Vous abandonner à Amour est une libération. C’est de percevoir la vie d’un nouvel angle. C’est de passer de la chenille au papillon.

Voici un extrait de notre atelier d’éveil et de transformation qui a lieu chaque dimanche : « Saison 4 Episode 56 » :

Je vais maintenant me connecter au « nous » pour recevoir des informations concernant le chakra du cœur, notre guidance d’aujourd’hui.

J’avais la possibilité de m’abandonner à amour. C’était une des libertés de l’être humain : accueillir dans son cœur l’être galactique, amour, cet amour infini.

Plus j’allais canaliser amour, plus j’allais laisser amour être, et moins il y aurait de « je », de « moi » et d’identité.

J’avais besoin de voir qu’amour est par nature impersonnel et qu’en m’abandonnant à amour, j’allais devenir « impersonnel », c’est-à-dire que j’allais disparaître.

Plus le « je » allait s’abandonner à amour par un regard, par une voix, une présence, plus j’allais me laisser tomber amoureux, amoureuse et plus amour allait être, allait venir dans ce corps.

J’avais besoin de comprendre et de voir qu’amour allait prendre toute la place : la place de l’identité, la place de la personne que j’avais cru être, mais que je ne suis pas, la preuve ça peut mourir de mon vivant.

En me laissant mourir à moi-même, en laissant ce « je » se désintégrer, se déconstruire même si c’est très inconfortable ; autre chose allait apparaître.

Quelque chose d’aimant, quelque chose d’amoureux, quelque chose d’infini, d’absolu, tellement immense que l’intellect ne peut le concevoir.

J’avais besoin de voir qu’amour ne peut être compris par l’intellect et le mental, mais qu’amour peut être vécu dans le corps, dans le cœur et amour peut être transmis par la voix.

Plus j’allais côtoyer amour, l’être galactique aussi appelé énergie christique, plus j’allais l’accueillir en « moi », et plus j’allais me rendre compte qu’il n’y a pas de « moi ».

Paradoxe du langage, à un moment, ça allait parler sans « je », car il n’y aurait plus de « je », il n’y aurait plus qu’existence, la vie, présence, amour, beauté, vibration, plaisir d’être.

À un moment dans ma vie, il n’y aura plus que célébration, honorer la vie, être la vie telle la chenille qui devient un papillon.

Le « je », le « moi », l’identité sera devenue obsolète et le papillon sera là à battre les ailes, à papillonner, à voler, à être.

En voyant que le « je » était la chenille, il était possible d’imaginer le papillon. Ça pouvait comprendre le processus d’évolution.

C’était en train d’évoluer, c’était en train de s’alchimiser, c’était trop tard, ça avait déjà compris tout ce qui se passe dans nos méditations du dimanche.

C’était telle une fusée dans une trajectoire, non pas vers la lune, mais vers l’intérieur, vers existence, vers la vie.

C’était tellement haut en vibration qu’il n’y avait plus de « je ».

Ça pouvait vivre sans « je », ça pouvait mourir sans « je » et se réincarner sans « je ». Ça pouvait tout faire sans « je », incluant : respirer, chanter, danser, s’aimer, célébrer et honorer.

À force de monter le taux vibratoire chaque dimanche et à force d’aller à l’intérieur chaque dimanche avec ces ateliers, ça reconnectait, ça se rappelait, ça retrouvait la mémoire.

Quelque chose au fond de ce « moi », quelque chose au-delà du « moi » et de l’identité et de tous les « je », quelque chose de conscient recherchait et allait vers sa propre liberté : la liberté d’être, d’exister, de créer, de chanter et de danser.

C’était la liberté d’être et d’exister sans « je » ou avec « je » d’ailleurs, peu importe. C’était libre.

Quelque chose dans le cœur, dans amour était amoureux de soi-même et par conséquent recherchait sa liberté.

Ressentez dans votre poitrine le lien entre liberté et amour. Plus ça allait s’aimer, plus ça avait besoin d’être libre.

Plus ça laisse s’aimer, plus ça allait vivre amour et incarné amour et plus ça allait dire non à tout ce qui n’est pas amour, à tout ce qui n’est pas liberté.

Plus amour allait grandir dans ce cœur, dans ce corps et dans chaque cellule, plus un élan de liberté allait se propager, se diffuser.

C’était l’amour, c’était la liberté d’aimer, c’était la liberté d’être, la liberté d’exister sans contrainte, sans enfermement.

C’était aussi la liberté d’être sans « je », la liberté ultime dans cette dimension, dans cette civilisation remplie de « je », remplie de « moi ».

Quelque chose avait compris la prochaine étape de l’évolution de notre humanité : vivre sans « je ».

Il suffisait de vivre avec le « nous ». Le « nous » pouvait remplacer de façon avantageuse le « je ».

Ce n’était pas obligé de se prendre pour un « je ». Ça pouvait penser, réfléchir, créer, être communiqué depuis le « nous ». Une étape facile pour la plupart d’entre nous.

Une étape quasi invisible dans la vie quotidienne avec tous les autres « je » qui ne pourraient comprendre le vivre sans « je », mais qui pourraient comprendre le « nous ».

Le « nous » était déjà connu de l’humanité. Il n’était pas très utilisé, mais il était connu, il était accessible.

En allant dans le cœur et dans l’amour, un « nous » était en train d’émerger. Un « nous » qui n’était pas une somme de « je », une somme d’identité, un « nous » qui était un ensemble, qui était existence, qui était la totalité, qui était l’être.

Plus ça allait s’abandonner au « nous » et moins ça allait utiliser le « je », le « je » qui sépare.

Ressentez, écoutez maintenant le goût du « je ». Le « je » avait un goût, un goût de séparation.

Ressentez qu’en utilisant « je » ça se séparait de l’ensemble, ça se séparait d’existence. Ce n’était plus existence, ce n’était plus l’ensemble qui parlait, ce n’était plus « nous », c’était « je ».

En voyant que le « je » est la base de toutes les séparations, il était possible de sortir du « je », sortir de l’identité, du « moi », de qui s’appelle aussi l’égo pour petit à petit, progressivement, apprendre à être différemment.

C’est ce que nous ferons d’ailleurs en stage en Dordogne : vivre depuis le cœur, depuis le « nous ».

Et si ça pouvait parler sans « je » ? Et si ça pouvait communiquer sans « je » ? Et si ça pouvait vivre sans « je » ? Juste quelques heures, quelques instants pour ressentir dans le corps là où ça va, là où nous allons.

En voyant que nous allions tous ensemble, les 8 milliards, dans une direction qui était invisible avant, mais qui devient visible à ce « nous », alors tout allait être beaucoup plus simple.

L’humanité était en train d’aller vers le « nous ». Bien évidemment, pour que ça soit plus fun, personne n’avait rien dit à personne, personne n’a été informé que l’humanité allait vers le « nous ».

Afin que chacun s’éveille, chacune s’éveille, se réalise et se transmute, c’était l’ensemble des uns, des individus, des « je », des « moi » qui allaient chacun individuellement s’éveiller, grandir, se transformer de chenille à papillon.

C’était à chacun, à chacune de s’abandonner à son processus interne pour aller dans le « nous ».

L’humanité, en montant sa vibration était en train d’y aller, et celle et ceux qui le verraient un peu avant les autres, allaient voir leur vie grandement facilitée.

Celles et ceux qui refusent de s’abandonner, à aller à l’encontre de nombreuses difficultés… Et c’est au « nous » de partager cette idée du « nous », du nous avions souvent déjà vécu dans le couple, puisque le « nous », c’était quand il y avait déjà un et un, et que nous allons vivre tous ensemble de façon plus globale, pas seulement dans le couple, mais aussi dans notre humanité, notre famille d’âmes est notre humanité.

Ressentez comme une légèreté, quelque chose qui flotte, qui plane. Il y a plus de « je », il y a plus que « nous ».

Ressentez qu’il n’y a pas besoin d’un « je » ou d’un « moi » pour être, pour exister, pour planer, pour flotter, pour danser, chanter.

Ressentez la liberté de vivre sans « je », d’être sans « je », bien sûr, tout à l’heure, il y a des chances que le « je » revienne, car tout l’environnement est basé là-dessus et ce n’est pas grave.

Le fait de sortir de prison, ne serait-ce que quelques instants, permet de mémoriser et de comprendre que le « je » était une prison.

En m’identifiant au « je », automatiquement, j’entrais dans cette prison identitaire.

C’est ça Anatman, cette réalisation qu’au-delà du « je », il y a « nous », il y a existence, il y a quelque chose qui peut très bien vivre sans « je » même dans la vie quotidienne humaine. Il suffit de penser à « nous ».

Si vous êtes déjà en couple, expliquez à l’autre le « nous » sinon, créez dans votre réalité un chéri, une chérie qui comprendra le « nous » dès le départ.

Il suffit d’en parler, d’expliquer et de dire : « J’aimerais faire un « nous » avec toi. »

Derrière cette phrase, il y a : ça a envie de se dissoudre dans un « nous », ça a envie d’exister pleinement sans la limitation du « je » sans cette barrière identitaire, c’est la révolution de notre humanité.

Par calcul de l’univers, nous sommes les premiers parmi les premiers à recevoir cette initiation, cette information : nous allons faire le « nous ». Quel bonheur d’être ensemble pour vivre cela !

Vous pouvez dire à vos petits-enfants dans 50 ou 100 ans : « J’étais là quand le « nous » est arrivé ». C’est un moment historique.

Le passage du « je » au « nous » c’est maintenant.


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Suite à un “éveil de Kundalini” en 2011, Sébastien Socchard a vécu la Réalisation du Soi en 2011 et la Réalisation du Non Soi en 2021.

Ses premières expériences sont bouleversantes. Ingénieur télécom avec un esprit scientifique, il écrit, publie et partage toutes ses réalisations. Une métamorphose profonde continue à le transformer, toutes ses perceptions continuent de s’amplifier et de s’affiner. Des capacités empathiques de clairvoyance lui permettent de « lire » l’inconscient et le fonctionnement de la psyché. Vous pouvez en être le témoin en participant à l’émission « Dialogue avec l’être » du dimanche.

Qui est Sébastien Socchard ? : https://brahmadev.org/2018/11/10/communaute/

L’expérience du Non Soi : https://www.youtube.com/watch?v=SO63opuhdmY

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