Je vous salue…

Je vous partage le témoignage bouleversant de Christine qui a participé à nos ateliers d’éveil et de transformation. C’est pour vous que je continue, pour toutes celles et ceux qui se transforment. Gratitude d’être utile à la vie. Merci merci merci Christine. 😍💕

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Le témoignage de Christine :

« Je vous salue…

Vous m’êtes arrivé hier.

Ce dimanche matin, j’avais rendez-vous.

Je suis venue sur une plage de Thaïlande pour la Rencontre.

Assise devant mon bureau , je ferme les yeux avec vous et vous me faites respirer. De longues respirations. Un effet d’ascenseur. Je descends en moi et je remonte par la respiration. Je rentre et je sors. Je me fais l’âme…

Un « Om » sort de votre voix et je m’entends le dire avec vous. Le vôtre est vibrant. Le mien n’est qu’un effet de cordes vocales.

Encore une fois.

Mon « Om », alors que je ne sais à l’avance quelle sera votre intonation, s’accorde sur le vôtre, comme une deuxième voie moins dissonante. Je fais partie du Choeur…

Au troisième « Om », je suis avec vous. Cependant, je n’ai pas de souffle et le « Om » que je commence, vous le terminez car quand je n’en peux plus d’expirer, vous expirer encore…

Quand je n’en peux plus de mourir, vous mourrez encore.

200 « Om » et le vôtre, nous éparpillés sur la planète, vous dans Le Centre.

Puis, l’impensable se produit.

Vous prononcez l’imprononçable.

A voix haute, je vous suis.

La tête haute, je vous suis.

Droite et ancrée, je vous suis.

Vous me faites articuler deux syllabes qui étaient enfouies en moi depuis des années. Ai-je bien entendu ? Vous avez dit le mot « papa »…

Je vous suis comme une aveugle.

Je vous entends comme une sourde.

Je vous fais pleine confiance.

J’ose dire les mots.

Je suis désolée papa. Je te pardonne papa. Pardonne-moi papa. Je t’aime papa.

Jusqu’à ce qu’il ne meure il y a 14 ans, j’étais obligée de prononcer ce titre de noblesse quand je le voyais : « papa ». Après sa mort et pendant des années, je n’ai plus rien dit du tout. Ensuite, lorsque je parlais de lui, je disais « mon père ». Par après, en commençant ma psychanalyse, je l’ai appelé par son prénom : Albert.

J’ai commencé à faire des cauchemars éveillés de mon père il y a très longtemps. J’avais alors 14 ans. Il était alcoolique. Il était un prédateur. J’étais sa proie. Il était pervers. Sexuel.

J’ai ainsi vécu pendant plusieurs années au milieu d’un triangle dramatique : lui le bourreau, moi la victime, ma mère le sauveur qui ne sauve pas. Toute ma vie durant, j’ai fait des cauchemars de lui, presque toutes les nuits, dans lesquelles il rentrait tel un vandale. Une demi-vie à rêver de lui…

Mon Dieu, ces mots dans ma bouche… Je ne m’en serais jamais crue capable.

Puis, vient le temps de maman : je t’aime maman, je te pardonne maman (de ne pas m’avoir protégée), je suis désolée maman (de t’en avoir voulu toute ma vie). Merci maman.

Puis vient le tour de parents. Puis vient mon tour… Mon Dieu, je me remercie, je suis désolée, je me pardonne, je m’aime…

Au milieu de mon front, un point de chaleur. Je sens un espace autour de moi. Ma peau pétille, vibre et picote. Mes doigts se touchent et se rencontrent autrement. Je deviens reine.

Je vous suis toujours. Accrochée à vous, accrochée à l’arche, et je m’entends terminer vos phrases à ma façon et j’écris :

« Je suis…mère ce matin. Je suis née ce matin. Je suis belle. Je suis fantastique. Je suis parfaite. Je suis formidable. Je suis innocente. Je ne suis coupable de rien. Je suis incassable. Je suis l’apprentissage.

Je suis la richesse. Je suis l’écriture. Je suis la dévotion. Je suis la lumière. Je suis celle qui a survécu. Je suis la nuit. Je suis bien. Je suis tout le monde. Je suis saine.

Je suis guérie. Je suis celle qui avance et qui s’élance. Je suis celle qui donne. Je suis là pour moi. Je suis la résurrection. Je suis la compréhension. Je suis l’amour. Je suis la compréhension. Je suis la fleur.

Je suis la coïncidence. Je suis le hasard. Je suis la synchronicité. Je suis celle qui accepte l’abondance. Je suis la réussite. Je suis un miracle. Je suis reconnaissante. Je suis le rire. Je suis la joie ».

Je suis joie et je suis rire. Car la première personne que vous prenez en ligne est joyeuse. Un rire incrédule comme celui d’une petite fille. Elle dit après vous : j’adore donner des soins. Moi aussi. Je suis enseignante dans un hôpital pour enfants. Elle rit encore et j’éclate de rire en moi, avec elle.

Je vous écoute. Concentrée. En mon centre. Je vous écoute et j’écris en même temps, dédoublée : « je m’autorise à aider les autres car je sais que c’est l’Univers qui les aide à travers moi ».

J’étais partie en 1993 à la guerre en Bosnie.

J’ai à mon retour écrit un livre.

Il a été publié, lu et partagé en mille.

L’éditeur m’a donné une aumône et je n’ai pas réclamé.

Un autre aspirant vous parle : pourquoi est-ce que j’ai des

dettes ? Je vois cet homme joindre les mains. Je fais comme lui. Je n’ai jamais fait comme lui. Je m’entends dire aussi « Namasté ». Je n’ai jamais dit « Namasté ».

Je vous regarde lui et vous avec une immense gratitude.

Moi aussi, j’ai eu beaucoup de dettes. Pendant sept ans. Je me suis droguée pendant tout ce temps. Se droguer coûte cher. Donc j’ai emprunté à 10% pour me droguer coupable et en silence.

Je me suis aussi toujours sentie coupable de l’autisme de mon fils. Il a presque dix-huit ans aujourd’hui. Enceinte de lui, je fumais de l’herbe aussi. Et lorsque le diagnostique est tombé, j’ai cru alors que je l’avais bousillé. J’ai vécu seule avec lui depuis, coupable à mort…

Je vous suis toujours. Vous me dites alors : « je ne suis coupable de rien ». J’ôte la croyance que je suis coupable. Je suis innocente. Et en moi, un câble d’acier vient de lâcher…

J’ai nommé mes blessures. Je les ai reconnues. Je les ai débusquées. Je les ai assiégées…

Ma blessure d’enfance est l’indifférence.

Ma blessure d’adolescence est la trahison, l’humiliation, l’indifférence, l’agression, la domination.

Ma blessure de jeune femme est l’expérience de la peur dans la guerre et la digestion de ses traumatismes.

Ma blessure de femme mariée est l’abandon, l’indifférence et la trahison.

Ma blessure de mère est la culpabilité.

Aujourd’hui, les blessures deviennent lumineuses. Les traces de coupures sur mon poignet aussi.

Ce 19 février…

Il est 4h50 du matin et je ne dors toujours pas.

Vous nous avez quittés hier sur la plage, il faisait noir. Je vous écris, et il fait noir. Pourtant, c’est la même « Jour-Née ». Il n’y a ni passé ni futur. Juste le « maintenant d’avant » et le « maintenant d’après ». Et si le « maintenant » n’avait pas de fin ? Le Maintenant n’a pas de fin…

Je m’autorise à être vivante.

Je suis une survivante.

J’ai survécu aux huit avortements pratiqués par ma mère avant ma venue au monde. Je suis un enfant de l’Univers. J’ôte la croyance que je n’étais pas attendue, pas désirée.

Je vous suis toujours…

Toute ma vie se « ré-emboite ».

Je comprends mes épreuves, leurs pourquoi, leurs enseignements.

La séance se termine.

Je suis en apesanteur.

Je ne « pèse » plus.

J’ai la sensation d’avoir des yeux dans mes yeux, des mains dans mes mains… Je ressens un espace entre moi et Moi.

Merci d’être là, infiniment.

Je suis une revenante.

Je vis en Belgique.

J’habite à 26 pas d’une petite église du Xème siècle. La nuit passée, quelques heures avant la Rencontre, je ne dormais pas non plus et je suis sortie. J’ai compté 26 pas jusqu’à l’église, je me suis appuyée contre son mur soutenant, et j’ai regardé les étoiles. Avec des yeux dans les yeux. Et j’ai vu l’Univers…

Christine

 » Message reçue le lundi 19 février 2018.

Témoignages de la pratique « Pourquoi Je ? »

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Témoignage de Chantal :

Je vous livre ici mon expérience à Bergerac lors du stage du 16 juillet et les 3 semaines suivantes. Des changements importants sont intervenus dans ma vie. A commencer par mon corps qui s’est transformé devenant plus souple, plus fluide. Je tiens des postures de yoga facilement, étonnement…

La transformation de la structure physique a concordé avec la transformation de la structure mentale qui a elle aussi beaucoup « laché ». Mon cœur s’est ouvert en grand et j’ai ressenti une énorme Joie de vivre. Je me suis sentie moi pour la première fois de ma vie, peut-être, et c’est un gros cadeau que je me suis fait là !

Les anciens schémas, les conditionnements, les habitudes, tout cela semble se dissoudre pour laisser place à une grande liberté d’être. Grâce à la présence du groupe, à la présence au groupe, aux connections réalisées entre tous, j’ai pu vivre dans l’amour infini et dans la grâce du divin en moi et en chaque un. Tous mes sens se sont aiguisés, je suis plus rassemblée, plus présente à ce que je vis. Le lieu aussi est un vrai cadeau pour vivre une transformation, une guérison ou un début de changement. La nature qui nous entoure, nous ressource…. Et je dois parler de la nourriture excellente et saine dont nous bénéficions chaque jour. Bref, c’est vraiment la magie de la vie qui se déroule dans mon existence !

Et voilà que je me laisse tomber amoureuse à présent !! C’est fort, très fort, alors il fallait que je le partage avec vous. Je n’oublie pas la câlinothérapie, pratiquée à hautes doses. C’est d’une incroyable efficacité pour vivre une relation vraie, dans laquelle l’ego ne fait pas longtemps le malin. Une aide précieuse à l’abandon, à la rencontre, un moyen de transformation par l’ouverture du cœur qu’il occasionne. C’est puissant, c’est bon, et si simple en même temps !!

Merci Je vous aime.

Gros Bisous

Chantal

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Témoignage d’Agnès – Vijaya

Kundalini, mon amour.

Les mots coulent de mon cœur

Comme les larmes dévalent sur mes joues

Larmes de joie

Larmes de gratitude

Larmes de ruissellement

Où du ruisseau je reçois

Le baptême à la source  de la source

Bénédiction de Marie.

Larmes d’amour,

Pur abandon au divin

Au groupe,

A toutes les parties de moi-même

Connues ou inconnues

Visibles et invisibles

Larmes de nettoyage

Venues rincer, brasser, soulever, extraire, enlever

Lessiver à grande eau tout

Ce que je ne soupçonnais pas

Tout ce que je voyais et refusais

Tout ce que j’acceptais et ne voyais pas,

Grand brassage quantique

Coins et recoins

Sol, terre, racines, radicelles,

Corps, organes, cellules

Vies présentes, passées, futures,

Plans parallèles et perpendiculaires

Esprit, mental, pensées, croyances

Conditionnements, suppositions.

 

Les mots éclatent dans mon cœur

Comme les rires de joie partagés

Rires qui animent les visages

Et Aussi les corps, les esprits

Rires de Maryse

Comme starter de départ

De tous les rires du monde.

Rires de gratitude

Aux mille lumières

Reflétées dans les yeux de Nous, Ensemble

Rires joyeux et grimaçants

Quand on joue comme singes qui rient.

 

Les mots déferlent en mon cœur

Comme les vagues d’amour

Qui submergent

Et baignent mon âme dans un bain de jouvence jouissif

Douceur soyeuse, ineffable.

 

Les mots dansent en mon cœur

Quand nos corps bougent

Au rythme de la musique

Au rythme de nos corps

Qui déploient leurs ailes

Et se meuvent dans le mouv’

Bougent et tournoient

Dans la vie qui se vit.

 

Les mots trébuchent, se bousculent et piétinent

Qui veulent sortir de la bouche de mon cœur

Pour dire une expérience

Quand,

Enfin, complètement, entièrement

Abandonnée à l’abandon,

Abandonnée au divin,

Elle se réveille et s’éveille

Madame Kundalini se manifeste

Sous forme chamane

Les mots, les maux se taisent

Et deviennent silence.

Un Silence plein et vide à la fois.

 

Je vous aime

Je nous aime

Je m’aime (enfin)

 

Infinie Gratitude

Au grand mystère

A Brahmadev

Au cadeau que je me suis fait.

Gratitude à la Vie.

Agnès – Vijaya

 

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Témoignage de Roni :

Bonjour Sébastien, merci pour ton atelier d’hier. C’était la 1ere fois que je me suis engagé à 100% dans un atelier en Facebook live.

J’ai répété les mantras tout en étant allongé et les yeux fermés du début à la fin et ça m’a fait beaucoup de bien.

Je ressentais de plus en plus de bien-être et de lâcher prise au fur et à mesure de l’atelier. Je ressentais beaucoup d’émotions qui me traversaient. La plus forte était quand j’ai répété « j’accepte de réussir ».

J’ai éclaté en sanglots à ce moment-là, je ne sais pas pourquoi…

Faire cet atelier m’a permis de sentir en paix, aligné, serein, rempli d’énergie et d’amour.

Je me remets beaucoup en question sur ma vision à long terme et ma mission de vie depuis quelques jours suite à une discussion que j’ai eu avec une personne que j’ai rencontré à l’un de tes ateliers de l’année dernière à Paris et j’ai reçu des réponses pendant l’atelier qui m’ont permis de me rapprocher de ce que je désire vivre dans le futur.

Comme tu l’as recommandé, j’ai dormi après l’atelier et je me suis réveillé 3 heures plus tard comme si j’avais dormi pendant des années.

Je me sens totalement ressourcé et je vais continuer à suivre tes ateliers du dimanche régulièrement. J’espère un jour participer à l’un de tes stages en Dordogne. Namasté. Roni.

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Le témoignage de Sylvain :

Le stage m’a retiré beaucoup de conditionnements et croyances limitantes. J’ai pu résoudre de gros trauma avec les membres du groupe, surtout avec Vincent, gratitude !

J’ai beaucoup moins de peurs et d’inquiétudes, je suis beaucoup plus confiant envers mon avenir et la vie en général.

Les résultats sont évidents, mes échanges avec ma famille et mes amis sont beaucoup plus spontané, authentique et humain, c’est magique.

J’ai hâte d’approfondir ces méthodes. Sylvain.

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Témoignage de Nathalie :

Bonjour Sébastien,

Comme tu nous l’as demandé, je t’écris mes ressentis suite à ces incroyables méditations extra puissantes. Pour ce don, je t’envoie toute ma gratitude et je ne m’oublie pas car je m’envoie également toute ma gratitude pour t’avoir trouvé et écouté.

C’est avec une énorme émotion que je partage cette expérience extraordinaire. Pendant la méditation de la naissance, j’ai pu me retrouver dans l’émotion intra utérine où j’ai ressenti toute la tristesse, le désarroi et la peur de ma mère de devoir être seule pour m’accueillir dans sa jeunesse perturbée par cette grossesse non désirée. De comprendre toute sa souffrance, m’a propulsé dans une immense compassion pour elle, j’ai senti que je pouvais lui pardonner pour de bon et me libérer de m’avoir tenu éloigné de mon père et imposé un autre homme et famille qui ne m’aimait pas.

J’ai également ressenti le manque de la présence de mon père et le manque de joie lors de ma naissance. Pour la première fois, moi qui ne connais pas mon père géniteur, j’ai pu me connecter à sa présence et sentir qu’il m’aimait dans la plus haute partie de lui et que tout était parfaitement organisé dans ma vie afin que je grandisse et que je retrouve le contact avec la présence divine.

J’arrive de plus en plus à me relier à cet espace de plénitude en moi où je suis exaltée par la présence que je laisse s’exprimer à travers moi, ces moments magiques activent en moi beaucoup de créativité et d’inspiration, les idées fussent à n’en plus finir dans cette présence. J’ai immensément envie de m’exprimer et de partager. L’amour m’envahir au point qu’il ne peut que s’expanser sur tout ce qui est. Je vous aime.

Petite prière à l’univers

Remercions ensemble l’univers pour tout ce qu’il a fait et fait pour nous en cet instant si intense où nous prenons conscience que nous sommes l’énergie qui régente cet immense manège organisé à la perfection pour répondre à chaque seconde aux pensées et aux émotions que nous lui envoyons. Gratitude à toi, merveilleux Univers de nous dévoiler toute ta beauté et toute ta puissance, je te demande maintenant d’amener la compréhension à toutes les personnes qui liront cette prière. Merci.

Nathalie

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Témoignage de Rose Marie :

« Je viens de retrouver ma voix (Voie) inouï !! plus d’acouphène, tout essayé depuis un an sans que ça s’arrête ! en plus un blocage à la clef depuis 8 ans. Le tour du monde en prime sur le net pour en sortir. Pas de mot pour te dire merci mais ce n’est pas suffisant, reconnaissance infinie Un don exceptionnel de lucidité en lecture para-psycho innée et à la vitesse du son. Le bonheur incarné, la guérison assurée. Détonnant !! » Rose Marie.

Témoignage de Cassandre :

« Merci ! Merci Sébastien Socchard Brahmadev d’avoir été ma boussole, d’avoir remis le plan de ma vie dans le bon sens, comme une évidence, tu m’as ouvert la voie, l’autoroute vers le bonheur ! Depuis cette session privée ; je suis reconnectée à mon âme et une vie de joie et d’amour est là pour moi, alors mille fois merci !

Pour ceux qui ne le connaissent pas, il fait des séances gratuites d’affirmations positives (qu’on peut faire en rediffusion) qui nous libèrent des programmations qui ont été faites à notre insu par les parents et la société, et des traumatismes qui ont causé des blocages en nous. Depuis 3 mois je fais ses vidéos, et ça m’a libéré ! Ça m’a libéré de poids que je portais inutilement, ça m’a ouvert les yeux sur des évidences et débloqué des comportements négatifs que je n’arrivais pas à changer. Je vois la vie autrement, j’agis autrement ! Et je me sens vraiment heureuse ! Merci infiniment d’avoir fait revenir la magie dans ma vie ! Cassandre

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Témoignage Viviane :

Infinie gratitude à Sébastien, ce matin j’ai vécu une session magique.

Avec bienveillance et amour j’ai senti dès tantôt des frissons, tantôt de l’énergie circuler dans le corps, et de grandes émotions enfouies ont pu se libérer. Merci ! Merci ! Sébastien pour cette grâce et cette bénédiction que j’ai reçu.

Tant d’amour donné, j’en suis encore émue. J’ai acheté le livre « qui êtes-vous ? » il y a quelques moi, j’ai tout de suite été attiré par lui quand je l’ai vu. Il m’a accompagné en voyage, et c’est un véritable trésor qui permet des transformations profondes.

J’étais à mille lieues d’imaginer un jour avoir un entretien avec Sébastien. Quel cadeau, quel bonheur !!

Ce soir je me sens sereine et confiante, la joie retrouvée dans ce cœur blessé, les blessures profondes libérées tout au long de la session ont fait place à la douceur d’être, au calme. Merci

J’ai l’immense privilège durant cette session, d’avoir reçu grâce et bénédiction, nous avons Sébastien et moi des amis communs … (Sébastien tu sais…) C’est le plus beau cadeau que vous puissiez vous faire, n’hésitez pas. La douceur de vivre coule en moi, je me sens renaître et vivante ! Et je goûte chaque instant. La vie est belle ! Gratitude de cœur à cœur. L’amour est là. Je t’aime. A tout bientôt. Viviane

jeux dans la nature

Témoignage de Christine :

Je vous salue…

Vous m’êtes arrivé hier, samedi 17 février.

Ce dimanche matin, j’avais rendez-vous.

Je suis venue sur une plage de Thaïlande pour la Rencontre.

Assise devant mon bureau, je ferme les yeux avec vous et vous me faites respirer. De longues respirations. Un effet d’ascenseur. Je descends en moi et je remonte par la respiration. Je rentre et je sors. Je me fais l’âme…

Un « Om » sort de votre voix et je m’entends le dire avec vous. Le vôtre est vibrant. Le mien n’est qu’un effet de cordes vocales.

Encore une fois.

Mon « Om », alors que je ne sais à l’avance quelle sera votre intonation, s’accorde sur le vôtre, comme une deuxième voie moins dissonante. Je fais partie du Chœur…

Au troisième « Om », je suis avec vous. Cependant, je n’ai pas de souffle et le « Om » que je commence, vous le terminez car quand je n’en peux plus d’expirer, vous expirer encore…

Quand je n’en peux plus de mourir, vous mourrez encore.

200 « Om » et le vôtre, nous éparpillés sur la planète, vous dans Le Centre.

Puis, l’impensable se produit.

Vous prononcez l’imprononçable.

A voix haute, je vous suis.

La tête haute, je vous suis.

Droite et ancrée, je vous suis.

Vous me faites articuler deux syllabes qui étaient enfouies en moi depuis des années. Ai-je bien entendu ? Vous avez dit le mot « papa »…

Je vous suis comme une aveugle.

Je vous entends comme une sourde.

Je vous fais pleine confiance.

J’ose dire les mots.

Je suis désolée papa. Je te pardonne papa. Pardonne-moi papa. Je t’aime papa.

Jusqu’à ce qu’il ne meure il y a 14 ans, j’étais obligée de prononcer ce titre de noblesse quand je le voyais : « papa ». Après sa mort et pendant des années, je n’ai plus rien dit du tout. Ensuite, lorsque je parlais de lui, je disais « mon père ». Par après, en commençant ma psychanalyse, je l’ai appelé par son prénom : Albert.

J’ai commencé à faire des cauchemars éveillés de mon père il y a très longtemps. J’avais alors 14 ans. Il était alcoolique. Il était un prédateur. J’étais sa proie. Il était pervers. Sexuel.

J’ai ainsi vécu pendant plusieurs années au milieu d’un triangle dramatique : lui le bourreau, moi la victime, ma mère le sauveur qui ne sauve pas. Toute ma vie durant, j’ai fait des cauchemars de lui, presque toutes les nuits, dans lesquelles il rentrait tel un vandale. Une demi-vie à rêver de lui…

Mon Dieu, ces mots dans ma bouche… Je ne m’en serais jamais crue capable.

Puis, vient le temps de maman : je t’aime maman, je te pardonne maman (de ne pas m’avoir protégée), je suis désolée maman (de t’en avoir voulu toute ma vie). Merci maman.

Puis vient le tour de parents. Puis vient mon tour… Mon Dieu, je me remercie, je suis désolée, je me pardonne, je m’aime…

Au milieu de mon front, un point de chaleur. Je sens un espace autour de moi. Ma peau pétille, vibre et picote. Mes doigts se touchent et se rencontrent autrement. Je deviens reine.

Je vous suis toujours. Accrochée à vous, accrochée à l’arche, et je m’entends terminer vos phrases à ma façon et j’écris :

« Je suis…mère ce matin. Je suis née ce matin. Je suis belle. Je suis fantastique. Je suis parfaite. Je suis formidable. Je suis innocente. Je ne suis coupable de rien. Je suis incassable. Je suis l’apprentissage.

Je suis la richesse. Je suis l’écriture. Je suis la dévotion. Je suis la lumière. Je suis celle qui a survécu. Je suis la nuit. Je suis bien. Je suis tout le monde. Je suis saine.

Je suis guérie. Je suis celle qui avance et qui s’élance. Je suis celle qui donne. Je suis là pour moi. Je suis la résurrection. Je suis la compréhension. Je suis l’amour. Je suis la compréhension. Je suis la fleur.

Je suis la coïncidence. Je suis le hasard. Je suis la synchronicité. Je suis celle qui accepte l’abondance. Je suis la réussite. Je suis un miracle. Je suis reconnaissante. Je suis le rire. Je suis la joie ».

Je suis joie et je suis rire. Car la première personne que vous prenez en ligne est joyeuse. Un rire incrédule comme celui d’une petite fille. Elle dit après vous : j’adore donner des soins. Moi aussi. Je suis enseignante dans un hôpital pour enfants. Elle rit encore et j’éclate de rire en moi, avec elle.

Je vous écoute. Concentrée. En mon centre. Je vous écoute et j’écris en même temps, dédoublée : « je m’autorise à aider les autres car je sais que c’est l’Univers qui les aide à travers moi ».

J’étais partie en 1993 à la guerre en Bosnie.

J’ai à mon retour écrit un livre.

Il a été publié, lu et partagé en mille.

L’éditeur m’a donné une aumône et je n’ai pas réclamé.

Un autre aspirant vous parle : pourquoi est-ce que j’ai des dettes ? Je vois cet homme joindre les mains. Je fais comme lui. Je n’ai jamais fait comme lui. Je m’entends dire aussi « Namasté ». Je n’ai jamais dit « Namasté ».

Je vous regarde lui et vous avec une immense gratitude.

Moi aussi, j’ai eu beaucoup de dettes. Pendant sept ans. Je me suis droguée pendant tout ce temps. Se droguer coûte cher. Donc j’ai emprunté à 10% pour me droguer coupable et en silence.

Je me suis aussi toujours sentie coupable de l’autisme de mon fils. Il a presque dix-huit ans aujourd’hui. Enceinte de lui, je fumais de l’herbe aussi. Et lorsque le diagnostique est tombé, j’ai cru alors que je l’avais bousillé. J’ai vécu seule avec lui depuis, coupable à mort…

Je vous suis toujours. Vous me dites alors : « je ne suis coupable de rien ». J’ôte la croyance que je suis coupable. Je suis innocente. Et en moi, un câble d’acier vient de lâcher…

J’ai nommé mes blessures. Je les ai reconnues. Je les ai débusquées. Je les ai assiégées…

Ma blessure d’enfance est l’indifférence.

Ma blessure d’adolescence est la trahison, l’humiliation, l’indifférence, l’agression, la domination.

Ma blessure de jeune femme est l’expérience de la peur dans la guerre et la digestion de ses traumatismes.

Ma blessure de femme mariée est l’abandon, l’indifférence et la trahison.

Ma blessure de mère est la culpabilité.

Aujourd’hui, les blessures deviennent lumineuses. Les traces de coupures sur mon poignet aussi.

Ce 19 février…

Il est 4h50 du matin et je ne dors toujours pas.

Vous nous avez quittés hier sur la plage, il faisait noir. Je vous écris, et il fait noir. Pourtant, c’est la même « Jour-Née ». Il n’y a ni passé ni futur. Juste le « maintenant d’avant » et le « maintenant d’après ». Et si le « maintenant » n’avait pas de fin ? Le Maintenant n’a pas de fin…

Je m’autorise à être vivante.

Je suis une survivante.

J’ai survécu aux huit avortements pratiqués par ma mère avant ma venue au monde. Je suis un enfant de l’Univers. J’ôte la croyance que je n’étais pas attendue, pas désirée.

Je vous suis toujours…

Toute ma vie se « ré-emboite ».

Je comprends mes épreuves, leurs pourquoi, leurs enseignements.

La séance se termine.

Je suis en apesanteur.

Je ne « pèse » plus.

J’ai la sensation d’avoir des yeux dans mes yeux, des mains dans mes mains… Je ressens un espace entre moi et Moi.

Merci d’être là, infiniment.

Je suis une revenante.

Je vis en Belgique.

J’habite à 26 pas d’une petite église du Xème siècle. La nuit passée, quelques heures avant la Rencontre, je ne dormais pas non plus et je suis sortie. J’ai compté 26 pas jusqu’à l’église, je me suis appuyée contre son mur soutenant, et j’ai regardé les étoiles. Avec des yeux dans les yeux. Et j’ai vu l’Univers…

Christine

Toutes les informations sur les stages en cliquant ICI.

 

Le témoignage de Roni.

Bonjour Sébastien, merci pour ton atelier d’hier. C’était la 1ere fois que je me suis engagé à 100% dans un atelier en facebook live.

J’ai répété les mantras tout en étant allongé et les yeux fermés du début à la fin et ça m’a fait beaucoup de bien.

Je ressentais de plus en plus de bien-être et de lâcher prise au fur et à mesure de l’atelier. Je ressentais beaucoup d’émotions qui me traversaient. La plus forte était quand j’ai répété « j’accepte de réussir ».

J’ai éclaté en sanglots à ce moment-là, je ne sais pas pourquoi…

Faire cet atelier m’a permis de sentir en paix, aligné, serein, rempli d’énergie et d’amour.

Je me remets beaucoup en question sur ma vision à long terme et ma mission de vie depuis quelques jours suite à une discussion que j’ai eu avec une personne que j’ai rencontré à l’un de tes ateliers de l’année dernière à Paris et j’ai reçu des réponses pendant l’atelier qui m’ont permis de me rapprocher de ce que je désire vivre dans le futur.

Comme tu l’as recommandé, j’ai dormi après l’atelier et je me suis réveillé 3 heures plus tard comme si j’avais dormi pendant des années.

Je me sens totalement ressourcé et je vais continuer à suivre tes ateliers du dimanche régulièrement.

J’espère un jour participer à l’un de tes stages en Dordogne. Namasté 😊💞

Roni.

Témoignages des stages à Bergerac : changez de vie !

Voici le témoignage de Rebecca :

Alors bonjour, j’écris ces petites lignes pour vous faire part de mon témoignage. sur ma transformation complète de mon être intérieur et extérieur…

J’ai eu le plaisir et l’honneur de faire partie du stage de l’été dernier je suis arrivé à Bergerac avec beaucoup d’appréhension et de doute en moi-même…

Et bizarrement dès que j’ai mis le pied dans cette magnifique demeure toutes mes craintes et toutes mes peurs se sont envolés comme un oiseau qui prendrait son envol j’ai vraiment vu cette image ça m’a scotché…

J’ai passé une magnifique semaine auprès de gens merveilleux bienveillant et aimant avec plein de câlins et de bienveillance de magnifique méditation de magnifiques échanges…

À la fin de ce séjour bizarrement je n’avais ni tristesse ni nostalgie de la semaine qui venait de s’écouler j’étais totalement sereine et je savais que j’avais changé intérieurement et que c’était ici et maintenant qu’il n’avait plus d’espace temps plus de passé plus de futur il y avait que maintenant….

Alors oui j’ai complètement changé ma vie en arrivant chez moi d’abord j’ai changé énormément mon alimentation j’ai banni énormément de d’aliments comme disait si bien Sébastien j’ai arrêté le gluten et ça a changé ma vie surtout de mon corps….

Mais mais la chose qui m’a le plus frappé est ébranlé c’est que je n’arrive plus du tout à faire semblant mon corps mon être me parle ça me trouble je n’arrive plus à le faire taire alors maintenant je vis avec ça j’écoute chaque seconde chaque minute et chaque heure mon corps et mon cœur et mon être je suis véritablement moi-même…..

J’ai abordé une formation coach en développement personnel je me spécifie beaucoup dans le bien-être et dans la méditation et cette chose je pense que avant le stage je n’y pensais même pas et grâce à l’éveil et au méditation cela est totalement possible je tiens à remercier l’univers …..

Alors si j’avais un conseil à vous qui me disait n’hésitez pas passer le pas aller en stage par les communiquer méditer pratique et tout ce qui pourrait vous faire du bien et changer faire des câlins dire aux gens qu’on les aime je pensais pas que c’était possible avant et maintenant ça a complètement transformé ma vie ….

J’espère vous rencontrer vous lire vous câliner vous embrasse et vous dire à quel point vous m’avez apporté vous qui me lisez merci à l’univers merci à tous les êtres qui sont autour de moi merci à toi Sébastien et merci à la vie c’est ici et maintenant je vous aime❤❤❤❤❤❤

Autres témoignages des stages précédents :

Pour plus d’infos sur les stages en Dordogne, inscrivez vous sur la lettre de Brahmadev :

https://humanforhuman.learnybox.com/stageseptembrebienvenue-1

Le facebook : toutes les dates de stage dans la rubrique « Events », « Événements » :

https://m.facebook.com/BrahmadevFrance/

Témoignages de la pratique « Pourquoi je ? »

Les sessions publique du dimanche et les sessions privées sont de plus en plus éfficace ! Gratitude d’être au service de la guérison. 💕💕💕💕💕

Voici quelque témoignages des effets de notre pratique « Pourquoi je ? » :

Rose Marie :

Je viens de retrouver ma voix (Voie) inouï !! plus d’acouphéne, tout essayé depuis un an sans que ça s’arrête ! en plus un blocage à la clef depuis 8 ans..le tour du monde en prime sur le net pour en sortir..Pas de mot pour te dire merci mais ce n’est pas suffisant, reconnaissance infinie 🙏😍😂💝 Un don exceptionnel de lucidité en lecture para-psycho innée et à la vitesse du son..le bonheur incarné, la guérison assurée..détonnant.!!

Cassandre :

Merci! Merci Sébastien Socchard Brahmadev d’avoir été ma boussole, d’avoir remis le plan de ma vie dans le bon sens, comme une évidence, tu m’as ouvert la voie, l’autoroute vers le bonheur! Depuis cette session privée; je suis reconnectée à mon âme et une vie de joie et d’amour est là pour moi, alors mille fois merci!

Pour ceux qui ne le connaissent pas, il fait des séances gratuites d’affirmations positives (qu’on peut faire en rediffusion) qui nous libèrent des programmations qui ont été faites à notre insu par les parents et la société, et des traumatismes qui ont causé des blocages en nous. Depuis 3 mois je fais ses vidéos, et ça m’a libéré! Ca m’a libéré de poids que je portais inutilement, ça m’a ouvert les yeux sur des évidences et débloqué des comportements négatifs que je n’arrivais pas à changer. Je vois la vie autrement, j’agis autrement! Et je me sens vraiment heureuse!

Merci infiniment d’avoir fait revenir la magie dans ma vie! 💗

Viviane :

Infinie gratitude à Sébastien , ce matin j’ai vécu une session magique.

Avec bienveillance et amour j’ai senti dès tantôt des frissons , tantôt de l’énergie circuler dans le corps , et de grandes émotions enfouies ont pu se libérer.

Merci ! Merci ! Sébastien pour cette grâce et cette bénédiction que j’ai reçu.

Tant d’amour donné, j’en suis encore émue. J’ai acheté le livre « qui êtes vous? » il y a quelques moi , j’ai tout de suite été attiré par lui quand je l’ai vu. Il m’a accompagné en voyage , et c’est un véritable trésor qui permet des transformations profondes.

J’étais à mille lieu d’imaginer un jour avoir un entretien avec Sébastien.

Quel cadeau !!! Quel bonheur !!

Ce soir je me sens sereine et confiante , la joie retrouvée dans ce cœur blessé, les blessures profondes libérées tout ont long de la session , ont fait place à la douceur d’être, au calme . Merci

J’ai l’immense privilège durant cette session , d’avoir reçu grâce et bénédiction, nous avons Sébastien et moi des amis communs … ( Sébastien tu sais … )

C’est le plus beau cadeau que vous puissiez vous faire , n’hésitez pas

La douceur de vivre coule en moi , je me sens renaître et vivante ! Et je goûte chaque instant

La vie est belle !

Gratitude de cœur à cœur

L’amour est là

Je t’aime

A tout bientôt

Viviane

Inscrivez vous à notre pratique hebdomadaire chaque dimanche : (gratuit)

Exemples d’ateliers :

Koh Phangan en Thailande :

https://www.facebook.com/sebastiensocchard/videos/1499003360208343/

Bodh Gaya en Inde :

https://youtu.be/B1fWtAXhfY0

Arunachala en Inde :

https://youtu.be/sRWOi8EsxAw

Je vous salue…

Je vous partage le témoignage bouleversant de Christine qui a participé à nos ateliers. C’est pour vous que je continue, pour toutes celles et pour tout ceux qui se transforment et se guérissent. Gratitude d’être utile à la vie. Merci merci merci Christine. 😍💕Brahmadev

Le témoignage de Christine :

« Je vous salue…

Vous m’êtes arrivé hier, samedi 17 février.

Ce dimanche matin, j’avais rendez-vous.

Je suis venue sur une plage de Thaïlande pour la Rencontre.

Assise devant mon bureau , je ferme les yeux avec vous et vous me faites respirer. De longues respirations. Un effet d’ascenseur. Je descends en moi et je remonte par la respiration. Je rentre et je sors. Je me fais l’âme…

Un « Om » sort de votre voix et je m’entends le dire avec vous. Le vôtre est vibrant. Le mien n’est qu’un effet de cordes vocales.

Encore une fois.

Mon « Om », alors que je ne sais à l’avance quelle sera votre intonation, s’accorde sur le vôtre, comme une deuxième voie moins dissonante. Je fais partie du Choeur…

Au troisième « Om », je suis avec vous. Cependant, je n’ai pas de souffle et le « Om » que je commence, vous le terminez car quand je n’en peux plus d’expirer, vous expirer encore…

Quand je n’en peux plus de mourir, vous mourrez encore.

200 « Om » et le vôtre, nous éparpillés sur la planète, vous dans Le Centre.

Puis, l’impensable se produit.

Vous prononcez l’imprononçable.

A voix haute, je vous suis.

La tête haute, je vous suis.

Droite et ancrée, je vous suis.

Vous me faites articuler deux syllabes qui étaient enfouies en moi depuis des années. Ai-je bien entendu ? Vous avez dit le mot « papa »…

Je vous suis comme une aveugle.

Je vous entends comme une sourde.

Je vous fais pleine confiance.

J’ose dire les mots.

Je suis désolée papa. Je te pardonne papa. Pardonne-moi papa. Je t’aime papa.

Jusqu’à ce qu’il ne meure il y a 14 ans, j’étais obligée de prononcer ce titre de noblesse quand je le voyais : « papa ». Après sa mort et pendant des années, je n’ai plus rien dit du tout. Ensuite, lorsque je parlais de lui, je disais « mon père ». Par après, en commençant ma psychanalyse, je l’ai appelé par son prénom : Albert.

J’ai commencé à faire des cauchemars éveillés de mon père il y a très longtemps. J’avais alors 14 ans. Il était alcoolique. Il était un prédateur. J’étais sa proie. Il était pervers. Sexuel.

J’ai ainsi vécu pendant plusieurs années au milieu d’un triangle dramatique : lui le bourreau, moi la victime, ma mère le sauveur qui ne sauve pas. Toute ma vie durant, j’ai fait des cauchemars de lui, presque toutes les nuits, dans lesquelles il rentrait tel un vandale. Une demi-vie à rêver de lui…

Mon Dieu, ces mots dans ma bouche… Je ne m’en serais jamais crue capable.

Puis, vient le temps de maman : je t’aime maman, je te pardonne maman (de ne pas m’avoir protégée), je suis désolée maman (de t’en avoir voulu toute ma vie). Merci maman.

Puis vient le tour de parents. Puis vient mon tour… Mon Dieu, je me remercie, je suis désolée, je me pardonne, je m’aime…

Au milieu de mon front, un point de chaleur. Je sens un espace autour de moi. Ma peau pétille, vibre et picote. Mes doigts se touchent et se rencontrent autrement. Je deviens reine.

Je vous suis toujours. Accrochée à vous, accrochée à l’arche, et je m’entends terminer vos phrases à ma façon et j’écris :

« Je suis…mère ce matin. Je suis née ce matin. Je suis belle. Je suis fantastique. Je suis parfaite. Je suis formidable. Je suis innocente. Je ne suis coupable de rien. Je suis incassable. Je suis l’apprentissage.

Je suis la richesse. Je suis l’écriture. Je suis la dévotion. Je suis la lumière. Je suis celle qui a survécu. Je suis la nuit. Je suis bien. Je suis tout le monde. Je suis saine.

Je suis guérie. Je suis celle qui avance et qui s’élance. Je suis celle qui donne. Je suis là pour moi. Je suis la résurrection. Je suis la compréhension. Je suis l’amour. Je suis la compréhension. Je suis la fleur.

Je suis la coïncidence. Je suis le hasard. Je suis la synchronicité. Je suis celle qui accepte l’abondance. Je suis la réussite. Je suis un miracle. Je suis reconnaissante. Je suis le rire. Je suis la joie ».

Je suis joie et je suis rire. Car la première personne que vous prenez en ligne est joyeuse. Un rire incrédule comme celui d’une petite fille. Elle dit après vous : j’adore donner des soins. Moi aussi. Je suis enseignante dans un hôpital pour enfants. Elle rit encore et j’éclate de rire en moi, avec elle.

Je vous écoute. Concentrée. En mon centre. Je vous écoute et j’écris en même temps, dédoublée : « je m’autorise à aider les autres car je sais que c’est l’Univers qui les aide à travers moi ».

J’étais partie en 1993 à la guerre en Bosnie.

J’ai à mon retour écrit un livre.

Il a été publié, lu et partagé en mille.

L’éditeur m’a donné une aumône et je n’ai pas réclamé.

Un autre aspirant vous parle : pourquoi est-ce que j’ai des

dettes ? Je vois cet homme joindre les mains. Je fais comme lui. Je n’ai jamais fait comme lui. Je m’entends dire aussi « Namasté ». Je n’ai jamais dit « Namasté ».

Je vous regarde lui et vous avec une immense gratitude.

Moi aussi, j’ai eu beaucoup de dettes. Pendant sept ans. Je me suis droguée pendant tout ce temps. Se droguer coûte cher. Donc j’ai emprunté à 10% pour me droguer coupable et en silence.

Je me suis aussi toujours sentie coupable de l’autisme de mon fils. Il a presque dix-huit ans aujourd’hui. Enceinte de lui, je fumais de l’herbe aussi. Et lorsque le diagnostique est tombé, j’ai cru alors que je l’avais bousillé. J’ai vécu seule avec lui depuis, coupable à mort…

Je vous suis toujours. Vous me dites alors : « je ne suis coupable de rien ». J’ôte la croyance que je suis coupable. Je suis innocente. Et en moi, un câble d’acier vient de lâcher…

J’ai nommé mes blessures. Je les ai reconnues. Je les ai débusquées. Je les ai assiégées…

Ma blessure d’enfance est l’indifférence.

Ma blessure d’adolescence est la trahison, l’humiliation, l’indifférence, l’agression, la domination.

Ma blessure de jeune femme est l’expérience de la peur dans la guerre et la digestion de ses traumatismes.

Ma blessure de femme mariée est l’abandon, l’indifférence et la trahison.

Ma blessure de mère est la culpabilité.

Aujourd’hui, les blessures deviennent lumineuses. Les traces de coupures sur mon poignet aussi.

Ce 19 février…

Il est 4h50 du matin et je ne dors toujours pas.

Vous nous avez quittés hier sur la plage, il faisait noir. Je vous écris, et il fait noir. Pourtant, c’est la même « Jour-Née ». Il n’y a ni passé ni futur. Juste le « maintenant d’avant » et le « maintenant d’après ». Et si le « maintenant » n’avait pas de fin ? Le Maintenant n’a pas de fin…

Je m’autorise à être vivante.

Je suis une survivante.

J’ai survécu aux huit avortements pratiqués par ma mère avant ma venue au monde. Je suis un enfant de l’Univers. J’ôte la croyance que je n’étais pas attendue, pas désirée.

Je vous suis toujours…

Toute ma vie se « ré-emboite ».

Je comprends mes épreuves, leurs pourquoi, leurs enseignements.

La séance se termine.

Je suis en apesanteur.

Je ne « pèse » plus.

J’ai la sensation d’avoir des yeux dans mes yeux, des mains dans mes mains… Je ressens un espace entre moi et Moi.

Merci d’être là, infiniment.

Je suis une revenante.

Je vis en Belgique.

J’habite à 26 pas d’une petite église du Xème siècle. La nuit passée, quelques heures avant la Rencontre, je ne dormais pas non plus et je suis sortie. J’ai compté 26 pas jusqu’à l’église, je me suis appuyée contre son mur soutenant, et j’ai regardé les étoiles. Avec des yeux dans les yeux. Et j’ai vu l’Univers…

Christine

 » Message reçue le lundi 19 février 2018.

Témoignez sur Amazon.fr

Vous êtes nombreux à me témoigner des changements important dans votre vie suite à la lecture des livres « Qui êtes-vous ? » :

Merci infiniment et gratitude d’être lu.💕

Je vous aime !😍😍😍

Vous aussi, exprimez-vous, faites un acte psycho-magique, exprimez votre gratitude en écrivant votre témoignage :

Exprimez-vous sur le tome 1 :

Exprimez-vous sur le tome 2 :

Exprimez-vous sur le tome 3 :

Merci infiniment,

Brahmadev

Lire « Qui êtes-vous ? »

Pour télécharger gratuitement les premiers chapitres de « Qui êtes-vous ? », cliquez sur ce lien.

Pour acheter les livres de Brahmadev au format papier et numérique : cliquez sur Amazon.fr

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Introduction

papillon

“Ce que la chenille appelle la fin du monde, le maître l’appelle un papillon.” Richard BachLe Messie récalcitrant

Ce que je vais vous dire peut sembler totalement dingue, mais s’il vous plaît, écoutez bien, car votre vie en dépend.

Votre vie est sur le point d’être transformée. Oui, vous avez bien lu, votre vie est sur le point d’être transformée. Suivez-moi, vous êtes sur le point de vivre une expérience magique. Vous avez été mis en contact avec ce livre parce que vous êtes prêt.

Ce livre vous a choisi, car quelque chose en vous « sait » que le moment est venu. Ce livre n’est pas un livre, ce livre est une étape clé dans la réalisation de votre légende personnelle.

Il n’y a pas de hasard, quelque chose au fond de vous peut sentir cela, quelque chose à l’intérieur de vous peut comprendre cela, quelque chose en vous le sait, déjà.

Oui, ce livre est vivant. Connectez-vous à votre intuition, connectez-vous à votre moi le plus profond.

Que ressentez-vous, maintenant ?

Êtes-vous prêt à vivre votre légende personnelle ? Êtes-vous prêt pour le bonheur ?

Au fil des pages, vous découvrirez puis vous comprendrez de nouvelles idées, de nouveaux concepts. Les mystères de la vie vous seront révélés, vous comprendrez qui vous êtes vraiment, vous comprendrez que la main qui a créé ce livre est aussi la main qui vous a créé. Certains secrets sont déjà connus de vous, d’autres vous seront révélés…

Allez-y à votre vitesse, prenez votre temps, prenez le temps d’intégrer, prenez le temps de comprendre, prenez le temps de rire, prenez le temps de pleurer, aussi.

Prenez le temps de vous rappeler…

J’ai créé ce livre pour vous, pour que vous puissiez vous révéler à vous-même. Ce qui compte le plus, c’est vous. Ce qui compte le plus, c’est que vous soyez vous-même, à chaque instant. Lisez ce livre lentement, dans le silence, dans le recueillement ou avec des musiques calmes.

Vous pouvez commencer à lire ce livre, organisé comme un abécédaire, depuis le début, ou bien en allant vers les définitions de mots. Si vous aimez le hasard, prenez n’importe quelle page, et voyez…

Ensuite, laissez infuser ; vous verrez, votre vie commencera à changer…

Plus vous assimilerez les idées de ce livre, plus vous serez libre, plus vous verrez votre vie se transformer, plus vous verrez votre univers se métamorphoser sous vos yeux.

Votre légende personnelle sera de plus en plus belle, vous verrez des changements, plus ou moins subtils. De nouvelles personnes viendront vers vous, tandis que d’autres partiront. Des problèmes se régleront comme par enchantement, des coïncidences se matérialiseront.

Vous pourrez constater que tout se transforme autour de vous, absolument tout.

Vous gagnerez progressivement en liberté, vous vous éveillerez, vous serez de plus en plus heureux, vous verrez, puis vous comprendrez les signes, vous aurez effacé l’oubli…

Ce livre est une pierre philosophale, il a été créé pour vous assister dans votre transformation, pour que vous puissiez accomplir votre légende personnelle. Comme par magie, vos changements intérieurs se manifesteront à l’extérieur, c’est-à-dire dans votre vie, dans celles de vos proches, et dans la mienne, aussi.

Qui suis-je ?

La réponse à cette question va-t-elle changer votre vie ? Oui.

Ce livre vous révélera de nombreux secrets :

Que suis-je venu faire sur terre ? Comment libérer mon pouvoir intérieur ? Comment créé-je ma réalité ? Qu’est-ce que l’amour ? Qu’est-ce que l’éveil ? Qui suis-je ?

Ce livre initiatique répond à tous ces mystères.

Il se trouve, et c’est pour cela que je vous écris, il se trouve que vous et moi, nous nous connaissons…

Aussi incroyable que cela puisse paraître, une fois que vous aurez réalisé ce que j’ai réalisé, vous comprendrez, notre intimité. En espérant que vous pourrez vivre votre éveil pleinement, en espérant que vous réaliserez votre légende personnelle.

En espérant que vous prendrez le temps de lire puis d’intégrer le savoir contenu dans ce livre, en espérant que vous pourrez les recouper avec vos propres expériences et vos propres compréhensions, en espérant que ce livre vous aidera et vous apportera le bonheur.

Et puis, à un moment, vous pourrez vous dire : « Mais c’est moi, mais c’est moi qui ai écrit ce livre, oui, c’est moi ! »

Oui, c’est moi ; oui, c’est toi.

À ce moment-là, vous serez prêt…

Je vous souhaite une bonne lecture, mon vœu étant que vous vous rappeliez le bonheur d’être,

Ce que vous êtes,

Déjà.

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Brahmadev

“Lorsqu’on lui demanda s’il était dieu ou homme, le Bouddha répondit : ‘Je suis éveillé’.” Siddhârtha Gautama

Pour acheter les livres au format papier et numérique : Amazon.fr

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Bonne lecture !

le 6 novembre 2017
J’ai adoré lire ce livre.

Il est émaillé de nombreuses citations qui éclairent encore davantage son propos.
Il traite d’un sujet ardu, car tellement subtil, qu’il faut toute la finesse et la sagesse de l’auteur pour nous aider à comprendre une bonne fois pour toute que  »nous ne sommes pas nos pensées ».Comprenez-moi : il ne suffit pas de le dire et de le répéter comme un mantra, il s’agit de le réaliser pour de bon, un peu comme vous avez fini par apprendre à marcher avant 3 ans.On peut réciter à longueur de journée la recette du pouding de ma grand-mère, cela ne le fera pas apparaître sur la table à l’heure du dîner.Quel bénéfice retirerons-nous d’une telle prise de conscience ? Un bénéfice comparable à la différence entre se croire la vague et réaliser que nous sommes l’océan, entre vivre seulement dans la tête et vivre à partir du coeur.L’existence, VOTRE existence, s’en trouvera changée sans effort particulier de votre part, puisque tous vos efforts résultent de vos pensées… Alors pourquoi continuer à s’acharner à posséder le contrôle, à tenter de tout prévoir, quand la seule présence dans le moment présent suffit à arranger les choses ?Peut être parce que la peur est une création de notre esprit (et donc nous tenons à nos créations) alors que ce que nous sommes profondément est l’amour ?
Nous ne pouvons pas vouloir ce que nous sommes : nous ne pouvons que l’être.Ce livre est donc vivant. Vous en êtes l’auteur. En le lisant, vous vous faites un merveilleux cadeau.
Remerciez-vous vous-même, vous êtes plus votre coeur que les pensées qui surgissent.

Vous avez déjà lu le livre ? Aidez-moi à partager l’éveil, témoignez de l’effet de ce livre sur votre vie. »

Vous aussi, lisez ce livre puis laissez un commentaire sur Amazon.fr en cliquant ici : Amazon.fr

le 22 janvier 2018
Sébastien, alias Brahmadev, Kunzang est un Sage qui entre dans votre vie au bon moment.
Son regard pétillant, sa joie de vivre communicative, sa grande force intérieure et générosité sans limites interpellent dès la première Rencontre.
Modeste après une ascension spirituelle fulgurante, jamais il ne se met en avant, préférant parler d’aventure collective dans le Tome I de Qui êtes-vous?
Plus qu’un livre, c’est une conversation avec soi-même, une mine de conseils pratiques, d’exercices à faire obligeant un temps d’introspection, des temps de Méditations, de précieux Mantras à lire à haute voix pour qu’il imprègnent notre Conscience.
Son livre est intemporel, se lit facilement à condition d’observer des temps de « digestions ». Il vous offre des clés fondamentales pour affronter tout types de situations, même les plus difficiles!

Et puis Sébastien y rend un vibrant hommage à tous les philosophes, Sages et Maîtres qui l’on précédés et éclairés.  » Ce livre n’aurait jamais pu être écrit sans l’aide de tous les auteurs cités. En effet, chaque auteur, avec son lot de connaissances est comme l’une des briques qui m’ont construit » Brahmadev.

Tous les sujets peuvent être abordés avec Sébastien, il se met au service, à l’écoute de l’autre sans limites. Bref un Maître, un grand Guide Spirituel que je recommande à tout le monde de croiser sur sa route.

Hâte de lire les deux autres Tomes!!
5 sur 5 étoiles Témoignage Magnifique oeuvre
le 21 mars 2017
Je me rend compte qu’en disant les mantras je suis entrain de changer ma vie complètement, de voir une autre vision de ma vie, que tout est possible.
Je suis entrain de changer complètement parce que je m’aime d’avantage et plus je m’aime, plus je suis moi-même et plus je suis moi-même plus je m’exprime en toute liberté et de plus j’attire l’abondance et les synchronicités arrivent quotidiennement!!

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le 28 juin 2018
Brahmadev transmet un autre regard à travers ses livres et ses ateliers, ce regard, cette nouvelle façon de voir les choses aident déjà à sortir de la souffrance.
e souhaite témoigner particulièrement des ateliers « pourquoi je? » de Sébastien Socchard (Brahmadev): D’abord Il a une excellente technique de respiration (pranayama) pour nous mettre très vite en état de relaxation et nous relier à notre inconscient, car c’est l’inconscient que nous réinformons pendant cet atelier.
Sa clairvoyance lui permet de déceler certains de nos schémas ou croyances négatifs ou erronés à l’oeuvre derrière nos blocages, Sébastien nous invite alors à formuler de nouvelles informations positives. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est la constante bienveillance avec laquelle il répond à chacun, il crée un climat propice à accueillir tout ce que nous sommes sans jugement, et c’est très rare aujourd’hui.
Sa simplicité, sa bonne humeur, sa légèreté, son rire et sa pertinence nous permettent de partager toujours un moment agréable avec lui.
Enfin j’apprécie la plupart de ses musiques qu’il diffuse pendant l’atelier, elles favorisent l’état de méditation ou aident nos cellules à résonner davantage, voire à transmuter certaines densités.
Personnellement je complète ses techniques avec d’autres, mais c’est déjà beaucoup tout ce que Sébastien nous offre chaque dimanche matin dans ses ateliers transmis via Facebook ou google avec une telle générosité et un tel sens du partage. GRATITUDE à toi Sébastien.
5,0 sur 5 étoilesExceptionnel et à lire avec une belle ouverture.

Par Client d’Amazon le 24 septembre 2018 Format: Broché Achat vérifié

Vraiment exceptionnel, j’ai vraiment aimé.

5,0 sur 5 étoiles – Un très bon livre profond et qui peut avoir un impact fort sur votre vie.

Par JASKOLSKI le 17 septembre 2018 Format: Broché Achat vérifié

Un livre étonnant, qui ne paie pas de mine au premier abord, original et profond, fou et génial, c’est dieu qui vous parle donc la plus haute partie de vous même !
Si vous pratiquez les mantras dans un état méditatif, vous pourriez voir de profonds changements venir dans votre vie ! Et à la fin un magnifique poème « ma meilleure création ». Je recommande vivement, à lire en appoint avec les vidéos de Sébastien.

5,0 sur 5 étoiles – Bon livre.

Par Marcangeli le 15 septembre 2018 Format: Broché Achat vérifié

Bon livre bien écrit ce lit simplement avec de bonne déduction.

5,0 sur 5 étoilesLa clarté matérialisée en livre !

Par Client d’Amazon le 2 août 2018 Format: Format Kindle Achat vérifié

Extraordinaire ! Je recommande chaleureusement ce livre qui est d’une clarté parfaite ! Un grand moment pour moi et une avancée du coup au niveau intérieur. Il est extrêmement bien illustré d’exemples pris dans la vie de tous les jours et de tout un chacun. Une petite merveille !

5,0 sur 5 étoilesTout y est… Simplement, efficacement !

Par Client d’Amazon le 9 juillet 2018 Format: Broché Achat vérifié

C’est un livre qui a la simplicité des très grandes choses. Simplement parce que tout est dit, décrit. C’est une invitation à Soi pour qui saura pratiquer. Une invitation pour un très beau chemin de vie.

5,0 sur 5 étoiles – C’est une clé.

Par Lune Taqqiq le 6 juillet 2018 Format: Broché Achat vérifié

Il y a des livres clefs… Oui ces livres qui vous marquent vous imprègnent vous bousculent jusqu’au plus profond de vous m’AIME…

Ils sont habités .et viennent toucher votre âme. Ils provoquent le déclic de l’1 possible. Cette ET-VIE-DANSE qui enchante et redonne du sens à notre existence…et comment s’y réaliser, vivre nos rêves …

Le mode d’emploi est là accessible main-tenant. Être conscient que nous créons notre réalité…et que nous l’avons toujours fait… C’est libérateur et Jouissif. Sébastien je l’ai rencontré lors de ses stages… Oh il n’a rien d’un gourou ou d’un directeur de conscience.. si vous cherchez quelqu’un qui va vous dire comment vivre, passez votre chemin.

Ici nous devenons responsable…hé oui…pas question de remettre son pouvoir personnel à qui que ce soit…Il a cette aptitude exceptionnelle à vous révéler…à vous accompagner pour que vous puissiez vous accorder ce qui vibre au fond de vous, Il sait mettre en lumière les mécanismes qui nous limitent et tel un horloger il sait réajuster les rouages grippés…

Pour relancer une dynamique créatrice affranchie des contraintes disqualifiées, obstacles à nos aspirations profondes. Ce dont je vous parle ici…reste très conceptuel…c’est comme l’Amour ou la neige…il faut l’avoir touché, l’avoir vécu pour savoir , connaitre ce que cela est.

Oui ce qui est offert par Sebastien c’est très concret palpable et transformateur. Un cadeau à se faire…je souhaite que le plus grand nombre d’Humains puisse faire cette expérience… j’ai la certitude que cela changerait le cours de l’Humanité.

 4,0 sur 5 étoiles – Très agréable.

Par Alcacer Alexandre le 4 juillet 2018 Format: Broché Achat vérifié

Un tres bon livre pour les chercheurs de vérité qui résument beaucoup de grands concepts primordiaux tout en aiguillant vers d’autres auteurs qui en ont été les inspirations.
A la lecture de certains commentaires négatif j’aimerai dire qu’on ne lit pas ce livre avec le mental sinon en effet c’est la confusion, on trouve trop de répétition on prend peur de la folie ( du génie de de la folie ?), il faut le lire avec le coeur, détendu et dans le ressentis des choses. C’est un peu comme avec « le pouvoir du moment présent » d’Eckart Tolle: le mental ne peut saisir ce qui dit justement a votre Etre de stopper le mental pour enfin être..

5,0 sur 5 étoiles – EXALTANT.

Par ENFANT le 30 juin 2018 Format: Broché

A la lecture de ce livre l’espoir renaît. Il est possible de remettre le pouvoir créatif humain en marche (à la condition de se mettre en action bien sûr).

5,0 sur 5 étoilesMoi, Quoi ? (c’est Quoi Moi ?)

Par Mayale 28 juin 2018 Format: Broché Achat vérifié

QUI a écrit ces livres ? QUI lit ces livres ? QUI suis-je ou plutôt QUE suis-je ? Reconnexion au Cœur (grâce aux mantras du livre, l’activité mentale de recherche s’apaise, et il est su que le « chercheur » n’a jamais existé, ce n’était qu’une activité, et que la séparation était illusoire, fictive, un mirage). -) Gratitude, Amour & bénédictions à Chaqu’L’UN en multidimensionnalité ici et Maintenant 💞

4,0 sur 5 étoiles – Brahmadev: Livres et ateliers.

Par audrey provençal le 28 juin 2018 Format: Broché

Brahmadev transmet un autre regard à travers ses livres et ses ateliers, ce regard, cette nouvelle façon de voir les choses aident déjà à sortir de la souffrance.

Je souhaite témoigner particulièrement des ateliers « pourquoi je? » de Sébastien Socchard (Brahmadev): D’abord Il a une excellente technique de respiration (pranayama) pour nous mettre très vite en état de relaxation et nous relier à notre inconscient, car c’est l’inconscient que nous réinformons pendant cet atelier.

Sa clairvoyance lui permet de déceler certains de nos schémas ou croyances négatifs ou erronés à l’oeuvre derrière nos blocages, Sébastien nous invite alors à formuler de nouvelles informations positives.

Ce que j’apprécie particulièrement, c’est la constante bienveillance avec laquelle il répond à chacun, il crée un climat propice à accueillir tout ce que nous sommes sans jugement, et c’est très rare aujourd’hui. Sa simplicité, sa bonne humeur, sa légèreté, son rire et sa pertinence nous permettent de partager toujours un moment agréable avec lui. Enfin j’apprécie la plupart de ses musiques qu’il diffuse pendant l’atelier, elles favorisent l’état de méditation ou aident nos cellules à résonner davantage, voire à transmuter certaines densités.

Personnellement je complète ses techniques avec d’autres, mais c’est déjà beaucoup tout ce que Sébastien nous offre chaque dimanche matin dans ses ateliers transmis via Facebook ou google avec une telle générosité et un tel sens du partage. GRATITUDE à toi Sébastien.

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Brahmadev témoigne de sa première expérience d’éveil lors d’une séance de Shiatsu.

Quel est ton parcourt spirituel ? Brahmadev témoigne de sa première expérience d’éveil lors d’une séance de Shiatsu. Pourquoi fais tu des ateliers, des vidéos ?
Extrait des question de l’atelier de septembre à Paris.
Sébastien Socchard / Brahmadev, auteur du livre « Qui êtes vous? »

Interview conférence de Kunzang du 9 juin 2014

Kunzang : « Je dis que nous sommes tous Dieu et personne ne peut démontrer que ce n’est pas le cas !  »

Questions du public :

Q : mais si je suis Dieu, pourquoi ne puis-je pas faire bouger les objets par ma seule volonté ?
K : parce que nous nous sommes incarné sur terre sous forme humaine et que les humains de notre stade n’ont pas ce pouvoir. Heureusement, sinon nous nous auto-détruirions très vite ! En général, la vie nous donne des pouvoirs en fonction de notre niveau de de conscience et en fonction de nos besoins.

Q : mais si je suis Dieu, pourquoi est ce que je souffre ?
K : pour expérimenter la matière, nous humains bénéficions de sens très développés nous permettant d’agir et de ressentir dans cette dimension. Ces sens permettent de jouir de la matière : odorat, goût, vue, ouïe, toucher. Aussi, la polarité inverse de la jouissance, la souffrance physique nous est accessible. Au départ cette fonction nous permet de survivre et de retirer la main du feu !

Q : et la souffrance psychologique ?
K : elle fait partie de l’illusion du personnage. L’identification à un personnage permet d’expérimenter les souffrances du personnage. A la fois elles existent réellement pour le personnage, et à la fois le personnage n’existe pas. Si vous modifiez le personnage, ou si vous le dissolvez en modifiant sa psyché, les souffrances psychologique disparaissent. C’est ce qui se passe lors des méditations, lors de prise de conscience.

Q : pouvez-vous démontrer et prouver que nous sommes Dieu ?
K : Oui, et c’est très simple : vous existez et vous êtes vivant non ? Un univers entier existe non ? Ceci est ma démonstration ! D’après vous, d’où venez vous ? En réalité, c’est juste mon expérience lors des états de Samadhi. Chacun doit le découvrir par lui-même, soit en tombant amoureux successivement, soit en souffrant de plus en plus, parfois jusqu’à la mort du corps physique. Si vous n’êtes jamais tombé amoureux, si vous n’avez pas expérimenté le divin, vous ne pouvez pas encore comprendre. Dieu n’est pas quelque chose que nous pouvons comprendre mais que nous pouvons « vivre ». Il ne s’interprète pas avec le mental, les fonctions du cerveau gauche, mais avec le cœur et le corps. De la même façon, il n’est pas possible d’expliquer à un sourd le requiem de Mozart.

Q : est ce que votre expérience est valable pour les 7 autres milliards d’habitants ?
R : pas forcément, c’est juste ma vérité, mon expérience. Par contre de nombreuses personnes peuvent vivre mes expériences. La plupart des humains ne l’ont pas expérimenté, du coup ils ne sont pas Dieu dans leur système, ils vivent donc une vie humaine.
(Poème : Agis comme un homme, un homme tu seras. Agis comme un roi, un roi tu seras. Agis comme un Dieu, un Dieu tu seras, Kundun 2011)

Q : Cette affirmation que nous sommes Dieu a t-elle été testée par le filtre de Socrate ?
K : oui, et elle fonctionne :
a) elle est vrai
b) elle est positive
c) elle peut vous apporter quelque chose

Q : si nous étions Dieu, pourquoi laisserions nous tous les malheurs de la terre se réaliser ?
K : certains événements sont vu comme des malheurs, en réalité, ils ne sont que le résultat de la loi de cause à effet, du Karma. Du point de vue de l’absolu où se situe Dieu, d’un point de vue non duel, tout est toujours parfait, y compris les soit-disant « malheurs » qui ne sont que des expériences « voulus » au niveau de l’âme humaine et divine. C’est forcément difficile à admettre si on reste dans une perspective humaine et duelle. Le non jugement et la non dualité permettent de comprendre que tout à un sens, souvent invisible à l’humain. Il faut se positionner plus haut pour voir l’ensemble du tableau.

Q : qu’est ce qu’il y avait avant le big bang ?
K : il n’y a pas d' »avant » le big bang car l’illusion du « temps », dans cet espace temps, dans notre dimension à été créé au moment du big bang. Par ailleurs, le temps n’existe pas, il n’y a donc pas d’avant ni d’après. Il n’existe réellement qu’un seul grand moment présent que nous pouvons expérimenter dans certains cas : extase mystique, état amoureux, orgasmes, éveil, etc… C’est le mouvement et la loi de cause à effet qui donne l’illusion du temps : cf texte complet sur : l’illusion du temps.

Q : comment avez-vous expérimenté  le fait que nous soyons Dieu ?
K : par des méditations profondes, par des prises de conscience, par des états de Samadhis, comme des milliers de personnes avant moi. (Ramana Maharshi, Sri aurobindo, etc…)

Q : est-ce que la science pourrait démontrer que Dieu existe ?
K : les sciences sont juste des techniques de modélisation du vivant et de l’inerte, les sciences découvrent les lois de la nature et de l’univers. Il faut s’entendre sur la définition de Dieu. Cf les définitions Infinite love.
La science démontre chaque jour une partie de la réalité : tout est énergie et tout est conscience intelligente = Dieu = conscience infinie = amour infini = présence. La science est en train de démontrer que tout est conscience, que tout est énergie. Einstein disait que Dieu ne joue pas au dès.

Q : pourquoi sommes-nous Dieu ?
K : parce que « tout » est Dieu à un certain niveau, que nous sommes « tout »et qu’il n’y a que nous, partout, parce qu’il n’y a rien d’autres. Dieu n’est pas ce qu’on croit, c’est juste un autre mot pour conscience infinie, pour amour infini, pour présence.

Q : pourquoi expérimentons nous une vie humaine si nous sommes Dieu ?
K : par amour pour tout ce qui existe dans l’univers, y compris par amour de l’être humain.
Dieu expérimente chacune de ses facettes, nous en sommes une parmi d’autres, comme les plantes, comme les minéraux, comme les animaux, comme les planètes, etc…

Q : a quoi ça sert tout ca ?
K : à expérimenter, à jouir de la vie, à être, à se renouveler, à apprendre, à se surprendre, a toujours grandir, vers l’infini, à créer, à tomber de nouveau amoureux, car rien n’est plus grand que cela.

Q : comment pouvez-vous être certain de ce que vous avancez ?
K : parce que je l’ai expérimenté.
Q : comment ca ?
K : dans certaines méditations, on devient tout l’univers, on accède à des informations incroyables. (A lire, les rapports de samadhis.)
Q : qu’est ce qui prouve que votre expérience n’est pas un rêve, que ce n’est pas votre imagination ?
K : rien. Je dirais même le contraire, que mon expérience est un rêve, que tout vient de mon imagination ! En effet, cette réalité est aussi réelle que nos rêves, et personne ne peut me démontrer le contraire non plus. Lorsque vous rêvez, vous avez vraiment l’impression que c’est réel non ? J’ai un ami qui a vécu 6 vies et donc 6 « rêves » pendant un coma du à un accident. Quand il s’est réveillé à l’hôpital, il s’est dit : je suis dans ma 7è vie, encore un rêve à passer…
Par ailleurs, l’imagination n’est pas ce qu’on croit. L’imagination est une fenêtre sur d’autres réalités. De la même façon que Jules Vernes et Léonard de Vinci imaginaient le futur, j’imagine, je reçois des informations, comme tout ceux qui crée quelque chose dans ce monde…
Q : alors tout ce qu’on imagine existe ?
K : oui, c’est ça, tout ce qu’on imagine est reçu dans notre réalité, dans notre système, c’est une façon de recevoir des informations de dimensions existantes. C’est comme la télévision, notre cerveau est un organe de réception de pensée, comme les yeux sont un organe de réception de lumière. En 2014, nous n’avons pas encore intégré les découvertes de 2050, c’est normal non ?
Q : comment pouvez-vous prouver cela ?
K : je ne peux pas, mais personne ne peut me démontrer le contraire non plus. Par contre il y a dans l’histoire des signes qui démontrent ce que je dis. (Léonard de Vinci, Jules Verne, Nicolas Tesla)

Q : mais alors qui crée véritablement si nous ne faisons que capter les choses ?
K : c’est nous. Paradoxalement, il y a des nous partout, comme nous sommes Dieu, et en fait, c’est nous en tant que dieu créateur qui créons, à chaque fois que nous « découvrons » quelque chose. Notre conscience localisée et individualisée a accès à toutes les ressources de l’univers en fonction de son niveau de conscience. Ainsi Dieu « à travers nous » crée. Nous sommes des outils du divin en quelque sorte. A la fois nous sommes tous Dieu, et à la fois nos corps sont des outils de l’âme universelle. Dès que nous manifestons dans la matière ce que nous avons « imaginé », c’est à dire ce que nous avons « reçu », nous matérialisons les idées de quelque chose qui est plus grand que nous : la conscience infinie, l’intelligence de l’univers.

Q : donc au départ, cela n’existe que sous forme d’idée divine non matérialisée ?

K : Soit ce n’est pas encore matérialisé, soit cela existe dans d’autres dimensions. Nous sommes fait pour matérialiser les idées dans cette dimension. Mais c’est plus compliqué que cela car tous les scénarios sont joués en parallèle. Parfois nous avons des intuitions profondes, parfois nous ressentons des frissons concernant notre meilleur scénario n’est ce pas ?

Q : mais d’où viennent les idées alors ? Qui les crées ?

K : les idées s’assemblent toutes seules, elles sont le résultat d’autres idées « racines ». Il y a au départ des idées originales qui se rencontrent avec d’autres idées plus récentes. Par exemple il y a l’idée de voiture qui est apparue. Quand cette idée à rencontrée l’idée de « rouge » plus ancienne, et bien l’idée d’une voiture rouge est apparue. Avez vous déjà reçue une idée qui n’était pas connectée à quelque chose d’existant ? Non bien sur… Pourquoi ? Parce quand nous recevons une idée, et cela m’est arrivée dans mes états de conscience modifiée, quand nous recevons un concept ou une idée que nous ne pouvons pas rattacher à notre expérience passée, celle-ci reste tout simplement incompréhensible et difficilement mémorisable ! C’est comme quand vous avez un « mot sur la langue » et que vous ne le trouvez pas. De nombreuses idées nous sont inaccessibles car nous n’avons pas les bases. Par exemple, nous n’avions pas suffisamment de concepts de base pour découvrir l’électricité avant le 17è siècle. Et c’est bien sur en connexion avec cette idée que tous les appareils électrique ont pu être inventé. Si je vous apporte le concept de pile à énergie libre qui puise son énergie dans le vide, et bien vous allez pouvoir adapter cette idée à tous les nouveaux équipements électrique !

Nous pouvons capter parfois des concepts nouveaux, mais cela nous demande un effort considérable car nous devons les « rattacher » à l’existant. Si nous ne pouvons pas les rattacher, il sont juste perdus. Accéder au divin lors d’état modifié de conscience ne signifie pas que nous pouvons « tout » ramener lorsqu’on revient, cela signifie que nous pouvons ramener ce que nous avons pu « intégrer » en nous, ce que nous avons réussi à « comprendre » et à formuler. Et si nous n’étions que des relais permettant aux Dieux de réaliser leurs fantasmes ? A la fois nous sommes eux, et à la fois ils sont nous…

En réalité, nous pouvons dire que nous « traduisons » les idées divine dans notre monde matériel, en fonction de ce que nous avons déjà compris. C’est ainsi que le progrès scientifique avance depuis des milliers d’années. Et plus je ramène de nouveaux concepts, et c’est l’idée des textes d’Infinite Love, et plus des méta-concepts deviennent accessibles. Les découvertes sont surtout des assemblages de concepts nouveaux avec des concepts anciens, des nouvelles façon différente de voir des choses déjà existante. Pour cette raison la diversité des points de vues est essentielle pour créer. Quand le monde entier aura compris que le cerveau est un organe de réception de pensée comme les yeux et les oreilles, le monde aura fait un progrès considérable…

Il y a un ancien poème Infinite Love qui décrit la création des premières idées : poème création de l’univers.

Q : sommes-nous libre ?
K : oui et non. Oui si nous sortons des conditionnements, si nous nous éveillons.
Non si nous restons dans l’illusion du personnage, si nous nous identifions a l’égo. Notre degré de liberté est directement proportionnel à notre degré de conscience. L’égo conditionné est un robot, libre de dérouler ses programmes. L’humain éveillé à une liberté plus grande, et la responsabilité qui en découle.

Q : croire qu’on est Dieu n’est il pas un personnage de plus ?
K : oui, c’est le cas si ce n’est pas expérimenté. Si c’est une vue du mental, tout a fait. Si c’est une réalisation vécue, cela devient une réalité expérimentale. La véritable question est : pouvons nous exister sans nous identifier à quelque chose, que ce soit un personnage, un être humain, Dieu ou autre chose ? La conscience peut sortir de l’identification lorsqu’elle fusionne dans l’instant présent, ce sont des états de plénitude et de paix infinie. En réalité, la conscience a besoin d’une perspective pour focaliser son attention sur le monde, et dès qu’il y a perspective, il y a identification depuis cette perspective. L’éveil, c’est aussi de comprendre que toutes les perspective sont juste et vrais, que nous sommes à la fois l’humain, la plante et les Dieux. Tout est une question de regards, de perspectives. cf P comme Perspective. Travailler les méditation non duelle, c’est justement une façon d’appréhender le divin, de comprendre que toutes les perspectives qui semblent s’opposer ne s’opposent pas, qu’elles peuvent coexister dans la présence.

Q : si nous sommes tous Dieu, pourquoi il y a t-il tant de guerres ?
K : car plusieurs aspects de la conscience s’opposent, c’est le jeu de la conscience qui teste plusieurs formes de systèmes, qu’ils soient religieux, économiques, sociaux, politiques.
Chaque idée est une forme de conscience qui s’expérimente et qui essaye de survivre, de se développer. La meilleure idée, le meilleur système survivra, les autres disparaîtront, et c’est parfait comme cela. Le plus solide, le plus fort, le plus résistant, le plus intelligent survivra. Tout notre univers est basé sur la vie, et la vie, comme Darwin l’a découvert, est basée sur l’évolution des systèmes et des espèces.
Les guerres matérialisées sont le reflet, la projection de guerre d’idées, de pensées, de points de vues. Tant que l’humain n’aura pas intégré toutes ses composantes, les guerres continuerons.
C’est l’acceptation de l’autre comme il est qui mettra fin aux guerres. C’est le respect de la diversité qui permettra un système moins violent. Quand l’humain aura réalisé qu’il est Dieu et que c’est lui même qu’il maltraite, qu’il tue ses propres frères et sœurs, il arrêtera.
Mais sommes-nous capable en tant qu’humain de reconnaître à l’autre le droit d’exister tout en étant soi-même. C’est tout l’enjeu actuel de notre civilisation.

Q : pourquoi l’homme est-il un loup pour l’homme ?
K : parce que l’homme a oublié qu’il était Dieu, parce qu’il s’est perdu dans son personnage, identifié à  son rôle. Il croit vraiment que l’autre est un ennemi, alors qu’il est juste là pour faire miroir.
Quand le loup se voit, il peut prendre peur, ou tomber amoureux, c’est à lui de décider. Toute sa vie va s’adapter a ce choix.

Q : si nous sommes Dieu, pourquoi n’y a t-il pas plus d’amour sur terre ?
K : parce que l’humain ne sait pas qui il est réellement, ni où il va, parce qu’il n’a pas été au bout de lui-même, parce qu’il a oublié qu’il était divin, c’est ce qu’on appel « la blessure originelle », la « chute ». Lorsqu’il s’en rappelle il entre dans un état extatique incommensurable et inexprimable. L’amour est la compréhension que tous les autres sont nous. Cf définition de l’amour.

Q : mais si nous étions Dieu, ça se saurait, d’autres en auraient parlé avant !
K : Mais c’est le cas : Bouddah, Jesus, Ramana Maharshi, Ramtha et plein d’autres. Tous les chemins arrivent à  la même conclusion, qu’ils soient spirituels, scientifiques ou artistiques.
Dieu ne peut qu’être expérimenté et vécu. Ce n’est pas dans le mental qu’on peut le trouver, ni à  l’extérieur de soi, mais bien dans le cœur, a l’intérieur de soi.

Q : comment pouvons-nous expérimenter le divin ?
K : méditations, tomber amoureux, travaux artistiques, tout ce qui connecte au cœur, au cerveau droit.

Q : si nous sommes Dieu, pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ?
K : pour pouvoir refaire l’expérience de la vie, à l’infini. Par un processus d’effacement de notre mémoire  qui s’appelle la naissance et l’incarnation, nous avons la possibilité de revivre des moments magnifiques. Cela permet de vivre a nouveau des  » premières fois ». Quoi de plus beau qu’une première fois ? Cf texte de samadhi 2.
Nous pouvons « effacer l’oubli » et nous rappeler, par des expériences  de méditations, par des samadhis, par une expérience d’amour infini, en se laissant tomber amoureux, sans freiner ce processus naturel. Au bout du chemin de l’amour, il y a moi, il y a toi, il y a, nous.

Q : je ne crois pas en Dieu, je ne crois que ce que je vois, que ce que j’expérimente moi-même, pourquoi devrais je vous croire ?
K : surtout, ne me croyez pas, expérimentez par vous-même. Il y a suffisamment d’illusions et de croyances dans ce monde, inutile d’en ajouter ! Expérimentez et voyez ce qui fonctionne, ce qui existe dans votre système. Nous avons chacun un système propre avec notre vérité. Le pire est d’accepter des vérités toutes faites que nous n’avons pas expérimenter, cela mène vers l’illusion et le monde tel qu’il est : les gens gobent n’importe quoi car ils n’ont pas appris à réfléchir par eux même.
Le discernement, c’est de confronter nos croyances, nos conditionnements avec nos expériences sur le terrain. Si votre expérience vous démontre que vous n’êtes pas Dieu, alors continuez l’expérience, un jour vous tomberez amoureux, et alors si vous vous laissez aller, vous percevez un rayon de lumière. Si vous laissez entrer ce rayon, si vous vous concentrez dessus, vous lui laisserez de plus en plus de place. Et plus vous vous entrainerez à laisser l’amour s’exprimer, plus vous comprendrez.

Q : j’ai plein de problèmes dans ma vie, au niveau argent, amour, santé, et vous me dites que je suis Dieu, vous vous foutez du monde non ? Comment ceci peut il m’aider ?
K : les épreuves que nous subissons, le résultat de notre vie est le reflet de notre degré de conscience, de ce que nous croyons être. En même temps, nous sommes responsable de tout ce qui nous arrive. En sortant du personnage, progressivement, nous pouvons nous en apercevoir. (Cf texte m comme miroir. P comme projection)
Si notre environnement ne nous convient pas, la question à nous poser est : que puis-je faire pour en changer. Il est parfois difficile de prendre la responsabilité de sa vie, cela nécessite du courage.
A lire : g comme guide

Q : si je suis Dieu, mais alors qui va m’aider, qui répond à mes prières ?
K : c’est tout l’univers tout entier qui vous entend et qui essaye de vous aider ! Simplement il faut aussi écouter  les réponses de l’univers et arrêter de dire non à chaque fois qu’il essaye de vous aider. Écrivez ce que vous voulez vraiment, puis soyez a l’écoute des signes, des synchronicités.

Q : et si vous vous trompiez sur cette affirmation que nous sommes Dieu ?
K : comment pourrais-je me tromper sur mon expérience ? Nos expériences ne sont-elles pas notre seule réalité ? Est-ce que les croyances des autres peuvent être plus fortes que ma propre expérience ? Non bien sûr. De plus, toutes les voies spirituelles, scientifiques, artistiques humaine confirment cette affirmation. Depuis des milliers d’années, tous les êtres réalisés disent la même chose. De Bouddha, à Jésus puis Ramana Maharshi et tous les êtres ayant réalisé Dieu. Ce n’est pas  très original en réalité, c’est juste que c’était un peu oublié !

Q : pourquoi ce secret a t-il été si bien gardé, si longtemps ?
K : parce qu’il donne un pouvoir infini a celui qui l’expérimente. Il génère chez ceux qui l’expérimente une énergie d’amour fantastique. Si nous regardons l’histoire de ces 10000 dernières années, on voit bien que ceux qui ont eu le pouvoir ont toujours cherché à le conserver, et non pas à le partager. Les temps changent, le monde est en train de s’éveiller, et dans quelques temps, cette affirmation sera une évidence pour tous les peuples. Beaucoup d’humains  le perçoivent déjà, le monde change à une vitesse très importante.
Comprendre et expérimenter  le fait d’être Dieu donne du pouvoir à l’homme : il le rend sacré, quel que soit son niveau social, son état, son pays, sa religion. Cette compréhension nous harmonise puisqu’elle permet de comprendre que nous sommes réellement un.
Cf poème imagine et texte sur la conscience.
Plus il y aura de personnes qui expérimenterons l’amour, l’expérience de l’unité, plus la planète  guérira de ses souffrances et pourra passer à la suite, c’est à dire l’ère des génies.
Et pourtant, certains en ont parlé : je suis avec le père et le père est avec moi. (Jésus)
L’homme est à l’image de Dieu disait-on autrefois, aujourd’hui, en 2014 on dirait plutôt : « nous sommes un hologramme de Dieu », une représentation holographique de l’ensemble de l’univers.

En langue maya, depuis plus de 4000 ans, on se dit bonjour en disant, « in lakesh » qui veut dire « tu es un autre moi, et je suis un autre toi ».

Merci pour votre participation.

Fin de l’interview conférence. A bientôt.

Kunzang, le 9 juin 2014,

Retravaillé le 28 décembre 2014

 

Témoignage du Samadhi numéro 3

Témoignage du Samadhi numéro 3 :

Durée : de 20h11 à 6h45. Écriture de ce texte à 9h03 le 13 octobre 2013.

Commencement de la cérémonie : après avoir travaillé le Yang, par des cris, des sauts, du trampoline, le corps était prêt, rempli d’énergie après un jeune liquide de 10 jours.

Début : musique de tam tam de Marc pendant au moins une heure et demie.

Pendant au moins 30 minutes, j’entre en transe grâce au tam tam, criant comme un loup, tapant comme un gorille. L’entrée dans la matière est très chamanique. Pendant 20 minutes, une ancienne réincarnation d’une vielle dame chamane entre en moi et me montre tout un tas de mouvements des bras et des mains, je fais comme un ventilateur, un total surrender, c’est magnifique, je la laisse faire.

Mon troisième animal Totem est le chien loup !

Et puis, soudainement, j’entre en mode « Bouddha », une extase aussi importante qu’au premier Samadhi.

Comment ai-je pu oublier ce que je suis ? Comment ai-je pu oublier mon état « normal » de conscience ?

Je suis de nouveau le Dieu Intérieur.

Parfois quelques couleurs avec des points de toutes les couleurs dans un espace noir, et aussi, des décors de flux indescriptibles, nous sommes en plein décors de science-fiction.

Par rapport aux deux premiers Samadhi, le corps s’est habitué, il n’y a aucun désagrément, juste une surtension avec des éclairs de Kundalini tout le temps. Je suis en position bouddha avec les mains ouvertes sur mes cuisses, vers le ciel. Je me connecte et ressent le flux cosmique.

Au pays des géants, je suis redevenu l’univers, puis une galaxie. Il y a d’autres Dieux autour de moi. Nous sommes réunis de nouveau, écoutant les musiques de la magnifique playlist qui a été préparée.

Des musiques avec des voix extraordinaire permettent de se nourrir littéralement des émotions et de la vie de ceux qui chantent. Ce sont des dieux qui chantent et qui ont composé ces musiques.

Nous nous nourrissons de leurs âmes quand ils chantent, c’est magnifique.

Dans un état d’extase et de béatitude qui durera au moins 2h30, j’écoute, je vis, je meurs à travers eux car je n’existe plus, c’est un Dieu qui vit à travers moi.

Ce n’est pas moi qui écoute, c’est « lui » ou plutôt « elle » qui vit à travers moi.

Et là, je prends conscience : sans moi ce Dieu n’est rien dans la matière, essence absolue de tout ce qui est, et tellement partout tout le temps, ce Dieu a besoin de moi. C’est totalement paradoxal, je ne suis rien, et en même temps, je suis la seule façon pour lui de s’incarner dans cette dimension.

Nous n’existons pas et à la fois, nous sommes tous l’incarnation de dieux vivants, c’est incroyable.

Dans une béatitude infinie, je jouis de la musique qui coule en moi.

Chaque cellule qui est réellement et littéralement l’incarnation dans cette dimension matérielle de mon Dieu car il y en a à la fois « un » et « plusieurs », chaque cellule vit à travers la musique.

Et je me rends compte de quelque chose de très curieux : tout bouge, l’univers est instable en mouvement, mon corps bouge et se construit à chaque seconde, ma conscience aussi se développe et grandit, mais une seule chose est statique dans tout l’univers, c’est incroyable.

La musique est statique et ne bouge pas : elle est le centre du monde quand je l’écoute !

Du point de vue de la musique, rien ne bouge, c’est la conscience projetée qui donne le mouvement. Tout est une question de point de vue : tout est immobile là où il y a la conscience concentrée.

Tout l’univers est en mouvement autour d’une seule et grande idée : la musique que j’écoute dans cet instant présent : il n’y a qu’elle, elle est là, précipitation dans la matière et incarnation d’une idée, d’une émotion, témoignage de la vie du chanteur et du compositeur.

C’est fantastique : la musique est une vibration immuable, réalisée. Elle est réalisée, terminée, ne bougera plus : les accords, les notes, la voix, c’est une réalisation statique, fixe non dynamique qui « est » ce qu’elle « est » et il y a une magie dans cela. De nombreux êtres, de nombreux univers, de nombreuses dimensions sont passionnés et complètement dingues de ces musiques.

Bien sûr, le choix n’a pas du tout été fait au hasard, il s’agit d’un diner, avec des plats, les musiques sont des plats. Les dieux sont venus les gouter, les savourer.

La bouche ouverte, je reste en extase devant autant de magnificence. Comment avons-nous pu réaliser cela ?

Car c’est toute la vie et l’âme de l’auteur et du chanteur qui s’exprime.

A ce moment, d’autres prises de conscience arrivent.

En même temps que j’écoute ces musiques, ce qui pourrait sembler récréatif mais pas du tout, je prends conscience de ma propre divinité et des divinités qui écoutent avec moi.

A la fois il n’y a qu’un Dieu et nous sommes un, et à la fois, je sens la présence et la compréhension qu’il y a des sous-perspectives de Dieu.

A la fois, il n’y a qu’un seul grand Dieu, et à la fois, ce Dieu s’expérimente sous la forme de nombreux stéréotypes, sous forme d’archétypes.

Il existe des formes pensées, des formes de consciences qui sont des perspectives divines, des lumières, des couleurs, des sons, des vibrations, des façons pour le divin de s’expérimenter.

Et là, je prends conscience et je réalise les caractéristiques du Divin qui vit en moi : au plus profond de mon âme, c’est ce que je suis, un archétype vit à travers mois, c’est extraordinaire.

Cet archétype de Bouddha est « le » ou plutôt « la » suivante car il s’agit d’une polarité plutôt féminine.

Elle est la gentillesse et la bonté infinie. Elle préfère mourir plutôt que de faire du mal à toute forme de vie. Unie dans l’amour infinie, elle est prête à se sacrifier si besoin, plutôt que de se renier.

La chose la plus importante pour cette déesse, qui est un bodhisattva, est d’être ce qu’elle est.

Si elle décidait de se modifier, c’est à dire de faire une exception, ou de décider de ne pas être cela, c’est à dire l’infinie gentillesse et l’infinie bonté, elle disparaitrait. C’est une question de vie ou de mort pour ce bodhisattva, d’existence ou de non existence plutôt puisqu’elle vit à travers de nombreux humains notamment.

C’est fou !!!

Au-delà d’être idéaliste, c’est la chose la plus profonde qui s’est incarné en moi. A ce moment, une partie de ma conscience se rend compte de toutes les limitations et inconvénients de vivre cette déité. Comment vivre ce bodhisattva sans se faire détruire par l’environnement ?

L’essence même de ce bouddha est la non-violence. La compréhension que l’autre est soi réellement. Et si ce bouddha décidait consciemment d’agir en dehors de ce qu’il est, de son périmètre, elle s’autodétruirait instantanément.

Je suis la pensée, je suis le bouddha qui expérimente le fait de vivre dans ce concept. Je suis la gentillesse et la bonté infinie.

Et là je comprends Jésus : si on te frappe, tend l’autre joue.

Plutôt mourir que de trahir ce que je suis : je suis l’amour et la bonté infinie.

Mourir n’est rien puisque nous avons de nombreux corps. Trahir son âme et son esprit n’est pas possible.

Au-delà de la non-violence, il s’agit-là de l’infinie idéalisation d’une idée, d’un bouddha.

Et le Dieu que je suis, ce bouddha, est venu s’incarner pour voir si cette idée est possible techniquement.

Pouvons-nous vivre les uns avec les autres sans violence, sans séparation, sans tuerie?

On a du boulot !!

Surtout que d’autres dieux et idées sont concurrentes : l’idée de que l’homme est mauvais, bla bla bla.

Oh my god, nous sommes en mouvement dans une guerre des dieux.

Et je vois très clairement tout à coup la compréhension de Platon, de Socrate, tous ces dieux grecs existent réellement. Au-delà du grand Dieu qui est le tout, il y a tout un tas d’idées, de formes pensées, de Dieu, d’énergie divine qui s’expérimente, de « demi-dieu ».

La terre est un laboratoire d’idées ! Dans lesquels les dieux jouent et s’affrontent. Nous sommes leurs véhicules.

A travers chacun d’entre nous, de nombreux dieux vivent et se battent : dieu de la guerre, de l’amour, de la création, de la musique, des affaires, du sport, du corps.

Ce qui est magique et incroyable, c’est de voir que plusieurs dieux peuvent vivre à travers nous.

Nous sommes tous connectés à des archétypes qui sont des dieux.

C’est ce que nous voyons et que nous appelons des « caractères ». Mais bien au-delà de cela, ce sont des énergies très fortes et très puissantes qui à travers nous se vivent.

Ce n’est pas nous qui tombons amoureux, c’est le Dieu à travers nous.

Une fois que nous avons dissout le personnage, une vie divine apparait car le Dieu peut vivre plus pleinement. Le niveau de conscience augmente et il peut vivre de façon plus profonde.

C’est à ce moment que Marc décide d’interrompre ma musique…

En état extatique intense dans la joie et l’amour, je rigole.

En même temps, et c’est très amusant, je sens un des dieux très mécontent de ne pas pouvoir écouter la suite car justement, tout avait été programmé pour que le pic de musique divine soit joué en même temps que le pic de Samadhi.

C’est drôle, mais je sens qu’il n’est pas content. Il s’agit du Dieu soldat qui vit en moi aussi. C’est lui que nous sommes en train de poweriser en travaillant les chakras 123. Sa fonction est d’aider la déesse de la bonté à survivre.

Je le sens, sur la droite, il est loin, et il est en colère. Que c’est drôle de voir un Dieu en colère !

Dans ce monde des dieux, je sens plusieurs forces et formes pensées qui se diffusent.

Chaque Dieu a ses lignes de forces, ses objectifs, son « être » qui veut quelque chose.

Marc met des musiques de son gout, et permet à son propre Dieu d’être et de vivre cette méditation magnifique. Lui aussi, comme chacun d’entre nous a sa propre volonté.

Et je prends conscience que chaque être humain est un univers constitué de règles, de limitations, de compréhension, et chaque être est un canal permettant à un ou des dieux d’incarner des idées dans la matière.

Le personnage n’a jamais réellement existé, ce qui existe, ce sont des flux de consciences, d’informations qui diffusent des idées, des pensées. Les humains sont comme des pantins, le jeu de toutes ces pensées qu’ils reçoivent.

Tel un grand jeu vidéo, la terre est le théâtre de ces mouvements de forces.

Et là, je comprends que nous sommes comme un tableau de peinture, ou comme une musique.

Imaginons les couleurs bleu, jaune, rouge, vert, orange, etc.

Chaque couleur est un dieu, une idée, une pensée, un archétype.

Chaque tonalité, chaque note aussi : une pensée.

Tout est vibration, que ce soit par des couleurs ou des sons.

Ce que nous sommes, nous humains, nous sommes des tableaux, nous sommes des musiques.

Nous sommes une somme de vibrations, de couleurs, de notes formant une mélodie.

Et chaque couleur, chaque accord, chaque note est un Dieu.

Lorsque les dieux peignent des tableaux,

Lorsque les dieux créent des mélodies,

Ce sont nos vies qui, en mouvement, se jouent.

Nous sommes le résultat de leur créativité.

A un moment, le son n’est pas assez fort, on demande à le remonter. A un moment, je remonte le son, puis Marc le baisse. Quelle violence !

Ce n’est rien, mais en mode « Dieu », en mode « Bouddha », tout est pris de façon plus sensible, c’est incroyable.

Bien sûr, c’est un test, et il n’est pas question de remonter le volume. La violence amène la violence, et le bout de ce chemin s’appelle la guerre.

Je suis l’idée que l’on peut être sans violence et que nous pouvons tous vivre les uns avec les autres dans l’amour. Ce bouddha est ce que je suis, c’est confirmé.

Bien sûr, cela ne va pas me simplifier la vie humaine !!!!

Ce que je comprends aussi, c’est que si cette idée échoue ou disparait, à terme, le dieu s’affaiblira et la terre redeviendra ce qu’elle était il y a 2000 ans.

Parfois plusieurs dieux peuvent se battre dans une personne, c’est ce qui se passe pour les schizophrènes et lors des exorcistes.

A la fois nos vies n’ont aucune signification, et à la fois, si cette idée ne lutte pas pour survivre, elle n’existera plus et nous vivrons tous dans un monde de violence.

La planète terre est exactement, au millimètre, la représentation et l’incarnation dans la matière des toutes les formes pensées et archétypes de la galaxie.

Ce qui est en bas est comme en haut ! Nous sommes à la jonction de nombreuses forces et dieux.

Ce n’est pas du tout une question de bien ou de mal puisque ceci ne sont que des points de vues. C’est une question de formes pensées, d’idées qui s’expérimentent, de rapport de forces.

A la fois, tout ceci n’a aucune espèce d’importance (cf. samadhi1) et à la fois tout ce que nous vivons et expérimentons est vital pour les dieux.

Et je comprends bien désormais le concept de dieu de dieu de dieu. Cf. poème imagine.

A un Moment, Mikel vient me voir, c’est magnifique. Nous partageons ces moments de bonheur et d’extase. Je sens que mon bouddha déesse vit en lui aussi. C’est ce qu’on entend par âme sœur, en fait c’est la compréhension que le même dieu vit en nous.

D’ailleurs nous le voyons très bien dans la vie de tous les jours : qui se ressemble s’assemble et qui ne se ressemble pas peut parfois s’opposer et se diviser.

Tout est tellement parfait tout le temps.

Du coup, de nouvelles prises de conscience sur la violence apparaissent : nous pouvons tous être très violents sans nous en apercevoir. Soyons plus sensible et plus à l’écoute. Laissons l’autre libre d’être ce qu’il est. Laissons l’autre choisir les propres règles de son univers.

Et à la fin, au bout de 9 heures au moins, après la descente de Samadhi, une énorme compréhension m’arrive : je voulais expérimenter Jésus, bouddha, et là je comprends : l’impossibilité d’être compris.

« Plus nous nous éveillons, plus notre niveau de conscience augmente et plus nous sommes incompris. » Kunzang 2013

Jésus a préféré se faire crucifier et les a laissé se faire tuer plutôt que de devenir comme eux, c’est à dire se battre pour imposer son idée d’amour infini.

Il n’avait pas d’autres choix que la non-violence et que de les laisser le tuer. Judas était le seul à l’avoir compris.

Ainsi il a gagné la partie, montrant aux hommes et aux autres dieux à quels points ils étaient cruels et cupides. Il a marqué les esprits. Et quelle incompréhension ! L’amour infini contre des flèches et des armes.

Et là une énorme vague d’émotion arrive : incompréhension infinie des hommes envers ceux qui ont laissé les dieux vivre à travers eux.

Je sens l’énergie christique et bouddhique comme un flot à travers mois. Finalement, l’intention de départ a eu lieu : que ressentait bouddha, jésus. J’ai un aperçu maintenant. Beaucoup d’incompréhension, beaucoup d’extase et d’amour.

Autre compréhension : la violence génère de la violence, l’amour de l’amour. Il y a une vibration qui se propage à chaque instant. Ce que nous sommes se propage.

Et chaque action, et chaque comportement n’est que le reflet de notre univers, de ce que nous sommes.

Je suis redevenu un enfant, je ne comprends pas pourquoi on me dit non, pourquoi je ne suis pas libre de faire tout ce que je veux. C’est extraordinaire d’être redevenu un enfant, à la fois je suis dieu et à la fois je suis un enfant. Et là je réalise à quel point les enfants sont victimes de violences. Tous les parents devraient prendre des cours de communication non violente !

A ce moment-là, je suis comme un enfant, naïf, je ne comprends pas pourquoi on ne peut pas mettre la musique plus forte ? Et je comprends la phrase de Jean Paul Sartre : l’enfer c’est les autres s’ils ne font pas ce qu’on veut, et ils sont le paradis s’ils sont d’accord pour faire ce que nous souhaitons. Très amusant. Nous sommes un, l’autre est moi, mais en même temps, il expérimente autre chose, parfois des divinités opposée !

Finalement tout est un cadeau, même les épreuves.

Nous touchons là à la définition de la vie : regardons le nombre d’espèces sur terre, regardons comment elles sont en concurrence, comment elles cohabitent, survivent, se propagent, s’anéantissent. Regardons comment l’égo de l’homme par stupidité scie la branche sur lequel il est en tuant l’Amazonie, les espèces animales et végétales.

Le respect de la volonté de l’autre est fondamental. Il est très important de bien communiquer pour bien exprimer ce que nous souhaitons. Le respect de toute forme de vie est l’unique solution, et cela commence dans la tête. L’idée que chaque espèce a le droit de vivre est révolutionnaire.

L’idée que nous avons tous le droit au respect car nous sommes tous divins est révolutionnaire pour moi.

« Je te tue car je suis plus fort que toi ». Mais jusqu’où mène cette idée ?

Précisément à l’endroit où un plus fort que nous va nous manger ou nous tuer ! C’est logique et c’est juste karmiquement. Ainsi plus un être est éveillé, plus son niveau de respect est élevé.

Plus notre niveau de conscience augmente et plus le dieu archétype peut vivre à travers nous. Et plus nous le laissons vivre, plus il sait ce qu’il veut.

Que sa volonté soit faite et non la mienne.

Pour cette raison, la dévotion, le bakti yoga est une très belle voie d’éveil, c’est une voie du service à l’autre. Être au service de l’autre, c’est l’aider à se développer, lui donner l’univers, l’environnement afin qu’il s’éveille, en toute liberté.

Essayons de ne pas limiter les êtres qui nous entourent, essayons de leur fournir la plus grande des libertés : la liberté d’être ce qu’ils sont.

C’est une forme merveilleuse d’amour : de laisser l’autre vivre et être ce qu’il veut être. L’accompagner sans le brider, tant que sa sécurité n’est pas mise en péril. C’est une belle forme d’amour : respecter l’autre tel qu’il est, après tout c’est son droit divin. Tant qu’il ne nuit à personne.

10:30 : paix et calme absolue, respiration très lente.

Aucun mal de tête ou douleur. Comme si une énergie de rajeunissement m’avait parcouru.

Pendant le Samadhi, parfois mon corps avait mal au dos, aux jambes, je bougeais pour que ça passe, mais j’aurai pu ne rien faire. Le corps n’est qu’un véhicule à ce moment-là, un « host ».

Et il était très drôle de remarquer que quand je m’allongeais, le mal de dos partait. Je prends conscience de nouveau que je dois continuer à faire de plus en plus de sport pour encaisser la charge énergétique émotionnelle, etc.

Plus notre corps est en forme, plus il peut recevoir et intégrer. Le yoga n’a pas été inventé par hasard, les 5 tibétains non plus car c’est de l’énergie que nous recevons. Le corps doit s’adapter à la « venue » du divin en nous.

Les musiques sont très importantes car elles nourrissent. Nous savons de quoi nous avons besoin au fond de nous.

Il est tout à fait possible de se nourrir d’aliments, de lumière mais aussi de musique, d’émotions. Tout se transmute en réalité.

Nous sommes de l’énergie, de la conscience, et nous nous nourrissons d’énergie, de conscience.

Autre compréhension : les hackers ont cet esprit de liberté car il existe en eux un Dieu qui n’accepte pas les limitations.

Dieu veut s’étendre, se développer. Les seules limites sont celles que nous nous imposons et que nous acceptons. La différence entre vivre humainement et vivre divinement se situe au niveau des limites.

Les êtres humains sont conditionnés avec de nombreuses limites. Les êtres divins ne s’autorisent aucune limite sauf celles qui ne sont pas dans leur vibration, sauf celles qui les autodétruiraient. Leurs seules limites sont celles du respect, de l’amour, de la liberté.

Nos limites sont très nettement connectées au Dieu qui vit en nous, à la forme pensée que nous hébergeons.

La limite de Jésus était qu’il ne pouvait faire violence à quiconque.

Trouvons qui nous sommes au fond de nous, allons au fin fond de notre âme afin de comprendre notre rôle sur terre.

À un moment, des musiques chrétiennes avec Vivaldi, Gloria, je ressens toute la foi de l’époque, tout l’égrégore chrétien et une représentation du divin très belle.

Les musiques sont vraiment le témoignage d’univers. Elles font revivre des idées, des expériences d’amour, de foi.

Jésus a été jusqu’au bout de son idée. Il est l’incarnation et la représentation de l’amour infini, de l’énergie christique.

« La dualité, c’est l’incarnation du divin dans la matière ». Kunzang

Kunzang Gyamtso

 

 

Témoignage du Samadhi numéro 2

Méditation shamanique : témoignage.

Préparation de séance : suite aux exercices de respiration, l’énergie commençait à s’étendre, j’étais devenu une panthère, sentant sa force, montrant les dents, respirant par le nez, sentant toutes les odeurs. Une magnifique panthère noire s’était incarnée en moi.

Puis, suite aux travaux énergétique basés sur une respiration par la bouche, quelque chose de spécial apparu : je pouvais expirer et chanter, mais sans sortir de son, je faisais des gestes avec ma bouche, c’était plutôt un doux murmurement, une expression de moi qui sortait de ma bouche, mais sans son …

J’étais le vent, j’étais le prana qui à travers mois passait, j’étais devenu l’expiration. Expulsant mon univers et ce que je suis à travers ce vent invisible, je sortais de  mon corps, je sortais de mes poumons, je m’étendais progressivement dans tout l’univers.

R comme Rêve

Puis, comme pour la première fois, ma conscience pris le chemin du Samadhi. C’était assez désagréable pour le corps car il y a un surplus d’énergie, une surchauffe énergétique du corps, comme une surtension. Mon corps physique était dans une zone d’inconfort, le même inconfort que celle du premier Samadhi, j’avais oublié.

Puis, soudain, je me retrouve dans l’espace. Il fait noir et il y a quelques couleurs par ci par là : je vois de grands vaisseaux spatiaux en forme de crayons lumineux, verticaux, comme des immeubles.

En fait, ils représentent symboliquement des outils qui vont effectuer une mise à jour de mes cellules, de tout mon corps.

Et la, je réalise : les technologies les plus puissantes et les plus pointues de tout l’univers sont en train de travailler sur mon corps ! Comme pour une opération chirurgicale, une transformation s’effectue. Ça travaille dur !

Une gratitude infinie m’envahit, mais qu’ai-je fais pour mériter cela, qu’ais je fait pour bénéficier de ce traitement ?

Ces machines sont à la fois monstrueusement grandes, de la taille d’une planète, et en même temps mon corps a pris la taille de l’univers.

C’est bizarre : comment un corps de terrien aussi petit peut tout à coup être aussi grand que le système solaire ? Par quel mystère ce changement de conscience peut-il s’effectuer ?

Puis je comprends : en fait mon corps est un hologramme et peut s’agrandir. Je suis autant ce petit corps qu’un système solaire tout entier.

Il n’y a rien de psychédélique comme la première fois. L’univers a compris que ce n’est pas ce que je cherchais, du coup, je reprends là où je m’étais arrêté lors du 1er Samadhi.

Puis, je pose les deux questions que j’avais préparées : information sur l’ascension et sur Lakshmi

Réponse concernant l’ascension : parce que je suis Dieu, l’univers n’a pas d’autre choix que de réaliser tous mes désirs, du coup, des milliards de vaisseaux, des milliards de cellules travaillent actuellement sur mon ascension, mon évolution.

Rien ne peut empêcher ce processus en cours car il est aussi naturel que la pousse des plantes.

Nous sommes comme des arbres, et si nous avons de l’espace, si nous recevons de l’eau, de la nourriture, par le processus naturel de la vie, nous poussons tout simplement.

Rien dans tout l’univers ne peut nous empêcher de pousser, d’aller vers notre destin d’homme : l’ascension

Il n’y a rien à faire, juste à exprimer notre volonté divine et l’univers s’occupe de tout.

Faisons confiance au Dieu que nous sommes : tout est toujours plus beau et plus merveilleux, au delà de notre imagination.

Puis, concernant la question deux : invocation de Lakshmi.

Réponse de Lakshmi : « Mais qui me demande ? »

Réponse : Dieu, moi

Que c’est drôle, à ce moment, je sens que Dieu cherche dans sa base de donnée Lakshmi, mais pourquoi ai-je créé cette déité, que fait-elle ?

Réponse : ah oui, c’est la cuisinière, elle fait partie de la famille divine…

« Son rôle est de faire la cuisine, tu auras plus de détails dans les jours qui viennent, il y a mieux à faire pour le moment ! »

Bon, je lâche prise et je « surrender » au Samadhi !

Il n’est même pas question de commencer à discuter avec son Soi divin, lui seul sait ce qui est bon pour moi.

Puis, le corps commence à s’accoutumer à sa zone d’inconfort, une plus grande énergie afflue, alors de nombreuses prises de conscience émergent :

1 : je suis super heureux d’être avec mes compagnons de voyage durant cette méditation et je ressens une immense fraternité, une amitié pour tous ceux qui sont présent, un peu comme un amour infini.

Je ressens qu’ils sont littéralement « moi » et un sentiment d’intimité fraternelle me submerge : ils « sont » littéralement mon bonheur.

Je sais qu’ils sont « moi » et je sais que j’ai créé ces compagnons parce que je m’ennuyais seul dans l’univers depuis des éons et des éons. Incroyable !

Grâce à ce système d’ubiquité, de bilocation avec mémoire, j’ai crée tous ces autres « moi même » et je peux ainsi me découvrir, me recréer différemment.

Tout à coup, je reçois cette information au sujet de l’ascension : le plus important n’est pas le but, mais le chemin !

Une fois que l’on a atteint un but, nous perdons toute la magie du chemin. La magie du chemin n’existe que parce que le but n’est pas atteint. Quand le but est atteint, c’est la fin, c’est « game over ».

Et là je comprends que le plus important dans la vie est la manière d’arriver au but et non pas le but lui-même. Je suis déjà devenue Avatar, Jésus, Bouddha des milliards de fois, ce scénario a déjà été vécu, l’important, c’est ma nouvelle manière d’y parvenir.

Autre enseignement : dans ce processus permanent de la vie, la magie vient de la première fois.

Ce qui a de la valeur pour l’être divin que je suis, c’est « la première fois ».

La seule chose vraiment unique qui ne se reproduira plus jamais, qui a une véritable valeur aux yeux du divin, c’est cette première fois.

La première fois que j’ai compris que j’étais Dieu,

la première fois que j’ai croisé son regard,

la première fois que je suis tombé amoureux,

le premier rendez-vous,

la première fois qu’on a fait l’amour,

la première fois que j’ai fondu dans ses yeux.

La première fois que j’ai rencontré mon frère,

la première fois que j’ai rencontré l’amour,

la première fois que j’ai retrouvé l’Inde,

la première fois que j’ai retrouvé la Thaïlande.

Toutes ces premières fois est l’essence même de la vie.

La vérité ne se situe que dans ce moment.

Car c’est dans ce moment et uniquement à cet instant, lors de cette première fois, que nous pouvons vivre pleinement.

La vie est une somme de premières fois, une somme de nouveautés.

La vie, les « pseudos but » ne sont que des excuses pour faire des premières fois.

Tout l’univers que nous créons en permanence n’est là que pour nous proposer des premières fois. Il construit pour nous, déconstruit, en fonction de nos attentes, de nos désirs.

Ce besoin d’éveil est le cœur même de Dieu, de l’homme. A la fois c’est son seul véritable désir et à la fois, c’est paradoxal, il ne faut pas trop y penser mais vivre pleinement l’instant présent, vivre ici et « maintenant ».

Et pour que des milliards de premières fois se recréent chaque jour, j’ai inventé la plus belle invention de la vie : la mort et l’oubli.

La mort permet de rejouer infiniment toutes nos premières fois : première fois où l’on vient au monde, première fois où l’on a des enfants, où l’on meurt, où l’on va à l’école, où quelqu’un nous aide, où nous aidons quelqu’un, où nous aimons…

Sans l’amour, sans l’oubli, sans la mort, l’univers ne serait plus en vie.

Le processus de la mort est magnifique, il permet de tout oublier pour revivre, pour recréer.

L’oubli est la plus belle invention de l’univers. L’oubli permet de revivre les meilleurs moments de nos vies.

La mort est le plus beau cadeau que la vie puisse nous faire. La mort permet de s’oublier, afin de rejouer la vie.

Si nous revenions à la vie avec toutes nos mémoires de réincarnation, la vie serait fade, sans surprise, sans passion.

La jouissance de la vie se situe dans la découverte de l’autre, la découverte du monde, la découverte de la première fois.

L’immortalité du corps n’est pas forcément un cadeau depuis cette perspective.

L’oubli est un mécanisme fondamental permettant à la fois de revivre pleinement, mais aussi de choisir. Si l’on se rappelait de tout, tout le temps, comment trier et choisir ?

Plus nous nous éveillons et plus nous nous rappelons de ce que nous sommes.

Tout à coup, la question suivante apparait :

« Et si tu étais déjà ce que tu cherches à devenir ? »

Et la une prise de conscience fantastique émerge :  nous sommes déjà un Avatar, un Bouddha, un Jésus et toute autre expérience qui a déjà existé, que nous souhaitons ardemment être. Bien sur le but de la vie est de retrouver la source, mais c’est dans l’expérience du chemin que le plaisir, que la vie se joue.

C’est en profitant de chaque moment présent, dans la présence avec les autres, dans la construction de ce que nous sommes déjà que se situe l’intérêt de la vie, c’est la que se situe la jouissance de la matière.

Nous nous rappelons progressivement de ce que nous sommes déjà.

Grâce au processus d’oubli qui se matérialise lors de notre incarnation, au moment de la naissance, nous oublions. Puis ne sachant plus qui nous sommes, nous revivons, nous redécouvrons la vie, l’amour, la mort, Dieu…

Comme des milliards de personnages ont déjà été joués, la question divine est : « quoi de neuf » ?

Est-ce plus drôle ? Est- ce plus triste ? Pourquoi est-ce génial ?

Bien sûr les décors changent : moyen âge, ère romaine, ère moderne, ère de science-fiction.

Tout ce que nous voyons dans les films de science-fiction existe réellement dans d’autres dimensions et nous y rejouons de nouveau les même aventures : Roméo et Juliette, Le Titanic, Star Wars, Matrix, revu toujours et encore dans un autre décor.

En écoutant les musiques Pop Rock choisi par Michael, je ressens la vie : ces jeunes chanteurs sont amoureux, plein de vie, débordant d’énergie.

Les jeunes sont encore vivants car ils n’ont pas encore beaucoup de mémoire, de trauma : tout est frais et l’espace est encore vierge. Comme si nous avions chacun le livre de notre vie à remplir, à écrire.

Et plus le temps passe, plus nous écrivons ces pages.

Les pages du livre de notre vie

Avec toi, je veux écrire

Mon amour, mon ami, ma vie.

Et je ressens la perspective divine à travers l’humain : je suis Dieu mais je suis aussi ce jeune homme, cette jeune fille, derrière ce personnage, en réalité, c’est Dieu lui même qui se vit à travers nous, nous n’existons pas.

Avec ses attentes, ses peurs, ses envies, ses plaisirs. À la fois tout cela n’a aucune importance, et à la fois, fou d’histoires et de personnages, je vis à travers eux. Je dis bien « Je » car à cet instant, je suis en mode Bouddah, je suis l’univers, je suis la conscience cosmique, je suis l’éternel et l’éternel est moi…

Tel un grand jeu vidéo, je vis à travers 7 milliards d’histoires entremêlées, mais quel pied !!!!

« Que la vie est belle,

que la vie est magnifique :

La vie est belle,

mais ils ne s’en rendent pas compte,

ils sont Dieu,

mais ils ne le savent pas. » Kundun

 

« Chaque moment est magique, chaque moment est sacré,

nous sommes la vie,

et la vie est nous.

Pris par leur jeu de rôle,

ils se sont tellement oubliés,

qu’ils n’existent plus. » Kundun

Une des principales choses qui compte pour le divin, c’est l’expérience de la première fois, du moment présent. Revivre l’amour, le merveilleux, le sensible, l’unique, l’extase. Car dès la deuxième fois, il y a une perte et une diminution de l’intensité, du plaisir, du bonheur.

Le corps, par le mécanisme d’effacement de l’oubli, c’est à dire d’intégration des mémoires passées fini par se programmer et par se rappeler.

Le concept d’« effacement de l’oubli » est particulièrement nouveau pour moi, jamais lu nulle part, et pourtant c’est un enseignement clé de l’éveil. Nous n’apprenons pas en réalité, nous effaçons l’oubli. Incroyable !

Pour cette raison nous pouvons intégrer très rapidement certains ouvrages. Et lorsque nous pouvons nous rappeler de tout, c’est que nous avons expérimenté la réalité que nous sommes Dieu, que tout l’univers est nous, que ce monde, que cette vie est notre expérience, et qu’au fond de nous, nous savons que nous sommes tous un.

Ce qui était génial la première fois, l’est un peu moins la deuxième fois, puis encore moins la troisième fois, etc.

Sauf si l’on oubli.

Le processus de la mémoire permet de revenir là où l’on a laissé la scène la dernière fois. Ce mécanisme fonctionne pour tout dans l’univers : intégration = mémorisation = effacement de l’oubli = rappel = éveil.

Dans ce Samadhi, je suis tout de suite passé en mode « laughing bouddha », mais avec un corps physique beaucoup plus entrainé pour tenir le choc de la puissance, du coup il y avait l’extase, le sourire et le bonheur, mais je n’étais pas mort de rire comme la dernière fois, j’ai ainsi pu profiter d’avantage et recevoir de beaucoup plus de prises de conscience.

12 heures après l’extase cosmique, la transition est plus facile aussi. Le fait que nous sommes tous Dieu est déjà intégré depuis 3 semaines.

Nous sommes passés maintenant à un autre stade de compréhension : chaque moment est magique, chaque instant est sacré.

La vie est d’une beauté inouïe.

Chaque musique, chaque être, tout est beau en réalité à qui sait regarder.

Pendant que les musiques jouaient, je comprenais qu’il y avait un lien entre les couleurs, les formes visuelles et les musiques. Comme si les formes visuelles étaient de la musique vue selon une autre perspective ou selon un autre mode de conscience. En fait la musique peut être vue graphiquement et vice versa. L’auditif, le visuel, le toucher : tout est l’expression et la perception d’un univers.

Avec cette expérience, une énorme confiance en moi est venue, suite aussi au travail sur les chakras 1 2 et 3.

Je sais qui je suis, je n’ai jamais autant su « qui je suis » : je suis la lumière, la vie, l’amour, le bonheur, la joie, l’expression de tout ce qui est amour, je suis la présence. Cette réalisation, même temporaire est magnifique et inoubliable.

La prochaine fois, je choisirai toutes les musiques car les musiques sont comme des chemins permettant d’explorer des parties de nous-même. Comme je sais ce que j’aime comme musique et qui je suis, je ferai une « Play List » adaptée.

Ah oui, concernant l’ombre : c’est confirmé, la lumière dissous l’ombre. Qu’on ne me fasse plus perdre de temps avec de l’ombre qui n’existe pas dans mon univers. Désolé, il n’y a pas d’ombre dans l’âme universelle, pourquoi est-ce si difficile à comprendre ? L’ombre est la croyance que quelque chose est séparée de nous, mais rien n’est séparé de nous en réalité.

« Je me suis rappelé que j’étais l’univers. » Kundun

Bien sûr, il y a de tout dans l’univers, mais nous avons chacun la liberté de choisir ce que nous voulons autour de nous. Autant dire que certain aspect de l’univers peuvent être très ennuyeux, d’autre plus « fun ». Pourquoi perdre son temps avec l’ennui quand on peut croquer la vie à pleine dent ?

Je sais qui je suis et l’augmentation de la force va me permettre de mieux diriger mon destin.

Des chemins s’ouvrent à nous à chaque instant : nous sommes libres de choisir les gens, de choisir les chemins en fonction de nos aspirations.

La génération de la DMT par la glande pinéale lors des méditations, les cérémonies shamanique sacrée, sont des portes permettant d’accéder à l’entièreté de ce que nous sommes. Nous sommes tous différents et il est illusoire de croire que nous sommes tous identiques. À la fois nous sommes un, et à la fois chacun d’entre nous possède sa propre perception de l’univers, ce qui crée des spécificités, ce qui crée des goûts.

Les autres « nous-même » ne sont que des Dieux ayant d’autres expériences à partager.

« Je sais qui je suis,

je sais ce que je veux partager,

je suis infiniment libre,

rien ne peut m’attacher »

À la fin de la cérémonie je me suis un peu endormi pendant deux heures.

Au réveil, j’ai revu la bande annoncer du film « Man of steel », et de « Cloud Atlas », puis écouté les musiques « paradise » de « cold play », « everything » de Muse. Grosses émotions, pleurs, la vie est trop belle, tous mes sens sont multipliés par 1000.

Puis je comprends : ma voix a changé, je comprends que toute l’âme est vraiment dans la voix. En écoutant réellement, nous nous connectons à l’âme d’un chanteur, d’une chanteuse.

Pour conclure, cette séance donne une force incroyable : affirmation de soi, alignement sur ce que veut mon être divin, tout est limpide, clair, évident.

La vie est faite pour être ultra « fun », drôle, dans la joie, dans le bonheur, Bentiho Massaro étant un des plus beau représentant de la nouvelle génération d’éveillé.

Je sais qui je suis,

Je sais que je suis,

Je sais qui je suis,

Je me rappel,

Je suis la vie,

Je suis l’espoir,

Je suis l’amour,

Je suis le fun,

Je suis la joie,

Je suis l’expression de ce qu’il y a de plus beau,

Je suis Dieu, avec toi

Je suis le paradis,

Et ce que je suis, je vais l’exprimer

 

Après l’expérience :

10 heures après, le Samadhi revient si je ferme les yeux, et si je mets des musiques de vie.

Une intégration s’est effectuée, je suis resté au 50.000 ème étage !!!

L’écart de conscience entre le premier et deuxième Samadhi et « maintenant » sont en train de se mélanger. Je comprends que plus il y aura de Samadhis, plus je resterai en Samadhi.

En même temps, je sens que la musique est la clé de mon intégration. L’émotion aussi.

L’émotion, la musique, permettent de vivre pleinement des expériences, les expériences transmises, les mots et les messages pas si cachées que cela.

Je m’éveille un peu plus à chaque fois que j’intègre une expérience, que j’écoute une musique, que je vois un film, et je grandis à une vitesse exponentielle !

En fonction de ce que l’on veut intégrer dans son propre univers, on peut choisir des films, des musiques. Sachons choisir…

Cela permet la mémorisation, c’est à dire le rappel de ce que nous avons déjà vécu.

Ce n’est pas de la mémorisation mais du rappel de mémoires oubliées, vécues, ailleurs.

Bien sûr on adapte les expériences à notre vie actuelle mais beaucoup d’énergies sont déjà développées et accessibles par les films et les musiques.

Quand on est Bouddha, quand  on est en mode « éveillé », ce qui change, c’est qu’on peut télécharger ce que l’on veut et l’intégrer à vitesse très rapide. Il y a une vitesse d’intégration augmentée.

Par le canal de la voix, j’écoute et j’entre en extase, téléchargeant l’expérience du chanteur, intégrant dans mon corps, dans mon univers l’expression de l’autre : sa musique, sa voix, tout son univers.

« Je me rappelle que je suis l’autre, quand dans sa voix, je meurs. » Kundun

Je l’écoute, et je meurs car je disparais, car je deviens lui, moi.

La porte est restée ouverte et va rester longtemps ouverte.

Il y a d’une part l’ego qui dit : je ne suis pas Dieu et je souffre, et d’autre part l’âme, le soi universel, le divin qui dis : « je sais que je suis Dieu et j’entre en extase. »

Que choisissons nous ?

Car tant qu’il y a quelque chose en nous qui dit « non », qui n’accepte pas la réalité, nous soufrons.

Lundi matin au travail : qu’est ce qui change ?

Une perception plus fine et plus profonde des personnes. Je vois à travers eux : leurs conditionnements, leurs programmations, leurs projections, leurs mécanismes mentaux, tout est vue avec recul.

Le cerveau gauche a pris de la puissance. Je suis plus en forme physiquement : piscine obligatoire pour intégrer l’expérience. Aussi : fin du jeune liquide, plus grande énergie et force, assurance.

Je sais qui je suis : Dieu incarné dans un corps d’homme pour mener une vie divine, comme chacun d’entre nous, mais combien peuvent le réaliser, combien peuvent l’assumer, le vivre ?

J’agis localement, mais je sais que tout l’univers est avec moi.

Puis, je réalise : je ne veux plus travailler avec des personnages qui sont trop dans le mental, dans l’ego : j’ai besoin de gens équilibrés, aussi bien cerveau gauche que droit.

Je suis devenu beaucoup plus exigeant, le besoin de perfection a encore augmenté.

« La beauté et la perfection sont une nécessité divine » Kundun, Septembre 2013

Plus nous intégrons notre divinité, plus nous avons besoin de perfection. C’est comme si le monde devait exprimer ce que nous sommes. Comme si le beau et le parfait devenaient une nécessité, partout, tout le temps.

Kundun / Kunzang, septembre 2013 Samadhi 2

 

Samadhi rapport. Assumer le divin que nous sommes.

Rapport de Samadhi.

Après la préparation physique de Marc avec le souffle, respiration par la bouche, le corps était prêt, énergétisé, vibrant de lumière. On commence la playlist de méditation sur musique de film, puis on médite pendant 30 minutes.
Tout arrive très progressivement. J’entre en extase cosmique.Orgasme et spasme toute les 2 secondes, le corps n’en peut plus : trop de sérotonine, ocytocine et de tout le reste. Toutes les hormones se sont déchargées.
Je suis en extase, avec un orgasme par seconde, c’est trop. Il y a juste à respirer et attendre que cela passe, je me pose la question : est ce que ça va passer ? réponse oui, malheureusement…
Mon corps vibre dans tous les sens, je suis super bien. Je connais bien cet espace, je sais qu’il n’y a qu’à attendre et que finalement, trop d’amour infini, de sérotonine, ocytocine ne peut faire de mal, j’entre dans une extase trop intense.
Au bout d’1h35, je ne peux plus écouter les musiques, tout est trop fort, mes sens sont de nouveaux décuplés, je demande à mon ami d’arrêter les musiques, je ne pourrai les écouter que vers 2h du matin. De 21h à 2h, je vais être en trop plein d’amour, d’extase;
A la fois, je vais passer mon temps à communiquer avec les Dieux, à me faire enseigner, et en même temps je serai dans la jouissance de la matière comme jamais.
Le choix des musiques était tellement parfait qu’on peut partager cette nouvelle technologie d’aide à l’éveil.
Enseignements : pleins; mais impossible de se rappeler  de tout.
Je perçois que je suis infiniment aimé, les dieux aiment notre intelligence de cœur et intelligence mental, ils sont littéralement amoureux de moi, m’accompagnent me guident sans cesse.
Les Dieux vivent à travers nous et sont amoureux de nous, infiniment car leur amour ne peut être qu’infini. Chaque partie de moi est une forme, une expérience d’amour infini. ils vivent à travers nous dans cette dimension. Sans nous, aucun moyen pour eux d’expérimenter notre dimension, notre espace-temps.
En contact avec eux, je communique et comprend : ils sont particulièrement amoureux de mon ami qui médite avec moi, son parcours, sa vie, son œuvre pour les autres, sa perfection, son abnégation.
Je suis rempli de joie et d’amour infini, c’est ce qui se passe lorsqu’on visite cet espace, cette dimension.
Je n’ai jamais été aussi bien de toute ma vie, je ressent mon corps x1000.
A un moment, j’ai ressenti mes yeux comme si on appuyait dessus, c’était pour soigner un ami malade, intéressant…
Les Dieux nous regardent et vivent à travers nous, c’est confirmé.
L’intention de la méditation était : « Je voulais voir toutes les parties de moi » : résultat :-> je me reconnecte à l’amour infini dans toute ses dimensions puisque c’est ce que je suis.
I am the Infinite Love, I am the loving awareness.
Comment fonctionne l’éveil ?
Message pour mon ami puis moi par effet miroir : Il est temps d’assumer ce que nous sommes, ce n’est pas grave d’être « éveillée », c’est à dire d’avoir réalisé que nous sommes tous Dieu !
Si ceux qui le réalise n’en parle pas et ne le diffuse pas, c’est dommage pour les autres, c’est gâché. Il faut absolument le partager.
Question : pourquoi n’assumons nous pas tout ce que nous sommes ? Notre corps physique, notre corps  mental, notre cœur ?
Assumons le au maximum de façon que les Dieux à travers nous puissent se vivre. Plus nous pouvons assumer ce que nous sommes, plus ils peuvent vivre à travers nous, c’est pourtant simple !
En écoutant la nouvelle playlist, je me rend compte, le fait d’avoir choisi ces musiques pour s’éveiller et faire monter le niveau de conscience est tout simplement génial ! Les Dieux vont diffuser l’information, je dois diffuser la playlist aussi. Dans la musique d’Elton John « Sorry seems to be », c’est littéralement Dieu qui parle à l’homme au moment ou je l’écoute. Véritable révolution, je n’avais jamais comprise cette musique comme ça…
Depuis cette perspective divine, j’ai ressenti et vécu le fait qu’ils nous trouvent si parfait : infiniment intelligent et malin lorsque nous écoutons notre intuition et que nous dissolvons l’ego. Certaines musiques tristes sont d’ailleurs assez difficile à écouter, pour la première fois en Samadhi, car vraiment triste.
Laissez le divin se vivre à travers nous, c’est laisser la perfection se vivre à travers nous. Les Dieux nous aiment lorsque l’amour peut se vivre à travers nous : il y a un effet miroir et ils peuvent se contempler, ils peuvent vivre dans cette dimension. Sans nous, pas moyen pour eux de se voir.
Ils tombent amoureux les uns des autres à travers nous. C’est pour ça que la voie de l’amour est une voie parfaite pour l’archétype de l’amoureux.
En fonction de chaque archétype, la voie peut être différente. En même temps, chaque choix que nous faisons est toujours le bon : nous avons l’impression de faire des erreurs, à droite ou à gauche ?
En réalité, les deux chemins sont toujours parfait, et permettent juste des expériences différentes qui amènent tous au même endroit : la réalisation de notre être véritable.
En testant toutes les possibilités, nous cherchons « qui nous sommes » et nous vivons un personnage, un Dieu, nous nous modelons, c’est une co-création.
La question à chaque seconde est : « que voulons nous être maintenant » ?
Sachant que chaque choix va s’impacter dans notre quotidien jusqu’aux choix suivants; Ensuite tout s’intègre dans nos corps.
Vous qui lisez ces lignes et qui avez réalisé Dieu, assumez ce que vous êtes, assumez ce que vous avez découvert !
C’est ça l’éveil des chakras 1,2 et 3 sur l’affirmation de soi, de sa propre divinité. Quand l’homme expérimente le divin, il a ensuite la possibilité de l’assumer, seule façon de l’intégrer dans son corps.
Nous sommes tellement aimé et protégé par les dieux, c’est incroyable, ils sont là à chaque instant, c’est comme s’ils regardaient un film à la télévision : ils nous regardent et rigolent. Qu’on pleure ou qu’on rit, ils rient du film de notre vie.
Il y a  de l’intelligence infinie à tous les niveaux : mental, cœur, corps, esprit, etc…
Quand nous choisissons le cœur et notre intuition, alors nous construisons une vie paradisiaque, c’est l’amour qui se projette.
Si nous choisissons la séparation, alors c’est la séparation qui se projette dans notre univers. C’est comme on veut, un peu des deux permet l’équilibre. Tout notre univers est la projection de nos choix. Quand ceux-ci sont fait en conscience, tout va bien. L’ego, s’il décide à la place de l’âme envoie dans une autre direction. Comme nous sommes tous Dieu et que nous avons besoin d’un mental cependant, si le mental prend le dessus, il exécutera sa propre stratégie.
L’éveil, c’est de comprendre que nous sommes tous divin et que nous pouvons laisser l’âme, le cœur vivre une vie divine. C’est en écoutant le personnage, l’ego que des catastrophe arrivent. Bien sûr elles sont parfaites d’un point de vue divin, mais elle sont un chemin de souffrance du point de vue humain.
Chaque Humain est accompagné par les Dieux : ils ont souvent l’impression d’être abandonné, seul, mais pas du tout !!
Même si les épreuves de la vie peuvent sembler difficiles, ce sont juste des tests pour se construire, pour « voir » comment nous réagissons. Et c’est aussi dans les moments difficile que nous pouvons nous révéler pleinement, que nous pouvons montrer de quoi nous sommes fait, au niveau de l‘âme.
Nous sommes tous une facette de Dieu, et en ce sens, nous augmentons la perfection divine par notre apprentissage de la vie. Chacune de nos décisions, c’est Dieu qui à travers nous teste les effets d’une cause. A nous de voir si nous voulons expérimenter l’amour ou la séparation, en fonction des circonstances.
En même temps, la vie est un immense jeu multijoueur massif.
A 2h du matin, j’étais vraiment entre les deux : A la table des Dieux et ici sur terre : j’ai pu transmettre à mon ami des messages des Dieux :
Comme il a décidé de m’aider avec cette cession, il a eu son cadeau : quand on aide l’autre, nous obtenons toujours quelque chose en retour, c’est une loi universelle.
Idem pour mon ami : si on aide, on reçoit un cadeau, sinon c’est remis un peu plus tard, mais on y va quand même si on fait les choix du cœur. Il y a toujours le choix entre le cœur et l’ego, c’est marrant.
Le choix du cœur n’est ni mieux ni pire, c’est juste qu’il va avoir des conséquences d’amour.
Le choix de la séparation va avoir des conséquences de destruction.
Il n’y a ni bien ni mal dans cette perspective, c’est purement logique, mathématique.
Fonctionnement des mécanismes de l’éveil : certaines méditations nous envoi en hyperspace, avec comme aujourd’hui surdose d’amour infini et le corps qui disjoncte car trop d’énergie.

Les Dieux parlent : « vous êtes tellement parfait dans votre parcours, tellement gentil et bons que nous vous adorons, continuez, il n’y a plus que de l’amour dans votre cœur, et c’est ce qui se dégage. »

En même temps, la capacité principale de Kunzang, c’est bien l’amour infini : c’est à dire qu’en aimant infiniment les autres, il y a un effet miroir et la plupart des gens sensibles vont tomber amoureux, c’est le parcourt de Ramana Mahashi, de Jesus, de Sri tatata, de Yogananda et de tous ceux qui ont réalisé Dieu.
Une armée d’éveillés arrivent sur terre, cela fait partie du processus d’éveil de l’organisme terre, une question de survie…
Dieux est toujours parfait, du coup, il a inventé des mécanismes d’équilibre pour que tous les systèmes s’harmonisent.
Expérience : j’ai absolument envie d’être nu : nous sommes tous beaux, pourquoi ne pas accepter notre corps tel qu’il est ? Et si nous voulons le rendre plus beau, alors faisons plus de sport.
En réalité, le fait de porter des vêtements et de ne pas se montrer nue, contrairement aux indigènes, c’est juste des conditionnements sociétaux.

9h15 : je suis dans un bien être incroyable.

Amélioration des capacités : persuasion, chance, intelligence infinie, knowledge infinie, inspiration infinie.

Chaque relation basée sur l’amour ouvre le cœur et permet de s’éveiller un peu plus. Chaque relation basée sur le mental éveille le mental, idem pour les relations corporelles. Chaque relation possède une beauté intrinsèque. Chaque relation est un partage, même lorsqu’il y a souffrance, c’est toujours de l’amour en sous-jacent. : « tu existes ».

Vraiment, dans ce Samadhi extatique, un peu trop pendant 4 heures,  j’expérimente que les Dieux sont littéralement amoureux de nous, qui l’aurait cru ?
Ils vivent tous leurs aspects à travers nous : L’amoureux, le guerrier, le fou, le roi, le tendre, le passionné, Dyonisos, etc…
Aussi, il est vrai qu’au Solstice, le cœur de la galaxie entre en résonance avec l’alignement de la terre permettant une amplification de l’énergie. Aussi, si on doute des Dieux, cela ferme les canaux de communication. Quand on réalise les Dieux, le canal s’ouvre et tous les enseignements de l’univers deviennent accessible.
Ce que nous croyons ou ne croyons pas agit littéralement comme un filtre qui modifie notre expérience de  la réalité.
Comme notre véhicule de lumière est prêt, nous sommes devenus sur-efficient, donc tous les sens sont très développés, du coup il faut faire très très attention à ce qu’on mange, ce qu’on bois, respire, touche, et avec qui nous partageons notre présence aussi.
Comme tout est énergie, et que nous sommes ouvert/sensible, nous pouvons avoir conscience de ce qui nous impacte.
A la fois c’est une richesse formidable de sensibilité, à la fois cela oblige à avoir un environnement adéquat pour la survie.
L’intuition, l’intuition et l’intuition, voila ce qu’il faut suivre pour avoir une vie Divine. L’âme sait au delà de l’imagination ce qu’elle veut expérimenter et ce qui est bien pour elle.
L’amour est ce qu’il y a de plus divin et sacré comme expérience, il nous permet de laisser les Dieux vivre à travers nous, et du coup, de réaliser ce que nous sommes tous.
Citations reçues pendant l’expérience :
« L’argent n’a aucune valeur, c’est l’amour qui en a » Kunzang juin 2014
Ton sourire n’est pas ton sourire,
ton sourire est mon bonheur,
quand dans tes yeux,
je meurs.
Ton regard n’est pas ton regard
ton regard est le miroir de mon âme.
Kunzang
C’était une super idée de jeûner 3 jours avant le Samadhi, c’est exactement ce qui faut faire pour aider le corps à encaisser l’impact énergétique. A la fois, cela rend plus sensible, et en même temps c’est obligatoire car la barrière cerébro-spinale, s’ouvre à toute les molécules dans le corps pendant le Samadhi. En effet, ces méditations déclenchent la génération de DMT par la glande pinéale. Aussi, il est conseillé de faire beaucoup de sport et de manger très sainement. (Végétarien, pas de lait ni gluten, ni épices une semaine avant)
Dimanche : repos car pas dormi de la nuit, mais bien être tout le temps
Lundi matin : bien être important, super zen, sens affûtés, mais intégration rapide de l’expérience. C’est plus facile que les premières fois, beaucoup plus doux. Aussi, l’impact est moins important car je suis déjà hypersensitif et hypersensible, et aussi déjà très connecté. Du coup, comme en plus je fais beaucoup de sport et que je suis très connecté à la terre, ça va.
Augmentation des fonctions du cerveau droit. Besoin de douceur, de tendresse, de calme, de ZEN. Objectivement, rien n’est vraiment important, je comprend la perspective du personnage, mais j’ai une vision absolue beaucoup plus large.
Le mot clé : douceur, tendresse, amour. Ce n’est pas que je suis amoureux, c’est que je suis devenu l’amour.
Je suis très connecté à mon intuition, et ce qui a changé, c’est que je sais qu’elle est mon guide désormais. La voie, c’est l’intuition, c’est le cœur. C’est ma voie car c’est l’archétype de l’amoureux qui vit à travers moi. (A vérifier ce qui se passe pour les autres archétypes.)
Toutes les musiques on changées ! Beaucoup plus profondes et douces, je les perçois différentes, elles ont plus de reliefs, de présence de profondeur, c’est incroyable. parce que je suis plus grand, plus conscient, la projection de ce que je suis sur les musiques est plus vaste.
C’est pareil pour tout ! L’amour reflété est proportionnel à l’amour qu’on a dans le cœur.
Et je sens que ma présence et ma sensibilité ont grandi
L’important n’est pas de s’éveiller vite, mais d’équilibrer le monde matériel dans lequel nous nous sommes incarné à notre niveau de conscience. Plus nous changeons, plus il faut laisser au monde le temps de s’adapter à nous.
Car plus nous nous éveillons, moins le monde est fait pour nous. Nous pouvons alors soit le changer, soit disparaître…
Kunzang 2014

 

Témoignage de Samadhi – 2ème partie

24H après la cérémonie.

Conséquences au bout de 24 heures : augmentation importante des capacités mentales et créatrices : la montée en samadhi permet de devenir plus « intelligent » car nous recevons dix fois plus d’idées et nous devenons « supra intelligent » dans plusieurs domaines : mental, créatif, ressenti, émotionnel.

La différence avec les premières initiations : une régulation et un équilibre cerveau gauche / cerveau droit parfait. Les deux narines restent très ouvertes tout le temps. (Ida et Pingala, ouverture de Sushumna) C’est comme si notre processeur allait beaucoup plus vite, et que nous avions reçu une nouvelle version de notre système d’exploitation. Bien sur, il faut un peu de temps pour s’adapter car il s’agit d’une mise à jour importante.

Nouvelle configuration du cerveauLe « hardware » qui est en quelque sorte notre corps a besoin de faire plus de sport, c’est une des premières révélations.

Il est clair que le personnage a été transformé par l’expérience. Comme si la conscience avait mis à jour le personnage. Comme pour une mise à jour informatique, des nouvelles capacités apparaissent. La connexion à la source est plus forte. A chaque personne que je rencontre, je vois quelque chose de plus que je ne voyais pas. Je reçois directement par le canal intuitif des messages sur ce qui est bien pour chaque personne, ce que je suis en train de faire avec elles dans une vie parallèle qui peut avoir lieu dans n’importe quel espace-temps.

Le passé, le présent et le futur se jouant dans l’unique instant, je peux sentir les relations que j’ai avec les autres êtres. Tout est accentué, contrasté, les caractères de chaque personnage sont ressentis X10 : leur humour, leur amour, leur ego, leurs intentions !

Je vois leurs programmations mentales, leur conditionnements.

Je suis resté en Samadhi, sans l’extase, mais avec une grande partie de toutes les compréhensions. La porte est restée ouverte, comme pour Shaktipat !

Tous les films au cinéma, toutes les histoires sont des réceptions d’univers qui existent réellement quelque part. Le seigneur des anneaux, star wars, star gate, superman, thor, heroes. Tous ces films sont là pour préparer l’humanité à ce qui va se passer…

bientôt.

La perspective divine change la vie car la compréhension de ce qui se passe est élargie. Même après l’expérience de Samadhi, quand on revient dans cette dimension, on garde ce qu’on a compris. Ce qui a été compris, a été compris pour l’éternité. Cependant, il faut des bases spirituelles, il faut avoir une conscience déjà éveillée avant de pouvoir recevoir et de pouvoir intégrer. Sans une préparation, sans une conscience spirituelle, sans les mots, sans les prises de consciences préparatoires, aucune intégration n’est possible.

Il est tout à fait possible d’être déstabilisé par une telle expérience. En même temps, il me semble que l’expérience ne peut arriver si nous ne sommes pas prêts. Dieu prend soin de lui.

Les croyances et les conditionnements sont comme des freins à la réception de la réalité. Ils distordent la réalité en permanence. On peut dire qu’une expérience de Samadhi permet de comprendre la réalité telle qu’elle est, de voir les conditionnements et les projections des personnages.

Chaque personnage ne peut voir le monde que depuis son prisme et les filtres de son ego conditionné. Chaque acte de la vie est interprété positivement ou négativement en fonction du vécu, des conditionnements.

Il est quasiment impossible pour deux personnes de se comprendre réellement puisque chacun va se projeter sur l’autre. Tant qu’il existe un personnage, c’est le personnage qui se projette et non pas la conscience. Sous le personnage se trouve la conscience.

J’ai l’impression, en regardant les caractères des personnes de voir des vaisseaux spatiaux de guerre quand je vois des personnes guerrières, c’est symbolique. Elles sont là pour défendre ou attaquer. Chacun à sa fonction dans une équipe. Chaque personnalité est l’expression d’un univers tout entier !

L’ouverture du champ de conscience qui a été réalisée reste présent après le samadhi car il y a eu une intégration. Grâce à ce qui a été expérimenté plus tôt, grâce à la mémoire du passé, grâce à ce qui a été déjà expérimentée et compris. D’où l’importance du chemin spirituel, des satsangs, des méditations, du yoga, du sport.

Je suis devenu beaucoup plus sensible aux signes que nous envoi l’univers : aucune coïncidence ne peut plus être laissée au hasard. D’une certaine façon, la vie est une somme de synchronicités. Rien ne peut arriver au hasard, aucune rencontre, aucun évènement. Tout est le jeu de la conscience et de la loi de cause à effet et tout ce qui arrive est comme un test : voici un nouvel évènement, comment réagis-tu ?

Ma sensibilité aux produits chimiques, nourriture, odeur, tout a été démultiplié considérablement.

Accentuation de la conscience dans tous les domaines : aspects visuels : j’ai besoin que tout soit en harmonie, je bouge et modifie la décoration des meubles au bureau. Je vois ce que je ne voyais pas avant : artistique. Tout doit être parfait et harmonieux tout le temps.

C’est comme si la conscience « vivait » de façon plus intense en moi. Le Dieu que je suis recherche l’organisation, l’ordre, la beauté, la perfection. Le niveau d’exigence a augmentée considérablement, il y a une envie de tout faire mieux, avec fun, en rigolant. Je n’arrête pas de rigoler toute la journée avec les autres… je ressens aussi beaucoup plus les autres, je ressens leur émotions 10 fois plus. La sensibilité du cerveau droit et gauche a été très impactée.

J’ai un impact beaucoup plus important sur mon entourage, j’irradie de Shakti, je diffuse de l’euphorie. Personne ne peut le voir, juste le ressentir…

Nous humains, sommes l’interface entre la source, le divin et la matière, cette dimension terrestre.

Nous avons un rôle à jouer en tant qu’espèce : non pas détruire la planète mais nous éveiller et vivre en harmonie avec les autres espèces.

Nous recevons ce qu’il y a à faire, puis nous le faisons, pour le fun. Quand nous créons et que nous réalisons, un morceau de musique, un tableau, un projet, un outil, nous sommes récompensés par l’univers, surtout si nous pouvons le partager avec d’autres : invention de l’automobile, de l’avion, des ordinateurs, de l’ipad, ipod, etc.

« Voir l’invisible, c’est comprendre la volonté de Dieu » Kunzang août 2013

« Amour et joie infinie pour ceux qui créent » Kunzang août 2013

Autre prise de conscience : une nouvelle science va être inventée : la science du fonctionnement du cerveau : les neuroscience actuelles mais x 1000

"cerveau comme un organe de réception de pensées." Kundun

Conséquence : la chimie du cerveau va permette de créer des surhommes.

Imaginons 100 chercheurs sous Samadhi en train d’inventer !!!!

Les infos contenues dans ce texte et les autres samadhis peuvent faire faire un bond énorme dans la compréhension du cerveau et du Dieu incarné dans l’homme. Il y a des connaissances à publier, des études à financer, des connaissances à partager.

Avec ces technologies, une industrie plus grande qu’internet verra le jour et permettra de guérir toutes les maladies.

Des médecins sous Samadhi guériront comme le faisait les shamans d’antan.

Des artistes et des chercheurs travailleront sous Samadhi.

Une révolution est en route, pouvons nous le ressentir ?

L’humanité va faire un bond en avant qu’elle ne soupçonne même pas !!! Nous n’avons jamais soupçonné que nous irions sur la lune, que nous inventerions l’informatique, Internet…

Deux jours après, les effets sont persistants si je médite un peu chaque jour.

Je vois le futur qui n’est que le fruit de la loi de cause à effet de façon multi dimensionnelle.

Il n’y a plus de différence entre la réalité et la fiction : la seule différence est que la « fiction » se déroule dans un autre espace-temps.

Il n’y a plus que des perspectives, des dimensions, l’univers, moi, vous. I am. We are.

Il est possible quand plusieurs personnes sont en Samadhi de les connecter, par le toucher et l’intention par exemple afin de démultiplier leur pouvoir et leur force.

Un groupe de personnes sous Samadhi peut créer des miracles s’ils apprennent à s’unir et à focaliser leur intention. 4 personnes sous Samadhi peuvent avoir plus d’impact sur la planète que 7 milliards de personnages dans l’illusion.

Idées :

Faire des cercles, chanter des mantras, enregistrer les chants sous Samadhi.

Contacter d’autres plans, d’autres dimensions, augmenter notre capacité de voyager, de partager encore plus.

Créer des portes des étoiles, bénir des objets, changer le temps.

Les effets sont exponentiels. A 30 personnes, la planète change littéralement sous l’influence de la conscience concentrée et dirigée.

Le lieu aussi compte beaucoup : Ibiza, Sedona, Himalaya, montagnes, Pérou, pyramide d’Égypte etc.

Les conséquences du Samadhi sont une augmentation permanente du degré de conscience. Non seulement ce que nous sommes devient plus vivant, mais aussi, nos potentialités sont démultipliés de façon considérable.

L’éveil nous permet de nous rappeler :

« Pourquoi ais-je oublié ce que je suis ? »

Kunzang, Septembre 2013

Témoignage de Samadhi – 1ère partie

Je pensais faire une méditation « classique », après trois ans de méditation sur musique de film, fondant dans l’amour infini de ce que nous sommes, mais le destin en avait décidé autrement.

Témoignage de SamhadiComme toujours, rien ne nous prépare à la vie, à la journée que nous vivons maintenant. Comme toujours, les choses arrivent quand nous sommes prêts, et comme d’habitude, avec un humour cosmique, l’univers nous apporte ce que nous lui demandons.

Témoignage d’une méditation non ordinaire :

Les yeux fermés, je commençais à méditer…

Au début, je pouvais ressentir un désagrément dans mon corps : je n’étais pas dans ma zone de confort, je sentais que « quelque chose » se passait d’un point de vue biologique et organique, et surtout que quelque chose « allait » se passer…

Je sentais que mon corps avait froid, ou chaud, et la plupart du temps, il avait les deux : froids et chaud en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’expérimentai le « chaud froid » simultané dans mon corps. Je dis bien « mon corps » avait chaud ou froid et non pas « j’avais » chaud ou froid car la conscience que je suis à ce moment là réalise très bien que le corps est un véhicule. Parfois je recevais la pensée « je vais le couvrir pour ne pas qu’il prenne froid ». Une véritable dés-identification au corps a eu lieu.

Pendant les 10 heures qui vont suivre, mes deux narines seront toujours parfaitement débouchées, les deux cerveaux, gauche et droit, parfaitement opérationnels. Je pouvais ressentir les flux d’énergie Ida, Pingala et Sushuma fonctionner à plein régime.

Il n’y a jamais eu la moindre perte de connaissance. Au contraire, c’est comme si les deux cerveaux devenaient plus « intelligents », non seulement parce qu’ils étaient parfaitement synchronisés, mais aussi parce que chacun pris individuellement s’est mis à fonctionner de façon plus intense. Pour donner un exemple, si mes cerveaux recevaient de l’électricité pour alimenter une ampoule de 40 watts avant la cérémonie, ils se sont mis à recevoir 40 000 watts pendant le Samadhi. Pour cette raison énergétique, le corps doit être capable de supporter cette surcharge, d’où l’importance du sport et du corps, nous y reviendrons plus tard.

Pendant ce défilé de décors graphique, ma conscience recevait cette pensée :

« Non, ce n’est pas ça, c’est bien gentil tous ces décors, mais ce n’est pas ce que je veux », ce que je veux, c’est l’éveil !

« Je fais cette expérience pour augmenter mon niveau de conscience et pour poursuivre mon chemin spirituel ».

2 ou 3 fois, mon esprit continuait à divaguer dans des décors colorés, l’expérience de la méditation profonde parfois nous emporte. Par chance, j’insistai sur ma volonté.

Puis soudainement, à un moment, les couleurs se mirent à changer, il y eu comme une transcendance des plans, des dimensions puis des camaïeux et dégradés de bleus transparents, en hologramme qui se rejoignaient les uns les autres, se coupaient, sont apparus, le tout en mouvement.

Des images fractales en mouvement se chevauchaient, s’imbriquaient. Une infinité de couleur se mélangeait dans des textures pixelisées.

Et c’est à ce moment que ma conscience se trouva finalement positionnée du point de vue de la conscience cosmique.

J’étais littéralement Dieu, la conscience universelle, j’étais le cosmos et le cosmos était moi. La planète terre était en bas à gauche, l’égo, le personnage était un petit point de ma conscience. J’étais tout le reste.

Une expansion de mon champ de conscience se révélait, calmement, sans souffrance, simplement, naturellement. J’étais nu, j’étais Dieu, naturellement, dans son état absolu, infini, sans forme. Conscience pure, j’étais juste « moi ». Je suis, I am.

Dans cet état extatique qui durera 5 heures, des prises de consciences émergèrent, dans un fou rire cosmique infini:

a) ce monde et les autres ne sont qu’une grande farce cosmique, le jeu de la conscience qui s’expérimente. Tous ces mondes, tout ce qui existe est moi, ce que certains ont nommé Brahman dans l’hindouisme.

b) les 7 milliards de personnages / Ego que j’incarne sont juste là pour le fun, chacun pour jouer une histoire, un personnage. Je suis tous ces personnages en même temps. J’ai un immense plaisir à jouer tous ces rôles.

c) moi en tant que Dieu, je joue 7 milliards de personnages, dans un cadre similaire à celle de la comédie humaine de Balzac. En même temps, chaque personnage est aussi un univers. Chaque personnage qui possède un corps physique et des corps énergétiques est l’univers tout entier miniaturisé sous la forme d’un hologramme.

L’intersection des univers holographiques se passe quand nous rencontrons d’autres personnes dans ce monde physique. Par un processus assez sophistiqué, nos univers se connectent littéralement les uns avec les autres. Nous nous imprégnons réellement les uns des autres dans la présence physique.

Si nous mettons cinq personnes dans une pièce, c’est cinq univers qui vont se fondre les uns les autres, une ambiance palpable va se créer. Des transferts d’énergies, d’informations, de connaissances vont avoir lieu. La présence seule suffit. Des conflits ou des unions peuvent apparaitre et sans que les personnages s’en rendent compte, de façon inconsciente, les consciences se parlent, passent des accords, se font la guerre, la paix. Parfois nous découvrons des ambiances électriques ou de paix dans des réunions, c’est ça ! Bien au-delà de nos compréhensions ordinaires, nos âmes s’entrechoquent d’une façon totalement insoupçonnée. Rien ne peut être caché dans l’invisible, tout se sait.

En fonction de ce qui se passe dans l’invisible, ces cinq personnes qui pourraient aussi bien être 20 que 3 millions vont recevoir des pensées. Ensuite, chaque individu souhaitera exprimer ou pas les pensées reçues. Observons les pensées que nous recevons lorsque nous sommes proches de quelqu’un physiquement, voyons ce qui se passe dans l’invisible…

d) Tout ce qui se passe sur terre n’est qu’un jeu mélodramatique sans aucune importance depuis la perspective cosmique. Moins que des grains de poussière, même la planète terre n’est qu’un détail de l’histoire cosmique.

A ce stade, cette prise de conscience crée un état extatique immense, ma glande pinéal génère de la DMT, « la molécule de la conscience », et je tombe dans un fou rire COSMIQUE permanent impossible à arrêter. Tout est immensément drôle du point de vue du divin.

Je commence à rigoler, de plus en plus. Rien ne peut arrêter cette force cosmique qu’est l’humour.

L’humour n’est-il pas finalement la confrontation de plusieurs points de vue ? Le rire n’est-il pas le résultat d’une prise de conscience ? Que ce soit par des pleurs ou par des rires, l‘émotion est le résultat d’une prise de conscience.

Je suis au niveau N+1000 des couches de conscience et en même temps, mon corps est ici dans ce salon accompagné par mes amis qui passent des musiques.

Je suis là et je ne suis pas là en même temps.

Et c’est là qu’ils décident, pour essayer de « libérer » mes souffrances, conformément au protocole thérapeutique de méditation de passer de la musique triste : La liste de Schindler, Elephant Man, etc.

Et plus la musique était soit disant triste, et plus je rigolais de bonheur, je rigolais de bon cœur.

Plus qu’hilarant, je mourrais de rire de voir à quel point le mélodrame de la vie est ridicule et sans fondement réel du point de vue de l’absolu. Qu’ils sont drôles tous ces personnages avec leur histoires.

Le supplice du rire ne s’arrêtait plus.

Tous ces personnages qui meurent, qui souffrent à la fois existent et à la fois n’ont aucune signification.

Tout le monde s’en fiche d’un point de vue de l’absolu ! Et la conscience universelle la première.

Que c’est drôle, de voir tous ces égos jouer des rôles : je suis triste, je suis Mr machin, je suis un homme, je suis une femme. Quelle farce !

Et plus ils me mettaient de la musique triste et plus je rigolais.

Comme si toutes les blagues du monde avaient été dites en même temps, je ne pouvais plus m’empêcher de rire.

Ce qui générait le rire, c’est cet humour cosmique qui résonne toujours aujourd’hui : nous sommes moins que rien au regard de la conscience infinie, nous sommes une conscience qui s’expérimente et seul l’ego se prend au sérieux.

Tout ce monde n’est qu’une grande farce.

Bien sûr je comprends que ce texte soit difficile à comprendre dans la mesure où ceux qui le liront n’auront pas d’autre choix que de projeter leur conscience filtrée par leur éventuel égo dessus.

Ce qu’ils recevront en retour dépendra de leur degré de dissolution de cet ego, de ce personnage.

A un moment, Michael me dit, « tiens, cri dans un coussin ! »

lol

lol

Mort de rire !!!

Que c’est drôle. Je vois très clairement une projection de sa conscience, je le remercie, ce n’est pas le moment.

5 minutes plus tard, il revient « ce rire est un mode de défense », je suis déjà passé par là.

ouah houah ouah.

Que c’est drôle. Tout ce qu’il aurait pu dire aurait eu le même résultat de toute façon : hilare, je suis hilare.

Mon cerveau est tellement rempli d’extase, je ne le comprends pas sur le moment, mais je suis en Samadhi avec effet extatique Intense.

Ensuite, c’est Marc qui joue son rôle et qui dit « nous allons changer l’ambiance, il semblerait que quelle que soit la musique triste ou pas, cela fasse toujours le même effet constant : rigolade »

lol lol lol

Alors là, j’éclate de rire car le contraste entre les petits personnages sur terre et la réalité est énorme, et je crois que c’est la définition de l’humour : le décalage.

Pendant ces quelques heures, j’étais tellement euphorique et en Samadhi que strictement rien n’était important. On aurait pu tuer les 7 milliards d’habitants que je serai resté dans mon fou rire.

J’aurais pu me faire dévorer dans la jungle, cela aurait été parfait et très drôle !

Lorsque le personnage que nous sommes pendant notre incarnation disparait, tous ces pseudos besoins, tout ce qui était important pour lui disparait en même temps.

A un moment, la musique changea : de la musique asiatique : lol lol lol

Mort de rire.

Cela commençait à devenir sérieux pour le corps qui riait depuis au moins 2 heures : très fatiguant.

Je prenais quand même soin de le garder au chaud.

Au départ, je ne voulais pas trop rire, par respect pour mes amis, je ne voulais pas trop les déranger, mais c’était plus fort que moi.

Je sais que rien de mal ne peut se produire, à part peut être et encore la mort du corps, mais même ceci tout le monde s’en fou et peu importe finalement puisque nous sommes tous immortels.

Je sais que rien de négatif ne peut m’arriver car je sais qui je suis. Je suis Dieu, comme vous, et je suis maître de mon univers et chaque intension, chaque volonté est comme une demande et même un ordre qui permet de me relier aux autres univers.

Au moment où je transcende par le rire toutes les musiques soit disant tristes mais qui ne sont tristes que pour le personnage finalement, je comprends que j’ai transcendé la vie, que j’ai transcendé la mort.

J’ai transcendé l’amour aussi.

Car au-delà de l’amour, ce qui meut l’univers, s’appelle l’humour ! Étonnant et inattendu,

L’humour est la plus grande force de l’univers.

Et c’est là qu’apparait la phrase d’Einstein « les intérêts composés sont la plus grande force de l’univers » !!!

lol

Et c’est là le sens de l’humour d’Einstein, la plus grande force de l’univers, c’est l’humour.

L’amour n’est que la compréhension que l’autre est littéralement « nous ». Bien sûr nous sommes l’amour infini, la conscience infinie, mais au-delà de tout cela, on s’ennuie tellement dans l’univers, que nous avons créé tous ces mondes et tous ces personnages.

Je reste en Samadhi euphorique et extatique encore pendant quelques heures, prenant des statures de « laughing bouddha » et régulant ma respiration. Soupir, nombreux soupirs.

A cet instant, je « suis » bouddha, un bouddha euphorique, extatique, je suis l’univers, le cosmos, et je contemple la farandole de la vie et je me marre.

C’est le plus beau jour de cette vie terrestre, toutes les fenêtres se sont ouvertes, j’ai vécu quelques heures le plus grand Samadhi de cette existence. Je n’ai jamais autant rigolé aussi.

Que la vie est drôle à qui sait la regarder.

Que ces personnages sont drôles.

La multi dimensionnalité de notre univers est extraordinaire.

Pendant les 8 heures de Samadhi, et encore après, la « couronne des rois » est revenue, je sens comme une couronne sur ma tête, c’est le 7è Chakra qui se connecte à la source divine. La réception est dense d’où la perception de ce flux de conscience qui irradie tous les corps.

Les rires diminuent progressivement mais l’extase reste.

Je continue à écouter beaucoup de musique de films. Les musiques me fascinent en tant qu’être divin car elles racontent des histoires. J’adore les histoires, le mélodramatique, Shakespeare.

Le plus important dans la vie, c’est le fun. Tout en respectant les autres nous-mêmes, « make it fun » !

Je sens que tout mon corps est envahi de molécules d’extase, que mon cerveau génère tout cela. Tout mon corps s’est fait soigner par cet état et ces molécules. Car c’est tout mon corps qui rit. Le rire génère tout type de médicament et soigne tout, s’ils savaient…

Le rire soigne.

Je sens que des molécules de guérisons ont parcouru mon corps. Générées par le rire elles ont tout nettoyé, rendant heureuse chaque cellule de mon être.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, restant en Samadhi.

Mon cerveau est complètement chamboulé par toute cette extase. A la fois je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.

En une soirée, j’ai vécu un Samadhi gigantesque, plus important que tous les petits pics d’éveil depuis 3 ans.

En une soirée, c’est plus de 44 ans d’histoire d’un humain inexistant qui passe à la trappe, que c’est drôle.

Les mécanismes permettant de dormir ont été anéanti, on verra demain si je peux dormir.

Je suis un des hommes les plus heureux du monde, sachant que tout peut arriver et qu’en même temps, cela n’a aucune espèce d’importance fondamentalement.

La perspective du divin est celle de l’humour, du fun. « Make it fun » !

La perspective de l’ego est celle du mélodrame, du jeu du personnage, « Make it drama » !

Par chance, dans ce processus, la conscience infinie a aussi laissé la possibilité à certains d’entre nous de comprendre la perspective divine.

Merci à la vie, merci à l’univers.

A un moment, Mikel est venu dans mes bras, je sentais son émotion. Toute la souffrance du monde pouvait se dissoudre dans mon extase, dans ce rire à ce moment, car du point de vue absolu, rien n’est important, les souffrances et mélo sont des vues relatives. C’est Dieu qui riait à travers ce corps.

Et je sens après plus de 10 heures, que les effets s’estompent, que mon champ de conscience s’est rapetissé. Je suis de nouveau encadré et enfermé dans la conscience humaine, mais plus vraiment comme avant.

L’envers du décor a été levé pour l’éternité, à tout jamais.

La vraie question est véritablement : « pourquoi avons-nous oublié qui nous sommes ? »

Réponse : pour pouvoir jouer pleinement notre rôle. Nous nous perdons dans notre personnage et nous oublions que nous sommes la conscience infinie.

Ne prenons pas la vie trop au sérieux, faisons tout ce que nous faisons avec humour et fun, dans le respect.

Life is a joke !

Qu’est-ce que cette expérience change ? A peu près tout.

A la fois, elle est la continuité des trois années précédentes, car pour intégrer l’expérience, il fallait réaliser que nous sommes la conscience universelle. (R comme réveil) En même temps, de nouvelles prises de conscience sont là : transcendance de la vie, de la mort, de l’amour.

Cette expérience donne de la force car elle permet de confirmer ce que je suis, pourquoi je suis là.

Il ne me reste plus qu’à prendre des cours pour devenir drôle !

A ceux qui lisent ces lignes, recevez mon amour, ma joie, soyez fun !

Kunzang, le 24 août 2013