R comme Rien

Je ne suis,

Rien.

Je n’attends,

Rien.

Je ne veux,

Rien.

Quelque chose,

Vit,

A travers ce corps,

Quelque chose,

Ris,

A travers cette bouche.

Quelque chose,

Pleure,

A travers ces yeux.

Mais je ne suis,

Rien.

Que sa volonté soit faite,

Et non celle de l’égo,

Que sa volonté soit faite,

Et non celle du personnage.

C’est marrant,

Mais quand je disparais,

Quand je ne suis plus rien,

Quand il n’y a plus rien,

Ne reste plus que le tout,

Sous-jacent de l’univers,

Espace, lorsqu’il ne reste plus rien.

Là, il se dévoile,

Là, il apparait.

Quand je ne suis plus, quand le petit “je” disparais,

Alors je comprends et je réalise,

Ce que je suis.

Je suis le père,

Je suis la mère,

Et le père est moi

Et la mère est moi,

Et nous sommes tous

Un.

Kunzang, Septembre 2013

V comme Vivant

Nous sommes vivants !

Nous sommes vivant

Pouvons-nous réaliser à quel point ceci est miraculeux ?

Nous pouvons respirer, toucher, regarder, sentir, bouger.

Nous pouvons vivre, interagir avec le monde, avec l’univers.

Dieu incarné dans un corps d’homme, de femme, voilà ce que nous sommes.

C’est incroyable, fantastique, miraculeux, sacré…

Comment avons-nous pu oublier cela ?

Nous sommes vivants ! Vivant vous dis-je !

Ce cadeau est divin : “Je t’ai donné la vie, que m’as-tu apporté ?”

Nous avons tout oublié : notre nature divine, le sacrée, le cadeau de la vie.

Une grande partie de nos compatriotes fonctionne comme des robots, mais où est la magie ?

Que reste-t-il du sacré, de la vie ?

Que reste-t-il de l’amour ?

Que reste-t-il de la vie ?

La vie, ce n’est pas avoir une vie triste et ennuyeuse, emprisonné par l’ego ! Non, ce n’est pas ça la vie.

La vie, c’est le fun, la joie, l’amour, l’humour.

La vie est belle. Pouvons-nous nous rappeler de ce qu’est la vie ?

Quel choc faut-il pour se rappeler ? Une expérience de mort imminente ? Une méditation profonde ? Un poème ? Un film ? Un livre ? Un samadhi ?

Je vous le dis, nous sommes la vie.

Rappelons-nous, rappelons-nous.

Rappelons-nous de ce que nous sommes, afin de vivre.

Sortons de nos prisons:

“Je suis un hacker qui s’est hacké lui-même.” Kunzang 2011

Hacker, comprendre l’invisible, vivre, sentir le mystérieux, le divin, le sacré, voilà ce qu’est la vie.

Et si les jeunes le comprennent intuitivement, suivons les ! Qu’ils nous accompagnent, qu’ils nous montrent la voie.

Rappelons-nous que ce sont eux nos maitres, qu’ils peuvent nous éveiller.

Écoutons les, ils ne sont pas encore programmés.

Nous sommes vivants, cette simple réalité peut-elle suffire à nous rendre heureux ?

Elle le devrait non ?

Si cette simple réalité ne suffit pas à nous rendre joyeux, heureux, posons-nous la question : pourquoi ?

attitude

Oui, pourquoi cela ne nous suffit-il pas ? Et surtout : qu’est ce qui en nous empêche d’être heureux par ce simple fait ?

Car en réalité, le simple fait d’être vivant, de respirer, d’être présent avec la vie, tout autour de nous, est plus que suffisant. Ce cadeau divin, si nous pouvons le réaliser et sacré. Il est l’essence même de la vie.

L’ego, le personnage que nous ne sommes pas, trouve toujours tout un tas de raisons pour ne pas être heureux, alors qu’en réalité, le Dieu que nous sommes a déjà tout en lui.

Le merveilleux, le sensible, c’est justement cette incarnation, cette capacité à être : des milliards de cellules se reproduisent, à chaque instant. Rien que 100 milliards dans notre cerveau. Des organes, des fonctions, une machinerie formidable a été mise à notre disposition.

Cette machine sacrée qu’est notre corps est l’un des plus beau cadeau que nous nous sommes donné. Pouvons-nous le percevoir ? Le cadeau de l’incarnation pour jouir du monde de la matière.

Non seulement nous sommes Dieu, mais aussi, nous sommes un dieu puissant, amoureux, parfait, juste, bon et extraordinairement généreux. Bien sur, ce Dieu incarné est souvent recouvert d’un égo, d’un personnage plus ou moins dense.

Comment certains peuvent il ne pas respecter leur corps ? Et notre corps à tous, la planète terre ?

Sacrilège, sacrilège, ne les laissons pas faire, même s’ils ne savent pas ce qu’ils font, même si nous leur pardonnons, ne les laissons pas nous détruire.

Partout dans le monde, des organisations se développent pour défendre les plantes, les animaux, les hommes.

La vie est sacrée, miraculeuse, précieuse. Elle est l’expression de notre profondeur d’âme, elle est l’expression du divin.

Sachons la comprendre.

Nous sommes le miracle de la vie, et nous sommes, nous, les dieux incarnés en homme, l’espèce qui a le plus de responsabilités.

Nous agissons sur la nature, nous réorganisons la vie. Sachons en être digne.

Rappelons nous ce que nous sommes, rappelons-nous que nous sommes un.

La séparation est totalement illusoire. Nous sommes les plantes, les animaux, les minéraux, les hommes, nous sommes tout. Plus que reliés, nous sommes chacun une cellule d’un seul et même organisme : la planète terre.

Nous sommes à la fois la conscience cosmique, mais aussi des cellules de la planète terre. Nous sommes vivants, nous agissons, nous nous reproduisons et nous vivons.

Certaines cellules détruisent la nature, d’autres la soignent. Que choisissons-nous ? Sommes nous des cellules de guérison ou des cellules cancéreuse ?

Quel monde voulons-nous laisser à nos enfants, qui en réalité ne sont que nos réincarnations futures ?

L’univers est extraordinairement juste, nous nous réincarnerons dans le monde que nous aurons laissé.

Nous sommes co-responsables de toutes nos actions et inactions.

Nous sommes infiniment responsables de tout ce qui se passe.

Plus notre niveau de conscience est haut, plus nous avons des capacités à changer les choses, plus nous sommes responsables, et plus nous devons agir, chacun à notre niveau, autour de nous.

Un sourire, une blague, une lumière dans les yeux, à chaque moment, nous pouvons tous agir.

Pas besoin d’être président du monde pour agir ! Il suffit de grandir en conscience.

Il y a la notion de masse critique. Plus il y aura d’êtres qui voudront s’éveiller, grandir en conscience, plus la terre sera belle. Plus le vivant pourra vivre, s’épanouir.

A ceux qui sont tombés sur ce texte par hasard (lol), sachez que vous avez une mission.

Prenez conscience, par ce texte, que votre présence, que votre action compte.

Non, vous n’êtes pas seul. Nous sommes des milliards à ressentir cette nécessité de vie.

Même si parfois la vie semble difficile, gardons courage, gardons la foi. Nous apprenons de chacun de nos choix. La somme cumulée de tous nos choix s’appelle le monde dans lequel nous sommes maintenant.

Chacun d’entre nous a réellement la possibilité d’agir dans le réel. Il suffit d’avoir l’attitude juste, l’attitude d’amour, de partage, de joie. Il suffit de laisser parler le cœur, de dissoudre l’ego, de dissoudre le personnage.

Nous n’avons plus besoin du personnage, nous avons besoin de laisser le divin s’exprimer à travers nos corps.

Ensemble, nous sommes la vie.

Sachons en être digne.

Je vous aime.

Kunzang Septembre 2013

Les Fous

Finalement,

Il n’y a que des fous,

Partout.

Il y a les fous qui s’identifient à leur personnage,

Il faut être fou pour croire cela !

Puis il y a les fou, qui croient être Dieu, la conscience infinie.

Il faut être fou pour croire cela !

Il y a les fous, programmés comme des robots qui meurent fous, sans jamais réaliser,

Qu’ils sont fous.

Puis il y a les fou éveillés qui savent qu’ils sont Dieu.

C’est totalement fou de réaliser cela.

Donc finalement,

Il n’y a que des fous !

Les fous éveillés et les fous endormis,

C’est fou non ?

Ba,

Moi je m’en fous,

Car j’ai choisi ma folie,

Car je sais,

Que Je suis fou,

De vous,

Kunzang sept 2013

N comme Négativité

La négativité est une maladie contagieuse.

Négativité

Négativité

Ce que nous sommes, notre être, s’exprime à travers nos attitudes, à travers nos actions. Ce que nous sommes, à travers le filtre de la fausse personne, ne peut faire autrement que de s’exprimer.

Sans nous en apercevoir, c’est tout notre univers intérieur que nous exprimons, par nos paroles, par nos regards, par nos attitudes, par nos gestes, par nos intentions, par nos actes.

Si dans notre univers intérieur, nous avons un conflit, une séparation, un problème, il va s’exprimer. Il va se projeter sur les autres et nous reviendra, parfois de façon douloureuse. En effet, nous sommes tous les miroirs les uns des autres. Dans le grand théâtre qu’est la vie, les autres personnages jouent leurs rôle.

Et c’est justement lorsque par le processus de l’éveil, nous dissolvons notre propre personnage, que tous les autres personnages, d’un seul coup, se révèlent. (Cf poème 7 milliards de robots)

Souvent, certaines personnes se plaignent, critiquent les autres, sont négatives et remplis de jugements.

Il s’agit d’une maladie mentale : la croyance erronée que nous sommes séparés des autres.

La négativité que certains envoient est en réalité l’expression de leur propre souffrance. Comme une résonance, un traumatisme interne, la souffrance a besoin de s’exprimer.

Si nous pouvons comprendre que tout est littéralement nous, et que le sous-jacent de toute chose est l’amour, que tout est une expérience de la conscience, on comprend alors qu’il n’y a pas de séparation.

Et quand nous comprenons qu’il n’y a pas de séparation entre les autres et nous, il ne peut plus y avoir de négativité. Il ne reste plus que de la compréhension, plus que de la compassion.

Et c’est cette illusion de séparation, par exemple envers des personnes que nous “n’aimons pas”, qui va générer la réception de pensées négatives. Comme s’ils lisaient un disque rayé, certains passent leur vie à répéter l’expression de leurs souffrances et se plaignant de ceci, de cela, des autres.

La négativité est une maladie mentale car elle est un dysfonctionnement de l‘être : elle est la conséquence de l’illusion de la séparation.

Souvent nous voyons des personnes tourner en boucle, répétant sans cesse les mêmes histoires négatives, les mêmes schémas de souffrance. Elles se sont identifiées à leur personnage. Leur personnage souffre et s’exprime. Cette stratégie de l’égo leur permet à la fois d’exister et d’attirer l’attention. En propageant des peurs, en exprimant une énergie de négation, ils attirent l’attention.

C’est une maladie contagieuse car les “personnes négatives” se rencontrent, se réunissent et partagent leur négativité, leurs souffrances, leurs peurs. Bien évidemment, elles s’alimentent les unes les autres, faisant grandir de plus en plus la négativité, la négation d’une partie d’elle-même.

Et c’est cette énergie de séparation, de négation, qui, depuis des milliers d’années amènent vers la destruction physique de l’autre, par des tueries, par des guerres.

Car ne nous y trompons pas, c’est l’idée qui génère les effets.

A partir du moment où l’autre n’est plus moi, que je ne le comprends pas et qu’il me fait peur, je n’ai plus qu’à l’éliminer. Que s’est-il passé lors des deux dernières grandes guerres. Que se passe-t-il encore tous les jours, un peu partout dans le monde ?

L’idée négative que l’autre n’est pas moi, qu’il est différent de moi, qu’il n’agit pas “bien” est la graine qui génère la violence et la destruction. L’idée contraire est que l’autre est moi. Cette idée mène vers la non violence et l’amour.

Les idées sont la cause d’effets inimaginable.

Ces personnes malades de négativité ne se rendent absolument pas compte des effets qu’elles produisent sur la psyché des enfants, des jeunes et des autres personnes.

En propageant le virus de la négativité, de la peur, de la séparation, ils créent sans le savoir des adolescents qui se transformeront en tueur en série, ils propagent sans le comprendre des idées de haines, de séparation et de violence.

La violence n’arrive pas par hasard dans notre société, elle est l’expression de souffrances intérieures, d’un manque d’amour, d’un manque d’union, d’un manque de sacré, d’un manque de connexion avec notre essence intérieur : le divin.

Pour cette raison il est urgent que le monde s’éveille à l’amour et à la réalisation de ce que nous sommes réellement. C’est la compréhension ancestrale, comprise par tous les êtres accomplis de cette planète, que les autres “sont” littéralement “nous” qui nous guérira de cette maladie.

Quand Jésus dit “aimes ton prochain comme un autre toi-même”, c’est parce qu’il n’y a pas d’autres, c’est parce qu’en en réalité il n’y a que des “nous”, partout. Que la main gauche cesse d’attaquer la main droite ! Nous sommes un seul et même corps.

De façon subtile et inconsciente, la négativité est un poison qui sépare les hommes les uns des autres.

Ensemble, propageons le virus contraire, propageons le médicament : le virus de l’amour, du positif, de la paix, de la joie et du bonheur.

Car la positivité aussi se propage. La bonne humeur, l’amour se diffuse. Elle aussi est contagieuse.

 La bonne humeur, l'amour se diffuse

La bonne humeur, l’amour se diffuse

Pourquoi d’après vous les personnes éveillées sont-elles quasiment toujours joyeuses, dans l’amour et dans la paix ?
Tout simplement parce qu’elles savent que rien ne peut leur arriver, que tout fait parti d’elle.
Tout simplement parce qu’elles savent qu’elles “sont” l’amour.

Alors nous entrons dans un univers d’acceptation de ce qui “est”, alors nous laissons la vie agir à travers nous. Alors nous lâchons prise et ne résistons plus aux évènements, aux imprévus.

Bien sûr, cela n’empêche en rien l’action juste, cela ne nous empêche pas d’agir, bien au contraire.

Nous entrons alors dans l’acceptation de ce qui est, dans ce moment présent infini dans lequel tout se joue. Dans ce moment présent, après acceptation de ce qui est, nous pouvons, sans perturbation émotionnelle faire ce que nous avons à faire. Nous pouvons modifier notre environnement, prendre des décisions en toute conscience.

Cette acceptation amène du positif.

Car en réalité, c’est bien la non-acceptation, de ce qui est, qui amène la maladie de la négativité.

Plutôt que de radoter des traumatismes amenant des idées négatives, nous sommes alors invités à prendre nos responsabilités et à agir si besoin.

Car en réalité, si quelque chose ne convient pas dans l’univers dans lequel nous sommes, pourquoi ne pas le changer ?

Nous sommes tous libres !

I love you,

Kundun, mai 2013

Le véritable amour

Le véritable amour, l’amour divin est la reconnaissance que l’autre est soi.
Il y a un cap énorme entre le comprendre et le réaliser.

Le véritable amour

Le réaliser signifie expérimenter qu’il n’y a pas d'”autres” du tout, qu’il n’y a que des “nous-mêmes” sous d’autres formes.
Une seule conscience incarnée dans plusieurs corps. Seule la mémoire donne l‘illusion de la séparation. Toute notre histoire, depuis notre naissance, a créée une fausse personne qui n’existe que virtuellement et qui croit être séparée des autres.
L’amour véritable est la reconnaissance que l’autre est soi. Alors, plus aucune séparation ne subsiste, alors nous sommes en mesure d’aimer véritablement.

Pouvons-nous nous rappeler ce sentiment, lorsque nous sommes très amoureux, que nous faisons un avec l’autre ?
C’est ce sentiment d'”âme sœur” qui permet de ressentir que nous sommes littéralement la même âme.
Ce moment qui est souvent le plus magique de notre vie est la seule réalité. Tout le reste n’est qu’illusion. La seule réalité, c’est l’amour. Car la seule réalité est qu’il n’y a que nous, partout, maintenant.
Lorsque l’on comprend qu’il n’y a qu’un seul maintenant, ni futur, ni passé, nous pouvons commencer à vivre, et aussi, nous pouvons comprendre que le maintenant est infini.
Le maintenant sera toujours là. Comme l’espace, on ne peut le détruire. C’est dans cet espace et dans ce maintenant que les mouvements ont lieux.
Le maintenant, ce moment infini ne peut s’arrêter.

De la même façon que nous pouvons changer les images du film sur l’écran, l’écran ne bouge pas. Il en est de même pour l’espace. Le paysage change mais l’espace est permanent et inamovible par définition.

Pouvons nous comprendre qu’il n’y a qu’un présent, que nous ne pouvons rien y changer ?
Pouvons nous réaliser qu’il y aura toujours ce moment présent dans lequel tout se transforme, dans lequel la vie à travers nous se vit ?
Pouvons nous comprendre qu’il n’existe qu’un seul maintenant, que nous ne pouvons aimer que maintenant ?

I love you,

Kundun août 2013

J comme “Je sais”

Le pouvoir du mantra “je sais” est infini. Pouvons-nous comprendre qu’au fond de nous, dans notre cœur, ce que nous sommes réellement “sait” ?

Le divin que nous sommes, lorsqu’il se connecte à sa partie la plus intime, la plus sacrée “sait”.

Le pouvoir du mantra "je sais" est infini.

Le pouvoir du mantra “je sais” est infini.

Oui, au fond de nous nous savons. Nous savons que ce texte est vrai, que cette émotion est vraie, que je suis l’amour, que je suis la vie, que je suis la conscience infinie qui à travers ce corps, se vit.

Au fond de nous, nous savons la vérité de ce que nous sommes, nous savons que la seule réalité est l’amour et l’expérience que nous pouvons en faire.

Regardons notre entourage, centrons nous sur le cœur. Au fond de nous, nous savons qu’ils sont d’autres nous même, dans d’autres vies.

Il y a tout un tas de choses que nous savons, à l’intérieur. Au fond de nous, nous savons que c’est le divin, l’amour qui nous pousse à agir. Même si parfois, l’ego, le personnage détourne une partie de l’énergie, nous savons ce que nous sommes.

Nous savons qu’une force infinie, l’amour nous guide, nous transporte, nous aide, nous accompagne, partout.

Et quand ce sentiment ” je sais” s’exprime depuis le cœur, depuis la profondeur de notre âme, alors nous réalisons que tout est possible.

C’est au cœur, à l’âme, à l’amour que je parle, pas au mental ni au faux personnage que certains croient être, ni à l’ego.

C’est dans cette énergie de ‘je sais’, centrée sur l’amour et le cœur, que nous pouvons réaliser nos rêves.

Car le divin que nous sommes vibre à la fréquence du “je sais”, si dans cette énergie d’amour nous réalisons que notre rêve est déjà réalité quelque part, ce sont alors des pensées de réussite, de réalisation et d’intégration qui se figent autour de nous.

Dans cet état vibratoire de “je sais” amoureux, nous intégrons en nous l’état de conscience qui va permettre la réalisation dans le monde physique.

Si nous dirigeons notre conscience sur un projet qui nous tient à cœur, et si nous lui superposons l’énergie du “je sais” que ce projet est déjà réalisé. Si je peux ressentir avec tous mes sens la réalisation, l’émotion de réalisation de ce projet, alors le “je sais” devient plus qu’une intime conviction, alors tous nos corps s’alignent et intègrent le fait que “je sais” que ce projet est réalisé.

Quand le Dieu que nous sommes sait, tout s’aligne sur l’énergie du “je sais”, l’univers n’a pas d’autres choix que de réaliser sa volonté divine.

Car oui, nous sommes tous des Dieux, nous sommes tous l’âme universelle qui à travers nous se vit.

Pouvons-nous réaliser que nous sommes les seuls capable de nous limiter ?

Aucun autre que nous même n’a ce droit.

Allons au fond de nous, et ressentons cette vérité.

Oui, vous qui me lisez, ce que vous êtes réellement est de nature divine, vous n’êtes pas le robot ou le personnage que la société vous a construit. Ce que vous êtes, la conscience infinie, l’amour infini, l’espace, la présence est la force créatrice de l’univers, vous êtes, la vie.

Se connecter à l’énergie “je sais” sans doute, ni peur, permet d’aller au plus profond de nous. Nous nous connectons directement à notre âme, en court-circuitant le mental qui n’a pas le temps pour analyser, expliquer, comprendre. Nous savons, c’est tout.

Ainsi nous nous alignons avec les profondeurs de notre âme qui sait. Car c’est tout notre être qui sait. Savoir en éteignant l’ordinateur du mental, en dissolvant l’ego, le faux personnage permet d’accéder au supra mental, le cerveau du divin en quelque sorte.

Il faut pour cela dissoudre son ego le plus possible, de façon à éliminer tous les conditionnements, croyances, programmations. En étant très ouvert et en prenant en compte toutes les pensées et toutes les idées, nous commençons à choisir nos pensées, à sortir des schémas sociétaux, à devenir, libre.

L’âme qui s’exprime dans le cerveau droit et le cœur “sait” intuitivement tandis que le mental essaye de formuler et d’expliquer pourquoi nous “sait”. En réunissant et en équilibrant nos deux hémisphères, nous pouvons alors accomplir “sa” volonté en conscience qui devient alors littéralement la nôtre.

D’où la fameuse phrase : Que ta volonté soit faite et non la mienne (celle de l’ego). Mais quand nous devenons un avec le père et qu’il est un avec nous, il n’y a plus alors qu’une seule volonté commune.

“Je suis avec le père et le père est avec moi.”

Au-delà de l’intime conviction, il y a la réalité de ce que nous sommes. C’est cet aspect divin qui est en nous que nous pouvons connecter. Comme nous sommes littéralement Dieu, (Lire R comme Rêve) forcément nous “savons”. Cette sensation, émotion du savoir, en étant centré sur le cœur fournit une énergie puissante et infinie, elle révèle notre nature divine.

Au fond de nous, toutes les réserves et connaissances de l’univers nous sont accessibles si nous acceptons, comprenons et assumons ce que nous sommes réellement : Dieu incarné dans un corps humain pour expérimenter la matière.

Expérimenter la matière

Expérimenter la matière

Attention, l’énergie “je sais” ne doit pas nous faire tomber dans le piège “je détiens la vérité” car il y a 7 milliards de vérités. Le “je sais” est un je sais qui fait référence au cœur, à ce que je suis, à ce que je sais profondément. Ce n’est pas un je sais et les autres ne savent pas, au contraire, c’est un je sais intime permettant de savoir ce que nous sommes, et en même temps, je sais que tous les autres moi savent aussi finalement.

Car je sais qu’il n’y a pas d’autres, que ce que j’appelle les autres sont juste d’autres moi-même dans une autre expérience.

Et même si les “je sais” peuvent parfois s’interpréter différemment, je sais que chacun a le droit d’avoir sa vérité, son interprétation de ce qu’il est.

Le Dieu que nous sommes à la liberté de s’interpréter 7 milliards de fois différemment, de vivre et être ce qu’il veut. C’est ça être humain, c’est incarner dans la matière le divin qui à travers nous se vit. Et si le Dieu que je suis devient ivre de matière au point d’oublier qui il est, et bien c’est très bien ainsi !

Nous naissons humain, mais nous mourrons divin. Et si nous savons mourir avant la mort physique de notre corps, alors nous comprenons le divin que nous avons toujours été, que dès la naissance, nous sommes l’expression divine, au-delà  des conditionnements, des souffrances et des traumatismes que nous avons pu expérimenter.

Je sais ce que je suis, je suis la puissance d’amour infini qui à travers nous, se vit.

Connectons nous sur le cœur et ressentons cette énergie “je sais”,  écoutons ce qui nous arrive. Quelles sont nos intuitions, nos émotions ?

Faisons une pause, notons tout ce qui nous arrive.

pause

Que savons-nous ?
Sentons la puissance du “je sais” monter en nous :

Je sais que je suis, l’amour,
Je sais que je suis indestructible, immortel,
Je sais que je suis tous mes frères, et toutes mes sœurs,
Je sais que nous sommes un,
Je sais qu’il n’y a que nous,
Je sais que ma pensée est créatrice car je suis Dieu.
Je sais que je sais,
Je sais que l’amour est la vérité, que la matière n’est qu’une projection de mes pensées,
Je sais que tout est moi, je sais qu’il n’y a que moi, que nous, partout.
Je sais que tout ce que je crée est une expression de ce que je suis, l’amour infini.
Je sais que je suis toi, et que tu es moi.
Je sais que je t’aime, que tu es la vie, que tu es, l’infini.
Je sais que tout le monde ne le sait pas encore,
Je sais aussi qu’avec ce message, beaucoup vont comprendre ce qu’ils sont.
Je sais que l’amour est la clé pour se dissoudre, et pour faire un avec le père.
Je sais que l’amour, la plus grande force de l’univers à travers nous se vit.
Je sais que si je choisi l’amour, l’union, je vais construire.
Je sais que si je choisi la séparation, la peur ou la haine, je vais détruire.
Je sais que c’est moi qui choisis.
Je sais que je ne suis pas mes pensées, que je ne suis pas le personnage, l’ego.
Je sais que je suis l’âme d’amour infini, qui dans ce corps se vit.
Je sais que je suis l’amour, la vie.
Je sais que je suis libre d’être, ce que je veux.
Je sais que de bonheur je pleurs, quand dans tes bras je meurs.
Je sais que je suis le créateur de ma vie,
Je sais que je suis libre, d’être ou de ne pas être, de faire, ou de ne pas faire.
Je sais ce qui est bien pour moi,
Je sais que personne ne doit me dire ce que je dois faire, ce que je dois être,
Je sais que je peux penser par moi-même,
Je sais que je peux sortir des conditionnements,
Je sais que je suis Dieu incarné dans ce corps pour mon expérience de vie,
Je sais que ma vie peut devenir divine et belle, en fonction des pensées que je choisis.
Je sais que je suis maître de ma vie, que je peux choisir ce qui est bien pour moi.
Je sais que je t’aime, que tu es un autre moi même, derrière ces lignes,
Et maintenant que toi aussi tu sais que nous sommes un,
Vivons en paix et en harmonie, dans la joie et dans l’amour.
Co-créons ensemble et partageons ce que nous sommes,
Ce que nous,
Savons,
Partageons,
L’amour
Partageons
La lumière.

Je t’aime et je te bénis,

Reçois mon amour,

Infini,

Kundun juillet 2013

S comme Souffrance psychologique

Les souffrances liées aux mental :

D’une certaine façon, c’est l’illusion du temps qui crée les souffrances psychologiques.

En effet, sans l’illusion du temps, l’identification à la personne ne peut exister. Sans le processus mental d’identification, il n’y a plus “personne” pour s’inquiéter du futur ou du passé. Fondu dans ce moment présent, sans passé, ni futur, le mental ne peut exister. Le mental est un processus qui se nourrit du temps, il génère des scénarios qui se projettent dans le temps.

"Entrons ensemble dans ce moment"

“Entrons ensemble dans ce moment”

Méditons,

Entrons ensemble dans ce moment.

Faisons un pause.

Ressentons ce moment de paix, d’amour, de joie. Entrons dans la présence.

Nous sommes la vie, nous sommes le bonheur de vivre. Tout est parfait, ici et maintenant, pouvons nous le comprendre ? Pouvons nous l’accepter ? Sentez vous le temps ralentir en même temps que vous commencez à lire lentement ?
Comprenons que le temps n’existe pas, que seul la présence, dans ce vaste moment “est” et vit, à travers nous.
Sortons de l’illusion de la séparation, sortons du temps, et entrons dans la présence de cet infini moment.

Faisons un pause.

Sans le temps, la personne ne peut plus exister, il n’y alors plus “personne” pour créer des séparations, pour souffrir, il n’y à plus que ce moment présent qui ne sait que “être”.

Le pouvoir de l’instant présent, c’est justement quand nous comprenons que nous “sommes” le moment, que nous ne somme ni le mental ni la personne, toujours à la recherche de quelque chose.
Tandis que ce que nous sommes réellement ne peut se situer qu’ici et maintenant dans la présence, la fausse personne, les processus mentaux ne peuvent exister que dans le passé ou le futur.

La libération, c’est réaliser qu’il n’y a ni temps, ni personne. Car c’est l’identification à la personne qui souffre. “Je sépare et je souffre donc j’existe” est le credo de la “personne”.
C’est la pensée sous-jacente au “je pense donc je suis”.

Il y a plusieurs solution pour arrêter les souffrances : soit on déprogramme progressivement les conditionnements et les traumatismes de la personne, soit on élimine carrément la personne.
Car c’est l’identification à la personne qui fait souffrir : je suis l’homme ou la femme qui n’a pas de conjoint parfait, je suis l’homme ou la femme qui n’a pas un travail qui me plait vraiment, je suis l’homme ou la femme qui n’est pas satisfait de sa vie de personne.
La souffrance mentale est bien réelle, c’est la personne qui ne l’est pas.
Pourquoi continuer à souffrir a cause d’une personne qui n’existe pas ?
Pouvons nous stopper l’identification au personnage qui s’est crée ?

Entrons dans la présence, savourons ce moment, devenons ce moment, plongeons dans l’amour infini et cessons de souffrir.

Kundun, Mai 2013

C comme Co-création

Qu’est ce que la co-création ?

Lorsque deux ou plusieurs êtres commencent à vibrer à une certaine fréquence, lorsqu’ils sont en phase, en harmonie, une énergie positive de co-création s’active. Alors des idées apparaissent, des d’intuitions pleuvent, une énergie créatrice se propage.
Le plaisir et l’amour, la passion et l’envie de co-créer ensemble un projet commun grandit.
L’amour est l’énergie, le carburant de toute création. Que ce soit pour un projet artistique, professionnel, scientifique, humanitaire, le moteur est toujours l’amour.
Car l’amour est l’énergie divine, l’expression de la vie elle même.

Le monde : co-création

Le monde : co-création

Pouvons nous ressentir la passion, l’énergie de création ?

Quand nous nous regroupons pour créer, il y a comme une énergie de groupe qui se propage et qui se met en place : c’est comme si le groupe était devenu un seul et même être autonome et indépendant.
De la même façon que notre corps humain contient des cellules, le travail en groupe de deux ou plusieurs personnes crée un nouvel organisme vivant : le projet, l’égrégore.
Que ce soit en couple ou à plusieurs, nous nous mettons alors à vibrer ensemble.
Tel les musiciens d’un orchestre, nous nous synchronisons pour exprimer une idée, une musique, un projet, une œuvre, une mission.
Et lorsque nous, humain comprenons, que travailler ensemble est l’expression de l’amour qui est en nous, alors nous devenons capable des plus belles réalisations.
Car ensemble, c’est la partie divine qui est en nous, le cœur qui s’exprime.
Nous ne sommes que les cellules d’un immense organisme de 7 milliards d‘âmes.
A la fois il n’y a qu’une seule âme universelle qui s’exprime, et a la fois il y a 7 milliards de lumières qui ensemble éclairent le monde.
C’est comme si le soleil s’exprimait à travers 7 milliards de rayons de lumières. A la fois nous sommes tous un, et à la fois, chaque rayon a une fonction.
Et c’est l’émergence de regroupements, de cette fusion collective et lumineuse qui a permis à l’humanité de découvrir toutes les lois de l’univers, toutes les inventions.
Ensemble, nous créons littéralement le monde.
Chaque artiste, chaque découvreur n’est que l’aboutissement et la continuité de ses maîtres. Nous sommes chacun la suite de notre lignée familiale, de notre lignée spirituelle ou scientifique. Tel un arbre, l’humanité, la conscience infinie à travers nous se découvre et se construit.
Et c’est ensemble que nous construisons la société humaine, pas à pas.

Pouvons nous comprendre que nous sommes sacrée ?

Nous sommes tous l’expression du divin. Chacun d’entre nous est une cellule de ce que certain appel Dieu. A la fois nous sommes tous profondément égaux, et à la fois, nous avons chacun une fonction. De la même façon qu’il y a des cellules du foie et des cellules de la peau, il y a des cellules jardiniers, et des cellules menuisiers.
Nous avons besoin de chacune des cellules de l’humanité. Pouvons nous comprendre que nous ne pouvons nous réaliser que dans l’union. C’est ensemble que nous construisons l’humanité, depuis très longtemps, en expérimentant, en cherchant et en trouvant.
Et ce n’est qu’ensemble que nous pouvons faire avancer la science.
Rappelons nous que le web a été inventé au CERN pour aider les chercheurs à partager leurs ressources et à travailler ensemble.
Oui, c’est l’amour qui pousse l’homme à grandir, à s’élever. Tandis que l’égo cherche à cacher, à récupérer pour lui seul à contrôler à diviser, le cœur, l’amour cherche à partager ses connaissances pour le bien de tous.
Progressivement, des systèmes ouvert et “open source” permettent au monde de travailler ensemble différemment. Regardons comment le projet Mozilla a été créer.
les systèmes fermés sont obsolètes car ils empêchent la co-création et la créativités.

De plus en plus, une énergie de partage et de co-création se diffuse, partout. Les groupes qui fonctionnent le mieux sont ceux qui partagent l’information, qui co-crée ensemble dans l’amour et le partage. Ceux qui gardent l’information, qui ne partagent pas freinent la créativité, les synergies.

Nous sommes actuellement les témoins d’un gigantesque changement de paradigme, pouvons nous le voir ?

Les anciens systèmes s’écroulent pendant que les nouveaux, plus ouverts, plus libres apparaissent. Rien ne peut arrêter l’évolution naturelle de la vie qui à chaque instant s’améliore.
Plus nous allons vers le travail collaboratif, vers le partage équitable et juste, plus nous améliorons le système.
Le XXI siècle est le siècle des changements de paradigmes et de l’éveil planétaire dans tous les domaines. C’est une méta-révolution qui a lieu sous nos yeux.
Car les changements de valeurs, l’éveil des populations, invisible, mais pourtant bien présent participe à tous ces changements.
Internet est la plate-forme qui permet à tous d’accéder à l’information, de contacter des êtres rares et de créer des groupes pour co-créer ensemble.
C’est totalement inouï, mais pour la première fois depuis le début de l’humanité, nous pouvons réellement nous connecter les uns les autres, quelque soit les distances.
De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble sur la terre, recréant les mécanismes de la vie, et créant ainsi les conditions permettant la co-création et l’émergence d’un éveil planétaire global.

De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble

De la même façon que les neurones se connectent entre eux, nous nous connectons ensemble

Pouvons nous comprendre que c’est cette interconnexion qui révolutionne le monde moderne ?

Aujourd’hui, si nous vibrons à une certaine fréquence sur internet, nous pouvons attirer et faire résonner tous ceux qui vibrent à la même fréquence. Ainsi dans le monde entier, tous ceux qui s’aiment peuvent s’unir.
Rencontrons nous, partageons l’amour.
Exprimons le divin qui est en nous, et co-créons ensemble.
Ne soyez pas timide, si vous avez des projets, connectez vous au portail Infinite Love, exprimez vous, faites vous connaître, regroupez vous, aimez vous.
Nous sommes là,
Pour vous.

Kundun mai 2013

V comme Volonté

La volonté, c’est la force, l’énergie, le carburant qui nous pousse à agir.

"La volonté, c'est la force, l'énergie, le carburant qui nous pousse à agir."

“La volonté, c’est la force, l’énergie, le carburant qui nous pousse à agir.”

Les pensées sont des effets, mais elles ne sont pas suffisantes pour que l’action se crée dans le moment présent.

C’est la volonté, outil de la conscience qui permet d’incarner les pensées dans la matière.
Ainsi la volonté intervient et permet de réaliser ou pas nos pensées, en utilisant le filtre de nos conditionnements.
Mais qui ‘veut ?’
Quelle est cette force ?
Sur quoi agit-elle ?
Cette force, c’est l’énergie de vie qui nous traverse.
Quelque soit l’usage qui sera fait de cette force : une action d’union ou de séparation, cette force nous traverse.

Parfois détourné par l’Ego, cette force de vie peut très bien alimenter la personne, le personnage que nous croyons ou avons cru être. Sans les filtre de la personne, cette force est la source d’inspirations divines, de perfections.
Cette source vient du cœur au départ, et c’est l’amour qui crée le mouvement. C’est l’amour qui est à la base de chaque action, de nos choix, de notre expérience de vie.

« La volonté, c’est l’amour au service de la vie. » Kundun 2013

Et plus nous nous éveillons, plus la vie nous traverse, plus notre volonté grandit, car ce n’est plus notre volonté mais la sienne, celle de la présence qui sait, celle de la présence qui fait.

Et plus la présence grandit, plus nous disparaissons, et plus la présence apparait, plus nous sommes ce que nous avons toujours été, une conscience infini d’amour expérimentant ce qu’elle est.

Méditons et restons dans ce moment présent. Laissons les pensées passer puis se perdre. Laissons les passer jusqu’à la suivante.
Au bout d’un moment, il n’y en aura plus. Projetons notre conscience sur l’amour, sur le cœur, écoutons attentivement une musique, devenons la musique. Laissons le moment remplir tout l’espace qu’il est déjà, puis devenons ce moment.
Il est là, nous sommes là, il est nous et nous sommes lui. Nous sommes aussi ce moment ou l’action, ou l’inaction est possible.
Ce moment ne change pas, il est permanent et infini. Il n’y a ni passé ni futur, il n’y a que ce moment présent. Le passé est une mémorisation d’un état présent. On peut le ‘rappeler’ uniquement dans le présent, car les choses n’existent que dans le présent.
La réalité, ce qui est vrai, c’est ce qui est permanent. Ce qui change tout le temps ne peut être vrai. Seul ce moment présent est vrai, car toujours là.

La présence ne peut vivre qu‘ici et maintenant, tandis que le mental ne peut y demeurer, son univers étant celui du passé et du futur.

Texte de Kundun, Décembre 2012

Loi de l’attraction

Lorsque nous nous mettons au diapason d’une pensée, lorsque nous choisissons d’être en phase avec une pensée ou un projet (qui n’est finalement qu’une pensée évoluée et détaillée), alors notre être se met dans un certain état d’esprit, sur une certaine fréquence.

loi de l'attraction, texte de Kundun 2013

loi de l’attraction, texte de Kundun 2013

Si à cette fréquence, à cette pensée nous y ajoutons l’attitude alors nous œuvrons pour sa matérialisation.

Si en plus, nous imaginons que cette pensée, que ce projet est déjà réalisé, alors une prise de conscience se réalise : la prise de conscience que c’est possible.

Il y a alors comme un pointeur, une direction qui s’installe dans notre vie.
L’émotion si possible forte de cette découverte, de cette prise de conscience agit comme un carburant qui va ´fixer ´ et cristalliser ce nouvel état d’être.

Ensuite, étant donné que nous sommes déjà dans l’aboutissement de la pensée, du projet, l’univers va faire tout ce qu’il peut pour ´rattraper´ son retard, c’est à dire la différence de conscience entre la pensée réalisée et le point de départ.

Nous allons littéralement vibrer à la fréquence de notre nouvel état d’esprit, attirant magnétiquement tout ce qui nous entoure, parfois de façon inattendue. L’intelligence infinie à une conscience infinie des potentialités qui nous entoure et des lignes de vies possibles. La loi de l’attraction intervient alors comme un aimant, comme une résonance. Pour cette raison l’attitude, l’attitude et l’attitude est fondamentale. Elle est l’expression de ce que nous sommes et le reflet des pensées qui nous impactent. Plus nous nous éveillons, plus nous les choisissons, moins nous sommes victimes de nos conditionnements.

De plus, tel un aimant, tout un tas d’autres pensées vont apparaître pour éclairer les chemins possibles entre l’arrivée et le départ.
Si par la répétition nous confirmons chaque jour ce nouvel état de conscience, nous créons un sillon dans l’univers des possibles.

nous créons un sillon dans l'univers des possibles.

Nous créons un sillon dans l’univers des possibles.

Pourquoi ?

Pourquoi l’univers à t-il tendance à réaliser tous nos désirs, indépendamment de tout jugement, de toute dualité ?
Pour deux raisons : d’une part notre volonté et notre être est de nature divine. La conscience que nous sommes, qui vit à travers nos corps est l’expression de la vie et du divin. C’est littéralement l’intelligence infini (dieu pour ceux qui sont religieux) qui vit à travers nous, bien au delà de l’égo. Et plus l’égo est dissous, plus “il” peut vivre à travers nous.
Et aussi parce que notre univers à été crée pour que nous puissions expérimenter tous nos désirs.
Autrement dit c’est le fondement même de notre univers qui est une conscience infini de réaliser ses désirs à travers nous.
En tant qu’antenne sur patte, nous ne pouvons que choisir les pensées, nous mettre au diapason d’un certain état d’esprit. Nous pouvons, si nous nous déconditionnons commencer à choisir un peu. L’éveil, c’est se libérer de la personne que nous avons cru être, alors nous augmentons les potentialités, laissant le divin s’exprimer à travers nous.
Car le divin choisit toujours ce qui est le mieux pour nous, pour lui. Quand le divin peut s’exprimer à travers nous pleinement apparaît le génie ou bien la folie si nous perdons l’équilibre.

L’expérience la plus profitable à son propre développement, c’est à dire à son propre éveil est mis en priorité. Ainsi notre propre éveil est surtout le sien. En réalité la personne, l’égo que nous avons cru être n’ayant aucune existence, il est la seule réalité.
Oui, le divin s’éveille à travers nous et nous nous éveillons à travers lui. Il y a une réciprocité car nous sommes “un” au final.

“Un jour l’homme comprendra que Dieu, c’est lui” Alain LM.

Kundun Février 2013

Méditation non duelle

Marc Fleuriet vous propose le Jeudi 29 Novembre 2012, de 14h à 17h, au centre Infinite Love, Paris 11è, de découvrir ou de redécouvrir la méditation non duelle, pour un agréable moment de partage et d’ouverture par la méditation.

Méditation non duelle par Marc Fleuriet, Centre Infinite Love

Méditation non duelle par Marc Fleuriet, Centre Infinite Love

MARC FLEURIET

Depuis plusieurs années, Marc Fleuriet partage avec tous les approches et les pratiques qui l’ont le plus aidé sur son chemin d’éveil.

Parmi celles-ci, la méditation tient la toute première place. C’est cette pratique de la méditation qui lui a permis de réaliser sa véritable nature, d’Être libre d’Être la personne qu’il est et de se libérer de ses peurs, de révéler l’Amour qu’il est et que vous êtes.

Durant ces 10 dernières années, il a expérimenté des dizaines de manières différentes de pratiquer la méditation : sur la respiration, en pleine conscience, silencieuse ou avec des mantras, statique ou dynamique, etc.

Peu à peu, pour lui une pratique s’est détaché de toutes les autres : la méditation selon une approche non-duelle.

Alors qu’auparavant, il lui était nécessaire de méditer de longues heures pour s’apaiser et retrouver le contact avec la nature essentielle de la Vie, c’est grâce à la méditation non-duelle qu’il a pu réalisé que l’accès à l’Être est sans condition. C’est à partir de ce moment qu’il a compris qu’aucune situation n’a le pouvoir de l’affecter durablement, il a ainsi développé de plus en plus de confiance, de sérénité et de joie.

Parce ce que la méditation non-duelle est une voie directe et profonde vers l’éveil, nous mesurons l’impact que ce type de méditation peut avoir pour révéler votre véritable nature. Et aujourd’hui,il veut partager ce type de méditation avec vous pour que le plus grand nombre puisse profiter de ses bienfaits.

POUR QUI ?

Que vous soyez débutant ou ayez déjà une pratique avancée de la méditation, la méditation non-duelle peut contribuer à lever le voile et vous aider à réaliser votre véritable nature.

Tout ce dont vous avez besoin est en Vous, le Vrai Vous, c’est-à-dire l’Être. C’est pour cela que vous reconnecter à l’Être est la seule chose dont vous ayez besoin. Vous pouvez en faire maintenant simplement l’expérience par la méditation non-duelle, il n’est pas nécessaire de passer des vies ou des années à méditer.

OBJECTIFS ET PROGRAMME

Marc Fleuriet vous propose un atelier pour vous initier à la méditation non-duelle. L’intention est que vous en compreniez les principes simples et que vous les expérimentiez durant l’atelier pour constater par vous-même que loin d’être une hypothèse, la connexion à l’Être est une expérience très concrète et on ne peut plus réelle.

Vous expérimenterez différentes façons de pratiquer la méditation non-duelle, pour trouver celle(s) qui vous convient, en fonction de vos besoins.

Au cours de l’atelier,  il alterne les moments d’apports théoriques, de pratiques de la méditation non-duelle ainsi que des moments de partage pour que vous puissiez comprendre, expérimenter et intégrer, ainsi que répondre à la fois au « Pourquoi » et au « Comment ». De plus, en fonction de ce qui vous est utile, je propose des outils complémentaires qui facilitent l’accès à l’espace de la conscience de l’Être.

Comme pour tous les ateliers que Marc Fleuriet donne, vous repartirez dès le premier atelier avec suffisamment d’éléments et d’outils pour pouvoir pratiquer seul, à votre rythme, pour continuer ce chemin à approfondir et intégrer cette connexion à l’Être, en sachant par votre propre expérience ce qui vous est le plus utile.

Chaque atelier est différent et constitue un « Tout » : vous pouvez donc assister à un seul atelier, mais aussi à plusieurs pour explorer les différentes facettes de la méditation non-duelle ou ancrer encore plus en Vous le « Je Suis ». C’est un voyage sans fin où vous vous révélez toujours plus à chaque pas.

DONNÉES PRATIQUES

Tarif : 25 €
Date le : Jeudi 29 Novembre 2012 de 13h à 21H30
Lieux : Centre Infinite Love, 37 citée industrielle, 75011 Paris
Réservation au +33 (0)6 58 10 42 83 ou par notre formulaire de contact ci-dessous

Oh seigneur,

Je ne parle plus,
Je ne vois plus,
Je ne ressens plus.
Je n’existe plus.

Je m’en remet a toi,
Désormais.
Car je viens de réaliser,

A cet instant,
C’est toi qui voit,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui écoute,

A travers moi.

A cet instant,
C’est toi qui ressent,

A travers moi.

Je suis libre,
Car je n’existe plus.
Je suis libre,
Car fondu dans l’amour infini,
Je suis libre,
Car c’est toi qui vit,
A travers moi.

Il n’y a plus que l’amour,
Il n’y a plus que l’énergie,
Il n’y a plus que toi,
Il n’y a plus que moi,
Partout.

Je nage,
Dans le courant de ta rivière d’amour.

Je baigne,
Dans tes idées.

Je vis,
Dans notre cœur.

Je comprends maintenant:
C’est ton action que je transmet,
C’est ta parole que je diffuse.
C’est ton amour que je vis.

Mon dieu,
Qu’il est magnifique,
De disparaître.

Qu’il est magnifique,
De se laisser guider.

Qu’il est magnifique,

D’exister.

Poème de Kundun, Juin 2012/ Poem by Kundun, June 2012

Yoga de la Kundalini, de Sri Swami Sivananda

Yoga de la kundalini de Sri shivananda Saraswati

Yoga de la kundalini de Sri Swami Sivananda

Swami Shivananda Saraswati (8 septembre 1887 – 14 juillet 1963) est un maître spirituel hindou enseignant du Yoga et du Vedanta. Shivananda est né sous le nom de Kuppuswami à Pattamadai dans l’État du Tamil Nadu en Inde dans une famille de brahman orthodoxe.

Après avoir été médecin pendant plusieurs années en Malaisie, il renonce au monde et commence une vie monastique en 1923.

Il a vécu la plus grande partie de la fin de sa vie à Rishikesh. Il fonde la Divine Life Society (La Société de la vie divine) en 1936, qui a pour objet d’oeuvrer à la paix et la formation de citoyens pratiquant un yoga intégral ; il est le précurseur de l’ouverture de l’hindouisme aux occidentaux sur la base d’un principe très simple : “Servir, aimer, purifier, donner, méditer et réaliser”. Il est l’auteur de plus de 200 livres, notamment sur le Yoga et le Vedanta. Il a eu comme disciple Vishnou Devananda qui a sa demande, a quitté l’Inde pour diffuser l’enseignement du Yoga intégral dans le reste du monde. Il a créé le Sivananda Ashram sur la rive du Gange à Shivanandanagar, à une distance de 3 kilomètres de la ville de Rishikesh, (Dist. Tehri-Garhwal, Uttaranchal, Inde).

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Editeur : EPI;
Édition :
EPI (1 janvier 1972)
Langue :
Français
ASIN:
B005DJV1AQ

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