.
Imaginons qu’un jour, chacun puisse comprendre que c’est la diversité qui crée la richesse.
Un monde uniformisé serait beaucoup moins beau et riche qu’un monde où chaque peuple puisse vivre et se développer en paix.
Car l’amour que nous sommes est le même dans tous les cœurs.

Pouvons nous comprendre que nous sommes une seule âme incarnée dans 7 milliards de corps ?
Pouvons nous comprendre qu’il n’y a pas de séparation ?
Pouvons nous, nous unir et créer un nouveau monde de paix et de bonheur ?
Pouvons nous voir les différences comme de la diversité et non comme une séparation?

L’homme a été tellement loin dans son éveil scientifique qu’il est désormais capable de détruire l’unique planète sur laquelle il est.
Par manque de conscience collective, il n’hésite pas à détruire la vie, un peu partout sur terre.
Allons nous vers la mort de notre civilisation ?
Quelles scénarios les gouvernements nous proposent-ils ?
Aurons nous le temps de créer un éveil planétaire massif pour éveiller la planète toute entière ? Ou périrons nous avant ?

Car c’est bien un éveil massif et planétaire dont nous avons besoin pour créer un nouveau monde, un monde où chacun aura compris que nous sommes un.
Nous sommes un seul et même organisme. Constitués de milliards de cellules, vivant dans les plantes, les animaux, les être humains, la planète, partout.
Pouvons nous comprendre que nous sommes,
Un ?

Aidons nous les uns les autres, éveillons nous et co-créons un univers de paix, de partage, de bonheur et de joie.

Oui, c’est possible.

Il suffit de s’unir,

Il suffit de partager,

Il suffit de transmettre,

Il suffit,

De s’aimer.

Kundun Mai 2013

A comme Âme

Ce qui nous uni, c est cette amour infini que nous avons dans le cœur

Ce qui nous uni, c’est cette amour infini que nous avons dans le cœur

Cet amour de la connaissance, que nous partageons est un amour divin. Ce qui nous uni, c’est cette amour infini que nous avons dans le cœur, c’est cet amour qui veut comprendre ce qu’il est, ce qu’il fait ici, et pourquoi il est là.

En réalité, nous n’existons pas, pas en temps qu’individu. En réalité, nous sommes une seule grande âme, celle de Dieu, qui s est incarné dans 7 milliards d’être humain.

Comment le démontrer ? C’est très simple, éveillez vous, et vous comprendrez. Si vous n’avez pas encore atteint ce degré de conscience, ce n’est pas grave, vous pouvez lire tous les grands maître qui depuis le début des temps, nous ont transmis ce message.

Jésus :

« je suis avec le père, et le père est avec moi »

Baba :

« la seule différence entre vous et moi, c est que je sais que je suis dieu »

Ramana Maharshi, Sri Autobindo, Osho, Joshua Livingstone, Bouddha, Mahomet.

Comment vous éveiller ? C’est très simple, méditez, faites du sport, du yoga, dirigez votre conscience vers l’intérieure.

D’un point de vue relatif, nous avons l’impression d’être une âme individuelle, mais d’un point de vue réel, du point de vue de Dieu, nous sommes tous lui.
La preuve, nous avons tous et toutes les mêmes aspiration : être heureux, être aimer et aimer. Survivre aussi, et nous développer, grandir.
Ce qui uni l’humanité, c’est l’amour.
Ce qui sépare les hommes, c’est uniquement l’illusion de l’ego qui n’est finalement qu’une somme de conditionnement.

Texte de Kundun, Mars 2013

D comme Doute

Qu’est ce que le doute ?

Qu'est ce que la prière ? Qu'est ce que le doute ?

Qu’est ce que la prière ? Qu’est ce que le doute ?

Pour bien comprendre cette question, il faut déterminer ce qui peut douter en l’homme. Car seul l’Ego, le mental peut douter.
L’âme ne doute pas, elle est amour, joie, vérité ; rien ne peut douter en elle. Elle sait ce qu’elle est, elle sait ce qu’elle ressent.
Le corps aussi ne sait pas douter. Le corps EST, tout simplement.
Alors qu’est ce que le doute ? Le doute, est le résultat du mental qui n’a pas réussi à donner une réponse à une question.
Le doute, c’est quand le mental dit : Je ne sais pas. Le doute, c’est l’inconnue. La potentialité existe mais il y a le choix entre deux possibilités : vrai ou faux, oui ou non.
Voila ce qu’est le doute.
Lorsque la conscience s’élève et dépasse la dualité, il n’y a plus de doute, car l’on sait que les deux potentialités sont possibles. Il n’y a alors plus de doute.
On sait qu’on est libre de choisir l’une ou l’autre des possibilités.

Il y a d’un coté l’âme qui a la foi, et de l’autre coté le mental qui doute. Le corps, lui, ressent la vérité et s’exprime. Écoutez le, et vous aurez votre réponse, votre vérité.

Citation à retenir :

‘Ceux qui doute devraient commencer par douter du doute, alors ils découvriraient la foi, alors ils n’auraient plus de doute’.

L’âme, qui est la partie divine de l’homme ne peut douter, car Dieu ne peut douter de lui-même. C’est justement ce qui fait la différence entre l’homme sans foi et l’homme divin, c’est aussi ce qui fait la différence entre l’homme éveillée et l’homme ‘endormi’.
L’homme réalisé sait qu’il est Dieu, il ne peut donc plus douter de lui-même. S’il doutait de lui-même, il redeviendrait un homme non réalisé.

Citation à retenir :

‘Si tu n’as pas foi en toi, pourquoi veux tu que les autres aient foi en toi ?’

Finalement, il y a d’un coté le doute, et de l’autre coté la foi.

La foi amène à l’amour, à l’union, à la joie ; le doute amène à la peur, à la séparation.

Si vous doutez, commencez par douter du doute !

Kundun, Paris, 28 Avril 2012

P comme Prière

Qu'est ce que la prière ? Qu'est ce que le doute ?

Qu’est ce que la prière ? Qu’est ce que le doute ?

Qu’est ce qu’une prière ?

Une prière est une création, une visualisation.
Une prière est un message envoyé à l’univers pour affirmer notre volonté.
Elle est créatrice. Avec la foi, qui est son carburant, la prière incarne la volonté dans la matière.

Qu’est ce que le doute ?

Pour bien comprendre cette question, il faut déterminer ce qui peut douter en l’homme. Car seul l’Ego, le mental peut douter.
L’âme ne doute pas, elle est amour, joie, vérité ; rien ne peut douter en elle. Elle sait ce qu’elle est, elle sait ce qu’elle ressent.
Le corps aussi ne sait pas douter. Le corps EST, tout simplement.
Alors qu’est ce que le doute ? Le doute, est le résultat du mental qui n’a pas réussi à donner une réponse à une question.
Le doute, c’est quand le mental dit : Je ne sais pas. Le doute, c’est l’inconnue. La potentialité existe mais il y a le choix entre deux possibilités : vrai ou faux, oui ou non.
Voila ce qu’est le doute.
Lorsque la conscience s’élève et dépasse la dualité, il n’y a plus de doute, car l’on sait que les deux potentialités sont possibles. Il n’y a alors plus de doute.
On sait qu’on est libre de choisir l’une ou l’autre des possibilités.

Il y a d’un coté l’âme qui a la foi, et de l’autre coté le mental qui doute. Le corps, lui, ressent la vérité et s’exprime. Écoutez le, et vous aurez votre réponse, votre vérité.

Citation à retenir :

‘Ceux qui doute devraient commencer par douter du doute, alors ils découvriraient la foi, alors ils n’auraient plus de doute’.

L’âme, qui est la partie divine de l’homme ne peut douter, car Dieu ne peut douter de lui-même. C’est justement ce qui fait la différence entre l’homme sans foi et l’homme divin, c’est aussi ce qui fait la différence entre l’homme éveillée et l’homme ‘endormi’.
L’homme réalisé sait qu’il est Dieu, il ne peut donc plus douter de lui-même. S’il doutait de lui-même, il redeviendrait un homme non réalisé.

Citation à retenir :

‘Si tu n’as pas foi en toi, pourquoi veux tu que les autres aient foi en toi ?’

Finalement, il y a d’un coté le doute, et de l’autre coté la foi.

La foi amène à l’amour, à l’union, à la joie ; le doute amène à la peur, à la séparation.

Si vous doutez, commencez par douter du doute !

Kundun, Paris, 28 Avril 2012